22 novembre 2024 |

Ecrit par le 22 novembre 2024

Les salariés et le vendredi au travail : c’est déjà le week-end ?

À l’heure des RTT, du télétravail largement démocratisé depuis la crise sanitaire de la Covid-19, ou encore de l’intérêt porté aujourd’hui à la semaine en quatre jours, comment les salariés vivent-ils réellement cette journée charnière ? Travaillent-ils autant que les autres jours ?  Sont-ils plus détendus ? Reportent-ils au lundi des tâches qu’ils auraient pu accomplir en fin de semaine ? Quelles initiatives pourraient rendre leurs vendredis au bureau plus attractifs ? L’agence de création et diffusion d’histoires statistiques FLASHS a réalisé une étude sur le sujet pour la plateforme d’hébergement Hostinger.

À peine plus de la moitié des salariés (51%) se rendent systématiquement au bureau le vendredi. En ajoutant celles et ceux qui disent y aller la plupart du temps, soit 27% des répondants, ce sont près de 8 salariés sur 10 qui sont très régulièrement présents sur leur lieu de travail le dernier jour ouvré de la semaine. 

En l’espèce, les femmes sont plus nombreuses que les hommes à déclarer qu’elles s’y rendent toujours (55% contre 46%). Selon les âges, les proportions varient également : 59% des 50-64 ans sont dans ce cas contre une minorité chez les 25-34 ans (46%) et les 35-49 ans (47%). 

Quelque 14% des salariés ne vont jamais au bureau le vendredi, soit parce qu’ils sont en télétravail (11%), soit parce qu’ils ne travaillent jamais ce jour-là (3%).

Une journée jugée plus détendue, surtout par les jeunes

Si elle n’est pas usurpée, la réputation d’une forme de lâcher prise le vendredi n’est toutefois ressentie que par la moitié (50%) des personnes interrogées dans cette étude, qui voient cette journée de travail comme plus détendue que les autres. Pour plus du tiers d’entre elles (35%), c’est tout simplement un jour classique de la semaine, quand 15% constatent au contraire que leurs vendredis sont moins détendus. Les salariés les plus jeunes sont les plus nombreux à considérer que le vendredi est une journée plus détendue que les autres.

©Flashs/Hostinger

28% des salariés travaillent moins le vendredi

Si la moitié des salariés sont d’avis que le vendredi est plus détendu que les autres jours, cela ne signifie pas pour autant qu’ils travaillent tous moins. En effet, ils ne sont que 28% à le dire contre plus de 6 sur 10 (63%) qui affirment travailler autant. Pour 9% des répondants, le vendredi apparaît même comme un jour où la charge de travail est plus importante.

Là encore, d’importantes disparités apparaissent selon l’âge des personnes interrogées : les plus jeunes, ceux qui déclarent comme on l’a vu que le vendredi est plus détendu, sont aussi ceux qui disent moins travailler ce jour-là : 35% des 18-24 ans adhèrent à cette proposition, soit deux fois plus que les plus de 50 ans (17%).

On verra ça lundi…

Lorsqu’arrive la fin de semaine, est-on tenté de laisser de côté une tâche, un dossier pour y consacrer du temps le lundi suivant ? Selon une étude de Hostinger sur la procrastination, 67% des dirigeants reportent parfois des tâches au lundi, une tendance qui reflète des comportements similaires chez les salariés.

©Flashs/Hostinger

La relation plus souple des jeunes générations au travail le vendredi se confirme à nouveau au regard des réponses apportées à cette question. En effet, 33% des 18-24 ans et 38% des 25-34 ans décalent tout le temps ou la plupart du temps des tâches du vendredi au lundi, une pratique à laquelle n’adhèrent que 13% des plus de 50 ans.

Malades imaginaires

Qui n’a jamais songé à rallonger son week-end au dernier moment ? Mais il est généralement difficile de poser un jour de congé en urgence ou de s’absenter sans excuse valable. Dans ce cas, l’arrêt maladie de circonstance peut être une solution. Une pratique à laquelle près d’1 salarié sur 5 (18%) a déjà eu recours pour ne pas venir au travail un vendredi.

En l’espèce, les hommes (21%) sont plus nombreux que les femmes (15%) à avoir obtenu un certificat médical alors qu’ils n’étaient pas malades. Les jeunes en sont également largement plus adeptes que les seniors : 33% des 18-24 ans et 23% des 25-34 ans ont été dans ce cas contre seulement 6% des 50-64 ans. Par ailleurs, les salariés célibataires simulent plus souvent être souffrants que leurs collègues mariés ou pacsés (25% contre 15%).

Des attentes plus ou moins prises en compte

On l’a vu, tout juste la moitié des personnes interrogées se rendent physiquement au travail le vendredi, ce qui suppose divers aménagements dans l’emploi du temps des autres (semaine de 4 jours, télétravail, temps partiel…). Mais en l’occurrence, les attentes des salariés vis-à-vis de l’organisation du travail le vendredi sont-elles prises en compte par leur hiérarchie ? 

S’ils répondent globalement oui (69%), le détail des résultats apporte des nuances prononcées. Ainsi, moins de la moitié (48%) disent qu’elles sont complètement (16%) ou en grande partie (32%) reconnues.

Les femmes sont celles qui se sentent les moins écoutées dans la mesure où 35% d’entre elles estiment que leurs attentes sont ignorées, un avis partagé par 27% des hommes.  Et c’est dans les grandes entreprises que les aspirations des salariés concernant le vendredi semblent négligées : 37% des employés de sociétés de plus de 5 000 salariés le ressentent contre 32% dans les Très Petites Entreprises (TPE), 29% dans les Petites et Moyennes Entreprises et 28% dans les Entreprises de Taille Intermédiaire (ETI).

Partir plus tôt, une initiative séduisante

Parmi différentes initiatives qui rendraient selon les salariés le vendredi plus attrayant au bureau, la possibilité de partir plus tôt arrive très largement en tête des propositions. 37% des répondants adhèrent à cette idée, notamment les femmes qui sont 41% à y souscrire afin de répondre aux contraintes familiales et domestiques qui restent, comme le montrent régulièrement les études sur le sujet, majoritairement à leur charge. 

Partir plus tôt est également plébiscité par les plus de 50 ans (40% y sont favorables), contrairement aux 18-24 nettement moins intéressés par cette solution (23%). Ces derniers privilégient, bien plus que les autres tranches d’âge, le renforcement des liens entre collègues avec l’organisation de petits-déjeuners et déjeuner d’équipe (35% contre 23% chez les 25-34 ans par exemple).

Semaine en 4 jours : exit le vendredi

Imaginons que la semaine en quatre jours soit mise en œuvre dans votre entreprise. Quel jour préféreriez-vous ne pas travailler ? Pour les 1 000 salariés interrogés dans notre étude, la réponse est claire et nette : 46% choisissent le vendredi avant les autres jours afin de bénéficier dès la fin de semaine d’un week-end de trois jours. 

©Flashs/Hostinger

En la matière, les réponses varient peu selon le genre des répondants, les femmes étant légèrement plus nombreuses que les hommes à dire qu’elles ne travailleraient pas le mercredi (23% contre 19%) si cela leur était possible. Le mardi (4%) et le jeudi (2%) ne présentent guère d’intérêt et sont pour leur part quasiment ignorés. 

Le point de vue des dirigeants

Également interrogés sur leur vision du vendredi au travail, les dirigeants d’entreprise fournissent des réponses qu’il est intéressant de comparer à celles des salariés.

Une présence plus forte au bureau le vendredi. 92% des chefs d’entreprise indiquent se rendre au bureau le vendredi contre 86% des salariés. Mais ils sont moins nombreux à dire qu’ils y vont systématiquement (42% contre 51%).

Détente. Pour 61% des dirigeants, le vendredi est un jour plus détendu que les autres. C’est 11 points de plus que les salariés (50% ont ce sentiment).

Tâches reportées. Les dirigeants sont nettement plus nombreux que les salariés à dire qu’ils ont déjà reporté au lundi des tâches qu’ils auraient pu effectuer le vendredi. C’est le cas de plus de 8 sur 10 (81%) contre 67% parmi les salariés.

Arrêts maladie. 18% des salariés admettent avoir déjà posé un arrêt maladie sans être souffrants un vendredi. De leur côté, 48% des dirigeants estiment qu’il y a plus d’arrêts maladie dans leur entreprise le vendredi que les autres jours.

Des vendredis plus attractifs. 67% des dirigeants indiquent qu’ils ont consulté leurs salariés sur leurs préférences dans l’organisation des vendredis. Un chiffre à rapprocher des 69% des salariés qui considèrent que leurs attentes en la matière sont – plus ou moins – prises en compte par leur hiérarchie.

Étude réalisée par FLASHS pour Hostinger
du 23 au 29 août 2024
auprès d’un double panel Selvitys
de 1 000 salariés et de 1 000 dirigeants d’entreprise
de plus 18 ans.


Les salariés et le vendredi au travail : c’est déjà le week-end ?

La ville de Morières-lès-Avignon organise un week-end d’animation spécial noël les samedi 10 et dimanche 11 décembre.

Cette année, la magie de noël s’empare de l’Espace Culturel Folard. De nombreuses animations gratuites feront vivre la féérie de Noël aux visiteurs.

Programme
Samedi 10 décembre de 11h à 22h

  • 11h-13h : animations pour enfants. Ateliers créatifs, stand de maquillage, jeux en bois géants, ferme du berger, exposition de souvenirs du père Noël, photo dans le chalet du Père Noël.
  • 14h-18h : promenade en charrette tirée par un âne de Provence.
  • 14h-18h : animations pour enfants.
  • 14h30-15h30 : chants de Noël variétés par la classe professionnelle de Camille Monnet et Maggy Villette.
  • 16h-16h45 : spectacle jeune public (1 à 4 ans) « Poussières d’étoiles et flocons de neige », dans la salle polyvalente (nombre de places limitées).
  • 17h15 : chants de Noël par la classe du voyage sonore de Patricia Thomassin et de la classe Ado de Camille Monnet dans la salle polyvalente Folard.
  • 18h : inauguration en présence de M. le Maire.
  • 20h15-21h15 : spectacle nocturne « La Légende Dorée » (en extérieur).

Dimanche 11 décembre de 11h à 19h 

  • 11h-12h : gospel de Noël en déambulation par la classe de Maggy Villette.
  • 11h-13h : animations pour les enfants.
  • 12h-12h45 : passage des mascottes La Magie de Noël.
  • 14h-14h45 : passage des mascottes La Magie de Noël.
  • 14h-17h : animations pour les enfants.
  • 15h45-16h30 : passages des mascottes La Magie de Noël.
  • 17h30-18h30 : spectacle nocturne « La Légende Dorée » (en extérieur).

Espace restauration et dégustation sur place en continu.

Samedi 10 et dimanche 11 décembre à l’espace culturel Folard, Morières-lès-Avignon.
Programme détaillé sur www.morieres.fr.

J.R.


Les salariés et le vendredi au travail : c’est déjà le week-end ?

Découvrez la programmation culturelle du Thor de ce week-end.

Samedi 3 décembre
A 20h30 : Concert de Michel Jonasz et de Jean-Yves d’Angelo à l’auditorium Jean Moulin (complet).
Après le succès de plus de 300 concerts en piano-voix, Michel Jonasz et son talentueux pianiste, Jean-Yves d’Angelo, reprennent la route. Au programme : des extraits de l’album La Méouge, le Rhône, la Durance sorti en 2019 et pour lequel le chanteur-voyageur à l’esprit jazz a conservé son talent d’interprète, son timbre particulier et sa douceur. Des pépites rarement jouées, piochées dans le catalogue du chanteur, feront partie du show et bien évidemment, les chansons incontournables.

A 20h30 : Conte et musique improvisée « La petite montagne et la mer » au centre départemental de Rasteau.
Dans ce conte et cette forme musicale acoustique, le guitariste et compositeur Pascal Charrier convoque le souvenir de personnalités rencontrées au cours de son enfance. Elles sont ancrées dans les reliefs, sites et villages du Luberon et de la montagne de Lure. Une plongée riche d’enseignements et d’onirisme. Portée par la voix de Rufus et sa narration du texte, c’est une envolée vers un monde imaginaire où Pascal incarne les personnages et les décors de l’histoire à travers son jeu de guitare. L’un et l’autre s’écoutent et échangent pour créer un univers envoûtant et contemplatif.


Les salariés et le vendredi au travail : c’est déjà le week-end ?

Vendredi 25 novembre
De 14h à 18h : dépistage gratuit contre la myopie chez l’enfant au Cabinet Atlas Vision, 1bis, quai Lices Berthelot.
18h30 : inauguration du marché de noël – jardin de la Caisse d’épargne.

Samedi 26 novembre
18h : soirée musicale Musique en pays des Sorgues à la salle St-Jean. Tarif au chapeau.

Dimanche 27 novembre
10h : 3e édition de la Fête de l’Abondance thème « Evolution : le chemin de l’évolution n’a pas pris une seule ride », 818 chemin de Reydet.
14h : loto des sapeurs-pompiers de l’Isle à la salle des fêtes.


Les salariés et le vendredi au travail : c’est déjà le week-end ?

Le Petit futé ? Ce sont des voyages, des découvertes, des bons plans et des loisirs qui sortent des sentiers battus avec une nouvelle édition qui conte le Gard, comme vous ne l’auriez peut-être pas vu.

A la fois languedocien, provençal et méditerranéen, le Gard s’étend de la montagne à la mer, du mont Aigoual à la plage de l’Espiguette, des plaines de garrigue au delta de la Camargue : c’est un territoire mosaïque éclairé par plus de 250 jours de soleil par an.

La faune et la flore reflètent à merveille cette variété avec de nombreuses espèces protégées ; la Camargue gardoise accueille l’une des plus belles réserves ornithologiques de France et le Parc national des Cévennes est classé Réserve mondiale de biosphère par l’Unesco.

Musée de la Romanité

Mais le Gard est aussi l’héritier d’un patrimoine hors du commun avec plus de 500 Monuments historiques classés, dont le Pont du Gard et l’abbatiale de Saint-Gilles inscrits au patrimoine mondial de l’Unesco. C’est un territoire rempli de villes et villages de caractère qui ne laisseront personne indifférent tant l’atmosphère et l’architecture y sont uniques. On pense bien évidemment à Nîmes, Uzès ou encore Beaucaire mais le département regorge de pépites qui ne demandent qu’a être découvertes !

A mi-chemin entre le guide et le magazine, Petit Futé propose de fureter au gré de ses pages selon 4 axes : Inspirer, découvrir, visiter et organiser. Côté inspiration ? On pourrait visiter le Gard romain ? On dormirait dans les gîtes et roulottes du grand Puits, on irait au cirque de Navacelle à Blandas, ou encore on prendrait le train à vapeur des Cévennes à Anduze. On pourrait aussi visiter le musée de la Romanité à Nîmes ? Ou découvrir le Top 10 des Monuments à voir. On visiterait la Vallée de la Cèze à Nîmes, on passerait par l’Uzège, le Pont du Gard, on ferait un tour en Camargue…

En bref ?
On découvrirait les pépites sur mypetitfute.fr. Et pour manger sain, futé et branché on irait sur la marketplace lemarchefute.fr. pour n’y prendre que des produits locaux.

Les infos pratiques
Gard 2023. Petit futé. 264 pages quadri. Format 120L x205H Version print 11,95€ Version numérique 6,99€ sur boutique en ligne du Petit Futé
MH

Vallée de la Cèze

Les salariés et le vendredi au travail : c’est déjà le week-end ?

Avec le premier grand pont de l’année, Blablacar a vu son activité doubler ces derniers jours. L’application française de covoiturage présente dans 22 pays grâce à une communauté de plus de 90 millions d’utilisateurs prévoit que cette tendance continue de s’accélérer pour atteindre 15 000 voyageurs en bus ou en covoiturage à destination de la Provence-Alpes-Côte d’Azur durant ce week-end de l’Ascension.

Avignon, 4e destination de la région
Les destinations les plus demandées sont Marseille, Toulon, Nice et Avignon. Ce top 10 régional est ensuite complété par Aix-en-Provence, Antibes, Hyères, La Ciotat, Fréjus et Grans.
Pour la région Occitanie, Blablacar estime que 25 000 voyageurs sont attendus lors de ce week-end. Les villes les plus recherchées étant Toulouse, Montpellier, Perpignan et Nîmes.
Au total, 150 000 voyageurs sont attendus en France durant le seul week-end de l’Ascension 2021. Ces prévisions de la plateforme dépassent celles du week-end de grands départs de Noël 2020, qui fait traditionnellement partie des plus fréquentés de l’année.
Une fréquentation qui devrait être renforcée par le redémarrage des lignes de bus ‘low cost’ de Blablacar, de nouveau en service à partir d’aujourd’hui.

Blablacar, c’est aussi un réseau de bus proposant plus de 100 destinations françaises.

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