21 novembre 2024 |

Ecrit par le 21 novembre 2024

Journée internationale contre les violences faites aux femmes

Dans le cadre de la Journée internationale de la lutte contre les violences faites aux femmes, la ligue des Droits de l’homme en partenariat avec la Ville d’Avignon organisent une conférence-débat ‘Les violences sexuelles en temps de guerre’ par Fabrice Virgili, historien et directeur de recherche au CNRS-Sirice.

Pourquoi des violences sexuelles en temps de guerre ?
Lors des différents conflits du XXIe les violences sexuelles sont régulièrement dénoncées et renseignées. Une perspective historique permet de mettre en avant les différences d’un conflit à l’autre mais aussi de mieux comprendre les sociétés en guerre mais aussi en temps de paix et peut être réfléchir aux conditions de leur élimination.

Les infos pratiques
Jeudi 21 novembre 2024. 18h30. Salle de l’Antichambre. Hôtel de Ville. Place de l’Horloge. Avignon. Tout le programme autour de la Journée internationale de Lutte contre les violences faites aux femmes du 25 novembre 2024 se déroulera également jeudi 21, vendredi 22, samedi 23, lundi 25, jeudi 28, ici.
MMH


Journée internationale contre les violences faites aux femmes

Ce samedi 9 novembre, l’association mazanaise Isofaculté organise une rencontre-débat autour des violences faites aux femmes au Lucky Horse Ranch en hommage à celle qui est devenue le symbole français de lutte contre les violences sexuelles, Gisèle Pélicot.

Un mois après la marche blanche de solidarité à Mazan, l’association Isofaculté, spécialisée dans l’accompagnement et la reconstruction des publics vulnérables par la médiation équine, organise une série de rendez-vous solidaires en soutien à Gisèle Pélicot et à toutes les victimes de violences dans le Vaucluse. Parmi ces rendez-vous, l’association vous attend ce samedi pour une rencontre-débat solidaire autour des violences faites aux femmes.

L’événement, qui aura lieu centre d’équihomologie de l’association, sera rythmé par quatre temps forts : des présentations projections de vidéos et lectures, des témoignages de femmes en reconstruction, un débat ouvert avec le public, ainsi qu’une cérémonie collective de dépôt de fleurs.

Inscription au 07 62 59 61 78 ou par mail à l’adresse info@isofaculte.fr
Samedi 9 novembre. 16h. Lucky Horse Ranch. Espace Mercadier. 1775 chemin d’Aubignan. Mazan.


Journée internationale contre les violences faites aux femmes

« Faut-il y être ? Pourquoi y aller ? Informations ? Voyeurisme ? Soutien ? La question s’est posée pour beaucoup d’entre nous qui nous rendons aux audiences. » Retour sur ce procès hors-normes avec Michèle Périn, correspondante de L’Echo du mardi et militante féministe locale engagée.

Femmes, hommes, jeunes, vieux, étudiants en droit ou en journalisme, de tous les milieux sociaux : tous les jours depuis le 2 septembre – date d’ouverture du procès au Palais de justice d’Avignon – la queue se forme dès 7h du matin pour pouvoir entrer dans la petite salle d’audience qui ne peut accueillir malheureusement qu’une soixantaine de personnes. Un temps d’attente de plus d’une heure avant l’ouverture des portes où les langues se délient : « on est là pour soutenir Gisèle », «  je suis là car je fais des études de droit », «  je veux comprendre », «  le débat m’intéresse » «  ça me touche dans mon histoire personnelle » …..

Voyeurisme ? Non ce n’est pas du voyeurisme que d’assister à ce procès
Au sens strict du terme ‘le voyeur’ n’interagit pas directement avec son sujet, celui-ci ignorant souvent qu’il est observé. Or Gisèle Pelicot elle-même a demandé un procès public. Il serait difficile à admettre d’être accusé de voyeurisme en assistant au procès, c’est-à-dire d’être accusé du même délit pour lequel a été arrêté son ex-mari Dominique Pelicot dans un premier temps- avoir filmé une femme à son insu dans une cabine d’essayage du centre commercial Leclerc de Carpentras – ce qui a été à l’origine de l’ enquête et de la découverte des viols subis par Gisèle Pelicot par 50 hommes (identifiés) à son insu et organisés par son mari Dominique Pelicot pendant près de 10 ans. Ce que l’on appelle communément dans la presse -à tort- les viols de Mazan.

« Il n’y a pas de jury populaire. »

Cour d’assise ? Ce n’est pas une cour d’assise
Aussi étonnant que cela puisse paraître, ce n’est pas une cour d’assise qui juge mais une cour criminelle. La différence ? Il n’y a pas de jury populaire. La cour criminelle, qui a été généralisée sur tout le territoire français depuis janvier 2023 est composée uniquement de magistrats professionnels, sans jury populaire. Pas d’effets de manches, « d’objections votre honneur ! » à la mode série américaines, il ne s’agit pas de convaincre un jury populaire. Moins de passion peut-être mais tout autant d’émotions. D’où l’intérêt de rendre ce procès public et d’y assister en tant que citoyens et citoyennes.

Gisèle Pelicot, un courage qui force le respect
« Il faut que la honte change de camp » a-t-elle dit dès le début, en refusant le huis clos et en demandant que les vidéos de ses viols soient montrées. Elle prouve sa détermination en traversant le hall du Palais de justice d’Avignon 4 fois par jour (les audiences s’arrêtent entre midi et deux) dignement. Et nous, nous sommes là pour la soutenir quatre fois par jour en l’applaudissant. Elle nous répond par un hochement de tête, humblement, la main sur le cœur. Quand elle en a la force, elle s’adresse aussi à nous pour nous remercier d’être là.

« Les silences prennent alors toute leur importance. »

Voir ? Non surtout entendre au-delà de l’entendement
Nous sommes, nous le public, dans la salle de retransmission et nous avons face à nous un écran avec une image filmée par une caméra fixe (nous ne sommes pas au cinéma !) donc nous voyons uniquement ce qui est cadré par un plan fixe serré, c’est-à-dire face à nous le président et les magistrats, et les accusés ou témoins de dos qui viennent à la barre pour déposer. Nous voyons et entendons les questions posées par le Président ou les avocats mais nous ne voyons pas toujours les réponses, nous les entendons, Est ce gênant ? Non, les mots et les silences prennent alors toute leur importance et les réponses glaçantes des accusés, leurs dénis achèvent de nous convaincre de l’horreur des faits. Entendre au-delà de l’entendement comment ces hommes ont pu en arriver là.

« C’est le procès des violences faites aux femmes. »

Procès de Mazan ? Ce n’est pas le procès de Mazan
Effectivement c’est un raccourci qui donnerait à penser que tous les accusés sont de Mazan, que ‘l’affaire’ est circonscrite à un territoire. Il faut dire les choses : c’est le procès de plus de 50 hommes, venant de toutes origines. Ils ont un nom, la victime a un nom et les faits doivent être nommés : viol. C’est le procès des violences faites aux femmes, le procès du patriarcat mais dire le procès de Mazan serait réducteur et un affront pour toutes les femmes victimes.

Fait divers ? Ce n’est pas un fait divers
Tant que l’on traitera le viol comme un fait divers parmi d’autres, un délit et non un crime c’est-à-dire un ‘événement tragique’ subi par un individu on s’interdit de le penser en fait de société. La presse nationale et internationale s’est emparée du procès Pelicot pour un procès hors norme (il est rare d’avoir des preuves de viol et d’avoir plus de 50 accusés à la barre en même temps pour une même victime) mais il ne devient pas encore un fait de société ou un fait politique. Peu de réactions politiques, syndicales, à part quelques associations, initiatives féministes ou prises de paroles individuelles publiques. Il reste cependant encore 2 mois d’audiences- le procès devant se terminer le 20 décembre – pour qu’il le devienne pleinement. Et que les questions qu’il soulève trouvent des réponses législatives et juridiques et contribuent à changer les mentalités.

« Trouver des réponses législatives et juridiques qui contribuent à changer les mentalités. »

Un débat qui commence enfin…
Le combat de Gisèle Pelicot dépasse désormais son cas personnel et à travers ce procès hors norme et historique la question du consentement, du patriarcat, de la soumission chimique, du fantasme de la femme-morte, du tabou du viol conjugal commence enfin à émerger dans les sphères familiales et dans le débat public.
La publicité des débats, le refus du huis clos et notre présence aux audiences se justifient alors pleinement.


Journée internationale contre les violences faites aux femmes

L’association Soroptimist propose de regarder un long métrage : ‘Terre des hommes’, l’histoire de Constance, éleveuse. Le film sera suivi d’un débat réunissant six intervenants qui échangeront sur les métiers dits masculins et le harcèlement.

La terre des hommes
Le synopsis ? Constance est fille d’agriculteur. Avec son fiancé, elle veut reprendre l’exploitation de son père et la sauver de la faillite. Pour cela, il faut s’agrandir, investir et s’imposer face aux grands exploitants qui se partagent la terre et le pouvoir. Battante, Constance obtient le soutien de l’un d’eux. Influent et charismatique, Sylvain, l’influent président du syndicat des agriculteurs tient leur avenir entre ses mains. Mais quand il impose son désir au milieu des négociations, Constance doit faire face à cette nouvelle violence.

Extrait
«Tu connais notre situation ? La ferme de mon père va être saisie. On voudrait la reprendre avec Bruno mais pour cela nous avons besoin d’aide. » « Tu vas où ? Bosser ! » « Qu’est-ce qui se passe ? » « Liquidation judiciaire ! » « Cette terre c’est chez moi, elle ne sortira pas de la famille. » « Allez barre-toi maintenant ! » « Tu vas me tirer dessus ? » « Tu montes un dossier solide et si tu me l’envoie je veux bien le regarder. » « C’est vrai, tu serais d’accord ? » « Sylvain m’a dit beaucoup de bien de vous, vous pourrez compter sur mon soutien. » « Merci. » « De rien, tu le mérites… » « Ce sera votre parole conter la sienne. Vos proches seront interrogés. Ca va durer longtemps. » « Je ne sais pas à quoi ça sert de se battre si tout le monde est contre nous. »  

Les invités
Le débat, animé par Sandra Vich fera intervenir une avocate Saïma Rasoul ; une technicienne des essais en vol de la base aérienne d’Istres Marie-Hélène Clausse ; Une conductrice de travaux intervenant sur le chantier du palais des papes Carole Sanchez ; la directrice du Geiq BTP84 Christelle Gougelin ; Une viticultrice Isabelle Sabon –Domaine de la Janasse- de l’association Femmes vigneronnes et un psychologue de la médecine du travail –AIST 84- Jean-Philippe Matz. Le thème ? La place de la femme dans un monde d’hommes et le harcèlement subi par celles-ci.

Les infos pratiques
Soirée cinéma + table ronde ce vendredi 2 décembre à partir de 18h30. Cinéma Le Vox. 22, place de l’Horloge à Avignon. Le Soroptimist international Avignon dont l’Adn est de comprendre, défendre et entreprendre est investi depuis de nombreuses années dans la lutte contre toutes les formes de violence faites aux femmes et aux filles. En participant à la soirée vous soutenez cette cause. Un pot sera offert à l’issue de la soirée. La participation est de 20€ et la réservation se fait auprès de Michèle Michelotte, Soroptimist, au 06 14 32 80 21 ou ici.

En savoir plus
Créé en 1921, le Soroptimist International (SI) est une organisation mondiale de femmes engagées dans la vie professionnelle et sociale, qui œuvrent à promouvoir les droits humains pour tous, le statut et la condition de la femme, l’éducation, l’égalité, le développement et la paix. Le SI a le statut d’Organisation Non Gouvernementale (ONG) et se veut être «une voix universelle pour les femmes». A ce titre, nous disposons de représentantes au Conseil de l’Europe et dans chacun des principaux centres de l’Organisation des Nations Unies (ONU). Pour en savoir plus, consultez le site Soroptimist International d’Europe

Les programmes d’actions
Education, Autonomie financière, Lutte contre la violence à l’égard des femmes, Santé et sécurité alimentaire et le Développement durable.

Les actions
Des bourses pour des jeunes femmes ou femmes en reconversion, dans différents domaines, des salons Talents de femmes pour valoriser des artistes, des conférences et débats pour sensibiliser aux questions de l’éducation à l’égalité des genres, de la place des femmes dans le monde du travail, de la prévention des maladies féminines…
Les moyens d’actions ? Des manifestations payantes qui permettent de financer ces projets. 


Journée internationale contre les violences faites aux femmes

Du 25 au 10 décembre, Soroptimist International Avignon participe à la campagne d’information et de prévention des violences à l’égard des femmes, « Oranger le monde ». A cette occasion, une soirée cinéma suivie d’une table ronde est organisée, le vendredi 2 décembre, au cinéma Le Vox d’Avignon avec la projection du film « La Terre des hommes ».

Comme chaque année depuis 9 ans, le Soroptimist International Avignon participe à la quinzaine d’activisme de lutte contre toutes les formes de violences envers les femmes, « Oranger le monde », du 25 novembre au 10 décembre. Pendant 15 jours, les Soroptimist du monde entier vont « oranger » leurs villes, faire éclairer les monuments, mener des actions de sensibilisation, collecter de l’argent pour mener d’autres actions de prévention de la violence à l’égard des femmes. La ville d’Avignon éclaira notamment le pont Saint-Bénézet ainsi qu’une partie des remparts, comme cela se fait notamment pour octobre rose.

Cette année, en plus de ces actions, le SI Avignon organise une soirée cinéma suivie d’une table ronde, animée par Sandra Vich, le vendredi 2 décembre à partir de 18h30 au cinéma Le Vox, place de l’Horloge, Avignon. Le public assistera à la projection du film « La Terres des hommes », de Naël Marandin. A la suite de la projection, six intervenants échangeront et partageront leurs points de vue sur certains des sujets évoqués dans le film et notamment les métiers masculins occupés par des femmes et le harcèlement.

« La Terre des hommes » de Naël Marandin avec Diane Rouxel, Finnegan Oldfield, Jalil Lespert et Olivier Gourmet.

Programme de la soirée 

  • Accueil à partir de 18h30
  • Film à 19h
  • Table ronde à 20h50
  • Moment de convivialité autour d’un verre vers 22h15
  • Fin de soirée à 23h

Les bénéfices de la soirée seront reversés à Adaikalam pour « la Maison d’Agathe » orphelinat pour fillettes à Pondichéry.

Projection de « La Terre des hommes », le vendredi 2 décembre au Vox, Avignon. Réservation et paiement en ligne ou par téléphone : 06 14 32 80 21.

J.R.


Journée internationale contre les violences faites aux femmes

Dans le cadre de la Journée Internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes, qui aura lieu ce vendredi 25 novembre, E.Leclerc éditera pendant tout le mois de novembre sur ses tickets de caisse les coordonnées à contacter pour les témoins ou victimes de violences conjugales. Une contribution d’E.Leclerc à la lutte contre les violences faites aux femmes initiée pendant les périodes de confinement.

En avril 2020, lors du premier confinement dû à l’épidémie de Covid-19, Marlène Schiappa, alors secrétaire d’Etat chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les discriminations, avait appelé les structures ouvertes au public à venir en aide aux femmes victimes de violences conjugales.

Cet appel avait été entendu par des magasins E.Leclerc, qui avaient organisé des permanences associatives, des points d’accueil ou encore la diffusion de messages d’information, en avril, puis en novembre lors du deuxième confinement lié au Covid-19.

A l’occasion de la Journée Internationale pour l’élimination de la violence faite aux femmes, qui aura lieu ce vendredi 25 novembre, E.Leclerc souhaite à nouveau apporter son soutien à cette lutte essentielle.

Pendant tout le mois de novembre, les tickets de caisse mis à disposition des clients afficheront les coordonnées à contacter pour signaler une violence : 3919. Chaque mois, près de 64 millions de passages en caisse sont constatés dans les 734 magasins de l’enseigne, partout en France.

J.R.


Journée internationale contre les violences faites aux femmes

‘Mots et maux de femmes’, l’exposition photographique des violences faites aux femmes est visible sur les grilles du tribunal judiciaire d’Avignon jusqu’au vendredi 10 décembre. Placée sous le haut patronage du président de la République Emmanuel Macron, cette ‘expographie’ itinérante dans l’Hexagone est née de l’envie d’un couple désireux de se mobiliser en faveur des femmes victimes de violence. L’une travaille dans le secteur social, l’autre à l’expérience de la communication et de la conduite de projet. Ce sont aussi des parents conscients que la lutte contre les violences intra familiales doit faire partie intégrante de l’éducation.
Bénéficiant du soutien de plus de 300 femmes célèbres, ‘Mots et maux de femmes’ présente 24 clichés illustrant les violences faites aux femmes. Ces photos, accrochées autour de l’enceinte du palais de justice de la cité des papes situés 2 boulevard Limbert, ont été notamment dévoilée en présence de Ghani Bouguerra, président du tribunal judiciaire d’Avignon et président du CDAD (Conseil départemental d’accès au droit) de Vaucluse, Stanislas Vallat, procureur de la République et adjoint du tribunal judiciaire d’Avignon, Stéphane Carchon-Veyrier, coordinateur pour le collectif ‘Mots et maux de femmes’ ainsi que Souad Zitouni, députée de Vaucluse et Cécile Helle, maire d’Avignon.


Journée internationale contre les violences faites aux femmes

Les Voix Solidaires viennent, pour la première fois, à l’Opéra Grand Avignon. Elles proposent un concert exceptionnel rassemblant des artistes lyriques français unis contre les violences faites aux femmes. Le concert lyrique et solidaire sera donné ce mardi 1er juin à 19h à l’Opéra Grand Avignon Confluence, pour entre 10 à 25€. La recette sera intégralement reversée aux associations accompagnant les femmes en difficulté.

Des artistes de renom

Mezzo, soprano, Ténors, barytos, plus de 40 artistes donneront de la voix et du cœur pour soutenir deux associations vauclusiennes luttant, aidant et protégeant les femmes victimes de violences. Ce gala d’opéra d’exception présentera les plus belles pages de l’Opéra : Don Giovanni, La Flûte Enchantée, Il Trovatore, Carmen, La Bohème et bien d’autres surprises !

La recette du concert intégralement reversée

La recette du concert ‘Les voix solidaires’ sera reversée intégralement aux associations : Rheso (Accueil de femmes victimes de violences conjugales, aide à l’insertion par le logement) et Amav. Rhéso est une association vauclusienne qui accompagne des personnes en situation d’isolement ou de fragilité sociale, économique et de santé, ayant besoin d’un accompagnement ponctuel ou dans la durée . 04 90 60 36 84 contact@rheso.fr /www.rheso.org . Quant à elle, l’association de Médiation et d’Aide aux Victimes (Amav)  accueille, écoute, informe et accompagne les victimes d’actes de délinquance.  04 90 86 15 30. amav84@wanadoo.fr www.amav-avignon.fr/
Mardi 1er juin. 19h. 10 à 25€ et plus. Opéra Grand Avignon. Confluence. 1, place de l’Europe. Face à la gare TGV. 04 90 14 26 40. www.operagrandavignon.fr

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