Villeneuve-lès-Avignon, battue de sangliers ce samedi 11 mars de 6h à 11h
La société de chasse La Rassade procédera à une battue de sanglier, à Villeneuve-lès-Avignon, sur un terrain situé plaine de l’Abbaye à proximité du chemin des Castors (parcours santé), chemin de la Saboye, chemin de la Seigneurette, chemin de Bourbon, chemin de la Grande Bastide, chemin de Labadier, chemin Saint-Honoré à proximité du camping et de la piscine, ainsi que sur le secteur du golf ce samedi 11 mars de 6h à 11h.
Dispositifs de sécurité Il est donc recommandé aux habitants et aux riverains de prendre toutes les précautions nécessaires et de se conformer strictement aux dispositifs de sécurité qui seront mis en place sous la responsabilité de la société de chasse. cette opération vise à réguler la population des sangliers sur la commune de Villeneuve-lès-Avignon.
Stationnement & circulation Le stationnement et la circulation seront interdits sur chemin des Castors, chemin de la Savoye, chemin de la seigneurette, chemin de Bourbon, chemin de la Grandre Bastide, chemin Labadier et chemin Saint-Honoré , le samedi 11 mars 2023 de 6h à 11h. Un barriérage sera mis en place sur tous les accès. L’accès aux piétons sera interdit sur la zone de chasse. MH
Villeneuve-lès-Avignon, battue de sangliers ce samedi 11 mars de 6h à 11h
En janvier dernier, l’Ademe, la Région Occitanie Pyrénées-Méditerranée et EDF ont décidé d’étendre le programme ‘Flexitanie’ grâce à la nouvelle technologie de recharge intelligente V1G, qui permet de recharger sa voiture grâce au soleil et au vent d’Occitanie.
La commune de Villeneuve-lès-Avignon avait déjà servi de ville pilote pour ce programme qui ne proposait jusqu’alors la technologie V2G, qui permet de réalimenter un bâtiment, un quartier ou le système électrique grâce à l’énergie accumulée dans les batteries des véhicules électriques. 8 bornes V2G avaient été installées il y a 2 ans. Aujourd’hui, la Région Occitanie en compte 30 et représente donc la première région de France en termes de déploiement V2G.
Maintenant, le programme ‘Flexitanie’ s’étend à la technologie V1G, qui permet de recharger sa voiture grâce aux énergies renouvelables. L’objectif de la Région est de déployer une centaine de bornes. Les premières ont donc été installées à Villeneuve-lès-Avignon. Elles devraient générer jusqu’à jusqu’à 20% d’économies sur la facture. « À l’horizon 2050, les technologies testées à Villeneuve-lès-Avignon, pourront équiper 40% du parc de véhicules en V1G et 20% en V2G, cela représentera une capacité de stockage équivalente à 10 tranches de centrale nucléaire, explique Sylvain Vidal, directeur Action Régionale Occitanie Groupe EDF. Le projet Flexitanie répond parfaitement à l’ambition de préparer la Région Occitanie à utiliser 100% des énergies renouvelables disponibles localement. »
V.A.
Villeneuve-lès-Avignon, battue de sangliers ce samedi 11 mars de 6h à 11h
Samedi 3 décembre, l’ensemble des 560m2 de toitures et l’imposante charpente du palais abbatial de l’abbaye Saint-André ont été inaugurés en présence d’une grande partie des donateurs. Le chantier aérien aura duré plus de huit mois et s’est achevé l’été dernier.
Les salons à voûtes plates et le hall d’entrée de l’abbaye sont désormais hors de danger et le palais abbatial, qui date de la fin du XVIIe, a retrouvé une étanchéité sans faille. Le projet de restauration, d’un montant de près de 500 000 €, a pu être mené grâce à un fort engagement des institutionnels : de la Drac Occitanie et de la région Occitanie ainsi que de la mairie de Villeneuve-lez-Avignon, mais aussi d’une large communauté d’une centaine de mécènes en grande partie de la région, à commencer par l’entreprise mécène Emile Garcin Propriétés en tant que « Grand Bâtisseur ». Une campagne de mécénat conduite en partenariat avec la Fondation du Patrimoine, auprès des amis de l’abbaye et des entreprises du territoire qui ont répondu présent. Selon un vaste programme de restaurations, l’abbaye souhaite poursuivre les chantiers afin de continuer d’accueillir ses visiteurs amateurs d’art, de jardin et de patrimoine.
Un budget de 499 000 euros 61% partenaires institutionnels (304,2 K€)
49% Drac Occitanie 248 K€
10% Région Occitanie 48 K€
2% Mairie de Villeneuve-lez-Avignon 8,2 K€
14% mécénat (71 K€)
6,5% campagne de mécénat particuliers/TPE Fondation du Patrimoine 34 K€
4,5% Emile Garcin Propriétés 22 K€
3% Fondation du Patrimoine 15 K€ (don direct de l’organisme)
25% abbaye Saint André (123,8 K€)
111 donateurs particuliers et TPE
1 « Grand Bienfaiteur »
12 « Bienfaiteurs »
6 « Grands mécènes »
22 « Mécènes »
39 « Compagnons »
21 « Membres »
10 Dons inférieurs à 50 €
Montant collecté : 34 235 €
Don moyen : 308 €
Une majorité de donateurs gardois
Mécénat Emile Garcin Propriétés, un partenariat privilégié depuis 2018 Première entreprise mécène mobilisée, Emile Garcin Propriétés conclut cette campagne, en tant que « Grand-Bâtisseur ». L’entreprise familiale renouvelle sa participation à une campagne dédiée à l’abbaye Saint-André et affirme son engagement en signant un partenariat de 22 000 euros. « Un partenariat dans la durée qui fait de cette entreprise un précieux ambassadeur pour l’abbaye Saint-André et tisse des liens de confiance avec une famille très engagée dans le patrimoine régional » explique Marie Viennet, gestionnaire de l’abbaye.
Abbaye Saint-André – rue Montée du Fort – Villeneuve-lez-Avignon.
J.R.
Villeneuve-lès-Avignon, battue de sangliers ce samedi 11 mars de 6h à 11h
Les villes du Grand Avignon vous proposent un programme festif et magique autour des animations de Noël. Ateliers, parades, spectacles… il y en a pour tous les goûts.
Mercredi 14 décembre Caumont-sur-Durance : ateliers créatifs de Noël A quelques jours de Noël, la bibliothèque Pierre Vouland vous invite à participer à un atelier créatif animé par Nancy Saura. Découpage, collage, créativité sont les maîtres mots pour entrer sereinement dans la magie de Noël. A partir de 6 ans. 10h-12h30 et 15h-17h30. Bibliothèque Pierre Vouland, place du 8 mai 1945. Gratuit sur inscription au 04 90 25 21 07.
Rochefort-du-Gard : ateliers créatifs Fabrication de décorations de Noël. A partir de 7 ans. 9h15-12h. Bibliothèque municipale, rue du Lavoir. Réservation au 04 90 26 13 75.
Sauveterre Grande journée de Noël Programme de la journée : animations par Totout’Arts, animations Kapla avec Kasajeux (5€), petit marché, vin chaud devant le parvis du Pôle, concert du Noël à partir de 17h30. A partir de 10h. Pôle Culturel Jean Ferrat. Réservation conseillée au 04 66 33 20 12.
Atelier créatif : masque magie des contes Confection de masques pour les fêtes. De 3 à 10 ans. 9h30 pour les 3-6 ans et 10h30 pour les 6-10 ans. Pôle Culturel Jean Ferrat. Tarif unique 3€. Réservation au 04 66 33 20 12.
Vedène : visite du Père Noël Visite du père Noël et de sa mascotte en déambulation dans le centre-ville. Rendez-vous à 16h30 à l’espace du Lavoir ou place du Petit Pont. Dès 14h30. Centre-ville.
Vendredi 16 décembre Rochefort-du-Gard : esprit de Noël Festivités autour de Noël. Manège gratuit, chalets et buvette assurée par le comité des fêtes. Du 16 au 18 décembre. Place de la République & Castellas.
Samedi 17 décembre Roquemaure : création de bougie de Noël Venez participer à cet atelier DIY de 30 minutes pour vous initier à la fabrication d’une bougie parfumée pour Noël. A partir de 6 ans. 10h-10h30. Bureau de Roquemaure, 2 rue de la Liberté.
Villeneuve-lez-Avignon Ateliers créatifs Deux ateliers sont proposés : « un bonhomme de neige » pour les 5-11 ans et « Rodolphe le renne au nez rouge » pour les 6-12 ans. 10h30-17h. Salles des conférences.
Atelier poterie et végétation En attendant l’arrivée du père Noël, laissez place à votre imagination pour réaliser votre propre décoration en argile. A partir de 5 ans. 10h et 14h. 4 place Victor Basch. Tarif unique 15€. Inscription au 09 83 96 14 37.
Dimanche 18 décembre Les Angles : chantez Noël Concert proposé par la chorale Les Voix La. Chef de chœur : Aline Vrignaud, accompagnée au piano par Francis Squire. 16h30. Eglise. Tarif unique 8€.
Pujaut : le fabuleux Noël de petit Paul La mairie du Pujaut vous propose ce spectacle pour jeune public. 16h. Salle Polyvalente. Adulte 10€, enfant 8€, gratuit pour les moins de 12 ans. Réservation au 04 90 26 40 20.
Mardi 20 décembre Rochefort-du-Gard : atelier philo de Noël Atelier philo de Noël, avec Isabelle Rondeau. Atelier enfant à partir de 7 ans. 10h-11h30. Bibliothèque municipale. Réservation au 04 90 26 13 75.
Villeneuve-lez-Avignon : atelier fabrication de couronne végétale Envie de réaliser votre propre décoration de Noël ? les petites Zécolos vous proposent de fabriquer votre propre couronne végétale pour décorer la maison. 10h et 15h. 4 place Victor Basch. Tarif unique 10€. Inscription au 09 83 96 14 37.
Mercredi 21 décembre Roquemaure : création d’une bougie de Noël Venez participer à cet atelier DIY de 30 minutes pour vous initier à la fabriquer d’une bougie parfumée pour Noël. A partir de 6 ans. 14h30-15h. Bureau de Roquemaure, 2 rue de la Liberté.
Vedène : visite du père Noël Visite du père Noël et de sa mascotte en déambulation dans le centre-ville. Rendez-vous à 16h30 à l’espace du Lavoir ou place du Petit Pont. Dès 14h30. Centre-ville.
Villeneuve-lez-Avignon Parade des lutins et lâché de lutins Venez danser et déambuler sur les plus beaux et entrainants airs de Noël interprétés par le Quality Street Band, accompagné par 2 lutins géants. 17h. Centre-ville.
Grande chasse au trésor « Quentin le lutin » Animation qui mêle spectacle et course au trésor dans le centre historique. Dès 6 ans. 15h et 17h. Centre-ville, départ parking Chartreuse.
Jeudi 22 décembre Villeneuve-lez-Avignon : atelier création de cartes vœux En attendant l’arrivée du père Noël, venez créer trois cartes de vœux à l’aquarelle. A partir de 5 ans. 10h-12h et 14h-16h. 4 place Victor Basch. Tarif unique 15€. Inscription au 09 83 96 14 37.
Vedène : visite de la crèche Durant les fêtes, venez découvrir la crèche de Noël à l’église St Thomas ainsi que les décorations réalisées par les enfants des écoles de la ville. A découvrir Impasse Camille Claudel. Du 22 décembre 2022 au 1er janvier 2023. Eglise Saint-Thomas. Entrée libre.
Villeneuve-lès-Avignon, battue de sangliers ce samedi 11 mars de 6h à 11h
Le plus ancien Moulin à huile d’olive du Gard Rhôdanien se pare de rouge, vert, or et blanc aux couleurs du Père Noël, des sapins, des guirlandes lumineuses et de flocons de neige les 14, 17 et 18 décembre prochains. Au menu, pour les enfants, promenades en poneys, ateliers de déco de cartes de voeux, de photophores, de couronnes végétales et de suspensions étoilées.
Côté cuisine, confection de « pop cakes » et de « biscuits décorés » avec Mathieu Roger. C’est le nouveau chef-pâtissier du restaurant, arrivé en septembre qui, en plus de macarons aux fruits rouges, des mendiants en pâte d’amande qui recouvre une datte, l’un des 13 desserts provençaux, des millefeuilles, des éclairs au chocolat et au café, de tartes au citron meringuées propose ses bûches de Noël. D’abord une création, « Carlotta » (mousse de noix de pécan, biscuit aux amandes, compotée de Granny Smith), ensuite une « Forêt noire » au chocolat…blanc (avec une mousse stracciatella au mascarpone, crème Chantilly et des griottes confites) et enfin une composition noisettes-agrumes avec crème glacée aux marrons et à la vanille.
« Je suis dans la tradition, la simplicité, l’extravagance n’est pas mon fort » confie-t-il. Il n’est pas fan du tout d’émissions de TV comme « Le meilleur pâtissier. « Le patron m’a demandé de faire des bûches aux marrons, c’est incontournable, c’est cassique! ». Avec ses 2 collaborateurs en pâtisserie, (Harmony et Antonin), il confectionne aussi des truffes au chocolat, des pâtes de fruits confits, des brioches feuilletées, des caramels mous, des tablettes de chocolat artisanal.
Le moulin à huile de la Chartreuse de Villeneuve est la fierté de la Maison Bronzini : il date de 1358 (époque du Pape Innocent VI) et perpétue un savoir-faire multicentenaire qui lui a valu plusieurs médailles d’or au Salon de l’Agriculture à Paris en 2011, 2013 et 2016.. Forts de ces succès, le patron, Philippe Bronzini a d’ailleurs lancé en 2017 une ligne d’oléo-cosmétique, des soins puisant leur force dans l’olivier.
La Maison Bronzini, en plus de son restaurant, propose un bistro, une terrasse ombragée l’été, un espace-bar cosy et chaleureux, un coin boutique avec objets de décoration intérieure, produits d’épicerie fine, sélection de vins de Châteauneuf-du-Pape. Et vous pourrez, dès l’Epiphanie y découvrir les galettes des rois, à la frangipane comme aux fruits confits… Quant aux pompes à l’huile d’olive « Made in Provence », elles sont là et la magie de Noël opère déjà!
Villeneuve-lès-Avignon, battue de sangliers ce samedi 11 mars de 6h à 11h
Marion Nussbaumer, consultante en relation d’aide et management de The Medi-Art Program, solutions bien-être pour les particuliers, spécialiste du coaching et du management pour les dirigeants et les organisations a imaginé un partenariat inédit avec 20 professionnels pour offrir des cadeaux cocoon, gourmands, bien-être en cette période de fêtes jusqu’au 25 décembre. Chaque jour, après s’être inscrit sur la page facebook, LinkedIn ou Instagram, un tirage au sort désigne un gagnant.
En savoir plus «Après 15 ans dédiés à l’accompagnement des entrepreneurs et à la croissance du territoire, j’ai puisé dans mon expérience personnelle l’inspiration pour créer une offre de service unique visant à améliorer la qualité de vie des personnes, que ce soient des particuliers, des professionnels, des dirigeants. Ayant surmonté des épreuves, j’ai souhaité partager les ressources qui m’ont été utiles pour retrouver le chemin du bonheur et de l’épanouissement. J’ai donc imaginé The Medi-Art Program pour les particuliers, The Wonder Boss pour les dirigeants et The Creative Company pour les organisations et leurs salariés. En séance individuelle, je pratique avec beaucoup de bonheur, apportant ma qualité d’écoute, mon humour et ma propre créativité aux personnes qui souhaitent amorcer un changement dans leur vie, petit ou grand, professionnel ou personnel. En entreprise, j’apporte mon énergie et mon expertise du management et de l’entrepreneuriat, pour accompagner le progrès et la croissance.»
Les infos pratiques bonjour@marion-nussbaumer.com 06 38 84 20 74 12, rue du Compagnonnage aux Angles. Le catalogue d’ateliers et de formations ici. MH
Villeneuve-lès-Avignon, battue de sangliers ce samedi 11 mars de 6h à 11h
L’association Aloïs & moi propose à la vente de sacs, étoles, snoods, accessoires, entièrement tricotés et crochetés à la main par les bénévoles de l’association au profit des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer. Les bénéfices de la vente seront entièrement reversés à des organismes s’occupant de cette maladie.
«Nous avons beaucoup de nouveautés à vous proposer, « dans l’air de temps » car au crochet, avec les sacs Grany et bien d’autres accessoires, précise Anne Pujol Olivier, la présidente et fondatrice de l’association Aloïs & moi… Et pour les inconditionnels, un grand choix de nos écharpes et snoods iconiques, ainsi que de nombreux ponchos, mitaines, bonnets, … pour affronter l’hiver ! Le bénéfice intégral des ventes antérieures ont permis le voyage très joyeux de nombreux malades de la maladie d’Alzheimer et de leurs conjoints organisé par Lisa Junglas, responsable de « Alzheimer Ecoute » à Avignon ».
Les infos pratiques Aloïs & moi sera présent à la Maison Bronzini lors du goûter de ce samedi 26 novembre. Un autre événement se profilera, tout comme l’an dernier, 19 Boulevard Raspail à Avignon le Vendredi 9 Décembre de 11h à 18h. La journée se conclura par le tirage au sort de la tombola -10€ le ticket- qui avait déjà remporté un grand succès, et autour d’un verre. Maison Bronzini 72 Bis, Rue de la République, 30400 Villeneuve-lès-Avignon
Villeneuve-lès-Avignon, battue de sangliers ce samedi 11 mars de 6h à 11h
Tremblons et ayons peur ensemble, telle est l’injonction de cette 18e édition le Festival du polar. Il y aura bien sûr les classiques : dédicaces d’auteurs, nuits du Noir, conférences. Mais aussi – et c’est en cela que ce festival prend de l’importance et de la grandeur- la faculté de se renouveler, de trouver de nouvelles idées et partenaires. Bref, un festival qui a de l’avenir. Pour ses 18 ans, enfin libre et responsable, après avoir manié l’humour noir l’année dernière, il franchit le pas de l’angoisse pour nous proposer de trembler et d’avoir peur ensemble.
Un atelier philo s’interrogera sur «Faut-il avoir peur de nos peurs ? Samedi 12 novembre. 10h30. Médiathèque Saint-Pons. Des femmes autrices s’empareront de la discussion «La peur au quotidien : des femmes en premières lignes» Samedi 12.14h. Salle Gothique. La Chartreuse. 58, rue de la République à Villeneuve-lès-Avignon.
Polar au fil du Rhône sur le Mireio Peut-être que le tangage du Mireio, amarré côté Villeneuve-lès-Avignon, face à la Tour Philippe Le Bel, accentuera nos peurs. Dans tous les cas, quelle riche idée et quel beau partenariat avec Les Grands Bateaux de Provence que d’ajouter ce lieu qui symbolise à lui seul le lien entre Avignon et Villeneuve et invite à passer le pont. Il y aura des lectures avec la comédienne Laure Vallès dès le mercredi 9, une croisière nocturne le samedi 11, une excursion spéciale festival le 13. Si vous voulez profiter tranquillement du confort de ce bateau, on peut prévoir aussi de s’y caler dès 14h le vendredi 11 et d’y rester jusqu’à 21h. Durant ce temps, dédicaces, tables rondes et apéro swing. Programme complet et réservation sur La Compagnie des grands bateaux de Provence.
Une autre nouveauté, la découverte et la gratuité des monuments L’écrin de la Chartreuse de Villeneuve-lès-avignon participait déjà à la qualité et renommée de ce festival. Pendant ce long week-end la Tour Philippe Le Bel, exposition d’Art contemporain Onze pour trembler, et le musée Pierre de Luxembourg seront également ouverts et gratuits.
Sur l’écran noir de nos nuits blanches Cette année il y aura 3 soirées cinéma, dont une spéciale Stephen King avec les classiques Cujo et Misery : frissons assurés pour les plus de 12 ans. Une nouveauté : nos peurs traversent le Rhône, le cinéma Utopia d’Avignon participe également avec un documentaire thriller écologique de Luc Marescot. Comme tous les ans, les soirées seront présentées par Michel Flandrin spécialiste du genre. Jeudi 10 novembre. Spécial Stephen King. Vendredi 11 novembre. La loi de Téhéran puis Sicario. Samedi 12 novembre. Jusqu’à la garde. Identity. Premier film à 18h45. L’autre à 21h. Films en VO. Billetterie gratuite ouverte 30 minutes avant chaque film. Pas de réservation. Salle du Tinel. La Chartreuse de Villeneuve-lès-avignon. Rue de la République.
Auteurs présents sur le salon Les auteurs Sylvie Allouche, Jean-Luc Bizien, Christian Blanchard, Fabienne Blanchut, Dominique Delahaye, Sandrine Destombes, Sébastien Gendron, Marc Laine, Jérôme Leroy, Max Monnehay, Hugues Pagan, Piergiorgio Pulixi (Italie), Clémentine Thiebault, Valerio Varesi (Italie) et Gilles Vincent seront présents dès le vendredi 11 novembre de 14h à 17h sur le Mireio et les jours suivants à la Chartreuse.
Olivier Bordaçarre, Gwenaël Bulteau, Sylvia Cagninacci, Éric Fouassier,Hachin (BD), Iwan Lepingle (BD) Isao Moutte (BD Frédéric Paulin, Chantal Pelletier, Pierre Pouchairet, Claire Raphaël, Nathalie Sauvagnac, Elena Sender, Lilja Sugurdardottir (Islande), Ahmed Tiab, Franck Thilliez, seront présents le samedi 12 novembre de 10h à 12h30 et de 14h à 18h30 et le dimanche 13 novembre de 10h à 17h30 à la Chartreuse de Villeneuve.
Les infos pratiques Festival du polar.Du 9 au 13 novembre 2022. Dans divers lieux du centre-ville de Villeneuve-lès-Avignon. Des animations et rencontres auront également lieux dans certaines médiathèques et bibliothèques des alentours, partenaires du Festival. Programme complet sur le site du Festival www.polar- villeneuvelezavignon.fr
Villeneuve-lès-Avignon, battue de sangliers ce samedi 11 mars de 6h à 11h
Vous avez toujours rêvé de trouver votre place et de vous accomplir pleinement ? Anne-Marie Martin peut vous y aider. Elle est sophro-analyste spécialisée dans les mémoires prénatales, les constellations familiales et les soins énergétiques. Elle travaille à Villeneuve-lès-Avignon et Avignon deux ‘villages’ qui ont ravi son cœur. Voyage intérieur.
Cette ancienne attachée de presse parisienne a décidé de changer de vie professionnelle à quarante ans pour ‘donner plus de sens à sa vie’. Son cahier des charges ? Etre utile et voir le résultat. Et pour s’armer de nouvelles compétences Anne-Marie étudie les états modifiés de conscience et la sophro-analyse des mémoires prénatales. «Ce qui me touche ? C’est qu’à partir de l’état de conscience modifié (EMC, méditation, relaxation, visualisation…) on peut tout travailler, et particulièrement les traumatismes de l’enfance. On peut même revivre la gestation, lors de ces neuf mois où l’enfant vit en totale dépendance avec sa mère.»
Un exemple ? «Oui, une jeune femme qui a du mal à trouver sa place. En interrogeant sa vie il se trouve que sa maman ne la désirait pas et préférait attendre un garçon. Entre le début et six semaines de grossesse la maman perd du sang. Le médecin l’examine. Tout va bien le bébé est toujours là. Sauf qu’il se pourrait qu’un jumeau perdu, un garçon, ait été victime d’une fausse couche sans que personne ne s’en soit aperçu. Cela pourrait être le cas de 20% des grossesses. Le ressenti de cette jeune-femme ‘qui recherche sa place et ne la trouve pas’ pourrait être la conséquence de ce jumeau perdu. Et cet épisode de vie utérine induit, entre autres, une difficulté à trouver sa place, à s’engager dans une relation amoureuse par peur de trop souffrir.»
La maman qui n’arrive pas à aimer son enfant «Lorsque l’on n’est pas désiré par sa mère, l’enfant puis l’adulte que nous sommes reste en recherche de cet amour maternel qu’il quémandera toute sa vie, même inconsciemment. Mais à y bien regarder, et en enquêtant, on peut y voir un schéma répétitif de générations de femmes : mère, grand-mère, arrière-grand-mère ayant vécu des grossesses non désirées. Celle qui ne donne pas son amour en est empêchée pour diverses raisons, parfois restées elles aussi inconscientes. Beaucoup de faits, dans les familles se répètent. Pour y mettre fin ? Tout l’exercice consiste à mettre au jour ces raisons tues de générations en générations pour s’en libérer ainsi que les générations futures.»
Mettre au jour ce qui est tu «Le travail sur la mémoire prénatale met au jour des souvenirs, des pistes de réflexion qui se révèlent logiques, c’est un travail sur les mémoires cellulaires, sur son moi profond. » « Ce n’est pas compliqué de mettre des mots sur la mémoire d’un fœtus ? » « Non parce que grâce aux états de conscience modifiés, on ‘est’ dans le ventre de la mère. Plus l’on reste dans cette posture de foetus, plus le corps va ressentir d’émotions. Au client puis au thérapeute, ensuite, d’en faire la lecture.»
Ne risque-t-on pas de se raconter des histoires ? «Non parce qu’à partir du moment où tout éclot en séance, tout est juste. Et puis le thérapeute sait faire la part des choses entre le mental et le corporel. Egalement la personne qui vit ces traumatismes est réputée pouvoir les faire cesser. On appelle cela des loyautés ou fidélités familiales qu’il faut déceler pour y mettre un terme.»
Comment faire ? «En faisant dialoguer la personne avec sa mère, la lignée des femmes de sa famille. On peut aussi demander symboliquement à la grand-mère de soutenir sa fille. Le but de tout cela ? Réparer les liens car savoir ne suffit pas. Il faut repasser par un dialogue intérieur, des émotions. Finalement il s’agit d’une restructuration. Le puzzle se recompose, on délivre nos ancêtres, on se délivre soi et nos enfants.»
Et si l’on est incrédule ? «Si l’on ne fait rien, rien ne change mais ce travail peut tout changer. Pour les plus cartésiens ? Certains ne monteront pas toutes les marches mais celles qu’ils auront gravies, indéniablement, leur servira, et leur mode de fonctionnement s’en trouvera changé. On peut aller très loin et ouvrir beaucoup de champs ou n’en n’ouvrir qu’un. Ce qui compte ? C’est que ça bouge un peu.»
En avançant dans l’âge «Plus l’on avance en âge et plus les schémas sont répétitifs, comme durs, voire violents. Nous sommes donc tous là pour évoluer, grandir, apprendre et dépasser nos propres obstacles. Si l’on ne comprend pas nos freins ? On risque de voir se déployer des malaises (mal à l’aise), des maladies (le mal a dit), des deuils, des accidents. C’est malheureux à dire mais ce sont des leçons de vie qui se reproduisent en étant de plus en plus marquées, fortes… Il devient nécessaire de travailler sur soi. Le travail ? C’est conscientiser, nettoyer les émotions du passé, pardonner, trouver la paix avec sa propre histoire. Il n’est pas question de camoufler la poussière sous le tapis mais d’être dans l’acceptation et de poursuivre son chemin dans la sérénité.»
La vie intra-utérine «Pour moi la vie intra-utérine fait partie de la base, de l’éclosion de la personnalité. Travailler dessus permet de changer toute sa vie. Auparavant il faut traverser toutes les émotions : colère, culpabilité, tristesse, sentiment d’abandon, de rejet et accepter de s’ouvrir à la vie dans son quotidien.»
Les constellations familiales «Les constellations familiales c’est étudier le fonctionnement de son système, sa tribu familiale et son univers professionnel. Il n’y a pas vraiment de différence entre la tribu familiale et professionnelle car ce sont les mêmes situations qui se rejouent. On retrouve en entreprise ce que l’on a vécu dans sa sphère familiale. Les constellations servent notamment à travailler sur l’enracinement : se relier aux racines de la famille, du pays ; mais aussi à se libérer des injonctions et des loyautés familiales.»
La psycho-généalogie «Est-ce que je pratique la psycho-généalogie ? Non, mais je trouve que cela rejoint les constellations familiales. Je demande à mes clients de faire leur arbre généalogique : les arrière-grands-parents, grands-parents, frères et sœurs, les dates de naissance et de décès, les métiers, les fausses-couches, les enfants morts en bas-âge, les prisonniers, les morts, ceux qui ont fait la guerre, la 2e guerre mondiale, d’Indochine, d’Algérie, pour discerner les traumatismes que l’on porte. C’est important car on y retrouve le ‘pas le droit d’être heureux’, les interdictions culturelles… Ça me permet de déceler ce qui est à travailler, de comprendre ce qui est en souffrance dans la famille, ce que l’on peut porter sans le savoir.»
Dans le cas d’enfant adopté ? «Je travaille sur la famille biologique et adoptive. Pourquoi ? Parce qu’un lien mystérieux s’est déjà créé avec cet ‘enfant d’ailleurs’ qui a peut-être été ‘préconçu’ pour cette famille adoptive. On pourrait évoquer là des liens karmiques. Il est possible de faire revivre leur vie intra-utérine à des personnes qui n’ont plus jamais été en lien avec leur propre mère. C’est tout l’enjeu des dialogues de réparation par rapport au sentiment d’abandon. On soigne l’enfant intérieur qui n’est plus agissant en tant que souffrance : manque d’amour, d’attention, de présence ce qui résonne dans le champ de l’adulte. Tout ce qui est de l’ordre de la dépendance affective vient, à la base, de ce problème de détachement de la mère pour son enfant.»
On met beaucoup de choses sur le dos de la mère ! «C’est normal, c’est elle qui porte l’enfant durant neuf mois. Neuf mois essentiels ! » «Pourtant vous faites porter beaucoup de choses à la mère et très peu au père ? » « Le lien avec la maman sera toujours plus fort parce que vous avez été en elle durant neuf mois, au contact de ses émotions, de ses pensées, de son corps, c’est viscéral ! Le but n’est pas de culpabiliser les femmes. Contrairement à ce qu’on dit, je crois que les enfants choisissent leurs parents. Les mères font du mieux qu’elles peuvent, au jour le jour et on essaie de bosser sur soi histoire de nettoyer les placards.»
Travailler avec les femmes enceintes «Travaillez-vous avec les femmes enceintes ?» «Oui, particulièrement le lien mère-enfant. Il y a des femmes enceintes qui ont du mal à accepter cet enfant qui grandit dans leur ventre. Je peux les aider à améliorer ce lien avant que l’enfant ne naisse et même après la naissance. Les femmes enceintes sont, parfois, émotionnellement fragiles, comme débordées par leurs émotions. Elles ont peur pour le bébé, peur de pleurer, n’osent pas dire leur mal-être par crainte de ne pas être comprises. J’ai pu travailler avec elles parce qu’elles avaient été auparavant mes clientes et qu’elles me disaient sentir surgir des émotions jusqu’alors inconnues. Je leur répondais ‘travaillons cela ensemble’. Ça a été plein d’enseignements car effectivement, lorsque nous sommes enceintes, nous revivons ce que nous avons vécu avec notre propre mère. Il serait d’ailleurs très intéressant, même nécessaire, de travailler avec des sages-femmes car combien de mères n’arrivent pas à créer de lien avec leur enfant pendant la grossesse puis après l’accouchement et, horrifiées se taisent, effrayées elles-mêmes de ne rien ressentir et s’isolent d’autant plus qu’elles le cachent, alors qu’il suffirait de quelques séances pour tout apaiser.»
Echapper à l’acrimonie «Le travail sur soi ? C’est comprendre ce qui se joue, quelles sont les fidélités, les loyautés, les schémas répétitifs, ce que l’on porte pour papa ou maman. Les schémas dupliqués entre les salariés et le patron. Etes-vous à la bonne place par rapport au système ? L’objectif ? C’est remplacer les chaînes par des liens bienveillants tout en ne niant pas les faits. Un procédé consiste à prendre la posture de chaque personne de son entourage, comme ses parents, pour en ressentir l’énergie, on entre là dans l’inconscient familial, le champ morpho génétique. On reconstitue sa tribu dans la pièce, en les nommant, on les appelle, qu’ils soient vivants ou morts. Tous sont présents et cela permet aussi de rendre à nos ancêtres ou contemporains des choses trop lourdes à porter : émotions, croyances, dire ce qu’on n’a pas pu se dire… On vide son sac pour le transformer puis vivre en paix.»
Quand on vient chez vous on en prend pour combien ? «(Rires) Je propose des thérapies brèves, ce n’est pas de la psychanalyse. En général une dizaine de séances est nécessaire. En neuf mois on a fait le tour et si des ‘ressentis’, des ‘gênes’ apparaissent par la suite, elles seront traitées ponctuellement. Ensuite la vie change parce qu’on n’a plus les mêmes croyances et donc plus les mêmes comportements. Avec ce travail, on retrouve de l’estime de soi, on arrive à mieux parler en public, on prend sa place dans le monde. En quelques mots ? On ne se sabote plus la vie !»
Savoir qui l’on est «Trouver sa place dans sa famille et dans la société est un vrai sujet. A partir du moment où l’on sait qui l’on est et où l’on va, on s’autorise à être, à faire ce pourquoi nous sommes faits, à incarner sa vie. D’ailleurs les hommes y viennent. Ils représentent environ 20% de ma clientèle. Ils viennent pour résoudre des problèmes affectifs, trouver leur place. Le travail intérieur permet à la société d’évoluer. Les jeunes adultes âgés de 20 à 30 ans, sont très ouverts sur le monde et très conscients des enjeux qu’ils auront à relever.»
Ecouter et faire vivre son corps «Je préconise également d’entamer des changements plus globaux comme faire du sport, d’adopter une hygiène de vie, rencontrer ponctuellement d’autres thérapeutes : énergéticien, kinésiologie, ostéopathe car le corps s’exprime, nous fait découvrir de nouvelles parts de nous et nous indique où travailler –symbolisme du corps- Le corps est vecteur de découvertes.» anne-mariemartin.fr & Chaîne Youtube ici. Des séances, stages se déroulent aussi sur la péniche Althéa, île de la Barthelasse à, Chemin de l’Île Piot à Avignon.
Pour approcher le sujet : ‘Rôle des mémoires prénatales’ du docteur Claude Imbert. ‘La sophro-analyse des mémoires pré-natales de la naissance et de l’enfance’ de Christine Louveau, pharmacienne. ‘Petits et grands traumatismes de la vie intra-utérine ‘de Karine Hury.