Netflix a engrangé plus de 22 millions d’abonnés en 2024, du jamais vu depuis 2020
Grâce à la sortie réussie de plusieurs productions originales, au succès de son offre d’abonnement avec publicité lancé en 2022 et à la répression renforcée contre le partage des mots de passe, Netflix connaît sa meilleure année depuis 2020 en matière de croissance d’abonnés. En effet, le géant du streaming vidéo a engrangé 22,4 millions d’abonnés supplémentaires dans le monde au cours des neuf premiers mois de 2024, soit 37 % de plus que le niveau à la même période l’an dernier (16,4 millions de nouveaux abonnés entre janvier et septembre 2023). Après un premier semestre extrêmement solide (17,4 millions de nouveaux abonnés), Netflix a enregistré 5,1 millions d’abonnements supplémentaires de juillet à septembre, dépassant les prévisions qui tablaient sur 4,5 millions de nouveaux clients payants.
Au cours du troisième trimestre, le chiffre d’affaires de Netflix a augmenté de 15 % d’une année sur l’autre, principalement grâce à la croissance du nombre d’abonnés. Pour l’avenir, le service de vidéos à la demande s’attend à une croissance continue à deux chiffres de ses revenus. L’entreprise mise en effet sur la poursuite de l’élargissement de sa base d’utilisateurs et ambitionne d’accroître le revenu moyen par abonné, tout en développant son activité publicitaire encore naissante. La publicité « n’est pas encore un moteur de croissance important, mais elle devrait avoir une contribution plus significative en 2025 », a précisé le directeur financier de Netflix Spencer Neumann.
Au troisième trimestre, le nombre d’abonnés à la formule incluant de la publicité a bondi de 35 % par rapport au trimestre précédent. Dans l’ensemble, plus de la moitié des nouveaux abonnés dans les marchés éligibles ont choisi l’offre avec la publicité. « Nous sommes sur la bonne voie pour atteindre ce que nous pensons être le niveau critique d’abonnements avec pub pour les annonceurs dans tous les pays [où l’offre avec publicité est disponible] en 2025, créant ainsi une base solide à partir de laquelle nous pourrons continuer à augmenter nos clients publicitaires en 2026 et au-delà », a écrit l’entreprise dans une lettre aux actionnaires.
Vidéo à la demande : quels services dominent le marché ? Netflix et Disney+ figurent, avec Amazon Prime Video, parmi les services de streaming les plus connus au monde. Cela se reflète dans les parts de marché des entreprises auxquelles ils appartiennent, ces dernières dominant le secteur de la vidéo à la demande dans les principaux marchés mondiaux.
En France, en 2023, Netflix était le leader du marché de la vidéo à la demande en ligne (services par contournement), à égalité avec Amazon Prime Video, selon les estimations des Market Insights de Statista. Les deux géants du streaming vidéo affichaient chacun une part de marché de 12 % dans le pays. Netflix détenait également l’une des plus grosses parts du marché aux États-Unis (14 %), en Allemagne (13 %) et Royaume-Uni (12 %), et Amazon Prime Video l’une des plus importantes au Japon (12 %) et en Allemagne (13 %). Au Royaume-Uni, en Allemagne et au Brésil, Disney+ se démarque également parmi les leaders du marché (part de marché comprise entre 13 et 14 %).
Le Japon, l’Inde et la Corée du Sud font figure d’exception dans cette comparaison internationale. Dans le pays du Soleil-Levant, TVer (19 %) occupe la position de leader des services par contournement loin devant Amazon Prime Video (12 %). En Inde, c’est Hotstar qui domine (35 %), mais ce dernier n’est différent de Disney+ que sur le papier. En effet, Hotstar a été créé en 2015, mais Disney a racheté ce fournisseur de streaming en 2019. Enfin, en Corée du Sud, Coupang Play et Disney+ font jeu égal, avec une part de marché respective d’environ 20 %.
Netflix a engrangé plus de 22 millions d’abonnés en 2024, du jamais vu depuis 2020
Pour célébrer les 100 ans de l’existence de la cave coopérative vauclusienne, un concours d’art multidisciplinaire est mis en place par le Cellier des Princes qui sera ouvert à tous. Les participants ont jusqu’au 30 octobre pour soumettre leur candidature, les gagnants verront leurs œuvres exposées durant une durée minimale de trois mois.
100 ans de passion et de tradition vinicole. C’est ce qui s’apprête à être célébré par la cave Cellier des Princes qui se trouve à Courthézon à l’occasion de ses 100 ans d’existence. Pour partager ce moment avec le maximum de personnes, la structure vauclusienne a fait le choix d’organiser un concours d’art et ouvert aux artistes de tous horizons afin qu’ils participent à travers leurs œuvres à l’héritage de Cellier des Princes.
Ce concours est pluridisciplinaire et invite des artistes de plusieurs domaines à s’inscrire. Peinture, photographie, dessin, vidéo, film, 3D, sculpture, poésie, littérature, philosophie, il y en aura pour tous les goûts. Ouvert depuis fin avril, le concours reste ouvert aux candidatures jusqu’au 30 octobre 2024. Dès le mois de novembre, la pré-sélection des œuvres débutera. Les gagnants du concours seront exposés dès le premier jour du mois de décembre.
Une exposition d’un an en récompense ultime
Les 1ers prix de chaque catégorie artistique se verra remettre une somme de 300€ en guise de récompense ainsi qu’un magnum de Châteauneuf-du-Pape. Au-delà de l’aspect financier, c’est surtout la possibilité d’exposer durant plus d’un an pour les artistes vainqueurs qui constitue la véritable récompense de ce concours avec trois mois supplémentaires en 2025 ou 2026. Certaines œuvres présélectionnées pourront même être mises en vente au bénéfice exclusif des artistes à la fin de l’année 2025.
Toutes les informations concernant le concours sont disponibles en cliquant sur ce lien.
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La cérémonie d’accueil de l’équipe de rugby d’Uruguay, dont le camp de base est à Avignon, s’est tenue ce lundi 11 septembre, sur la place du Palais des Papes.
Alors que la dixième édition de la coupe du monde de rugby à XV a débuté ce vendredi 8 septembre, avec une victoire de l’équipe de France face à la Nouvelle-Zélande (27-13), l’équipe d’Uruguay a été accueillie à Avignon lors d’une cérémonie officielle ce lundi 11 septembre, sur la place du Palais des Papes. L’Uruguay, dont le camp de base est à Avignon, affrontera la France ce jeudi 14 septembre à Lille.
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Ce vendredi 28 juillet, le ministre de la Justice, Eric Dupont-Moretti, a inauguré la structure d’accompagnement vers la sortie (SAS) d’Avignon-Le Pontet. L’objectif de ce lieu est double : désengorger les prisons et préparer la réinsertion des détenus.
Construite à côté du centre pénitentiaire du Pontet, la structure d’accompagnement vers la sortie (SAS) d’Avignon-Le Pontet dispose d’une capacité de 120 places pour accueillir, sous le régime de la semi-liberté, des détenus qui purgent de courtes peines ou à qui il reste moins de deux ans de détention. L’objectif du lieu est d’améliorer la réinsertion des détenus, mais l’établissement n’est pas réservé aux seules personnes avec un projet professionnel. Les détenus en fin de droits sociaux ou ayant des problèmes d’addiction à l’alcool ou la drogue peuvent aussi être orientés vers cette structure.
Le centre pénitentiaire du Comtat Venaissin ouvrira en 2026
L’objectif est de mieux accompagner la sortie, mais aussi de désencombrer les prisons. Conçu pour accueillir 650 personnes, le centre pénitentiaire du Pontet héberge actuellement plus de 800 détenues. Ces derniers mois, via leurs syndicats, les agents de la pénitentiaire n’ont cessé d’alerter sur cette surpopulation carcérale et sur les violences à répétition commises entre détenus, mais aussi envers les agents. La création du futur centre pénitentiaire du Comtat Venaissin, à Entraigues-sur-la-Sorgue, devrait également permettre de soulager la prison du Pontet. D’une capacité de 400 places, l’établissement devrait être opérationnel début 2026.
Netflix a engrangé plus de 22 millions d’abonnés en 2024, du jamais vu depuis 2020
« Si tu peux voir détruit l’ouvrage de ta vie, et sans dire un seul mot te mettre à rebâtir : tu seras un homme. » S’il y a bien une personne à qui ce poème de Rudyard Kipling pourrait être destiné c’est bien Najim Barika. Il faut dire que depuis 20 ans, ce natif de la Cité des papes a multiplié les aventures professionnelles. N’hésitant pas à se remettre en cause alors qu’il était, chaque fois, en pleine réussite.
A l’orée des années 2000, c’est avec sa multiple casquette de chanteur, musicien, auteur et même producteur qu’il connaît le succès avec le groupe de rap avignonnais Talisman où figure également son frère Akim. Avec en point d’orgue, le titre Torrid amor qui sera le tube de l’été de TF1 en 2001. Une période d’enregistrement en studio et de tournage des clips à travers le monde où, après la musique, Najim Barika commence aussi à se passionner pour l’image. En pleine lumière, l’envie de partir à la rencontre des gens est pourtant trop forte. Il décide alors de lâcher cet univers pour se consacrer pleinement à sa nouvelle passion : la photographie.
Là encore, le succès est au rendez-vous. Il devient notamment un photographe de mariage particulièrement demandé dans toute la France. Il croule sous les demandes et, de 2004 à 2018, il parcourt l’Hexagone quasiment tous les week-ends multipliant les shootings. Avec le temps, il étoffe ses équipes, fait de la vidéo, apprend à piloter un drone via le diplôme de la DGAC (Direction générale de l’aviation civile)… Le tout, toujours avec son sourire et sa bonne humeur communicative. Une boulimie de travail qui l’éloigne cependant de plus en plus des siens. De quoi le motiver à tenter un énième tapis dans le poker de sa vie professionnelle. Fini les mariages et autres festivités : il arrête tout à nouveau pour se lancer pleinement dans la vidéo.
2019 : naissance de Newcom au Thor C’est comme cela qu’il créé en 2019 New com, son agence de création de contenu audiovisuel basée au Thor. Sa cible : les entreprises et les institutionnels tout particulièrement. Newcom c’est ainsi des films corporate, publicitaires, du reportage, des documentaires, des courts-métrages, des web-séries mais c’est aussi les réseaux sociaux, des podcasts, de l’événementiel, du conseil, des visites virtuelles 3D à 360°, des vues par drones et, quand même, encore un peu de photo. « Si nous proposons de la vidéo, nous sommes avant tout des ‘fabricants d’histoires’ », explique Najim Barika pour qui « l’essentiel ce n’est pas la technique mais le regard que l’on apporte. C’est ce qui fait toute la différence. » Et ce décalage, c’est l’une des marques de fabrique de Newcom.
Savoir bousculer « Quand on participe à des réunions de travail, il faut savoir bousculer, interrompre, rebondir sur un besoin ou une idée qui est émise, insiste le quadragénaire. Et au final, une réunion qui devrait durer 3 heures, dure trois quart d’heure avec de la rigolade et des M&M’s. » Une énergie que cet autodidacte a su préserver avec le temps. « Savoir y voir clair avec la bonne paire de lunette, c’est très important, confirme-t-il. Cela ne s’achète pas, cela s’acquiert avec le temps. Ma technique c’est d’avoir appris à diriger les gens. Je les laisse s’entraîner, je les laisse parler. J’observe, je suis en train de les ‘apprendre’. On est là pour saisir l’essentiel. Les gens peuvent parler 100 ans, j’écoute, j’écoute, j’écoute et finalement il n’y a que 4 trucs qui vont me faire rebondir. Et c’est là que je vais choisir l’angle. »
« Ensuite je leur demande de parler de ça, de ne pas trop s’étaler, de rester axé sur le thème, poursuit le patron de Newcom. Je leur demande de ne pas avoir le regard fuyant quand ils parlent, de prendre confiance… C’est un travail de direction. Il faut faire en sorte que la personne ne se contente pas d’un simple témoignage mais vive une vraie expérience. Je suis désolé, mais quand on regarde une vidéo qui est coupé 150 fois, ce n’est pas celui qui est filmé qui a des problèmes d’élocution c’est celui qui filme qui est mauvais. Avec nous, ce qui est différent, c’est que les gens se sentent valorisés. Et du coup, ils aiment leur interview. »
Ne pas être trop poli, ni trop gentil « Ce qu’il faut, c’est comprendre l’émotion des gens, précise-t-il. La capter car ils nous donnent une partie d’eux-mêmes. Une fois, je suis allé en immersion dans Eurotunnel. Il y a des normes de sécurité avec des sas où l’on reste parfois jusqu’à 5 heures. Durant ce temps passé ensemble, mon guide était tellement investi et passionné qu’il m’a tout raconté dans les moindres détails. Et moi, caméra en main et sans stylo dans l’autre j’ai dû tout résumer en 3 minutes ! On peut alors avoir tout le matériel du monde mais, au final, c’est à la technique de s’adapter car il y en a qui se contentent de faire des images alors qu’ils y en d’autres qui racontent une histoire. A une époque digitale, nous, nous sommes à fond dans l’humain. »
Loin de jouer les ‘gourous’, Najim ne veut toutefois pas se contenter d’être un prestataire de service qui pose sa caméra. « Avant de tourner avec la personne, il faut passer un moment avec elle, martèle-t-il à nouveau. Je ne suis pas un ‘énergie-thérapeute’ mais il faut passer du temps avec les gens pour les ressentir. Et des fois cela ne peut prendre que seulement 2 minutes avant d’y aller car le bon moment se présente. Nous arrivons ainsi à faire s’exprimer des gens dont on nous avait dit qu’ils seraient difficiles à faire parler. Ça c’est quelque chose que nous savons très bien faire. C’est pour cela, qu’il ne faut pas être trop poli, trop gentil. »
Etablir une relation de confiance réciproque « Aujourd’hui, nous sommes arrivés à un stade où les boites avec qui nous bossons régulièrement n’envoient plus leur chargé de communication sur certains reportages qu’ils nous commandent. Ils nous disent désormais ‘c’est toi qui nous représente’. Cela veut dire que nous avons franchi un cap : celui de la confiance qui est si vital pour nous. L’essentiel ce n’est pas d’avoir du boulot, ça c’est facile. L’essentiel, c’est comment le conserver et établir une relation de confiance avec ses clients qui deviennent des partenaires. Bien évidemment, si nous devons connaître nos clients, il est également important qu’ils apprennent aussi à nous connaître. C’est comme cela, en devenant plus intime, que nous parlerons le mieux d’eux. »
« Dans 80% des cas, quand nous allons en immersion dans un groupe on s’aperçoit également que grâce à notre présence les gens découvrent des choses sur les autres alors que cela fait parfois 10 ans qu’ils bossent ensembles, poursuit ce fou de chaussures de sport qui achète régulièrement des baskets aux couleurs des entreprises où il intervient. Notre façon d’aborder les choses sous un angle différent séduit beaucoup de dirigeants qui estiment que notre présence facilite leur travail de cohésion. »
« Récemment, nous avons aussi interviewé un chef d’entreprise, complète Najim Barika. Il est venu avec une problématique. On l’a écouté et en parlant, nous avons résolu son souci en moins d’une heure. Il nous a ramené son sac de problème, son sac d’épines et finalement il est reparti tranquille. Nous sommes là pour aider les gens. Car si chaque jour qui passe nous produisons des images, nous sommes des facilitateurs avant tout. Nous ne sommes pas là pour vendre de la vidéo. Nous sommes des faiseurs de solutions. Et c’est ces valeurs qui intéressent les entreprises lorsqu’elles font appel à nous. Des valeurs que nous incarnons par notre cheminement et notre histoire fondée sur le respect de la parole donnée, de la qualité du travail bien fait, des délais… »
Un état d’esprit, une philosophie même, qui semble avoir séduit de nombreux grands groupes comme NGE, Biocoop, le Crédit agricole, KP1, Agilis, Eurotunnel, ID Logistics, Loc+… pour qui New com a autant réalisé des suivis de chantiers, que des films en immersions terrain avec les équipes, des vidéos QSE (qualité, sécurité et environnement) ou RSE (Responsabilité sociétale des entreprises) ou bien encore des vidéos événementielles.
Pour cela, l’agence de Najim Barika s’appuie sur une équipe de 4 personnes, dont Kamel Naïb, le dernier arrivé, qui a rejoint New com en juin dernier. Par ailleurs, le chef d’entreprise vauclusien s’est aussi constitué un réseau d’une trentaine d’intervenants indépendants ayant le « même ADN » pour couvrir toute la France ou pour venir renforcer sa « team » si nécessaire. « Cela nous permet de répondre très rapidement à un tournage de dernière minute dans tout l’Hexagone où même au-delà si besoin », explique-t-il.
Être réactif sans perdre notre côté créatif « Travailler vite, c’est bien. Mais il faut aussi continuer à bien travailler, prévient-t-il. C’est pour cela qu’il faut être réactif sans perdre notre côté créatif même si nous avons cette capacité à répondre promptement à une demande et de l’exécuter aussi rapidement. » « On peut tout faire en moins de 48 heures, reconnaît-il. On arrive en avion le matin, on filme l’après-midi et on monte dans la foulée à l’hôtel pour être opérationnelle pour une nouvelle mission dès le lendemain. »
Avant d’ajouter avec un œil malicieux : « Parfois, ce sont même les chargés de com qui mettent plus de temps à télécharger le lien du film que ce que nous avons mis pour fournir la captation complète. » Aujourd’hui, New com réalise environ 200 films par an et ambitionne de doubler son activité d’ici l’année prochaine en ciblant plus particulièrement les acteurs économiques et institutionnels locaux.
Un enfant du pays qui veut dynamiser son territoire Et si la parcours de celui qui s’est toujours considéré comme un enfant du pays lui a permis d’être connu, il est clair qu’aujourd’hui il veut être reconnu chez lui. « Je peux faire des choses sur ce territoire, je peux fédérer en nous servant de toutes nos petites réussites au quotidien. Les collectivités de ce magnifique territoire de Vaucluse ont besoin de communiquer, elles ont des choses à dire. Le local cela nous plaît, insiste ce père de 3 garçons de 19 ans (qui travaille désormais avec lui), 17 ans et 10 ans. Je préfère ça que partir à l’international pendant 15 jours. » C’est avec cette même logique qu’il souhaite que son savoir-faire reste accessible aux petites entreprises qui constituent l’écrasante majorité du tissu économique local. C’est donc pour cela que New com a créé le concept de communication King com. Des offres de capsules vidéo particulièrement attractives en termes de tarifs avec pour objectifs de permettre aux entreprises disposant de petits budgets de pouvoir être présentes de manières innovantes sur les réseaux sociaux notamment. Le tout, toujours en prenant le temps de raconter une histoire.
Coupable d’être soi-même ? « La musique, la photographie, la vidéo, effectivement d’une manière ou d’une autre on raconte chaque fois une histoire », rappelle celui qui a grandi dans le quartier de la Croix-des-Oiseaux et qui participera bientôt à une conférence ‘business & succès’, le 4 mai prochain à l’Université d’Avignon sur le site d’Agroparc (voir affiche en fin d’article). « J’aime la direction de projet, mettre en place des scénarios, mettre de l’énergie positive. Nous avons cette bienveillance naturellement, nous veillons sur les autres. Tout part de l’amour. Notre ingrédient c’est les humains », confesse celui dont les compétences ont mis du temps à le défaire de certaines étiquettes. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard s’il y a quelques années il a aussi lancé une ligne de vêtement : ‘Coupable d’être moi-même’. « On a des particularités, pourquoi se fondre dans la masse, s’interroge-t-il dans un cri du cœur afin de revendiquer sa singularité ? Soyons nous-même, car actuellement, à force d’être ce que tout le monde veut que nous soyons, nous devenons personne. » Nul doute alors que si le chanteur de Talisman de 2001 pouvait croiser aujourd’hui le patron de New com il serait certainement ravi de l’histoire qu’il lui raconterait.
Netflix a engrangé plus de 22 millions d’abonnés en 2024, du jamais vu depuis 2020
Avignon tourisme vient de mettre en ligne une vidéo sur la 37e édition de Cheval passion qui vient de se dérouler au parc des expositions d’Avignon. Le 2e événement culturel du département après le festival de théâtre d’Avignon qui s’est déroulé du 18 au 22 janvier dernier a, une fois de plus, constitué l’un des rendez-vous équestres incontournables français avec au programme son salon présentant les derniers équipements, les innovations et les services de la filière proposés aux cavaliers de sport et de loisir, ainsi qu’à tous les passionnés d’arts équestres.
Cheval passion c’est aussi le gala des crinières d’or qui permet de découvrir les futurs numéros européens phares du spectacle équestre.
Un retour en image qui permet également d’annoncer les dates de la prochaine édition qui se déroulera du 17 au 21 janvier 2024. Informations et réservation sur cheval-passion.com
Netflix a engrangé plus de 22 millions d’abonnés en 2024, du jamais vu depuis 2020
En raison du contexte économique, la commune de Monteux a fait le choix de ne pas organiser de cérémonie des vœux cette année. Ainsi, Christian Gros, maire de Monteux, adresse ses vœux aux Montiliens dans une vidéo.
J.R.
Netflix a engrangé plus de 22 millions d’abonnés en 2024, du jamais vu depuis 2020
Romain Rodriguez est santonnier, à Comps dans le Gard. Ce mardi 29 novembre, il vient de finir d’installer, pour la cinquième année consécutive, la crèche provençale de l’ancienne église des Célestins, à Avignon. Les visiteurs pourront la découvrir dès ce samedi 3 décembre.
Netflix a engrangé plus de 22 millions d’abonnés en 2024, du jamais vu depuis 2020
Avec environ 220 millions d’abonnés payants dans le monde, Netflix continue d’être le roi du streaming vidéo. Mais face à l’explosion de l’offre et l’essor des concurrents, il apparaît de plus en plus difficile de grapiller des parts sur ce marché. Grand gagnant de « l’économie du confinement » il y a deux ans, le leader de la vidéo à la demande est désormais en perte de vitesse et a même enregistré un premier recul de sa base d’abonnés au premier trimestre 2022. En amont de la publication de ses résultats du second trimestre le 19 juillet, les analystes s’attendent à une nouvelle perte d’abonnés pour Netflix.
Même si le contexte économique actuel assombrit pour le moment les perspectives de croissance du marché, le potentiel du streaming vidéo reste relativement important à l’échelle internationale. Selon les estimations du Statista Digital Market Outlook, la part des utilisateurs (ou taux de pénétration) de services de vidéo à la demande dans le monde se situe à environ 20 % en 2022. Cette estimation couvre plus précisément la vidéo à la demande par abonnement, la télévision à la carte et les plateformes de téléchargement.
Comme le suggère notre carte qui compare les taux de pénétration dans le monde, les marchés les plus prometteurs pour faire la chasse aux abonnés se trouvent désormais en Asie du Sud, en Amérique latine, mais aussi en Afrique, où Disney+ a fait son arrivée dans plusieurs pays (dont l’Afrique du Sud) en mai et juin 2022. Si le marché semble se diriger vers un point de saturation en Amérique du Nord (États-Unis, Canada), où l’on enregistre environ 50 % d’utilisateurs au sein de la population, il existe encore une certaine marge de progression en Europe, où ce chiffre varie de 14 % en Bulgarie à 42 % au Royaume-Uni. En France, le taux de pénétration des plateformes de vidéo à la demande est actuellement de 33 %.