22 juillet 2024 |

Ecrit par le 22 juillet 2024

Caromb : les solistes du Jeune orchestre Rameau en concert vendredi

Dans le cadre du festival Ventoux – Terre des arts, les solistes du Jeune orchestre Rameau se produiront à l’église Saint-Maurice de Caromb, le vendredi 4 novembre à 20h30.

Sous la direction de Bruno Procopio, les solistes du Jeune Orchestre Rameau, Boris Paredes (violon), Pablo Agudo López (violon) et Lillian Gordis (clavecin) se produiront à l’église Saint-Maurice de Caromb, vendredi 4 novembre à 20h30. Ce concert de musique de chambre, gratuit, est organisé dans le cadre du festival Ventoux – Terre des arts.

Programme
J.S. Bach (1685-1750)
3 préludes et fugues du Clavier bien tempéré II.

Philipp Friedrich Böddecker (1607-1683)
Sonate en Ré mineur pour violon et basse continue (ca. 1651).
Pablo Agudo (violon), Lilian Gordis (clavecin).

Francesco Maria Veracini (1690-1768)
Sonate pour violon et basse continue en Sol mineur Op 2, n°5.
I – Adagio Assai
II – Capriccio
III – Allegro Assai
IV – Giga
Boris Paredes (violon), Lillian Gordis (clavecin).

Jean-Marie Leclair (1697-1764)
Sonate – Ouverture en La majeur pour deux violons et basse continue, Op. 13, No. 5.
I – Grave
II – Allegro
III – Largo
IV – Allegro assai
Boris Paredes et Pablo Agudo (violons), Lillian Gordis (clavecin)

Les solistes du Jeune orchestre Rameau se produiront Sous la direction de Bruno Procopio © DR

Vendredi 4 novembre 20h30 à l’église Saint-Maurice, Caromb (gratuit).

J.R.


Caromb : les solistes du Jeune orchestre Rameau en concert vendredi

Après nous être intéressés à la petite reine on ne pouvait pas ignorer l’Automobile, un autre moyen de transport qui déchaîne aussi toutes les passions. Qu’il s’agisse de la question des émissions de C02, de la fin programmée du moteur à explosion, de la conversion hasardeuse et controversée vers le tout électrique ou encore de l’envolée des prix de l’énergie, l’automobile, est comme on dit, aujourd’hui, « un vrai sujet ». Ici en Provence, on est également plus que concerné.

Il y a encore pas si longtemps l’automobile avait toutes les vertus ou presque. Elle était à la fois un moyen de déplacement et de transport encensé, un instrument de liberté adulé et un secteur économique puissant, largement choyé et soutenu. Nous étions fiers de notre industrie automobile surtout quand elle innovait ou s’illustrait en compétition. Notre pays, a compté parmi les plus prestigieux des constructeurs automobiles. Le monde entier nous enviait des marques comme Delage, Delahaye, Talbot, Hispano-Suiza, Salmson, Hotchkiss, Voisin, Facel-Vega… Ce n’est pas être nostalgique ou passéiste que de regarder ce qui s’est fait auparavant. Ca devrait pouvoir inspirer d’avantage le futur. On gagne toujours à jeter un petit coup d’œil dans le rétroviseur, et pas uniquement pour vouloir dépasser…

Les automobiles club y ont joué un rôle essentiel
L’automobile a façonné à sa manière l’histoire de la Provence. Tout d’abord avec les routes et ensuite les autoroutes. Elles ont permis l’essor touristique et économique de la région. Les automobile-club y ont joué un rôle essentiel. Au début, d’aimables clubs élitistes réservés uniquement aux gentleman, ils se sont rapidement démocratisés. Ils ont largement participé au développement de l’automobile. Ce sont eux qui ont installé les premières signalisations (avant les plaques et les bornes Michelin) et rédigé les premiers codes de la route. Ils ont été aussi les organisateurs des premières compétitions automobiles. Celui de Marseille, créé en 1899, a donné naissance à plusieurs épreuves sportives comme le Rallye International des Alpes ou le Grand Prix Automobile de Marseille… Une époque où chaque grande ville se devait d’accueillir un Grand Prix, y compris la cité des papes avec son fameux circuit des remparts.

La route des vacances
Dans le midi nous avons d’abord la nationale 7. Avec ses 1000 km c’est la plus longue route nationale de France. Reliant Paris à Menton, cette route, appelée aussi « la route bleue », traverse 5 régions. Côté mythe c’est un peu notre route 66 ! Ses stations-services aux architectures typiques des années 50 et ses relais routiers ont intégré depuis notre patrimoine national. La Nationale 7 a également placé sur son chemin, juste à mi-parcours entre Paris et la méditerranée, quelque uns de nos meilleurs restaurants. Paul Bocuse à Collonges-au-Mont-d’Or, les frères Troisgros à Roanne, la mère Brazier à Lyon, la maison Pic à Valence, Fernand Point à Vienne. On ne saurait rêver de meilleures étapes pour la pause repas sur la route des vacances.

Pour écouter la chanson Nationale 7 nouvelle version

Une terre fertile pour le sport auto
Côté sport, nous avons, en Provence, le circuit Paul Ricard qui accueille, aujourd’hui, le Grand Prix de France de F1, la plus prestigieuse de toutes les compétions automobiles à défaut d’être la plus passionnante à suivre… Il y a aussi bien sûr le Grand-prix de Monaco. C’est dans le même coin. Nous avons également le plus mythique de tous les rallyes : « Le Monte-Carlo », dont la première édition a été remportée, en 1911, par Henri Rougier, un marseillais, sur une Turcat-Méry, une auto marseillaise.
Le sport auto en Provence c’est aussi quelques grands noms qui ont marqué de leurs empreintes l’histoire : Michèle Mouton (Grasse), Maurice Trintignant (Sainte-Cécile-les-Vignes), Jean-Louis Trintignant (Piolenc), Jean-Pierre Nicolas (Marseille), Jean Ragnotti (Pernes-les-Fontaines), Jean Alési (Avignon)…
Mais tout cela semble aujourd’hui appartenir à une époque lointaine et surtout révolue.

L’automobile a changé la vie, certes pas toujours en bien, mais elle a tant apporté qu’il semble totalement incongru de vouloir donner un coup de volant aussi brutal. Il suffit d’observer le visage d’un jeune enfant qui s’illumine au passage d’une très belle auto. Son sourire et le brillant de ses yeux en disent plus long que n’importe quel discours. Ne brisons pas nos rêves d’enfant !

Ancien directeur général et directeur de la rédaction de Mirabelle TV (télévision régionale en Lorraine), Didier Bailleux a été auparavant consultant dans l’audiovisuel et à travaillé sur plusieurs projets : TNT, SVOD, services en ligne, création de TV locales. En tant que directeur marketing, il a participé, dans les années 1990 et 2000, à la création de plusieurs chaînes thématiques : Canal J, Voyage et Pathé-Sport. Aujourd’hui, il vit en Vaucluse et travaille sur la production de documentaires consacrés aux terroirs.


Caromb : les solistes du Jeune orchestre Rameau en concert vendredi

L’AOC Ventoux et l’office de tourisme Destination Luberon Cœur de Provence s’allient pour organiser la 9ᵉ édition du ‘Fascinant week-end’ pour les régions Ventoux et Luberon. Du jeudi 13 au dimanche 16 octobre, partez à la découverte des vignobles de ces régions à travers diverses animations d’exception.

Gastronomie, activités en famille, ou encore animations insolites, tout a été imaginé dans le but que vous puissiez profiter d’une expérience œunotouristique exceptionnelle durant quatre jours. « plus d’une soixantaine d’opérateurs privés et professionnels, acteurs du vin, du tourisme et de la culture, se mobilisent sur cette programmation de qualité pour faire de cette nouvelle édition du Fascinant Week-end un succès », affirme Marie Flassayer, directrice de l’AOC Ventoux. Porté par l’AOC Ventoux et Destination Luberon Cœur de Provence, ce ‘Fascinant week-end’ vous fera découvrir des destinations ‘Vignobles & Découvertes’ en Vaucluse.

Le label ‘Vignobles & Découvertes’ vise à promouvoir le tourisme sur le thème du vin et de la vigne. Il facilite l’expérience viticole pour le visiteur et il fait le lien entre les activités viticoles et touristiques de la destination. « La destination Luberon est labellisée ‘Vignobles & Découvertes’ depuis le 14 mars dernier, explique Franck Delahaye, directeur de l’office de tourisme Destination Luberon Cœur de Provence. Nous sommes donc très fiers de pouvoir participer dès cette année à cet événement d’envergure nationale. » Partez donc à la découverte des vignobles du Ventoux et du Luberon sous tous leurs aspects et composez votre week-end sur mesure.

Partir à la découverte du Luberon

En Luberon, plusieurs animations sont proposées durant les quatre jours, afin que tout le monde puisse en faire l’expérience au moins une fois. Le Domaine de Fontenille, situé à Lauris, vous propose de devenir vendangeur le temps d’une matinée, à partir de 9h, et de découvrir comment sont transformées les grappes en vins. Cette activité est au prix de 95€ par personne. Le Domaine vous propose également de devenir maître assembleur durant 2 heures durant lesquelles vous pourrez assembler des jus et créer vos vins, le tout pour 85€ par personne. Pour 15€ par personne, vous pourrez aussi réaliser le trajet de la vendange depuis son entrée dans le chai, jusqu’à la mise en bouteille. Pour participer à l’une de ces activités, il faut réserver au 04 13 98 00 00.

DR

Les jeudi 13 et samedi 15 octobre, partez à la découverte du Domaine La Cavale, à Cucuron, et de son architecture au travers d’une visite guidée des chais, suivie d’une dégustation, pour 7€ par personne. Les visites sont organisées de 10h30 et à 14h30, à raison de 8 personnes par visite. Pour participer à cette animation, il faut réserver au 04 90 08 31 92.

Le vendredi 14 octobre, le Château de Clapier, à Mirabeau, accueille l’exposition ‘L’Happy Culture’ à partir de 18h et vous plonge au cœur de la ruche, à la découverte du métier d’apiculteur. Cette exposition gratuite sera en place jusqu’au 31 janvier prochain. À Mérindol, la Cave à Aimé organise une soirée dégustation à partir de 18h où vous pourrez découvrir six vins gratuitement, sur réservation au 04 90 72 38 01. L’équipe Marrenon, à la Tour-d’Aigues, organisera une masterclass vins & fromages avec Benoit Lemarié, fromager affineur, à 19h pour 15€ par personne. Réservation au 04 90 07 51 65. La cave à vins cavaillonnaise Les Cinq Sens, de son côté, animera un repas accord mets & vins à l’Atelier l’Art des Mets aux Taillades à 19h30. Réservation au 04 90 72 37 55.

Le samedi 15 octobre, la Gare de Coustellet organisera une dégustation des vins de l’AOC Luberon à partir de 19h, suivie d’un concert de Francky goes to Pointe-à-Pitre et de Lova Lova à 21h pour 10€ par personne. Les réservations se font sur internet. Le Château de La Tour d’Aigues accueillera une session relaxation avec le rituel des 108 salutations au soleil au pied du Luberon à 8h, pour 15€ par personne. Réservation au 09 72 66 57 09. Le Château organisera également une rencontre autour du vin à 11h30 avec une initiation à la dégustation par un sommelier et des jeux ludiques. Vous pourrez aussi assister à un rallye de 2CV au milieu des vignes. L’Oustaou du Luberon, à Villelaure, accueillera quant à lui une séance de Qi Gong, de la gymnastique énergétique chinoise, pour les débutants et les pratiquants réguliers, à 9h, avec Caroline Prades, pour 15€ par personne. Réservation au 04 90 09 84 95. Vous pourrez visiter gratuitement et librement les vignes et oliveraies du Château la Verrerie à Puget, de 14h à 18h. Réservation au 04 90 08 97 97. Enfin, profitez d’une marche ressourçante, suivi d’un cours de yoga et d’une dégustation de vin au Château de Clapier. Cette activité, organisée par AirFit Provence, coûtera 35€ par personne. Réservation au 06 58 37 69 61.

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Le dimanche 16 octobre, le vélo sera à l’honneur. Deux balades seront organisées à Pertuis par Cycling Around de 9h30 à 12h. Une balade avec location d’un vélo électrique sera suivie d’une dégustation au Château Grand Callamand, pour 62€ par personne. L’autre balade sera sans location, mais également suivie d’une dégustation au Château Grand Callamand pour 32€ par personne. Réservation au 06 37 98 46 78.

Partir à la découverte du Ventoux

Dans les vignobles du Ventoux, certaines activités auront également lieu sur les quatre jours. Les écuries de Mazan proposeront, en partenariat avec la Ferme du Rouret, une balade en calèche suivie d’une dégustation de vins et de jus, de 16h30 à 17h30 le jeudi et de 10h à 11h du vendredi au dimanche, pour 20€ par personne ou 60€ pour une famille de deux adultes et deux enfants. Réservation au 06 74 45 03 49. À Carpentras, rendez-vous au restaurant Chez Serge pour un menu truffé, accompagné des vins de l’AOC Ventoux, à 19h30, pour 75€ par personne. Réservation au 04 90 63 21 24.

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Le jeudi 13 octobre, le Clos de T au Barroux proposera les afterworks de l’Espace terroir en balade, en collaboration avec la cheffe Anaïs Chami, de 18h30 à 20h pour 12€ par personne. Réservation au 04 90 63 00 78. Les jeudi 13 et vendredi 14 octobre, vous pourrez découvrir les premiers millésimes du Domaine Vindemio, à Mazan, grâce à une dégustation verticale des cuvées parcellaires de 2017 à 2021, de 17h à 19h pour 15€ par personne. Réservation au 04 90 51 60 20.

Le vendredi 14 octobre, le restaurant Côté Cours, à Saint-Didier, organisera une soirée d’initiation à la dégustation autour des vins du Domaine Les Touchines, suivie d’une découverte d’accords mets et vins autour d’un repas à 19h30 pour 40€ par personne. Réservation au 04 90 66 03 28. Vivez une expérience sensorielle unique au Domaine du Chêne Bleu, à Crestet, avec des dégustations à l’aveugle les vendredi 14 et samedi 15 octobre à 10h et à 15h, pour 35€ par personne.

Le samedi 15 octobre, le Domaine Solence, à Carpentras, vous propose une escapade sensorielle avec Johanna, sommelière itinérante de l’Alliance Rusée de 9h30 à 11h30 pour 18€ par personne (15€ par enfant). Réservation au 07 82 09 37 46. Participez à une randonnée au milieu des anciennes carrières d’ocres à Villes-sur-Auzon, organisée par Visites Privées en Provence, suivie d’une dégustation en partenariat avec la cave TerraVentoux de 9h à 12h30 pour 20€ par personne (10€ pour les 10-16 ans, gratuit pour les enfants de moins de 9 ans). À Carpentras, une escapade en mobylette vous sera proposée au départ du Domaine Vintur, suivie d’une dégustation au caveau pour 30€ par personne. Les départs se font à 10h, 11h30, 14h, 15h30 et 17h. Réservation au 04 90 28 82 72. Le Domaine Plein Pagnier, à Mazan, organisera un ‘Open Bar’ de 11h à 17h pour une journée autour de la musique, de l’art et du vin. Entrée libre et gratuite, repas pour 25€ par personne à réserver au 04 90 69 75 66. Le restaurant carombais 6 à table préparera un menu-dégustation de 6 mini plats en accord avec les vins du domaine de Solence de 11h à 14h pour 40€ par personne. Réservation au 04 90 62 37 91. Le Château Saint Pons, à Villars, organisera un atelier mets & vins de 11h30 à 12h30 pour 10€ par personne. Le Domaine d’Alloïs, à Caseneuve, vous livrera gratuitement les secrets de la vinification à 16h30. Clos de T au Barroux, quant à lui, accueillera un atelier de cuisine californienne avec le chef Jon Chiri pour 30€ par personne. Réservation au 06 75 91 88 81.

Les samedi 15 et dimanche 16 octobre, le Domaine Souleyrol, à Mallemort-du-Comtat, organisera deux promenades gourmandes au cœur des vignes pour 15€ par personne de 10h30 à 12h30. Réservation au 06 29 86 97 48. Le Château Pesquié, à Mormoiron, organisera également deux promenades-dégustations de 11h à 12h30 pour le même prix. Réservation au 04 90 61 94 08. Pour terminer le week-end en beauté, profitez d’un brunch à l’Hôtel Crillon le Brave le dimanche 16 octobre, accompagné des vins de l’AOC Ventoux, de 11h30 à 13h30 pour 58€ par personne (25€ pour les 5-12 ans). Réservation au 04 90 65 61 61. L’événement très attendu des Banquets du Géant, les rendez-vous gastronomiques et musicaux itinérants, implantés dans des lieux insolites aux quatre coins de l’appellation Ventoux, qui clôturera ce ‘Fascinant week-end’ au Château du Barroux, quant à lui, affiche déjà complet.

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Découvrez tout le programme en détail ici.


Caromb : les solistes du Jeune orchestre Rameau en concert vendredi

D’une pratique sportive ou de loisir, le vélo pourrait bien aussi devenir une vraie alternative pour les déplacements individuels de courte distance. Crise de l’énergie oblige. Le gouvernement vient d’ailleurs d’annoncer un plan pour « faire de la France une nation vélo ». La petite reine refait, en ces temps difficiles, la une de l’actualité.

Le vélo est un engin exceptionnel et unique. Il est bon pour la santé, il est bon pour la planète et il est bon pour le portefeuille … Qui dit mieux ? Les spécialistes qualifie même le vélo de « véhicule de conception humaine à l’efficacité énergétique surpassant celle de tous les autres ». Avec 1,5 milliard d’engins en circulation, le vélo reste le moyen de locomotion le plus utilisé dans le monde. Il peut servir à beaucoup de choses. Se déplacer bien sûr, transporter des personnes ou des petites marchandises, faire du sport, y compris en appartement, se balader, faire du tourisme… Il peut même devenir, avec le Tour de France, l’un des spectacles télévisuels le plus regardé au Monde.

Un instrument de liberté
Le vélo est aussi un instrument de liberté. On se souvient tous de notre premier vélo, celui qui nous a permis d’explorer d’autres lieux, de faire de nouvelles découvertes, d’aller voir les copains (ou copines c’est selon)… bref d’élargir le cercle des possibles. Après il y aura la « mob » ou le scooter, avant la première « caisse ». Mais ça c’est une autre histoire ! Aujourd’hui, le vélo à assistance électrique élargit encore le cercle des pratiquants. Il permet à ceux qui n’en faisaient plus de s’y remettre ou à ceux qui en faisaient déjà d’aller plus loin.

Lire aussi: Le Ventoux à tout prix

Le Vaucluse : terre de vélo
Ici, en Provence on sait de quoi on parle quand on cause vélo. On a d’abord le Ventoux, sommet mythique (le graal de tous les cyclistes version Grand Sport). On estime que chaque année entre 150 et 200 000 cyclistes en font son ascension à la force du mollet.
La Provence c’est aussi le vélo de tourisme avec, pour le Vaucluse, pas moins d’une quarantaine de circuits balisés et 4 véloroutes. Le cyclisme c’est encore quelques célébrités comme Lucien Aimar, Luc Leblanc ou Richard Virenque (et toujours à l’insu de son plein gré).

La réitération d’un mouvement circulaire, propice à la méditation
Le vélo a beaucoup inspiré les artistes et les écrivains, qui nous ont fait partager leurs indéfectibles passions. Certains philosophes se sont même essayés à expliquer cet engouement. Parmi eux, citons, Jean-François Balaudé, philosophe et ancien président de l’université de Nanterre : «  le vélo constitue une sorte de métaphysique incarnée car il s’agit d’un sport ou d’un mode de déplacement caractérisé par une vitesse modérée, dénué de chocs et de traumatismes, fondé sur la réitération d’un mouvement circulaire, propice à la méditation ». Au-delà de ces considérations métaphysiques, le vélo peut être aussi un objet politique. Ainsi, n’est-il pas devenu, à son insu lui aussi, un symbole et un porte-drapeau des valeurs écologiques. Il vient s’opposer au monde polluant, individualiste voire agressif de l’automobile. Je dirais tout simplement que le vélo est un sport bienveillant et altruiste.

Eh oui, il sait vous récompenser immédiatement de vos efforts. Après une montée il y a toujours une descente. Et elle sait vous faire oublier les souffrances de la montée. Bref une certaine philosophie de la vie !

Ancien directeur général et directeur de la rédaction de Mirabelle TV (télévision régionale en Lorraine), Didier Bailleux a été auparavant consultant dans l’audiovisuel et à travaillé sur plusieurs projets : TNT, SVOD, services en ligne, création de TV locales. En tant que directeur marketing, il a participé, dans les années 1990 et 2000, à la création de plusieurs chaînes thématiques : Canal J, Voyage et Pathé-Sport. Aujourd’hui, il vit en Vaucluse et travaille sur la production de documentaires consacrés aux terroirs.


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L’an dernier, 155 746 passages de vélo ont été enregistrés sur les trois routes donnant accès au sommet du Ventoux. C’est 35 000 de plus que les années précédentes où ils étaient environ 120 000 à se mesurer aux pentes du géant de Provence. Faut-il y voir ‘un effet Tour de France’ suite à la double ascension inédite proposée le 7 juillet dernier lors de la 11e étape de l’édition 2021 de la grande boucle ? Toujours est-il que le célèbre mont Chauve semble attirer de plus en plus d’amateur de vélo du monde entier. Ils étaient ainsi encore à peine 100 000 à tenter de le gravir il y a un peu plus de 5 ans.
Un succès à mettre en grande partie au crédit de la politique touristique du Conseil départemental de Vaucluse et des communes du département afin de développer l’offre cyclotouristique grâce à l’aménagement de large bande cyclable, de vélo-route maillant l’ensemble du territoire ainsi que des services dédiés à l’accueil de cette clientèle (bornes de recharge pour les vélos électriques, lieux de réparation, hébergements adaptés aux spécificités des 2 roues…). Le tout conforté par une stratégie d’image visant notamment à recevoir régulièrement, tous les 4 ou 5 ans, au Ventoux le Tour de France et son audience cumulée de 2 milliards de téléspectateurs et auditeurs provenant de 190 pays.

Plus de la moitié passent par Bédoin
Dans le détail, c’est par la route du Ventoux-Sud, celle de Bédoin, que l’on dénombre le plus de passages. Ils sont ainsi 81 835 cyclistes à avoir emprunté cet axe, le plus renommée, pour gravir le Ventoux avec 21 kilomètres d’ascension (quasiment sans possibilité de répit), 1 600 mètres de dénivelée et une pente moyenne de 7,5% atteignant 11,5% par endroit. Cette voie représente 52,5% des passages enregistrés.
Les amateurs de la petite reine ont été ensuite 46 059 (soit 29,6% du trafic total) à avoir emprunté la route d’accès du Ventoux-Est par Sault. Il s’agit de la voie la plus ‘facile’ avec une ascension de 26 kilomètres à 4,6% de pente moyenne.
Enfin, ils ont été 27 851 (17,9%) à avoir pris prendre la route la moins connue, celle du Ventoux-Nord par Malaucène. Elle n’en reste pas moins très difficile avec 21 kilomètres d’ascension irrégulière, 1 535 mètres de dénivelée avec une pente moyenne de 7,3% et de courts tronçons atteignant près de 13%.
En moyenne, ces trois itinéraires ont été les plus fréquentés au mois de septembre 2021 (37 125 passages) devant ceux de juillet (33 257) puis d’août (31 705). A l’inverse, c’est en janvier que l’on a comptabilisé le moins de passage (339) ainsi qu’en février (936).
Par ailleurs, les systèmes de comptage des vélos ont aussi permis de quantifier le trafic dans les gorges de la Nesque (47 953 passages de vélo en 2021) ainsi qu’au col de la Madeleine (101 286).
De quoi justifier le titre de ‘Terre de vélo’ pour le Vaucluse ? Certainement puisque après s’être entrainé sur les routes des Baux-de-Provence, Laurent Wauquiez, président de la région Auvergne-Rhône-Alpes, n’a pas résisté, lui aussi, à l’appel du Ventoux qu’il a gravi le 7 août dernier (voir photo ci-dessous). Une ascension qui sera comptabilisée dans celles de 2022.

Laurent Wauquiez n’a pas résisté au pouvoir d’attraction du Ventoux. Le président de la région Auvergne-Rhône-Alpes a gravi à vélo le géant de Provence le 7 août dernier après s’être entrainé sur les pentes des Baux-de-Provence quelques jours auparavant.

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Destination culturelle, patrimoniale et gastronomique déjà mondialement reconnue, le Vaucluse s’affirme aussi comme une desdestinations ‘nature’ tendance de l’Hexagone. Un véritable plébiscite pour ce département alliant grands espaces et pratique des loisirs de plein air. Découverte de ce Vaucluse encore plus séduisant alors que l’automne arrive.

Pour beaucoup, le Vaucluse est avant tout une terre d’Histoire avec ses nombreux sites classés au patrimoine mondial de l’Unesco : le Palais des Papes, le célèbre pont Saint-Bénezet où l’on y danse tous en rond, les 4,33 km de remparts d’Avignon ainsi que le Théâtre antique et l’Arc de triomphe d’Orange. C’est aussi une terre de culture avec le Festival d’Avignon, le plus grand festival de théâtre francophone de la planète (plus de 1 600 spectacles lors de l’édition 2022), ou bien encore les Chorégies d’Orange, le plus ancien festival lyrique du monde créé en 1869. C’est encore une terre de gastronomie et d’art de vivre (8 crus des Côtes-du-Rhône dont l’emblématique Châteauneuf-du-Pape), près d’une vingtaine de tables étoilées et l’un des premiers producteurs agricoles de cerises, melons, truffes, fraises, raisins de table, figues, pommes, poires… produits sous toutes formes de labels garantissant leur qualité (AOP, IGP, Bio, AOC).

Mais le Vaucluse, a toujours été aussi un département ‘nature’ que les Français découvrent – ou redécouvrent – à nouveau. Loin des dérives du tourisme de masse, ce territoire est ainsi la destination verte ayant enregistré les plus fortes demandes en France parmi les grandes plateformes de réservation en ligne sur internet depuis les vacances de Pâques. Tout cela grâce à une offre à taille humaine respectueuse de son environnement.

Le Vaucluse offre 3 000 km de sentiers de randonnées balisés sur les contreforts du Ventoux mais aussi au cœur des vignes, des champs de lavandes et des plus beaux villages de France. ©Thomas O’Brien-VPA

A pied ou à vélo mais toujours à taille humaine

À tout seigneur, tout honneur : le Ventoux – et son nouveau Parc naturel régional – illustre cette offre nature. Que ce soit sur ses flancs ou sur ses routes, le géant de Provence a de quoi satisfaire les amateurs de grand air. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si plus de 155 000 cyclistes ont gravi l’an dernier ses 1910 mètres, soit 35 000 de plus que l’année précédente. Que les moins aguerris se rassurent il existe plus de 40 circuits balisés pour arpenter le Vaucluse à vélo, en VTT ou en vélo à assistance électrique. Le tout adossé au réseau ‘La Provence à vélo’ (www.provence-a-velo.fr) qui regroupe plus de 400 professionnels (location, transport, accompagnement, mais aussi hébergement et restauration) afin de réserver le meilleur accueil à ces visiteurs à deux roues.

Même philosophie, pour les randonneurs qui arpentent les chemins de Vaucluse. Entre balades au cœur des vignobles, des champs de lavandes et découverte des villages, dont 7 figurent parmi les 168 plus beaux villages de France, le Vaucluse offre 3 000 km de sentiers balisés au sein d’une soixantaine de circuits de différentes difficultés.

Après l’effort, le réconfort

Au final, que ce soit sur les contreforts du Luberon, les forêts des Monts de Vaucluse ou au bord des rivières s’écoulant de Fontaine-de-Vaucluse jusqu’à la plaine des Sorgues, les amoureux de la nature pourront se ‘requinquer’ grâce à une très large offre œnotouristique. En Vaucluse, quoique l’on fasse, les bons vins comme les bonnes tables ne sont jamais très loin.

Laurent Garcia de l’Echo du Mardi pour Réso Hebdo Eco

©Thomas O’Brien-VPA

Télévacances : Et si on restait ?

« Avant je disais que je travaillais à Paris et que je passais mes week-ends dans le Luberon, nous expliquait un grand producteur audiovisuel français. Aujourd’hui, je dis que j’habite en Vaucluse et que je ‘monte’ à Paris 3 ou 4 jours par semaine pour mes activités. »

Comme lui, ils sont de plus en plus nombreux à avoir choisi le Vaucluse pour s’y installer. Un besoin de nature ayant déjà débuté avant le Covid mais que la crise sanitaire n’a fait que renforcer. Il faut dire que le Conseil départemental de Vaucluse a eu la bonne idée d’accélérer le déploiement du réseau de fibre optique sur son territoire. Ainsi, depuis fin 2021, la zone d’intervention publique est désormais couverte à 100%, avec 10 ans d’avance, par le réseau Très haut débit (THD) faisant du Vaucluse le département de la Région Sud le plus avancé en la matière et l’un des plus en pointe au niveau national. De quoi inciter de nombreux visiteurs à envisager une installation pérenne pour améliorer leur qualité de vie. Le tout à 2h40 de Paris ou 1h de Lyon en TGV.

Les infos pratiques

   


Caromb : les solistes du Jeune orchestre Rameau en concert vendredi

Cet été, Didier Bailleux nous propose de revisiter des lieux, des événements, des produits locaux, des us et coutumes, tous typiquement provençaux et qui font tout les charmes et les spécificités de notre région. Et cela en toute subjectivité. Première étape le Mont Ventoux.

En vélo (avec ou sans assistance), à pied, à moto, en mobylette, en roller, en triporteur, en véhicule d’époque, en camping-car ou plus simplement en auto  tout le monde veut ‘faire le Ventoux’. On dit même ‘vaincre le Ventoux’. Mais ça c’est plutôt pour les cyclistes ou les coureurs à pieds. ‘Le géant de Provence’ agit comme un aimant. Impossible d’y résister. Depuis sa première ascension connue, en 1336, par le poète Pétrarque, 700 000 personnes y grimpent chaque année. Grimper au Ventoux c’est plus qu’un lieu de promenade, c’est un défi, un accomplissement, et pour certains un graal…

La montagne monument
Le mont Ventoux a toujours fasciné. Ce lieu d’ascension permet de prendre de la hauteur au propre comme  au figuré. Taquiner les étoiles fait toujours rêver. Cette montagne, haute de 1912 mètres, dans son métrage le plus favorable, est unique. Elle offre à son sommet un panorama à 360° époustouflant. Elle présente également la particularité d’être visible depuis la plaine pratiquement sous tous ses angles. A des dizaines de kilomètres autour, on la voit toujours. Elle est là comme un phare, un repère. Elle a quelque chose de majestueux. Sa présence rassure.

Le Ventoux : visible à des dizaines de kilomètres autour. Il est là comme un phare, un repère.

Un lieu d’exploits
Celui qui est également surnommé ‘le mont chauve’ (les guides touristiques sont riches en figures allégoriques)  est rapidement devenu le terrain d’exploits et de compétitions sportives prestigieuses. On pense d’abord  aux courses cyclistes : Tour de France, Paris Nice et Dauphiné Libéré pour les plus connues. Le Tour de France, l’a escaladé à 18 reprises, dont 10 fois comme arrivée d’étape. La palme de l’ancienneté revient aux sports mécaniques avec l’organisation en 1902 de la première course de côte. Cette épreuve ouverte aux autos, puis ensuite aussi aux motos et side-cars s’arrêtera en 1976, pour la plus grande déception  de tous ses amateurs. Les coureurs à pieds ne sont pas en reste puisque la première épreuve du ‘Marathon du Ventoux’ fût organisée en 1908 par l’Union Sportive de Carpentras. Cette compétition existe toujours.

Le Tour de France au sommet du Ventoux en juillet dernier.

Le Ventoux rend fou
Le Ventoux a également été le théâtre de quelques exploits hors du commun : le 7 aout 1921, Gustave Daladier pose son avion sur le plateau au col des Tempêtes. Le 14 octobre 1967, Julien Bouteille, 70 ans fait l’ascension du versant sud avec un vélo sans selle. Il mettra un peu moins de deux heures. Le 3 juillet 1983, André Derve réalise la montée en triporteur, un engin pesant 52kg. Il lui faudra 4 heures en passant par le versant Nord (un peu moins pentu). En 2003, la première montée en roller est réalisée par Thibaut Dejean. Cet exploit donnera ensuite naissance à une compétition régulière le ‘Roller aventoux’. Des cyclistes téméraires se sont essayés au plus grand nombre de montées sur 24 heures. Le record en revient à Jean-Pascal Roux avec 11 montées et par le versant sud s’il vous plait ! Le Ventoux rend fou !

On y vend tout
Si cette montagne est une vraie icône, elle est aussi devenue avec le temps une marque qui fait vendre.  La première initiative revient sans doute à Jean Bugatti le fils d’Ettore (le constructeur automobile) qui en 1938 baptisa son modèle type 37, un élégant et performant coupé bicolore du nom de Ventoux. Sans aucun doute la plus belle et la plus désirable des autos de son temps.
Côté bouche le Ventoux excelle également. Récemment les cerises produites autour du Ventoux ont obtenus le prestigieux IGP une première en France pour ce fruit.
Il y a aussi bien sûr l’appellation Ventoux pour le vin (ex coteaux du Ventoux) qui a obtenu son AOP en 1973. Avec 7000 hectares et ses 140 domaines c’est la deuxième plus importante appellation des côtes-du-Rhône.

Quand une ‘célèbre marque’ rencontre une autre ‘marque’ tout aussi connue mondialement.

Ultime consécration, la renommée de cette montagne est telle qu’elle fait même l’objet de détournement comme cela avait été le cas en 2021 dans les colonnes de l’Echo du mardi avec un canular du 1er avril consacré en 2021 au lancement d’une crème dessert ‘Ventoux’ par ceux qui font déjà celle du ‘Mont blanc’. Même la Patrouille de France n’hésite pas à associer sa célèbre ‘marque’ avec ce monument de la montagne (voir photo ci-dessus).

N’oublions pas non plus la célèbre truffe du Ventoux (il s’agit du champignon bien entendu).  Nous ne serions pas complet si nous omettions  toutes les boutiques et autres échoppes qui utilisent la dénomination : on a ainsi des garages du Ventoux, des bars du Ventoux, des hôtels du Ventoux, des restaurants du Ventoux, des glaciers du Ventoux…  Bref le Ventoux vend tout.  Mais sans forcément y perdre son âme.

Didier Bailleux

Ancien directeur général et directeur de la rédaction de Mirabelle TV (télévision régionale en Lorraine), Didier Bailleux a été auparavant consultant dans l’audiovisuel et à travaillé sur plusieurs projets : TNT, SVOD, services en ligne, création de TV locales. En tant que directeur marketing, il a participé, dans les années 1990 et 2000, à la création de plusieurs chaînes thématiques : Canal J, Voyage et Pathé-Sport. Aujourd’hui, il vit en Vaucluse et travaille sur la production de documentaires consacrés aux terroirs.


Caromb : les solistes du Jeune orchestre Rameau en concert vendredi

Les campings France 4 Naturisme viennent de lancer une campagne d’affichages sur les murs du métro parisien. La campagne, débutée le 9 mai dernier pour s’achever le 15 mai, vise à attirer de nouveaux adeptes du naturisme dans l’un des 6 villages-camping français du groupe dont celui du Domaine de Bélézy à Bédoin. Situé au pied du Ventoux, ce camping naturiste dispose d’une capacité de 320 emplacements ainsi que 121 locations (bungalow, bungalow toile, chalet, mobile homes, tente).
Depuis le début de l’année, le camping naturiste vauclusien 5 étoiles a enregistré une hausse de son chiffre d’affaires de +14% par rapport à 2019. Même engouement pour l’ensemble du groupe présent aussi dans les Landes, le Médoc, l’Hérault, en Ardèche et en Corse qui, dans le même temps, affiche une augmentation globale de son activité de +27%. Avec un vrai boom chez les Européens, +43% chez les Néerlandais, 30% chez les Allemands, 10% chez les Belges …

La France se met à nu
De quoi renforcer la position de la France, première destination naturiste mondiale avec  environ 2 millions de Français et 2 millions d’étrangers qui pratiquent le naturisme dans l’Hexagone tous les ans.

La France est première destination naturiste mondiale. Un engouement qui profite comme ici au Domaine Bélézy à Bédoin qui a enregistré une hausse de son activité de +14% depuis le début de l’année.

« Le naturisme fait de plus en plus d’adeptes, explique Jean-Guy Amat, gérant de France 4 Naturisme qui représente aujourd’hui 30% de l’offre naturiste en France et 40% du chiffres d’affaires du naturisme. Il y a encore des fausses idées autour de cette pratique et nous souhaitons faire changer les mentalités. C’est pour cela que nous avons choisi de mettre en avant nos valeurs dans cette campagne publicitaire. Nous avons hâte d’accueillir de nouveau l’ensemble de nos clients européens, et aussi de partager notre engouement avec un nouveau public, dans cet état d’esprit de convivialité et d’ambiance familiale qui nous caractérise si bien. »

Liberté, égalité, nudité
Depuis quelques années le naturisme a le vent en poupe. Il attire ainsi chaque saison un nombre conséquent de nouveaux naturistes. Une nouvelle clientèle de jeunes trentenaires ou de familles avec jeunes enfants, stressés par la ville et le travail, qui cherchent à déconnecter et se ressourcer au plus près de la nature, particulièrement après avoir vécu l’épreuve du confinement. Après 2 années de Covid, France 4 Naturisme s’attend donc à une très bonne saison avec un retour en force des européens dans les différents campings du réseau.


Caromb : les solistes du Jeune orchestre Rameau en concert vendredi

Sans transition ! organise une émission en ligne avec le climatologue de renom Hervé Le Treut jeudi 24 mars prochain à 18h, sur les changements climatiques sur le territoire du Ventoux. Il s’agit du quatrième volet d’un cycle de rencontres organisé en partenariat avec le Parc Naturel Régional du Mont Ventoux, les Cafés de la transition. Voici le lien vers cet évènement : https://bit.ly/3sEu2xY

Hervé Le Treut
Hervé Le Treut est Physicien et climatologue, directeur de l’Institut Pierre Simon Laplace, membre de l’Académie des Sciences, professeur à Sorbonne Université et à l’Ecole Polytechnique. Il est né en 1956, à Toulon. Après des études à l’Ecole normale supérieure et une thèse sur la modélisation des nuages dans le système climatique, Hervé Le Treut entame une carrière de physicien et de climatologue. Il étudie notamment l’influence humaine sur le réchauffement climatique et l’effet de serre. Il a fait parti du GIEC, (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat).
MH

https://echodumardi.com/tag/ventoux/page/3/   1/1