3 juillet 2024 |

Ecrit par le 3 juillet 2024

Arles : une nouvelle formation pour apprendre les métiers du commerce, de la vente et du marketing

Le réseau de formations Negoventis et la CCI du Pays d’Arles créent une nouvelle formation Bac+2 en apprentissage ‘Gestionnaire des unités commerciales’ pour se former aux métiers du commerce, de la vente et du marketing. La formation débutera en novembre 2024.

Dès novembre 2024, il sera possible de se former aux métiers du commerce, de la vente et du marketing en apprentissage et d’obtenir un diplôme Bac+2 reconnu par l’état grâce à une nouvelle formation, accessible hors Parcoursup, basée sur un rythme de 2 jours de cours à la CCI du Pays d’Arles et 3 jours en entreprise.

Cette formation s’adresse aux futurs bacheliers et aux titulaires d’un bac+1 ou d’un titre de niveau 4. Elle va permettre d’ouvrir la voie vers divers métiers comme conseiller de vente, responsable d’univers marchands, adjoint chef de rayon, adjoint de magasin, et bien d’autres. La formation promet 90% de réussite à l’examen et 80% d’insertion après l’obtention du diplôme.

Demande d’inscription au 06 50 73 38 75 ou au 06 30 61 54 14 ou par mail à l’adresse formation@arles.cci.fr


Arles : une nouvelle formation pour apprendre les métiers du commerce, de la vente et du marketing

Les vide-maisons se font de plus en plus depuis quelques années. Si pour les vide-greniers, les particuliers doivent se déplacer avec tout ce qu’il souhaite vendre sur le lieu de l’événement, pour les vide-maisons, ils peuvent accueillir les potentiels acheteurs directement chez eux.

Un vide-maison aura d’ailleurs lieu ces jeudi 30 et vendredi 31 mai et ces dimanche 2 et lundi 3 juin dans une demeure située rue Flavien Lemoyne à Valréas. Il sera possible de s’y rendre entre 11h et 20h. Meubles anciens, meubles de rangement, livres, vêtements, et bien d’autres choses seront à la vente. Premier arrivé, premier servi !

30 et 31 mai, 2 et 3 juin. De 11h à 20h. 4 BIS rue Flavien Lemoyne. Valréas.


Arles : une nouvelle formation pour apprendre les métiers du commerce, de la vente et du marketing

Si le 1ᵉʳ mai représente la Fête du travail, il célèbre aussi la floraison du muguet. Chaque année, il est coutume d’acheter et d’offrir du muguet à ses proches. Une tradition qui remonterait à l’époque de la Renaissance, lorsque Charles IX aurait offert du muguet autour de lui en 1561 comme porte-bonheur, suite à une visite dans le Dauphiné où le chevalier Louis de Girard de Maisonforte lui en avait offert un brin cueilli dans son jardin à Saint-Paul-Trois-Châteaux. Le roi aurait tenu à reprendre cette pratique et à la reproduire chaque année, une tendance qui s’est vite propagée dans tout le pays.

Si l’on peut se procurer du muguet chez les fleuristes, dans les jardineries et les enseignes de la grande distribution, les particuliers, eux aussi, sont autorisés à en cueillir et en vendre, mais sous certaines conditions.

Une cueillette raisonnée

Cueillir du muguet en forêt est autorisé, mais doit être raisonnable pour le respect du milieu forestier et du propriétaire. En forêt publique comme en forêt privée, la cueillette doit être autorisée par le propriétaire forestier. Dans les forêts publiques gérées par l’ONF, la cueillette à ‘caractère familial’ est tolérée, sauf s’il existe un risque de disparition d’espèce. Dans ce cas, elle peut être interdite par un arrêté préfectoral ou communal.

Si la cueillette est autorisée, chaque personne ne peut cueillir que 10 à 15 tiges, soit ce que peut contenir la main. Pour éviter la disparition de l’espèce, il vaut mieux couper la tige que l’arracher, au risque de prélever le bulbe.

Une vente réglementée

La vente du 1ᵉʳ mai, contrairement à d’autres ventes de rue, ne nécessite pas d’autorisation particulière, mais il y a quelques règles à adopter :
• Vendre uniquement du muguet sauvage cueilli dans les bois.
• Vendre en petite quantité.
• Vendre en brin sans ajouter d’autres fleurs au bouquet et sans emballage.
• Ne pas s’installer à proximité d’un fleuriste.
• Ne pas utiliser de tables, tréteaux ou chaises pouvant matérialiser le point de vente.
• Ne pas constituer un danger ou une gêne pour les piétons et les véhicules.

Le non-respect de cette réglementation peut entraîner une amende de 300€, montant forfaitaire qui peut être minoré à 250€ et majoré à 600€. Si cette amende n’est pas payée dans les 45 jours, la personne encourt une amende de 3 750€ et de 6 mois d’emprisonnement.


Arles : une nouvelle formation pour apprendre les métiers du commerce, de la vente et du marketing

Dans l’objectif de participer à la lutte contre la prolifération des nids de frelons asiatiques, qui mettent en danger le travail des apiculteurs, l’ensemble des pollinisateurs et la sécurité des habitants, la Ville de Carpentras avait annoncé deux ventes de pièges à frelons asiatiques. La première ayant eu un immense succès, la seconde avait dû être annulée pour faute d’approvisionnement.

La Ville, qui a pu être de nouveau approvisionnée en pièges, annonce donc qu’une nouvelle vente aura lieu ce samedi 23 mars à l’Hôtel de Ville. Les pièges seront disponibles au prix de 4€ et seront accompagnés d’instructions claires pour leur utilisation sécuritaire et efficace.

Samedi 23 mars. A partir de 9h. Hôtel de ville. Place Maurice Charretier. Carpentras.


Arles : une nouvelle formation pour apprendre les métiers du commerce, de la vente et du marketing

Dans l’objectif de participer à la lutte contre la prolifération des nids de frelons asiatiques, qui mettent en danger le travail des apiculteurs, l’ensemble des pollinisateurs et la sécurité des habitants, la Ville de Carpentras organise deux ventes de pièges à frelons asiatiques à l’Hôtel de Ville, dont l’une a eu lieu ce jeudi 14 et l’autre devait avoir lieu ce samedi 16 mars. La ville se voit malheureusement obligée d’annuler celle du samedi 16 mars.

La première vente ayant été victime de son succès, la Ville dispose d’un délai d’approvisionnement trop court pour pouvoir maintenir la vente de ce samedi 16 mars. Une nouvelle date pour une seconde vente sera communiquée prochainement. « Votre engagement citoyen dépassant nos espérances, vous nous voyez contraints de clore la vente de ce jour », a déclaré la Ville sur ses réseaux sociaux ce jeudi 14 mars.


Arles : une nouvelle formation pour apprendre les métiers du commerce, de la vente et du marketing

La Ville de Carpentras a décidé de participer à la lutte contre le fléau que représente la prolifération des nids de frelons asiatiques en organisant deux ventes de pièges à frelons asiatiques à l’Hôtel de Ville les jeudi 14 et samedi 16 mars.

La présence du frelon asiatique s’est fortement développée ces dernières années en Vaucluse, mettant en danger le travail des apiculteurs, l’ensemble des pollinisateurs et la sécurité des habitants. En plus de la prédation sur les abeilles, et de l’équilibre de la biodiversité, la prolifération des nids des frelons a un impact direct croissant sur la population.

C’est pourquoi le Groupement de Défense Sanitaire Apicole du Vaucluse et le Syndicat des Apiculteurs de Vaucluse se sont regroupés et pour lancer une vaste campagne de piégeage massif dans tout le département afin de capturer au début du printemps le plus grand nombre de reines frelons asiatiques avant qu’elles ne construisent un nid.

Une initiative à laquelle la Ville de Carpentras a décidé de participer en proposant deux ventes de pièges les jeudi 14 et samedi 16 mars de 9h à 12h en salle du Conseil à l’Hôtel de Ville. Les pièges seront au prix de 4€ et seront accompagnés d’instructions claires pour leur utilisation sécuritaire et efficace. Ils doivent être installée entre février et avril sur un arbre en fleurs, sur un balcon en hauteur, ou à l’endroit d’un ancien nid.


Arles : une nouvelle formation pour apprendre les métiers du commerce, de la vente et du marketing

Le stand Vaucluse Provence a enregistré le samedi 2 mars 2024 plus de 5 600€ de ventes sur une seule journée, lors du dernier Salon de l’agriculture qui vient de se tenir à Pairs. Un record pour l’espace mis en place par le Département de Vaucluse. L’an dernier, le stand vauclusien avait réalisé une journée à 5 100€, cette année il semble que la fontaine de pierre et l’épicerie fine ont fait la différence pour permettre de battre le record de 2023.

Il faut dire qu’avec 192m2 d’espace et une proposition de produits locaux et artisanaux en tous genres comme les confiseries, les miels, charcuteries, pâtés, vins, biscuits, sirops, viandes et chocolats, ce stand vauclusien a mis toutes les chances de son côté. Un véritable voyage sur les terres agricoles du Vaucluse et un franc succès pour les 48 producteurs (proposant 175 références) présents sur le stand vauclusien de cette 60e édition du Salon de l’Agriculture.   

R.A.

© DR-Département de Vaucluse

Arles : une nouvelle formation pour apprendre les métiers du commerce, de la vente et du marketing

Après la dispersion des sculptures, meubles, tableaux et miroirs qui avait atteint les 2M€ début décembre, le commissaire-priseur Patrick Armengau propose ce samedi 16 décembre près de 500 lots de bouteilles qu’il a sélectionnées avec toute son équipe.

Des appellations Côtes du Rhône, Bordeaux et Bourgogne en rouge et en blanc. L’estimation débutera samedi 16 décembre à 14h. Et les prix varieront entre 30€ (pour quatre bouteilles de Saint-Joseph et cinq de Cairanne) jusqu’à 4 000€ pour le lot n° 208, une bouteille ‘La Tâche’ du Domaine La Romanée-Conti de 2002.

Donc, les amateurs auront le choix entre plusieurs strates de prix : 40€ pour un lot de 14 bouteilles de Côtes du Rhône dont un Château Pesquié ‘Prestige’ 2001, 50€ pour six bouteilles de Moulin à Vent 2018, 60€ pour quatre Châteauneuf-du-Pape ‘La Gardine’ 2005, 90€ pour huit bouteilles de vin sucré dont quatre Sauternes et un Rivesaltes… 

Sont également proposés dans le catalogue : 15 Gigondas ‘Seigneur de Lauris’ 2006 pour une mise à prix globale de 120€, pour la même somme de départ, 10 Châteauneuf-du-Pape ‘La Fagotière’ des millésimes 1970 – 1985 – 1993. On arrive ensuite à 200€ pour cinq Pauillac, une seule bouteille de Bordeaux ‘Mouton-Rotschild’ 1993 qui est estimée 250€, une autre de ‘Château Margaux’ à 350€. Avec un seul exemplaire de ‘Petrus’ 1976,on atteint 600€ et un ‘Rayas’ 2000 de Châteauneuf-du-Pape 700€.

On franchit ensuite la barre des 1000€ pour une ‘Chartreuse Tarragone’ du début XXᵉ siècle, 1200€ pour six bouteilles de Bourgogne ‘Clos de Vougeot’ Jean Grivot 2001, 1600€ pour une caisse de six bouteilles de ‘Gevrey-Chambertin’ 1999, 2000€ pour une caisse de six ‘Clos de Tart’ Grand Cru Monopole 1996 et on atteint des sommets avec la fameuse ‘Romanée-Conti’ 2002 estimée entre 3 500 et 4 000€ par Maître Armengau.

Il y en a donc pour toutes les bourses et ceux qui enlèveront la meilleure enchère pourront la fêter avec un Champagne Roederer cuvée ‘Crystal’ 2006 dispersé samedi prochain après-midi à partir de 14h à Avignon-Courtine.

Exposition le vendredi 15 décembre de 10h à 12h et de 14h à 18h et le samedi 16 décembre de 9h à 10h.
Vente le samedi 16 décembre à 14h.

Hôtel des ventes. 2 Rue Mère Teresa. Avignon.


Arles : une nouvelle formation pour apprendre les métiers du commerce, de la vente et du marketing

Le pompon de cette séance d’enchères, c’est justement un ours blanc en marbre blanc poli, sorti de l’atelier de François Pompon (1855-1933) qui a travaillé pour Auguste Rodin, Camille Claudel, Antoine Bourdelle avant de reprendre sa liberté et de se consacrer à son œuvre. Sa passion, les animaux, coq, grand cerf, taureau, chouette, ara qu’il sculpte. Et surtout cette série limitée d’ours dont un exemplaire trône au Metropolitan Museum de New-York. Maîtres Patrick Armengau et Emmanuel Houilliez, les comissaires-priseurs le mettront à prix dans la salle des ventes de Courtine à 200 000€.

Ours Blanc de François Pompon

Autre pièce-maîtresse : une fine et élégante console en bronze et marbre de Diego Giacometti, artiste-artisan, le frère d’Alberto, estimée entre 400 000 et 500 000€. Ces deux œuvres exceptionnelles proviennent de la demeure, à Ménerbes, de la collectionneuse Margaret-Louise Brozek et de la joaillère Lucienne Lazon qui avait créé la Palme d’Or du Festival de Cannes en 1955. Une autre console du même sculpteur, qui faisait partie de la collection du couturier Hubert de Givenchy, avait été enlevée à 1M€ chez Christie’s en 2017.

« Nous avons ici des œuvres majeures du XXᵉ siècle », a expliqué Patrick Armengau à un parterre d’invités de marque, amateurs d’art. Parmi les 91 pièces proposées, des meubles (commode, buffet de chasse, cabinet en bois, semainier Louis XV-XVI, une paire de canapés iconiques en cuir noir et chrome du trio Le Corbusier – Jeanneret – Charlotte Perriand). 

Mais aussi une assiette de Picasso (Joueur de flûte) en faïence, un service opalescent de Lalique, une tête d’homme sculptée dans la pierre par Auguste Chabaud qui vient du Musée de Graveson et est estimée entre 10 000 et 12 000€. Des sculptures de Georges Jouve créées à Nyons, de Gaston Le Bourgeois, une Vierge à l’offrande de Bourdelle, une lampe de table en cristal de la Maison Lalique. Et des toiles des plus grands noms du siècle dernier : Salvador Dali, Sonia Delaunay, Raoul Dufy, Jean Hélion, Ben.

Toutes ces œuvres uniques seront dispersées lors d’une vente aux enchères exceptionnelle par Patrick Armengau et son équipe, samedi 2 décembre à partir de 14h30 au 2, Rue Mère Teresa.

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