22 novembre 2024 |

Ecrit par le 22 novembre 2024

‘Vélo nature Collias’, à la découverte du territoire à vélo électrique

L’équipe Kayak Vert Pont du Gard se lance dans un nouveau challenge ! Une activité dédiée cette fois à la location de vélos à assistance électrique voit le jour. Situés à l’entrée de Collias, Vélo nature Collias fera découvrir le territoire de l’Uzège-Pont du Gard à travers des chemins de traverse.

C’est lors du confinement de 2020 que l’idée de cette location de VAE (Vélo à assistance électrique) a émergée. L’activité de canoë à l’arrêt, l’équipe se rapproche de ses partenaires : le Musée Haribo, le parc accrobranche ‘Air de nature’ à Saint Quentin-la-Poterie, et plusieurs hébergeurs pour identifier les futures demandes clients. Tous sont du même avis, les touristes souhaitent désormais vivre des vacances respectueuses de l’environnement, découvrir le petit patrimoine et des savoir-faire : artisans, petits producteurs, vignerons, oléiculteurs…

5 boucles cyclo-touristiques

Une partie de l’équipe s’est donc attelée à emprunter ces ‘chemins de traverse’ à vélo pour mieux connaître les paysages et découvrir des personnes qui méritent le détour. Idéalement situés entre Uzès et le Pont du Gard, les parcours peuvent être effectués en étoile depuis Collias via la Voie Verte du Pont du Gard, en direction de Beaucaire ou d’Uzès. Il est aussi possible de rejoindre l’une des 5 boucles cyclo-touristiques : la boucle de l’aqueduc au départ de Collias, la boucle des capitelles au départ de Serviers-et-Labaume, la boucle de l’Uzège au départ de Collias, la boucle de la vigne à vélo au départ d’Aramon et enfin la boucle de la garrigue, au départ de Saint-Quentin-la-Poterie.

Rencontres, découvertes et échanges

Plus qu’une location pure, l’équipe s’est investie pour recenser les personnes à rencontrer, tracer des parcours GPS et cibler les points d’intérêts des futures clientèles. De ce travail de recherche et recensement sont nés des articles de blog. Des articles ‘facilitateurs de parcours’ qui visent à mettre en lien visiteurs et professionnels locaux, pour sortir des sentiers battus et faire découvrir des pépites, des petits villages cachés, s’éloigner des grands sites touristiques. Grâce à cette approche de partage de connaissance, ‘Vélo nature Collias’ entend créer une offre qualitative pour les visiteurs et nouer de nouveaux partenariats locaux.

Informations techniques: modèle VTT Moscow, batterie fixée au cadre, autonomie jusqu’à 150 Km. Ecran LCD multifonctions avec affichage des niveaux d’assistances, kilomètre batterie, vitesse… De 35€ la demi-journée à 245€ la semaine. Mail: contact@velo-collias.com, 04 66 22 84 84, site internet: www.velo-collias.com


‘Vélo nature Collias’, à la découverte du territoire à vélo électrique

Dans le cadre du projet européen Leader (Liaison entre actions de développement de l’économie rurale), les élus du Gal (Groupe d’action) Haute Provence Luberon ont confié à Vélo loisir Provence la réalisation d’une étude pour le développement de services autour du vélo dans le Luberon.

Cette démarche s’inscrit dans la continuité de son action de plus de 20 ans pour le développement et la structuration de l’offre de vélo sur les territoires du Luberon et du Verdon. L’objectif central de cette étude est la création d’espaces dédiés à la pratique du vélo pouvant accueillir services et animations (ateliers, conférences, sensibilisation des collectivités, mise en relation des différents publics, etc.).

Pour participer

Lors d’une première phase, Vélo loisir Provence propose une enquête auprès des collectivités locales sur leurs besoins et attentes concernant le développement de services et animations autour de la pratique du vélo et lance la diffusion d’un questionnaire en ligne (https://tinyurl.com/enquete-velo-Luberon) à destination des usagers du territoire du Luberon (résidents, touristes et visiteurs). Le flyer de l’enquête avec QR code sera disponible jusqu’au 30 septembre dans les mairies, offices de tourisme, et chez les adhérents et partenaires de Vélo Loisir Provence. 5 min seulement suffisent pour participer à la co-construction de ce lieu dédié au vélo dans le Luberon.

L.M.


‘Vélo nature Collias’, à la découverte du territoire à vélo électrique

Quelle aventure cette Race Across France ! Une superbe victoire pour le duo de choc Bertrand Brochot et Mathieu Bonnand. Il boucle les 335km et 6500m de dénivelé, de nuit, en 14h58min. Une course pour faire avancer la recherche autour de la maladie de L’histiocytose. Encore quelques jours pour faire grandir la cagnotte de 1400 euros au profit de l’Association Histiocytose France.

Vous avez dit Race Across ?

L’ultra-cyclisme est né en 1982 de l’autre côté de l’Atlantique, avec l’invention de la Race Across America considérée comme la course cycliste la plus difficile du monde. Les concurrents traversent le Continent d’Ouest en Est sur 5.000 km. Depuis, d’autres courses longue distance ont vu le jour, mais pas en France. L’anomalie est désormais réparée. La Race Across France est la première épreuve d’ultra-cyclisme dans le pays qui a fait naître le Tour de France.

Pour rendre hommage à sa grande sœur américaine et faire un pont d’amitié entre nos deux pays, la Race Across France propose un fabuleux challenge de 2.600km. La course s’élance des plages de méditerranée, en mémoire du débarquement des alliés en Provence. Le parcours sillonne les Alpes et nombre de cols parmi les plus hauts lieux du cyclisme. Énorme défi et fabuleux voyage jusqu’à l’arrivée au Touquet en forme d’apothéose pour tous les concurrents, tout particulièrement étrangers.

Contre la maladie

La team Anaé souhaitait sensibiliser autour de l’histiocytose et ainsi faire avancer la recherche. Cette pathologie rare est liée à l’accumulation de cellules de Langerhans au sein de différents organes. La plupart des organes du corps peuvent être atteints et les plus fréquents sont l’os (80%), la peau (33%), l’hypophyse (25%). D’autres organes peuvent être atteints comme le poumon, le foie, la rate, le système hématopoïétique dans 15%, les ganglions dans 5 à 10%, le système nerveux central en dehors de l’hypophyse dans 2 à 4% des cas. Vous souhaitez faire un don ? Cliquez ici.


‘Vélo nature Collias’, à la découverte du territoire à vélo électrique

Le château de Bosc, à deux pas du Pont-du-Gard et d’Avignon, est un lieu proposant 8 activités pour passer un bon moment en famille. Outre ses musées, l’établissement est l’un des rares au monde, grâce à un procédé tenu secret, à proposer une gamme de vins sans sulfites de garde.

Quelle échappée succulente que de déambuler dans les allées ombragées du parc. Les cigales nous abondent de leur chant, les fragrances nous chatouillent, le lieu en devient onirique. Au loin, une forme cylindrique intrigue, son rouge flamboyant nous saisit, ses formes chimériques nous parlent. Instinctivement, le visiteur s’approche et contemple l’énergumène, un second jaune vif niché derrière nous appelle également, et c’est toute une collection de 30 artistes qui prend vie. Les formes varient, les couleurs nuancent et les perspectives nous trompent. Ce qui marque ? La symbiose entre la nature et l’art. Sans même pénétrer dans le château de Domazan, les jardins nous invitent à l’évasion.

Château de Bosc ©Linda Mansouri

D’une surface de 12 000 m², le parc est notamment planté de cèdres du Liban, dont un, trois fois centenaire magnifie à lui seul ce havre de paix et de tranquillité. On y trouve aussi des oliviers à foison, de jolis grenadiers et un sentier botanique. A la tête de l’édifice ? Guillaume Reynaud est issu d’une famille de vignerons dont il est la cinquième génération. Avant lui, Claude, Louis, Gabriel et Jean-Louis, dès 1903 ont produit du vin à Domazan. Parce que oui, le château n’est pas seulement un repère pour les passionnés de vélos et de motos, mais aussi pour les férus de vins. Après des études d’œnologie, Guillaume reprend la propriété de ses parents.

« Nous avons acheté le château et récupéré les vignes tout autour qui étaient en très bon mauvais état. Il a fallu entrer en conformité avec l’appellation Côte du Rhône », explique Guillaume Reynaud, ancien élu et toujours actif au syndicat des vignerons de Signargues. L’édifice datant de 1872 est incroyablement bien conservé, seule la toiture a été refaite, le parc en revanche a lui été entièrement repensé. Pour l’épauler dans sa besogne, son épouse Virginie Reynaud prend en charge le volet évènementiel. A son actif, des soirées organisées tous les jeudis regroupant une centaine de convives autour de planches apéritives et dans une ambiance musicale.

Château de Bosc ©Linda Mansouri

L’invention des vins sans sulfites de garde

Le château de Bosc aurait pu être un domaine viticole bio comme les autres. Cependant, voici plus de treize ans que Guillaume Reynaud, a fait une découverte majeure : élaborer des vins sans sulfites qui se gardent et sans défaut. Depuis mille ans, l’homme n’a jamais su faire autrement que de rajouter des sulfites (souffre) dans le vin pour le conserver. Dans les années 1970, certains producteurs bios commencèrent à essayer de produire des vins sans cet additif. De nos jours on peut en trouver dans le commerce mais rarement. Le seul problème, mais de taille, est qu’ils ne se conservent que quelques mois, une année avec beaucoup de chance, dans tous les cas, de manière aléatoire.

Guillaume Reynaud s’installe en 2000 et met ses premières cuvées en bouteille en 2006. Aujourd’hui, 40 000 bouteilles sortent du domaine à l’année. « Avant nous faisions essentiellement du négoce, c’est en 2010 que nous nous sommes spécialisés dans les vins sans sulfites de garde. » Depuis, toute la gamme est concernée. La raison ? Un travail pénible et difficile en cave pour Guillaume en raison d’une gêne respiratoire. « J’avais du mal à respirer, je ne pouvais pas continuer comme ça, il fallait trouver une solution ». La solution, elle mettra quatre années à pointer le bout de son nez, la littérature à l’époque sur le sujet étant très mince. Après trois ans d’expérimentations à haut risque (le vin pouvait tout simplement se transformer en vinaigre dans la cuve ou dans la bouteille), la recette secrète est trouvée. Guillaume tient à le préciser : « la méthode fonctionne très bien et n’est pas aléatoire, le vin reste de même qualité, indépendamment des années. »

©Château de Bosc

Depuis 2010, son vin sans sulfites, cuvée Artémis, est mis dans le commerce sans problème de vieillissement particulier. D’autre part l’impact qualitatif est perceptible : « nous avons des vins mieux définis, plus ronds, plus gras, moins impactés par le SO2… cela permet d’avoir des vins avec un meilleure amplitude, par contre, ces vins-là nécessitent une stratégie technique où il faut être méthodique et rigoureux… » Aujourd’hui le vigneron peut présenter une « verticale » ininterrompue (un échantillon de la même cuvée sur plusieurs millésimes successifs) de 10 années disponible uniquement pour les scientifiques ou les professionnels.

Tandem de choc

Guillaume a pour complice un œnologue de renom avec qui il forme un tandem efficace : Jean-Philippe Trollet. Celui-ci est une sommité dans le milieu du vin. Jean-Philippe Trollet fut en effet sacré « Meilleur œnologue du monde » (« Winemaker of the year ») en 2009 par le prestigieux International Wine Challenge. La complicité qui unit les deux hommes dans la recherche œnologique est réelle et fort efficace. Le château de Bosc s’est fait un nom grâce à sa cuvée sans sulfites Artémis, mais pas que !  Grâce au savoir-faire du vigneron et à son terroir d’exception, le domaine propose une gamme plus traditionnelle composée de vins blanc, rosé et rouge.

©Château de Bosc

Le caveau est situé dans la salle principale du château de Bosc. Le visiteur peut y déguster gratuitement toute la gamme. Tous les vins peuvent être présentés et commentés soit par la personne de l’accueil qui en a toute la compétence, soit par le propriétaire s’il est présent

©Château de Bosc

Les Jardins du Bosc

Pour faire découvrir le château, ses activités et son vin unique, Virginie Reynaud mise sur l’événementiel. Les Jardins de Bosc proposent des soirées tous les jeudis de juillet, de 19h à 22h30. « J’ai lancé ces soirées en 2019, je me suis rendue compte que beaucoup de visiteurs connaissaient le château pour son musée et ses collections et pas forcément pour son bon vin. » Au menu ? Découverte des vins du domaine avec planches apéritives et dans une ambiance musicale. Le château de Bosc vous accueille aussi pour célébrer mariage, baptême, anniversaire, repas d’entreprise, ou tout autre événement propice aux rassemblements et festivités. C’est entre vignes et parc ombragé que les convives peuvent profiter du charme de ce beau domaine viticole et de sa tente de réception. Egalement au programme, des marchés de producteurs, ou les produits du terroir se conjuguent aux vins du domaine.

Photo : château de Bosc.

L’art et la moto

« Mon père était passionné par la technique et les deux roues. C’était un gros collectionneur mondial, la collection du musée est l’une des plus belle de France et d’Europe en terme d’évolution du cycle. » La collection Claude Reynaud, parmi sa trentaine de motos exposées, présente bon nombre de machines dont des modèles semblables ont été montrés au Guggenheim Muséum : Majestic, 4 cylindres FN, 1000 Vincent, MV4, Harley Davidson, Honda Four, Indian etc… Ici, au château de Bosc, point d’alignements lassants de motos mais une sélection rigoureuse dont les seuls critères sont la beauté, mais aussi l’histoire et la rareté.

Présentées de manière chronologique, de 1900 à 1980, dans trois salles du château, les motos de Claude Reynaud retracent, à leur manière, l’évolution du deux-roues. Vous êtes ici dans la demeure d’un collectionneur privé, passionné, historien et expert qui a décidé d’ouvrir sa collection au public. L’homme a également écrit une ribambelle de bouquins sur l’histoire du village et dressé un arbre généalogique des domazannais distribué aux habitants.

©Château de Bosc

Musée du vélo

Certains vélos peuvent-ils être considérés comme des objets d’art ? Après la visite du château de Bosc, la réponse, comme pour les motos est : oui ! Au niveau art, il faut avoir vu la draisienne dite «  de Charles X », la draisienne cheval, classée Monument Historique par le Ministère de la Culture en 2010 (le seul deux-roues classé en France). Il faut avoir vu également l’extraordinaire vélocipède ciselé d’Yves Montand ou même un grand bi Springfield, tout en élégance, pour se rendre compte combien les constructeurs, les artistes dirons nous, rivaliseront d’ingéniosité et d’inspiration pour produire de véritables chef-d’œuvres.

©Château de Bosc

Toucher de vrais avions de chasse

Personne n’a oublié les mythiques avions Mirage 5 et MiG 17 de Buck Danny, Tanguy et laverdure et autres héros de la BD… Chacun sait ce que ces aéronefs ont apporté de rêve à plusieurs générations… Le château de Bosc peut vous permettre d’approcher ces fabuleux engins. Cette exposition se veut didactique grâce à des panneaux explicatifs mais aussi ludique puisque proposant un jeu aux enfants.

©Château de Bosc

Pour ponctuer ces quelques lignes, Virginie Reynaud trouve la formule. « Au château de Domazan, il y en a pour tous les goûts, pour ceux axés sur l’art, ceux sur le vélo ou la moto, les enfants et les amateurs de bons vins. » La messe est dite.

Informations pratiques : 651 chemin du Bosc – RN100, 30390 Domazan, tél. 04 66 57 65 11, site internet cliquez ici. Tarifs comprenant toutes les activités : (vélos, motos, avions, ludothèque, jeu de piste) 9€ / adulte et 6.5€ / enfant de 3 à 13 ans.


‘Vélo nature Collias’, à la découverte du territoire à vélo électrique

Les Pays-Bas, royaume des cyclistes
Lorsque que l’on pense aux Pays-Bas, outre les moulins à vent, le gouda et les tulipes, on pense aussi inévitablement aux vélos, beaucoup de vélos. Le pays est connu dans le monde entier pour être le paradis des cyclistes. Les amateurs de deux roues et de mobilité durable y disposent notamment de paysages plats, d’un climat doux et d’infrastructures optimales qui les invitent à pratiquer le vélo au quotidien. Il n’est donc pas surprenant que ce pays soit celui qui présente la plus grande part d’utilisateurs fréquents. Ainsi, aux Pays-Bas, près de 60 % des personnes interrogées dans le cadre du Global Consumer Survey en 2021 affirmaient se déplacer avec leur vélo deux fois ou plus par semaine.

Parmi les pays sélectionnés dans notre graphique, l’Allemagne se distingue également en matière d’enthousiasme pour la bicyclette, avec une proportion d’utilisateurs fréquents qui s’élève à 36 %. Les Allemands sont égalés par l’Inde, dont la plus grande ville, Mumbai, présentait le deuxième plus haut niveau de congestion du trafic au monde en 2020. La Corée du Sud et les États-Unis, en revanche, figurent parmi les pays les plus réticents à enfourcher une bécane, avec respectivement 14 % et 13 % d’utilisateurs fréquents. Malgré une hausse de la pratique observée en 2020, les Français sont encore loin d’être parmi ceux qui se déplacent le plus avec leur vélo : seulement 18 % des personnes interrogées, soit environ une sur cinq, déclaraient l’utiliser au moins deux fois par semaine.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


‘Vélo nature Collias’, à la découverte du territoire à vélo électrique

Il y a quelques semaines, l’office de tourisme Vaison-Ventoux accueillait (avec la collaboration de VPA : Vaucluse Provence attractivité), 3 influenceurs vélo du réseau Sports’N Connect. Dans le cadre du premier épisode de la série ‘La France à Vélo‘, Quentin Ruel, Nicolas Gervais et Alexandre Marlier ont eu l’occasion de fouler les sentiers du Vaucluse, terre de vélo.

Le programme était chargé, découverte du ‘gravel bike’ au Centre départemental de plein air et loisirs de Rasteau, dentelles de Montmirail, ascension du Mont Ventoux et escale au sein de l’hôtel gite Le Nesk. Les premières vidéos (qui durent chacune une vingtaine de minutes) de leur expérience vauclusienne viennent d’être publiées ! Une belle mise en avant des pratiques du vélo en Vaucluse, et en particulier autour du Mont-Ventoux. Le Vaucluse est ainsi à l’honneur sur des chaines touchant des milliers de sportifs, amateurs ou professionnels, mais surtout férus du dépassement de soi et de la nature.

L.M.


‘Vélo nature Collias’, à la découverte du territoire à vélo électrique

Reconnaissez-vous ces visages ? En plein dans le mille, le fameux tandem Fabrice et Briac de l’aventure ‘Pekin express’ sillonne actuellement les routes dans le cadre d’un tour de France pour la ligue contre le cancer. Du doux nom de « fabriactour », cet événement inclus un passage en Vaucluse avec notamment le sommet du Mont Ventoux. C’est en toute simplicité qu’ils se sont arrêtés à la rencontre des gendarmes de Gordes.

Allier vélo et lutte contre le cancer ? C’est possible ! Fabrice et Briac se lancent dans un défi audacieux. Ils vont parcourir la France entière à vélo pendant 6 mois. Ce tour de France ne représente pas moins de 10 000km à faire en 6 étapes de 25 jours chacune, soit un total de 150 jours. Les deux compères iront au contact de la population et dormiront chez l’habitant pour reprendre le concept de l’émission. Les deux hommes ont décidé à travers cette initiative de faire appel à la générosité des français pour la lutte contre le cancer et de collecter un maximum de dons. Ces grands cœurs ont choisi la Ligue contre le cancer comme association bénéficiaire. Les dons se feront via le site GlobeDreamers. Pour suivre leur aventure et participer à la collecte de dons, cliquez ici.

Photo: gendarmerie de Gordes

‘Vélo nature Collias’, à la découverte du territoire à vélo électrique

Voilà un challenge qui a ravi bon nombre de compétiteurs ou simples amoureux du vélo. Dans le cadre de sa politique de promotion des mobilités douces, la Cove (Communauté d’agglomération Ventoux Comtat Venaissin) s’associait à l’opération nationale ‘Mai à vélo‘, mettant les communes de France en compétition autour de la pratique.  

« Nous avons accueilli Kathleen Personnic, grande gagnante du défi mobilité de la CoVe, lancé à l’occasion du challenge national Mai à Vélo. Pour rappel, le challenge Mai à Vélo invitait les habitants du territoire à utiliser davantage le vélo comme moyen de transport écologique. Et c’est en parcourant près de 1 100km à vélo en seulement 2 semaines que Kathleen s’est démarquée ! » Un effort plus que remarquable et exemplaire qui a été récompensé par la victoire et un VTC offert par la Cove, en présence de Jacqueline Bouyac, présidente de la Cove, et Norbert Lepatre, conseiller communautaire délégué aux pistes cyclables. « Encore bravo et merci à tous les participants du challenge, on espère retrouver votre engagement l’année prochaine pour cette fois hisser la Cove encore plus haut dans le classement. »

L.M.


‘Vélo nature Collias’, à la découverte du territoire à vélo électrique

Vous vous demandez pourquoi de nombreux cols blancs filent à toute vitesse dans les rues, perchés sur leur trottinette électrique, sac à dos niché derrière ? La réponse se trouve évidemment dans la liberté de circulation qu’offrent les trottinettes électriques et autres moyens de transport comme le vélo. Praticité, circulation dans les espaces étroits, gain de temps, prix abordable, les nouveaux moyens de transport pour le personnel ont le vent en poupe.

Les services de santé au travail de Présanse Paca-Corse proposent un webinaire sur les nouveaux moyens de déplacement, à l’occasion des ‘journées de la sécurité routière au travail’. L’AIST 84, service de santé au travail, invite les utilisateurs ou les entreprises comptant des salariés utilisant trottinette, vélo, gyropode, rollers, etc. à s’inscrire. Au programme : comment adopter les nouvelles précautions de circulation en milieu urbain et interurbain ; faire le point sur sa pratique et connaître ses droits et devoirs issus du code de la route. Le webinaire aura lieu le mercredi 19 mai 2021, de 11h à 12h. Il est ouvert à toutes les entreprises quel que soit leur service de santé au travail d’adhésion.

Inscriptions, cliquez ici.

https://echodumardi.com/tag/velo/page/6/   1/1