24 juillet 2024 |

Ecrit par le 24 juillet 2024

Trois associations reçoivent un don de McCormick

McCormick-Ducros, spécialisé dans les aromes, reconduit son soutien aux associations Sport dans la ville, à l’Institut Louis Germain et en aide une nouvelle : les Restos du cœur de Vaucluse.

Le groupe a poursuivi comme en 2020, son engagement en soutenant un large éventail de partenaires qui combattent la précarité alimentaire et l’injustice sociale. Fin 2021, McCormick a donc fait un don financier de près de 13 000€ reparti à part égale (4300€) par association, leur permettant ainsi à chacune de mener des projets concrets. Ces 3 associations ont été sélectionnées par les employés de McCormick France.

Centre de vacance et campus d’excellence

« Le partenariat avec McCormick est un précieux soutien pour envisager des actions dans le cadre de notre programme sport et nutrition conduit auprès de 7000 jeunes et leur famille », se réjouit Florence Arnaud, directrice partenariats de l’association Sport dans la ville. Un don qui sera notamment destiné à la création d’un futur centre de vacances en Drôme provençale dont l’ouverture est prévue en juin 2022. Le centre permettra, grâce à la mise en place d’un jardin en permaculture, de faire connaître et apprécier les fruits et légumes aux enfants, et de privilégier une meilleure alimentation.

Pour Julien Puel, directeur général de l’Institut Louis Germain basé à Saint-Rémy-de-Provence, ce don permettra de mettre en place en 2022, 144 heures soit 24 journées de cours pour une cinquantaine de collégiens et de lycéens d’Avignon et de ses communes limitrophes. Ces sessions appelées campus, sont des tutorats scolaires d’excellence permettant de donner à des collégiens et des lycéens, issus de milieux modestes, les connaissances indispensables pour accéder aux cursus universitaires les plus prestigieux.

650 employés en Vaucluse

Un geste également salué par Bernard Magron, président des Restos du cœur de Vaucluse : « Les équipes des 17 antennes de Vaucluse se joignent à moi pour remercier chaleureusement McCormick […] Ce don va nous permettre d’aménager une salle de formation et de réunion dans les locaux du siège départemental de l’association sur Avignon. » Olivier Riomet, directeur général Europe de l’Ouest chez McCormick, remercie « tous les collaborateurs qui ont rendu cela possible ».

Dans le Vaucluse, où McCormick a repris Ducros-Vahiné en 2001, le groupe compte 650 employés répartis au sein de son siège social dans la zone d’Agroparc à Avignon et ses sites de production de Carpentras et de Monteux. Trois branches d’activité principales : les poivres, herbes et épices sous la marque Ducros, les aides aux desserts sous la marque Vahiné et une gamme de solutions prêtes à l’emploi et d’ingrédients thaï sous la marque Thaï Kitchen. Le groupe fondé en 1889 dans le Maryland, totalise 6 milliards de dollars de ventes annuelles dans 170 pays.

L.M.


Trois associations reçoivent un don de McCormick

A l’occasion du dernier ‘Relance export tour’ spécial Afrique qui vient de se tenir à Marseille, le Conseil régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur a rappelé son souhait de soutenir les entreprises qui souhaitent s’engager à l’international et particulièrement vers l’Afrique. Un marché où, malgré la proximité, le Vaucluse n’est pas particulièrement présent.

« Accompagner les entreprises à l’export, c’est un enjeu stratégique de croissance mais aussi de relance de notre économie régionale après la crise que nous venons de traverser, insiste Renaud Muselier, président de la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur, avant de poursuivre : « Nous sommes fiers aujourd’hui, d’accueillir ce ‘Relance export tour spécial Afrique’. Notre ambition est de faire de la Région Sud et de Marseille un hub vers l’Afrique et la Méditerranée et d’aider nos entreprises à s’y ancrer ; pour cela nous engageons toute une série d’actions, avec nos partenaires : missions, Volontariat international en entreprises (VIE), ou encore le parcours Sud Export. »

« Faire de la région un hub vers l’Afrique. »

Renaud Muselier, président de la Région Sud

Ce ‘Relance export tour’ Afrique s’inscrit dans la continuité du Nouveau Sommet Afrique-France de Montpellier (voir vidéo en fin d’article), qui s’est tenu en octobre dernier à Montpellier, et de l’action du Gouvernement en faveur d’un renforcement des relations entre entrepreneurs français et africains. Il vise à présenter aux entrepreneurs de France et de la diaspora les outils à leur disposition pour les aider dans le développement de leur entreprise grâce au Plan de Relance et pour les accompagner dans leur démarche export vers l’Afrique.
« Avec nos partenaires de la ‘Team France export Sud’, nous travaillons depuis maintenant 4 ans, ensemble, dans une relation de confiance et sur le terrain au plus près des entreprises, rappelle Renaud Muselier. Nous les accompagnons à travers un parcours sur mesure pour simplifier leur quotidien et les aider à se développer à l’international. Avec la Team France export Sud l’Etat, la Région et ses partenaires investissent ainsi 20M€ pour accompagner plus de 2 600 entreprises à l’international et notamment en Afrique. »
Pour cela, la Région s’appuie tout particulièrement sur la ‘Team France Export Sud’ (TFE) ainsi que d’autres  partenaires comme Business France, la Chambre de commerce et d’industrie de Provence-Alpes-Côte d’Azur, BPI France et les conseillers du commerce extérieur.
Depuis 2018, les 14 conseillers référents de TFE ont ainsi suivi 5 000 entreprises de la région alors que 226 entreprises ont obtenu un financement régional pour se lancer à l’export pour 4M€. La structure régionale a aussi accompagné le financement de 250 missions VIE financées par la Région à hauteur de 3,7M€. Enfin, rien qu’en 2021, 964 entreprises régionales ont bénéficié d’un coaching pour tenter l’aventure de l’export.

(Crédit : Jean-Charles Verchere)

Pourquoi l’Afrique ?
A ce jour, l’Afrique est la plus grande zone de libre-échange au monde avec une croissance continue de plus de 4%. En région Provence-Alpes-Côte d’Azur, ce continent représente 22,6% des importations et 9,4 % des exportations régionales.
La région Sud et Marseille font parties des territoires qui accueillent le plus de consulats africains. Par ailleurs, à ce jour, plus de 54 projets africains ont vu le jour dont 10 en 2021. La région Sud c’est aussi une terre d’opportunité pour les entreprises du monde entier qui souhaitent développer les relations avec l’Afrique. Première destination des entreprises régionales pour l’ouverture de filiales à l’étranger, l’Afrique est aussi la deuxième destination pour leurs exportations, devant l’Asie. De plus en plus d’entreprises internationales choisissent ainsi de s’implanter à Marseille ou ailleurs sur le territoire, pour se connecter au marché européen et avoir un accès rapide aux places financières européennes, bénéficier d’un écosystème numérique local sur des filières d’excellences en lien avec les défis du développement de l’Afrique (santé, énergies vertes ou numérique) et enfin constituer en région Sud le point central de leur développement commercial en direction de tout le continent africain.

Le Vaucluse à la traîne
Dans cette éventualité, le Vaucluse a encore fort à faire. En effet, aucun pays d’Afrique dans les 10 premiers clients du département. Côté fournisseur, seule la Tunisie figure dans le top 10 (en 10e position) avec 43,7M€ d’échanges en direction du Vaucluse, bien loin de l’Italie (353,8M€), premier fournisseur du département. La balance commerciale entre le Vaucluse et l’Afrique est d’ailleurs déficitaire (-49M€ en 2020). Un écart que pourront peut-être combler les entrepreneurs vauclusiens puisque, dès juin 2022, Team France Export Sud conduira une délégation d’entreprises, au Sénégal puis au Maroc.


Trois associations reçoivent un don de McCormick

Poursuivant sa mission humanitaire, la présidente de la Banque Alimentaire, Stéphanie Sergeant a proposé une nouvelle session de vaccination sur site pour tous les bénévoles volontaires et membres d’associations partenaires. Cette vaccination pour une troisième dose de vaccin a été réalisée par l’intermédiaire de l’Association Entraide Pierre Valdo.

Hélène Avenier, chargée de mission, Carole Gangloff, chef de service et Caroline Colomb, de la brigade mobile ont accompagné le Docteur Jean Lecacheux et l’infirmier Aurélien qui ont procédé à la vaccination des bénévoles volontaires  en présence d’Alex Gadré, directeur de cabinet du Préfet.

«L’initiative de la Banque Alimentaire est d’autant plus importante que le taux de vaccination pour la 3ème dose est bas dans le département, 49,1% (il est de 53,9% en France)» a précisé Alex Gadré.

De son côté, la brigade mobile de  l’Association Entraide Pierre Valdo multiplie les déplacements dans le département pour proposer la vaccination au plus grand nombre. 100 000 Vauclusiens ont perdu leur pass le 15 février dernier.
MH


Trois associations reçoivent un don de McCormick

Folklore, langue gaélique, musique… Mais aussi business et industrie. Au sein de l’entreprise irlandaise Tricel à Sorgues, le pays du trèfle a réitéré sa volonté de poursuivre ses « excellentes » relations avec la France.

« Finalement, on peut dire qu’il n’y a que sur les terrains de rugby que l’on est adversaire », déclare le 1er magistrat de Sorgues, Thierry Lagneau, provoquant une vague de rires au cœur du site Tricel, avenue Denis Papin à Sorgues. La deuxième usine française de la multinationale spécialiste de l’assainissement non-collectif, recevait il y a quelques jours la visite du vice-Premier ministre irlandais et ministre du commerce Léo Varadkar.

Accompagné d’un ambassadeur, cette visite s’inscrivait dans le cadre d’une tournée en France avec des étapes à Lyon et Marseille pour découvrir le savoir-faire français. Au programme, présentation du parc de cuves fabriquées sur le site sorguais, visite des ateliers de fabrication ainsi qu’une démonstration des nouveaux outils digitaux utilisés dans les process.

C’est en 2016 que l’entreprise de construction de micro-stations d’épuration a choisi Sorgues pour implanter son second site français de fabrication et de distribution, après celui de Poitiers. Une implantation notamment réussie grâce au concours de l’agence économique Vaucluse Provence Attractivité et de l’agence irlandaise gouvernementale Enterprise Ireland.

Présentation de Tricel au sein de l’usine de Sorgues. Crédit photo : Linda Mansouri

Aujourd’hui, l’usine vauclusienne dirigée par Nicolas Cherici emploie près de 20 salariés. L’occasion pour le vice-Premier ministre irlandais de rappeler que « les relations n’ont jamais été aussi fortes entre nos deux pays ». Et d’ajouter : « Nous sommes fiers de notre très bon partenariat depuis le Brexit. La France se révèle être un partenaire privilégié en Europe ». Pour le haut diplomate irlandais, le rayonnement local, l’attractivité économique et l’emploi de salariés français figurent parmi les clefs du succès partenarial.

Produits à Killarney, assemblés à Sorgues

C’est au cours d’une visite dans un salon à Evreux que le déclic s’opère. Le fondateur de cette entreprise familiale, Mike Stack, découvre une réelle opportunité de marché en France et se lance dans l’aventure. A l’heure du développement durable et des nouvelles règlementations en matière de traitement des eaux usées pour les particuliers, la solution commercialisée s’inscrit naturellement dans une démarche de protection de l’environnement. « Le marché est porteur et je ne doute pas que vous avez de très belles années devant vous », adresse Thierry Lagneau.

En France, Tricel est leader des micro-stations d’épuration. Crédit photo : Linda Mansouri

Lancée il y a 40 ans en tant qu’entreprise familiale irlandaise, Tricel a enchaîné les succès et connaît depuis une croissance importante. Le groupe est un fournisseur mondial de solutions de haute performance pour les industries de l’environnement, de l’eau, de la construction et des matériaux. « Nous sommes très heureux de voir les distributeurs et le personnel qui est très important pour nous. Je salue l’engagement, le travail et l’investissement des équipes durant ces deux dernières années. En dépit du Covid et des difficultés d’approvisionnement, Tricel a enregistré une croissance de 30% », se réjouit Mike Stack.

La réussite de la collaboration entre nos deux nations repose essentiellement sur un travail d’équipe. En réalité, sur ce site, le savoir-faire peut se targuer d’avoir la double nationalité puisque les composants sont produits à Killarney en Irlande avant d’être assemblés sur notre territoire. 40% de la production en Irlande est envoyée en France. Par ailleurs, Tricel fait partie des premières entreprises à avoir reçu l’agrément ministériel en France en 2011 pour sa gamme de micro-station d’épuration nouvelle génération : Tricel Novo.

+100 employés d’ici à 5 ans

Numéro trois européen dans son secteur d’activité, la multinationale Tricel dispose d’une expérience significative avec plus de 35 000 micro-stations et filtres installés dans le monde. Le groupe distribue ses produits dans plus de 50 pays et compte plus de 520 employés et 12 implantations. Forte de son essor, la société projette de recruter 100 employés supplémentaires en France d’ici à 5 ans et d’augmenter son chiffre d’affaires de 50%.

De gauche à droite: Thierry Lagneau, édile de Sorgues, Mike Stack, fondateur de Tricel et Léo Varadkar, vice-Premier ministre irlandais. Crédit photo : Linda Mansouri

Trois associations reçoivent un don de McCormick

C’est à la caserne des sapeurs-pompiers de Bédoin qu’Élodie Trolet a reçu la médaille de la ville par Alain Constant, maire de Bédoin, le 13 février dernier.

Entourée de l’équipe de soldats du feu qu’elle a rejoint volontairement en 2019, Élodie s’est distinguée en remportant le cross féminin de Vaucluse des sapeurs-pompiers courant novembre 2021. Depuis, et grâce à ses coachs Jean-Jacques Paoli et Stéphane Rabaglia, chef de centre, Élodie franchit avec succès les étapes successives pour le concours professionnel de cette unité de métier exceptionnelle. À ce titre, Alain Constant, accompagné de certains conseillers municipaux, a tenu à rappeler le don de soi des sapeurs-pompiers et exprimer, au nom des administrés et de son conseil municipal, toute son admiration, son soutien et sa gratitude à leur égard. L’édile a tenu à souligner l’engagement de l’équipe composée de quatre filles.

L.M.


Trois associations reçoivent un don de McCormick

A l’occasion de la dernière Saint-Valentin, les couples de Vauclusiens ont dépensé 3 fois plus que leurs voisins Gardois pour une soirée en tête-à-tête au restaurant.

Hier, selon Sunday, solution de paiement par QR code lancée au printemps dernier, les Vauclusiens ont dépensé en moyenne 87,84€ pour des tables de 2 personnes lors de la Saint-Valentin. C’est bien au-dessus de leurs voisins Gardois qui, avec 28,97€, ont consacré un budget trois fois moindre lors de ces tête-à-tête en amoureux. Des convives qui ont respectivement passé 1h22 et 1h18 à table durant cette soirée.
En France, c’est à Marseille, que l’on trouve les additions moyennes les plus élevées (93€) mais c’est à Paris que l’on retrouve le record pour une addition (910€). Pour les départements, c’est dans les Alpes-Maritimes que le prix moyen d’un dîner pour 2 était le plus élevé : 148€ dépensés, là où en Picardie il s’élevait à 18€.

Les serveurs à la fête
Sur les près de 6 000 additions étudiées* par Sunday lors de cette Saint-Valentin il apparaît que le temps passé à table était un peu plus court que d’habitude. Les couples en ont profité pour échanger des ‘mots doux’ pendant 95 minutes en moyenne, contre 108 minutes habituellement.
« On a aussi voulu se la jouer romantique puisque seuls 18% ont partagé la note contre un quart habituellement, explique Sunday. Même si c’est avec la carte du compte commun, c’est le geste qui compte. »
Par ailleurs, cette fête des amoureux a aussi fait la joie des serveurs qui se sont vu distribuer plus de pourboires que d’habitude, avec +20% de pourboires laissés en moyenne. Et c’est dans le Loir-et-Cher que les couples étaient les plus généreux en pourboires : 2,20€ en moyenne par table.

Méthodologie : sunday a étudié 5 995 additions payées le soir du 14 février 2022 en France.


Trois associations reçoivent un don de McCormick

Pour pouvoir se présenter à l’élection présidentielle, chaque candidate et candidat doit être parrainé par 500 élus au minimum avant le 4 mars prochain. Tous les maires de communes peuvent apporter leur parrainage, mais ce ne sont pas les seuls. Les députés, sénateurs, députés européens, conseillers territoriaux et délégués des Français de l’étranger sont aussi de la partie. En Vaucluse, découvrez ci-après les parrainages signés par les élus habilités à soutenir un candidat et validés par le Conseil constitutionnel.

Marine Le Pen arrive en tête auprès des élus vauclusiens en cumulant 12 parrainages. Elle est talonnée par le duo au coude-à-coude : Emmanuel Macron / Valérie Pécresse avec 7 parrainages chacun. En queue de peloton, nous retrouvons Anne Hidalgo (3 parrainages), Jean Lassalle (2 parrainages), Yannick Jadot (2 parrainages), Eric Zemmour (2 parrainages), Fabien Roussel (1 parrainage), Christiane Taubira (1 parrainage), Nicolas Dupont-Aignan (1 parrainage) et Hélène Thouy (1 parrainage). Parmi les abonnés absents : Jean-Luc Mélenchon, Nathalie Arthaud, Philippe Poutou ou François Asselineau. À moins d’un mois de l’officialisation des candidatures à l’élection présidentielle, seuls Valérie Pécresse, Emmanuel Macron et Anne Hidalgo ont les 500 parrainages d’élus nécessaires. Découvrez la liste des parrainages en Vaucluse :

Maires

  • Avignon – HELLE Cécile : HIDALGO Anne
  • Bonnieux – RAGOT Pascal : MACRON Emmanuel 
  • Cabrières-d’Avignon – CRESP Delphine : PÉCRESSE Valérie
  • Camaret-sur-Aigues – De BEAUREGARD Philippe : Le PEN Marine
  • Caseneuve – RIPERT Gilles : MACRON Emmanuel
  • Entraigues-sur-la-Sorgue – MOUREAU Guy : ROUSSEL Fabien
  • Flassan – JOUVE Michel : LASSALLE Jean
  • Lagarde-Paréol – LEAUNE Fabrice : DUPONT-AIGNAN Nicolas
  • Lagnes – SILVESTRE Claude : MACRON Emmanuel
  • Le Pontet – HEBRARD Joris : Le PEN Marine
  • Malemort-du-Comtat – ROUX Ghislain : LASSALLE Jean
  • Mondragon – PEYRON Christian : MACRON Emmanuel
  • Morières-les-Avignon – SOUQUE Grégoire : Le PEN Marine
  • Orange – BOMPARD Yann : ZEMMOUR Eric 
  • Richerenches – VALAYER Pierre-André : PÉCRESSE Valérie
  • Rustrel – TARTANSON Pierre : THOUY Hélène
  • Saumane-de-Vaucluse – CHABAUD-GEVA Laurence : MACRON Emmanuel

Conseillers départementaux 

  • ALLEL Samir : JADOT Yannick 
  • ANDRES Valerie : ZEMMOUR Eric 
  • BONNET Florelle : Le PEN Marine
  • BOUCHET Suzanne : PÉCRESSE Valérie
  • BRUN Danielle : Le PEN Marine 
  • DUBOIS Annick : HIDALGO Anne 
  • De LEPINAU Hervé : Le PEN Marine
  • LOUARD Léa : JADOT Yannick
  • MARTINEZ-TOCABENS Fabrice : TAUBIRA Christiane
  • OBER Jean-Claude : Le PEN Marine
  • THOMAS DE MALEVILLE Marie : Le PEN Marine 

Conseillers régionaux

  • AUZANOT Bénédicte : Le PEN Marine
  • D’AIGREMONT Thierry : Le PEN Marine 
  • RIGAULT Anne-Sophie : Le PEN Marine
  • RIMBERT Catherine : Le PEN Marine

Députés

  • AUBERT Julien, 5e circonscription : PÉCRESSE Valérie
  • BOUCHET Jean-Claude, 2e circonscription : PECRESSE Valérie 
  • MORENAS Adrien, 3e circonscription : MACRON Emmanuel 
  • ZITOUNI Souad, 1e circonscription : MACRON Emmanuel 

Sénateurs

  • BLANC Jean-Baptiste : PÉCRESSE Valérie 
  • MILON Alain : PÉCRESSE Valérie
  • STANZIONE Lucien : HIDALGO Anne 

L.M.


Trois associations reçoivent un don de McCormick

Définitivement la grand-messe du terroir français, le Salon international de l’agriculture (SIA) qui débute le 26 février prochain verra débarquer les irréductibles vauclusiens.

Des senteurs par milliers, des étals à perte de vue, des bovins massifs et de la saucisse. Le SIA se révèle être une formidable vitrine pour les éleveurs et producteurs de nos régions. Les milliers de visiteurs pourront cette année découvrir les produits d’excellence du Vaucluse grâce à l’épicerie baptisée ‘La Vauclusienne’ qui s’étalera sur 40m2. Nouveauté de cette édition 2022, une immersion dans l’univers de la lavande sur une surface de 60m2. Sa culture constitue une filière agricole phare, le Vaucluse étant le premier département producteur de lavande fine de France. D’où cette mobilisation depuis 2013 pour préserver ce patrimoine culturel menacé par une réglementation européenne.

40m2 supplémentaires

A l’occasion du SIA, la fine fleur du Vaucluse s’affiche donc jusqu’à Paris, comme en témoigne le slogan ‘J’aime la lavande 84’, qui accueillera les visiteurs dès leur arrivée. Une immersion grandeur nature à la hauteur du stand qui s’agrandit par ailleurs : 100m2 contre 60m2 les éditions précédentes. L’occasion de mieux connaître la lavande et le lavandin, utilisés pour la cosmétique, les produits d’hygiène (savon, shampoing…) mais aussi pour le miel, les infusions et autres sucreries. Et pour mieux faire connaître leur métier, plusieurs lavandiculteurs seront présents sur le stand. Ce dernier sera inauguré le 1er mars par la présidente du Conseil départemental de Vaucluse, Dominique Santoni.

160 références, 35 producteurs

Les autres filières agricoles ne sont pas oubliées. Dans les rayonnages de l’épicerie typique, les gourmets dégusteront croquants, huiles d’olive, sirops, confitures, bières et vins, sans oublier d’autres produits emblématiques comme les truffes et les fruits confits. Avec près de 160 références et 35 producteurs, toutes les filières et tous les savoir-faire seront représentés dans un véritable concept-store ouvert de 9h à 19h, dans le hall 3 de l’espace Sud du salon. Deux écrans diffuseront des vidéos de promotion du tourisme et des produits,

Conçu en partenariat avec le Comité de promotion des produits de Vaucluse et l’agence Vaucluse Provence Attractivité (VPA), le stand du Département sera nul doute un ‘must’ du SIA 2022. VPA accueillera 5 Offices de tourisme (Pays d’Apt Luberon, Portes du Ventoux, Ventoux Provence, Vaison-Ventoux, Ventoux Sud), et la Chambre d’agriculture avec son espace d’information ‘Bienvenue à la ferme’.

Parc des Expos de Paris (Porte de Versailles). www.salon-agriculture.com. Du 26 février au 6 mars.


Trois associations reçoivent un don de McCormick

Le plus vieux concours de vins de la Vallée du Rhône s’est déroulé sur deux jours, vendredi et samedi à l’Espace Alphonse Daudet. En raison de la crise sanitaire, le Dîner de Gala n’a pas pu se tenir mais tout s’est déroulé dans de bonnes conditions, avec contrôle des pass de vaccination, tables espacées, gel hydroalcoolique.

« Avec le gel du 8 avril dernier, nombre de parcelles ont été impactées, des grappes entières n’ont donné aucun grain de raisin, il y a entre 10 et 15% d’échantillons en moins » explique le Président du Concours, Michel Bernard. « Des jurés aussi n’ont pas pu venir, des cas contact ». Ce concours contribue à lancer le marché, à promouvoir les Côtes du Rhône et les Châteauneuf-du-Pape.

Anne Mouralis, la directrice du concours a donné un coup de chapeau aux participants : « Merci d’être là, vignerons, négociants, préleveurs, cavistes, courtiers, amateurs de vins. Depuis 70 ans, des jeunes aussi sont venus vers nous, ils s’agrègent à l’expérience des anciens ».

Samedi matin, 1853 échantillons ont été proposés à plus de 300 jurés. Des professionnels de la filière viti-vinicole, des amateurs œnophiles, des sommeliers, des élèves de l’Institut de la Vigne et du Vin de Suze la Rousse, des lycées agricoles, de l’Ecole Hôtelière d’Avignon et des passionnés formés à la dégustation en jaugeant l’aspect visuel du verre de vin (couleur de la robe, tannique, pourpre), l’olfactif (parfum floral, boisé, fruité) et le passage en bouche (ample, léger, brut, rêche, moelleux, charpenté astringent, riche ou pas en caudalies, c’est à dire durée d’expression des arômes, qui varie de 0 à 12 pour les vins les plus expressifs).

Anne Mouralis, directrice et Michel Bernard, président du 70e Concours des vins d’Orange. Photo DR

Pendant toute la matinée, des jurés ont donc jugé à l’aveugle des bouteilles dissimulées sous des chaussettes avec un simple numéro d’identification. Grâce à ce 70ème Concours d’Orange, quand les vins sont primés, ils permettent de gagner globalement 2,5M€ en plus aux viticulteurs avec des prix qui grimpent mécaniquement, « C’est un véritable bonus pour les domaines récompensés. Ce ne sont pas des médailles en chocolat » commente Michel Bernard dans un éclat de rire. « Nous mettons nos vins en vitrine, nous leur donnons une image forte, nous résistons à la crise sanitaire et économique et les pisse-vinaigre ne nous empêcheront jamais de déguster de bonnes bouteilles qui sont le fruit du travail de tous nos vignerons et d’une filière solidaire » conclura-t-il.

Palamarès des médaillés sur : www.concoursdesvins.fr

https://echodumardi.com/tag/vaucluse/page/69/   1/1