28 août 2024 |

Ecrit par le 28 août 2024

La maison de Champagne Gobillard a son étendard à Châteaurenard : Laure et Olivier Reynaud

L’histoire des Reynaud frère (Olivier) et sœur (Laure) remonte à leur papa qui avait monté la boîte de nuit ‘Stax’ à Châteaurenard en 1968. En 2019, juste avant le Covid, l’établissement a été vendu et Olivier Reynaud est devenu fournisseur de la maison Gobillard. Une entreprise familiale depuis 4 générations (1933), blottie entre Reims et Epernay, à Hautvillers et qui abrite la tombe du moine Dom Pérignon, pionnier du processus de fabrication de la méthode champenoise au XVIIIᵉ siècle. 

15 000 bouteilles sont commercialisées par an, chez nous, entre Saint-Rémy, les Alpilles, L’Isle-sur-la-Sorgue, Villeneuve-lez-Avignon, Uzès et Nîmes, par Olivier Reynaud. Au départ, l’appellation Gobillard dans la Marne faisait 34 hectares. Aujourd’hui, grâce aux vignerons alentours, ce sont les raisins de 125 hectares qui sont apportés aux chais. Et Gobillard décroche chaque année des récompenses, au Salon mondial de Bruxelles, à l’Inter Wine Challenge, chez Decanter. Avec trois cépages et toujours les mêmes proportions : 35% de Pinot Noir, 35% de Pinot Meunier et 30% de Chardonnay.

Avec ses fines bulles, ses reflets jaune-paille ou saumonés, la maison propose une large gamme de champagne, du Brut Tradition (20€), Brut Rosé (23,50€), Cuvée Prestige (27,90€), Magnum Cuvée Prestige Rosé (61€) qui sont en vente pour les fêtes de fin d’année jusqu’au 6 janvier dans le centre commercial Aushopping Avignon Nord.

« Avec la crise sanitaire puis l’inflation et les conflits internationaux, on sent effectivement un climat de morosité, explique Laure. Les gens comptent leurs dépenses mais ils ont quand même envie de faire la fête, de lâcher prise, de se faire plaisir. Mais le leader des ventes, ce sont les entrées de gamme à 20€. Heureusement, nous avons fait les Salons du Mariage, à Sénas, à Avignon, et à Marseille, donc nous avons des commandes. »

Olivier Reynaud précise : « Effectivement la tendance est aux petits prix, mais notre chiffre d’affaires se maintient avec une progression de +3% par an, ce n’est pas si mal, on se développe notamment grâce aux CE (Comités d’établissements) qui offrent des coffrets à leurs collaborateurs, grâce à la mise en ligne des commandes, grâce à notre boutique en ligne. On participe aussi à des soirées cosy, sélect dans des caveaux avec dégustations privées. D’ailleurs, nous recherchons un établissement de 200-300 m² entre les Alpilles, le Luberon, L’Isle-sur-la-Sorgue et Châteauneuf-du-Pape pour en faire une adresse festive, de qualité avec une sélection de champagnes et spiritueux. » Il ajoute qu’une bouteille de Champagne Gobillard est vendue toutes les 22 secondes dans le monde.

Et si vous voulez faire connaissance avec la 4ᵉ génération de la Famille Gobillard, elle sera le week-end des vendredi 1er, samedi 2 et dimanche 3 décembre au Mas Gourmand, 3190 Route d’Avignon à Châteaurenard aux côtés d’Olivier Reynaud pour déguster les différentes cuvées de vins et champagnes.


La maison de Champagne Gobillard a son étendard à Châteaurenard : Laure et Olivier Reynaud

Lucien Stanzione, sénateur de Vaucluse s’engage depuis trois ans sur la défense des filières de la cerise de bouche et d’industrie. Des filières concernées par les effets du changement climatique, des insectes ravageurs, la disparition des produits sanitaires, la concurrence et la diminution du nombre d’agriculteurs.

Pour faire face,
l’homme politique vauclusien n’a de cesse d’interpeller le ministre de l’agriculture, Marc Fesneau. Dernièrement, il lui a rappelé que pour la filière cerise, près de 50% des cerisiculteurs touchés par les dégâts, n’étaient pas éligibles à l’indemnisation, tout comme les lavandiculteurs, qui, sur l’enveloppe de 9M€ mobilisés, observent que 4 ne sont toujours pas débloqués pour cause d’impossibles accès aux critères d’éligibilité. Lucien Stanzione ne lâche pas l’affaire, continuant d’insister afin que le reliquat aille directement aux producteurs, ou à la recherche dans leur secteur d’activité.

Ce travail de fond fait suite,
notamment, aux réunions que le sénateur organise sur le territoire vauclusien, dont la dernière en date, courant novembre, avait réuni à Venasque, une trentaine de personnes dont 26 maires et adjoints aux côtés de producteurs, de représentants de la filière cerise de Venasque, du syndicat de la cerise industrielle, de la Confédération paysanne et de la FDSEA (Fédération départementale des syndicats d’exploitants agricoles). Cette fois-ci, Lucien Stanzione avait interpellé le ministre de l’Agriculture en Commission des affaires économiques.


La maison de Champagne Gobillard a son étendard à Châteaurenard : Laure et Olivier Reynaud

L’enseigne d’achat-vente d’objets d’occasion et reconditionnés Easy cash vient d’ouvrir son premier magasin en Vaucluse. D’une superficie de 335m2, il viendra compléter le maillage régional du premier réseau français de seconde main déjà présent à Arles notamment.

C’est dans la zone de Mistral 7 à Avignon, qu’Easy cash vient d’ouvrir son premier magasin dans le Vaucluse. D’une superficie de 335m2, il est situé avenue Pierre-Bérégovoy dans la zone commerciale de Mistral 7.  
Easy cash Avignon est dirigé par deux franchisés : Caroline Guidat et Yan Gomez. Elle, est une ancienne conseillère au sein de Pôle Emploi et lui, a été directeur de points de vente et formateur chez SFR. Ils sont à la tête d’une équipe de 8 personnes.
« La seconde main fait partie des marchés les plus porteurs actuellement, nous sommes convaincus d’être au bon endroit au bon moment et que le concept Easy Cash répond plus que jamais aux attentes des Français, expliquent les deux franchisés. Il véhicule des valeurs en phase avec les nôtres : un mode de consommation responsable et vertueux et le goût de la rencontre et de la proximité. »

Le magasin d’Avignon.

Poursuite du maillage régional
Avec cette ouverture vauclusienne Easy cash vient compléter le maillage régional de ses implantations en Provence-Alpes-Côte d’Azur. L’enseigne créée en 2021 est ainsi déjà présente à La Ciotat, Istres et Arles dans les Bouches-du-Rhône ainsi que Toulon, Brignoles et Puget-sur-Argens dans le Var.
A ce jour, elle regroupe 1 200 collaborateurs répartis dans plus de 135 points de ventes (corners compris) et a réalisé un chiffre d’affaires de 245M€ en 2022 (+8,9%).
L’an dernier, Easy cash a enregistré 4 millions de transactions pour un panier moyen de 80€.

Le marché de la seconde main a le vent en poupe
Fondée à l’origine par plusieurs entrepreneurs ayant décidé de se regrouper pour lancer leur propre enseigne spécialiste du marché de l’occasion, Easy cash propose aujourd’hui une large gamme de produits sélectionnés et testés dans de nombreux domaines (smartphone, gaming, tech, culture, bijouterie et maroquinerie de luxe notamment).

Le magasin d’Avignon.

Aujourd’hui estimé à 12 milliards d’euros en France, le marché de la seconde main a le vent en poupe et ne cesse de progresser. Pour preuve : au cours des derniers mois, 6 Français sur 10 ont acheté ou vendu des produits d’occasion, ou opté pour des produits reconditionnés. Le regard des consommateurs sur la seconde main a profondément changé depuis plusieurs années. Là encore, 6 Français sur 10 considèrent que l’occasion est d’aussi bonne qualité que le neuf (+14 points en un an). Easy Cash a d’ailleurs annoncé le lancement d’une garantie 2 ans sur l’ensemble de ses produits il y a quelques mois. Une durée, équivalente à celle du neuf, qui gomme un peu plus les frontières existantes entre les offres de première et de seconde main.

« Nous avons pour ambition d’ouvrir 50 points de vente d’ici 2025. »

Anne-Catherine Péchinot, directrice générale d’Easy Cash

Enseigne préférée des Français en 2023
« Depuis plus de 20 ans, Easy Cash accompagne les Français vers un mode de consommation malin et plus responsable au service de l’économie circulaire, précise Anne-Catherine Péchinot, directrice générale d’Easy Cash. Ils en sont d’ailleurs de plus en plus friands. L’engouement est important : l’année dernière, nous avons dépassé les 245 millions de chiffre d’affaires. Notre développement connaît une nette croissance, et nous avons d’ailleurs pour ambition d’ouvrir 50 points de vente d’ici 2025. Nous souhaitons mailler davantage le territoire français pour être au plus près de nos clients. Développer notre présence à Avignon s’inscrit pleinement dans cette démarche. »
L’enseigne a été élue Marque Préférée des Français en 2023 et a obtenu sa labélisation Enseigne Responsable la même année.


La maison de Champagne Gobillard a son étendard à Châteaurenard : Laure et Olivier Reynaud

La CPME-Sud vient de dévoiler le palmarès de sa 4e édition des trophées régionaux des entrepreneurs positifs de Provence-Alpes-Côte d’Azur. Après les différentes finales départementales, dont la cérémonie vauclusienne s’était déroulée début octobre au Château des Fines Roches, ils étaient donc 36 à concourir pour les différents prix régionaux (le courage, la créativité, la solidarité, la persévérance, l’éco-responsabilité et la bienveillance).

Une vauclusienne à l’honneur
Devant un parterre de plus de 800 invités réunis à la Friche la Belle de Mai à Marseille, la vauclusienne Dominique Brogi a notamment été à l’honneur en recevant le prix de la solidarité pour Domie digital et, plus particulièrement le dispositif Mon Shérif permettant de lutter contre les violences faites aux femmes.
« Les trophées régionaux des entrepreneurs positifs sont maintenant incontournables pour l’ensemble des acteurs économiques institutionnels de notre région, s’est félicité pour l’occasion Bernard Vergier, président de la CPME 84. Pour cette 4e édition, le Vaucluse, s’est bien naturellement fortement mobilisé pour le rayonnement dé ses pépites et pour faire émerger dé nouveaux talents »

Dominique Brogi, au centre, a reçu le prix de la solidarité des mains de Bernard Vergier (à sa droite), président de la CPME de Vaucluse, et Alain Gargani, président de la CMPE Sud (à sa gauche).© Thomas Diaz

Les autres lauréats
Outre le prix de la solidarité attribué à Monsherif, les lauréats de cette édition 2023 sont :
▪ Prix persévérance : Ecole internationale de Boulangerie (04 – Noyers-sur-Jabron)
▪ Prix courage Cabaret de l’Etoile Bleue (13 – Marseille)
▪ Prix créativité : IPEPPER (06 – Mouans-Sartoux)
▪ Prix bienveillance : Sudériane Côte d’Azur (83 – La Seyne-sur-Mer)
▪ Prix éco-responsabilité : Chalets Chabrand (05 – Eygliers)

3 distinctions ont également été attribuées :
▪ Prix santé au travail a été décerné par le GIMS des Bouches-du-Rhône à La Crèche du Château et l’agence Randstad BTP.
▪ Prix du public décerné à Légendes Ozarm (05 – Chabottes)
▪ Prix du jury : entreprise Ragni à Cagnes-sur-Mer (06)

« Ces trophées récompensent des entrepreneurs patrimoniaux sur leurs valeurs humaines. »

Alain Gargani, président de la CPME Sud

Les Césars de l’économie !
« Les Trophées des Entrepreneurs positifs c’est un peu les Césars de l’économie, explique Alain Gargani, président de la CPME Sud. Ces trophées récompensent des entrepreneurs patrimoniaux sur leurs valeurs humaines. Quand on est chef d’entreprise et que l’on traverse les périodes complexes comme celles d’aujourd’hui, s’accorder une bouffée de positivisme ça fait du bien ! Parce que dans ces tempêtes économiques, il y a des chefs d’entreprises, des patrons de TPE ou de PME, qui tiennent bon, qui sont déterminés et pugnaces. Ces Trophées, c’est un hommage à toutes ces personnes-là. Car l’ADN de la CPME et de ses équipes est de placer l’humain au cœur des actions entrepreneuriales avec la certitude qu’une entreprise peut être humaine tout en étant performante. »


La maison de Champagne Gobillard a son étendard à Châteaurenard : Laure et Olivier Reynaud

A l’occasion de la semaine européenne de la réduction des déchets qui se tiendra jusqu’au dimanche 26 novembre prochain, le groupe Suez et Odoxa ont réalisé une enquête sur l’investissement des habitants de la région à vouloir limiter leurs déchets. Et à ce jeu-là, ce sont les Vauclusiens qui sont les plus mobilisés.

La nouvelle édition du baromètre annuel ‘Les Français et la réduction des déchets’ réalisé par l’institut de sondage Odoxa pour le compte du groupe Suez fait apparaître que les habitants de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur sont de plus en plus nombreux à estimer faire attention à réduire leurs déchets au quotidien. Ils sont ainsi 83%, soit 1 point de plus que l’année précédente.
Dans le détail, la 4e édition de ce baromètre annuel* place les Vauclusiens (86%) en tête des habitants de la région à être sensibilisé à ce sujet. Ces derniers devancent nos voisins de la métropole d’Aix-Marseille (83%).

Le tri c’est bien, moins de déchets c’est mieux
« En hausse de 4 points par rapport à 2022, 59% des habitants de la région Sud considèrent aujourd’hui que pour réduire ses déchets il ne suffit pas de bien trier – une habitude désormais ancrée dans le quotidien et considérée comme facile par 82% des interrogés – il faut également adopter une consommation moins productrice de déchets, explique le baromètre Odoxa-Suez. Les départements de la région Sud enregistrent sur ce point des résultats supérieurs à la moyenne nationale (57%) : dans les Bouches-du-Rhône, 60% des citoyens estiment que réduire ses déchets, c’est adopter une nouvelle façon de consommer ; ils sont 64% dans le Vaucluse, 56% dans les Alpes-Maritimes et 53% dans le Var.

En Vaucluse, 64% des habitants estiment que la réduction des déchets passe par l’adoption de nouvelle façon de consommer alors que pour 35% d’entre-eux il suffit encore de bien trier.

Le plastique ce n’est plus fantastique
« Parmi les écogestes mis en œuvre, deux comportements connaissent une forte progression en comparaison à 2022 : renoncer aux produits jetables (65%, +3pts en 1 an) et éviter les équipements et objets en plastiques (77 %, +4pts), précise Suez et Odoxa. Sur ce critère, on notera le comportement plus engagé encore des habitants des Bouches-du-Rhône (80%) et du Vaucluse (83% ; +5 pts par rapport à la moyenne nationale). »
« La plus grande vigilance des habitants de la région PACA à l’égard du plastique se lit aussi dans le fait que la part d’entre eux privilégiant l’eau du robinet à celle en bouteille (79%) est supérieure à la moyenne nationale (+ 6pts). »

Comment les Vauclusiens priorisent les écogestes à privilégier dans le contexte actuelle.

Les objets ont une seconde vie
« Dans une moindre mesure, les écogestes liés à la durabilité progressent également, dans un contexte de crise économique qui les favorise : 81% des habitants de la région PACA essayent plus souvent de réparer leurs objets et équipements pour les faire durer (+ 2 pts*) et 70% revendent sur des plateformes de seconde main des vêtements et équipements qu’ils auraient jetés auparavant (+2pts). »
« Si le tri des emballages est un réflexe désormais largement adopté, les habitants de la région Sud-Paca essaient à présent d’éviter de produire des déchets en modifiant leurs habitudes de consommation et en donnant une seconde vie aux objets, confirme François Pyrek, directeur de Territoire Suez Sud-Paca, service aux collectivités.

« Les citoyens expriment ainsi une vraie attente sur ce sujet des biodéchets qui représente un levier majeur dans la réduction des déchets. »

François Pyrek, Territoire Suez Sud-Paca, service aux collectivités

Dans ce cadre, Suez, qui dispose de 2 000 collaborateurs, 10 centres de tri et de transfert ainsi que 7 installations de traitement et de valorisation des déchets sur le territoire régional, rappelle par la voix de François Pyrek que le groupe « accompagne les collectivités et les entreprises dans leur transition écologique en associant les usagers autour de ces tendances de fond pour mettre en place des solutions favorisant la prévention, la réutilisation et le réemploi. Autre signal très positif, la majorité des habitants de la région Sud-Paca sait que le tri des biodéchets entrera en vigueur au 1er janvier prochain (ndlr : 58% en Région et 68% pour le Vaucluse) et 6 sur 10 font confiance à leur collectivité pour mettre en place des solutions efficaces. Les citoyens expriment ainsi une vraie attente sur ce sujet des biodéchets qui représente un levier majeur dans la réduction des déchets. »

L.G.

*Méthodologie : Enquête réalisée par voie électronique du 19 septembre au 6 octobre 2023 sur un échantillon de 1 010 habitants de la région Sud-Paca représentatifs de la population régionale âgée de 18 ans et plus (issu d’un échantillon total de 12 529 français).


La maison de Champagne Gobillard a son étendard à Châteaurenard : Laure et Olivier Reynaud

On peut très bien ne pas s’intéresser au répertoire de la « demoiselle d’Avignon » – et on le comprendra tout à fait – mais on ne saurait ignorer ce que cette interprète représente et incarne aujourd’hui. Cette contemporaine de Mike Jagger, eh oui, a peut-être plus de points communs avec le chanteur des Stones qu’il n’y paraît.

Mick Jagger et Mireille Mathieu ont en commun d’avoir débuté leurs carrières à quelque chose près, au même moment, au milieu des années 60. Depuis cette date l’un comme l’autre n’ont pas quitté la scène et ont continué une carrière internationale qui force l’admiration. En 60 ans de carrière notre Mireille Mathieu nationale a vendu 130 millions de disques (certaines sources parlent même de 200 millions). Elle est la chanteuse française la plus connue dans le monde. Pour le british, sur les nombres de vente de disques on est dans les mêmes eaux et idem pour le rayonnement international. Bon d’accord les Stones remplissent les stades et Mireille Mathieu les palais des congrès. Les jauges ne sont pas tout à fait les mêmes. Mais la performance est là, surtout quand elle s’installe dans la durée. Et aujourd’hui, les deux font l’actualité en sortant un nouvel album et en entamant prochainement une tournée internationale. La seule différence c’est que Mick Jagger et ses potes ne passeront pas par Avignon. Dommage.

Elles traversent le temps sans ambages 

Au-delà de cette comparaison, un peu tiré par les cheveux (je l’avoue bien volontiers), ce qui est intéressant de noter dans cette affaire c’est le caractère inoxydable de ces personnalités. Elles traversent le temps sans ambages comme d’autres l’ont également fait. On pense bien sûr aussi à Johnny Hallyday, disparu il y aura 6 ans, le 5 décembre prochain. Eh oui déjà. Ces personnalités, un peu hors normes incarnent une époque, un style, une vision de la vie, voire un modèle comme avec certains fans de Johnny. Ces stars seront toujours dans les mémoires et le cœur de leur admirateurs. Alors profitons qu’ils se produisent encore sur scène pour de vrai avant qu’ils ne soient clonés par l’intelligence artificielle. « Back to me rooth » chantait Richie Havens.


La maison de Champagne Gobillard a son étendard à Châteaurenard : Laure et Olivier Reynaud

La fermeture annuelle de la route du Mont Ventoux, la réparation d’un pont à Caumont-sur-Durance, l’aménagement d’un carrefour giratoire à Cabrières d’Avignon, ou encore le renforcement de la couche de roulement d’une route à Uchaux. Quels travaux sont prévus pour ce mois de novembre en Vaucluse ?

Le lundi 13 novembre, la RD974, qui permet d’accéder au sommet du Mont Ventoux, sera fermée après la station du Mont Serein pour le versant Nord et après le Chalet Reynard pour le versant Sud.

Les travaux du pont sur le Mourgon, sur la RD900 à Caumont-sur-Durance, ont démarré le 9 octobre et devraient bientôt s’achever. Deux coupures vont avoir lieu dans les nuits du jeudi 9 au vendredi 10 novembre et du lundi 13 au mardi 14 novembre de 20h30 à 6h pour les besoins du chantier.

Les autres chantiers en cours

Plusieurs routes vauclusiennes subissent des travaux durant le mois de novembre :

  • Réalisation de la déviation provisoire de Pertuis entre le giratoire du Vidalet et le Chemin de la Beaume. Le chantier a débuté à la mi-mars pour une durée prévisionnelle de 10 mois.
  • Aménagement d’un carrefour giratoire entre les RD15 et RD110 à Cabrières d’Avignon. Le chantier devrait s’achever à la fin de l’année 2023.
  • Renforcement de la couche de roulement d’une partie de la RD98 au Thor. Les travaux ont démarré le 16 octobre pour une durée de deux mois.
  • Réfection de la couche de roulement d’une partie de la RD105 à Goult. Les travaux sont en cours.
  • Renforcement de la couche de roulement de la RD11 à Uchaux. Les travaux devraient débuter le lundi 13 novembre, pour une durée de 15 jours.
  • Renforcement de la couche de roulement d’une partie de la RD52 à Sarrians et Bédarrides. Le démarrage des travaux est prévu le lundi 20 novembre, pour une durée d’un mois avec la mise en place d’une déviation locale par Monteux.
  • Création d’un tourne-à-gauche au carrefour RD974 / RD84 à Modène. Les travaux devraient prendre fin ce mois-ci.
  • Aménagement de la déviation de la RN7 à Orange. Les travaux sont prévus jusqu’à la fin de l’année 2026.
  • Réfection de la chaussée (RD973 et RD996) entre les carrefours avec le chemin de la Bonne Mère et la RD122 sur les communes de Mirabeau et Beaumont-de-Pertuis. Les travaux sont en cours.
  • Aménagement de l’accès à la future maison d’arrêt ZAC du Plan (RD942) à Entraigues-sur-la- Sorgue. Les travaux sont en cours.
  • Réfection de la couche de roulement de la RD942 sur les communes de Carpentras et Mazan (2ème phase). Les travaux sont en cours.

Six bâtiments sont également en cours de travaux en Vaucluse :

  • Restructuration du collège Saint-Exupéry à Bédarrides. Les travaux ont débuté en juillet 2022.
  • Travaux de restauration du Palais des papes à Avignon. La dernière tranche s’achèvera début 2024.
  • Construction du nouveau bâtiment Memento, pôle des patrimoines de Vaucluse à Avignon. La fin de ce chantier est prévue pour le dernier trimestre 2024.
  • Réhabilitation du collège Lou Vignarès à Vedène. Le chantier a été entamé en février 2023, pour une durée de 37 mois.
  • Mise en sécurité du Château de La Tour d’Aigues. Les travaux ont démarré en septembre 2023, pour une durée de six mois.
  • Extension du bâtiment du « Service Livre et Lecture » (SLL) à Sorgues (Immeuble de Brantes). Les travaux ont débuté en octobre 2023, et son prévus jusqu’à fin 2024.

V.A.


La maison de Champagne Gobillard a son étendard à Châteaurenard : Laure et Olivier Reynaud

Alors que le commerce en ligne sort triomphant de la crise sanitaire passée, il existe un ilot de résistance qui défie le temps. Ce sont les foires. Rien qu’elles (sans compter les salons, les congrès et autres comices agricoles), elles sont en France, près de 70 et elles accueillent, chaque année, 6 millions de visiteurs. Elles sont un pied de nez réjouissant au numérique et ses avatars.

L’ouverture le 10 novembre prochain de la foire de Cavaillon nous rappelle que cet événement, qui fêtera cette année ces 70 ans d’existence, est un moment fort et important pour la cité cavare. L’an dernier et sur trois jours, ils étaient plus de 60 000 à se précipiter sur le champs de foire du MIN. Rappelons à toute fin utile que la ville compte 26 000 habitants ! On pourrait penser que les foires appartiennent à une autre époque et qu’elles sont ringardes. Mais pas du tout. Elles sont avant tout un lieu de convivialité où les visiteurs aiment y passer un bon moment pour rencontrer, échanger et se divertir. Bien sûr, ils y viennent aussi pour découvrir des produits et faire des emplettes. Voir ce que l’on va acheter, le goûter ou l’essayer et faire de bonnes affaires, seules les foires peuvent offrir cela.

Les esprits chagrins diront que « la foire c’est toujours la même chose ». Mais les gens y reviennent chaque année, comme un rituel, un événement inscrit dans les habitudes. Ce qui l’emporte au fond, c’est la convivialité et les moments partagés. On y vient souvent en famille et on peut y déjeuner sur place, et dans certains cas assister à des spectacles. Ainsi, pour sa 70ème édition, la foire de Cavaillon proposera en soirée des rendez-vous musicaux (DJ et groupe) sur le thème – évidemment – des années 70. A noter qu’un boulodrome (indispensable en Provence) y sera également installé.

Plus le numérique se développera plus on aura besoin de ces lieux de rencontres et d’échanges

Qu’on se le dise les foires ont le vent en poupe. J’avance même la théorie que plus le numérique se développera plus on aura besoin de ces lieux de rencontres et d’échanges. Nées au moyen-âge, pour permettre les échanges commerciaux, elles perdurent malgré les cahots de l’histoire ou les difficultés du moment. Elles se sont même considérablement développées et diversifiées. Elles sont aujourd’hui généralistes, agricoles, viticoles, gastronomiques… Elles se sont même ouvertes aux arts : photos livre, peinture, design… Les foires ont également donnés naissances aux salons plus spécialisés. L’INSEE recense, en France, 7 800 foires et salons ayant une existence juridique. Ce secteur est essentiel à l’activité économique. Ils génèrent 30 milliards d’euros de chiffres d’affaires pour les entreprises qui y exposent (source UNIMEV). Une bagatelle…

En attendant la foire d’Avignon qui fêtera ses 100 ans du 12 au 14 avril prochain (autre preuve de longévité) vous pourrez toujours aller à celle de Cavaillon (du 10 au 13 novembre), l’entrée et le parking y sont de plus gratuits. https://foire-cavaillon.org/


La maison de Champagne Gobillard a son étendard à Châteaurenard : Laure et Olivier Reynaud

Suite au départ de Christian Guyard, nommé sous-préfet de Compiègne, c’est Sabine Roussely qui va lui succéder comme secrétaire générale de la préfecture de Vaucluse. Egalement désignée sous-préfète de l’arrondissement d’Avignon cette dernière prendra officiellement ses fonctions à partir du lundi 20 novembre prochain.
Sabine Roussely occupe actuellement les fonctions de sous-directrice des polices sanitaires, environnementales et de sécurité à la Direction des usagers et des polices administratives de la préfecture de police de Paris.
Toujours au sein de la préfecture de police de Paris, elle a occupait auparavant, de juin 2018 à septembre 2020, le poste de cheffe du Service des affaires juridiques et du contentieux.

Soutien indéfectible aux forces de l’ordre
Côté préfectorale, elle a été sous-préfète de l’arrondissement de Sens de 2016 à 2018 qu’elle a quitté à sa demande. Un département de l’Yonne où la police nationale a souligné, lors de son départ, « sa présence aux côtés des policiers pour les soutenir lors de drames d’envergure nationale ou locale (…). Madame la sous-préfète par sa présence a marqué le soutien indéfectible de l’Etat aux policiers de l’Yonne et au commissariat de Sens en particulier. »

Au service de l’Etat depuis 1996
Diplômée de l’Institut régional d’administration (IRA) de Metz, d’un DEA de droit international privé d’Assas, d’un DESS de droit européen des affaires à Paris 5 ou bien encore d’une maîtrise d’anglais obtenue à l’université de Toulouse, cette Haut-Garonnaise de 54 ans, originaire de Colomiers, a aussi été conseillère, puis première conseillère au tribunal administratif de Cergy-Pontoise dans le Val-d’Oise de 2004 à 2008.
Entrée dans la fonction publique en 1996 au sein du ministère des Finances, elle a aussi été en poste au sein du ministère de l’Intérieur et des Outre-mer.

https://echodumardi.com/tag/vaucluse/page/43/   1/1