26 août 2024 |

Ecrit par le 26 août 2024

Marcelle Landau, présidente du Collectif de l’eau du Grand Avignon, vient de décéder

Marcelle Landau, présidente infatigable et une des fondatrices du Collectif de l’eau du Grand Avignon qui lutte depuis 16 ans pour la défense des usagers de l’eau du Grand Avignon, s’est éteinte dans la nuit du lundi 13 au mardi 14 mai.

« Son intelligence, sa détermination et son enthousiasme nous manquent déjà et notre peine est immense », déclare le Collectif dans un communiqué.

Depuis la création du Collectif, Marcelle Landau s’est battue sans relâche pour défendre les usagers de l’eau et de l’assainissement, en faveur d’une gestion publique de l’eau et de l’assainissement ainsi que de la qualité de l’eau et de la conformité des rejets. Elle a notamment mené plusieurs actions d’opposition contre Véolia ou encore Suez. « L’action commune donne de la joie, l’action commune donne de la force à chacun de nous, l’action commune est une richesse », avait-elle déclaré lors de la dernière assemblée générale du Collectif, le 11 avril dernier.


Marcelle Landau, présidente du Collectif de l’eau du Grand Avignon, vient de décéder

La nouvelle production de l’Opéra Grand Avignon a été confiée au metteur en scène Frédéric Roels

« Je vois dans Luisa Miller l’histoire d’un autre temps. Le livret de Salvatore Cammarano se situe théoriquement au début du XVIIIᵉ siècle, Schiller écrit la pièce (intrigue et amour) à la fin du XVIIIᵉ siècle, Verdi crée son opéra en 1849, à la moitié du XIXᵉ… Entre Verdi et Schiller, il y a la distance de deux cultures, mais aussi celle de deux générations. Le rendez-vous entre ces deux géants, l’un de la musique, l’autre de la littérature, se fonde sur un décalage temporel. Et ce creux de quelques dizaines d’années m’intéresse, car il fonde l’intérêt dramatique de l’opéra », nous confie Frédéric Roels.

Un opéra trop peu connu, drame des malentendus et des contretemps

Luisa, fille du soldat retraité Miller, est tombée amoureuse d’un jeune homme qui se présente sous le nom de Carlo, et cet amour est réciproque. Miller néanmoins, voit cette relation d’un mauvais œil, car il craint que sa fille soit tombée sous l’emprise d’un séducteur. Une visite de Wurm, conseiller du Comte Walter, semble confirmer cette crainte. Wurm, qui avait demandé un an auparavant la main de Luisa à son père, mais ne peut y prétendre – dixit Miller – que si Luisa y consent, révèle en effet que l’amoureux a menti sur son identité. Il s’agit de Rodolfo, fils du comte lui-même. 

On retrouvera avec toujours le même plaisir le Chœur de l’Opéra Grand Avignon et l’Orchestre National Avignon Provence dirigé par Franck Chastrusse Colombier.

Prologues

Autour de Luisa Miller avec Brigitte Urbani. Sur présentation du billet du jour.

Vendredi 17 mai. 19h15. Dimanche 19 mai. 13h45. Salle des Préludes. Opéra Grand Avignon. Place de l’Horloge. Avignon.


Marcelle Landau, présidente du Collectif de l’eau du Grand Avignon, vient de décéder

Cette création retrace le parcours singulier d’un enfant placé à l’âge de six mois en famille d’accueil. 

À l’origine de ce projet, il y a la volonté, la nécessité et sans doute ce besoin incontournable de résilience. L’auteur interprète Hamid Rekkas est un enfant de la DDASS (actuellement Aide Sociale à l’Enfance). Son père était alcoolique et sa mère l’a abandonné. Né de parents maghrébins, il est plongé très tôt, au hasard d’un placement, dans une famille paysanne catholique dans le département du Jura. 

Un spectacle profondément humain 

Drôle, authentique et dramatique, ce spectacle parle de liens humains, d’attachement au-delà du sang et des appartenances identitaires supposées. Ce récit n’est pas un beau discours, c’est une aventure férocement humaine. Le cri d’un enfant abandonné qui a grandi.

À noter, la traduction simultanée en langue des signes française par Quentin Faivre.

Jeudi 16 mai. 20h. 5 à 19€. Théâtre du Balcon. 38 rue Guillaume Puy. Avignon. 04 90 85 00 80 / contact@theatredubalcon.org


Marcelle Landau, présidente du Collectif de l’eau du Grand Avignon, vient de décéder

C’est dans le luxueux Hôtel Le Prieuré Baumanière, 5 étoiles Relais et Châteaux, qu’ont été remises les étoiles et les Bibs gourmands. Chez Jean-André Charial, l’un des chefs cuisiniers les plus réputés de France, à la tête de l’Oustau de Baumanière qui a vu toutes les stars depuis l’après-guerre, de la Reine Elizabeth II à Barack Obama, en passant par Churchill, De Gaulle, Paul McCartney et Mick Jagger. Il est aussi à la tête de la Cabro d’Or à quelques encablures de là, toujours aux Baux-de-Provence.

Depuis 9 ans, c’est avec la Halle Métro d’Avignon que sont décernés ces prix pour les chefs de Vaucluse, du Gard, de Drôme, d’Ardèche et des Bouches-du-Rhône. En tout, une cinquantaine de plaques rouges en lave émaillée. « Cette cérémonie permet aux chefs de se rencontrer, d’échanger, eux qui, d’habitude, sont toujours seuls avec leur brigade, dans leur cuisine. Là, ils passent un moment convivial dans un cadre de rêve », explique Jean-Luc Grégoire, patron depuis octobre de Métro au MIN de la Rue Pierre-Sémard.

Le Prieuré retrouve son étoile perdue

Le nouveau chef du Prieuré, c’est Christophe Chiavola, qui a débuté à Perpignan, a travaillé à Signes, dans le Var à deux pas du Circuit du Castellet, puis à Sète, et à Saint-Rémy-de-Provence. Il avait déjà décroché une étoile au Château de Massillan à Uchaux, une autre au Hameau des Baux dans les Alpilles et il est arrivé à Villeneuve il y a tout juste un an jour pour jour. « Avant moi, le restaurant avait perdu son étoile, on vient juste de la retrouver, à la grâce de dieu ! Dit-il. Cette maison a une âme entre vieilles pierres et arbres centenaires. L’important est de créer tout en s’amusant, dans un havre de paix, sympa, relax, sans stress ni chichi, avec une cuisine nature et pleine de saveurs. »

Son plat-signature : du veau de l’Aveyron à la seiche, avec des anchois fumés, une compressée de cèleri et d’algues et du jus corsé au figatellu. Au Prieuré, il propose deux styles, un à ‘La petite table’, façon bistrot avec par exemple un œuf bio cuit à 64°c avec du lard de porc noir de Bigorre, des petits-pois à la menthe, du poulpe grillé avec haricots verts, pommes de terre façon aïoli, et une volaille noire fermière label rouge rôtie au beurre accompagnée d’asperges grillées.

Christophe Chiavola propose aussi un dîner gastronomique avec artichauts barigoule, jambon jaune ibérique et gel bergamote ou gambas à la braise avec betterave et agrumes ou encore ventre de thon rouge crème d’Isigny et poutargue, une spécialité d’œufs de mulets, appelée « le caviar de Martigues. »

Christophe Chiavola.

Les autres lauréats du Guide Michelin 2024

Parmi les lauréats distingués ce lundi matin à Villeneuve-lès-Avignon : Glenn Viel, le chef triplement étoilé de l’Oustau de Baumanière qu’on voit toutes les semaines à la télé dans Top Chef, Christophe Bacquié, 2 étoiles au Mas des Eydins à Bonnieux, Clément Peine, 26 ans seulement, une étoile à La Mère Germaine, maison centenaire et chic de Châteauneuf-du-Pape, Xavier Mathieu au Phébus à Joucas, Mathieu Desmarest, ancien chef de l’Élysée né à Villeneuve, de Pollen à Avignon, Serge Chenet de l’établissement Entre vigne et garrigue à Pujaut, ou encore Florent Pietravalle à La Mirande, Fanny Rey de l’Auberge de Saint-Rémy-de-Provence, Le Vivier à l’Isle-sur-la-Sorgue, L’Oustalet à Gigondas ou La Vieille Fontaine à l’Hôtel d’Europe, Place Crillon.

Côté Bibs : Avenio, rue des 3 Faucons à Avignon, l’Agape, à côté, aux Corps-Saints, La Maison de Celou à Châteauneuf-de-Gadagne, La Table de Pablo dans le village de Villars, non loin d’Apt, les Maisons Du’O à Vaison, Le 6 à table à Caromb.

De quoi festoyer, en goûtant aux produits de saison locaux, avec des chefs passionnés, qui ne lésinent pas sur les heures passées à concocter de nouvelles recettes, à les réaliser avec leur équipe pour offrir le meilleur de leurs menus aux gourmets et gourmands.


Marcelle Landau, présidente du Collectif de l’eau du Grand Avignon, vient de décéder

Renforcement d’une chaussée sur l’île de la Barthelasse, aménagement d’un carrefour giratoire à Vedène, ou encore la route du Mont Ventoux côté Nord qui reste fermée. Quels travaux sont prévus au mois de mai en Vaucluse ?

Dès ce mercredi 15 mai, 3 km de chaussée vont être refaits sur l’île de la Barthelasse, sur la route de l’Islon à hauteur de l’usine écluse d’Avignon. Les travaux devraient durer une quinzaine de jours. Une circulation alternée va être mise en place.

La neige et le verglas ont refait une apparition au Ventoux durant le mois d’avril. Compte tenu des aléas météorologiques, la route du versant Nord qui mène au sommet du Mont Ventoux depuis le Mont Serein reste fermée pour l’instant. La route du versant Sud, quant à elle, est ouverte.

Le Département de Vaucluse aménage un carrefour giratoire entre la RD53 et l’avenue Vidier à Vedène. Les travaux ont débuté le 8 janvier et les ouvriers sont en train de procéder à la mise en œuvre de la 1ʳᵉ couche d’enrobés.

Les autres chantiers en cours

  • Aménagement de la déviation de la RN7 à Orange. Les travaux sont prévus jusqu’à la fin de l’année 2026.
  • Aménagement de l’accès à la future maison d’arrêt ZAC du Plan (RD942) à Entraigues-sur-la- Sorgue. Les travaux sont en cours.
  • Réparation du pont de la RD907n au Pontet. Les travaux ont commencé le 11 mars pour cinq mois avec des fermetures de nuit (du 13 au 17 mai et du 21 au 25 mai, de 21h à 6h) et des déviations locales.
  • Renforcement de la couche de roulement d’une partie de la RD52 à Sarrians et Bédarrides. La mise en œuvre des enduits définitifs est prévue à partir du 13 mai pour environ deux semaines.
  • Restructuration du collège Saint-Exupéry à Bédarrides. Les travaux ont débuté en juillet 2022 et devraient se terminer cet été.
  • Réhabilitation du collège Lou Vignarès à Vedène. Le chantier a été entamé en février 2023, pour une durée de 37 mois.
  • Construction du nouveau bâtiment Memento, pôle des patrimoines de Vaucluse à Avignon. La fin de ce chantier est prévue pour le dernier trimestre 2024.
  • Extension du service ‘Livre et Lecture’ à Sorgues. Les travaux démarrés début avril et pour une durée de 14 mois.

Marcelle Landau, présidente du Collectif de l’eau du Grand Avignon, vient de décéder

Le jeux vidéo est aujourd’hui le marché le plus important et le plus lucratif de toute l’industrie du divertissement. En CA, il pèse deux fois plus que le cinéma et la musique réunis. Dans ce marché très concurrentiel, Burn Controllers, une start-up avignonnaise tente de percer, mais d’une façon plutôt originale…

Aujourd’hui, le marché des jeux vidéo c’est 175 milliards de $ ( 162 milliard de €). Un record pour un secteur d’activité qui il y a encore quelques années était méprisé. Entre les constructeurs de consoles et les développeurs et éditeurs de logiciels de jeux, se faire sa place n’est pas une chose aisée. Burn Controllers, une petite société avignonnaise a eu l’idée de se spécialiser dans l’optimisation et la personnalisation des manettes de jeux.

Elle propose à tous les possesseurs de consoles PS 4 ou 5 ou encore d’Xbox de se configurer via leur site internet une manette aux performances améliorées et surtout qui leur soit toute personnelle et unique. Les possibilités de personnalisation y sont quasi infinies. S’agissant des améliorations techniques et sans rentrer dans les détails elles permettent d’être plus rapide et de combiner des mouvements en simultanée, ce qui n’est pas toujours possible avec les manettes de base. Les joueurs avertis savent apprécier.

En France, plus de 39 millions de personnes jouent à des jeux vidéo

Aujourd’hui, leader français sur ce marché, la start-up escompte un développement important et rapide de son activité. En France, plus de 39 millions de personnes jouent à des jeux vidéo, et plus de la moitié au moins une fois par semaine (source Médiamétrie 2023). La pratique du jeu vidéo devient même un métier avec la constitution de teams de compétition professionnels. A partir de là, améliorer les performances de la manette de base et personnaliser son plus fidèle compagnon de jeu devenaient une évidence. Encore fallait-il y penser. C’est ce constat qui a été à l’origine de la création de la société, en 2010.

L’entreprise pour ambition de vendre d’ici trois ans 40 000 manettes par an

Pour les associés repreneurs de l’entreprise, le succès de cette activité repose sur deux principes essentiels : l’innovation technique et la communication. Côté technique l’entreprise dispose d’un brevet et côté communication elle compte sur le rôle des influenceurs, qu’il s’agisse de joueurs connus ou des teams qui performent dans de grandes compétitions nationales et internationales. Pour Sébastien Konigsmann et Brieux Autin, deux des 9 associés qui ont racheté l’entreprise, l’objectif est de vendre, cette année, 7 000 manettes. Pour eux, 2024 sera l’année de la reconquête. L’entreprise pour ambition de vendre d’ici trois ans 40 000 manettes par an, soit un CA de 4 M€. Certes on est loin des mastodontes du marché, mais la société réfléchit à créer autour d’elle tout un éco système qui pourrait déboucher sur la création de nouvelles activités.

Et c’est peut-être un signe du destin, Burn Controllers est installée juste en face d’une école de conception de jeux vidéo, dans le quartier de Courtine à Avignon. La société escompte ainsi développer toute une série de métiers situés en aval et en amont de son activité. Des plasturgistes pour les coques des manettes, des graphistes pour la personnalisation, des électroniciens pour les fonctions techniques, des développeurs pour les applications numériques, des techniciens en marketing pour la communication, des managers d’équipes d’E sport… Et c’est là que pourra se jouer toutes la synergie avec la société mère MCES, dont le métier est de gérer des équipes d’E. Sport. On est loin des premières bornes d’arcane des années 70 que l’on retrouvait dans les bistrots. Neuf générations de consoles sont passées par là et cette filière est devenue leader sur le marché du divertissement, avec une croissance exponentielle qui en fait rêver plus d’un.


Marcelle Landau, présidente du Collectif de l’eau du Grand Avignon, vient de décéder

Une adaptation de L’Avare mise en scène par Olivier Lopez, artiste associé du Théâtre des Halles depuis 2019

Après Bienvenue en Corée du Nord en 2018, 14 juillet en 2019, Rabudôru, Poupée d’amour en 2021 et Augustin Mal, n’est pas un assassin en 2022, le Théâtre des Halles accueille une version revisitée de la comédie de Molière par Olivier Lopez.

L’avarice au centre des conflits intergénérationnels

Olivier Lopez a choisi d’axer cette version revisitée de L’Avare autour des conflits intergénérationnels. Harpagon, joué par Olivier Broche, impose à ses proches une austérité qui tourne au cauchemar, rechigne sur chaque dépense, appréhende l’arrivée du moindre voleur. Il enterre et déterre mille fois par jour une cassette remplie d’écus, objet transitionnel, tentative désespérée de conjurer la mort. Harpagon est avare, certes, mais c’est pour lui une question de survie. L’Avare est une pièce sur l’ordre patriarcal, qui dénonce sa cruauté et la place réservée à la jeunesse.

La compagnie Cité Théâtre d’Olivier Lopez

Avec sa dernière création, la Compagnie Cité Théâtre continue à s’engager à témoigner de son époque en puisant ses inspirations dans le réel. Elle aborde des sujets qui dérangent, et révèle les fissures et les aspérités de notre société. La compagnie considère le théâtre avant tout comme un lieu pour penser le monde autrement et faire acte de résistance. 

Texte : Molière. Mise en scène : Olivier Lopez
Avec Olivier Broche, Gabriel Gillotte, Margaux Vesque, Romain Guilbert, Noa Landon, Olivier Lopez, Annie Pican, Stéphane Fauvel, Marine Huet, Simon Ottavi

Mercredi 15 mai. 20h. 5 à 22€. Théâtre des Halles. Rue du Roi René. Avignon. 04 32 76 24 51.


Marcelle Landau, présidente du Collectif de l’eau du Grand Avignon, vient de décéder

L’information n’a échappé à personne le matin du samedi 11 mai. Beaucoup se sont réveillés déçus de ne pas avoir su. Dans la nuit du vendredi 10 au samedi 11, des aurores boréales ont pu être aperçues dans le ciel dans différents lieux en France et ailleurs. Ainsi, on a pu voir des images spectaculaires du Mont-Saint-Michel ou encore de la Dune du Pilat sous un ciel aux tons rosés, ou encore verts. Le Vaucluse aussi, a pu apercevoir ce phénomène.

Nombre de photographes et d’amateurs se sont précipités au sommet du Mont Ventoux ce week-end avec l’espoir de capturer les aurores boréales. Ces dernières étaient bien visibles à l’œil nu ce vendredi soir, elles ont donné lieu à de magnifiques clichés de la part de talentueux photographes vauclusiens. « Nous n’étions que quatre ou cinq au Mont Ventoux ce vendredi à avoir pu profiter du spectacle », affirme le photographe Ken B., qui suit l’activité du ciel au quotidien grâce au site internet Space Weather Live qui donne l’activité solaire et les prévisions aurorales en direct.

Panorama pris par le photographe Sébastien Bur dans la nuit du vendredi 10 au samedi 11 mai. ©Sébastien Bur

De nombreux médias ont suggéré que le phénomène allait se répéter dans la nuit du samedi 11 au dimanche 12 mai. Si les Vauclusiens étaient peu nombreux le vendredi soir au sommet du Géant de Provence, ce dernier a vu son affluence grimper en flèche ce samedi soir. Entre le Chalet Reynard et le sommet du Mont Ventoux, de nombreuses voitures étaient garées sur les côtés de la route. Au sommet, les personnes présentes se comptaient par centaines. Certaines sont venues équipées : tapis, couverture, thermos avec boisson chaude, et bien évidemment appareil photo et trépied. D’autres sont juste venues accompagnées de leur smartphone afin d’immortaliser le moment, mais de profiter pleinement avec les yeux. Malheureusement, le pic d’intensité ayant eu lieu le vendredi soir, les aurores boréales se sont montrées plus timides ce samedi soir. « Il était presque impossible de les apercevoir de nos yeux, mais heureusement que l’appareil photo permet de les révéler », indique le photographe Lenny Vidal sur Instagram.

Photo prise par le photographe Lenny Vidal dans la nuit du samedi 11 au dimanche 12 mai. ©Lenny Vidal

Un phénomène rare mais pas inédit

S’il n’est pas rare d’apercevoir des aurores boréales dans les régions polaires, ce n’est pas tous les jours qu’on peut se venter d’en avoir vu en France. « Elles sont causées par l’interaction entre les particules émises par le soleil, l’atmosphère et le champ magnétique de la Terre », explique le spationaute français Thomas Pesquet sur ses réseaux sociaux. Le soleil ayant atteint un pic d’activité ce vendredi 10 mai, des aurores ont donc pu être observées à des latitudes plus basses qu’habituellement.

Selon l’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique, cette tempête géomagnétique était de niveau 5, soit le niveau maximum sur l’échelle utilisée. Un phénomène de cette intensité n’était pas arrivé depuis octobre 2003. Le soleil atteint son pic d’activité par cycle, tous les onze ans en moyenne. Cet événement peut être à l’origine de perturbations des réseaux de communication par satellite et au sol, des systèmes de navigation ou des émissions de radio.


Marcelle Landau, présidente du Collectif de l’eau du Grand Avignon, vient de décéder

Le Groupement des artisans Boulangers Pâtissiers du Vaucluse a organisé le premier concours départemental de la meilleure tarte aux fraises au CFA d’Avignon. Salariés et apprentis ont mis en avant leur savoir-faire et leur talent pour cette compétition. C’est l’artisan Steven Galea, de la boulangerie pâtisserie Sucre et Farine à Mormoiron, qui a remporté le 1ᵉʳ prix dans la catégorie Salarié.

Plus de 30 artisans/salariés, une vingtaine d’apprentis en catégorie CAP-Mention Complémentaire et quatre apprentis dans la catégorie BP-BM-BTM ont participé à la première édition du concours départemental de la meilleure tarte aux fraises. Le jury a évalué chaque tarte sur quatre critères : la pâte, la crème, l’harmonie et l’équilibre entre la pâte, la crème et les fraises, ainsi que l’aspect général de la tarte.

Le vainqueur du 1ᵉʳ prix dans la catégorie Artisan/Salarié a remporté 250€ en bons d’achats. 150€ et 100€ en bons d’achats étaient offerts pour les 2ᵉ et 3ᵉ prix. Les 1ᵉʳ prix dans les catégories Apprenti ont remporté 100€ chacun.

Les lauréats

Catégorie Artisan/Salarié :
1) Steven Galea de la boulangerie pâtisserie Sucre et Farine à Mormoiron
2) Mohamed Badrei du Pain d’Antan à Valréas
3) Dorian Hernandez de la Maison Jouvaud à Carpentras

Catégorie CAP/Mention Complémentaire :
1) Louna Siminski du CFA d’Avignon
2) Lucas Lefebvre du CFA d’Avignon
3) Alexis Cavalier-Ruis du CFA d’Avignon

Catégorie BP/BM/BTM :
1) Maïlys Chalvet de la boulangerie pâtisserie Les Rotondes à Avignon
2) Jérôme Rufino de la boulangerie pâtisserie Lyse à Cabrières d’Avignon
3) Alexia Souchon du CFA d’Avignon

©Groupement des artisans Boulangers Pâtissiers du Vaucluse

https://echodumardi.com/tag/vaucluse/page/18/   1/1