26 août 2024 |

Ecrit par le 26 août 2024

Le Pontet : les nouvelles dates de fermeture du pont enjambant la voie rapide d’Avignon

Le pont de la RD907n, situé au Pontet, qui permet le franchissement de la RD225 (voie rapide Avignon – Carpentras), subit des travaux qui nécessitent sa fermeture complète à la circulation certaines nuits de 21h à 6h. Onze nouvelles dates ont été annoncées entre le mercredi 22 mai et le mercredi 5 juin.

Le pont de la RD907n (route de Sorgues), situé au Pontet, qui permet le franchissement de la RD225 (voie rapide Avignon – Carpentras) subit des travaux de réparation depuis le 11 mars et pour une durée prévisionnelle de cinq mois à cause d’une fissuration longitudinale importante due à la variation de température dans la dalle et au trafic élevé supporté par l’ouvrage.

Pour que les travaux soient menés à bien, le Département de Vaucluse doit procéder à une fermeture complète du pont durant 74 nuits, réparties sur toute la durée du chantier. Ainsi, le pont sera fermé à la circulation de 21h à 6h :
– dans la nuit du mercredi 22 au jeudi 23 mai,
– dans la nuit du jeudi 23 au vendredi 24 mai,
– dans la nuit du vendredi 24 au samedi 25 mai,
– dans la nuit du lundi 27 au mardi 28 mai,
– dans la nuit du mardi 28 au mercredi 29 mai,
– dans la nuit du mercredi 29 au jeudi 30 mai,
– dans la nuit du jeudi 30 au vendredi 31 mai,
– dans la nuit du vendredi 31 mai au samedi 1er juin,
– dans la nuit du lundi 3 au mardi 4 juin,
– dans la nuit du mardi 4 au mercredi 5 juin,
– dans la nuit du mercredi 5 au jeudi 6 juin.

Une déviation locale sera mise en place de 21h à 6h lors de chaque fermeture. La voie rapide dans le sens Avignon-Carpentras reste, quant à elle, toujours accessible.


Le Pontet : les nouvelles dates de fermeture du pont enjambant la voie rapide d’Avignon

Après le succès de l’année dernière, La Scène Nationale La Garance de Cavaillon récidive et nous donne rendez-vous pour son Festival Confit qui aura lieu du mercredi 22 au dimanche 26 mai dans plusieurs lieux du département.

Le plat signature de la directrice de la Garance, Chloé Tournier

Pourquoi changer une recette qui marche ? Le Festival confit 2023 fut un coup d’essai et un coup de maître…sse. La directrice de la Garance, Chloé Tournier, remet le couvert en proposant un second festival Confit, en changeant quelques ingrédients certes, mais en gardant l’esprit d’un moment festif qui offrira des émotions où nos cinq sens seront mobilisés. 

La recette incontournable 

Un festival Confit, ça se mijote avec une équipe, des partenaires, divers ustensiles et dans divers lieux : il en faut pour tous les goûts et tous les âges, facile à préparer en une heure ou sur toute une journée, à boire et à manger, avec un « bon peu » de convivialité, une pincée de surprises, une bonne dose de bonne humeur, quelques pépites à parsemer, et un public pour déguster. 

Des ingrédients féminins

La cuisine, c’est l’affaire de tous ! Il va sans dire, mais il faut bien reconnaître que les femmes sont à l’honneur dans ce menu printanier. L’artiste libanaise Hiba Najem nous propose une performance culinaire autour des Chaussons aux tomates… de son enfance. La compagnie 13/31 de Lisa Guez nous invite au bar de Vertébré, les femmes de la Compagnie Brumes présenteront un théâtre documentaire Vivantes en terre avignonnaise et la metteuse en scène Clara Hédouin mettra les mots de Giono en mouvement dans une randonnée spectacle autour de Mérindol. 

Des ateliers culinaires

Le Studio Mille Feuilles nous invite à une écoute multisensorielle de trois vinyles 33 tours avec « Vinyles à déguster » et nous propose aussi de décorer des gâteaux lors de l’atelier ‘Gâteaux en fleur’. ‘De l’encre et du vin’ permettra d’écrire tout en dégustant du vin.

Comment cuire un porcelet à la broche ? C’est ce que présente La Maison du Porcelet de Velleron. La cuisinière Monique Deyeart-Buitink nous initiera à la cuisine crue. La DJ Floriane Facchini avec Clément Martin accompagnera le festival sur fond de « pastasciutta antifasciste dei fratelli Cervi » !

Inauguration du festival le mercredi 22 mai

À cette occasion, la directrice Chloé Tournier recevra la médaille de Chevalier de l’Ordre National du Mérite et la soirée continuera avec Chaussons aux Tomates à 19h puis Vertébré à 20h30. De 16h à 19h, le Théâtre de la Garance sera transformé en un grand marché de producteurs.

Festival Confit. Du 22 au 26 mai. De 0 à 20€ selon les ateliers ou spectacles. Scène Nationale La Garance. Rue du Languedoc. Cavaillon. 04 90 78 64 64.


Le Pontet : les nouvelles dates de fermeture du pont enjambant la voie rapide d’Avignon

À l’occasion de la 19ᵉ édition de la Nuit européenne des musées qui aura lieu ce samedi 18 mai, l’accès à bibliothèque-musée L’Inguimbertine, située au sein de l’Hôtel-Dieu à Carpentras, sera exceptionnellement gratuit.

Plus de 800 œuvres d’art exposées sur 1800 m² sont à découvrir au cours soirée immersive qui mêle art, histoire, littérature et patrimoine.

Samedi 18 mai. Entrée libre de 19h à 23h. Hôtel-Dieu. 180 Place Aristide Briand. Carpentras.


Le Pontet : les nouvelles dates de fermeture du pont enjambant la voie rapide d’Avignon

Le mercredi 15 mai 2024, le groupe Orange a réunit plus de 300 jeunes de la région PACA à l’Orange Vélodrome dans le cadre de son évènement « Good connections » dont l’objectif était de sensibiliser 2.000 jeunes partout sur le territoire français aux bons usages du numérique et à la découverte de l’handisport. A cette occasion, cinq clubs vauclusiens ont pu participer aux différentes activités proposées tout au long de la journée.

En cette année de Jeux Olympiques et Paralympiques, les évènements de sensibilisations sportifs continuent de fleurir un peu partout sur le territoire national afin de faire adopter les bonnes habitudes et pratiques aux plus jeunes. C’est dans cet esprit que le groupe Orange a organisé l’évènement « Good Connections » le mercredi 15 mai 2024 à l’Orange Vélodrome, à Marseille. L’idée était de réunir 12 clubs ou associations sportives de la région PACA avec leurs plus jeunes adhérents autour de trois ateliers ludiques et sportifs afin de les sensibiliser au cyberharcèlement et à la découverte de l’handisport.

5 clubs vauclusiens présents

Ces trois ateliers avaient chacun un rôle prédéfini. Le premier était un atelier de sensibilisation au cyberharcèlement et à l’enseignement des bonnes pratiques du numérique dans le milieu sportif. Le second était une exploration des pratiques handivalide avec une activité de volleyball assis ainsi que football/basketball et rugby en fauteuil avec l’idée de mettre les jeunes valides dans une situation d’handisport. Le dernier atelier s’est articulé sous la forme d’un quizz d’appropriation sur le cyberharcèlement et le handicap qui a donné lieu à un temps de questions et d’échanges autour de ces problématiques avec des ambassadeurs de la team Orange.

Parmi les 12 clubs et associations sportives présentes en ce mercredi 15 mai ensoleillé, 5 étaient issues du département du Vaucluse. On compte notamment le FC Carpentras, le Ventoux Sud FC Mazan Bédoin, Les minots du Vasio, le SO Velleronnais et le Sporting Couthézon Jonquières. Les jeunes vauclusiens ont ainsi pu profiter de cette journée dans un lieu sportif mythique et partager avec l’ensemble des acteurs présents les valeurs des Jeux Olympiques et Paralympiques que sont l’excellence, le respect et l’amitié, et celles du sport paralympique, de courage, détermination, inspiration et égalité, où la parité fille/garçon, la diversité, l’inclusion sont célébrées et où le sport devient une puissante expression d’unité et de solidarité.

Lillia et Luca du FC Carpentras. ©DR/Orange

Le Pontet : les nouvelles dates de fermeture du pont enjambant la voie rapide d’Avignon

Elle ne m’a rien dit, d’après l’histoire vraie de Hager et Ahlam Sehili

Strasbourg, quartier Hautepierre. Samedi 17 avril 2010 à 14h52. La jeune Ahlam Sehili meurt assassinée sous les coups de son conjoint. Puis, il se défenestra après avoir commis son acte. Scène terrible… Pourtant, le drame aurait pu être évité, car la veille de cette tragédie meurtrière, Ahlam s’était rendue au Commissariat dans le but de porter plainte pour les violences conjugales qu’elle subissait et les menaces de mort qui pesaient sur elle depuis des mois.

Au-delà d’un féminicide, Elle ne m’a rien dit est l’histoire d’un amour inconditionnel entre deux sœurs

En effet, ce spectacle est né de la rencontre entre Hager Sehili la sœur d’Ahlam et Hakim Djaziri, auteur et metteur en scène de la pièce. Car, au-delà d’être la sœur d’une victime, elle est aussi la première (et seule) personne en France à ce jour à avoir fait condamner l’État pour « dysfonctionnement du service public de la justice » et pour « faute lourde » pour faire suite au meurtre de sa cadette. Ce spectacle, c’est aussi l’histoire d’un combat qui a duré onze ans avant cette décision juridique historique. 

Ce spectacle sera joué du 29 juin au 21 juillet 2024 à 22h30 à La Factory/Théâtre de l’Oulle. 

Samedi 18 mai. 20h. 15 et 20€. La Factory/Théâtre de l’Oulle. Rue de la Plaisance. 09 74 74 64 90 / lafactory.booking@gmail.com 


Le Pontet : les nouvelles dates de fermeture du pont enjambant la voie rapide d’Avignon

Didier Perréol, Ardéchois aujourd’hui propriétaire d’un hôtel en Vaucluse, est le roi du quinoa, la petite graine sacrée des Incas, et défenseur de l’agriculture biologique et du commerce équitable.

Comme il l’écrit dans son livre Une graine sacrée : le quinoa (édité par Marabout), « Je suis natif d’un petit village, Saint-Désirat, non loin d’Annonay et j’ai grandi dans la maison de mes parents, au milieu des cerises et des vignes avec les deux pieds bien enfoncés dans la terre. »

Ce fils de paysans, après avoir suivi des cours d’agronomie, monte sa société de distribution en alimentation biologique. En 1989, il participe à un salon de Genève et remarque de petites pyramides de graines blanches sur un étal tenu par une certaine Adela venue de Bolivie. « J’ai compris que c’était le riz des Incas, là-bas dans l’Altiplano. Une graine qui avait nourri les bâtisseurs de l’empire des Incas, sacrée et vénérée depuis les civilisations pré-colombiennes et cultivée à 3 600 mètres d’altitude. »

Le quinoa n’est pas une céréale, elle appartient à la famille des épinards et des betteraves. Et c’est une mine de bienfaits, puisqu’elle contient des protéines, des acides gras polyinsaturés, du phosphore, du manganèse, du fer, de la vitamine B2, des anti-oxydants, mais absolument pas de gluten. Forcément, elle est recommandée par les nutritionnistes.

Didier Perréol survole la cordillère des Andes pour la 1ʳᵉ fois en 1992. Patron d’Ekibio à l’époque, il commercialise du riz de Camargue puis il crée sur place une filière de commerce équitable et solidaire avec les paysans boliviens. Ils sont 250 producteurs en contrat avec lui pour fournir 500 kg de quinoa par jour et vivre dignement de leur travail. « En 10 ans, le chiffre d’affaires d’Ekibio sera multiplié par 7, confie-t-il. 1000 tonnes par an de quinoa sont rincées à l’eau pour la désaponifier, dans une usine de 3 000 m². Tous les reporters d’Arte, de M6 et d’Envoyé Spécial sont venus voir comment je travaillais avec les paysans locaux, là-bas, dans l’Altiplano, pour saluer cette petite graine qui monte, monte, monte. Du coup, je suis devenu leader de l’importation de l’importation en Europe, le roi du quinoa, quoi ! »

Aujourd’hui à la retraite, mais toujours actif dans le Nord-Vaucluse, Didier Perréol savoure cette aventure humaine, d’autant plus qu’avec la tendance de fond du retour à la nature, au bio, le quinoa a su s’imposer sous toutes ses formes : en taboulé, en risotto, en couscous, en salade, en boulgour. Il est une alternative diététique aux pâtes et aux féculents et surtout, il ne coûte pas cher. De quoi en prendre de la graine…


Le Pontet : les nouvelles dates de fermeture du pont enjambant la voie rapide d’Avignon

Dans le Vaucluse, il y a 670 entreprises de réparations et d’entretien pour les véhicules légers. Majoritairement composé de petites structures plus ou moins indépendantes, nombre de ces entreprises rencontrent aujourd’hui des difficultés. Mais certaines d’entre elles tirent leur épingles du jeu en misant sur la proximité, le service ou en diversifiant leurs activités.

La proximité et le prix sont sans doute les deux premières raisons pour laquelle on va chez le garagiste du coin. La confiance est aussi un facteur important. Son « petit » garagiste c’est celui qui cherche à réparer plutôt qu’à changer, ou à ne remplacer que ce qui est nécessaire. Ces petites entreprises, qui sont les plus nombreuses, sont aussi les plus fragiles : forte pression concurrentielle, surcoûts énergétiques, problèmes de main d’œuvre, nécessité d’investir en permanence… Mais certains se battent pour continuer à exister, comme à Lourmarin où un jeune couple a repris un garage en se spécialisant dans les voitures anciennes ou de sport.

un atelier de restauration ©Didier Bailleux

Garagistes par filiation et par passion
Ancien mécanicien dans des écuries ayant participés à des épreuves comme les 24 heures du Mans ou le Dakar, Frédéric Pellegrin, est un authentique aficionado. Il a travaillé chez Oréca, l’écurie d’Hugues de Chaunac qui remporta dans sa catégorie les 24 heures du Mans en 2000 avec une Dodge Viper GTS-R. Jolie carte de visite. Il a ensuite collaboré chez solution F, un autre préparateur auto de renom. Ca été pour lui l’occasion de pouvoir vivre de l’intérieur quelques grands rallyes historiques comme le Tour de Corse ou encore des épreuves sur des circuits à Spa ou à Dubaï. Il a également tâté du rallye mais cette fois en tant que pilote sur une Clio Williams.

« Je suis tombé dedans quand j’étais petite »
Sa compagne, Jade Vila est aussi une vraie passionnée. Son père, son grand-père et même son arrière-grand-père, tous étaient garagistes. Sa tante a également évolué en sport auto dans le championnat de France. Une famille de vrais fans d’automobiles. « Je suis tombé dedans quand j’étais petite » confit Jade. Comme Frédéric, son compagnon, elle ne pouvait envisager d’autre avenir professionnel. Ils voulaient leur garage mais ne souhaitaient pas s’installer en ville. Habitant la région, ils ont eu l’opportunité de reprendre celui de Lourmarin, il y a maintenant trois ans. Ils ont dû investir pour le moderniser et le mettre aux normes actuelles.

Frédéric Pellegrin et Jade Vila ©Didier Bailleux

Qui sait aujourd’hui régler une rampe de carburateurs Weber ou roder des soupapes ?
Dans leur garage il n’est pas rare de côtoyer aux côtés d’autos de tous les jours, une vieille anglaise ou encore une allemande de prestige des années 90 avec beaucoup de cylindres et de travail… Des autos dans lesquelles peu de garagistes savent ou osent mettre les mains. Qui sait aujourd’hui régler une rampe de carburateurs Weber ou roder des soupapes ? C’est là aussi où les petits garagistes font la différence. Mais ce savoir-faire est de plus en plus menacé.

Perpétuer les savoir-faire dans les métiers des véhicules anciens
C’est justement pour ne pas que ces savoir-faire ne disparaissent que le Conservatoire National des Véhicules Anciens (CNVA) a été créé en 2015. Cette idée on la doit à Luc Morel, un passionné de vieilles mécaniques, qui ne pouvait se résoudre à ce qu’il n’y ait plus de formations spécialisées pour l’entretien ou la restauration des voitures anciennes. Les besoins sont importants et les métiers bien spécifiques : mécaniciens, carrossiers, selliers… Les formations proposées par la CNAV sont ouvertes à tous, y compris aux particuliers qui veulent se reconvertir ou simplement mettre les mains dans le cambouis de leurs autos.

Luc Morel du Conservatoire National des Véhicules Anciens (CNVA) ©Didier Bailleux

Une antenne a même été ouverte en septembre dernier à Cavaillon. Les formations ont été confié à Tony Lemaitre, un ancien élève du CNVA et ex manager de ligne à la RATP. Installé à Cavaillon depuis plusieurs années comme mécanicien restaurateur de motos anciennes dans les ateliers de Renaissance Motorcycle, Tony Lemaire fait aujourd’hui aussi dans l’automobile. Que ce soit 2 ou 4 roues c’est toujours la passion qui conduit !

Le secteur de la réparation automobile en France

70 000 entreprises et 120 000 salariés

Un CA de 21 milliards d’euros avec une croissance annuelle de l’ordre de 5 à 6 %

3 grands types de structures : les concessionnaires et agents de marques, les grandes enseignes d’entretiens (Norauto, Midas, Feu vert…) et les indépendants. Ces derniers peuvent être regroupés sous des marques qui leur apportent un certain nombre de services (AD, Euro Repar Service, TOP Garage…)

En France, on dénombre pas moins de 230 000 collectionneurs et environ 800 000 véhicules anciens et tournants. Le secteur de l’automobile ancienne, c’est 4 milliards d’euros de CA et 20 000 emplois directs (source Fédération Internationale des Véhicules Anciens)

Pour en savoir plus sur :
le Conservatoire National des Véhicules Anciens (CNVA)
Lourmarin Classic


Le Pontet : les nouvelles dates de fermeture du pont enjambant la voie rapide d’Avignon

Le chanteur Bernard Joyet se produira pour un concert unique à L’Incongru ce samedi 18 mai.

Bernard Joyet a reçu le prix Jacques Douai 2018. Chaque année, ce prix est décerné à un artiste, une personnalité ou une structure qui, par son action ou son œuvre artistique, fait vivre la chanson francophone, le répertoire et les idéaux que Jacques Douai a portés toute sa vie : célébration de l’art de la chanson, respect et souci d’élévation du public, émancipation par la culture et l’éducation populaire. Il écrit pour lui mais également pour Juliette, Yves Jamait … et a été très proche d’Anne Sylvestre et tant d’autres. L’Académie Française utilise ses textes.

L’association ‘Bonheurs en scènes’

Marie Baudin, fondatrice de la jeune association ‘Bonheurs en Scènes‘, accompagne avec passion des artistes (chansons françaises), le plus connu et reconnu dans cette ‘catégorie’ étant Bernard Joyet.

Le petit théâtre, l’Incongru

L’Incongru – salle ouverte par Pascal Pistone (professeur en musicologie avec la spécialisation ‘chansons françaises’ à la Fac à Bordeaux) – a déjà reçu Bernard Joyet pendant le OFF 2023 avec son spectacle La note et le mot. La jauge est de 40 places.

Samedi 18 mai. 20h. L’Incongru. 56 rue de la Bonneterie. Avignon. 07 45 15 01 83.


Le Pontet : les nouvelles dates de fermeture du pont enjambant la voie rapide d’Avignon

L’Odyssée musicale du cerveau, un spectacle poétique, scientifique et musical du Rolling String Quintet, animé par Emmanuel Bigand ce samedi 18 mai au Grenier à Sel à Avignon.

Conçu par Emmanuel Bigand, qui est professeur de psychologie cognitive attaché au CNRS et a été musicien d’orchestre, L’odyssée musicale du cerveau est un voyage fascinant qui commence au creux de l’oreille et nous emmène à l’intérieur du cerveau, à la découverte des régions stimulées par la musique. Cette expérience immersive, accessible à tous, ne nécessite aucune connaissance scientifique ou musicale préalable. Le « savoir » rime avec sensorialité, émotion et action. Elle nous raconte simplement, avec la complicité de 5 musiciens, le quintet Rolling String Quintet, comment la musique peut changer notre cerveau, ou autrement dit comment la musique fait swinguer nos neurones !

Une découverte des répertoires contemporains, traditionnels, classique et pop rock du quatuor à corde.

Avec Amélia Donnier (voix), Steve Duong (violon et voix), Marguerite Dehors (violon et voix), Jérémie Visseaux (alto, arrangement, voix), Emmanuel Bigand (violoncelle, sciences, mise en scène). Emmanuel Bigand a été musicien d’orchestre et il est professeur de psychologie cognitive, membre de l’Institut universitaire de France rattaché à Dijon au laboratoire CNRS de l’apprentissage et du développement, spécialisé dans l’étude des processus cognitifs impliqués dans la perception de la musique.

Ce spectacle est programmé en écho à l’exposition ‘Ludwig Van – Écouter pour s’entendre’ présentée actuellement au Grenier à sel et qui explore elle aussi les méandres de la perception et de l’écoute (visible en entrée libre du mercredi au samedi, de 14h à 18h).

Samedi 18 mai. 19h. 5€. Grenier à sel. 2 rue du rempart Saint-Lazare. Avignon. 04 32 74 05 31 / reservation@legrenierasel-avignon.fr

https://echodumardi.com/tag/vaucluse/page/17/   1/1