22 novembre 2024 |

Ecrit par le 22 novembre 2024

Valréas : projection-débat du film ‘Le temps des forêts’

A l’occasion du jour de la Terre, célébré chaque 22 avril depuis 1970, le musée du Cartonnage et de l’Imprimerie de Valréas propose une séance spéciale du film ‘Le temps des forêts’ (2018) de François-Xavier Drouet à 18h30.

Un documentaire qui dresse un constat de la gestion actuelle des forêts, influencée par les orientations nationales. Du Limousin aux Landes, du Morvan aux Vosges,  le film met en avant la sylviculture industrielle et ses alternatives pour lutter contre l’appauvrissement des sols et de la biodiversité forestière.

La séance sera introduite par le sylviculteur Michel Escurat et sera suivie d’un débat en présence d’Olivier Delaprison de l’ONF (Office national des forêts) et d’un intervenant du CRPF (Centre régionale de la propriété forestière).

A.D.

Durée du film : 1h43. Gratuit, sur inscription au 04 90 35 58 75. Musée du Cartonnage et de l’Imprimerie. 3 Avenue Maréchal Foch, Valréas.

Découvrez la bande-annonce du film ‘Le temps des forêts’.

Valréas : projection-débat du film ‘Le temps des forêts’

Ce mardi 5 avril, le lycée professionnel Ferdinand Revoul, situé à Valréas, accueillera la sélection régionale Paca pour la 17ème édition du concours du meilleur croissant au beurre d’Isigny AOP, durant lequel 10 élèves apprentis boulangers de la région s’affronteront. Ils devront chacun pâtisser 24 croissants qui seront jugés sur leur forme, leur texture, leur couleur, et bien évidemment leur goût. Seuls 2 candidats seront sélectionnés pour participer à la suite de l’aventure : la finale nationale qui aura lieu en mai en Normandie. Le Vaucluse n’est pas novice en la matière puisque le groupement des artisans boulangers pâtissiers du département organise également son propre concours du meilleur croissant au beurre chaque année.

Le concours du meilleur croissant au beurre d’Isigny AOP a été créé en 2006 par la coopérative Isigny Sainte-Mère, connue pour ses produits laitiers élaborés dans le respect de la tradition, et l’Association nationale des professeurs de boulangerie dans le but de transmettre un savoir-faire, démontrer l’excellence des matière premières comme le beurre d’Isigny AOP, ou encore partager entre apprentis, formateurs et professionnels.

V.A.


Valréas : projection-débat du film ‘Le temps des forêts’

Le lycée Saint-Dominique, implanté à Valréas, vient de remporter le Grand prix Hippocrène, pour son projet ‘6!YES’ axé sur l’innovation. Une première pour un établissement agricole.

Le Prix Hippocrène de l’éducation à l’Europe est un concours proposé aux établissements scolaires. Créé en 2010 par la fondation éponyme, il récompense les meilleurs projets de partenariat européen élaborés par une classe et ses professeurs. Cinq prix de 5 000€ sont attribués, un pour chacune des 5 catégories d’établissements pouvant participer : les écoles primaires, collèges, lycées généraux, lycées professionnels ainsi que l’enseignement agricole. Il existe également un grand prix (doté de 10 000€). Ce dernier vient être remporté par le lycée vauclusien Saint-Dominique. Une première pour un établissement agricole.

Des innovations utiles pour l’avenir
À vrai dire, c’est son projet ‘6!YES’ (comme young european search) qui a été récompensé. Initié en 2018, ce projet Erasmus a été mis en place avec 4 autres établissements partenaires (implantés en Allemagne, Bulgarie, Chypre et Espagne). Il s’agissait de rechercher des innovations dans les domaines de la communication et des nouvelles technologies, du développement durable et de la protection de l’environnement, du patrimoine culturel, ainsi que dans les secteurs du handicap et de la petite enfance. « Des innovations porteuses d’avenir et qui pouvaient être utilisées dans toute l’Europe », précise Philippe Samson, chef d’établissement du lycée Saint-Dominique.
Ses élèves – une quarantaine de personnes au total – se sont notamment concentrés sur la thématique du développement durable. Ils ont ainsi mis en lumière, au travers d’un film, un robot des mers conçu par la startup iadys. Baptisé Jellyfishbot, celui-ci récolte les déchets flottants ainsi que les hydrocarbures dans les ports.
Des déplacements au-delà des frontières de l’Hexagone ont également été organisés. « Lors de la première année, nous avons effectué un déplacement avec des jeunes à Valence, en Espagne. En mai 2019, nous sommes aussi allés en Bulgarie. »

Une 5e projet à venir
« Depuis 2005, le lycée est très impliqué dans les projets européens. On établit des partenariats avec d’autres établissements, qui ne pas sont pas forcément agricoles. Là, c’était notre quatrième projet européen. » Et il ne s’agira pas du dernier. Les élèves de l’établissement valréassien vont désormais être invités à se pencher l’égalité homme-femme dans le monde du sport.
« Il s’agira de mettre en avant dans un premier temps les compétitions où les hommes et les femmes sont associés. Lors de la deuxième année, les élèves feront des propositions de compétitions. » À l’issue du projet, le chef d’établissement aimerait présenter aux membres du Comité international olympique le travail mené par ses élèves.


Valréas : projection-débat du film ‘Le temps des forêts’

L’enseigne de distribution Action a ouvert depuis quelques mois un magasin au cœur de l’enclave des papes.

Après Apt, Avignon, Orange et Bollène, c’est à Valréas (route d’Orange) que le discounter non-alimentaire Action a choisi de s’implanter. Le concept du magasin reste le même : les clients peuvent y retrouver près de 6 000 références, au travers de 14 catégories différentes (décoration, cosmétiques, jouets, bricolage, multimédia, textile, ménage, fournitures de bureau, etc.), avec un prix moyen inférieur à 2€.

Une vingtaine d’emplois créés
Cette ouverture de magasin a engendré la création d’une vingtaine d’emplois (encadrants et employés de libre-service). Une aubaine pour le territoire. Car selon des données communiquées il y a quelques semaines par Pôle emploi, 60% des demandeurs d’emploi (catégorie A) recensés dans le pays de Grignan et l’Enclave des papes sont peu qualifiés (CAP et moins).
La mobilité s’avère également être une vraie problématique. « Certains publics sont très peu mobiles », précise-t-on. Et à cela peuvent s’ajouter d’autres freins périphériques, comme les problèmes de santé, etc.

Action poursuit son développement territorial
Avec cette nouvelle implantation, l’enseigne néerlandaise Action poursuit en tout cas son maillage dans l’Hexagone. Elle compte à ce jour en France plus de 572 magasins ; entre 80 et 90 nouveaux magasins sont ouverts chaque année.


Valréas : projection-débat du film ‘Le temps des forêts’

La magie du cirque s’installe à Valréas pour le plaisir des petits comme des grands. Clowns, acrobates, trapézistes, jongleurs, musiciens, cavaliers, magiciens, dompteurs, atelier de maquillage, aucun risque de s’ennuyer au cirque. 1h30 de spectacle au programme.

Deux représentations à Valréas :

  • Samedi 4 septembre à 18h
  • Dimanche 5 septembre à 15h

Emplacement : parking du stade.

Le pass sanitaire est obligatoire. Contact : 04 32 60 01 07. Tarif unique (adulte et enfant) : 10 euros.

L.M.


Valréas : projection-débat du film ‘Le temps des forêts’

La 55e édition de ce festival de théâtre se prépare. 15 jours de Théâtre dans l’Enclave des Papes avec des figures populaires comme Clémentine Célarié et Christophe Malavoy, des compagnies professionnelles régionales et nationales, une création amateur et la toute dernière création du Centre Dramatique Des Villages ‘Lettres à Nour’ d’après le texte de Rachid Benzine et mis en scène par Gilbert Barba. Il est prévu du jeudi 15 au dimanche 25 juillet dans les communes de Valréas, Visan, Grillon et Richerenches.

Appel à bénévoles pour préparer ce festival

Afin de présenter le festival et les missions des bénévoles, il est prévu une réunion en visio-conférence par Zoom, application gratuite à télécharger sur votre ordinateur ou téléphone portable, vendredi 23 avril à 18h. Si l’aventure vous tente, inscrivez-vous à la réunion ici. Centre Dramatique Des Villages du Haut Vaucluse. Maison des associations. 43, cours Victor Hugo à Valréas. contact@cddv-vaucluse.com et cddv-vaucluse.com et nuits-enclave.com

Michèle Périn


Valréas : projection-débat du film ‘Le temps des forêts’

Le picodon sera prochainement à l’honneur lors d’une émission sur M6. Une belle vitrine pour ce fromage de chèvre régional dont le syndicat AOP entend développer la visibilité.

L’émission Top Chef est de retour sur M6. Le principe est simple : plusieurs cuisiniers s’affrontent dans de multiples épreuves où la créativité et la technique doivent être au rendez-vous. En deuxième partie de soirée, place à ‘Top Chef : les grands duels’. Deux anciens candidats s’affairent alors autour des fourneaux afin de sublimer des produits du terroir. Ces dernières semaines, les téléspectateurs ont pu voir le haricot de Castelnaudary, le veau d’Aveyron & du Ségala, le fromage Saint-Marcellin ou encore la noix de Grenoble. L’une des émissions de ces prochaines semaines fera honneur au picodon.

Promouvoir l’appellation
Le picodon, c’est ce petit fromage de chèvre au lait cru et entier fabriqué en Drôme, en Ardèche… mais aussi dans les cantons de Barjac dans le Gard et celui de Valréas où le Vaucluse compte un producteur fermier.
« Le territoire de l’appellation s’étend de la Vallée du Rhône aux contreforts du Vercors, sans oublier les Gorges de l’Ardèche. Avec des ressources fourragères différentes, chaque exploitation a sa signature », explique Alicia Teinturier, animatrice du syndicat du picodon AOP.
Mais si ce fromage de chèvre est connu localement et au niveau régional (bassin lyonnais, et Provence-Alpes-Côte d’Azur), ce n’est pas forcément le cas dans le reste de l’Hexagone. Voilà donc pourquoi le syndicat AOP (Appellation d’origine protégée) souhaite communiquer plus largement. « L’appellation a déjà pu bénéficier d’un coup de projecteur lors de l’émission ‘Objectif Top Chef’. Cela a permis aux téléspectateurs de découvrir un métier, un produit et un terroir. Cette nouvelle diffusion, qui a pu se concrétiser avec l’Anicap (Association nationale interprofessionnelle caprine), s’inscrit aussi dans une promotion des fromages de chèvre en général dans un contexte de Covid-19. »

Sur la route du picodon
Connaître un fromage est une chose. Mais pouvoir le retrouver sur son étal en est une autre. Ce nouveau passage télévisuel sera donc un véritable coup de pouce pour les entreprises laitières qui commercialisent leurs produits bien au-delà des frontières ‘drômardéchoises’. Voire un possible levier de développement pour d’autres. En 2019, ce sont 534 tonnes de picodons qui ont été produites. Une légère augmentation est prévue pour 2020.
Mais que l’on se rassure, la vente directe ne compte pas s’interrompre. Bien au contraire. Le syndicat AOP vient d’ailleurs d’éditer une carte afin que les habitants, et même les touristes, puissent s’approvisionner à la ferme. « Elle répertorie l’ensemble des points de vente, avec les jours d’ouverture et les horaires. » Ce nouveau support de communication est en train d’être distribué aux offices de tourisme et hébergeurs du territoire.

Aurélien Tournier


Valréas : projection-débat du film ‘Le temps des forêts’

C’est officiel ! Selon l’Insee (Institut national de la statistique et des études économiques) la zone d’emploi d’Avignon compte désormais davantage de communes gardoise et bucco-rhodaniennes que de vauclusiennes. Une réalité qui met de plus en plus en lumière les incohérences des frontières départementales.

En redéfinissant le périmètre des zones d’emploi en Provence-Alpes-Côte d’Azur, l’Insee a établi que la région comptait désormais 22 zones contre 18 en 2010. Intégrant de nouvelles méthodes afin d’harmoniser les possibilités de comparaison au niveau européen, ce zonage détermine un territoire à l’intérieur duquel la plupart des actifs résident et travaillent. Pour l’Insee, « il s’agit de l’espace le plus pertinent pour étudier le fonctionnement du marché du travail et pour adapter localement les politiques de l’emploi ».
Cette réévaluation des frontières ‘économiques’ de nos territoires fait ainsi notamment apparaître les zones d’emploi de Carpentras et de Valréas (jusqu’alors intégrées à celle d’Avignon) ainsi que celle de Bollène-Pierrelatte (rattachée jusqu’à présent à Orange).

Avignon dépasse les frontières
Déjà principale zone d’emploi de Paca dépassant les frontières régionales en 2010, le bassin de vie de la cité des papes ne fait que renforcer ce déséquilibre 10 ans plus tard. Ainsi à ce jour, la zone d’emploi d’Avignon comprend 15 communes gardoises (Les Angles, Aramon, Domazan, Estézargues, Fournès, Lirac, Montfrin, Pujaut, Rochefort-du-Gard, Roquemaure, Sauveterre, Saze, Tavel, Théziers et Villeneuve-lès-Avignon) pour ‘seulement’ 13 vauclusiennes (Althen-des-Paluds, Avignon, Bédarrides, Caumont-sur-Durance, Châteauneuf-de-Gadagne, Entraigues-sur-la-Sorgue, Jonquerettes, Morières-lès-Avignon, Le Pontet, Saint-Saturnin-lès-Avignon, Sorgues, Vedène et Velleron). A cela s’ajoutent 8 villes des Bouches-du-Rhône (Barbentane, Cabannes, Châteaurenard, Eyragues, Graveson, Noves, Rognonas et Verquières). Comme dans le même temps, l’Insee a ‘détaché’ plus d’une soixantaine de communes vauclusiennes jusqu’alors rattachées à Avignon et désormais intégrées dans les zones d’emploi de Valréas, Carpentras, Orange et Cavaillon ce contraste est maintenant encore plus saisissant : Avignon s’étend plus en Occitanie qu’en Vaucluse.

« Avignon s’étend plus en Occitanie qu’en Vaucluse. »

Alors que le Vaucluse est déjà le département où la part des emplois occupés par des personnes résidant à l’extérieur est déjà la plus importante de la région, pour le bassin de vie d’Avignon, à cheval entre 3 départements et 2 régions, ce déséquilibre est encore plus marqué. Ainsi, plus de 40% des emplois du Grand Avignon sont occupés par des non-résidents aux premiers rangs desquels figurent des Vauclusiens (près de 15 000 personnes habitants dans une autre commune), des Gardois (plus de 6 000) et des Bucco-rhodaniens (près de 4 000). Et si au sein du Grand Avignon, le nombre d’emplois a très légèrement progressé entre 2006 et 2016 (+ 0,6 % en moyenne par an), c’est avant tout les territoires qui l’entourent qui en ont profité. En 10 ans, de nombreux actifs ont ainsi quitté le Grand Avignon tout en continuant à venir y travailler chaque jour. Ils se sont installés dans plusieurs intercommunalités voisines où le nombre de navetteurs (ndlr : un navetteur est un actif qui quitte sa commune de résidence quotidiennement pour aller travailler) a fortement progressé, notamment les communautés d’agglomération Luberon Monts de Vaucluse (LMV) à l’est, Terre de Provence au sud et Ventoux-Comtat-Venaissin (Cove) au nord.

« Ne rien faire pour adapter les frontières à la réalité du territoire devient un crime contre l’emploi. »

Tout ceci n’est pas sans conséquence sur ‘l’optimisation’ des performances économiques de ce territoire où entrepreneurs, élus locaux et citoyens résidents constatent régulièrement les difficultés liées aux frontières départementales et régionales en matière de transport, de santé, d’éducation (2 zones de vacances scolaires), de sécurité, d’emploi…

Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si l’Insee a revu le périmètre des zones d’emploi avec pour objectif de proposer une meilleure vision du territoire afin d’adapter localement les politiques de l’emploi. Constater que le Vaucluse est l’un des départements les plus pauvres de France c’est un début, ne rien faire pour adapter ses frontières à la réalité de son territoire devient un crime contre l’emploi.

Valréas et la question de la Drôme provençale
Bien que championne dans ce domaine, la cité des papes n’a plus l’exclusivité du franchissement des limites régionales. Désormais, les zones d’emplois de Bollène-Pierrelatte et de Valréas se composent majoritairement de résidents d’Auvergne-Rhône-Alpes (70% pour Bollène-Pierrelatte et plus de 50% pour Valréas).

« Quel sort pour la Drôme provençale ? Auvergne-Rhône-Alpes ou Paca ? »

Outre 4 communes vauclusiennes (Bollène, Lamotte-du-Rhône, Lapalud et Mondragon) la zone d’emploi de Bollène-Pierrelatte comprend 8 communes ardéchoises et 17 drômoises. Pour Valréas, la zone d’emploi compte 23 villes vauclusiennes (Beaumont-du-Ventoux, Brantes, Buisson, Crestet, Entrechaux, Faucon, Grillon, Malaucène, Puyméras, Rasteau, Richerenches, Roaix, Sablet, Saint-Léger-du-Ventoux, Saint-Marcellin-lès-Vaison, Saint-Romain-en-Viennois, Saint-Roman-de-Malegarde, Savoillan, Séguret, Vaison-la-Romaine, Valréas, Villedieu et Visan) ainsi que plus de 90 communes drômoises, dont Nyons, essentiellement rattachées jusqu’à maintenant à Montélimar. Là encore, sans attendre les répercussions kafkaïennes que pourrait avoir sur l’Enclave le reconfinement de la Drôme aujourd’hui dans le collimateur du Gouvernement en raison de la situation sanitaire liée au Covid-19, ce redécoupage de l’Insee pose la question du sort de la Drôme provençale : Auvergne-Rhône-Alpes ou Paca ?

Et dans le reste du Vaucluse ?

Dans le reste du Vaucluse, la zone d’emploi de Carpentras totalise 29 communes. L’emploi s’y organise autour de deux pôles : Carpentras et Monteux. Monteux, pôle résidentiel (0,8 emploi par actif occupé résident) à la démographie parmi les plus dynamiques de la région, illustre parfaitement la mutation de nos territoires favorisée par une grande mobilité. Les Montilliens sont ainsi 1 606 à travailler dans leur commune de résidence et sont 836 à se rendre à Carpentras pour leur emploi alors qu’ils sont 1 238 à aller sur la zone d’Avignon (717 à Avignon, 257 à Sorgues et 264 au Pontet).
Pour celle de Cavaillon (qui intègre Apt), ce nombre de communes s’élève à 54 dont 11 étaient auparavant rattachées à la cité des papes (dont 5 communes des Bouches-du-Rhône – Eygalières, Mollégès, Orgon, Plan d’Orgon et Saint-Andiol) et 1 à Manosque.

« 2 600 Vauclusiens habitant le Sud-Luberon travaillent sur Aix. »

Pour sa part, la zone d’Orange comprend 16 communes dont 3 étaient associées à Avignon dans la précédente étude de l’Insee (Châteauneuf-du-Pape, Courthézon et Gigondas). Le secteur de la cité des princes présente par ailleurs la spécificité de concentrer un maximum d’emploi dans la ville la plus peuplée du territoire : plus de la moitié des actifs occupés y travaillent.
Enfin, concernant le Sud-Luberon on dénombre 21 communes de Vaucluse autour de Pertuis à faire partie de la zone d’Aix-en-Provence. Dans ce cadre, ils sont près de 2 600 à quitter chaque jour le département pour travailler sur Aix. A cela s’ajoute plus de 700 Vauclusiens employés sur Marseille (418 pour Pertuis et 309 pour Avignon).


Valréas : projection-débat du film ‘Le temps des forêts’

La préfecture de Vaucluse vient d’activer la vigilance météorologique de niveau ‘Orange’ pour l’Enclave des papes. Cette alerte pour phénomène ‘Neige-Verglas’ concerne les communes de Grillon, Richerenches, Valréas et Visan.

« Une perturbation touchera le département le secteur le vendredi 12 février 2021 en cours de matinée, débutant par des chutes de neige faibles jusqu’en plaine, explique la préfecture. Ces chutes de neige s’intensifieront en cours de journée principalement sur le Nord du département. Le redoux ne concernera que le sud de la Drôme, où les quelques flocons du début de journée se transformeront ensuite en pluie. »

« Soyez très vigilants insistent » les services de la préfecture de Vaucluse. Informez-vous régulièrement de l’évolution de la situation météorologique :

– en consultant le site Internet de vigilance : http://vigilance.meteofrance.com

– en écoutant les médias locaux (France Bleu Vaucluse 100.4 FM).

 

https://echodumardi.com/tag/valreas/page/4/   1/1