24 novembre 2024 |

Ecrit par le 24 novembre 2024

Les vacances d’été ne sont pas finies pour tous, et PACA est la 1e destination

Selon le baromètre des tendances pour les vacances d’été 2024 d’Easy Voyage, 27% des Français partent en vacances en septembre, soit autant qu’en juillet.

1 225€ de budget moyen par personne pour les vacances d’été

Le budget moyen par personne pour les vacances d’été 2024, incluant le transport, l’hébergement et les activités/sorties, s’établit à 1225 €. 

Cette répartition budgétaire diffère selon les destinations choisies : ceux qui partent en France dépensent en moyenne 931 € par personne, tandis que ceux qui voyagent à l’étranger allouent environ 1516 € par personne. 

Parmi les répondants, 64% prévoient de maintenir le même budget que l’année précédente, 19% prévoient de le réduire et 17% envisagent de le dépasser. 

Émergence de septembristes

Une tendance notable pour l’été 2024 est l’émergence des « septembristes », des vacanciers choisissant de partir en septembre. 

Ce choix, représentant 27% des départs, est motivé par des considérations budgétaires, climatiques et de confort, permettant d’éviter les pics de fréquentation touristique des mois de juillet et août.

Les départs sont ainsi répartis avec 30% en août, 27% en juillet, et 16% en juin. Cette répartition montre un changement dans les habitudes de voyage, avec une préférence croissante pour des périodes moins fréquentées.

Une durée de séjour estivale modérée de 13,7 jours

La durée moyenne des séjours estivaux reste modérée avec une moyenne de 13,7 jours. La majorité des vacanciers (75%) partent pour une à deux semaines. 

La répartition par tranche d’âge montre que les jeunes actifs (18-34 ans) optent pour des séjours d’une durée moyenne de 12,6 jours, les actifs (35-64 ans) pour 13,4 jours, et les seniors (65 ans et plus) pour 15,2 jours. 

Les préférences en matière de transport montrent que 76% des vacanciers utiliseront la voiture pour leurs déplacements, favorisant ainsi les destinations accessibles par la route. La voiture reste en effet le moyen de transport privilégié car son coût est resté relativement stable par rapport à l’année précédente.

Les types d’hébergement préférés en France incluent les locations de vacances (38%), le camping (26%) et l’hébergement chez des amis ou en famille (21%). 

Les destinations en France sont largement privilégiées, avec la Provence-Alpes-Côte d’Azur (19,1%), l’Occitanie (17,6%) et la Nouvelle-Aquitaine (15,4%) en tête des choix des vacanciers.

Provence-Alpes-Côte d’Azur, la destination n°I

©Easy Voyage

Les vacances d’été ne sont pas finies pour tous, et PACA est la 1e destination

Selon une étude récente réalisée par OnePoll et 72 Point Media pour la marque japonaise de design MUJI, 25% des Français ressentent encore le besoin de repartir en vacances dès leur retour. En région PACA, ce besoin est particulièrement prononcé, avec 35% des habitants qui ressentent l’envie de repartir en vacances immédiatement après leur retour.

Les vacances, ce moment tant attendu pour se détendre et enfin se reposer, ne parviennent pas toujours à combler nos attentes en matière de sommeil. En région PACA, 47% des habitants admettent se sentir tristes ou moroses au moment de revenir à leur quotidien, et 17% se disent même anxieux à l’idée de reprendre le travail ou leurs activités habituelles.

86% des habitants de la région considèrent qu’il est très important ou assez important de se sentir reposés à leur retour de vacances. Pourtant, malgré cette attente, 31% des habitants de la région PACA ne parviennent pas à se sentir pleinement revigorés.

Si ces chiffres vous parlent, c’est tout simplement qu’il est peut-être temps de repenser votre façon d’organiser vos prochaines vacances. Pour ce faire, MUJI a réalisé un quiz ‘Journey to Better Sleep‘, conçu pour vous aider à évaluer l’impact réel de vos vacances sur votre sommeil et par conséquent, sur votre bien-être.


Les vacances d’été ne sont pas finies pour tous, et PACA est la 1e destination

68% des familles prévoient de partir en vacances pendant les vacances d’été. RentalReady, logiciel de location saisonnière 100% natif, vous livre ses conseils pour garder votre maison fraîche et sans odeur jusqu’à votre retour.

« Rien ne gâche un retour comme une mauvaise odeur qui vous accueille à la porte », remarque François Lavie, CTO de RentalReady, soulignant une frustration commune à beaucoup au retour d’une absence prolongée.

Même si voyager offre une pause rafraîchissante, il peut aussi, ironiquement, provoquer de mauvaises surprises à la maison, notamment sous la forme d’odeurs étranges. Qu’elles soient le résultat d’un air stagnant, de déchets laissés sans surveillance ou d’un déversement inaperçu avant votre départ, ces odeurs peuvent transformer votre bonheur d’après-vacances en une épreuve qui vous pince le nez.

Les causes courantes des odeurs domestiques

Il est important d’abord de comprendre la cause de l’odeur nauséabonde.

  • Air vicié : Si une maison n’est pas aérée, des odeurs peuvent persister et se combiner avec d’autres odeurs.
  • Moisissure : Elles prospèrent dans les zones humides, comme la salle de bain et la cuisine, et se développent rapidement.
  • Aliments périssables : Les aliments pourrissant dans les poubelles ou dans le réfrigérateur produiront des odeurs rances.
  • Drains et éliminations : Les drains qui ne sont pas utilisés peuvent se dessécher et les restes de nourriture dans la poubelle se décomposeront.

Mesures préventives avant de partir en vacances

En prenant quelques mesures proactives, vous pouvez grandement éviter le problème du retour à une maison malodorante. Voici quelques conseils d’experts pour garder votre maison fraîche pendant votre absence.

Nettoyage en profondeur : Donnez à votre maison un bon nettoyage. « Le nettoyage aide non seulement à éloigner les odeurs, mais garantit également que vous êtes accueilli dans un environnement visuellement invitant », conseille Lavie.

  • Frottez les sols, nettoyez les surfaces et nettoyez les salles de bains sans résidus.
  • Videz le réfrigérateur en retirant toutes les denrées périssables et tout ce qui est sur le point de périmer.

Traitez les déchets : En sortant, videz toutes les poubelles et recyclez. Ce qui reste va probablement pourrir, entraînant une mauvaise odeur.

Buanderie : Lavez et retirez tout le linge sale des locaux. Les vêtements couramment utilisés, en particulier les vêtements de sport, conservent l’odeur du corps humain et de l’humidité et deviennent fades avec le temps.

Drains d’évier : Pour entretenir et désodoriser, versez périodiquement du bicarbonate de soude, suivi de vinaigre blanc, dans les égouts de votre évier. Rincez à l’eau pour maintenir les siphons remplis d’eau et les niveaux de liquide suffisamment profonds pour que les gaz d’égout ne soient pas aspirés dans la maison.

Thermostats : Gardez le thermostat plus frais dans la maison pour diminuer le taux de décomposition et la croissance des moisissures. La meilleure température est de 68°F (20°C).

Utilisez du bicarbonate de soude : Pour désodoriser les odeurs persistantes, laissez des boîtes de bicarbonate de soude ouvertes à divers endroits, y compris à l’intérieur du réfrigérateur.

Autres conseils si vous partez pour une période prolongée

Si vous partez pour une période plus longue que quelques semaines, vous devez également :

  • Demandez de l’aide : Demandez à un ami ou à un voisin de vérifier régulièrement votre maison pour détecter tout élément inhabituel et l’aérer.
  • Déshumidificateurs électroniques : Ceux-ci peuvent extraire l’humidité de l’air et prévenir la moisissure.

Rentrer chez soi : actions immédiates

À votre retour, prenez immédiatement les mesures suivantes pour rafraîchir votre maison :

  1. Aérez la maison : Ouvrez grand toutes les fenêtres et portes pour permettre à l’air frais d’entrer.
  2. Vérifiez les fuites et les déversements : Si vous avez manqué certaines zones pour détecter des fuites et des déversements, vérifiez-les. Nettoyer immédiatement peut éviter les odeurs à long terme.
  3. Versez de l’eau dans vos canalisations : Les siphons en P des éviers, des douches et des baignoires doivent être remplis d’eau pour bloquer les gaz d’égout.

Les vacances d’été ne sont pas finies pour tous, et PACA est la 1e destination

Cap France est un réseau de villages de vacances et d’hôtels clubs indépendants en France. Le Moulin de César, situé à Vaison-La-Romaine, vient de rejoindre ce réseau.

La résidence vauclusienne constitue l’escapade idéale au pied du Mont Ventoux, à deux pas des vestiges romains de Vaison-la-Romaine, non loin de la Drôme provençale, mais aussi proche des autres trésors que compte le département de Vaucluse. Le Moulin de César dispose de 30 chambres de deux à quatre lits simples, un pavillon de six chambres de 2 à 4 lits avec sanitaires partagés, ainsi que de deux studios équipés et climatisés pour deux personnes. En plus de son emplacement privilégié, la résidence charme les visiteurs grâce à sa terrasse ombragée, sa piscine, son bar extérieur et toutes ses autres prestations.

En rejoignant le réseau Capfrance, le Moulin de César bénéficie d’une nouvelle visibilité et affirme ses valeurs communes avec le réseau qui sont axés autour de l’accueil et la disponibilité des équipes sur place, le confort des hébergements et la qualité de la restauration. Capfrance établit diverses formules pouvant correspondre au plus grand nombre de profils et promet des expériences uniques à chaque séjour. Le Moulin de César fait partie de la gamme ‘Avantage’ de Capfrance, qui allie confort des équipements et activités variées avec des journées rythmées par les séances sportives, les initiations ou encore les découvertes en tout genre.

« Partager des valeurs communes telles que la responsabilité citoyenne, environnementale et la découverte responsable de nos territoires est essentiel pour nous, explique Stéphane Roy, gestionnaire de la résidence de vacances. Notre établissement Le Moulin de César a rejoint Capfrance cette année et nous espérons notamment développer notre clientèle sportive. »


Les vacances d’été ne sont pas finies pour tous, et PACA est la 1e destination

Alors que les vacances approchent de la fin, l’Ifop et le site Bons plans Voyage New York publient une étude menée auprès de 2 000 personnes qui montre que ces congés d’été n’ont pas été de tout repos pour tout le monde, en particulier pour des femmes sur qui pèse la charge mentale à la fois sur leur lieu de villégiature – où elles gèrent l’essentiel du travail domestique et parental – mais aussi au retour où elles assument le gros du stress et des tâches liées à la rentrée : valise à boucler, linge à laver, fournitures scolaires à acheter… L’analyse de l’étude montre ainsi que le partage inégalitaire des corvées domestiques observé toute l’année se prolonge (voire s’amplifie) pendant les vacances au point que nombre de femmes entament la rentrée dans un état physique et psychologique plus dégradé que leur conjoint.

Fatigue à la fin des congés et stress de la rentrée : des difficultés physiques et psychologiques très genrées

Contrairement aux idées reçues, les congés d’été ne sont pas de tout repos pour tout le monde, en particulier pour les femmes qui, globalement, achèvent leurs congés beaucoup plus fatiguées et stressées que les hommes.

À la fin de leurs congés, les femmes s’avèrent beaucoup plus fatiguées (70%) que les hommes (57%), notamment lorsque leur mode d’hébergement ne leur permettait pas – comme dans un hôtel ou un club de vacances par exemple – de déléguer à autrui la gestion des tâches du quotidien (ex : repas). Leur niveau de fatigue est ainsi plus marqué chez les femmes ayant séjourné dans leur résidence secondaire ou dans une location : 71%, soit une vingtaine de points de plus que chez leur conjoint (52%). A la fin de cette période, pourtant associée à la détente et au repos, les femmes en couple hétérosexuel sont également nettement plus stressées (53%) que les hommes (39%), signe qu’elles ont plus de mal à couper avec les soucis du quotidien que leurs conjoints.

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A l’inverse, dans les couples partis en vacances avec leurs enfants, les hommes sont deux fois plus nombreux (56%) que les femmes (28%) à reconnaître qu’ils se sont plus reposés que leur conjointe durant les vacances.

Et dans les couples ayant séjourné avec des enfants dans une résidence qui leur est propre, la proportion d’hommes se sentant plus reposés que leur conjointe est encore plus élevée : 67% contre à peine 34% chez les femmes. Le statut parental (nombre et âge des enfants) et le mode d’hébergement jouent donc beaucoup dans la difficulté des Françaises à recharger les batteries autant que leur conjoint.

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Mais cette difficulté de la gent féminine à se reposer durant leurs congés est aussi beaucoup plus grande parmi les femmes des milieux modestes ou surchargées de travail domestique.

Si en moyenne, 36% des femmes n’ont pas pu se débarrasser du stress lié à la gestion de leur vie de famille durant ces congés, leur proportion est encore plus élevée dans les rangs des femmes faisant beaucoup plus de tâches domestiques que leur conjoint : 54%, contre 19% chez celles qui ont font moins que leur partenaire. De même, la proportion de femmes n’ayant pas pu se reposer comme elles l’imaginaient avant de partir est beaucoup plus forte dans les rangs des femmes ayant peu de moyens financiers (moins de 100 € sur le compte bancaire à la fin des vacances).

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Un différentiel de fatigue entre les sexes lié à une inégale répartition des tâches domestiques durant les congés

Cette différence de fatigue entre les sexes tient au fait que les femmes parties en couple cet été ont assumé globalement beaucoup plus de tâches domestiques que leur conjoint durant les vacances.

Alors qu’on aurait pu s’attendre à un plus fort investissement des hommes dans leur foyer durant cette période propice au repos, le surcroît de travail domestique observé toute l’année dans la gent féminine se prolonge durant les vacances d’été. En effet, la division des tâches et des rôles entre hommes et femmes continue à présenter des traits inégalitaires si l’on en juge par la proportion de Françaises qui déclarent globalement en faire « plus » que leur conjoint en matière de tâches domestiques : 53% contre 39% qui disent en faire « à peu près autant » et seulement 8% qui se prévalent d’en faire « moins » que lui.

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Et la surcharge du travail domestique des femmes se retrouve dans toutes les tâches liées à l’organisation du séjour au quotidien, notamment dans la gestion du linge et des repas.

Fruit d’un conditionnement de genre qui assigne les femmes à la sphère domestique, cette inégale répartition des tâches transparaît avant tout dans ce qui relève de la « bonne tenue » intérieure de leur lieu de villégiature : 69% des femmes en couple (hétérosexuel) se sont occupées du linge (contre à peine 11% des hommes selon leurs dires), 47% du ménage (contre 10% des hommes) et 47% de faire le lit du couple.

De même, durant ces congés d’été, l’activité culinaire est restée inlassablement une affaire de femmes… Par exemple, la préparation du plat principal a incombé très nettement aux femmes (48%, contre 28% des hommes). Et le surcroît de travail féminin dans l’élaboration des repas est général, exception faite de la cuisson des aliments au barbecue qui reste l’apanage de la gent masculine (à 51%, contre 25% des femmes).

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Mais c’est chez les couples partis en congés avec des enfants que l’inégale répartition des tâches parentales entre hommes et femmes est la plus criante.

Effectivement, les marqueurs de l’iniquité vacancière entre les sexes sont encore plus frappants dès lors qu’il s’agit de s’occuper des enfants ou bien de planifier leurs activités quotidiennes en vacances. Parmi les personnes en couple qui sont parties cet été avec leurs enfants, ce sont les femmes qui se sont massivement chargées de faire leurs valises (71%, contre 12% des pères), de l’entretien quotidien de leur linge (72%, contre 13%) ou de préparer leurs repas en cas d’activités extérieures (53%, contre 17%). De même, elles se sont beaucoup plus occupées (46%) que leur conjoint (13%) du suivi éducatif. La seule activité partagée à part égale entre hommes (16%) et femmes (19%) est une activité ludique – valorisée comme des bons moments parents-enfants -, à savoir le fait de jouer avec les enfants.

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La difficulté à décompresser est aussi liée au stress de la rentrée, plus fort chez les femmes qui gèrent l’essentiel des tâches liées au retour des vacances

La différence de stress entre les sexes est, elle aussi, à mettre en perspective avec les « soucis de la rentrée », source de préoccupation beaucoup plus lourde pour les femmes et les Français(es) aux revenus les plus modestes.

Si la rentrée scolaire, universitaire ou professionnelle est une source de stress et d’anxiété pour plus d’un Français sur deux partis en vacances (53%), la perspective d’un retour à la vie quotidienne et à ses problèmes constitue une source de préoccupation beaucoup plus lourde pour la gent féminine : 60% des femmes parties en congés cet été avec leur conjoint se disent préoccupées par les problèmes à gérer à la fin des vacances, contre 47% des hommes. Et très logiquement, ce type de stress affecte encore plus les catégories populaires (jusqu’à 69% des personnes aux revenus inférieurs à 1 000 € nets/mois).

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Il est vrai que les femmes assument l’essentiel des tâches parentales relatives à la fin des vacances : valise à boucler, linge à laver, fournitures scolaires à acheter, recherche de garde d’enfants…

Le sur-stress féminin observé en fin de congés s’explique aussi par le fait que l’essentiel des tâches liées au retour à la vie quotidienne est géré pour l’essentiel par les femmes. C’est particulièrement le cas de la gestion de la valise du retour – réalisée par 65% des femmes – ou du nettoyage du linge au retour de congés mené par 74% des femmes (contre 10% des hommes). Mais c’est aussi net en ce qui concerne l’achat des fournitures scolaires (géré à 64% par les femmes) ou l’inscription des enfants dans diverses activités (géré à 55% par les femmes). Seule la recherche d’une solution de garde des enfants le soir est une tâche prise en charge de manière relativement équilibrée.

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Les réponses des femmes montrent qu’elles assument massivement la gestion de la valise et le lavage du linge au retour.

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Mais le stress en fin de congés n’est pas forcément lié qu’à une situation de « burn-out domestique ». Il est aussi à relier au fait que les estivants sont nombreux à finir les vacances dans une situation de stress financier et ceci alors même qu’ils appartiennent souvent à la frange la plus aisée de la population.

Plus d’un Français sur quatre (28%) ont fini leurs congés avec moins de 100 € sur leur compte bancaire, 9% d’entre eux déclarant même avoir fini leurs vacances à découvert. Et très logiquement, cette situation est beaucoup plus fréquente dans les rangs des personnes aux revenus les plus modestes : 36% des personnes ayant des revenus inférieurs à 1 000 € nets/mois disposaient de moins de 100 € sur leur compte bancaire à la fin de leurs vacances.

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Le « bon plan » durant les vacances : un moyen d’alléger les tensions au sein du couple et d’éviter le découvert à la rentrée

Dans ce contexte inflationniste où les difficultés financières pèsent sur le moral Français(es) y compris en fin de congés, les solutions permettant d’alléger la facture ont naturellement le vent en poupe : plus d’un estivant sur trois (35%) a bénéficié cette année d’un « bon plan » durant ces vacances.

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Et très majoritairement, ces estivants ayant bénéficié d’un « bon plan » saluent ses effets positifs sur leurs vacances ! 86% reconnaissent qu’ils ont amélioré leur moral et leur plaisir d’être en vacances et les deux tiers (63%) qu’il a joué un rôle important dans leur décision de prendre ces vacances.

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Étude Ifop pour Bons Plans Voyage New York réalisée par questionnaire auto-administré en ligne du 18 au 21 août 2023 auprès d’un échantillon de 2 004 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, incluant 1 364 personnes en couple.


Les vacances d’été ne sont pas finies pour tous, et PACA est la 1e destination

Quel pays européen a les vacances scolaires d’été les plus longues ?

Dans de nombreux pays européens, c’est la pause estivale : plus longues dans certains, plus courtes dans d’autres ! L’Italie occupe la première place avec 13 semaines de vacances d’été par an, suivie de près par la Grèce avec 12 semaines et l’Espagne avec 11 semaines – tous des pays connaissant des chaleurs record cette année.

Avec ses huit semaines de vacances scolaires d’été, la France se situe dans la moyenne de notre comparaison.

En Suisse romande, les vacances d’été durent 7 semaines. Dans l’ensemble de l’Helvétie, la durée varie entre 5 et 10 semaines selon les cantons. Au Tessin, par exemple, les élèves ont 10 semaines de congé, alors que les Suisses alémaniques doivent parfois retourner au travail ou à l’école après seulement 5 semaines de pause estivale.

Les vacances d’été de nos voisins allemands sont également relativement courtes : là-bas, elles ne durent que 6 semaines.

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Claire Villiers, Statista.


Les vacances d’été ne sont pas finies pour tous, et PACA est la 1e destination

Alors que les vacances d’été arrivent à grands pas pour les parents et surtout pour leurs enfants et adolescents, le Teenage Lab de Pixpay, la carte de paiement des 10-18 ans copilotée par les parents, s’est interrogé sur les habitudes de consommation de la jeunesse lors de cette période estivale et dévoile ici les enseignements de son étude exclusive*. Pour illustrer ces chiffres, nous proposons le témoignage d’une famille cliente de Pixpay, dont le programme et l’organisation pour cet été 2023, est un bel aperçu de ce que sont les vacances chez les familles françaises.

Vacances : plus de budget, mais pas forcément plus de dépenses

Les vacances sont pour les ados synonymes de loisirs, de découvertes et parfois d’une indépendance grandissante. Les parents sont ainsi plus enclins à gâter leurs enfants lors de cette période. Ainsi, en juillet/août les adolescents voient leur budget mensuel augmenter de 40€ en moyenne sur l’année à 46€. Mais quelles folies financent-ils avec cela ?

Premier constat, ils dépensent moins souvent (5 transactions par mois contre 6 en moyenne le reste de l’année), mais déboursent des sommes plus importantes, puisque leur panier moyen passe de 14€ durant l’année scolaire à 16€ en juillet/août.

Pic de sorties pour les ados pendant les vacances ? Non. Pic d’ordi ? Oui !

Autre observation plus étonnante, plus que tout le reste de l’année, juillet/août représente une période d’achat en ligne pour les adolescents. En effet, alors que les transactions sur le web représentent 20% du total des dépenses des 10-18 ans pendant l’année, ce taux passe à 25% en juillet/août.

Sans vouloir faire dans les clichés, il semblerait, que pendant l’été, les adolescents soient plus devant leur smartphone qu’à jouer dans le jardin. Preuve en est : Google entre dans le top 5 des marchands préférés des ados pendant l’été.

Des dépenses pour se déplacer multipliées

Autre analyse cette fois-ci plus logique, les dépenses en matière de transports explosent pendant l’été. SNCF réalise 18% de ses transactions annuelles auprès des 10-18 ans sur les seuls mois de juillet/août. Quant aux alternatives plus « bon marché », elles deviennent pendant l’été les meilleures alliées des adolescents. Blablacar réalise 18% des transactions de l’entreprise ont lieu en juillet/août, et gagne ainsi 9 places dans le classement des enseignes les plus consommées par les ados pendant les vacances d’été. Un constat décuplé chez Flixbus qui grimpe de 61 places dans ce même classement sur la période.

Côté tourisme, une poignée d’adolescents ont la chance de quitter la zone euro. En effet, sur les mois de juillet/août, 6% des transactions se font dans une autre devise que l’euro. Soit deux fois plus que le reste de l’année. 

Alimentation en berne et mode en tendance

Autre poste de dépenses qui profite de la période estivale : la mode. En effet, on observe une augmentation des achats faits par les adolescents chez leurs marques préférées comme Shein et Zara. Ainsi, 22% des dépenses des ados en matière de vêtements & accessoires ont lieu pendant les vacances d’été. Une tendance qui peut être expliquée par les soldes de juillet et la préparation de la rentrée fin août.

A l’inverse, les marques de la grande distribution pâtissent de l’absence des adolescents qui viennent pendant l’année chercher un déjeuner entre midi et deux et/ou des sucreries à la sortie de cours. Les enseignes citadines comme Monoprix, Franprix et Carrefour City chutent respectivement de 4, 12 et 10 places au classement des marques plus consommées par les ados. On peut aisément comprendre que les jeunes préfèrent profiter de la bonne cuisine de leur grand-mère plutôt que de manger des sandwichs triangles.

Témoignage d’une famille utilisatrice de Pixpay
Julie mère de Johanna 12 ans et Joshua 14 ans (Versigny, Oise)

« Cette année mes ados partent en colonie sportive dans le Sud-Ouest, 10 jours en juillet. Nous allons ensuite en Corse en famille, puis ils finissent leurs vacances chez leurs grands-parents en Bretagne. Pour les mois de juillet/août, nous doublons leur argent de poche mensuel de 30 à 60€. Que ce soit en colonie, avec nous ou chez leurs grands-parents la quasi-totalité des dépenses ne sont pas à leur charge, cela leur permettra de pouvoir se faire plaisir à eux et aux copains/copines. Depuis près de 2 ans que nous utilisons Pixpay pour nos deux ados, nous avons constaté deux gestions de leurs finances très différentes. Joshua c’est la fourmi ! Il conserve tout dans son coffre-fort et ne dépense que le strict minimum. Il a aujourd’hui des centaines d’euros de côté. Sa sœur a plus de mal à épargner. Elle profite à fond de son argent de poche. La connaissant, elle va acheter plein de petits souvenirs pendant ses vacances et va faire le plein de glaces et de boissons fraîches sur la plage. De notre côté, l’application Pixpay nous permet de suivre leurs dépenses à distance, de leur faire un ajout en instantané en cas de besoin. Nous avons également bloqué certaines catégories de marchands comme les bars tabac. »

*étude réalisée sur la base de 7,9 millions de transactions réalisées par les utilisateurs français de Pixpay du 1er janvier 2022 au 31 décembre 2022.


Les vacances d’été ne sont pas finies pour tous, et PACA est la 1e destination

Alors les vacances scolaires débuteront en fin de semaine, où partiront les Français cet été ? L’inflation perturbe-t-elle leurs projets de vacances ? La destination principale sera l’hexagone ou l’étranger ? Quelles sont leurs sources d’inspiration pour cet été ? Avec l’inflation galopante, 58% des Français partiront en vacances selon le sondage réalisé par Yougov–Readly. La Provence et le Vaucluse figurent en 3e position des destinations estivales souhaitées.

Alors que l’inflation s’envole et s’étend à presque l’ensemble de biens de consommation, 58% des Français ne sont pas prêts à sacrifier leurs vacances cet été 2023.
Sur 8043 répondants dans 8 pays, la priorité pour les vacanciers sera de profiter des paysages locaux pour 46% des sondés. En effet, un peu plus de la moitié (55%) des Français profiteront des richesses locales et privilégieront l’Hexagone contre 23% à l’étranger. Si les Français prévoient de rester davantage dans le pays, les Néérlandais (56%), les Allemands (44%) et les Anglais (42%) comptent quant à eux partir à l’étranger.

Pour les Français les vacances d’été doivent être synonymes (par priorité) de :
1- Détente pour 59% d’entre-eux
2- Curiosité, ils aiment explorer pour 45%
3- Actif, l’idée n’étant pas de rester assis pour 27%
4- D’être informé, voulant en savoir le plus à propos de la destination pour 25%
5- Durable, je prévois des solutions vertes pour les vacances pour 11%, 3% de + que la moyenne globale.

Si 20% des sondés Français comptent ne pas prendre de congés pendant cet été 12% des Français en poste comptent travailler depuis l’étranger quelques semaines pour changer d’air.

Inspirations pour un été local
Si la plupart des Français comptent partir en France cet été, ils se sont inspirés à la fois de bouche à oreille auprès de leurs amis et famille et de recherches sur Internet pour 47% des Français (pour ces deux critères). 31% sont prêts à repartir dans une destination déjà explorée et qu’ils ont appréciée. 15% s’inspirent sur les réseaux sociaux et 9% dans les magazines et journaux.

Le Top des destinations françaises les plus recherchées sur Readly pour les Français à la recherche d’inspiration, sont notamment :
– Paris
– Marseille
– Provence
– sud ouest
– Côte d’azur

L.G.

*Méthodologie : Etude menée en Mars 2023 dans 8 pays par Yougov : auprès de 8043 répondants dont 1005 en France.


Les vacances d’été ne sont pas finies pour tous, et PACA est la 1e destination

Plus que quelques jours avant la fin des vacances de printemps pour la zone B. Si certaines familles en ont profité pour se payer des vacances, toutes ne sont pas en mesure de le faire d’un point de vue financier. Comme chaque année, la Caisse d’allocations familiales (Caf) de Vaucluse propose une aide pour les familles qui ne partent pas ou peu en vacances.

La Caf propose à ceux qui ne peuvent pas partir en vacances pour des raisons financières des séjours soit en famille, soit en colos pour les enfants, dans des centres de vacances labellisés VACAF ou par la Caf. Pour y avoir le droit, il faut être bénéficiaire au minimum d’une prestation familiale telle que les allocations familiales, le complément du mode de garde, ou encore la prestation partagée d’éducation de l’enfant.

Les familles concernées n’ont pas de démarches à réaliser auprès de la Caf. Elles ont reçu en février directement l’information sur leurs droits et peuvent ensuite choisir parmi les options proposées qui déduiront directement leur aide du coût du séjour. Chaque début d’année, la Caf informe les familles qui remplissent les conditions par mail ou courrier, avec la durée du séjour, le pourcentage de l’aide, le montant maximum, etc. Les droits dépendent également du niveau de ressources, de la composition de la famille et de l’âge des enfants.

Où demander de l’aide pour les démarches ?

Pour entamer les démarches, il est possible d’être accompagné dans un Relais Vacances prévu pour informer, conseiller et aider à élaborer un budget vacances pour les allocataires :

  • Avenir Saint Louisien (37 Rue du Rigaudon, Le Pontet)
  • Centre social la Cigalette (437 Avenue Napoléon Bonaparte, Isle-sur-la-Sorgue)
  • Association AGC de Valréas (24 Place Cardinal Maury, Valréas)
  • Maison Pour Tous Monfleury (2 Rue Marie Madeleine, Avignon)
  • Association Sports Loisirs Culture – Centre Social d’Orel (1 Place de la Résistance, Avignon)
  • Centre social accueil municipal (CESAM) (Siège cité Establet, Sorgues)
  • Les Restos du Cœur (14 Avenue de l’Étang, Avignon)
  • Centre social l’Aiguier (60 Rue du Parc, La Tour-d’Aigues)
  • Centre social et culturel l’Espelido (20 Cr des Frères Folcoaud, Avignon)
  • Espace social et culturel La Croix des Oiseaux (Rue du Tambour d’Arcole, Avignon)
  • Centre social la Bastide (835 Route de Pertuis, Cavaillon)
  • Relais Vacances Vaison Ventoux Communauté de Communes (375 Avenue Gabriel Péri, Vaison-la-Romaine)

V.A.

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