16 juillet 2024 |

Ecrit par le 16 juillet 2024

Vaucluse : le Département réalise des travaux dans les collèges du territoire 

Avec le début des vacances scolaires et l’absence pendant deux mois des élèves et des professeurs, le Département de Vaucluse a décidé de profiter de cette période d’accalmie pour réaliser des travaux d’entretien et de maintenance dans les collèges publics sur l’ensemble du territoire. L’objectif de ces opérations est de mener des actions concrètes qui amélioreront les conditions d’étude et de travail propices à la réussite scolaire des vauclusiens.  

Il y aura du neuf pour les collégiens vauclusiens à la rentrée de septembre 2024. Le Département de Vaucluse réalise durant toute la période des vacances scolaires estivales, des chantiers d’entretien et de maintenance sur les collèges du territoire. Certains travaux débutent et sont actuellement en cours à Vedène et à Montfavet, d’autres, entrepris depuis plusieurs mois sont en phases d’être finalisés comme c’est le cas par exemple au collège Saint-Exupéry, à Bédarrides qui sera opérationnel pour le retour des collégiens. 

Un travail important à Lou Vignarès, à Vedène 

Des travaux de réhabilitation ont été entamés au collège Lou Vignarès, à Vedène, depuis le mois de février 2023 et ce pour une durée de deux ans et demi. Ce chantier sera important puisqu’il comprend notamment la construction d’un pôle d’enseignement qui sera la première phase, en cours et ce durant tout l’été. Une première étape qui sera finalisée pour septembre afin de faire profiter les élèves de ce nouveau bâtiment, flambant neuf. 

La deuxième phase et la troisième se concentreront sur la restructuration et l’agrandissement des bâtiments administratifs ainsi que l’emménagement de ces bâtiments, de l’évacuation du collège provisoire et son démontage. Une étape sera consacrée à l’aménagement de la cour et des clôtures. Ces projets se poursuivront jusqu’en janvier 2026. L’opération globale et totale s’élève à 13.166 670€ avec des subventions de l’Union Européenne et de l’État. 

Des travaux de restructuration au collège Tavan, à Montfavet

Le collège Tavan qui se trouve dans la commune de Montfavet sera également concerné par les chantiers estivaux du Département. Des travaux de mise en conformité pour les personnes à mobilité réduite (PMR) et de réaménagement du pole sciences ont d’ores et déjà débutés. Ils viennent de commencer en ce mois de juillet et se termineront en février 2025. Le montant prévisionnel de l’opération s’élève à 1.170.000€ financé par le Département de Vaucluse avec une participation de l’État à hauteur de 425.957€.

Travaux de restructuration au collège Saint-Exupéry, à Bédarrides et végétalisation à Carpentras

À Bédarrides, ce sont les soucis d’isolation thermique auxquelles le Département a décidé de s’attaquer tout en réglant certains problèmes de fonctionnalité dans l’aménagement des salles et des espaces. D’importants changements ont été lancés depuis l’été 2022 et vont enfin prendre fin cet été. Parmi les nouveautés qui seront visibles au sein du collège dès la rentrée 2024, on compte notamment la requalification de l’entrée principale du collège en lien avec la loge, la restructuration du bâtiment principal avec la création du Pôle Sciences et Technologies ou bien encore l’arrivée de nouveaux sanitaires. 

Ces travaux de réhabilitation contribuent au développement durable par des travaux de réfection de l’enveloppe du bâtiment comprenant notamment l’isolation thermique par l’extérieur des façades, la réfection de l’électricité (éclairage LED) ou encore le raccordement au réseau d’eaux usées. Le coût prévisionnel de l’opération s’élève à 8,8 millions d’€ dont 1,5 million d’€ de l’État au titre du Plan France Relance.

À Carpentras, une opération de végétalisation est en cours au sein du collège Raspail. L’aménagement d’un nouveau préau est en cours et la création d’espaces verts également pour un montant total de 500.000€. Le chantier se déroulera du 10 juillet au 25 août. 


Vaucluse : le Département réalise des travaux dans les collèges du territoire 

Opinionway a réalisé une étude pour tonies® en mai dernier concernant les occupations que peuvent trouver les parents pour leurs enfants âgés de 3 à 10 ans pendant les longs trajets des vacances d’été.

85% des parents reconnaissent perdre patience sur la route à cause des enfants et 28% pour des raisons en lien avec les écrans. Près de 60% concèdent manquer d’idées pour occuper leurs enfants lors des longs trajets, tandis que 76% reconnaissent que leurs enfants passent au moins une partie du trajet sur des écrans durant de longs trajets. 84% des enfants seront exposés cet été aux écrans à au moins une occasion, pourtant 81% des parents plébiscitent d’autres alternatives.

Alors que la commission d’experts sur l’impact de l’exposition des jeunes aux écrans lancée par Emmanuel Macron en mai 2024, coprésidée par Servane Mouton, neurologue et Amine Benyamina, psychiatre addictologue, a statué dans son rapport : pas d’écran avant 3 ans, un accès « fortement limité », « occasionnel », « avec des contenus de qualité éducative et accompagné par un adulte » avant 6 ans, ainsi que l‘interdiction des jouets connectés destinés aux moins de 6 ans à l’exclusion des boîtes à histoires connectés.

4 parents sur 10 trouvent difficile d’occuper leurs enfants lors de long trajets (39%)

Les vacances d’été sont là, la route des vacances s’organise et tous Français ayant des enfants commencent à appréhender ce moment fatidique où, après un énième « quand est-ce qu’on arrive ? » (38%), les sempiternelles envies impérieuses d’aller aux toilettes (23%), ou encore les cris et chamailleries entre frères et sœurs (53%), ils perdront patience (85%). Car s’assurer que ses enfants resteront calmes pendant l’intégralité d’un trajet en voiture, train ou autre moyen de transport n’est pas une mince affaire, et les premiers concernés le confirment : quatre parents sur dix trouvent difficile d’occuper leurs enfants lors des longs trajets pour partir en vacances (39%).

85% des parents reconnaissent perdre patience sur la route à cause des enfants et 28% pour des raisons en lien avec les écrans

Le plus souvent, les parents recourent aux solutions les plus basiques, celles à portée de main : discuter avec ses enfants (49%) ou leur faire écouter de la musique (47%). 38% optent même pour les ressources naturelles à disposition et les incitent à s’émerveiller du paysage. Un parent sur quatre tente de ruser, en voyageant de nuit pour qu’ils dorment pendant toute la durée du trajet (26%). Certains se montrent confiants dans la capacité d’autonomie de leurs enfants et leur donnent des jouets (37%) ou des livres/BD (37%), pour qu’ils se divertissent seuls. Les jeux (35%) ou chansons (22%) en famille constituent une option privilégiée par une partie des parents.

Mais ces solutions collectives, ludiques ou naturelles, ne convainquent d’évidence pas toujours leur progéniture. 76% des parents reconnaissent accorder à leurs enfants des écrans pendant au moins une partie du trajet. Un parent sur deux nous dit même que ses enfants ont les yeux rivés sur un smartphone ou une tablette pendant la moitié de la route ou plus (48%).

Le moyen de transport sur de longs trajets créant le plus de difficultés aux parents pour occuper leurs enfants est la voiture pour 45% d’entre eux

Les automobilistes, bien qu’aussi réticents que les autres parents aux écrans (83% préfèreraient que leurs enfants s’abstiennent d’en regarder pendant ces longs trajets), s’avouent tout aussi concernés : les trois-quarts d’entre eux déclarent laisser leurs enfants consommer des écrans au moins une partie du trajet (76%) … Et ce, alors même qu’ils voient le risque que cela représente : 53% jugent dangereux que leurs enfants regardent des écrans en voiture.

45% des parents occupent leurs enfants avec des écrans durant les trajets

Les parents sont d’ailleurs près de la moitié (45%) à dire que, lors de longs trajets pour partir en vacances, les écrans constituent l’une des principales solutions pour occuper leurs enfants, qu’il s’agisse de mettre entre leurs mains un smartphone (22%), une tablette (21%) ou encore une console de jeux vidéo (19%).

85% des parents aimeraient disposer de solutions simples et efficaces pour éloigner leurs enfants des écrans

C’est un fait, donner des écrans à leurs enfants sur la route des vacances n’est pas une solution qui plaît aux parents. Au-delà des risques qu’ils représentent pour le développement cognitif de leur progéniture, les écrans sont sources de tension.

Avec des enfants désormais habitués voire dépendants dès le plus jeune âge aux écrans, les parents se voient dans l’impossibilité de les en priver et se retrouvent dans des situations difficiles : 28% avouent qu’il leur arrive de craquer parce qu’en voiture ou dans le train, leurs enfants piquent des crises pour pouvoir utiliser un smartphone ou une tablette ou encore à cause du volume sonore des vidéos et autres jeux consommés sur ces écrans. Les parents se montrent demandeurs d’alternatives : 85% aimeraient disposer de solutions simples et efficaces pour occuper leurs enfants à cette occasion.

84% des parents déclarent que leurs enfants seront exposés cet été aux écrans à au moins une occasion

Deux types de situations expliquent ce phénomène :

  • L’absence de vacances des parents : 52% des sondés nous disent que leurs enfants seront amenés à visionner des écrans en journée, parce qu’eux-mêmes travailleront et qu’ils ne pourront pas s’en occuper.
  • L’envie des parents de profiter de leurs propres vacances : 49% conviennent qu’ils laisseront leurs enfants regarder la télévision ou jouer avec leurs téléphones parce qu’il s’agira pour eux du seul moyen de pouvoir profiter, eux aussi, de leurs vacances. Dès lors, un parent sur quatre autorisera son enfant à regarder des dessins animés ou jouer à la console à la plage (25%).

81% des parents plébiscitent pourtant d’autres alternatives

Pourtant, tous s’accordent à dire que des alternatives de qualité existent. Les livres, bien sûr, approuvés par 90% des parents interrogés, mais également les conteuses que plébiscitent 81% des interviewés.

  • 87% des parents de 3-5 ans estiment que les boites à histoires constituent une bonne solution pour remplacer les écrans pendant les vacances, mais ils sont aussi 79% parmi les parents de 6-10 ans.

  • Les possesseurs de conteuses sont unanimement en faveur de cette solution : 96% trouvent qu’il s’agit d’une bonne alternative aux écrans pendant l’été. Ils déclarent même que leurs enfants sont demandeurs : 74% affirment qu’ils apprécient écouter les histoires de leur conteuse.

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