22 novembre 2024 |

Ecrit par le 22 novembre 2024

Avignon : 50 ans après son ouverture, le magasin Casino de Cap Sud va devenir un Carrefour

Suite à l’accord intervenu ce mercredi 24 janvier entre le groupe Casino, en plein démantèlement, et les enseignes Intermarché, Auchan et Carrefour, plusieurs magasins de Vaucluse devraient être impactés par cette décision.

Après avoir vendu en juin dernier son magasin de Saint-Lazare (1 600m2) situé en face de l’université d’Avignon*, le groupe Casino, en plein démantèlement, vient de céder à nouveau 190 magasins à Intermarché, dont 31 seront rétrocédés à Carrefour, et 95 à Auchan.

Ce jeu de chaise musicale va notamment impacter l’offre des grandes surfaces en Vaucluse puisque le magasin Casino situé au sein du centre commercial de Cap Sud devrait passer sous la bannière de Carrefour. D’une superficie de 5 798 m2, ce point de vente a vu le jour en même temps que Cap Sud dont on a célébré le 50e anniversaire le 19 septembre 2023. A noter que Carrefour a aussi changé, il y a quelques mois, le statut de son hypermarché de Courtine à Avignon. Selon nos confrères de LSA, ce dernier doit passer en location-gérance dans le courant de cette année, comme 36 autres magasins en France. Objectif : essayer de rentabiliser au mieux ces magasins ‘en manque de croissance’ en confiant la gestion à des indépendants, ‘intéressés directement par le chiffre d’affaires et le résultat’.

© CapSud

Intermarché à la manœuvre à Orange et Pont-Saint-Esprit
Dans ce deal, le supermarché Casino d’Orange de l’Argensol (2 164m2) ainsi que celui de Pont-Saint-Esprit (1 017m2) devraient passer sous enseigne Intermarché.
Enfin, à proximité du Vaucluse, Auchan devrait récupérer l’hypermarché Casino de Saint-Laurent-des Arbres (2 794m2) alors que le Casino Shop d’Uzès (122m2) devrait basculer en Carrefour.

Concernant l’enseigne Monoprix, détenue à 100% par le groupe Casino qui souhaite la conserver, ces accords ne devraient avoir aucun impact sur sa présence dans le centre-ville d’Avignon depuis 1934 ainsi que depuis 2017 avec un nouvel espace alimentaire jouxtant l’implantation historique de la rue de la République.

L.G.

*Le magasin de Saint-Lazare devrait devenir un Intermarché d’ici 2 ans.


Avignon : 50 ans après son ouverture, le magasin Casino de Cap Sud va devenir un Carrefour

A l’occasion de la fête d’Halloween Haribo, n°1 du bonbon en France, propose de nombreuses animations sur ce thème dans son musée situé à Uzès.

Près de 112M€, c’est le chiffre des ventes de confiserie de sucre pour Halloween l’an dernier en France (+21% par rapport à 2021). Cette fête des fantômes, vampires, monstres, manoirs hantés, squelettes et sorcières est devenue le temps fort de l’année, une parenthèse enchantée de ‘lâcher prise’ pour les enfants comme pour les parents et grands-parents.

Haribo propose plus de 1000 produits différents.© Haribo

200 000 visiteurs par an à la Boutique Haribo
Haribo qui est leader avec 42,4% de parts de marché en France, devant Carambar (14,6%) et Lutti (14,3%) a multiplié ses ventes par 6 en 2022 et compte bien réitérer voire progresser cet automne. Et il n’existe que 2 usines dans le sud de l’hexagone, l’une à Marseille, près des Arnavaux et de l’Autoroute Nord, ouverte en 1967 par le fondateur allemand qui a trouvé l’acronyme avec les 2 premières lettres de son prénom (HAns), de son nom (RIegler) et de sa ville natale (BOnn) et la seconde à Uzès où il a racheté Ricqlès-Zan en 1987. C’est là, dans le Gard, qu’est accolé le seul Musée du bonbon de la marque et sa plus grande boutique qui accueillent plus de 200 000 visiteurs par an, ce qui en fait l’un des 5 pôles d’attraction majeurs du tourisme dans le département.

« Je suis tombée amoureuse de la marque. »

Marina Maurin, responsable du Musée du bonbon Haribo à Uzès

La boutique du musée Haribo du bonbon à Alès accueille 200 000 visiteurs par an.© Haribo

Marina Maurin travaille depuis 20 ans chez Haribo. Elle a débuté à Uzès par un job d’été, ça lui a plu, elle a continué, grimpé les échelons, installé des boutiques (à Miramas et Romans notamment) et elle est de retour dans le Gard depuis 2020 où elle est respon du Musée d’Uzès. « Je suis tombée amoureuse de la marque. C’est une passion. On fabrique des produits de qualité. Les Dragibus fêtent leurs 50 ans, la fraise Tagada est la préférée des français. Et ici, c’est un lieu de vie unique et magique pour toutes les générations. »

26 000 tonnes bonbons sortent de l’usine d’Uzès chaque année
Ce sont 26 000 tonnes de bonbons qui sont fabriquées chaque année sur le site d’Uzès. Un Lieu qui compte 250 salariés en tout, la majorité pour la production en confiserie, une quinzaine de CDI à temps plein pour la boutique et le Musée et, en ce moment pour Halloween qui se déroule jusqu’au 31 octobre, une quinzaine d’étudiants en CDD pour faire face à l’afflux de visiteurs.

Le plein d’animations pour la semaine d’Halloween
« Pour cette semaine cruciale, comme ce sont les vacances de la Toussaint, nous avons plein d’animations. Des chasses au Dragibus, des Nocturnes terrifiants (les 30 et 31 octobre jusqu’à 21h) mais pas trop pour ne pas affoler les tout petits, des devinettes, des monstres déguisés, des ‘escape-games’ pour gagner plein de cadeaux, des entrées offertes » explique Marina Maurin, enthousiaste. « C’est un métier passion et j’ai gardé la joie de l’enfance. »
Comme le chantent le slogan et la pub à la TV, ‘Haribo c’est beau la vie, pour les grands et les petits’ et la magie opère depuis plus d’un siècle, avec les Carensac, Fraizibus, Tagada, Croco, Zan, l’ourson ‘Goldbär’ ou bien encore les chamallows-choco. Tout en douceur depuis 1920, date de la création d’Haribo.

Musée Haribo. Haribo Pont des Charrettes. Chemin du Moulin de Bargeton. Uzès. 04 66 22 74 39. accueil.musee@fr.haribo.com


Avignon : 50 ans après son ouverture, le magasin Casino de Cap Sud va devenir un Carrefour

Comme chaque année, la Revue du vin de France a mis en avant ce patrimoine français qu’est le vin et a récompensé ceux qui s’appliquent à le faire vivre et à le faire rayonner. Le 5 janvier a eu lieu la soirée des Grands Prix 2023 attribués par le magazine vinicole.

En tout, treize personnes se sont vues attribuer un prix par la Revue, à la fois pour leur engagement, leur audace et leur amour du vin. Parmi les lauréats, on y trouve un Gardois. Cliquez ici pour découvrir tout le palmarès.

Jean-Michel Richaud, de la cave Trésors des Vignes, à Uzès, a reçu le prix de caviste de l’année 2023. Mais cette cave gardoise, ce n’est pas seulement l’œuvre de Jean-Michel, c’est avant tout une affaire de famille qu’il a créé avec son frère Philippe en 2006. Aujourd’hui, il la gèrent avec Isabelle, la femme de ce dernier, et leur cousin Matthieu.

À la cave Trésors des Vignes, située au 2 Rue du 4 Septembre, on peut trouver des champagnes, des spiritueux, et bien évidemment des vins de plusieurs régions de France telles que la Vallée du Rhône, la Bourgogne, le Languedoc-Roussillon, la Loire, ou encore l’Alsace. « Dénicher pour vous les cuvées mythiques d’hier, les joyaux d’aujourd’hui, vous faire découvrir les perles de demain, c’est notre métier, notre passion, explique l’équipe de la cave. Trésors des Vignes cultive un certain goût pour l’exception, c’est une invitation à la découverte, à la dégustation, au plaisir… »

©G. Esteve – La Revue du vin de France

V.A.


Avignon : 50 ans après son ouverture, le magasin Casino de Cap Sud va devenir un Carrefour

La nouvelle saison de l’émission télévisée ‘Le château de mes rêves’, débarque dès aujourd’hui, le 2 janvier. Dans le programme, diffusé du lundi au vendredi à 17h30 sur M6, les téléspectateurs iront notamment à la rencontre de deux couples de châtelains gardois.

Durant cette saison de l’émission ‘Le château de mes rêves’, les téléspectateurs pourront suivre les aventures de 12 familles qui, sans forturne personnelle, ont décidé de tout abandonner pour acquérir un château. Chambres d’hôte, organisation de mariages ou autres événements, les nouveaux châtelains, ont dû se trouver une toute nouvelle activité afin de financer leur achat. Et avec les rêves viennent aussi les désillusions : des travaux rocambolesques, des corvées ménagères à n’en plus finir et des imprévus, les familles ne sont pas au bout de leur peine.

Dans cette aventure, les téléspectateurs suivront notamment Kendall et Romain, propriétaires du Château de Villeméjane à Chusclan dans le Gard. Originaire du Nord de la France, Kendall a toujours rêvé de vivre un véritable conte de fée. Elle a donc convaincu son compagnon Romain de changer de vie pour la suivre dans ce projet fou. Maintenant que leur fille Sienna est née, le couple rêve de se dire oui dans son propre château une fois celui-ci rénové.

À une trentaine de kilomètres de Chusclan, un autre couple a aussi récemment adopté la vie de château. Eve et Joan, lassés par leur vie parisienne, ont tout quitté pour faire un tour du monde. À leur retour en France, ils ont décidé le Château de Fabiargues à Uzès et de se lancer dans le tourisme et de profiter de leur vie de châtelains avec leurs deux enfants Esteban et James.

V.A.


Avignon : 50 ans après son ouverture, le magasin Casino de Cap Sud va devenir un Carrefour

L’info vient tout droit de SeLoger et de Meilleurs agents, portails d’estimation de l’immobilier en ligne. Ce qui a dernièrement frémit sur les lignes de codes ? L’appétence des Marseillais –qui quittent la cité phocéenne- pour les quartiers très chics D’Allauch et Aubagne ; Aix-en-Provence et même le Var, le Vaucluse et les Alpes-Maritimes. Les recherches s’orientent également très fortement sur le Gard. On vous dit tout.

D’habitude, pour plier bagage, 60% des français privilégiaient une ville de leur département, le saut de puce représentant un changement sans faire la révolution. Alors, quand on était Marseillais, on se faisait un saut de puce direction Allauch, Aubagne, Aix-en-Provence. Mais maintenant, voici que les marseillais s’aventurent plus loin : Aix-en-Provence, le Var, le Vaucluse, les Alpes Maritimes et même le Gard !

DR Marseille

Dans le détail

Côté prix ?
Pour Aix-en-Provence
on prévoit 5 886€ du m2 pour une maison et 5 179€ pour un appartement. Des tarifs en progression de 8,3% en deux ans entre 2020 et 2022 dans le collectif.
A Aubagne ? Il faut compter entre 4 246€ du m2 pour une maison net 3 331€ pour un appartement tandis qu’à Allauch le m2 pour une maison s’estime à 4 597€ du m2 et 3 783€ le m2 en appartement.

Et puis cap sur le Var, le Vaucluse et les Alpes-Maritimes
Ces derniers temps, un tiers des recherches se concentre aussi sur le Var, direction Toulon, Hyères et Saint-Maximin-la-Sainte-Baume. Alors que dans le département, le prix des maisons se fixe à 4 681€ du m² (+ 17,2 % depuis la crise sanitaire) et celui des appartements à 3 876€ du m² (+ 10,5 % mars 2020-mars 2022), à Toulon, ils sont sensiblement en dessous de ces niveaux. 

À Toulon, les maisons trouvent preneur pour 3 969€ du m² et les appartements pour 3 003€ du m².
À Hyères, le prix des maisons au m² grimpe à 5 104€ et celui des appartements à 4 160€. Enfin, les tarifs sont moins élevés à Saint-Maximin-la-Sainte-Baume : 3 571€ du m² pour un logement individuel et 2 953€ dans le collectif.

DR Toulon

Le Vaucluse
Pertuis et L’Isle-sur-la-Sorgue sont sur le podium des villes les plus prisées des Bucco-Rhodaniens dans le Vaucluse (3 059€ du m² en moyenne pour une maison et 2 148€ du m² pour un appartement).

À Avignon, il faut compter 2 705 € du m² pour une maison et 2 270 € du m² pour un appartement.

DR Avignon

À Pertuis, les candidats à l’accession trouveront leur bonheur pour 3 679 € du m² pour une maison et 2 779 € du m² pour un appartement. Ceux qui privilégient l’Isle-sur-la-Sorgue doivent s’attendre à des tarifs un peu plus élevés (3 558 € du m² pour une maison et 3 005 € du m² pour un appartement).

Les Alpes-Maritimes
«Les Bucco-Rhodaniens qui optent pour les Alpes-Maritimes (5 322 € du m² en moyenne pour une maison et 4 827 € du m² pour un appartement) jettent le plus souvent leur dévolu sur Nice, Cannes et Antibes. Notons d’ailleurs que la part des recherches des Bucco-Rhodaniens dans ce département a bondi de 45 % depuis la crise sanitaire » remarque Thomas Lefebvre, Vice-président Data & Science, Groupe SeLoger et Meilleurs Agents.

Nice aussi
Le marché immobilier de Nice, qui concentre près du tiers des recherches des Bucco-Rhodaniens dans les Alpes Maritimes, se compose d’appartements qui s’échangent aux environs de 4 838 € du m² et de maisons qui trouvent preneurs pour 5 560 € du m².

DR Nice

A Cannes
À Cannes, il faut compter sur 5 407 € du m² pour un appartement et 6 612€ du m² pour une maison.

Enfin, à Antibes, les candidats à l’accession d’un appartement trouveront leur nouveau nid pour 5 241 € du m² et 6 778 € du m² pour une maison.

Forte progression des recherches dans le Gard

Autre département qui suscite de plus en plus l’intérêt des habitants des Bouches-du-Rhône :

Le Gard
La part des recherches des habitants des Bouches-du-Rhône dans le Gard y a progressé de 44 % depuis la crise sanitaire ! Et près du tiers de ces recherches se concentrent sur Nîmes, Alès et Uzès. Pour le Gard il faudra compter 2 254 € du m² pour un appartement en moyenne, 2 487 € pour une maison).

À Nîmes, le prix des maisons oscille autour de 2 665 € du m² et celui des appartements de 2 190 € du m².

À Alès, il faut compter : 1 963 € du m² pour une maison et 1 551 € du m² pour un appartement.

Enfin, à Uzès, les prix grimpent à 3 499 € du m² pour une maison et 3 130 € du m² pour un appartement.

DR Uzès

Comment cette étude a été conçue
Immobilier : où les habitants des Bouches-du-Rhône veulent-ils vivre ?
(1) Ces travaux sont réalisés en collaboration avec Marie Breuillé (chercheuse en économie) et Julie Le Gallo (Professeure d’économie) de l’UMR CESAER. Ils alimentent un projet de recherche financé par le Réseau Rural Français (RRF) et le Plan Urbanisme Construction Architecture (PUCA) qui pilotent une étude intitulée « Exode urbain : impacts de la pandémie de COVID-19 sur les mobilités résidentielles », dont les premières conclusions (exploratoires) sont disponibles.
MH


Avignon : 50 ans après son ouverture, le magasin Casino de Cap Sud va devenir un Carrefour

14 nouveaux projets de maisons de santé pluriprofessionnelles viennent d’être validés en Occitanie dont deux dans le Gard, à Roquemaure et Uzès. Soutenu par l’Agence régionale de santé (ARS), le développement de ces maisons de santé est un enjeu majeur d’aménagement du territoire et d’égalité dans l’accès à des soins de proximité.

Les maisons de santé pluriprofessionnelles reposent sur des équipes de professionnels de santé de proximité partageant un projet de santé commun et qui exercent leurs activités de façon coordonnée et pluriprofessionnelle, au bénéfice des patients d’un même territoire. Ces équipes associent des compétences médicales (médecins, chirurgiens-dentistes, sages-femmes) et paramédicales (infirmiers, masseurs, kinésithérapeutes…), des pharmaciens et des biologistes. Cette organisation favorise les prises en charge coordonnées, le développement de la prévention et de la télémédecine, ainsi que la prise en charge des soins non programmés. Les maisons de santé sont notamment soutenues par l’ARS et les services de l’Etat, de la Région Occitanie Pyrénées-Méditerranée et des collectivités locales contribuent activement à leur financement. A ce jour en Occitanie, 233 maisons de santé ont été labellisées dont deux à Remoulins et Pont Saint-Esprit.

 

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