23 juillet 2024 |

Ecrit par le 23 juillet 2024

(Vidéo) Tarascon, Lettres Vives, Rencontre avec l’auteure Amina Damerdji ce soir à 18h30

Eric Dumas, le fondateur de la librairie Lettre Vives à Tarascon recevra ce soir vendredi 15 mars à 18h 30, l’auteure Amina Damerdji pour son dernier livre paru ‘Bientôt les vivants’.

«Aïcha courut à travers le village. Ses jambes tremblaient et son cœur battait si fort qu’il semblait vouloir sortir de sa poitrine. Elle connaissait le mot, dhabahine, les égorgeurs. Dhabahine, dhabahine ! » Algérie, 1988. Après les premières émeutes sauvagement réprimées, le mouvement islamiste montre sa puissance grandissante. »

« La jeune Selma vit dans la proche banlieue d’Alger. Elle n’a qu’une passion, l’équitation, qu’elle pratique dans un centre non loin du village de Sidi Youcef, où se déroulera en 1997 l’un des épisodes les plus atroces de la guerre civile. Elle consacre tout son temps libre au dressage d’un cheval que tout le monde craint, tandis que les déchirements de l’histoire traversent sa famille comme toute la société algérienne : certains sont farouchement opposés aux islamistes, d’autres penchent pour le FIS (Front Islamique du Salut), d’autres encore profitent du chaos pour s’enrichir… »

«C’est dans ce contexte tragique que Selma apprendra à grandir, trouvant dans la relation avec son cheval et avec la nature un antidote à la violence des hommes. Bien que le martyre du village de Sidi Youcef éclaire d’une lumière terrible les trajectoires des divers personnages, ce roman reste constamment chaleureux et humain.»

Rencontre ce vendredi 15 mars à 18h30, avecAmina Damerdji pour son dernier livre paru ‘Bientôt les vivants’, à la Librairie Lettres vives. 60, rue des Halles, 13 150 Tarascon. 04 90 91 00 10 lettresvives@yahoo.fr et lettresvives.unblog.fr


(Vidéo) Tarascon, Lettres Vives, Rencontre avec l’auteure Amina Damerdji ce soir à 18h30

Le grand écrivain Irène Frain sera chez Eric Dumas le libraire de Lettres vives à Tarascon ce mercredi 29 novembre, pour y dédicacer son livre : ‘Ecrire est un roman’, paru chez Seuil, et s’il-vous-plaît, autour d’un thé. Elle est pas belle la vie ?

Irène Frain -de son vrai nom Irène Le Pohon- a été professeur de lettres ans le secondaire, journaliste – pour Paris-Match, Elle, Le JDD, VSD, l’Histoire…- et est romancière. Cette bretonne née à Lorient grandit avec 4 autres frères et sœurs dans un foyer rural et modeste où la mère est couturière et le père un ancien garçon de ferme devenu professeur pour adultes. Elle a publié plus de 42 ouvrages en 44 ans de carrière. Elle a obtenu de nombreux prix dont l’Interallié en 2020 avec ‘Un crime sans importance’, publié aux Editions du Seuil ; Le prix du Relay des voyageurs lecteurs en 2009 avec « Les naufragés de l’île Tromelin » et le prix des Maisons de la presse en 1982 pur ‘Le Nabab’.

Les infos pratiques
Rencontre avec Irène Frain, écrivain, mercredi 29 novembre, à 17h, chez Eric Dumas, à la Librairie Lettres vives, 60, rue des Halles, 13150 Tarascon 04 90 91 00 10. Dédicace de son dernier ouvrage en date paru : ‘Ecrire un roman’.


(Vidéo) Tarascon, Lettres Vives, Rencontre avec l’auteure Amina Damerdji ce soir à 18h30

Le lancement officiel du projet TOMMATES, lauréat en mai 2023 du plan d’investissement France 2030, a eu lieu ce mardi 12 septembre.

Non, il n’y a pas de faute d’orthographe dans le titre ! « TOMMATES », c’est un nouvel acronyme pour « Techniques, Outils et Méthanisation pour la Multiperformance Agricole des Territoires et des Systèmes ». Et il s’agit effectivement de la filière de la tomate industrielle qui, en France, ne couvre que 10% des besoins. En 1985, la production nationale représentait 400 000 tonnes/an, aujourd’hui seulement 150 000 tonnes sont commercialisées.

Or, la population de l’hexagone consomme 1,2 million de tonnes ce qui nous rend dépendants des autres, notamment de l’Italie, de l’Espagne et de la Chine. La même qui avait absorbé « Le Cabanon » à Camaret, un fleuron de l’agroalimentaire vauclusien connu dans la France entière qui transformait à l’époque 400 000 tonnes chaque année. Il y a donc urgence à agir.

Visite des partenaires du projet « Tommates » © DR

Le Président de la Chambre d’Agriculture Régionale, André Bernard, qui a une autre casquette, celle de président de la SONITO (la Société Nationale Interprofessionnelle de la Tomate qui a fêté ses 60 ans en 2017) sait de quoi il parle. « Nous devons absolument re-booster cette filière, avancer. Notre objectif : passer d’ici 2030 à 25% du taux de couverture de la consommation (10% aujourd’hui) en équivalent tomates fraîches, soit transformer 350 000 tonnes au lieu de 190 000 tonnes actuellement. »

C’est la raison pour laquelle il était ce mardi matin au « Panier Provençal » à Tarascon qui fait partie, depuis 2019 du Groupe CAPL (Coopérative Agricole Provence Languedoc) et qui est l’une des plus grandes usines de France de transformation de tomates en coulis, jus, concentré, sauces, purée ou pulpe, c’est dire si elle voit la vie en rouge.

André Bernard précise : « Avec ce Projet TOMMATES, nous tendons vers de nouveaux modèles de production avec la création d’îlots de 1 000 à 1 500 hectares qui concilieront les nombreuses attentes auxquelles l’agriculture doit répondre. Pour ce faire, il faudrait construire 2 usines supplémentaires de 80 000 tonnes de production chacune par an. Mais avec les contraintes actuelles sur le prix des matières premières, l’explosion du prix de l’énergie, il nous faut réfléchir à un autre modèle d’agriculture davantage globale et durable. Au lieu d’évoluer seule dans son coin, notre filière s’est déjà adossée à celle du riz, du blé et de légumineuses de Lyon à la Camargue en passant par les rives de la Vallée du Rhône. Notre idée est de développer la culture de la tomate de plein champ avec d’autres productions. Le méthane sera utilisé pour transformer les biodéchets en biogaz qui sera injecté dans les canalisations et alimentera en énergie renouvelable le territoire et les usines agro-alimentaires. »

Visite des partenaires du projet « Tommates » © DR

D’ores et déjà, la filière de la tomate industrielle travaille d’arrache-pied pour faire valoir ses atouts auprès de la Commission des Affaires Economiques du Sénat qui est déjà descendue à Tarascon découvrir ce projet qui entre en phase de maturation. Avec à la clé, une proposition de loi pour soutenir la compétitivité de la filière.

Pragmatique et déterminé, comme d’habitude, André Bernard a conclu « Nous devons nous adapter au changement climatique en optimisant l’usage de la ressource en eau, en limitant les intrants, en respectant l’environnement et en renforçant notre souveraineté alimentaire et énergétique. »


(Vidéo) Tarascon, Lettres Vives, Rencontre avec l’auteure Amina Damerdji ce soir à 18h30

Pour la 10e édition de l’émission de M6 ‘La meilleure boulangerie de France’, 10 boulangers de la région sont sur la ligne de départ, dont un à Cabrières d’Avignon, un autre à Avignon/Noves ainsi qu’à Tarascon/Beaucaire également.

Trois boulangeries du Vaucluse et du bassin de vie d’Avignon participent à la compétition télévisée de la chaîne M6 qui sera diffusée la semaine prochaine. Le but sera de dénicher la meilleure boulangerie de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur afin que celle-ci soit ensuite confrontée aux sélectionnés des autres régions de France.
L’émission sera présentée par Norbert Tarayre, ex participant à l’émission Top Chef. L’animateur et juré de ‘La meilleure boulangerie’ de France, est accompagné par Bruno Cormerais, boulanger et meilleur ouvrier de France en 2004, et Noëmie Honiat, cheffe pâtissière, elle aussi ancienne participante de l’émission Top Chef.

Tournage dans la boulangerie Spiteri à Tarascon. ©DR

La Boulangerie Lyse à Cabrières-d’Avignon
Premier représentant vauclusien : la boulangerie Lyse à Cabrières-d’Avignon. Tenue par des Vauclusiens d’adoption, Emilie et Julien sont venus de Normandie en 2007 pour y installer leur première boulangerie dans le département durant 6 ans. Le couple d’artisans déménage mais reviennent dans le village de Cabrières-d’Avignon en 2018 avec la reprise des locaux d’une galerie d’art. Aujourd’hui, le couple tient un établissement bien installé dans sa région, qui participe déjà à d’autres compétitions comme c’est le cas en 2022, où la boulangerie a remporté le prix de la meilleure galette des rois dans les catégories chef d’Entreprise/Salarié et Apprenti.

L’équipe de la boulangerie Lyse. ©M6

Lire aussi : 13e concours de Gâteau des rois du Groupement des artisans boulangers pâtissiers de Vaucluse

Boulangerie-Pâtisserie Meinado : entre Noves et Avignon
Meinado, c’est une entreprise familiale avec Nadine, patronne et mère de Gregory, Anthony et Laëtitia. Gregory est le boulanger tandis qu’Anthony et Laëtitia occupent les postes de responsables de ventes. L’idée de l’ouverture d’une boulangerie pour cette famille déjà à la tête de quatre établissements de restauration émerge il y a 12 ans. Et c’est en 2017 que le projet se concrétise et qu’une première boulangerie ouvre à Avignon, dans le secteur de Bonpas, qui constitue aujourd’hui la boulangerie référente des autres sites qui ont ensuite vu voir le jour à Arles et Noves. C’est d’ailleurs cette dernière, installée dans la zone d’activité de la Roque à Noves, qui représentera Meinado lors de cette sélection régionale. L’établissement propose des pains rustiques, de nombreuses viennoiseries et pâtisseries et un large choix de snacking qui fait la particularité de la boulangerie-pâtisserie.

L’équipe de la boulangerie Meinado. ©M6

Maison Spiteri à Tarascon et Beaucaire
La maison Spiteri a la particularité d’être tenu par un patron très jeune, Théo Spiteri, 21 ans. Il est le boulanger, le pâtissier et le chocolatier de l’établissement qu’il a racheté il y a un peu plus d’un an maintenant. Il a ainsi dû moderniser les locaux de sa boulangerie seul par faute de moyen, sa mère Christelle le soutenant tout de même en étant à la vente. En un an, son travail a su prendre de l’ampleur et être apprécié à Tarascon, Théo a ainsi ouvert une nouvelle boutique à Beaucaire.

L’équipe de la boulangerie Spiteri. ©M6

‘La meilleure boulangerie de France’ en région Paca. Tous les soirs à 18h35 sur M6. Du lundi 23 au vendredi 27 janvier.

Maylis Clément

Le pain Châtaigne-noisette de la boulangerie Lyse.©DR

(Vidéo) Tarascon, Lettres Vives, Rencontre avec l’auteure Amina Damerdji ce soir à 18h30

Ce dimanche 20 mars aura lieu la sixième édition du Trisothon à Tarascon, organisé annuellement par l’association Trilogis. L’occasion de faire du sport, mais surtout de se réunir et de se montrer solidaire envers les personnes en situation de handicap.

À l’occasion de la journée mondiale de la trisomie 21 qui se déroulera le lundi 21 mars, marcheurs et coureurs, avec ou sans handicap, se donnent rendez-vous ce dimanche à 8h  sur la place du Colonel Berrurier à Tarascon pour une journée sportive. Organisée par l’association Trilogis, cette initiative a pour objectif de soutenir les actions de cette dernière en faveur de l’inclusion des personnes en situation de handicap.

La matinée sera rythmée par différentes épreuves sportives comme le 1000m non chronométré, ou encore une course de près de 10km. Chaque épreuve requiert une inscription en ligne et une participation allant de 1€ à 13€. Le reste de la journée se placera sous le signe de la convivialité avec des animations, des orchestres, et de quoi se restaurer. Cet événement sera marqué par le parrainage de Nicolas Virapin, champion du monde de sport adapté.

Trisothon 2022. Dimanche 20 mars. 8h. Place du Colonel Berrurier (face à la gare). Tarascon.

Pour en savoir plus sur les épreuves et s’y inscrire, cliquez ici.

V.A.


(Vidéo) Tarascon, Lettres Vives, Rencontre avec l’auteure Amina Damerdji ce soir à 18h30

Eric Dumas est le libraire de la Crognote rieuse à Avignon et aussi de Lettres Vives à Tarascon. Avec deux amis également libraires : Johan Vitiello et Jérémie Curt –Le coupe-papier, librairie théâtrale parisienne de la rue de l’Odéon avec laquelle quelques libraires Avignonnais organisent la Librairie du festival d’Avignon depuis 4 ans – il décide de monter un projet. Devinez quoi ? Une librairie généraliste à Aix-en-Provence. Et là, l’histoire ne fait que commencer. Vous voulez la suite ?

Pourquoi Aix ?

«Parce qu’on connaît bien Aix, on y  a fait nos études à la faculté, on y est resté un petit moment, explique Eric Dumas pour planter le décor. Il s’y épanouit beaucoup de manifestations, de lieux culturels. N’en déplaise aux Marseillais, Aix reste la capitale culturelle de la région !»  

Pourquoi les librairies ferment ?

«Une raison plus conjoncturelle ? Les librairies d’Aix ferment les unes derrière les autres depuis plusieurs années. Pas parce qu’il manque de la clientèle. Il y a eu des départs à la retraite –Ce qui est la vie de toutes les entreprises- mais surtout parce que les loyers y sont fort chers. Or, la librairie est un commerce de faible marge. Donc les librairies, par rapport à d’autres commerces, s’y trouvent en difficulté. La dernière importante librairie qui y a fermé ? La librairie de Provence située sur le Cours Mirabeau. Pourquoi ? Parce que le loyer augmentait de façon considérable.»

Alors ?

«Alors plus que jamais nous estimons, tous les trois, qu’il manque une librairie à Aix ! Comment on le sait ? Parce que ça s’appelle ‘un chiffre d’affaires livres’. Qu’est-ce ? C’est l’estimation du chiffre d’affaires livre qu’il y a dans une ville en fonction de son nombre d’habitants. A la louche ? Chaque Français dépense, en moyenne, 100€ par an pour ses livres. Après l’on cherche où est dépensé cet argent. Est-ce en ligne, dans des zones périphériques, ailleurs ? En tout cas il y a de la clientèle à ramener en librairie en cœur de ville et à Aix.»  

Eric Dumas, deux librairies au compteur, la Crognote rieuse à Avignon, Lettres Vives à Tarascon et bientôt Alias à Aix-en-Provence ?

Wanted… emplacement

«Convaincus par Aix et le besoin en librairie, nous nous sommes mis en quête d’un local et là, on s’est effectivement aperçu que les loyers étaient chers, très chers. Pour se faire une idée ? En location c’est deux fois plus cher qu’à Avignon. Ce qui n’est pas tenable d’un point de vue économique pour une librairie. Alors, on a trouvé des murs commerciaux à vendre. Une ancienne galerie d’art refaite à neuf il y a 5 ans.»

Montage financier

«Du coup, les murs de la librairie appartiendraient à ses actionnaires et permettraient à la librairie de sortir un loyer beaucoup plus faible ce qui serait gage de pérennité, bref, un loyer normal pour un gars comme moi qui vient d’une petite ville de province.»

Là où ça coince sérieux ?

«En mai, on murit le projet à trois. En juin on trouve les locaux et nous signons le compromis de vente. De ce jour à mi-août notre banque nous accompagne, fignole le plan d’investissement, nous félicite pour notre dossier carré, bref le dossier est finalisé fin août. Nous sommes confiants puis la sentence tombe.»

Ce que la banque dit ?

«La banque dit : vous êtes sérieux, vous êtes soutenus par la profession. On pense même que votre prévisionnel est peut-être en-dessous de ce qu’on croit pouvoir estimer. Vous avez l’air d’être prudents, l’estimation est tenable.»

Et puis de oui on passe à non

«Et puis de oui la banque passe à non. Comment çà non ? ‘C’est pas votre projet, nous on y croit. On vous pense capables’. « Avec 12 ans d’expériences chacun, nous non plus n’avions pas de doute… reprend Eric Dumas. Le projet est même validé par ADELC, Centre national du livre et de l’association de développement de la librairie. C’est une association nationale qui finance environ 50 librairies par an, choisies par rapport à leur ligne éditoriale, la qualité de leur projet. Une structure accompagnante qui réalise un taux de 97% de réussite sur les projets qu’ils soutiennent. Il s’agit d’une vraie caution professionnelle. Et puis on a le Centre national du livre qui nous a dit ‘Super projet, allons-y !’ et qui nous soutiennent avec des fonds.»

Sacrée digitalisation

« Mais en fait la librairie, on va pas faire, argumente la banque, à cause de la digitalisation. On sait pas si le livre va durer et votre taux de marge est trop faible… » «Nous y revoilà !  On nous dit qu’on ne fait pas le poids face à Amazon et aussi face aux liseuses… Pourtant personne n’y croit parce qu’il n’y a aucun indice qui va dans ce sens. C’est une vieille marotte sans réalité. La peur de la banque ? L’effondrement du marché  comme cela s’est produit pour les disquaires. La banque a même évoqué les vidéoclubs ! Elle pense à un monde dématérialisé où l’objet livre disparaitrait. En 2008, lorsque j’ai repris la librairie de Tarascon, on m’avait servi ce même argument ! Sauf que le livre virtuel ne décolle pas. Dans les pays anglo-saxons où il avait décollé on observe même une régression du marché.»

Le réseau des petites et moyennes librairies a explosé son chiffre d’affaires en 2020 !

Faire le poids face à Amazon

«Ce qu’on observe face à Amazon ? Les librairies petites et moyennes prennent des parts de marché. Pourquoi ? Parce que les gens ne viennent pas chercher uniquement un livre mais faire une rencontre, discuter avec quelqu’un, prendre conseil, feuilleter le livre. Il pourra y avoir du dégât dans les commerces, mais aussi des créations, des reprises et cela dans tous les secteurs : fleuristes, épiceries, le renouvellement a vraiment lieu. Et puis 2020 a été une année extraordinaire pour le réseau des petites et moyennes librairies ! Les changements de comportement ont eu lieu. Les gens se sont rendu compte que nous étions à deux rues et que nous proposions des ateliers aux enfants, qu’on pouvait y rencontrer ses auteurs, c’est tout de même mieux qu’une livraison anonyme et impersonnelle…»

Ce qu’on propose ?

«Le local de 100m2 que nous visons est à 540 000€. Nous cherchons un petit nombre de personnes désireuses d’aider à cette création de librairie générale à Aix-en-Provence à hauteur de 25 000 ou 50 000€ sur 3 à 5 ans ou sur 15 ans. On a 2 semaines à peine pour réagir ou ce projet sera mort-né. Cela vous intéresse ? On en parle, on se voit et je vous envoie plein de documents. Alors contactez-moi, Eric Dumas au 06 72 23 90 46 et sur librairiealias.com»


(Vidéo) Tarascon, Lettres Vives, Rencontre avec l’auteure Amina Damerdji ce soir à 18h30

Lauréate régionale du concours 2020 ‘Talent des cités’ avec sa société ‘Dermo Beauty by S’, Souad El Boutahiri prodigue conseils et bonnes pratiques pour garder une mine jeune, en étant bien dans son corps et dans son esprit. Basée dans un ‘Quartier prioritaire‘ de Tarascon, la jeune entreprise propose des soins de bien-être basés sur des technologies innovantes.

« J’ai toujours été fascinée par l’univers du bien-être, je m’attache à chaque détail pour que mes client(e)s repartent entièrement satisfaits. Prendre soin de ma clientèle m’épanouit », assise dans le fauteuil molletonné de son institut, Souad nous communique sa passion pour le bien-être et la beauté, au service de la confiance en soi. Cette esthéticienne, également en activité dans le médico-social, a été formée avec exigence pour répondre aux besoins de la clientèle et permettre à tout public de sublimer sa peau. Être bien dans son corps et dans sa tête ne doit pas être un luxe, tel est son mantra.

Talents des cités’ : tremplin de visibilité

A l’annonce de la bonne nouvelle, Souad ne mesure pas tout de suite les conséquences.  « Lorsque j’ai été informée de ma victoire en tant que lauréate régionale du concours ‘Talents des cités’, je n’y croyais pas. J’étais dans une démarche plutôt expérimentale et ludique, je n’attendais rien en particulier. Mon ‘business plan’ à peine finalisé, je suis tombée un jour sur l’appel à candidature qui correspondait en tout point à mes critères de création, alors je me suis lancée ! »

BGE Provence Alpes Méditerranée Accès Conseil, l’agence qui accompagne Souad, ne tarde pas avant de l’informer de son prix dans la catégorie ‘Création’, et de ses chances de concourir pour la finale nationale. « Je n’ai pas été sélectionnée parmi les 14 finalistes, mais je suis ravie d’en être arrivée là. Gagner ce prix était un gage de validation professionnelle et de reconnaissance de ma dynamique entrepreneuriale », explique Souad. Un prix qui confortera sa confiance en elle et impulsera par la suite des projets de développement. 

L’Institut ‘Dermo Beauty by S ‘se situe 32 rue Proudhon à Tarascon. ©Dermo Beauty By S’

Aux attaques et autres remarques la décourageant d’installer son entreprise à Tarascon, Souad réplique fièrement par son attachement à sa ville natale, son charme et son authenticité. La région représente par ailleurs un avantage pour elle, au regard du peu de concurrents positionnés sur le marché des soins de peau technologiques. L’ouverture de l’institut en plein cœur d’une période critique n’a pas non plus découragé notre esthéticienne qui a bénéficié d’un PGE (Prêt garanti par l’État), en collaboration avec le réseau Initiative Pays d’Arles. « Toujours prévoir un plan B, même C, pour être parée à toute situation », voilà la devise du jour.

Outre les 2 000€ défiscalisés obtenus grâce à son prix, la tarasconnaise a bénéficié d’une belle mise en lumière dans les colonnes de la presse locale. La nouvelle se répandant telle une trainée de poudre, l’institut ‘Dermo Beauty By S’ a ainsi pu bénéficier d’une notoriété grandissante résultant du bouche-à-oreille et des quelques 60 clients satisfaits de son travail.

Une nouvelle technologie pour les soins anti-âge

« Je travaille dans un secteur qui évolue rapidement en raison des nouvelles technologies, je dois donc investir pour proposer les dernières tendances et avancées en matière de peau. » Souad n’est pas en reste puisqu’un nouvel équipement proposant « une technologie inédite dans la région » fera son apparition d’ici peu au sein de l’institut. La machine permettra un diagnostic précis de la peau et une expertise sur les différentes étapes de soin.

« Tous les protocoles sont validés par un dermatologue. »

Le procédé est d’une précision d’orfèvre, à l’aide d’une poignée manipulée par l’esthéticienne, la machine photographie le derme et l’épiderme afin d’établir un diagnostic avant et après soin et ainsi constater les bienfaits de la cure. Souad tient à le préciser, aucune injection n’est réalisée. La poignée aspire toutes les impuretés et infuse ensuite de l’acide hyaluronique ou de l’aloé vera afin de redonner souplesse et tonicité à la peau. « Tous mes protocoles sont validés par un dermatologue de Saint-Paul-de-Vence avec qui je travaille étroitement et qui me fournit des produits de la gamme complète Dermaceutic. »

©Dermo Beauty By S’

Pas de bistouri !

La lipocavitation proposée par l’institut est un traitement non-invasif qui aide à mincir, sans faire usage du bistouri. Cette technique indolore permet en moyenne de perdre 1 taille en 2 ou 3 séances sur la même zone.  Le procédé correspond à une émission d’ondes énergétiques qui forment des bulles d’air microscopiques à l’intérieur des cellules graisseuses. Ces cellules vont donc grossir jusqu’à se briser et libérer des lipides et l’eau qu’elles contiennent, qui seront évacués par les urines de façon naturelle. Avant tout traitement, Souad débute par un bilan personnalisé pour un parcours sur mesure et un diagnostic de peau. Chaque peau présente des caractéristiques et une typologie qui lui sont propres et donneront lieu à un soin approprié.

« La radiofréquence travaille sur l’ovale du visage, attenue les rides, apporte du galbe. »

Lisser les rondeurs et les courbes

La radiofréquence permet de traiter les surcharges graisseuses comme la cellulite (ventre, fesses, cuisses) et lutter contre le relâchement cutané du visage, notamment au niveau de l’ovale. La chaleur stimule la peau qui va fabriquer de nouvelles fibres de collagène. En chauffant de façon sélective simultanément la couche de graisse sous-cutanée et profonde, la radiofréquence augmente le métabolisme de la lipolyse des cellules adipeuses. Parallèlement, la chaleur induit la rétraction des fibres de collagène préexistantes. L’effet de rétraction est immédiat, donnant un coup d’éclat visible et une meilleure fermeté de la peau. « La machine permet à notre peau d’apporte le meilleur d’elle-même » aime à le rappeler Souad.

Espace diagnostic de peau. ©Dermo Beauty By S’

La luminothérapie laisse l’acné dans l’ombre

Souad réserve également à sa clientèle un passage en luminothérapie. La luminothérapie par LED (Light-emitting diode), traitement esthétique stimulant la régénération des cellules, permet de lutter contre le vieillissement prématuré des cellules, de favoriser la cicatrisation et d’accélérer la synthèse de collagène pour une meilleure élasticité des tissus. Il permet également de traiter l’acné inflammatoire en rééquilibrant le sébum.

Espace de luminothérapie. ©Dermo Beauty By S’

« Les soins continuent à agir dans les jours qui suivent, donc cela nécessite beaucoup d’hydratation. La radiofréquence travaille sur l’ovale du visage, attenue les rides, apporte du galbe. Je prends systématiquement des photos avant et après le soin, et mes clients sont très satisfaits. »  Vigilance oblige, Souad tient à sensibiliser sur les séances trop régulières qui peuvent entrainer des effets contre-productifs et être dangereux pour la santé. 

Dermo Beauty By S’ propose également la dermopigmentation (maquillage permanent), le lifting colombien galbant et augmentant le volume fessier et un soin innovant tout-en-un Hydra Skin By S, complet et hydratant. L’Institut se situe 32 Rue Proudhon, 13150 Tarascon. Conformément aux dernières mesures gouvernementales, l’institut est momentanément fermé. Téléphone : 06.95.40.55.88


(Vidéo) Tarascon, Lettres Vives, Rencontre avec l’auteure Amina Damerdji ce soir à 18h30

Placée en redressement judiciaire le 8 octobre dernier, le site Fibre Excellence de Tarascon, filiale du groupe situé en Haute Garonne, a obtenu un prêt de 7 M€ du Fonds de développement économique et social.

Installée à Tarascon dans les Bouches-du-Rhône, Fibre Excellence a été déclarée en cessation de paiement le 2 octobre dernier avant d’être placée en redressement judiciaire le 8 octobre pour six mois par le tribunal de Commerce de Toulouse. Face à l’avenir plus qu’incertain de Fibre excellence, dont l’enjeu social et économique est fort avec plus de 250 emplois directs, 1 000 emplois indirects via les fournisseurs et sous-traitants et près de 3 000 emplois pour l’ensemble de la filière forestière régionale, la société a obtenu un prêt de 7 M€ accordé au titre du Fonds de développement économique et social (FDES), un dispositif de l’État visant à aider les entreprises en difficulté. Le prêt sera versé par Natixis et devrait permettre au site de Tarascon de payer ses partenaires et fournisseurs de la filière bois.

La CCI d’Arles en soutien des nombreux fournisseurs
L’usine qui produit 270 000 tonnes de pâte à papier par an joue un rôle important pour le territoire, étant l’unique client de centaines de producteurs forestiers des régions Sud et Occitanie. C’est pourquoi, à ce titre, la Chambre de commerce et d’industrie du Pays d’Arles, via son président Stéphane Paglia, se mobilise pour répondre aux demandes et accompagner près de 490 fournisseurs de Fibre Excellence pour analyser leur situation au cas par cas, faire reconnaitre leurs dettes dans le respect des règles en vigueurs auprès du mandataire judiciaire, et mobiliser toutes les aides possibles pour pérenniser leurs activités. Par ailleurs, classée Seveso 2, l’usine de Tarascon a pour projet de réaliser, avec la Caisse des dépôts, une centrale de production d’électricité à partir de biomasse.


(Vidéo) Tarascon, Lettres Vives, Rencontre avec l’auteure Amina Damerdji ce soir à 18h30

Ouvert aux entrepreneurs en devenir résidant dans les quartiers prioritaires, le concours ‘Talent des cités’ vient de dévoiler la liste des lauréats de l’édition 2020. Parmi eux, Souad El Boutahiri et sa société ‘Dermo Beauty by S’ centrée sur les soins de bien-être impliquant des technologies innovantes.

A l’initiative du Ministère chargé de la Ville et du Logement et de Bpifrance, le concours Talents des Cités cherche à valoriser les initiatives et les réussites entrepreneuriales dans les quartiers prioritaires de la ville. Pour son édition 2020, en Provence-Alpes-Côte d’Azur, le jury vient de désigner les lauréats régionaux.

Parmi eux se trouvent Souad El Boutahiri et sa société ‘Dermo Beauty by S’. Fondée en 2018 et basée dans un quartier Prioritaire de Tarascon, la jeune entreprise propose des soins de bien-être et d’entretien corporel impliquant des technologies innovantes.

Une victoire qui va permettre à Souad El Boutahiri de bénéficier d’une dotation financière de 2 000 € et d’entrer en lice pour la finale nationale du concours. Les résultats seront annoncés lors de la cérémonie de remise des prix qui se tiendra le 1er octobre prochain à Paris.

www.talentsdescites.com

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