2 avril 2025 |

Ecrit par le 2 avril 2025

Eau, Suez lance une appli, sur la qualité de l’eau, partout en France

Suez lance ‘Mon Eau’, une application gratuite pour s’informer de la qualité de l’eau, partout en France.

Selon le dernier baromètre CI EAU / Kantar ‘Les Français et l’eau’ 2021, 85% des Français ont confiance en l’eau du robinet, 68% la boivent quotidiennement et 34% souhaitent obtenir plus d’informations sur sa qualité. Par ailleurs, ils sont également conscients que le changement climatique bouleverse le cycle de l’eau et 64% craignent d’en manquer.

Tout savoir sur l’eau partout en France
L’application ‘Mon Eau’ permet d’accéder aux informations sur l’eau partout en France. Elle est téléchargeable depuis App Store et Play Store, que l’on soit ou non clients de Suez. On y trouve la qualité et la composition de l’eau là où l’on se trouve : lieu d’habitation, de travail, de vacances. On y localise les points d’accès à l’eau tels que les fontaines publiques dans un rayon de 5, 10 ou 20 km, les lieux de baignade sécurisés à proximité -3 000 lieux sont actuellement recensés- et connaître le prix de l’eau. De nouvelles fonctionnalités devraient élargir le champ d’information.

Information, les sources
Les données collectées pour le fonctionnement de l’application sont consolidées et mises à jour quotidiennement. Elles sont issues de sources officielles et mises à disposition en Opensource  par DATA-GOUV, pour la qualité, le prix de l’eau et les points d’accès à l’eau, Et EEA (European Environment Agency / Agence européenne pour l’environnement) pour les baignades surveillées et la qualité des eaux de baignade.

Centraliser l’information sur l’eau sur le territoire
Avec ‘Mon Eau’, nous centralisons des données existantes sur une seule application, permettant de connaître la qualité de l’eau sur tout le territoire, en une consultation aussi simple que la météo, souligne Arnaud Bazire, directeur général des activités Eau de SUEZ en France, et ainsi sensibiliser les citoyens aux enjeux et à la nécessité de protéger l’eau.»  

A Avignon 
Pour la 3e année consécutive, Eau Grand Avignon a mis en place, fin juin, des kiosques de brumisation qui diffusent, après avoir appuyé sur un bouton, une fine pluie rafraîchissante. Ils se situent Parc Colette avenue Eisenhower et avenue de la Croix des Oiseaux. Un 3ème îlot a été mis en place parc Champ Fleury.

Ces installations ont également vocation à lutter contre le streetpooling
Le ‘street pooling’ consiste à ouvrir –illégalement- les bornes incendie pour en faire jaillir l’eau en geyser en bordure de route et de trottoir avec l’émission de 750 litres par minute.Les municipalités espèrent que les îlots de fraîcheur constituent une solution de rafraichissement, permettant de détourner les habitants du streetpooling.

En savoir plus sur Suez
SUEZ, accompagne les collectivités et les industriels dans la gestion des services de l’eau, des déchets et de l’air. A ce titre, le Groupe produit de l’eau potable pour 66 millions de personnes dans le monde, créé 2 millions de tonnes de matières premières secondaires par an et 3,1 TWh d’énergie renouvelable à partir des déchets. Le groupe accueille 35 000 collaborateurs, notamment en France, en Italie, en Europe Centrale, en Afrique, en Asie et en Australie. Avec un chiffre d’affaires de plus de 7,5 milliards d’euros en 2021 avec de fortes perspectives de croissance. Le groupe s’appuie sur un Consortium d’investisseurs constitué de Meridiam et GIP – à hauteur de 40 % du capital chacun – et du Groupe Caisse des Dépôts et Consignations à hauteur de 20 % du capital dont 8 % pour CNP Assurances, pour poursuivre son développement en France et à l’international.
MH


Eau, Suez lance une appli, sur la qualité de l’eau, partout en France

La multiplication des explosions de bouteilles de protoxyde d’azote pose de plus en plus de problème au sein de l’Usine de valorisation énergétique (UVE) de Vedène. Ce gaz, aussi connu pour ses propriétés hilarantes, ne semble pas faire rire les responsables du site dont les fours d’incinération sont régulièrement mis à l’arrêt, perturbant ainsi le bon fonctionnement du traitement des déchets du territoire.

Depuis la fin de l’année 2020, les fours d’incinération de l’Usine de valorisation énergétique* (UVE) de Vedène doivent régulièrement faire l’objet d’arrêts en raison d’explosions de bouteilles de gaz de protoxyde d’azote.
Ce gaz, aussi connu sous les noms de ‘gaz hilarant’ ou ‘proto’, est un gaz d’usage courant utilisé dans la restauration (dans des cartouches pour siphon à chantilly notamment), les aérosols d’air sec ou les bonbonnes utilisées en médecine et dans l’industrie.
Détourné de son usage initial, il est parfois inhalé par des consommateurs qui recherchent un effet euphorisant et des ‘distorsions sensorielles’, ce qui présente des risques sanitaires avérés des risques immédiats comme l’asphyxie, la perte de connaissance, la désorientation comme l’explique la mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives.

Vente interdite aux mineurs
« En cas de consommations répétées et à intervalles rapprochés ou à fortes doses, de sévères troubles neurologiques, hématologiques, psychiatriques ou cardiaques peuvent survenir », précisent les services de la préfecture de Vaucluse dans un communiqué commun avec le Sidomra (le Syndicat mixte pour la valorisation des déchets du pays d’Avignon et le groupe Suez en charge de la gestion de l’UVE pour le compte du Syndicat dans le cadre de l’éco-pôle Novalie. Pour ces raisons, la vente de ces produits est interdite aux mineurs depuis 2021.

Des arrêts répétés aux conséquences lourdes
Au-delà d’un risque sanitaire, la pression du gaz de protoxyde d’azote dans les bouteilles, dix fois plus importante que celles des bouteilles de gaz habituelles, génère des explosions violentes et aux dégâts lourds lorsqu’elles se retrouvent dans les fours à haute température de l’usine de valorisation énergétique vauclusienne.

Depuis début 2021, les fours de l’unité de Vedène ont connu 11 arrêts consécutifs suite à des explosions de bouteilles de protoxyde d’azote.

Le phénomène sur le site de Vedène s’intensifie mois après mois : des dizaines de milliers de bouteilles ont été retrouvées dans les mâchefers d’incinération et les explosions sont presque quotidiennes. Depuis le 1er janvier 2021, l’unité de Vedène a subi 11 arrêts de fours consécutifs à ces explosions.  Des arrêts qui peuvent durer entre 4 et 7 jours et qui ont des répercussions organisationnelles et financières importantes.
En plus des réels risques pour la sécurité des équipes, ces incidents nécessitent des alternatives pendant la réparation des fours. Beaucoup de déchets doivent être redirigés vers des sites d’enfouissement pendant ces opérations (arrêt du four, réparation, redémarrage du four).

Encadrer la gestion des bouteilles de protoxyde d’azote
Pour garantir la sécurité des personnels et permettre d’assurer la continuité du service public de traitement et de valorisation des déchets, la préfecture de Vaucluse, le Sidomra et  Suez considèrent impératif « d’encadrer la gestion de ces déchets en s’assurant que ces bouteilles, lorsqu’elles sont collectées, ne soient pas dirigées vers l’UVE qui n’est pas autorisée à recevoir ces déchets, classés en déchets dangereux par le Code de l’environnement, mais vers la filière dédiée. »

La préfecture de Vaucluse, le Sidomra et Suez souhaitent mieux encadrer la gestion des déchets contenant du protoxyde d’azote afin de garantir la sécurité des personnels et permettre d’assurer la continuité du service public de traitement et de valorisation des déchets

Pour cela, « les services techniques de chaque collectivité pourraient constituer un moyen fiable de regroupement et de reprise dès lors qu’ils puissent être dotés d’un point de collecte de déchets dangereux, au même titre que d’autres bouteilles de gaz » précisent les services de l’Etat et les gestionnaires du site.

Alice Durand

*L’unité de valorisation énergétique de Novalie compte 3 lignes d’incinération d’une capacité de traitement de 6 tonnes par heure et 1 ligne d’incinération de 9 tonnes par heure. Chacune de ces lignes est composée d’un four, d’une chaudière et d’un dispositif de traitement des fumées. Lorsque les déchets brûlent, ils produisent de la chaleur, des fumées et des mâchefers. La chaleur issue de la combustion est valorisée en énergie électrique ou thermique. Les fumées sont traitées et les cendres qu’elles contiennent, neutralisées. Les mâchefers sont triés et valorisés. L’unité de valorisation énergétique est autorisée à traiter un total de 225 400 tonnes de déchets par an. Sa capacité de production énergétique annuelle est de 100 000 MWh électriques.


Eau, Suez lance une appli, sur la qualité de l’eau, partout en France

Guillaume Le Goff a été nommé directeur des territoires Provence-Alpes-Côte d’Azur-Auvergne-Rhône-Alpes pour l’activité ‘services aux entreprises’ de Suez.

Après 15 années passées dans le secteur du négoce, de la supply-chain et de la distribution de produits pétroliers, Guillaume Le Goff a rejoint le groupe Suez en 2014 en qualité de directeur d’agence de la Normandie pour l’activité recyclage et valorisation des déchets.

En remplacement de Bruno Lavigne, il dirige désormais une équipe de près de 600 collaborateurs engagées dans le recyclage et la valorisation des déchets à travers 5 agences régionales sur les deux territoires. Il a pour principales missions d’accompagner les entreprises et industriels dans leurs réflexions et à la mise en place d’actions concrètes en faveur de l’économie circulaire grâce aux solutions et services proposés par Suez.

« Je suis ravi d’accompagner nos clients et parties prenantes dans la réduction de leur empreinte environnementale, grâce à des solutions tangibles de valorisation sous forme de matières et d’énergies », a-t-il commenté dernièrement. Au total, l’activité ‘services aux entreprises’ recyclage et valorisation compte plus de 9 000 clients, artisans, TPE mais aussi de grands groupes. Ils sont répartis sur tous les secteurs d’activité, de l’industrie au BTP, mais aussi dans les services, la distribution, la santé ou encore la logistique.

L.M.


Eau, Suez lance une appli, sur la qualité de l’eau, partout en France

Le syndicat Rhône-Ventoux vient de renouveler avec le groupe Suez le contrat de DSP (Délégation de service public) de l’assainissement collectif de son territoire. Cet accord, portant sur une durée de 10 ans à partir du 1er janvier prochain, concerne 31 communes vauclusiennes regroupant 110 000 habitants.
« Ce nouveau contrat résulte d’une procédure de mise en concurrence qui a duré 2 ans, explique Jérôme Bouletin, président du syndicat Rhône-Ventoux. Des objectifs forts ont été fixés par le syndicat comme celui de renforcer la présence humaine sur le terrain et d’améliorer la compétence et la performance technique pour une meilleure réactivité et efficacité. Nous avions également l’ambition de développer des actions concrètes en matière de développement durable et de renforcer l’accès aux informations d’exploitation pour assurer le pilotage du contrat en toute transparence avec un contrôle permanent, au bénéfice des usagers. »
Dans le détail, cette DSP concerne la collecte, via 607 km de réseau, et la dépollution de 4 375 000m3 d’eaux usées pour le compte de 48 000 usagers. Pour cela, 32 stations d’épuration et 140 postes de relevage sont nécessaires.

Solidarité & Environnement
Ce contrat comprend notamment la création d’un fonds de solidarité de 25 000€ par an pour soutenir les familles en difficultés et la mise en place d’un numéro d’appel unique à compter du 1er janvier 2022.
Par ailleurs, une contribution à la transition écologique du territoire grâce à de nouvelles solutions environnementales telles que la réutilisation des eaux usées pour l’arrosage des terres agricoles, la mise en place de panneaux photovoltaïques sur les stations d’épuration de Monteux et de Carpentras, permettant une réduction de 25% des consommations d’électricité, et une valorisation de 100% des graisses et sables issus de la collecte et du traitement des eaux usées, sur le territoire d’ici 2024. Plus de 1 600 tonnes de sables seront ainsi revalorisées en matériaux de terrassement.
« Nous avons mis toute notre expérience et notre savoir-faire au service d’une ambition forte, à la hauteur de l’image de ce territoire et de notre histoire commune, se félicite Laurence Perez, directrice régionale Provence-Alpes-Côte d’Azur de Suez. Cela se traduit par l’engagement des femmes et des hommes de Suez qui vivent sur ce territoire, participent à sa vie et sont fiers de contribuer à l’amélioration de leur cadre de vie. »

La station d’épuration des eaux usées de Carpentras. © Norman Kergoat

Eau, Suez lance une appli, sur la qualité de l’eau, partout en France

Les ruches Natupol de Koppert sont désormais fabriquées à partir de 85% d’emballages plastiques recyclés. «Cela nous rapproche un peu plus de notre mission, qui consiste à remplacer les plastiques non renouvelables par des matériaux écologiques et à éliminer les déchets pour les producteurs, déclare Jonathan Gerbore, responsable du service Innovation & Développement Koppert France. Notre fournisseur situé aux Pays-Bas déclare qu’il «réduit l’impact environnemental de plus de 55 % et diminue l’empreinte CO₂ de près de 52 %, par rapport aux produits traditionnels en plastique vierge». Le service R&D travaille actuellement sur la fabrication de ruche 100% recyclables ou compostables. Une solution innovante pour Koppert qui vise le zéro déchet à l’horizon 2030.

L’idée ?

L’idée est de récupérer –via la société Suez- et de revaloriser les déchets que les ruches peuvent générer et de répondre à la demande des producteurs qui doivent respecter un cahier des charges environnemental strict. Les processus systématiques de gestion des déchets et de recyclage minimisent la consommation de matériaux et réduisent la quantité de déchets à éliminer. «L’avantage pour les producteurs ? Ils n’ont pas à se soucier de la gestion de leurs déchets, puisque Koppert leur fournit une benne –qui peut contenir 600 ruches- que la société Suez prendra en charge une fois pleine pour entrer dans un réseau de revaloriser leur énergie –sous forme de chaleur ou d’électricité- et intégrer l’économie circulaire. La transformation d’une ruche en énergie produit 16h d’électricité. Depuis 2018, Koppert a revalorisé 30 000 ruches soit 9 000 ruches par an. Koppert veut également étendre ce dispositif aux petits producteurs.

Koppert vise la conception de ruches 100% recyclables

Dans le détail

La ruche Natupol standard est adaptée à une grande variété de cultures sur une superficie allant jusqu’à 2 000 m² et avec une floraison hebdomadaire de 25 à 35 fleurs par m². Les ouvrières –Bourdons- se mettent à polliniser la culture dès qu’elles sont libérées. Elles sont ensuite aidées d’autres ouvrières nées dans les semaines suivant leur introduction. Les ruches Natupol sont conçues selon le principe Beevision : la visibilité optimisée des ruches dans les cultures, basée sur la manière dont les bourdons voient les objets qui les entourent. Les bourdons peuvent ainsi retrouver plus facilement leur ruche et ont moins tendance à se perdre dans la serre pour une pollinisation accrue.

En savoir plus

Koppert Biological Systems est un des leaders mondiaux des biosolutions et de la pollinisation naturelle depuis plus de 50 ans proposant produits et services dans plus de 100 pays. Son siège social se situe aux Pays-Bas et compte plus de 1700 collaborateurs dans le monde. Koppert France a été créée en 1984 et couvre le territoire national via 5 agences situées à Cavaillon, Plan d’Orgon, Agen, Nantes et Villeneuve l’archevêque.

Autre article évoquant l’apiculture et les abeilles ici.


Eau, Suez lance une appli, sur la qualité de l’eau, partout en France

Faire ingénierie‘, spécialisée dans le conseil et les études techniques orientés vers la performance industrielle durable, investit en Vaucluse. Créée en Occitanie en août 2020, la start-up traverse le Rhône pour s’implanter dans le département afin d’y développer son activité grâce aux infrastructures logistiques et au tissu industriel du département.

De Bagnols-sur-Cèze à Sorgues

« Pour des raison de praticité et de réseau, nous souhaitions nous rapprocher du Vaucluse, le changement du siège social sera effectif à compter du mois de juillet », explique Sébastien Gavelle, président de ‘Faire ingénierie’ et cadre technique dans l’industrie. La société a vu le jour à Bagnols-sur-Cèze et outre la volonté de se rapprocher de ses clients actuels (Suez Rv, Iter.. ), ‘Faire ingénierie’ cible également de nouveaux marchés locaux, notamment dans les secteurs de l’agroalimentaire et des cosmétiques. L’entreprise, installée à Sorgues depuis le début de l’année, poursuit son déploiement, avec l’extension de ses bureaux au Saphir (90 m2) effective au 1er juillet.

« Notre objectif est d’apporter une performance industrielle durable, aider les industries locales à améliorer leur productivité et optimiser leurs process tout en réduisant leur impact environnemental. Il s’agit concrètement de diminuer les émissions de gaz à effet de serre en proposant des solutions fiables et pérennes », explique le chef d’entreprise.

Des ingénieurs dédiés à l’ensemble du projet

« Nos convictions écologiques nous ont conforté sur le fait que, malgré la situation économique instable, nous devions nous lancer et aider les entreprises à initier la transition industrielle post-covid. » De jeunes ingénieurs avec une moyenne d’âge de 35 ans constituent principalement une équipe mixte de 10 personnes. La société prévoit par ailleurs le recrutement d’une vingtaine de nouveaux collaborateurs d’ici 3 ans. « Nous pouvons accompagner nos clients sur l’ensemble des projets en ingénierie, du conseil à l’étude en passant par la conception et le pilotage », explique Mathieu Molina, responsable des affaires commerciales.

Collaboration avec Suez

La société travaille actuellement pour Suez qui exploite, pour le compte du Sidomra, l’unité de valorisation énergétique des déchets à Vedène sur un projet d’amélioration de la gestion des eux de process. Le site est engagé dans une démarche de zéro rejet d’effluent liquide et de réduction de sa consommation d’eau. La convergence de ces deux sujets étant l’optimisation du recyclage des eaux de process.

« Nous les aidons à optimiser l’utilisation de leur eau de process, de façon à ce qu’ils les réutilisent au lieu de les rejeter. » ‘Faire ingenierie’ travaille également pour la société de tuyauterie industrielle Moscatelli, afin de rendre leurs équipements plus performants et vertueux pour l’environnement. La jeune structure, qui développe encore son réseau dans le Vaucluse, est à l’écoute de toutes les opportunités et est disposer à collaborer avec les acteurs phares du territoire, tel qu’Aroma Zone. « Nous rencontrons prochainement Sicaf cosmétiques à Carpentras et nous sommes en pourparlers avec Agapé Group à Sablet. »

4 axes de travail

L’activité de la société repose sur 4 axes distincts. Le premier consiste à intervenir dans la chimie et le mélange afin de réduire les rejets dans l’atmosphère et l’eau et ainsi améliorer le rendement. Axe numéro 2 : l’économie d’énergie. L’objectif est de travailler sur le système de production de façon à le rendre moins gourmand. « Nous aidons nos clients à établir une cartographie de leur consommation dans le but de l’optimiser ». Le troisième axe consiste à travailler sur l’outils de production en tant que tel, afin d’améliorer la fiabilité et le rendement des équipements. Dernier axe et non des moindres : accompagner les acteurs industriels dans leur transition digitale. « Nous installons par exemple des capteurs communicants. Ces derniers vont envoyer leurs informations à un système et l’analyse de ces données permettra une optimisation de l’utilisation de la machine. » Exemple concret : le capteur installé sur un moteur qui permet de connaitre la consommation instantanée et intervenir rapidement en cas de dysfonctionnement par le biais d’une alerte.

20 ans d’expérience

Pour réaliser à bien ses projets, la société peut s’appuyer sur la longévité et l’expertise aiguë de son président, ingénieur généraliste de formation. Fort de ces 20 années d’expérience dans le secteur industriel, dont 10 en tant que directeur maintenance et technique à Tetra Pak à Dijon, Sébastien Gavelle a par ailleurs exercé un temps à l’international. Après avoir occupé le poste de responsable de maintenance dans une fonderie en Mexique (FWF de Mexico), il devient chef de projet chez Eurenco, en charge de la modernisation du site du Sorgues. Un long curriculum vitæ que le président entend bien mettre à profit des entités industrielles vauclusiennes : « nous souhaitons nous inscrire comme acteur de l’ingénierie de développement durable en Vaucluse. » En savoir plus www.faireingenierie.fr.


Eau, Suez lance une appli, sur la qualité de l’eau, partout en France

C’est demain qu’aura lieu une importante coupure d’eau sur le territoire de la commune de Carpentras. Cette coupure générale programmée sera effectuée à partir de 6 heures du matin, le mardi 27 avril 2021, pour une durée d’environ 24h. Elle intervient dans le cadre d’importants travaux nécessaires à la sécurisation de l’alimentation en eau potable de Carpentras réalisés pour le compte du Syndicat Rhône Ventoux qui assure la compétence eau potable dans 37 communes vauclusiennes regroupant plus de 180 000 habitants.
Outre la fiabilisation de l’alimentation en eau potable de Carpentras, cette intervention s’inscrivant dans le cadre d’un investissement de 1M€ vise également vise aussi à limiter le risque de casses imprévues ainsi que de lutter contre les fuites.

En quoi consistent ces travaux ?
Il s’agit de procéder au raccordement d’une conduite en diamètre 600mm datant de 1976, dont 700 mètres linéaires ont déjà été renouvelés sur la commune de Bédarrides. Ce chantier nécessite de détruire de grosses butées bétons, de la taille d’un petit bâtiment, qui servaient à caler l’ancienne conduite, sujette à d’énormes poussées lors des démarrages de pompes. C’est pour cela que la coupure du 27 avril fera l’objet d’une durée exceptionnelle.
« Cette canalisation, absolument majeure pour l’alimentation en eau potable de la Ville de Carpentras puisqu’elle alimente le réservoir de la Gardy, est actuellement située sur un terrain agressif, qui favorise sa corrosion, explique le Syndicat ainsi que la municipalité de Carpentras. Ces dernières années, de nombreuses casses ont été recensées sur ce secteur. »

Qu’elles sont les zones impactées ?
Ces travaux entraîneront des perturbations sur le réseau d’eau potable puisque la grande majorité de la ville de Carpentras ne sera plus alimentée en eau, à l’exception des quartiers situés au nord-est de la commune (voir carte ci-dessous). Cette répartition géographique s’explique par la configuration du réseau et les possibilités de sectionnement qui en découlent. Le Syndicat Rhône Ventoux et la ville de Carpentras ont notamment choisi d’assurer le maintien d’une alimentation continue du Pôle Santé pour permettre la continuité des soins.

Cette carte ci-dessous présente en rouge, les secteurs qui ne seront pas alimentés en eau potable. Les usagers habitant dans la zone bleue auront de l’eau au robinet mais devront en faire un usage modéré durant la journée du 27 avril.

Que faire avant et pendant la coupure ?
Compte tenu de la durée de cette coupure, les usagers sont invités à prendre leurs dispositions pour s’organiser en conséquence. Il est par exemple possible de constituer quelques réserves en remplissant quelques jours avant, des bouteilles et des seaux d’eau pour les usages quotidiens (boire, se laver les dents, faire sa toilette, aller au WC).
Par ailleurs, le jour de la coupure, les usagers non impactés par la coupure seront alimentés de manière exceptionnelle par d’autres ressources du Syndicat. Ils sont cependant inviter à faire un usage limité durant cette journée.

Et après les travaux ?
Lors de la remise en eau, la distribution peut-être temporairement perturbée avec la présence d’eau colorée ou d’eau trouble (présence d’air dans les conduites ou remise en suspension de fines particules de dépôt.Il est donc conseillé d’ouvrir légèrement votre robinet d’eau froide pendant quelques minutes, jusqu’à ce qu’elle redevienne limpide.

Voici quelques points de repère si besoin :

L’eau est rougeâtre ou de couleur rouille : Cette couleur de l’eau est due, dans la plupart des cas, à la présence de particules d’oxyde de fer. Cette perturbation peut provenir de sur-vitesse lors de la remise en eau d’une conduite après travaux. L’eau qui circule dans les canalisations en dissout imperceptiblement des particules, le plus souvent des alliages de fer. Il se forme alors un dépôt ferrique à l’intérieur des canalisations. Lorsqu’un très fort débit accélère le mouvement de l’eau, c’est ce dépôt, emporté et mis en suspension dans l’eau, qui donne une couleur rouge, rougeâtre ou rouille, à l’eau qui arrive à votre robinet.
Dans ce cas, nous vous invitons à laisser couler quelques instants l’eau jusqu’à un retour à la normale et de ne pas utiliser les premiers litres pour des usages alimentaires.

L’eau est blanche : c’est la présence d’air qui donne à l’eau cette coloration blanche. La remise en service d’une canalisation, après travaux sur le réseau est souvent à l’origine de la présence d’air dans le réseau. Une eau ‘blanche’ est consommable immédiatement et sans aucun risque : il suffit de la laisser reposer quelques instants dans un verre ou une carafe pour qu’elle retrouve une transparence normale.

L’eau coule lentement ou le débit d’eau au robinet est faible : de nouveau, la présence d’air et d’éventuels dépôts dans la conduite suite à la remise en eau peuvent être à l’origine de ses perturbations en constituant un ‘frein’ (perte de charge ou accumulation) à la bonne circulation de l’eau dans les conduites des réseaux de distribution. Il est recommandé de ne pas consommer l’eau pour l’alimentation et la boisson jusqu’à retour à une situation normale.

Si le problème persiste, contacter le service de l’eau pour une intervention.


Eau, Suez lance une appli, sur la qualité de l’eau, partout en France

Du 25 janvier à fin mai 2021, Eau Grand Avignon va réaliser d’importants travaux sur le réseau d’eau potable sur le tour intérieur des remparts, entre la porte Saint-Lazare et la porte de la Ligne.

Ces travaux, d’une durée de 4 mois, s’inscrivent dans le cadre du renouvellement et de la modernisation débutée en 2006 par le Grand Avignon de la canalisation d’eau potable existante entre le champ captant de la Saignonne (forages d’alimentation d’Avignon) et le réservoir du Rocher des Doms.

En tout, cette canalisation de 700mm de diamètre, représentant la colonne vertébrale de l’alimentation en eau potable d’Avignon, s’étend sur près de 8 kilomètres. A ce jour, il ne reste plus que 1 100 mètres linéaires à remplacer qui le seront donc durant cette opération dont le coût est évalué à 1,6M€.

Datant des années 1930/1940, cette canalisation a cédé plusieurs fois dans ce secteur durant ces dernières années en raison de sa vétusté. Ainsi, en septembre 2016 puis en février 2018, ce tuyau d’approvisionnement en eau du cœur de la cité des papes s’était rompu entraînant de spectaculaires inondations de la chaussée nécessitant des travaux d’urgence.

 

Quelles conséquences pour les riverains ?

La 1re phase de ce chantier aura lieu du 25 janvier au 12 mars 2021, entre la porte Saint-Joseph et la porte Saint-Lazare. La canalisation existante de 700 mm sera remplacée par une nouvelle en fonte ‘made in France’.

« La circulation et le stationnement des véhicules seront impactés sur ces rues, et des déviations par les rues adjacentes seront mises en place, explique Eau Grand Avignon dont la gestion est assurée par le groupe Suez. Un document d’information est distribué aux riverains. Les autres phases qui suivront jusqu’à fin mai 2021, seront précisées ultérieurement. »

Ces travaux ne devraient pas avoir d’impacts sur la distribution de l’eau potable pour les usagers, mais, en raison de leur ampleur, ils auront des impacts sur leur circulation au quotidien puisque la rue Rempart Saint-Lazare sera mise en impasse et accessible aux seuls riverains.

Un cheminement pour les piétons sera également mis en place tout au long du chantier, de part et d’autre des travaux.

Pour les riverains utilisant un garage ou un atelier dans l’emprise du chantier, il est conseillé de se rapprocher du chef de chantier ou de contacter par mail : eaugrandavignon@grandavignon.fr.

Dès le mois de février, des travaux seront également réalisés entre la porte de la Ligne et la porte du Rocher des Doms en extra-muros, par la mise en œuvre d’un tubage sur cette portion de la canalisation. Selon Eau Grand Avignon, « ils ne devraient pas avoir d’impact majeur sur la circulation ».

 


Eau, Suez lance une appli, sur la qualité de l’eau, partout en France

Jérôme Abbatista vient d’être nommé directeur d’Agence Drôme Ardèche Vaucluse pour l’activité ‘Recyclage et valorisation service aux entreprises’ de Suez.

Agé de 43 ans, diplômé d’une école de commerce, Jérôme Abbatista a débuté sa carrière chez SPIT comme Key Account Manager avant d’occuper le poste de chef des ventes chez Chausson Matériaux. Il a intégré Suez en 2017 dans l’agence dont il prend aujourd’hui la direction, succédant à Samuel Perrissoud.

En tant que directeur d’agence, Jérôme Abbatista est en charge de veiller à la confiance de ses 2 000 clients pour lesquels l’agence collecte et valorise chaque année les déchets industriels et commerciaux. A ce titre, il assure de nombreuses missions telles que la mise en place des standards métiers ou encore l’accompagnement des managers, sans oublier le pilotage de l’ensemble des enjeux commerciaux et le management de plus d’une centaine de personnes.

https://echodumardi.com/tag/suez/page/2/   1/1