22 juillet 2024 |

Ecrit par le 22 juillet 2024

Berto, KP1 et Eurenco dans le top 10 régional des leaders de l’innovation 2024

Pour la seconde année consécutive notre confrère Les Echos vient de dévoiler son palmarès des 200 entreprises françaises leaders de l’innovation en 2024 établi en partenariat avec Statista. Parmi ces sociétés bien établies, ces ETI (Entreprise de taille intermédiaire, ces start-ups et autres licornes, figurent 3 entreprises vauclusiennes.

Ainsi, l’avignonnais KP1, qui figurait déjà sur le podium de l’année précédente (3e), se classe en 83e position de ce classement destiné à établir les contours « de l’innovation made in France pour mieux en sentir les lignes de force, les secteurs et entreprises championnes de la R&D, de la créativité technologique ou servicielle. »
Le spécialiste français de la préfabrication et la poutrelle en béton précontraint, qui a inauguré l’an dernier son nouveau siège social dans le quartier de Saint-Chamand, apparaît en 5e position au niveau régional. L’entreprise, qui a vu le jour il y a plus de 60 ans à Pujaut, consacre entre 2% et 3% de son chiffre d’affaires annuel à la R&D (Recherche et développement).

Particulièrement mobilisée pour décarboner sa production, KP1, dirigé depuis 2021 par Vincent Linchet, a notamment déposé près d’une centaine de brevets dans les domaines de la résistance mécanique, de la conformité aux réglementations sismiques et thermiques, des grandes portées…
En 2022, la société, qui regroupe 1 700 collaborateurs répartis dans une quarantaine de sites en France a réalisé un chiffre d’affaires de 330M€.

L’avignonnais KP1 est le spécialiste français de la préfabrication et la poutrelle en béton précontraint. ©DR/KP1

Dans ce classement national dominé par l’éditeur de logiciel Lex persona basé dans l’Yonne, la seconde entreprise vauclusienne à apparaître est Eurenco (99e position nationale et 7e position régonale). Implantée à Sorgues, elle a, elle-aussi, inauguré son siège social l’an dernier après l’avoir transféré dans le département depuis Massy en région parisienne. Leader européen des poudres et explosifs, le groupe dirigé par Thierry Francou est spécialisé dans la fabrication d’explosifs et d’additifs pour carburants destinés aux marchés civils et de la défense. La société intervient notamment dans la production des obus destinés aux canons Caesar qui s’illustrent actuellement aux mains des artilleurs ukrainiens dans le conflit avec la Russie.

Le groupe, qui recrute activement, s’est également associé à la CCI de Vaucluse afin d’ouvrir depuis novembre dernier une formation pyrotechnie sur le campus consulaire d’Avignon.
Installée aussi à Bergerac, en Belgique et en Suède, Eurenco emploie plus de 1 200 personnes pour un chiffre d’affaires en hausse de +30% en 2022 et espère atteindre 600M€ d’ici 2025.

Le site de production de Sorgues du leader européen des poudres et explosifs. ©Eurenco

Enfin, c’est l’entreprise avignonnaise Berto, leader français de la location de véhicules industriels avec conducteurs, qui clôture cet excellent millésime 2024 pour l’innovation en Vaucluse. Le groupe implanté dans la zone de Courtine est classé 165e au niveau national (9e en Paca) du palmarès Les Echos.

Aujourd’hui dirigé par Adrien Berto, qui a repris les rênes de l’entreprise familiale en devenant président du directoire de Berto depuis l’automne dernier, la société créée en 1963 vient de célébrer son 60e anniversaire. Le nouveau dirigeant, qui représente la 3e génération de la famille, a d’ailleurs été aussi désigné lauréat 2023 du prestigieux classement ‘Choiseul Sud’ de l’Institut Choiseul distinguant « les jeunes leaders économiques qui contribuent activement au dynamisme et à l’attractivité de la région sud de la France ».

Berto compte  5 100 collaborateurs, dont 4 100 conducteurs, et dispose de 15 000 véhicules proposé dans 82 implantations à travers le monde. L’entreprise avignonnaise devrait réaliser un chiffre d’affaires prévisionnel 2023 de l’ordre de 510M€.

Le groupe avignonnais Berto dispose d’un parc de 15 000 véhicules disponibles dans ses 82 agences. ©DR/Berto

Berto, KP1 et Eurenco dans le top 10 régional des leaders de l’innovation 2024

Comme un air de déjà-vu ? L’une des critiques revenant souvent à propos du Festival de Cannes est qu’il fait souvent la part belle aux mêmes cinéastes, tandis que les réalisatrices sélectionnées, elles, se font plutôt rares. 

L’édition 2024, qui se déroule du 14 au 25 mai, ne fait pas exactement figure d’exception. Sur les vingt-deux longs-métrages en compétition, seuls quatre ont été réalisés par des femmes : « All We Imagine As Light », de l’Indienne Payal Kapadia, « Bird » de la Britannique Andrea Arnold, « Diamant Brut » de la Française Agathe Riedinger, et « The Substance » de Coralie Fargeat, également française. Les films réalisés par des femmes ne représentent ainsi que 18,2 % de la sélection officielle du festival cette année ; c’est moins que l’année dernière, où six des dix-neuf films en compétition avaient été réalisés par des femmes (soit environ un tiers). 

Comme le montre notre graphique, qui revient sur la présence féminine au Festival de Cannes de 1946 à 2024, il a fallu attendre le début des années 2000 pour que les femmes se voient garantir au moins quatre des neuf places au sein du jury. Depuis, la parité est globalement respectée parmi les jurés, mais c’est encore loin d’être le cas concernant les cinéastes sélectionnés. Malgré les progrès récents, la présence de réalisatrices dans la sélection officielle est restée ultra-minoritaire : seuls 12 % des films présentés au festival de 2003 à 2023. 

Le nombre de réalisatrices reparties de Cannes avec une Palme d’or se compte quant à lui toujours sur les doigts d’une main : trois en sept décennies. En 2021, la Française Julia Ducournau a reçu la prestigieuse récompense pour son second long-métrage « Titane », cinq ans après que son premier long-métrage, « Grave », ait reçu le Prix FIPRESCI au Festival de Cannes de 2016, et l’année dernière, c’est une autre Française, Justine Triet, qui a reçu la Palme d’or pour « Anatomie d’une chute ». La Néo-Zélandaise Jane Campion avait quant à elle été la première femme à recevoir la Palme d’or en 1993 pour son film « La Leçon de piano », prix reçu ex æquo avec le réalisateur chinois Chen Kaige pour « Adieu ma concubine ».

De Valentine Fourreau pour Statista


Berto, KP1 et Eurenco dans le top 10 régional des leaders de l’innovation 2024

De tous les pays producteurs d’énergie nucléaire au monde, la France est celui qui compte le plus sur cette source d’énergie pour produire de l’électricité. En 2022, les centrales nucléaires françaises ont fourni en moyenne 63 % de l’électricité produite à l’échelle nationale. Seuls deux autres pays affichent une part du nucléaire supérieure à 50 % dans leur mix électrique : la Slovaquie (59,2 %) et l’Ukraine (55 %). Pour cette dernière toutefois, la valeur indiquée est celle de l’année 2021. En effet, depuis que la Russie a envahi l’Ukraine, en février 2022, l’Agence internationale de l’énergie atomique ne reçoit plus de données précises sur l’utilisation de l’énergie nucléaire dans le pays, et certains réacteurs ont été mis à l’arrêt en raison du danger causé par la proximité des combats.

Comme le montre notre carte mondiale ci-dessous, l’utilisation de l’énergie nucléaire est la plus répandue dans l’hémisphère nord et en particulier en Europe, où l’on trouve de loin le plus grand nombre de pays producteurs d’énergie nucléaire. Au sud de l’équateur, seuls trois pays, l’Argentine (5,4 % du mix électrique), le Brésil (2,5 %) et l’Afrique du Sud (4,9 %), exploitent actuellement des réacteurs nucléaires. À l’heure actuelle, les pays avec les projets de développement du nucléaire les plus importants sont situés en Asie : sur les 59 réacteurs en construction dans le monde en mai 2024, 25 étaient localisés en Chine et 7 en Inde.

De Tristan Gaudiaut pour Satista


Berto, KP1 et Eurenco dans le top 10 régional des leaders de l’innovation 2024

Les investissements massifs de la Chine en matière de robotique industrielle lui ont permis de se hisser parmi les nations les plus automatisées de la planète en l’espace de quelques années seulement. D’après la dernière étude de la Fédération internationale de la robotique, le nombre de robots opérationnels dans l’industrie manufacturière chinoise a atteint un ratio de 392 unités pour 10 000 employés en 2022, soit une densité qui a quadruplé depuis 2017 et qui est désormais similaire à celle de l’industrie japonaise. La Chine occupe actuellement le cinquième rang mondial, derrière la Corée du Sud (1 012 robots pour 10 000 employés), Singapour (730), l’Allemagne (415) et le Japon (397).

Comme le met en avant notre infographie, la Chine et la Corée du Sud sont les pays ayant le plus progressé dans la course à l’automatisation industrielle ces dernières années. En Europe, la densité de robots a connu un bond particulièrement marqué dans l’industrie suisse, avec un ratio qui a plus que doublé entre 2017 et 2022 — passant de 129 à 296 robots pour 10 000 employés. En France, l’industrie manufacturière présentait toujours un niveau de robotisation inférieur à la plupart des industries européennes voisines : 180 robots pour 10 000 employés en 2022 — contre, par exemple, 216 en Belgique (et Luxembourg) et 219 en Italie. Parmi les pays voisins de l’Hexagone, seule l’Espagne se classait derrière cette année-là (169 robots pour 10 000 employés).

De Tristan Gaudiaut pour Statista


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Annoncé lundi 6 mai par le gouvernement, le nouveau plan de réduction de l’utilisation des pesticides en France (Écophyto 2030) est fortement critiqué par les associations de protection de l’environnement. Si l’objectif de réduction de 50 % de l’usage des produits phytosanitaires dans l’agriculture d’ici à 2030, affiché depuis 2008, est conservé dans le plan, le mode de calcul des quantités utilisées, lui, va changer, ce qui est décrié par les ONG environnementales. « [Le nouveau mode de calcul] a un effet masquant sur la quantité. Ce changement n’est pas honnête et jette le trouble sur ce plan », a notamment estimé Dominique Potier, député socialiste et rapporteur de la commission d’enquête sur le plan Ecophyto. Une des autres critiques du plan concerne l’enveloppe de 20 millions d’euros par an prévue pour aider les collectivités locales dans le traitement des eaux polluées, un chiffre qui, selon les professionnels du secteur, est très inférieur aux investissements nécessaires.

Dans une étude sur les « coûts cachés » des pesticides publiée en 2022, une équipe de chercheurs a estimé les montants engagés par les pouvoirs publics en France pour faire face aux impacts sanitaires et environnementaux néfastes de l’usage de ces produits en agriculture, ainsi que leurs frais de gestion (réglementation, etc.). D’après les calculs, les coûts sociaux attribués à l’utilisation des pesticides en France s’élèveraient au total à plus de 370 millions d’euros par an, ce qui correspond à la fourchette basse de l’estimation. Les coûts environnementaux sont de loin ceux qui pèsent le plus lourd dans la balance : plus de 290 millions d’euros par an, dont au moins 260 millions alloués rien qu’au traitement des eaux polluées par les produits phytosanitaires.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


Berto, KP1 et Eurenco dans le top 10 régional des leaders de l’innovation 2024

Après la guerre en Ukraine et l’inflation, l’économie mondiale peine à voir le bout du tunnel. Face aux incertitudes géopolitiques cette année, en particulier les craintes d’une escalade du conflit israélo-palestinien au Proche-Orient, le Fonds Monétaire International (FMI) a opté pour la prudence dans ses dernières prévisions publiées en avril. L’institution financière internationale a notamment revu à la baisse ses prévisions de croissance en 2024 pour les trois plus grandes économies européennes : de 1 % à 0,7 % en France, de 0,6 % à 0,5 % au Royaume-Uni et de 0,5 % à 0,2 % en Allemagne.

Pour rappel, après la publication des chiffres du PIB au premier trimestre 2024 en France (+0,2 %), le gouvernement français table lui toujours sur une croissance de 1 % en 2024. Une prévision jugée toutefois irréaliste par certains économistes. De son côté, la Banque de France table par exemple sur une croissance nationale à 0,8 %, soit un chiffre davantage en phase avec les dernières perspectives économiques du FMI.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


Berto, KP1 et Eurenco dans le top 10 régional des leaders de l’innovation 2024

D’après les chiffres publiés par l’Insee le 30 avril, le PIB de la France a progressé de 0,2 % au premier trimestre 2024, surpassant ainsi les prévisions de l’institut d’études économiques, qui tablait sur une croissance nulle pour les trois premiers mois de l’année. L’activité économique du pays a été portée par une augmentation de 0,4 % de la consommation des ménages (contre 0,2 % au dernier trimestre 2023) et une reprise des investissements (0,3 % au premier trimestre 2024, contre -0,9 % au trimestre précédent). Le ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique, Bruno Le Maire, a salué la nouvelle, ajoutant que cette progression du PIB traduit la « solidité » de l’économie française.

Comme le montre notre infographie, le PIB français a connu une croissance trimestrielle relativement stable entre 2000 et 2020. À l’exception notable de quatre trimestres d’affilée dans le rouge en 2008-2009, au moment de la crise économique mondiale causée par la crise bancaire de l’automne 2008, elle-même consécutive de la crise des subprimes de 2006-2007, le PIB de la France s’est majoritairement maintenu dans le positif au XXIe siècle. La crise sanitaire de 2020 l’avait cependant fortement impacté : il s’était contracté de plus de 13 % au second trimestre 2020, avant de connaitre un fort rebond au trimestre suivant. La croissance française a depuis été en dents de scie, mais elle n’a pas connu de recul depuis le premier trimestre 2022.

De Valentine Fourreau pour Statista


Berto, KP1 et Eurenco dans le top 10 régional des leaders de l’innovation 2024

À l’occasion de la Journée mondiale de la liberté de la presse, le 3 mai, l’ONG Reporters sans frontières (RSF) a publié son rapport annuel concernant l’état de la liberté de la presse. Ce dernier fait état d’une dégradation globale de la situation dans le monde. Alors que plus de la moitié de la population mondiale est appelée aux urnes cette année, RSF alerte sur le fait que « les États et des forces politiques, quel que soit leur bord, jouent de moins en moins leur rôle dans la protection de la liberté de la presse. Cette déresponsabilisation va parfois de pair avec une remise en cause du rôle des journalistes, voire une instrumentalisation des médias dans des campagnes de harcèlement ou de désinformation. ». Parmi les cinq indicateurs qui composent le score de l’indice, l’indicateur « contexte politique » est celui qui a le plus baissé en 2024, avec une chute globale de 7,6 points.

Comme le détaille notre carte, 36 pays ont été classés dans la pire catégorie de l’indice – la situation de la presse y est jugée « très grave ». 49 pays se trouvent dans une situation « difficile » et 50 « problématique », tandis que 52 pays présentent une situation « plutôt bonne » ou « bonne ». Les pays classés dans la meilleure catégorie de l’indice se comptent sur les doigts des deux mains : la Norvège, le Danemark, la Suède, les Pays-Bas, la Finlande, l’Estonie, le Portugal et l’Irlande. 

Parmi les pays où la liberté de la presse est la plus restreinte, on trouve en majorité des pays asiatiques, tels que l’Iran, le Vietnam et la Chine, où l’on dénombre notamment le plus grand nombre de journalistes emprisonnés en raison de leur travail. Tout en bas du classement, trois pays ont vu leur indicateur « contexte politique » dégringoler et affichent actuellement la pire situation globale : l’Afghanistan (-44 places au niveau politique) qui ne cesse de réprimer le journalisme depuis le retour au pouvoir des talibans en 2021, la Syrie (-8 places au niveau politique) et l’Érythrée (dernier rang global et dernier rang politique, -9 places).

De Tristan Gaudiaut pour Statista


Berto, KP1 et Eurenco dans le top 10 régional des leaders de l’innovation 2024

Dans un rapport publié au début du mois d’avril, l’agence européenne de coopération policière Europol dresse un constat inquiétant : le crime organisé n’épargne aucun pays d’Europe, et il représente « une menace majeure pour la sécurité intérieure » de l’Union européenne. L’analyse d’Europol, intitulée « Décoder les réseaux criminels les plus menaçants de l’UE », dresse un portrait inédit des réseaux criminels les plus menaçants d’Europe, et décrit en détail leur organisation, la nature de leurs activités criminelles, leurs lieux d’opération et leurs niveaux de contrôle territorial. 

Europol identifie 821 organisations criminelles « menaçantes » opérant actuellement dans l’Union européenne, qui comptent au total au moins 25 000 membres. Une large majorité d’entre elles (86 %) ont recours à une structure commerciale légale — par exemple par la création d’entreprises légitimes — pour dissimuler leurs activités criminelles, mais également pour faciliter le blanchiment d’argent généré par ces activités : 96 % des réseaux criminels présents dans l’UE blanchiraient ainsi eux-mêmes leur argent. Sans surprise, 68 % des organisations criminelles ont également recours à la violence ou à l’intimidation, tandis que 71 % ont recours à la corruption pour faciliter leurs activités criminelles.

Les groupes présents en Europe sont principalement originaires d’Albanie, de Belgique, de France, d’Allemagne et d’Italie, mais 68 % d’entre eux sont composés de membres venant de différents pays : au total, 112 nationalités sont représentées dans ces réseaux. Plus de trois quarts d’entre eux (76 %) opèrent dans 2 à 7 pays, tandis que le reste sont présents dans plus de 7 pays. 

Environ 50 % des organisations criminelles recensées par Europol sont principalement actives dans le trafic de drogue. Si le trafic de stupéfiants existe dans presque tous les pays de l’UE, les organisations criminelles y prenant part sont le plus souvent situées en Belgique, en Allemagne, en Italie, aux Pays-Bas, en Espagne, en Albanie et au Royaume-Uni, ainsi que dans plusieurs pays d’Amérique latine. Comme le souligne Europol, 82 % des réseaux criminels d’Europe se concentrent sur une activité criminelle principale. Au-delà du trafic de drogue, nombre d’entre eux pratiquent la fraude en ligne (50), le trafic de migrants (48), les cambriolages ou vols organisés (33), le vol de véhicules (19), ou encore le trafic d’êtres humains à des fins d’exploitation sexuelle (18).

L’ampleur du crime organisé en Europe mise en lumière par ce récent rapport a de quoi inquiéter, et la capacité de résilience des groupes qui y prennent part est frappante : d’après Europol, 34 % d’entre eux« sont actifs depuis plus de dix ans [et sont] capables de maintenir leur influence et leur pouvoir, même si leurs dirigeants et leurs membres sont détenus. »

De Valentine Fourreau pour Statista

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