1 avril 2025 |

Ecrit par le 1 avril 2025

Le marché mondial de l’IA pourrait dépasser les 500 milliards de dollars d’ici 2028

Du 6 au 11 février s’est tenu à Paris le Sommet pour l’action sur l’intelligence artificielle. La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, y a annoncé un plan d’investissement de 200 millions d’euros pour le secteur de l’IA européenne, « le plus grand partenariat public-privé du monde ». Celui-ci s’accompagne cependant de conditions, telles qu’une simplification drastiques des règles européennes qui encadrent l’intelligence artificielle, ainsi qu’une « réduction des lourdeurs bureaucratiques ». En clôture de l’évènement, Emmanuel Macron a quant à lui déclaré : « Nous avons besoin de continuer à faire avancer une gouvernance internationale de l’intelligence artificielle ». 61 pays ont d’ores et déjà signé une déclaration pour une intelligence artificielle « ouverte », « inclusive » et « éthique » ; les États-Unis et le Royaume-Uni ne font pas partie des signataires.

D’après les prévisions publiées par les Market Insights de Statista, le secteur mondial de l’IA pourrait dépasser les 500 milliards de dollars de chiffre d’affaires d’ici 2028, soit une multiplication par quatre par rapport à la taille du marché estimée en 2023. Les segments qui devraient connaître la plus forte croissance entre 2023 et 2028 sont l’apprentissage automatique, la robotique basée sur l’IA et le traitement automatique des langues, avec une croissance de plus de 200% attendue par les analystes du marché sur cinq ans (plus de 400% pour l’apprentissage automatique). Comme le montre notre infographie, l’apprentissage automatique est de loin le segment le plus important du marché : il pesait environ 38 % du chiffre d’affaires total du secteur en 2023, et cette part devrait grimper à plus de 50 % d’ici 2028.

De Valentine Fourreau pour Statista


Le marché mondial de l’IA pourrait dépasser les 500 milliards de dollars d’ici 2028

Interviewé récemment sur BFMTV, le ministre de la Justice Gérald Darmanin a suggéré la suppression la commission de magistrats chargée d’étudier les demandes d’OQTF émises par le gouvernement, afin d’expédier les procédures d’expulsion. Le garde des sceaux a également réitéré sa volonté de remettre en cause le droit du sol, et déclaré que le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, « a raison de vouloir expulser des gens (…) qui crachent sur la France ». Ces déclarations interviennent quelques jours après l’annulation par la justice administrative de l’expulsion de l’influenceur algérien Boualem Naman, dit « Doualemn », qui vit légalement en France.

D’après les données d’Eurostat, la France est le deuxième pays européen (voir graphique ci-dessous) ayant procédé au plus grand nombre d’expulsions de ressortissants étrangers en 2023 : 12 170, soit 11 % du total des renvois de l’Union européenne, derrière l’Allemagne, avec un peu près de 15 500 renvois (14 % du total de l’UE), et devant la Suède, avec un peu plus de 10 000 (9,3 %).

Avec près de 167 000 dossiers déposés en 2023, dont 145 000 nouveaux dossiers, la France était également le deuxième pays ayant reçu le plus de demandes d’asile en Europe, derrière l’Allemagne (351 510). La Suède, Chypre et la Pologne, entre autres, se distinguent quant à elles par un nombre élevé d’expulsions en rapport aux flux de demandeurs d’asile.

De Valentine Fourreau pour Statista

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Le marché mondial de l’IA pourrait dépasser les 500 milliards de dollars d’ici 2028

Célébration de l’amour ou fête commerciale ? Demain aura lieu la Saint Valentin. Autour du monde, certains offriront des fleurs ou des chocolats à leur âme sœur. D’autres choisiront sans doute de ne pas prendre part à cette fête kitchissime, décriée comme trop commerciale. Mais qu’en est-il des célibataires ? Peut-être profiteront ils de cette journée pour tenter de trouver l’être aimé.

Comme le montre notre infographie, basée sur des données compilées par Statista pour ses Market Insights, la France fait partie des pays européens comptant le plus d’inscrits sur des applications de rencontre. En 2024, la France comptait environ 7,2 millions d’utilisateurs d’applications de rencontre (pour une population d’un peu plus de 68 millions), soit un peu moins que l’Allemagne, qui en comptait 7,5 millions (sur une population de 85 millions). L’Espagne, fortement moins peuplée que la France (moins de 49 millions en 2024) comptait quant à elle 6,3 millions de cœurs à prendre à la recherche de l’amour sur les applications de rencontre.

D’après certaines données, les applications de rencontre seraient aujourd’hui la méthode de rencontre la plus commune en France : 20 % des personnes interrogées dans le cadre d’une enquête l’an dernier déclaraient y avoir rencontré leur partenaire. Pour ce qui est des applications préférées des Français, les utilisateurs interrogés par Statista en 2024 étaient 39 % à citer Badoo, 38 % Tinder, 26 % Meetic, et 24 % adopte (anciennement AdopteUnMec).

Quels sont les pires « red flags » sur les apps de rencontre ?
Par ailleurs, comme le montre une enquête menée l’an dernier par YouGov pour l’application de rencontre Fruitz, nombreux sont les comportements que nos concitoyens considèrent comme rédhibitoires lorsqu’il s’agit de trouver un partenaire en ligne.
Des 1 000 jeunes adultes (de 18 à 34 ans) interrogés, près de la moitié (49 %) disaient ainsi considérer les photos visiblement anciennes et la vulgarité dans la biographie comme des « red flags » – comprendre, des drapeaux rouges alertant d’une probable incompatibilité. En matière de photos, 46 % des répondants se disaient contre les photos avec des filtres, et 29 % disaient ne pas aimer les photos de groupes d’amis dont les visages sont cachés par des emojis ; 20 % mentionnaient comme repoussoir les photos à côté ou dans une voiture, et 19 % les photos à la salle de sport. La tenue vestimentaire jouait elle aussi un rôle important, puisque 43 % citaient comme red flag les photos sur lesquelles la personne est à moitié nue/torse nu, 25 % les photos en pyjama ou en tenue ostentatoire avec marques ou logos apparents, et 19 % les photos en jogging, tenue de sport ou maillot de foot. Enfin, certains comportements étaient aussi considérés par beaucoup comme rédhibitoires : 42 % citaient les photos en train de fumer, 30 % les photos en soirée, et 26 % les photos montrant la personne en train de consommer de l’alcool.

De Valentine Fourreau pour Statista


Le marché mondial de l’IA pourrait dépasser les 500 milliards de dollars d’ici 2028

Selon le baromètre annuel de la confiance politique du Centre de recherches politiques de Sciences Po (CEVIPOF), publié le 11 février, les Français se sentent aujourd’hui particulièrement pessimistes. Le climat général dans le pays est largement dominé par des sentiments négatifs : 45 % des personnes interrogées en janvier dans le cadre de l’enquête évoquaient la méfiance (+7 points de pourcentage par rapport à 2024), 40 % la lassitude (+4 points de pourcentage), et 30 % la morosité (+4 points de pourcentage) pour caractériser leur état d’esprit. À l’inverse, seulement 15 % disaient ressentir du bien-être, 14 % de la sérénité et 13 % de la confiance.

La France se distingue également de ses voisins allemands, italiens et néerlandais par son niveau de confiance extrêmement faible envers la politique et les institutions gouvernementales. Seuls 26 % des Français déclaraient ainsi avoir confiance dans la politique, contre 47 % en Allemagne et 39 % en Italie. D’après Bruno Cautrès, chercheur au CEVIPOF, ce malaise s’explique en partie par les crises politiques successives traversées par le pays en 2024 : « Le Rassemblement national gagne les européennes en sièges et les législatives anticipées en nombre de voix mais ne gouverne pas. Le Nouveau Front populaire gagne en sièges le second tour des législatives mais ne gouverne pas. Le troisième vainqueur, le front républicain, ne gouverne pas non plus. Des ministres qui siègent dans le gouvernement ont été battus à des élections. Le premier ministre n’a pas de mandat populaire. Les doutes exprimés sur notre fonctionnement démocratique sont très forts », souligne t-il. Seulement 28 % des personnes interrogées en France en janvier disaient ainsi estimer que la démocratie fonctionne bien, tandis que 78 % répondants disaient penser que la situation politique ayant résulté de la dissolution de l’Assemblée nationale peut être considérée comme « assez ou très grave ».

DE Valentine Fourreau pour Statista


Le marché mondial de l’IA pourrait dépasser les 500 milliards de dollars d’ici 2028

Le changement climatique et ses conséquences seront les principaux vecteurs de risques mondiaux à affronter au cours de la prochaine décennie. Telles sont les conclusions d’une étude menée par le Forum économique mondial à laquelle ont participé plus de 900 experts issus du monde universitaire, des affaires, de la politique et de la société civile, à qui l’on a demandé d’évaluer 34 risques mondiaux sur un horizon de deux ans et de dix ans.

Les experts pensent aujourd’hui que la désinformation et la mésinformation seront le risque le plus grave à affronter au cours des deux prochaines années. Lors de la plus récente campagne présidentielle aux États-Unis, Elon Musk a transformé son réseau social X en machine à propagande pour Donald Trump, et un flot de désinformation a inondé la plateforme. Le rapport note que « la prolifération de contenus faux ou trompeurs complique l’environnement géopolitique » : ces contenus peuvent par exemple être utilisés par des entités étrangères afin d’influencer les électeurs d’un pays, ou encore semer le doute sur ce qui se passe dans les zones de conflits.

À l’horizon de dix ans, la désinformation devrait rester une menace majeure, mais les quatre risques mondiaux les plus graves devraient tous être liés au changement climatique. Le graphique ci-dessous illustre bien la différence entre ce que les experts considèrent comme les risques à court terme et les défis auxquels sera confronté la planète à long terme.

En conclusion, le rapport souligne qu’en 2025, les perspectives mondiales sont de plus en plus fracturées par des facteurs géopolitiques, environnementaux, économiques et sociaux, et ajoute : « Il semble que nous vivions l’une des périodes les plus divisées depuis la guerre froide. »

De Valentine Fourreau pour Statista


Le marché mondial de l’IA pourrait dépasser les 500 milliards de dollars d’ici 2028

Le nouveau Premier ministre François Bayrou, nommé en décembre par Emmanuel Macron, vient de prononcer sa déclaration de politique générale devant l’Assemblée nationale. Budget, sécurité européenne, Ukraine : le Premier ministre a dressé sa feuille de route pour les mois à venir. Il a ainsi déclaré vouloir remettre en chantier la réforme des retraites, et a appelé les partenaires sociaux à rouvrir les négociations dès vendredi afin de trouver au plus vite un accord « socialement plus juste ». Le Premier ministre a assuré être prêt à négocier jusqu’à l’âge de départ à la retraite, fixé à 64 ans dans la loi entrée en vigueur en 2023 malgré des mois de mobilisations.

Comme le met en avant notre carte, les retraités de certains pays d’Europe sont beaucoup plus menacés que d’autres par la précarité économique. D’après Eurostat, la pauvreté menace en moyenne 16 % des retraités européens. Ce taux correspond plus précisément à la proportion de retraités dont les revenus se situent en-dessous du seuil de risque de pauvreté, c’est-à-dire inférieurs à 60 % du revenu disponible national médian après prise en compte des transferts sociaux.

La situation est particulièrement préoccupante dans les pays baltes, où la part de retraités « à risque de pauvreté » atteint voire dépasse 40 %. En Allemagne, environ 20 % des retraités sont menacés par la précarité, soit un chiffre supérieur de 4 points à la moyenne de l’UE. Pour compléter leurs revenus, il est estimé que 11 % des retraités allemands (65-74 ans) sont obligés d’exercer un emploi, bien souvent des petits boulots.

Avec environ 12 % de retraités qui touchent moins de 60 % du revenu médian disponible, la France affiche l’un des taux les plus bas d’Europe, juste derrière la Slovaquie (10,1 %) et le Luxembourg (10,7 %). Même si de fortes disparités existent à l’échelle nationale (en fonction du sexe, des régions,…), cette statistique suggère que système de retraite français protège relativement efficacement les personnes âgées contre la précarité.

Quelle est l’espérance de vie en bonne santé à la retraite ?
Avec le pouvoir d’achat, les retraites sont l’un des thèmes politiques les plus débattus en France ces dernières années. L’espérance de vie de la population est un indicateur qui revient souvent dans les débats sur l’âge légal à fixer pour le départ à la retraite. En partant du principe que l’espérance de vie sans souffrir d’incapacité est encore plus pertinente, nous avons cherché à calculer le nombre d’années que les Européens peuvent espérer profiter de leur retraite en bonne santé.
En moyenne, dans les 29 pays européens présentés sur notre carte, l’espérance de vie en bonne santé après la retraite se situait autour de 12 ans en 2022 (UE-27 : 11,7 ans), pour un âge effectif moyen de sortie du marché du travail qui était de 63 ans.

Les Norvégiens, les Slovènes et les Luxembourgeois étaient ceux qui pouvaient espérer profiter de leur retraite en bonne santé le plus longtemps (15 à 16 ans en moyenne). Les Maltais, les Belges, les Français et les Suédois (14 à 15 ans) se situaient également au-dessus de la moyenne européenne. Dans le détail, les deux nations scandinaves, Malte, la Slovénie, la France et la Belgique, font partie des huit pays de la région étudiée qui affichent la plus longue espérance de vie sans incapacité après 65 ans. D’autres indicateurs, comme l’âge moyen de sortie du marché du travail, influencent également le nombre moyen d’années en bonne santé que l’on peut espérer vivre une fois retraité. Par exemple, c’est au Luxembourg et en Slovénie que l’on trouve l’âge effectif moyen de sortie du marché du travail le moins élevé (autour de 60 ans).

Les moins bien lotis sont les retraités baltes, portugais et roumains pour lesquels l’espérance de vie sans incapacité est inférieure à 10 ans. Elle descend même à moins de 7 ans en Estonie et à 5 ans en Roumanie. Ces moyennes nationales sont la conséquence d’une combinaison entre un âge moyen de départ à la retraite tardif (65 ans ou plus) et des indicateurs de santé médiocres au sein de la population.
Il est important de souligner qu’il s’agit de moyennes à l’échelle des pays et que les durées varient selon les catégories socioprofessionnelles et le niveau de vie. En France par exemple, si l’on regarde l’espérance de vie générale, les chiffres de l’Insee montrent que les ouvriers vivent en moyenne 6 ans de moins que les cadres, et que les 5 % les plus pauvres meurent en moyenne 13 ans plus tôt que les 5 % les plus fortunés.
Enrichi d’études plus fines sur l’espérance de vie en bonne santé selon les métiers, cet indicateur pourrait éventuellement permettre de construire des systèmes de retraite plus équitables et transparents.

De Valentine Fourreau et Tristan Gaudiaut pour Statista


Le marché mondial de l’IA pourrait dépasser les 500 milliards de dollars d’ici 2028

Le 7 janvier, Mark Zuckerberg, dirigeant du groupe Meta, maison mère de Facebook, Instagram et WhatsApp, a annoncé d’importants changements dans la politique de modération des contenus sur ses plateformes, avec notamment la fin de son programme de fact-checking. Les partenariats qui existent aujourd’hui entre Meta et plus de 80 médias dans le monde afin de lutter contre la désinformation devraient être remplacés par un système de notes d’internautes, inspiré de X/Twitter, le réseau social d’Elon Musk. La ministre déléguée en charge de l’intelligence artificielle et du numérique, Clara Chappaz, a annoncé sur X le 7 janvier avoir échangé avec la direction de Meta France, qui lui a assuré que cette fonctionnalité « ne sera déployée qu’aux États-Unis pour le moment ». Cette annonce est perçue comme un nouveau geste de la part de Mark Zuckerberg pour s’attirer les faveurs de Donald Trump, après un don d’un million de dollars au fonds de financement de sa cérémonie d’investiture.

Comme le montre notre infographie, le groupe Meta n’est pas étranger aux controverses, particulièrement en Europe. Depuis l’adoption du règlement général sur la protection des données (RGPD) il y a cinq ans, Meta a ainsi cumulé les amendes. Facebook, Instagram et WhatsApp, services du groupe dirigé par Mark Zuckerberg, ont reçu 6 des 10 plus grosses sanctions prononcées à ce jour. Cumulées, ces amendes représentent un total de plus de 2,7 milliards d’euros.

En mai 2023, l’autorité irlandaise de protection des données (DPC) avait infligé une amende record de 1,2 milliard d’euros au groupe Meta. La décision concernait le réseau social Facebook, à qui il était reproché le transfert de données personnelles d’internautes européens aux États-Unis. Cette amende sans précédent dans l’Union européenne dépassait de loin celle prononcée par le Luxembourg contre Amazon pour « non-respect des principes généraux de traitement des données » en 2021 (746 millions d’euros). 

Le cadre réglementaire du RGPD vise à donner aux utilisateurs un plus grand contrôle sur leurs données personnelles et impose de nouvelles normes à la gestion des données par les entreprises. Pour les contrevenants à ces règles, les sanctions sont souvent lourdes. Le RGPD a été mis en place le 25 mai 2018, en remplacement de la directive européenne sur la protection des données de 1995, et contient 99 articles. En décembre dernier, le suivi de CMR.Law a recensé plus de 2 200 violations individuelles du RGPD depuis sa mise en place, pour un total cumulé de près de 5,6 milliards d’euros d’amendes infligées — bien que les données soient probablement incomplètes puisque toutes les amendes ne sont pas rendues publiques.

De Valentine Fourreau pour Statista


Le marché mondial de l’IA pourrait dépasser les 500 milliards de dollars d’ici 2028

Chaque mois de décembre, comme d’autres services en ligne, Google dévoile une rétrospective des douze derniers mois de l’année, avec sa liste des requêtes les plus populaires sur son moteur de recherche. Il s’agit plus précisément d’une analyse des tendances basée sur la hausse des requêtes pour un sujet donné, d’une année sur l’autre. Notre infographie donne un aperçu des thèmes les plus populaires dans une sélection de catégories en France en 2024.

Parmi les tendances liées à l’actualité, les événements sportifs arrivent en tête cette année : les JO de Paris, l’Euro et la Coupe d’Afrique des Nations de football devancent ainsi l’élection présidentielle américaine. Parmi les athlètes les plus recherchés par les internautes, on retrouve notamment deux sportifs français ayant marqué les JO 2024 : le nageur Léon Marchand et le judoka Teddy Riner. Concernant les personnalités politiques, les ex-Premiers ministres Michel Barnier et Gabriel Attal devancent le président du Rassemblement national Jordan Bardella au classement des requêtes.

Enfin, comme le révèle également l’analyse des recherches « c’est quoi…? », les questions liées à l’avortement, aux polluants éternels (PFAS), à la variole du singe ou encore à la dissolution de l’Assemblée ont suscité un intérêt particulier cette année.

Consultez le classement de l’année dernière en cliquant ici.

De Tristan Gaudiaut pour Satista


Le marché mondial de l’IA pourrait dépasser les 500 milliards de dollars d’ici 2028

24 ou 25 décembre, quand avez-vous l’habitude d’ouvrir vos cadeaux de Noël ? Comme le révèle une enquête réalisée dans le cadre des Consumer Insights par Statista, les Français sont plutôt divisés au sujet de cette tradition : 38 % déballent leurs cadeaux la veille de Noël (dont 23 % à minuit précisément) et 28 % le lendemain, au cours de la matinée. Les Britanniques se répartissent également en deux groupes de taille à peu près égale concernant cette habitude : 34 % procèdent le soir du 24 décembre et 36 % le matin du 25 décembre. En revanche, les Allemands optent en grande majorité pour une ouverture des cadeaux durant le réveillon de Noël (22 % avant le dîner et 50 % après), tandis que les Américains sont eux les plus nombreux à déballer leurs cadeaux le 25 au matin (34 % avant le petit-déjeuner et 16 % après).

De Tristan Gaudiaut pour Statista

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