3 janvier 2025 |

Ecrit par le 3 janvier 2025

Jeux Olympiques : quelles chances de médailles vauclusiennes ? 

Les Jeux Olympiques 2024 qui se dérouleront à Paris débuteront officiellement ce vendredi 26 juillet. Avec 63 athlètes issus de la région PACA dont 7 vauclusien (es), les provençaux seront en force pour cet évènement majeur. Gros plan sur nos champions vauclusiens et leurs chances de médailles pour ces JO. 

La flamme va s’embraser pour de bon. Ce vendredi 26 juillet, les Jeux Olympiques de Paris 2024 débuteront officiellement avec une cérémonie qui se tiendra sur la Seine à 19h30. Parmi les 7000 athlètes qui défileront, on compte 7 vauclusiens qui défendront les couleurs de la France mais aussi qui représenteront leur département dans leurs disciplines. 

Les meilleures chances de médailles en BMX 

Le Vaucluse est définitivement une terre de vélos et de BMX. Avec plusieurs clubs de haut niveau à Pernes-les-Fontaines, à Cavaillon et surtout à Sarrians (là où l’équipe de France de la discipline a installé son camp d’entrainement une semaine avant les jeux) et surtout deux coureurs reconnus en la personne de Sylvain André (licencié à Cavaillon) et de Romain Mahieu (licencié à Sarrians), le département vauclusien sera bien représenté. 

Sylvain André, natif de la ville où il s’entraine, a déjà remporté de nombreux titres européens et mondiaux avec notamment un triplé de champion du monde, d’Europe et de France en juniors avant de décrocher plusieurs médailles de bronze entre 2012 et 2016 aux championnats d’Europe. Un titre de champion du monde vient récompenser son talent et ses efforts le 9 juin 2018. Quatre fois vainqueur des championnats de France entre 2019 et 2022, le vauclusien tentera d’aller chercher une médaille dans la seule compétition qui se refuse à lui : les Jeux Olympiques. 

Il est le grand favori côté français. Et à juste titre, en 2023, Romain Mahieu est devenu champion du monde de BMX devant deux compatriotes, Arthur Pilard et Joris Daudet, marquant ainsi de son empreinte son sport. Celui qui s’entraine au BMX llub de Sarrians s’avance avec une confiance maximale et des rêves de médailles plein la tête. À 29 ans, au zénith de sa carrière, en pleine possession de ses moyens et avec une préparation intense débutée depuis plusieurs mois, l’athlète français ne visera pas moins que l’or. 

De l’haltérophilie et du football 

Un autre espoir de médaille vauclusienne se présentera sur ces jeux en la personne de Marie-Joséphe Fègue. La native de Yaoundé, naturalisée française fin 2021, visera elle aussi la plus haute distinction dans sa discipline. Pour aller chercher l’or, la sextuple championne d’Europe de 33 ans, devra se surpasser et battre de solides concurrentes comme l’américaine Olivia Lynn ou Reeves ou l’équatorienne Angie Paola Palacios. Une épreuve pas insurmontable pour celle qui vit à Avignon avec sa famille depuis 2016 et qui disputera les premiers jeux de sa carrière. 

Le sport le plus populaire en France, à savoir le football offrira la chance à deux vauclusiens d’aller chercher la plus belle des médailles. Joris Chotard, milieu du MHSC, né à Orange fait partie de l’équipe française olympique emmené par le sélectionneur Thierry Henry. Avec un onze titulaire compétitif et un banc de touche bourré de talent, la médaille d’or semble à la portée de la sélection qui devra se méfier néanmoins de l’Espagne et de l’Argentine. Une quête qui a bien commencé avec une victoire 3-0 contre les USA à l’Orange Vélodrome pour le premier match de la compétition. Chez les femmes, Maëlle Lakrar, elle aussi. Native de la ville d’Orange, la défenseur centrale du Real Madrid et des Bleues tentera de ramener une médaille en Vaucluse. Emmené par Hervé Renard, la sélection française débutera sa compétition contre la Colombie ce jeudi 25 juillet. 

Pentathlon et Break 

Originaire de Pertuis, Jean-Baptiste Mourcia disputera également ses premiers jeux comme pentathlonien français. Champion d’Europe cadets en 2017 en individuel et par équipe, champion du monde junior en juillet 2019, le vauclusien tentera de défier les meilleurs athlètes de cette discipline et d’aller chercher une médaille historique. Pour cela, il devra exceller dans les 5 épreuves qui constituent son sport : l’escrime, la natation, l’équitation, le tir au pistolet et la course à pied. Début des épreuves le 8 aout. 

On reste à Pertuis avec Carlota Dudek qui pratique la danse accrobatique dans la commune depuis de nombreuses années. Elle va donc inaugurer la nouvelle discipline acceptée aux JO pour la première fois : le breaking. Le sépreuves auront lieux le 9 et le 10 aout à Paris. 

Tessa Martinez, pilote BMX vauclusienne sera elle remplaçante lors de ces Jeux Olympiques. La licenciée de Mormoiron sera appelée en cas de blessure d’une compatriote en équipe de France. 


Jeux Olympiques : quelles chances de médailles vauclusiennes ? 

Le jeudi 18 juillet, quelque 1 200 personnes se sont réunies autour de la piste de BMX de Sarrians, où l’équipe de France a effectué son dernier entraînement avant les Jeux Olympiques de Paris 2024, qui débuteront ce vendredi 26 juillet.

Le BMX se décline sous deux formes aux Jeux Olympiques : le BMX freestyle et le BMX racing. Ce premier est devenu une épreuve des Jeux Olympiques en 2021 à Tokyo, tandis que le second est au programme depuis les Jeux de Pékin en 2008. Cette année, les riders seront en compétition le 29 juillet pour le freestyle et le 1ᵉʳ août pour le BMX race. Les épreuves médaillées auront lieu les lendemains de ces journées de compétition.

L’équipe de France pourra alors mettre en pratique le fruit de plusieurs mois, et même plusieurs années, de travail. Son dernier entraînement, auquel le public a pu assister, a eu lieu le jeudi 18 juillet sur la piste de Sarrians, labellisée Centre de préparation aux Jeux. De quoi booster les coureurs pour la compétition. « Si un ‘petit village du Vaucluse’ est devenu la base arrière de notre belle équipe de France, nous le devons à l’Agence nationale du Sport et à la bienveillance de Yann Cucherat (manager de la préparation des Jeux), Renaud Muselier (président de la Région Sud), Dominique Santoni (présidente du Département de Vaucluse), Michel Callot (président de la Fédération Française de Cyclisme), David Lappartient (président de l’Union Cycliste Internationale), Christelle Jablonsky-Castanier (vice-présidente du Conseil départemental de Vaucluse en charge des sports), Hervé Liberman (président Commission Sport à la Région Sud) et aux entreprises qui dans l’ombre ont œuvré pour réaliser les travaux en 2024″, a déclaré Stéphane Garcia, président du BMX Club de Sarrians.

Yann Cucherat (manager de la préparation des Jeux), Christelle Jablonsky-Castanier (vice-présidente du Conseil départemental de Vaucluse en charge des sports), Florian Rousseau (directeur du programme olympique à la Fédération française de Cyclisme), Stéphane Garcia, (président du BMX Club de Sarrians), Anne-marie Bardet ( Maire de Sarrians) et Marie Thomas de Maleville (conseilère départementale du canton de Carpentras)

Comme à l’entraînement, les riders entameront la course en haut d’une bute de 8m et devront traverser la piste de 400m, composée de bosses et de virages serrés, le plus rapidement possible. Les compétiteurs devront mélanger vitesse et agilité lors de la course. Si les riders sont prêts pour la compétition, leurs supporters, eux, le sont tout autant.




Jeux Olympiques : quelles chances de médailles vauclusiennes ? 

Le Vaucluse est particulièrement connu à travers le monde par les pratiquants d’escalade pour le cadre et la qualité de ses sites. C’est pourquoi le Département souhaite développer cette activité en accompagnant davantage les acteurs et structures concernés.

En s’appuyant sur une commission partenariale qu’il anime et le Plan Départemental des Espaces Sites et Itinéraires (PDESI) des sports de pleine nature, le Département de Vaucluse souhaite pérenniser et qualifier les nombreux sites d’escalade, en assurant la sécurisation et le partage des activités, allié au respect de l’environnement.

Les sites de Buoux et Saint-Léger-du-Ventoux représentent bien cette dynamique. Le site de Buoux compte près de 800 voies et est aujourd’hui réputé mondialement, depuis le boum de l’escalade sportive dans les années 80. Tout comme le site de Saint-Léger-du-Ventoux, qui est composé de près de 600 voies, où l’une des plus grosses performances mondiales féminines a été réalisée en 2022. Pour ce dernier, le Département a financé des panneaux d’information et de sensibilisation dans le cadre de la structuration de l’accueil.

Via le Centre Départemental de Plein Air et de Loisirs, le Département propose des activités d’escalade assurées par une équipe d’éducateurs sportifs diplômés à Pernes-les-Fontaines et Sault. En 2023, 1 077 personnes ont pu prendre de la hauteur en toute sécurité, s’initier aux différentes techniques d’escalade ou se perfectionner grâce à cette équipe d’éducateurs sportifs.

Des aides pour les structures

Les nombreux sites d’escalade en Vaucluse sont fréquentés toute l’année, notamment aux intersaisons. Ils participent ainsi au fonctionnement de l’économie locale et à l’attractivité touristique du territoire. C’est pourquoi le Département souhaite développer l’activité en proposant des aides aux structures qui encadrent la pratique de l’escalade et aux collectivités.

En 2024, le Département a subventionné des clubs, des associations, mais aussi des communes pour les aider à améliorer l’encadrement de la pratique de l’escalade :

  • Subvention au Comité Départemental des Clubs Alpins Français de Vaucluse pour la mise en œuvre
  • de son programme d’activités et l’achat de matériels : 2 150€
  • Subvention au club d’escalade Sensabloc à Carpentras pour l’achat de matériels : 750€
  • Subvention à l’association Aptitudes pour l’événement Escala Buoux : 2 500€
  • Subvention à la Ville d’Entrechaux pour la conception et l’installation de panneaux signalétiques sur le site des Trois rivières : 3 370€
  • Subvention à la Ville d’Oppède pour la conception et l’installation de panneaux signalétiques sur son site d’escalade : 8 645€
  • Subvention au Club Alpin Français Avignon et Vaucluse pour l’entretien et l’équipement des voies d’escalade des Dentelles de Montmirail : 1 500€

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Jeux Olympiques : quelles chances de médailles vauclusiennes ? 

A dix jours du début des jeux olympiques 2024 qui se dérouleront à Paris, l’équipe masculine de gymnastique artistique du Canada a décidé de terminer sa préparation au sein des halles sportives Génicoud, gymnase labellisé centre de préparation aux J.O. Le mardi 16 juillet 2024, les athlètes ont effectué leur premier entrainement au sein du gymnase vauclusien en présence de la maire d’Avignon Cécile Helle et d’un public curieux. Attirée par les infrastructures à disposition et l’aspect culturel de la ville d’Avignon, la délégation canadienne effectuera une semaine d’entrainement jusqu’à dimanche avant de se rendre à Paris.

J-10. Le vendredi 26 juillet, les jeux olympiques 2024 qui se dérouleront sur le territoire national, à Paris, débuteront. Durant près de trois semaines, 32 sports présenteront 329 épreuves sportives durant lesquels des athlètes représenteront leurs pays et s’affronteront. Ça sera notamment le cas de l’équipe masculine de gymnastique artistique du Canada qui après une septième place en finale des derniers championnats du monde, tentera de ramener une ou plusieurs médailles dans le « grand nord blanc ».

Et pour préparer cette échéance mondiale, l’équipe canadienne a choisi Avignon pour y installer son dernier camp d’entrainement avant les jeux. Ce mardi 16 juillet, l’équipe nationale canadienne a effectué un entrainement ouvert au public et a été accueilli par la maire d’Avignon, Cécile Helle « notre délégation était déjà venue auparavant pour un stage de préparation aux championnats du monde ici, au CPJ Halles Génicoud et avait été impressionné par la qualité des infrastructures et du cadre offert par l’ANT et la ville d’Avignon. Ici on s’entraine sur du matériel Gymnova qui sera aussi celui qu’on retrouvera lors des épreuves à Paris, c’est un facteur important. L’idée c’était de pouvoir faire une dernière semaine avec des demis journées d’entrainement au calme, dans un lieu que les garçons connaissent et pouvoir profiter d’une ville culturelle pour se ressourcer avant le début des jeux » a déclaré Greg Jackson, gestionnaire de programme de la délégation canadienne.

L’impulsion de la Ville d’Avignon

Présente pour accueillir l’équipe canadienne dans les locaux, récemment inaugurées, la maire d’Avignon Cécile Helle s’est montré très satisfaite et fière qu’une nation olympique est choisie la cité papale comme lieu d’entrainement « c’est évidemment une immense fierté, on essaye d’inscrire la ville dans une dynamique sportive depuis 2014 et on a agit dans ce sens en faisant le pari de la requalification d’un certain nombre d’équipements sportifs et aujourd’hui ça porte ses fruits. Nous avions déjà accueilli l’équipe du Québec et elle a été notre porte-voix pour convaincre l’équipe de gymnastique masculine du Canada à venir ici » a réagit la maire de la ville.

Si Cécille Helle met l’accent sur la qualité et la requalification des infrastructures qui ont finit par séduire une équipe olympique en vue de sa préparation, c’est parce que la Ville d’Avignon a impulsé une politique sportive dynamique et innovante et n’a pas hésité à mettre les moyens pour offrir les meilleurs outils aux vauclusiens. C’est notamment le cas avec les Halles sportives Génicoud, situées au cœur du quartier Champfleury et inaugurées en 2020 « le gymnase Génicoud c’est aujourd’hui des halles avec quatre espaces destinés aux activités de gymnastique mais aussi aux arts du cirque, un autre aux parcours urbains et enfin un espace intergénérationnel. On a fait un gros travail pour mettre l’espace dédié à la gymnastique en configuration et qu’il soit homologué et qu’il puisse être identifié par les équipes internationales de gymnastique, je ressens également beaucoup de fierté car le club hôte, l’ANT gymnastique, avec Laurent Michelier, le directeur de structure sportive qui a été lui-même un grand champion et qui est à l’initiative de ce projet. L’ANT est un grand club sur le plan national et je trouve que c’est aussi une belle reconnaissance pour les efforts et le talent de ses adhérents qui font rayonner notre territoire » conclut Cécile Helle.

La maire d’Avignon, Cécile Helle qui remet un cadeau de bienvenue aux athlètes canadiens

Jeux Olympiques : quelles chances de médailles vauclusiennes ? 

À deux semaines du début des JO de Paris 2024, la capitale française se prépare à recevoir un afflux de visiteurs du monde entier. Outre les 10 500 athlètes, les 20 000 journalistes accrédités et les 45 000 bénévoles, des millions de spectateurs viendront à Paris dans les semaines à venir pour assister aux épreuves de la compétition. Le 11 juillet, le président du Comité d’organisation des JO de Paris a annoncé à l’AFP que 8,6 millions de billets avaient déjà trouvé preneur. L’olympiade parisienne a ainsi battu le record du nombre de billets vendus pour des Jeux, détenu jusqu’alors par les JO d’Atlanta (1996), qui en avait vendu 8,3 millions selon le Comité international olympique.

Il reste maintenant à voir si Paris 2024 parviendra à réaliser ce que ni Rio, Londres, Pékin ou Atlanta n’avaient réussi à faire : écouler tous les billets mis en vente pour l’évènement. Avec 97 % des billets disponibles vendus, Londres 2012 a été l’édition la plus proche de se dérouler à guichet fermé au cours des quatre dernières décennies, juste devant Pékin 2008 (96 %), tandis qu’Athènes 2004 a eu le plus grand mal à remplir ses stades et ses salles, avec seulement 71 % des billets vendus. À l’heure actuelle, 86 % des billets mis en vente pour les JO de Paris (hors Jeux paralympiques) ont trouvé preneur, mais les organisateurs restent confiants de pouvoir écouler la totalité des billets, soit 10 millions, d’ici la fin de l’évènement.

Quels billets coûtent le plus cher aux JO de Paris ?

Les Jeux olympiques de Paris 2024 vont débuter dans deux semaines. Si les épreuves de marathon natation et de triathlon, à l’origine prévues dans la Seine, pourraient être déplacées vers d’autres sites en raison de la pollution du fleuve, la compétition va malgré tout se dérouler avec la capitale française en toile de fond. Qu’il s’agisse des épreuves équestres organisées dans les jardins du Château de Versailles, du stade de beach-volley installé aux pieds de la Tour Eiffel ou des sports urbains récemment ajoutés (basket-ball 3×3, BMX, breaking et skateboard) accueillis dans un site temporaire sur la place de la Concorde, les spectateurs sportifs pourront admirer la beauté de la ville lumière. À condition d’avoir eu la chance d’obtenir des billets ou de pouvoir se les offrir.

La disponibilité de billets abordables a en effet fait l’objet de nombreuses discussions. Bien que des billets à 24 euros aient été disponibles pour chaque sport, ils étaient souvent limités aux premiers stades de la compétition et les fans ont dû dépenser beaucoup plus à l’approche de la cérémonie de remise des médailles pour la plupart des événements.

Les billets les plus chers pour les finales d’athlétisme, de natation et de basket-ball coûtent ainsi jusqu’à 980 euros, soit plus de 40 fois le prix des billets les moins chers disponibles pour chaque sport. À l’autre bout de l’échelle, certains événements ne coûtent que 24 euros, ce qui s’applique principalement aux événements en plein air que l’on peut également regarder gratuitement sur la voie publique, le long de la Seine ou, pour les spectateurs se trouvant à Tahiti, au célèbre spot de surf de Teahupo’o.

Si les prix mirobolants de certains événements ont suscité des critiques, il est important de noter que ces billets onéreux rendent possible le prix de départ très bas des billets. Selon le comité d’organisation, un million de billets ont été vendus à 24 euros, tandis que près de la moitié des 10 millions de billets disponibles ont été vendus à 50 euros ou moins.

De Tristan Gaudiaut et Valentine Fourreau pour Statista


Jeux Olympiques : quelles chances de médailles vauclusiennes ? 

Ça y est, les séances de Sport au Lac, offertes par l’ASL du Lac de Monteux, reprennent du service pour tout l’été 

Copyright ASL Monteux

Deux Coachs sportives, Julie Noyez et Géraldine Orange proposent un réveil musculaire pilates ou travail cardio adapté, tous les dimanches matin de cet été de 10h à 11h et tous les mercredis matin de 9h à 10h au Lac de Monteux. Les cours s’adressent à tous : familles, enfant, jeunes et seniors, sportifs confirmés, amateurs ou débutants. Chacun est le bienvenu.

Pour participer
C’est gratuit et sans inscription ! Il suffit de se présenter devant les tables de ping-pong, à côté du parc Fitness et du restaurant de la Dune, avec une bouteille d’eau, un tapis, une serviette et une casquette. Julie Noyez assurera les séances du mois de Juillet tandis que Géraldine Orange prendra le relais en Août. Objectif ? Se maintenir en forme, cultiver sa santé et son bien-être. « On vous espère nombreux cette année encore ! » sourient Julie Noyez et Géraldine Orange.

Les infos pratiques
Jusqu’au 25 août 2024. Tous les mercredis de 9h à 10h et tous les dimanches de 10h à 11h. Gratuit sans inscription. Venir avec une bouteille d’eau, un tapis, une serviette, une casquette. Tous niveaux et publics : enfants, jeunes, familles, seniors, débutants. Contact 09 63 50 60 49
MH

Sport avec l’Asl du lac de Monteux, Copyright ASL Lac de Monteux


Jeux Olympiques : quelles chances de médailles vauclusiennes ? 

A l’approche des prochains Jeux Olympiques et Paralympiques qui débuteront le vendredi 26 juillet à Paris, le Département de Vaucluse a tenu à célébrer les valeurs de l’olympisme en proposant plusieurs actions sur son territoire qui font la promotion du sport dans le cadre de son initiative « Le Vaucluse se prend aux jeux ». Des films « sportifs » seront donc proposés en cinéma en plein air dans plusieurs villes vauclusiennes.

Ce samedi 6 juillet, le film « Good Luck Algeria » de Farid Bentoumi, sorti en 2015 et qui relate l’histoire vraie d’un homme qui a représenté l’Algérie aux JO d’hiver 2006 dans la discipline du ski de fond, a été projeté au quartier Saint-Antoine à Apt.

Le mercredi 10 juillet, à 21h30, au stade de Goult, le film britannique « Les chariots de feu » réalisé par Hugh Hudson en 1981 sera proposé aux Goultois. Le récit est centré autour de l’histoire de deux athlètes britanniques concourants aux Jeux Olympiques d’été de 1924. L’association La Strada participe également à cette projection.


Jeux Olympiques : quelles chances de médailles vauclusiennes ? 

L’association pour l’emploi des cadres (APEC) qui aide les entreprises et l’ensemble des acteurs économiques dans les étapes clés du parcours professionnel, organise le jeudi 11 juillet, de 13h à 14h, un « webinaire » intitulé « Athlètes et entreprises : partenaires gagnants » d’1h durant lequel plusieurs intervenants expliqueront comment l’excellence sportive des employés peut devenir un levier de performance pour les entreprises

Selon une étude la Fédération Française du Sport d’Entreprise, la pratique du sport diminue l’absentéisme de 32%, renforce l’esprit d’équipe (en particulier les sports collectifs comme le volley ou le padel) et améliore la productivité de 6 à 9% par salarié. L’Apec à travers cette initiative, définira les bases de la définition d’un SHN (sportif de haut niveau) et exposera les différents avantages pour les entreprises, PME ou autres structures à recruter un SHN et quels dispositifs sont applicables.  


Jeux Olympiques : quelles chances de médailles vauclusiennes ? 

Au coeur du Pays d’Apt, à Villars, entre les ocres de Gargas et de Rustrel, sur 22 hectares de vallons, collines, lavandes et pelouses, cet ensemble golfique de 9 trous vient d’être réaménagé par une nouvelle équipe autour de Christian Vaudaux, un homme d’affaires amoureux du Luberon qui exploite de nombreux espaces résidentiels dans ce petit coin paradis vauclusien. Et qui est un golfeur… en devenir.

En dehors du sport et d’un espace restauration, ce domaine propose un parcours santé et d’ici 2025 seront installés spa, sauna, cabines de massage, salle de sports, terrains de tennis, cours de yoga, pilate, fitness, ainsi qu’un volet hôtellerie qui, pour l’instant, est assuré par la maison d’hôtes raffinée « Egenia » à Roussillon.

Cette destination loisirs, évasion, prestige respecte l’environnement avec une démarche éco-responsable (utilisation minimale d’eau, récupération de la pluie, énergie solaire, circuits courts, respect de la biodiversité) et une utilisation de matériaux locaux (pierre sèche, bois, chaux pigmentée aux ocres du Colorado provençal).

Christian Vaudaux

Ce projet est en résonance avec. le Luberon qui attire chaque année plus d’un million et demi de touristes, qui y séjournent en moyenne 5 jours de sorte que le taux de nuitées a progressé dans le Pays d’Apt de +8% entre 2019 et 2022. En plus des golfs de Châteaublanc, de Saumane, du Luberon à Pierrevert près de Manosque, de Manville aux Baux-de-Provence, le Domaine des Hautes Garrigues joue la carte du golf pour tous, enfants, débutants voire joueurs expérimentés avec practice et simulateur d’entrainement pour se perfectionner sur green comme sur bunker, mais aussi « putter connecté » qui conforte l’excellence de ces installations.

Pour les enfants des écoles du Pays d’Apt et les riverains de Villars, des tarifs réduits sont prévus pour apprendre le golf à moindre coût. Discipline olympique, 1er sport individuel du monde, le golf compte 410 000 licenciés en France, un chiffre en constante augmentation, qui va sans doute progresser grâce à Christian Vaudaux.

© Domaine des Hautes Garrigues

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