L’enseigne discounter non alimentaire Action organise une session de recrutement dans ses magasins ce samedi 25 mai. Près de 150 postes sont à pourvoir en région Provence-Alpes-Côte d’Azur. Les candidats pourront déposer leur CV dans sept des magasins vauclusiens.
Ce samedi 25 mai, les magasins Action d’Apt, Avignon-Courtine, Avignon-Mistral, Bollène, Orange, Sorgues et Valréas participeront à la session recrutement de l’enseigne. Les candidats pourront venir munis de leur CV et échanger sur place avec les recruteurs et certains collaborateurs afin de découvrir les missions proposées.
148 postes sont à pourvoir en tout en région Paca, tels que responsables de magasin, responsables adjoints, et employés de magasin. L’enseigne recrute des employés de magasin en contrats CDI et CDD à temps complet (35h) mais aussi à temps partiel (30h et 24h). Certains postes peuvent s’adapter à des contrats étudiants.
Les magasins Action recrutent en Vaucluse
Le Ballet Julien Lestel présente la Misatango et le Bolero au pôle culturel Camille Claudel à Sorgues le samedi 25 mai à 20h30. Julien Lestel, ancien danseur à l’Opéra de Paris puis au Ballet national de Marseille fait partie de la nouvelle vague de chorégraphes français qui jouissent d’une reconnaissance internationale.
Le Ballet Julien Lestel, soutenu par la Ville de Marseille et le Département des Bouches-du-Rhône, qu’il dirige depuis 2007 est formé d’une douzaine de danseurs. Avec cette compagnie, il a proposé plus d’une vingtaine de représentations qui se sont joués en France et à l’étranger.
Pour cette représentation sur le territoire vauclusien, l’artiste français proposera un spectacle qui se déroulera en deux parties suivantes :
Misatango Musique : Martín Palmeri Durée : 45 min Cette Misatango est composée sur les mêmes mouvements qu’une messe en latin classique, à laquelle se mêlent les harmoniques et les rythmes syncopés du tango. Créée en 1996, la Misatango (« Messe à Buenos Aires ») connaît un succès planétaire : jouée en 2013 au Vatican en l’honneur du pape François, au Carnegie Hall de New York en avril 2016, et enregistrée en France par Michel Piquemal.
Boléro Sur la célèbre partition de Maurice Ravel, composée pour un ballet en 1928, la chorégraphie fait écho à cette œuvre constituée d’un thème et d’un contre-thème soutenus par un crescendo orchestral ininterrompu. La mélodie caresse la danse et la transporte dans un univers intemporel où les danseurs se laissent emporter dans la rythmique hypnotisante. Musique : Maurice Ravel 15 min
Infos pratiques : « Le ballet Julien Lestel présente Misantago et Boléro ». Samedi 25 mai 2024. 20 h 30. Pôle culturel Camille Claudel. 285 avenue d’Avignon. Sorgues. Tarif : 15€/12€. Pass famille : 25€. Étudiants : 5€. Réservation : 04 86 19 90 90
Les magasins Action recrutent en Vaucluse
70 étudiants en 3e année de licence Administration, économique et sociale (AES) de l’université d’Avignon ont réalisé une étude sur les Quartiers politique de la ville (QPV) de Vaucluse. Ces travaux, intitulés « Derrière les clichés des quartiers prioritaires : Des formes d’attachements construites entre économies informelles et sentiments d’exclusion » viennent d’être présentés ce mardi 7 mai 2024 lors d’une restitution orale au sein de la faculté.
Les élèves de la promotion 2023-2024 de 3e année de la licence AES (Administration, économique et sociale) de l’Université d’Avignon ont effectué lors de leur 6e semestre une large étude autour des Quartiers politique de la ville (QPV) de Vaucluse constituée d’entretiens, d’études ethnographiques et de données quantitatives. Ce travail a été présenté ce mardi 7 mai lors d’une restitution orale menée par les principaux acteurs de cette étude, à savoir les étudiants qui ont présenté l’ensemble de leurs recherches lors d’une conférence à la faculté qui a réuni une centaine de personnes « notre premier travail c’était l’observation et la connaissance. Nous voulions savoir l’histoire de ces lieux populaires, l’histoire de ses habitants, puis nous avons noté lors de nos journées là-bas le déroulement des journées, les habitudes de chacun, les lieux fréquentés, la mémorisation des mots tout en jugeant positivement », annonce en introduction Shaima, une des étudiantes qui a élaboré cette étude.
« Nous voulions savoir l’histoire de ces lieux populaires, l’histoire de ses habitants. »
Shaima, étudiante en licence AES
Au final ce sont plus de 140 entretiens, qui ont été réalisés par les étudiants sur le terrain, dans les zones de Monclar, Champfleury, Saint-Chamand et la Rocade Sud à Avignon, les Amandiers-Eléphants à Carpentras, Générat/Establet à Sorgues ainsi qu’à l’Isle-sur-la-Sorgue. 70 femmes et 70 hommes ont accepté de répondre aux interrogations des étudiants lors de ce travail de fond afin de respecter une parité totale « on était par groupe de 7 ou 8 pour mener nos enquêtes, on s’est réparti les différents quartiers afin d’organiser au mieux nos visites et observations qui nous ont servi à nos notes ethnographiques et on a mis tout en commun lors du dernier mois » explique Elisa, 21 ans, étudiante en 3e année de licence AES.
L’attachement et l’enracinement aux Quartiers de la ville Ce projet avait pour but de mettre en avant les conditions des habitants de ces quartiers et de leur politisation. Il a été mené en collaboration avec Stéphanie Abrial, Christophe Parnet et Pierre Chiron, chercheurs scientifiques du laboratoire Pacte dans le cadre d’un projet financé par l’Agence Nationale de Recherche. Les deux premiers cités sont intervenus par visioconférence à la fin de la conférence pour appuyer les points principaux soulignés par les jeunes chercheurs avignonnais.
Pour structurer ce travail de ‘fourmi’, qui s’est déroulé sur 4 mois, les 70 étudiants ont choisi de construire leur travail méthodologique autour de trois parties définies après la mise en commun de tous les entretiens réalisés sur le terrain. Le premier axe s’est concentré sur le lien fort qui existe entre les habitants et les quartiers de la ville qui a permis de faire ressortir un profond attachement voir un enracinement ressenti par les résidents mais aussi la solidarité importante qui existe entre eux « nous avons effectué une grille d’entretien à partir de nos observations et des premières interactions que nous avons eu avec les habitants, on a parlé avec les associations, les acteurs sociaux et enfin les habitants, il en est ressorti en premier lieu un sentiment d’attachement au quartier où les individus tissent des liens propres avec leurs environnements et les leurs. Cela peut s’expliquer par une volonté de se réclamer d’un territoire repensé ou identifié négativement dans lequel le chômage prédomine sans possibilité d’issue ou d’échappatoire » constate Lorenzo, un étudiant de la licence.
« On est loin des clichés de violence véhiculés par les médias, il y a un réel élan de solidarité. »
Alexandre
Cette partie de l’étude a permis aux apprentis sociologues de relier ce sentiment à une sensation d’exclusion ou d’abandon qui résulte du regard des autres et des politiques municipales, c’est par ce prisme que l’attachement et le sentiment d’appartenance au quartier se construit selon les résultats de leurs entretiens.
Au fur et à mesure de l’avancée de l’étude, les élèves d’AES d’Avignon ont pu constater que ce sentiment d’appartenance s’accompagnait par une solidarité importante entre chaque individu vivant dans les Quartiers de la Ville. Une donnée importante dans un milieu souvent décrit comme propice aux règlements de comptes et à l’insécurité « on a pu remarquer au cours de nos semaines d’observations que plusieurs évènements comme des barbecues étaient organisés, ouverts à tous, sans distinctions d’âge ou d’origine ethnique. On a pu également noter que plusieurs dispositifs étaient mis en place par les jeunes du quartier pour aider les mères de famille à porter les courses ou les emmener à certains endroits, ce sont des faits caractéristiques selon nous car c’est révélateur de l’ambiance générale et des règles caractéristiques, on est loin des clichés de violence véhiculés par les médias, il y a un réel élan de solidarité » assure Alexandre, un des étudiants ayant participé à l’étude.
Des quartiers biens plus structurés qu’on ne le pensait La portée immersive de l’étude menée par les étudiants au sein des quartiers prioritaires les à mener à s’intéresser de plus près à la vie et à l’organisation socio-économique qui s’est crée et qui perdure au sein de ces zones qualifiées de prioritaires par les politiques publiques « nous avons constatés que les QPV sur le Vaucluse sont bien plus structurées et éparpillées qu’on pouvait l’imaginer, il était donc essentiel pour nous d’établir des notes ethnographiques et d’en faire plusieurs synthèses, ce qui nous a permis à partir de ce travail de récolter des datas. Ainsi, nous avons pu définir précisément des valeurs extrêmes sur la part des jeunes dans la population, le taux de diplômés du supérieur, le taux de chômage et le taux d’abstention, à partir de ces résultats nous avons pu faire des corrélations entre ces caractéristiques » détaille Alexandre.
Le quartier de Monclar détient le record de pauvreté en Vaucluse 75,5% de taux de pauvreté dans le quartier de Monclar avec une population majoritairement jeune à 51,4%, c’est le record sur le département du Vaucluse. Ce sont les chiffres récoltés par les étudiants de la licence AES d’Avignon, ils y ont noté également un taux d’abstention de 43,6%. Deux données mis en évidence et face à face car selon les auteurs de l’étude on peut noter une corrélation entre les difficultés économiques de la jeunesse des quartiers et la non-participation à la vie politique nationale. Le travail de fond effectué à permis de définir précisément le revenu médian au sein de ces 8 QPV vauclusiens, il s’élève à 950€ par mois, ce qui veut dire que sur un quartier de 10 000 habitants, c’est à partir de la 5 000e personne que cette dernière gagnera 950€ par mois dans ce quartier.
Beaucoup de clichés à déconstruire Cette étude a également permis de définir que c’est au sein du QPV de Champfleury, zone voisine de Monclar que le taux de chômage est le plus faible sur l’ensemble des quartiers concernés du département avec 18% de la population qui est sans-emploi et un taux de diplômés dans le supérieur au-dessus de la moyenne « la précision des chiffres et de ces études ethnographiques était fondamentale pour établir nos hypothèses et constats. Par exemple, on s’est aperçu suite à nos entretiens que le taux de population immigré le plus bas sur notre département était à l’Isle-sur-la-Sorgues avec 30% de population immigré et un taux de pauvreté qui était également le plus bas avec 51,4%, on a donc établi une corrélation entre le fait d’être immigré et le fait d’avoir des difficultés économiques ».
« Nous avons été confronté à la réalité des choses. »
Elisa
Au-delà des données, des chiffres et des constats, hypothèses ou corrélations tirées de leur travail, cette étude a surtout permis aux jeunes étudiants de la cité papale de découvrir un peu mieux leur territoire et de comprendre comment se passer la vie des habitants de ces zones prioritaires et comment ils faisaient face à leurs problématiques du quotidien « Cette étude nous a énormément nourri car nous avons été confronté à la réalité des choses. Cela nous a permis de nous apercevoir que, déjà, on prend conscience de l’écart des inégalités socio-économiques qui touchent ces zones prioritaires. Ensuite, on se rend compte que beaucoup de clichés sont complètement à déconstruire. Qu’ils sont faux, parce qu’en fait, ils sont beaucoup plus complexes et organisés que les idées qu’on laisse entendre. C’est fou comme la relation de confiance entre nous, chercheurs-étudiants, et les gens que nous avons interrogé s’est renforcé progressivement, dès qu’on s’intéresse un peu à eux et qu’on apprend à les connaitre, toutes les idées reçues se déconstruisent » conclut Elisa.
Ainsi, l’avignonnais KP1, qui figurait déjà sur le podium de l’année précédente (3e), se classe en 83e position de ce classement destiné à établir les contours « de l’innovation made in France pour mieux en sentir les lignes de force, les secteurs et entreprises championnes de la R&D, de la créativité technologique ou servicielle. » Le spécialiste français de la préfabrication et la poutrelle en béton précontraint, qui a inauguré l’an dernier son nouveau siège social dans le quartier de Saint-Chamand, apparaît en 5e position au niveau régional. L’entreprise, qui a vu le jour il y a plus de 60 ans à Pujaut, consacre entre 2% et 3% de son chiffre d’affaires annuel à la R&D (Recherche et développement).
Particulièrement mobilisée pour décarboner sa production, KP1, dirigé depuis 2021 par Vincent Linchet, a notamment déposé près d’une centaine de brevets dans les domaines de la résistance mécanique, de la conformité aux réglementations sismiques et thermiques, des grandes portées… En 2022, la société, qui regroupe 1 700 collaborateurs répartis dans une quarantaine de sites en France a réalisé un chiffre d’affaires de 330M€.
Dans ce classement national dominé par l’éditeur de logiciel Lex persona basé dans l’Yonne, la seconde entreprise vauclusienne à apparaître est Eurenco (99e position nationale et 7e position régonale). Implantée à Sorgues, elle a, elle-aussi, inauguré son siège social l’an dernier après l’avoir transféré dans le département depuis Massy en région parisienne. Leader européen des poudres et explosifs, le groupe dirigé par Thierry Francou est spécialisé dans la fabrication d’explosifs et d’additifs pour carburants destinés aux marchés civils et de la défense. La société intervient notamment dans la production des obus destinés aux canons Caesar qui s’illustrent actuellement aux mains des artilleurs ukrainiens dans le conflit avec la Russie.
Le groupe, qui recrute activement, s’est également associé à la CCI de Vaucluse afin d’ouvrir depuis novembre dernier une formation pyrotechnie sur le campus consulaire d’Avignon. Installée aussi à Bergerac, en Belgique et en Suède, Eurenco emploie plus de 1 200 personnes pour un chiffre d’affaires en hausse de +30% en 2022 et espère atteindre 600M€ d’ici 2025.
Enfin, c’est l’entreprise avignonnaise Berto, leader français de la location de véhicules industriels avec conducteurs, qui clôture cet excellent millésime 2024 pour l’innovation en Vaucluse. Le groupe implanté dans la zone de Courtine est classé 165e au niveau national (9e en Paca) du palmarès Les Echos.
Aujourd’hui dirigé par Adrien Berto, qui a repris les rênes de l’entreprise familiale en devenant président du directoire de Berto depuis l’automne dernier, la société créée en 1963 vient de célébrer son 60e anniversaire. Le nouveau dirigeant, qui représente la 3e génération de la famille, a d’ailleurs été aussi désigné lauréat 2023 du prestigieux classement ‘Choiseul Sud’ de l’Institut Choiseul distinguant « les jeunes leaders économiques qui contribuent activement au dynamisme et à l’attractivité de la région sud de la France ».
Berto compte 5 100 collaborateurs, dont 4 100 conducteurs, et dispose de 15 000 véhicules proposé dans 82 implantations à travers le monde. L’entreprise avignonnaise devrait réaliser un chiffre d’affaires prévisionnel 2023 de l’ordre de 510M€.
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Toute l’année, les élèves sorguais du CP au CM2 travaillent avec l’aide de leurs professeurs et des intervenants de l’École municipale de Musique et de Danse (EMMD) pour présenter les spectacles ‘Écoles en Chœur’ qui met le chant et les chorales à l’honneur.
Les enfants de l’école Sévigné vous donnent donc rendez-vous les lundi 13 et mardi 14 mai à 19h, et ceux des écoles Maillaude, Jean Jaurès, Frédéric Mistral, Elsa Triolet, Marie Rivier et Becassières se succèderont lors de huit soirées du mardi 21 au vendredi 31 mai à 19h. Lors de ces spectacles, les classes de 6ᵉ, 4ᵉ et 3ᵉ CHAM ainsi que des ensembles de l’école de musique accompagneront les chants des enfants.
Lundi 13 et mardi 14 mai. 19h. Gratuit sur réservation au 04 86 19 90 90. Pôle culturel Camille Claudel. 285 Avenue d’Avignon. Sorgues. Du mardi 21 au vendredi 31 mai. 19h. Entrée libre. Salle des fêtes. 231 Avenue Pablo Picasso. Sorgues.
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Ce samedi 20 avril, la SPA vauclusienne organise une randonnée canine caritative en partenariat avec l’association Asser Sorgues, qui oeuvre pour proposer des activités sportives, artistiques, culturelles et éducatives pour toutes et tous.
Tous les bénéfices seront reversés à la SPA vauclusienne. L’occasion de se balader durant 1h30 en compagnie de chiens qui cherchent une famille aimante. Il est possible de venir accompagné de son propre chien (laisse obligatoire pour la sécurité de tous les participants).
La balade débutera à 10h au parking de l’Oiselay à Sorgues. Inscription obligatoire au 04 32 44 30 92 (5€ par personne).
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Le Département de Vaucluse vient de dévoiler les différents parcours précis de la flamme olympique, qui traversera le Vaucluse le mercredi 19 juin.
Le mercredi 19 juin prochain, la flamme olympique traversera le Vaucluse. Le département sera une étape dans le parcours de la flamme qui débutera le 8 mai à Marseille et se terminera le 26 juillet à Paris, et qui lancera le début des Jeux Olympiques 2024. Si jusqu’à maintenant, on connaissait les lieux vauclusiennes par lesquels la flamme va passer et à quels horaires, les détails du parcours restaient vagues.
Le parcours, qui sera discontinu, se composera de sept séquences qui vont rythmer la journée du 19 juin dans différents points du département : Rustrel, Apt, L’Isle-sur-la-Sorgue, le Mont Ventoux, Orange, Sorgues et Avignon. Chacune de ces séquences a un parcours plus ou moins long (cf cartes ci-dessous) avec en tout 100 porteurs de la flamme. Le site des Ocres de Rustrel sera la seule étape du parcours fermée au public. Pour les Vauclusiens, le parcours débutera donc à 9h à Apt, et s’achèvera à 19h20 à Avignon.
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Un cours d’histoire sans quitter votre siège rouge au pôle culturel Camille Claudel à Sorgues. Le spectacle Battle Royal de la Compagnie Terrence & Malik se produira au Pôle culturel de Sorgues le samedi 6 avril à 20h30. Il propose une visite de deux siècles d’histoires à travers les grands hommes qui ont marqué ces siècles, de Louis XIV à Napoléon III.
Un spectacle porté par duo hilarant composé d’un prof et d’un cancre dans une leçon d’histoire interactive et délirante. Il reste encore des places pour découvrir ce spectacle familial, drôle et instructif.
Sur un rythme effréné, un régime chasse l’autre, comme on chasse un souverain. Et nos deux compères ne sont pas en reste, car pour eux aussi l’enjeu reste de taille : qui aura finalement le cœur de leur chère prof d’Histoire ?
Pour le plus grand bonheur des férus de l’univers de la piraterie, la Ville de Sorgues propose un programme spécial Pirates pour les petits et les grands. Conférence, chasse au trésor, concert et spectacle sont prévus le vendredi 22 mars et les samedis 23 et 30 mars.
Pour les plus grands à partir de 12 ans, le conférencier et animateur Éric Gérôme vous propose de découvrir l’histoire de Jeanne de Belleville, femme pirate, ce vendredi 22 mars. Connue au XIVᵉ siècle, Jeanne de Belleville a semé la terreur, dans une violente guerre de course sur la Manche et dans les terres normandes et bretonnes, pour venger son mari. Vendredi 22 mars. 18h30. Gratuit sur réservation à la médiathèque ou au 04 90 39 71 33. Médiathèque. 285 Avenue d’Avignon. Sorgues.
Les élèves de l’École municipale de musique et de danse (EMMD) présenteront deux concerts de pirates ces vendredi 22 et samedi 23 mars, et seront joints par l’ensemble à cordes « les jeunes archets » du Conservatoire de Cavaillon. Ils présenteront trois contes mis en musique, illustrés et racontés par les enfants. Le public pourra notamment entendre les musiques du film culte Pirates des Caraïbes. Vendredi 22 mars à 19h. Samedi 23 mars à 17h. Gratuit sur réservation à l’EMMD ou au 04 90 39 71 71. Pôle culturel Camille Claudel. 285 Avenue d’Avignon. Sorgues.
Les enfants seront à l’honneur ce samedi 23 mars. La Compagnie les Mouflettes leur prévoit une soirée aux couleurs noir et blanc du drapeau pirate, avec un parcours au trésor, un escape game et une boum party. L’événement est réservé aux enfants entre 6 et 11 ans, qui sont invités à venir déguisés en pirates. Samedi 23 mars. 18h. 15€ (Billetterie au Pôle culturel). Salle des fêtes. 231 Avenue Pablo Picasso. Sorgues.
Le spectacle ‘Max le Pirate et le Coffre de la Sorcière’ sera présenté le samedi 30 mars. Le public, dès 6 ans, fera la rencontre de Max, qui a trouvé un coffre posé devant sa porte. Tout laisse croire que ce coffre va le mener jusqu’à un fabuleux trésor oublié… Mais comment faire sans équipage pour l’appuyer ? Samedi 30 mars. 16h. 5€ (gratuit pour les moins de 9 ans). Réservation au 04 86 19 90 90. Pôle culturel Camille Claudel. 285 Avenue d’Avignon. Sorgues.