L’antenne de Vaucluse du Centre national de la fonction publique territoriale (CNFPT) vient d’inaugurer ses nouveaux locaux à Sorgues, dans lesquels elle a déménagé en juillet dernier.
Installé sur le boulevard Roger-Ricca à Sorgues depuis 1998, le CNFPT, qui assure la formation des agents des collectivités territoriales, était à la recherche d’un nouveau lieu pour développer son activité de formation des agents territoriaux tout en restant à dans la commune. C’est donc au Château de Gentilly, situé au 59 Rue de la Coquille, que l’antenne vauclusienne a posé ses valises l’été dernier.
Le CNFPT vient d’inaugurer ces nouveaux locaux dont les 1000m² ont été aménagés de façon optimale pour garantir un apprentissage de qualité. Les espaces d’accueil y sont spacieux et les différentes salles sont équipées de mobiliers modulables et adaptées à l’accueil de groupe. Les locaux possèdent un hall d’accueil et d’information, six salles de formation, une salle de conférence, une salle de réunion qui peut servir de salle de visio-conférence, une salle de pause pour les stagiaires ainsi que six bureaux administratifs. L’antenne vauclusienne a aussi des équipements informatiques pour accompagner les usages du numérique. Ainsi, ce déménagement présente non seulement des enjeux pédagogiques, mais également stratégiques à travers son partenariat avec la commune de Sorgues.
Un partenariat avec la commune
Si le CNFPT a recherché des locaux plus spacieux et plus adaptés à son activité, tout en tenant à rester à Sorgues, la commune aussi souhaitait garder l’implantation du Centre. Acteur principal de la formation des agents territoriaux, le CNFPT accueille en moyenne 4000 stagiaires par an, venant de tout le département et de la région, au sein de son antenne de Vaucluse. Ainsi, cette dernière participe à la dynamisation de la commune.
Sorgues, qui est propriétaire du château de Gentilly, souhaitait également la rénovation de ce bâtiment. L’installation du CNFPT en son sein a permis d’y déclencher des travaux de réhabilitation et de mise aux normes. Un chantier dont le coût s’est élevé à plus de 2 millions d’euros.
V.A.
Sorgues : le CNFPT inaugure ses nouveaux locaux
La salle des fêtes de Sorgues va accueillir le groupe de jazz Papanosh pour deux concerts les vendredi 13 et samedi 14 mai.
Ce vendredi 13 mai, le quintet Papanosh sera présent sur la scène de la salle des fêtes de Sorgues pour un concert dans le cadre des soirées ‘Ecoles en chœur’ oragnisées chaque année par la commune pour permettre aux élèves sorguais de monter sur scène. Ces derniers peuvent donc écrire des textes sur les arrangements et les compositions du groupe. Ainsi, le groupe et les jeunes sorguais partagent un moment unique en coulisse, mais aussi pendant le concert puisqu’ils se partagent la scène et mènent ce projet ensemble. Ce concert débutera à 20h.
Ce samedi 14 mai, le groupe mènera un concert dansant élaboré avec des collégiens sorguais et des élèves de l’Ecole municipale de musique et de danse (EMMD). Cet événement alliera jazz et danse grâce à une musique pleine d’imagination qui promet de faire vivre au public un moment unique et hors du temps. Cet événement appelé ‘le bal qui jazze’ débutera à 20h.
Pour tout renseignement supplémentaire, appelez le 04 90 39 71 71.
Vendredi 13 et samedi 14 mai. 20h. Gratuit. Salle des fêtes. 231 Avenue Pablo Picasso. Sorgues.
V.A.
Sorgues : le CNFPT inaugure ses nouveaux locaux
Ce samedi 14 mai, le pôle culturel Camille Claudel de Sorgues accueillera un spectacle à l’image de la personnalité imprévisible et virevoltante du compositeur autrichien Mozart. Chorégraphiée par Emilie Lalande, ancienne interprète du Ballet Preljocaj, cette représentation ‘jeune public’ requerra la participation des spectateurs.
Ces derniers pourront interagir au fur et à mesure du spectacle, à l’aide d’un système de couleurs représentant les instruments de musique et les interprètes sur le plateau. Petit à petit, le spectacle intitulé ‘Quatuor à corps pour Mozart’ se construira sous les yeux du public selon les choix faits par celui-ci.
Réservation conseillée au 04 86 19 90 90.
Samedi 14 mai à 15h. 10€. Pass famille 24€. Salle de spectacle. Pôle Culturel. 285 Avenue d’Avignon. Sorgues.
V.A.
Sorgues : le CNFPT inaugure ses nouveaux locaux
La Provence numérique, qui possédait déjà un tiers-lieu à Carpentras au travers de l’association Fabrique gare numérique (FGN), vient de signer le bail d’un nouvel espace à Sorgues.
La Société coopérative d’intérêt collectif (SCIC) Provence numérique, dédiée à l’innovation, à la rencontre, et au partage de compétences autour du numérique, vient d’ouvrir un nouveau tiers-lieu au 35 Rue des remparts à Sorgues qui sera inaugurée le vendredi 13 mai prochain. Ouvert en alliance avec la commune et avec la communauté d’agglomération des Sorgues du Comtat, ce local de 100m² aura pour objectif de répondre aux problématiques locales. Plusieurs activités y seront développées telles que :
Le Fablab, l’atelier de réparation, de créativité et de prototypage
Le Repair café pour réparer ses objets cassés tout en partageant ses connaissances
L’accompagnement au numérique
Des formations qui peuvent être financées par Pôle emploi ou par des Opérateurs de compétences (OPCO) et qui seront bientôt éligibles au Compte personnel de formation (CPF)
Le Medialab pour apprendre à créer et réaliser des reportages et documentaires
Une portée au-delà de ses murs
La Provence numérique, c’est l’accompagnement dans la transition numérique des tiers lieux, des collectivités et des entreprises, mais pas seulement. La SCIC souhaite agir en dehors de ses locaux et mettre en place de nombreuses actions dans différents lieux de Sorgues. Parmi celles-ci, sont déjà programmés des ateliers à la résidence senior Le Ronquet, des stages pendant tout l’été, des formations pour les habitants des Quartiers prioritaires de la ville (QPV), mais également des animations avec les commerçants de la commune.
V.A.
Sorgues : le CNFPT inaugure ses nouveaux locaux
La commune de Sorgues vient d’organiser sa première remise des Pass’ ados à 45 élèves des classes de 5ème des collèges sorguais.
Pour obtenir le Pass’ ados, les jeunes sorguais ont dû participer à différents ateliers sur des thèmes tels que le cyber-harcèlement, les premiers gestes de secours ou encore la gestion du stress. Ils ont également pu visiter des endroits phares du Vaucluse comme le mur de la peste ou encore le laboratoire souterrain à bas bruit de Rustrel.
Ce passeport ‘Pass’ ados’ a pour objectif d’apprendre aux jeunes à agir collectivement mais aussi d’ouvrir davantage leur esprit en leur faisant découvrir leur environnement afin qu’ils deviennent de bons citoyens. Une prochaine session de cette initiative est déjà en cours de projet. Elle devrait avoir lieu à l’automne prochain.
V.A.
Sorgues : le CNFPT inaugure ses nouveaux locaux
Avenir du Vaucluse, décentralisation, RSA, santé… Un moment avec Alain Milon, sénateur de Vaucluse et médecin de formation.
L’un des spécialistes santé au sein de la famille LR nous ouvrait les portes de sa permanence sorguaise. Alain Milon, 74 ans, témoigne d’une carrière politique pour le moins prolifique, au sein du Palais du Luxembourg, de la commission des affaires sociales, ou du conseil municipal de Sorgues. Questionné sur une potentielle lassitude en matière d’engagement, la volonté demeure intacte d’apporter sa pierre à l’édifice, de contribuer aux travaux parlementaires, notamment en matière de politique sociale.
L’agenda est pour le moins chargé. Un jour est dédié à la présentation du programme santé de Valérie Pécresse. Un autre prévoit une audition au Sénat sur l’adéquation du passe vaccinal à l’évolution de l’épidémie. Sans compter une question au gouvernement sur les Ehpad, sujet brûlant d’actualité. Le tout en observant ses obligations en tant que conseiller municipal de la commune de Sorgues, auprès de Thierry Lagneau qui l’a succédé en 2010 à la tête de la ville.
Après des mois de navettes parlementaires, la Commission mixte paritaire (CMP) est parvenue à un accord sur loi 3DS (différenciation, décentralisation, déconcentration et simplification). « Notre objectif était clair : renforcer l’efficacité de l’action publique sur le terrain local en évitant un tout nouveau « big bang » territorial, déclare le sénateur au nom du groupe LR. Un nombre significatif des apports sénatoriaux ont été rétablis dans le texte final : c’est donc un succès indéniable pour les collectivités ».
Parmi les avancées notables : permettre des délégations « ascendantes » de compétences, en ouvrant la voie aux intercommunalités « à la carte », ou encore en facilitant la restitution des compétences « voirie » et « tourisme » lorsque la situation locale s’y prête. Au chapitre logements sociaux et loi SRU, un contrat de mixité sociale entre le maire et le préfet est privilégié afin de fixer des objectifs plus réalistes, à l’échelle d’un territoire.
« Nous faisons le choix de la confiance en l’intelligence territoriale […] », souligne Alain Milon. Le regard animé, le parlementaire nous gratifie de quelques anecdotes des arcanes de la vie politique nationale. Il faut dire que le sénateur est tombé dans la marmite républicaine très tôt. Membre du parti RPR dans les années 1980, UMP puis LR pour lequel il préside le comité de soutien de Valérie Pécresse en Vaucluse, Alain Milon est coutumier des aléas politiques. Le parlementaire fut maire de Sorgues pendant plus de vingt ans, vice-président du Conseil général de Vaucluse, conseiller régional et président de la Communauté de communes des Pays du Rhône et d’Ouvèze. Passionné par la génétique et la recherche, l’élu reste à ce jour président de la Fédération hospitalière de France Paca.
Gaudin, Le Pen, Tapie, Estrosi
Jean-Claude Bouchet, député LR, déclarait vouloir « passer le relais« . L’ancien maire de Cavaillon ne se présentera pas aux prochaines législatives pour tenter de briguer un 4e mandat. Pour le locataire du Palais du Luxembourg, aucune lassitude, pas même une once d’essoufflement. Alain Milon revient sur les écoles de Sorgues créees sous sa mandature, mais également sur « l’un des plus beaux pôles culturels du département, faisant environ 100.000 passages par an. »
En tant que président de la Commission des affaires sociales au sein du Conseil général, Alain Milon se consacre pleinement à la politique sociale du Département. « Je pense notamment à l’aide sociale à l’enfance. Quand je suis arrivé, il n’y avait plus qu’un centre médico-social à Avignon. Nous avons crée un centre dans quasiment chaque canton », rappelle-t-il. L’élu mise alors sur la proximité : « on s’adresse à des gens qui ont des moyens limités, dans un département pauvre. Les faire déplacer de Vaison à Avignon, c’est les empêcher de venir ».
Autre page marquante du livre : le rôle de conseiller régional sous la présidence de Jean-Claude Gaudin de 1986 à 1998. « C’est une époque que je cite souvent. Il y avait Jean-Marie Le Pen, Christian Estrosi, Bernard Tapie… Même si on ne partageait pas tous la même vision, il y avait des personnes intéressantes, c’était assez épique ! », se remémore le parlementaire.
Une fois élu sénateur en 2004, Alain Milon se dirige instinctivement vers la commission des affaires sociales dont il sera le président de 2014 à 2020. Il rapporte alors toutes les lois sur la bioéthique et les lois de santé de Marisol Touraine ou Roselyne Bachelot. L’élu est par ailleurs partisan de la procréation médicalement assistée et de la gestation pour autrui qu’il suggère de régulariser dès 2010.
« Je suis passionné par ça, mon évolution s’est faite dans des domaines différents à chaque fois, donc il ne peut pas peut y voir avoir de lassitude. La politique sociale du Département s’opère en fonction des compétences, à la Région il s’agissait de la politique de la Ville, au Sénat, la politique nationale. Même si le titre est le même, les fonctions diffèrent, les visions, les populations touchées ne sont pas les mêmes », explique celui qui a notamment siégé au sein du Haut conseil du financement de la protection sociale.
Un mot sur les législatives
Pour battre campagne aux prochaines législatives, le comité LR a jeté son dévolu sur la vice-présidente du Conseil départemental de Vaucluse : Elisabeth Amoros sur la 2e circonscription. « Elle est extrêmement dynamique, c’est un médecin, et en outre, elle s’occupe de politiques sociales », commente le sénateur. Sur la 3e circonscription, les candidats seront face au maire de Saint Didier, Gilles Véve. « C’est une circonscription essentiellement rurale. Il est vigneron, a été président de la fédération FDSEA, il reste à ce jour président de la cave des vignerons de Saint Didier. Il est connu du monde agricole, il connait ses enjeux », juge Alain Milon.
Roger Rossin, maire de Cairanne, est candidat dans la 4e circonscription, « Dans cette circonscription, il faut des gens de caractère. Roger Rossin est le candidat qu’il faut pour bousculer les choses », déclare le parlementaire. Autres candidats, le député sortant Julien Aubert, et la conseillère régionale Dominique Brogi sur la 1e circonscription. Au sujet de la présidente LR de la région Île-de-France, il confiera : « je pense qu’une femme est beaucoup plus déterminée qu’un homme ».
L’avenir du Vaucluse ?
Au chapitre filière d’avenir pour le Vaucluse, Alain Milon s’approche de la pensée de Julien Aubert, pour qui le département a sa carte à jouer en matière d’industrie pharmaceutique et cosmétique. « Je rejoins Julien, mais plutôt l’industrie de la recherche sur la génétique, des innovations en matière de santé, des médicaments innovants, anticancéreux par exemple. Faisons ce qui ne se fait pas ailleurs, une usine d’aspire ou de paracétamol, ça ne sert à rien », tranche-t-il.
Adrien Morenas prône une Silicon valley de l’agroécologie en Vaucluse, lorsque Jean-Claude Bouchet mise sur le carrefour logistique « énorme » que représente le département. « Le territoire est certes agricole mais essentiellement viticole, souligne le sénateur. Il faut aider cette activité d’excellence si elle veut persister dans le monde. » Pour le parlementaire, le département doit s’appuyer sur ses atouts : paysages, douceur de la météo, patrimoine. « On sent bien que de plus en plus de touristes ont envie d’y rester. Il faut attirer les entreprises d’avenir, les startups innovantes, celles qui proposent des technicités uniques. Le tout en jouant sur le bon vivre en Vaucluse », suggère-t-il.
Une banque d’innovation
Quid du manque de foncier ? « Il y a de quoi faire, là aussi, tout dépend de la liberté des maires. Les friches industrielles sur le Département, il y en a beaucoup. Des entreprises ferment et des locaux restent vides et se dégradent », explique le sénateur qui suggère à Valérie Pécresse de créer une banque d’innovation au profit des entreprises innovantes. Celle-ci les dédouanerait de tout remboursement de prêt si l’investissement ne portait aucun fruit.
« En recherche fondamentale, la France est dans le top 5 mondial, en recherche appliquée nous sommes dans les 50, et en recherche dans la mise en place du concept industriel, nous sommes dans les derniers. Nous sommes un confetti dans le monde. Si nous avions la volonté d’aider l’ensemble des chercheurs sur le territoire national à exploiter leurs recherches, nous pourrions créer des dizaines de milliers d’emplois. Si l’on pouvait installer un Genopole (incubateur de projets d’excellence dédié aux biotechnologies, ndlr) en Vaucluse par exemple, je me plierai en quatre pour y contribuer », déclare Alain Milon.
Il poursuit : « Ce qui m’intéresse ? Faire en sorte que nos concitoyens aient une bonne qualité de vie, que l’on puisse soigner de mieux en mieux. » Le sénateur s’inspire volontiers de Marcel Cachin : « il faut payer selon ses moyens, et recevoir selon ses besoins en matière de santé. Si vous êtes malade, que vous soyez milliardaire ou sans-abri, on doit vous soigner de la même façon. »
Bien qu’une avancée ait été observée en matière de décentralisation, le chemin qui reste à parcourir n’en demeure pas moins sinueux. « Il faut déconcentrer les services de l’Etat. Il faut redonner aux maires le pouvoir qu’ils n’ont plus dans leur PLU (Plan local d’urbanisme) ou dans leur police municipale. Nos concitoyens se mettent en colère vis-à-vis de leurs élus locaux qui n’ont plus de possibilités d’actions. J’avais à l’époque des possibilités que Thierry Lagneau n’a plus. Il n’y a plus de taxe d’habitation, plus de recette propre à la commune qui ne peut plus composer avec ses budgets. Les PLU sont encadrés par les SCOT (Schéma de cohérence territoriale), ils n’ont plus de possibilité de gérer leur territoire comme ils le souhaitent. Dans la décentralisation, il faut redonner du pouvoir aux mairies. Finalement les constituantes de 1793 étaient plus décentralisateurs que nous », conclue Alain Milon avec le sourire.
RSA conditionné à un niveau d’épargne
Cette disposition en cours de réflexion entend conditionner l’octroi du RSA par les départements à un certain niveau d’épargne, défini par chaque conseil départemental. Ces derniers seraient ainsi appelés à fixer un montant d’épargne maximal pour les personnes souhaitant recevoir cette aide. La gauche a accusé la droite de venir fragiliser la protection sociale sur le territoire, quand les élus macronistes ont évoqué une mesure inconstitutionnelle.
« Il y a des concitoyens dans certaines régions de France qui sont au RSA avec 40.000 euros de réserve bancaire sur des livrets d’épargne. Il n’est pas normal que des personnes sans aucune réserve travaillent tous les jours et se retrouvent à payer pour les autres. Il s’agit pour moi d’une mesure de justice sociale, sans aller évidemment jusqu’à la ruine des personnes », conclue Alain Milon.
Sorgues : le CNFPT inaugure ses nouveaux locaux
Le Groupe Raja, leader européen de la distribution d’emballages, de fournitures de bureau et d’équipements industriels, qui possède un entrepôt à Sorgues de 12 000m2 et une capacité de stockage de 15 000 palettes, renforce son offre de produits écoresponsables en lançant quatre nouveautés pour les expéditions plus respectueuses de l’environnement. Ces solutions alternatives aux emballages plastiques, 100% recyclables.
«L’éco-responsabilité est devenue une priorité pour de nombreux e-commerçants, industriels et prestataires logistiques qui souhaitent répondre aux attentes des consommateurs et des entreprises de plus en plus sensibles aux enjeux environnementaux», confirme Danièle Kapel-Marcovici, fondatrice de la Villa Datris à l’Isle-sur-la-Sorgue et grande amatrice d’art cinétique. Le Groupe Raja s’est engagé depuis plusieurs années à proposer des solutions d’emballage plus respectueuses de l’environnement, fabriquées à partir de matières naturelles, faciles à recycler et réutilisables et ainsi aider ses clients à utiliser des emballages biosourcés en alternative aux plastiques.
Le papier étirable de palettisation Le papier étirable manuel est fabriqué à partir de kraft naturel certifié PEFC (Programme for the Endorsement of Forest Certification schemes, Programme de Reconnaissance des Certifications Forestières). Il est idéal pour le conditionnement des palettes standards homogènes et légères jusqu’à 200kg. Il assure un excellent maintien des marchandises durant le transport et le stockage en entrepôt, tout en les protégeant des salissures et de la poussière. Entièrement recyclable, le papier étirable est une alternative écologique au film étirable manuel en plastique habituellement utilisé pour filmer les palettes.
Le papier bulle recyclé Le papier bulle recyclé est une réelle innovation écologique qui permet de protéger les produits lors du transport et de l’expédition. Grâce à sa technologie exclusive, l’air est capturé entre deux couches de papier, ce qui confère à cet emballage d’excellentes propriétés d’absorption des chocs et d’amortissement. Léger, il permet de réduire les coûts de transports. Fabriqué en papier 100% recyclé et recyclable, facile à découper et à mettre en forme, le papier bulle est une alternative écologique au film bulle plastique. Le papier bulle a d’ailleurs reçu l’Oscar de l’Emballage 2021 pour son caractère innovant au bénéfice de l’environnement.
Le feuillard papier Fabriqué avec 95% de papier recyclable et 5% de colle végétale, le feuillard papier kraft permet de fermer tous types de caisses et de colis, de créer des lots ou de lier des documents. Véritable alternative écologique au feuillard traditionnel en polypropylène, le feuillard papier kraft est 100% recyclable. Il peut s’utiliser de manière mécanisée sur une machine automatique ou semi-automatique ou de manière manuelle avec des boucles plastiques réutilisables.
La pochette matelassée alvéolaire en papier Innovation majeure en matière d’écoresponsabilité, cette pochette matelassée en papier protège les produits des chocs grâce à son papier alvéolé «nid d’abeille». Sa légèreté lui permet de réduire les coûts postaux au maximum. Son grand avantage repose dans son caractère totalement recyclable. Composée d’un matelas en papier recouvert de 2 couches de papier kraft recyclé, cette pochette est idéale pour l’expédition de tous types de produits. Elle assure ainsi une protection maximale contre les chocs et les déchirures. Cette pochette est disponible en 5 formats, pour répondre à tous les besoins d’expédition des entreprises souhaitant trouver des alternatives aux pochettes en plastique, et sera lancée début mars 2022 en France, puis progressivement dans toute l’Europe.
En savoir plus Raja C’est le fournisseur N°1 Européen des emballages d’équipements et de fournitures pour les entreprises. Ça va des caisses aux cartons en passant par les boîtes, les emballages alimentaires et bien plus encore. Localement ? C’est aussi une filiale d’entreposage et de stockage de Raja nommée LogiSorgues, un entrepôt de 12 000m2 d’une capacité de 15 000 palettes, situé avenue Marcel Dassault et, comme son nom l’indique situé à Sorgues. Autres articles sur cette entreprise ici et ici MH
Sorgues : le CNFPT inaugure ses nouveaux locaux
Folklore, langue gaélique, musique… Mais aussi business et industrie. Au sein de l’entreprise irlandaise Tricel à Sorgues, le pays du trèfle a réitéré sa volonté de poursuivre ses « excellentes » relations avec la France.
« Finalement, on peut dire qu’il n’y a que sur les terrains de rugby que l’on est adversaire », déclare le 1er magistrat de Sorgues, Thierry Lagneau, provoquant une vague de rires au cœur du site Tricel, avenue Denis Papin à Sorgues. La deuxième usine française de la multinationale spécialiste de l’assainissement non-collectif, recevait il y a quelques jours la visite du vice-Premier ministre irlandais et ministre du commerce Léo Varadkar.
Accompagné d’un ambassadeur, cette visite s’inscrivait dans le cadre d’une tournée en France avec des étapes à Lyon et Marseille pour découvrir le savoir-faire français. Au programme, présentation du parc de cuves fabriquées sur le site sorguais, visite des ateliers de fabrication ainsi qu’une démonstration des nouveaux outils digitaux utilisés dans les process.
C’est en 2016 que l’entreprise de construction de micro-stations d’épuration a choisi Sorgues pour implanter son second site français de fabrication et de distribution, après celui de Poitiers. Une implantation notamment réussie grâce au concours de l’agence économique Vaucluse Provence Attractivité et de l’agence irlandaise gouvernementale Enterprise Ireland.
Aujourd’hui, l’usine vauclusienne dirigée par Nicolas Cherici emploie près de 20 salariés. L’occasion pour le vice-Premier ministre irlandais de rappeler que « les relations n’ont jamais été aussi fortes entre nos deux pays ». Et d’ajouter : « Nous sommes fiers de notre très bon partenariat depuis le Brexit. La France se révèle être un partenaire privilégié en Europe ». Pour le haut diplomate irlandais, le rayonnement local, l’attractivité économique et l’emploi de salariés français figurent parmi les clefs du succès partenarial.
Produits à Killarney, assemblés à Sorgues
C’est au cours d’une visite dans un salon à Evreux que le déclic s’opère. Le fondateur de cette entreprise familiale, Mike Stack, découvre une réelle opportunité de marché en France et se lance dans l’aventure. A l’heure du développement durable et des nouvelles règlementations en matière de traitement des eaux usées pour les particuliers, la solution commercialisée s’inscrit naturellement dans une démarche de protection de l’environnement. « Le marché est porteur et je ne doute pas que vous avez de très belles années devant vous », adresse Thierry Lagneau.
Lancée il y a 40 ans en tant qu’entreprise familiale irlandaise, Tricel a enchaîné les succès et connaît depuis une croissance importante. Le groupe est un fournisseur mondial de solutions de haute performance pour les industries de l’environnement, de l’eau, de la construction et des matériaux. « Nous sommes très heureux de voir les distributeurs et le personnel qui est très important pour nous. Je salue l’engagement, le travail et l’investissement des équipes durant ces deux dernières années. En dépit du Covid et des difficultés d’approvisionnement, Tricel a enregistré une croissance de 30% », se réjouit Mike Stack.
La réussite de la collaboration entre nos deux nations repose essentiellement sur un travail d’équipe. En réalité, sur ce site, le savoir-faire peut se targuer d’avoir la double nationalité puisque les composants sont produits à Killarney en Irlande avant d’être assemblés sur notre territoire. 40% de la production en Irlande est envoyée en France. Par ailleurs, Tricel fait partie des premières entreprises à avoir reçu l’agrément ministériel en France en 2011 pour sa gamme de micro-station d’épuration nouvelle génération : Tricel Novo.
+100 employés d’ici à 5 ans
Numéro trois européen dans son secteur d’activité, la multinationale Tricel dispose d’une expérience significative avec plus de 35 000 micro-stations et filtres installés dans le monde. Le groupe distribue ses produits dans plus de 50 pays et compte plus de 520 employés et 12 implantations. Forte de son essor, la société projette de recruter 100 employés supplémentaires en France d’ici à 5 ans et d’augmenter son chiffre d’affaires de 50%.
Sorgues : le CNFPT inaugure ses nouveaux locaux
La campagne de collecte des sapins de Noël, mise en œuvre par la Communauté d’Agglomération Les Sorgues du Comtat a permis le recyclage de 250m2 de sapins.
Le mode opératoire? Des bennes déposées à Pernes, Sorgues et Bédarrides et des points de collecte matérialisés par des barrières à Althen et Monteux ont permis aux habitants de nos communes de se débarrasser de leurs sapins de Noël au cours du mois de janvier.
Mise à disposition de bennes 10 bennes de 15 m3 et 10 bennes de 10 m3 avaient été mises à disposition à Althen, Bédarrides, Pernes et Sorgues, et à Monteux puis réacheminées à la nouvelle plateforme de récupération des déchets verts d’Althen. Celle-ci est réservée aux services des espaces verts communautaires dans le cadre de l’entretien des parcs et espaces publics afin de libérer de la place pour les particuliers dans les deux déchetteries intercommunales de Pernes et Sorgues.
Rien ne se perd, tout se transforme Les végétaux y sont broyés pour être réutilisés en paillage organique et à l’amendement de massifs et haies permettant de réaliser des économies d’eau, d’achat de matières premières et de lutter contre l’envahissement des mauvaise herbes. MH