Sorgues : 3 soirées musicales avec les élèves de l’École de musique et de danse
La saison culturelle de la ville de Sorgues intègre trois soirées musicales successives du mardi 1er au jeudi 3 avril au Pôle culturel. Ces concerts de printemps sont gratuits et s’adressent à tous. Ils sont l’occasion des restitutions d’une année de travail par les élèves de l’École municipale de musique et de danse. Pour célébrer tout en musique ce printemps, chacun ira de sa spécialité, que ce soit en tant que soliste, choriste, ensemble ou orchestre.
Programme des 3 concerts
Mardi 1er avril :
L’ensemble de flûtes adulte
L’orchestre de la classe de 6ème à horaires aménagés musique
Un ensemble de saxophones
Trois groupes de musiques actuelles
L’atelier jazz
Mercredi2 avril :
L’orchestre d’harmonie
La classe de percussions
Les ensembles de saxophones et de clarinettes
La classe de technique vocale
Interprétation d’œuvres allant de Georg Philipp Telemann à Leonard Cohen.
Jeudi3 avril :
La classe de danse en ouverture
L’ensemble de clarinettes adultes
L’orchestre à cordes et l’ensemble à cordes adultes
La classe en fermeture sur « L’épopée du vent » mise en musique par les classes de formation musicale
Concerts de printemps du 1er au 3 avril dès 19h à Sorgues. Pôle culturel – Salle de spectacle. Entrée gratuite sur réservation à l’École municipale de musique et de danse 04 90 39 71 71. Programme de toute la saison culturelle de Sorgues sur www.sorgues.fr
Sorgues : 3 soirées musicales avec les élèves de l’École de musique et de danse
Le Centre Départemental de Santé a ouvert ses portes le 14 janvier dernier dans un cabinet flambant neuf du centre-ville. Philippe Narcante -médecin généraliste venu de Saône et Loire- a été le premier médecin généraliste à accueillir une patientèle satisfaite de renouer avec un suivi médical. À ses côtés, une secrétaire médicale assure la prise de rendez-vous et le Docteur Thierry Porche est venu renforcer l’équipe soignante depuis la mi-mars.
«Sorgues a été l’une des premières villes de la région à instaurer une bourse pour les étudiants en médecine, a souligné Thierry Lagneau, maire de Sorgues. Son fonctionnement est simple : en échange d’une aide financière de 900€ par mois, les étudiants s’engagent à exercer comme médecins généralistes sur le territoire une fois leur diplôme obtenu. Après une première signature il y a quelques semaines, deux nouveaux étudiants viennent de rejoindre ce dispositif. Concrètement, cela signifie qu’à moyen terme, trois nouveaux médecins généralistes viendront renforcer l’offre de soins à Sorgues.»
25 000 consultations assurées Pour attirer des médecins, le Département de Vaucluse propose de nombreux avantages liés au statut salarié : local mis à disposition, tâches administratives assurées par le secrétariat médical, horaires fixes et congés payés, souplesse dans le statut… Et le concept fonctionne puisque dans les trois premiers centres départementaux de santé implantés à Avignon, Cadenet et Apt, 25 000 consultations -chiffres arrêtés en janvier 2025- ont déjà été réalisées par l’ensemble des médecins salariés, ce qui a permis à 3 000 Vauclusiens de retrouver un médecin traitant.
Inauguration Thierry Lagneau, Maire de Sorgues et Vice-Président du Département de Vaucluse, Dominique Santoni, Présidente du Département de Vaucluse, et Suzanne Bouchet, Vice-Présidente du Département de Vaucluse et Présidente de la commission Enfance – Solidarités – Handicap, ont inauguré mi-mars, le Centre Départemental de Santé de Sorgues en présence de Christelle Jablonski-Castanier, Vice-Présidente du Département et Conseillère départementale du Canton de Sorgues, de nombreux élus, des médecins du Centre, d’entreprises partenaires et d’acteurs impliqués.
Les infos pratiques Le centre départemental de santé se situe 20, avenue du 8 mai 1945 à Sorgues. Consultations uniquement sur rendez-vous 04 90 16 10 40.
Sorgues : 3 soirées musicales avec les élèves de l’École de musique et de danse
Le Pôle culturel de la ville de Sorgues organise le samedi 22 mars la 4e édition de la ‘Soirée Kids’. C’est la Compagnie des Mouflettes qui sera à la manœuvre de cet événement jusqu’alors dédié aux enfants de 6 à 11 ans. Il s’ouvre désormais aux ados de 12 ans.
Sur le thème de la compétition (‘Warrior Game Kids’), les jeux gonflables sportifs et les parcours du combattant mettent à l’épreuve les enfants dans un cadre amusant. D’autres animations comme le ‘Blind test’ et la ‘Boum Party’ ponctuent la soirée.
A.R.C
Samedi 22 mars dès 18h. Salle des fêtes. Tarif : 15 € (repas inclus). Billetterie au Pôle culturel. 04 86 19 90 90 Soirée réservée aux enfants de 6 à 12 ans (justificatif d’âge demandé). Tenue de sport conseillée. Retrouvez le programme complet de la saison culturelle sur www.sorgues.fr ou sur https://lc.cx/ODblBy
Sorgues : 3 soirées musicales avec les élèves de l’École de musique et de danse
Philippe Plessis, dirige Proexpace à Sorgues où œuvrent 45 salariés. L’entreprise d’aménagement de pharmacies, magasins d’optiques, tabacs presse et historiquement de GMS –grandes et moyennes surfaces- réalise une centaine de projets par an sur l’ensemble du territoire national et table sur 11M€ de chiffres d’affaire en 2025.La promesse ? Optimiser la performance économique grâce à un design opérationnel et différenciant face à la concurrence.
«Notre entité, proexpace groupe, accueille trois marques : proexpace pour la pharmacie et les métiers de la santé ; Sudexpo pour la GMS et le tabac presse -via Ex nihilo- ainsi Concept optique pour l’optique et l’appareillage audio,» présente Philippe Plessis le dirigeant du groupe.
Au commencement «L’entreprise Sudexpo, a été fondée en 1984 et j’en suis, depuis 2013, le 4e propriétaire, précise Philippe Plessis. Avant ? Je travaillais dans le secteur automobile, en France et à l’international –en Espagne- chez Michelin, puis chez un accessoiriste dans l’automobile –Faab Fabricauto-, pour, ensuite, mener des missions ponctuelles en entreprises avant de fixer mon choix sur Proexpace groupe.»
Comment a eu lieu la bascule de salarié à chef d’entreprise ? «J’étais salarié chez Michelin et, dans ce groupe important, totalisant plus de 140 000 salariés, je savais que je n’aurais pas accès à l’actionnariat. Mais le fait d’y travailler m’avait donné envie d’observer l’actionnariat dans le fonctionnement de l’entreprise. Quel impact celui-ci pouvait avoir dans la gestion d’une entreprise, en dehors d’une gestion dite familiale.»
Exemple d’intervention sur une pharmacie Copyright Proexpace groupe
Vision et direction d’entreprise «Je suis donc parti dans un autre groupe où d’autres actionnaires étaient des financiers. Là, j’ai connu l’actionnariat dit ‘agressif’ comme l’exercent les anglo-saxons et d’autres plus à l’écoute sur le long terme. J’ai ainsi pu comparer les différentes façons de gérer l’entreprise, tout d’abord dans un esprit familial, puis sur le long et plus à court terme.»
L’impact des actionnaires sur l’entreprise «L’idée était d’observer la direction d’entreprise sur de ‘petits formats’ pour comprendre l’action de chacun des acteurs, et notamment sur la pérennité, le développement de l’entité, la stratégie mise à l’œuvre parce qu’il y a des actionnaires qui se placent en dehors de toute stratégie et d’autres qui, au contraire, s’y plongent pleinement. Ça m’a donné envie d’intervenir tant dans l’opérationnel, que dans l’aspect financier.»
Pensez-vous à la transmission d’entreprise ? «En tout cas, pas au début de la reprise d’entreprise. Je pense que l’on n’est pas dans le même état d’esprit que lorsque l’on crée une entité. Quatre personnes ont dirigé cette entreprise avec quatre personnalités totalement différentes. J’ai cheminé avec mon prédécesseur pendant six à neuf mois et, aujourd’hui, je mesure à quel point celle-ci a muté de sa création à aujourd’hui.»
L’empreinte des hommes «Le chef d’entreprise marque de son empreinte l’entreprise et celle-ci est le prolongement moral du dirigeant, notamment lorsqu’il s’agit d’une petite entreprise de notre taille qui accueille 45 salariés pour un chiffre d’affaires, compris entre 10 et 11M€.»
La conception de projets en bureau d’études Copyright Proexpace groupe
A l’origine «À l’origine, l’entreprise travaillait essentiellement dans la grande distribution indépendante, c’est-à-dire pour les Intermarché et les Leclerc. Nous étions le bras armé d’un fabricant métal. Nous implantions les produits de ce fournisseur dans les points de vente pour venir ensuite avec des propositions de meubles spécifiques que l’on produisait et implantait dans ces espaces de vente.»
Le virage des pharmacies «Le premier virage de l’entreprise a été amorcé par mon prédécesseur, lorsqu’il a été sollicité par des pharmaciens qui souhaitaient s’emparer et appliquer le modèle GMS afin de donner plus d’ampleur à leurs pharmacies qui, potentiellement passeraient de 100 à plus de 500 m². Proexpace a, ainsi, été le premier à créer des pharmacies d’envergure telle que la pharmacie de Quissac, dans le Gard, qui s’étendait sur plus de 1000 m² et était dotée de caisses avec tapis roulant. Le concept était d’obtenir, par le volume, des prix très attractifs avec un développement très fort de la parapharmacie. Aujourd’hui, évidemment, tout cela a changé, mais ce nouveau concept de pharmacie est passé par là.»
Développement de l’entreprise «L’entreprise initiale, Sudexpo est née en 1984, Proexpace en 2007, avec une orientation de conception des pharmacies. Lorsque j’ai repris l’entreprise, 60 % du chiffre d’affaires était réalisé en Gms (grande et moyenne surface) et 40 % en pharmacie. Aujourd’hui 80 % du chiffre d’affaires est réalisé en pharmacie et 20 % en GMS. Également, l’entreprise qui était plutôt ancrée dans le Sud-Est et qui réalisait, de façon ponctuelle, des opérations plutôt en région parisienne, travaille désormais sur toute la France grâce à un maillage de commerciaux. Nous sommes devenus l’un des deux plus importants concepteurs de pharmacie au niveau national.»
Maillage de commerciaux sur l’hexagone «Développer l’entreprise passe par un bon maillage des équipes commerciales. Des équipes spécialistes des différents marchés, elles-mêmes liées à des supports transversaux pour la réalisation d’études, la conception du design, la logistique, le transport, le montage…» Des entités spécialisées «Nous avons créé deux nouvelles entités en septembre 2021 : ‘Ex nihilo’–à partir de rien en latin- pour développer le secteur du tabac presse –qui comprend de plus en plus souvent une partie bar-. Cette nouvelle orientation s’est faite suite à la rencontre avec un commercial qui, justement, avait travaillé dans cette branche. Il évoque alors son expérience en Tabac-presse tout en postulant pour le secteur de la pharmacie. Au vu de sa connaissance du secteur, je lui ai proposé de nous lancer sur ce nouveau marché.»
Conception d’un magasin d’optique. Copyright Proexpace groupe
L’optique et les prothèses auditives «Enfin, nous venons de racheter une petite entreprise –de quatre personnes– Concept optique, originaire de Troyes dans l’Aube, en mars 2023 dont l’ancien dirigeant fait partie de l’équipe. Ce rachat nous a permis de développer le marché de l’optique sur la base du travail, déjà existant.»
Bientôt des cabinets d’analyses médicales «Dernièrement, nous avons été sollicités par des cabinets d’analyses médicales qui souhaitaient se rapprocher du design d’intérieur de la pharmacie. Nous devenons, ainsi, multi spécialistes de la pharmacie, de l’optique, du tabac-presse et,bientôt, des cabinets d’analyses médicales.»
Comment avez-vous construit la stratégie de votre entreprise ? «En observant les marchés. La pharmacie a connu un développement assez fort, non pas en nombre mais par les nouvelles attributions de l’État, telles que la vaccination et la proposition de médicaments ‘de base’ dans certaines pathologies sans passer par la case médecin comme c’était le cas auparavant. La pharmacie prend le relais d’une certaine activité de ce qu’aurait pu faire le médecin généraliste, devenu moins accessible en raison de la pénurie de ces professionnels de santé.»
La concurrence «Ce sont des agenceurs de pharmacie plutôt régionaux ou nationaux. Il y a également des menuisiers mais qui ne sont pas, dans ce cas, des spécialistes. Le marché de l’agencement est surtout devenu de plus en plus complexe avec l’implantation de robots qui optimisent le stockage et réalisent la distribution automatique des médicaments et dont il faut tenir compte dans l’agencement et les contraintes réglementaires et les engagements de l’État. En étant spécialistes, nous apportons une écoute et une pertinence à nos clients, nous nous adaptons et nous apportons des solutions aux spécificités du marché, actuelles et également tendancielles.»
Conception d’un tabac presse Copyright Proexpace groupe
Notre logique «Développer notre implantation nationale également, aller vers des activités connexes comme nous l’avons fait pour l’optique. Nous avons une expertise très forte en termes de bureau d’études et de mobilier métal. L’introduction de ce dernier en pharmacie a réellement apporté de la modularité en plus de faire chuter par deux le prix, puisque le mobilier métal est bien moins coûteux que le bois. La pharmacie n’est plus figée comme auparavant. Elle a de nouvelles prérogatives et en cela adapte ses espaces très régulièrement.»
Votre état d’esprit «Nous sommes passés de 20 à 45 salariés ce qui nous a permis de développer le chiffre d’affaires. Nous avons investi et sommes positionnés sur de nouveaux marchés. Ces investissements ont été réalisés pour pérenniser l’entreprise. Par exemple, nous avons investi dans des logiciels très innovants qui permettent une visite virtuelle des projets en cours. Nous présentons au client, qu’il soit pharmacien, opticien, ou patron de tabac-presse, de visiter son espace de vente tel qu’il sera avant son implantation. C’est une vraie aide à la décision.»
Marchés en crise ou pas ? «L’optique est un marché en développement, notamment grâce aux offres duo -deux paires de lunettes au lieu d’une- et à la proposition de prothèses audio. Le tabac presse, dont le marché est en mutation, bénéficie de subventions des douanes. Ce sont des lieux qui deviennent aussi des drugstores de proximité, notamment dans les zones rurales. Également le tabac presse accueillera de plus en plus de bars afin de conserver un lieu de rencontre, un point d’ancrage multigénérationnel au cœur, par exemple, du village rural. Le marché de la pharmacie a, lui, aussi évolué en se concentrant et en se rationalisant. Les caractéristiques de ces trois marchés ? Ce sont des commerces de retails qui se métamorphosent au fur et à mesure que leurs marchés évoluent.»
Conception d’un espace tabac-presse- salon de thé. Copyright Proexpace groupe
Mon expérience «J’ai connu et travaillé sur divers marchés mais celui-ci est particulièrement attrayant. L’agencement, c’est accompagner des personnes à un moment important de leur vie. Ils vivront cette expérience peut-être trois fois dans leur vie professionnelle. Ce sont des moments stressants mais aussi très intéressants pour donner naissance à un lieu professionnel renouvelé. Le métier de l’agencement, est en cela, réellement porteur de sens.»
De la fidélisation à la prospection «Jusqu’à alors, vous avez beaucoup travaillé en fidélisation et désormais travaillez en prospection. Comment vous y prenez-vous ? « Nous travaillons beaucoup sur la motivation du professionnel à vouloir changer son espace ou à le modifier et abordons la capacité financière pour mener à bien le projet. Celui-ci doit être mûrement réfléchi et motivé pour que nous puissions l’accompagner.»
Développement du chiffre d’affaires «Nous devons l’accroissement de notre chiffre d’affaires à une stratégie de développement géographique et de marchés de spécialités. Aujourd’hui nous sommes dans une logique de stabilisation du chiffre d’affaires puisque nous avons renforcé notre bureau d’études et nos équipes de vente. Il y a donc ce temps de digestion avant de croître à nouveau.»
L’équipe Proexpace groupe Copyright Proexpace groupe
On parle transmission ? «J’ai 59 ans. Effectivement je pense à la transmission mais pas avant sans doute quatre ans. Je réfléchis à étoffer mon équipe dirigeante, qui est actuellement un comité de pilotage. J’observe les marchés et les entreprises présentes sur les activités connexes. Toute réflexion est portée sur le fait que la décision doit faire sens dans le développement de l’entreprise.»
Le capital Philippe Plessis détient 75% des parts de Proexpace et BNP Paribas investissement 25%. « L’investisseur intervient dans des arbitrages financiers mais pas dans le champ de l’opérationnel. J’ai choisi cet investisseur parce qu’il travaille sur le temps long, dans une logique industrielle, » souligne Philippe Plessis.
Comment avez-vous choisi cette entreprise ? «J’ai fait une formation à l’ELM de Lyon sur la reprise d’entreprise, puis effectué des missions ponctuelles avec des fonds d’investissement ou, indépendamment, pour des dirigeants, ce qui m’a permis de tisser ma toile et d’identifier les entreprises et les investisseurs. Cette entreprise m’a rappelé des activités que j’avais déjà conduites chez Michelin, c’est sans doute la raison pour laquelle je l’ai rachetée.»
Proexpace. 2 419, route de Carpentras à Sorgues. 04 90 83 65 03. ‘Nous donnons vie à l’univers professionnel qui vous ressemble’.
Sorgues : 3 soirées musicales avec les élèves de l’École de musique et de danse
Jusqu’à la fin du mois de mars, la Ville de Sorgues propose plusieurs rendez-vous sur le thème ‘La conquête de l’Ouest américain’. Exposition, littérature, rendez-vous cinéma, ateliers, jeux, spectacles musicaux, ou encore conférence musicale sont prévus au programme jusqu’au samedi 29 mars.
Depuis ce mardi 11 mars, les premiers peuples d’Amérique du Nord se sont installés dans le hall d’exposition du pôle culturel et de la médiathèque de Sorgues pour une exposition sur la conquête de l’Ouest, conçue par La Caravane des Explorateurs. Jusqu’au samedi 29 mars, le public peut déambuler dans divers espaces, du campement indien au matériel d’explorateur, et découvrir le mode de vie des différents peuples avant et après l’arrivée des colons européens. Une visite contée de cette exposition sera proposé ce samedi 15 mars à 10h30 (gratuit sur inscription à l’accueil de la médiathèque).
Ce samedi 15 mars, La Caravane des Explorateurs animera un atelier ‘Tipi’ à la médiathèque pour en apprendre plus sur cet habitat traditionnel et en construire une version miniature à 15h (gratuit sur inscription à l’Espace Jeunesse).
Le mercredi 19 mars, l’Animothèque de Châteauneuf-de-Gadagne proposera une matinée jeux de société sur les thèmes des cowboys et des Indiens pour apprendre tout en s’amusant de 10h à 11h15 (gratuit sur inscription à l’Espace Jeunesse). À 14h, les enfants seront invités à une lecture d’albums autour des légendes indiennes, puis découvriront quel est leur animal totem (gratuit sur inscription à l’Espace Jeunesse).
Le samedi 22 mars, le public pourra se plonger dans un genre phare du cinéma : le western. Le film Django Unchained sera projeté à 10h pour les amateurs et passionnés de cinéma (à partir de 12 ans, gratuit sur inscription à l’Espace Adultes/Ados).
Le mercredi 26 mars, les bibliothécaires emmèneront les participants dans les grandes plaines, les forêts et les lacs où vivent les peuples Cree, Algonquins et Sioux à travers divers contes à 15h (entrée libre dans la limite des places disponibles).
Le vendredi 28 mars à 19h et le samedi 29 mars à 17h, les élèves de l’école municipale de musique et de danse proposeront un spectacle musical tout droit sorti du Far West. Ils raconteront l »histoire de Shane O’Sullivan, un jeune émigrant irlandais qui a 18 ans lorsqu’il débarque aux États-Unis au milieu du XIXe siècle (gratuit sur réservation à l’EMMD).
Pour terminer cette épopée historique dans l’Ouest américain, une animation musicale sera proposée le samedi 29 mars à 14h avec les musiques cultes qui ont marqué les films de western, mais aussi des musiques plus actuelles avec des artistes de rap ou r’n’b qui se sont inspirés de cet univers (gratuit sur inscription à l’Espace Adultes/Ados).
Jusqu’au samedi 29 mars. Médiathèque Jean Tortel et Pôle culturel Camille Claudel. 285 Avenue d’Avignon. Sorgues.
Sorgues : 3 soirées musicales avec les élèves de l’École de musique et de danse
L’association Cobiac (Collectif de bibliothécaire et intervenants en action culturelle) organise une vente-braderie de livres CD et DVD dans le halle du pôle culturel de la Médiathèque municipale Jean Tortel de Sorgues. L’opération se déroulera vendredi 7 mars et samedi 8 mars de 10h – 17h. L’occasion de profiter d’une large sélection de documents d’occasion à des tarifs accessibles (livres : de 1€ à 10€, revues : 0,50€, CD et DVD : 1€).
Acteur engagé pour la lecture et les bibliothèques dans le monde, Cobiac met en œuvre des actions concrètes pour favoriser l’accès à la lecture et développer les bibliothèques dans de nombreux pays. Pour soutenir ces projets, le COBIAC organise ce type de vente solidaire, dont les bénéfices financent ces initiatives.
Sorgues : 3 soirées musicales avec les élèves de l’École de musique et de danse
Fort de ses 40 musiciens, l’orchestre des Philharmonistes des Pays de Vaucluse a fait le tour du monde. En octobre 2024, il était encore en tournée en Italie où il a été chaleureusement applaudi à Venise, Imola et Pesaro.
Depuis une dizaine d’années, il répète tous les samedis matins dans les locaux de l’EMMD (École Municipale de Musique et de Danse). Après le projet ‘Vintage’ en 2023 qui l’a associé à l’orchestre d’Harmonie de l’école municipale, les deux orchestres vont à nouveau partager la scène le temps de ce concert.
Les infos pratiques Samedi 8 mars. Concerts d’harmonies par les Philharmonistes des Pays de Vaucluse et l’orchestre d’harmonie de l’EMMD. Pôle culturel Camille Claudel, salle de spectacle. Gratuit. Réservation 04 86 19 90 90 www.sorgues.fr 285, avenue d’Avignon à Sorgues. MMH
Sorgues : 3 soirées musicales avec les élèves de l’École de musique et de danse
L’avenue d’Avignon, à Sorgues se modernise pour intégrer outre la circulation routière, de nouveaux aménagements dévolus aux piétons et à la pratique du vélo. Les travaux de la troisième phase, qui concernent la section allant du croisement de l’avenue de Gentilly jusqu’au Crédit Agricole, débuteront ce lundi 3 mars 2025 jusqu’au mois de janvier 2026. Cette troisième étape finalisera la rénovation de cette artère principale en intégrant des aménagements permettant d’améliorer la circulation des automobilistes, cyclistes et piétons. Un soin particulier sera apporté à l’embellissement et à la végétalisation des espaces.
Le chantier se déroulera en 3 périodes Du 3 au 17 mars Rabotage général de la chaussée. La circulation et le stationnement seront interdits, y compris aux riverains, sur l’avenue d’Avignon, entre la rue Denis Soulier et la rue Saint-Hubert. Durant cette période, ceux-ci seront invités à garer leurs véhicules sur les parkings les plus proches : places Charles de Gaulle et Dis Iero, Boulodrome. Une déviation sera mise en place par l’avenue du 19 mars 1962 et par l’avenue Gentilly.
Du 17 mars à octobre Création de tranchées pour les réseaux. Réouverture de la circulation en sens unique dans le sens sortant : intersections avenue Saint-Hubert et avenue Gentilly. Réouverture des places de stationnement longitudinales sur l’avenue d’Avignon, entre le Crédit Agricole et l’avenue Gentilly. Mise en sens unique de la rue Denis Soulier, dans le sens sortant vers l’avenue d’Avignon.
Copyright Ville de Sorgues
Octobre 2025 à janvier 2026 Voirie de surface et espaces verts. La circulation sera adaptée en fonction de l’avancée des travaux. Les services municipaux, les commerçants et artisans, les agences et les professions libérales situés sur l’emprise du chantier resteront ouverts et accessibles durant les travaux.
En savoir plus Le chantier a débuté en juillet 2024 pour une durée de 18 mois et a pour objet d’améliorer la qualité environnementale de l’avenue avec la plantation de 70 arbres, arbustes et végétaux. Elle sera également rythmée d’îlots de fraîcheur, d’une esplanade centrale et de revêtements clairs et drainants.
Le parvis du pôle culturel Camille Claudel Dans un même temps le parvis du pôle culturel Camille Claudel sera revu avec l’installation de mobilier urbain et l’enfouissement des réseaux aériens. Les cheminements piétons seront sécurisés ainsi que les pistes cyclables à double sens, offrant une étape supplémentaire dans la liaison verte, entre la voie des papes et la gare Sncf, liaison qui sera achevée n 2026 avec l’aménagement de l’avenue de Gentilly.
Sécuriser l’avenue Celle-ci sera sécurisée par la mise en place de plateaux routiers permettant de réduire la vitesse des voitures, les arrêts de bus seront remis aux normes ainsi que les réseaux d’eau potable et des eaux usées. Enfin, 30 nouvelles places de stationnement participeront à fluidifier la circulation, notamment par la suppression des feux du carrefour de Gentilly et la création d’un dépose minute devant le pôle culturel.
Sorgues : 3 soirées musicales avec les élèves de l’École de musique et de danse
Suite à l’agression survenue devant le lycée Montesquieu de Sorgues, la gendarmerie et la Police Municipale ont décidé d’unir leurs forces pour sécuriser les abords de l’établissement et rassurer élèves, parents et riverains. « La présence renforcée des patrouilles vise à prévenir tout nouvel incident et à garantir un environnement serein pour tous », explique la gendarmerie de Vaucluse. Cette mesure fait suite à l’agression au couteau d’un jeune de 17 ans, ce lundi matin 24 février, devant l’établissement scolaire. Les jours de la victime ne sont plus en danger alors que l’agresseur, né en 2008, a été interpellé par les gendarmes quelques heures plus tard. Une enquête pour tentative de meurtre a été ouverte à l’encontre de ce dernier, lui aussi élève dans le même lycée.
« Dans nos lycées, on doit apprendre, s’épanouir, préparer son avenir. Pas craindre la violence. »
Renaud Muselier, président de la Région Sud
La Région va renforcer les contrôles dans les lycées « Je veux, au nom de la Région Sud, dire toute ma solidarité à la victime, à sa famille et à la communauté éducative, dénonce Renaud Muselier, président de la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur. Je tiens à remercier les secours, les forces de l’ordre dont l’intervention rapide a permis d’interpeller l’agresseur, ainsi que l’agent d’accueil du lycée, dont le sang-froid et la réactivité ont permis de porter immédiatement assistance à la victime. Rien ne justifie, jamais, une telle violence, cet acte est inacceptable ! Dans nos lycées, on doit apprendre, s’épanouir, préparer son avenir. Pas craindre la violence. »
« Après l’annonce la semaine dernière d’Elisabeth Borne, Ministre de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, une multiplication des contrôles réguliers de sacs seront organisés devant certains lycées dès le printemps par les forces de l’ordre, en lien avec le préfet, le procureur et le représentant de l’Education nationale, poursuit le président de la Région Sud dont les lycées sont une de ses compétences. La Région est et restera pleinement mobilisée pour garantir la sécurité et la tranquillité de nos jeunes. »