26 novembre 2024 |

Ecrit par le 26 novembre 2024

Rothelec : 65% des Français craignent de subir un hiver très rigoureux

Rothelec, spécialiste du chauffage électrique économique et inventeur du radiateur à inertie, a mené une enquête auprès de 1 004 personnes représentatives de la population française afin de savoir comment elles allaient gérer cette saison d’hiver et de froid.

Comme chaque année, avec les températures qui commencent à chuter, se protéger du froid devient une des préoccupations de Français, mais seulement 44% déclarent avoir tout prévu pour avoir bien chaud cet hiver. Pour les autres, 39% avouent de rien avoir préparé et 17% ne savent pas. Pourtant, pour plus de 65% des personnes interrogées, la crainte d’un hiver très rigoureux est bien présente dans leur esprit. Seulement 33% restent optimistes et 2% ne savent pas.

Pour pallier une baisse importante du thermomètre, seulement 27% des Français ont mis de côté un peu d’argent afin de pouvoir réagir en conséquence. Ainsi, 45% ont prévu entre 100€ et 300€ pour agir contre le froid et 33% entre 300€ et 500€.

23% des Français pensent acheter un chauffage d’appoint afin de compléter leur système existant, en cas de vague de froid. En deuxième solution, 21% préfèrent opter pour des vêtements plus chauds et 17% s’orienteront vers un nouveau système de chauffage.

Enfin, pour beaucoup de personnes qui n’ont pas prévu de budget en cas de froid intense, plusieurs solutions sont envisagées. En premier lieu, 79% vont jouer les oignons et se couvrir de plusieurs couches de vêtements pour avoir plus chaud. En deuxième position, 58% prévoient de rester plus longtemps sur leur lieu de travail afin de profiter de la chaleur des locaux et faire ainsi des économies à leur domicile. Enfin, à la troisième place du classement, 56% vont manger un peu plus et certainement de la nourriture plus énergétique.

Enquête réalisée par Rothelec auprès de 1 004 personnes représentatives de la population nationale française âgée de 18 ans et plus. Sondage effectué entre le 21 et le 25 novembre 2022.


Rothelec : 65% des Français craignent de subir un hiver très rigoureux

Les Français sont-ils prêts à s’engager pour la planète pendant les vacances ? C’est la question que NooS.Global, plateforme d’engagement RSE et ESG, a posé à 1 002 personnes représentatives de la population afin de mieux cerner l’attitude des Français envers l’environnement pendant leurs congés.

Dans la vie de tous les jours ou pendant leurs congés d’été, il semble que les Français n’aient pas tous la même attitude envers l’environnement. En effet, 61% déclarent avoir un comportement plus responsable et engagé envers la planète pendant leurs vacances. Dans le détail, ils sont 29% à se dire beaucoup plus engagés et 32% un peu plus. Les personnes qui ne changent rien à leurs habitudes ne sont que 31% et 8% avouent être moins attentifs et responsables pendant leurs vacances.

Vacancier rime-t-il avec engagé ? © Noos.global

Parmi toutes les actions possibles pendant l’été, l’engagement des Français se porte d’abord sur la réduction des plastiques avec plus de 59% de votes. 44% sont très sensibles aux économies d’eau et 44% recherchent des moyens de transports plus verts comme le train ou le bus. Malheureusement, 31% des répondants déclarent qu’ils n’engageront aucune action spécifique en faveur de l’environnement pendant leurs vacances.

Le plastique, toujours pas fantastique © Noos.global

Plages souillées, décharges sauvages, poubelles abandonnées, etc. Il est vrai que les mauvais exemples de comportements sont nombreux. C’est peut-être la raison pour laquelle 65% des Français pensent que leurs concitoyens ne sont pas respectueux de l’environnement. 21% estiment même qu’ils ne le sont pas du tout et 44% pas énormément. Seulement 9% pensent que les Français sont très respectueux et 26% un peu.

C’est pas moi, ce sont les autres © Noos.global

A la question « Seriez-vous prêt(e) à participer à une mission solidaire ou humanitaire pendant vos vacances ? », plus de 42% des Français répondent par l’affirmative. Mais si 3% ont déjà tout organisé, plus de 39% ne savent pas du tout comment s’y prendre. De plus, les vacances sont considérées par 41% des personnes interrogées comme un besoin de détente et de repos, et 17% n’ont pas envie de participer à ce type d’actions.

2 français sur 5 prêts à agir © Noos.global

Pour les personnes qui ont décidé d’agir pour l’environnement, 74% vont œuvrer pour réduire la production de plastique, collecter des déchets, recycler et upcycler tout en sensibilisant d’autres citoyens et ainsi atteindre le zéro déchet. En deuxième choix, 72% veulent agir pour la biodiversité et protéger ainsi les terres et les mers. Enfin à la troisième marche du podium, 69% sont attirés par des projets capables d’atténuer les changements climatiques dans le monde entier.

Quelles missions préfèrent les Français ? © Noos.global

Beaucoup d’organismes et de professionnels dénoncent ou alertent sur les dérives que peuvent engendrer certaines missions humanitaires ou environnementales proposées comme alternatives aux vacances. Une prise de conscience qui n’a pas échappé aux 59% des Français qui pensent effectivement utile d’encadrer ces missions pour éviter ce genre de dérives touristiques.

Volontourisme : polémique ou pas ? © Noos.global

Enquête réalisée auprès de 1 002 personnes représentatives de la population nationale française âgée de 18 ans et plus. Sondage effectué en ligne à partir du panel de répondants BuzzPress (27 000 personnes en France). Le 29 juin, un sondage électronique a été envoyé par email et publié en ligne sur les réseaux sociaux Facebook et LinkedIn. Les réponses ont ensuite été compilées et pondérées le 7 juillet en fonction de quotas préétablis visant à assurer la représentativité de l’échantillon et afin d’obtenir une représentativité de la population visée. Toutes les pondérations s’appuient sur des données administratives et sur les données collectées par l’Insee.

J.R.


Rothelec : 65% des Français craignent de subir un hiver très rigoureux

Selon nos confrères du magazine Le Point ayant eu accès à un sondage commandité par le Parti Socialiste à l’Ifop, Thierry Mariani et Renaud Muselier figureraient en tête du premier tour des prochaines élections régionales de Provence-Alpes-Côte d’Azur des 20 et 27 juin prochains. Les deux hommes se connaissent bien puisqu’ils ont exercé, au mitan des années 1980, des postes à responsabilité au sein des Jeunes RPR, dont la 1re université d’été s’est déroulée en 1983 à Avignon.
La tête de liste RN (Rassemblement national) et le président LR (Les Républicains) sortant seraient respectivement crédités de 33% et de 27% des intentions de vote.
Ce sondage, réalisé auprès d’un échantillon de 901 personnes, fait par ailleurs apparaître un résultat assez contrasté à gauche selon qu’il y ait union ou pas.
Ainsi, en cas de rassemblement d’une liste d’union (Parti socialiste, collectifs citoyens, Parti communiste et Europe Ecologie-Les Verts) conduite par Olivia Fortin cette dernière recueillerait 23 % d’intentions de vote. A l’inverse, avec scrutin en ordre dispersé la gauche totaliserait 15% (Parti socialiste et Parti communiste) et EELV (7%). La Liste LREM (La République en marche) totalisant pour sa part 13%.

Autre sondage, même résultat
Même constat chez nos confrères de La Tribune et d’Europe 1, où pour l’Ifop, là encore, Thierry Mariani (31%) et Renaud Muselier arrivent en tête (27%). Loin devant les listes LREM (13%), EELV (8%), Parti socialiste & Parti communiste (7%), France insoumise (7%), Debout la France (4%)…
« Renaud Muselier est très fort chez les personnes âgées. Thierry Mariani, chez les jeunes, a expliqué Frédéric Dabi, directeur du pôle ‘Opinion et stratégies’ à l’Ifop, au micro d’Europe 1. Renaud Muselier surperforme dans les catégories supérieures. Thierry Mariani dans les catégories populaires. Même chose pour le niveau de diplôme. On n’a vraiment pas de zones de frottement. Ce sont deux électorats qui se superposent pour l’instant au premier tour. »
Cependant, en cas d’une liste ‘d’Union régionale’ menée par Renaud Muselier bénéficiant du soutien de LREM, le président actuel du Conseil régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur arriverait en tête au premier tour avec 34%. Thierry Mariani, ancien maire de Valréas de 1989 à 2005 et ancien député de la 4e circonscription de Vaucluse notamment, restant au score de 31% dans ce cas de figure.

Quel résultat au second tour ?
Toujours selon les résultats du sondage réalisé pour le compte de La Tribune et d’Europe 1, en cas de triangulaire PS-EELV/LR/RN au second tour des régionales c’est Renaud Muselier qui arriverait en tête avec 39% des opinions exprimées contre 37% pour Thierry Mariani et 24% pour une liste d’union de la gauche conduite par Oliva Fortin et Jean-Laurent Félizia.
Pour rappel, en 2015 la gauche s’était désistée entre les deux tours des régionales afin de faire barrage au Front national (devenu depuis Rassemblement national en 2018).
Par ailleurs, Thierry Mariani a déjà mené un liste aux régionales de Provence-Alpes-Côte d’Azur. C’était en 2010, où il était tête de liste pour l’UMP (Union pour un mouvement populaire devenue Les Républicains en 2015). A l’époque, c’est le socialiste Michel Vauzelle qui avait été reconduit à la présidence de la Région. Depuis, l’ancien ministre des transports de Nicolas Sarkozy mais président des Chorégies d’Orange s’est rallié au parti de Marine Le Pen en 2019 tout en n’en devenant pas membre.

Retrouvez ici le détail de l’étude de l’Ifop menée pour Europe 1 et La Tribune dans le cadre des élections régionales de 2021 en Provence-Alpes-Côte d’Azur.


Rothelec : 65% des Français craignent de subir un hiver très rigoureux

Pour cette nouvelle année, QAPA, la plateforme de recrutement par l’intérim, a interrogé plus de 4,5 millions de Français afin de savoir comment ils appréhendaient 2021. Un sondage* qui montre que les prévisions des Français sont mitigées…

Si l’année 2020 a connu des bouleversements sans précédents, celle à venir risque d’être également très compliquée. Heureusement, 48 % des Français pensent que 2021 sera bénéfique pour l’emploi (20 % très bénéfique et 28 % un peu). Plus de 29 % sont plutôt pessimistes quant à d’éventuelles améliorations des embauches et 23 % sont dans l’expectative la plus totale. Malgré tout, 59 % des Français espèrent que la crise sanitaire va permettre la création de nouveaux emplois, dans de nombreux secteurs comme l’e-commerce, la logistique, les transports, etc.

Un télétravail primordial
Les confinements auront permis aux Français de se mettre au télétravail. Cependant, cette forme d’activité professionnelle peut-elle générer de nouveaux emplois ? 26 % des personnes interrogées en sont totalement convaincues et 31 % un peu. En revanche, 25 % n’y croient pas et 18 % ne savent pas répondre à cette question. Une chose est claire, le télétravail va prendre une place très importante sur le marché de l’emploi. Pour 51 % des Français, pouvoir faire du home office dans leur prochain job sera primordial et assez important pour 35 %. Seulement 14 % considèrent comme accessoire le fait de travailler à la maison.

Des Français peu optimistes
Pour cette nouvelle année, 26 % des Français vont changer d’orientation professionnelle : c’est ce qui est prévu pour 11 % et espéré pour 15 % d’entre eux. 35 % ne vont rien changer à leur carrière et 39 % n’ont encore rien décidé à ce sujet.  Cette nouvelle année ne se place pas sous le signe de l’euphorie. En effet, plus de 67 % des Français avouent ressentir un sentiment négatif pour 2021 : 39 % se déclarent négatifs et 28 % ultra négatifs. 15 % sont neutres et seulement 18 % voient cette nouvelle en rose (12 % sont positifs et 6 % ultra positifs).

 

*Sondage réalisé entre le 22 et le 29 décembre 2020 auprès de 4,5 millions de candidats sur la plateforme QAPA. Analyse réalisée par quotas. Parmi ces personnes interrogées, 52 % d’entre elles sont des non-cadres et 48 % sont des cadres. Femmes : 51 % Hommes : 49 %. Toutes les informations mises en avant par les candidats sont déclaratives.


Rothelec : 65% des Français craignent de subir un hiver très rigoureux

Osez-vous encore parler de tout au travail ? C’est la question que QAPA, la plateforme de recrutement par l’intérim, a posé à plus de 4,5 millions de candidats pour savoir si les Français osaient encore aborder tous les sujets de société au travail.

Selon un *sondage réalisé par QAPA, 87 % des Français pensent que la liberté d’expression est menacée au travail. 32 % des Français n’osent plus du tout s’exprimer librement sur leur lieu de travail et 47 % ne le font qu’avec des personnes choisies. 71 % déclarent qu’ils pratiquent même l’autocensure pour éviter tout conflit. Seulement 21 % se sentent encore libres de parler de tous les sujets de société.

Parmi tous les sujets de conversation possibles, 84 % des Français n’osent plus aborder ceux qui concernent l’égalité en général, que ce soit au niveau racial, des genres, des physionomies, etc. Tout ce qui concerne la religion est également banni par 78 %, juste devant les sujets liés à la crise sanitaire à 59 %. Même la politique arrive derrière en quatrième position avec 58 %. Un Français sur deux n’ose plus parler d’argent (51 %) ou de choses personnelles (49 %). 68 % des personnes interrogées avouent qu’elles ont déjà eu des altercations sur leur lieu de travail à cause d’opinions divergentes. L’humour a encore une petite place pour 79 % mais seuls les sujets légers comme les loisirs semblent être de mise au travail (97 %).

*Sondage réalisé entre le 4 et 9 novembre 2020 auprès de 4,5 millions de candidats sur la plateforme QAPA. Analyse réalisée par quotas. Parmi ces personnes interrogées, 52 % d’entre eux sont des non-cadres et 48 % sont des cadres. Toutes les informations mises en avant par les candidats sont déclaratives.


Rothelec : 65% des Français craignent de subir un hiver très rigoureux

L’opérateur de bureau Deskeo vient de se pencher sur le moral des Français, leur gestion du temps de présence, le télétravail et sur l’impact de la visioconférence.

Menée auprès de 3 216 professionnels sur l’ensemble du territoire français, l’enquête montre tout d’abord que plus de 66 % des Français sont pessimistes vis-à-vis de l’avenir. 68 % sont prêts à passer la majorité de leur temps de travail au bureau (si le protocole sanitaire est respecté) tandis que 2 Français sur 3 ont du mal à utiliser correctement les outils de visioconférence.

Devenue courante depuis la période de confinement, la visioconférence au travail est à présent très largement utilisée par plus de 89 % des Français. En effet, 51 % s’en servent occasionnellement et 38 % très souvent. Malgré tout, ce nouvel outil n’est pas encore totalement dompté par tout le monde. Ainsi, 62 % des Français avouent avoir du mal à se servir correctement les logiciels de visioconférence et 29 % éprouvent même souvent des difficultés à les utiliser.

Par ailleurs, le développement du télétravail dévoile également de nouvelles problématiques. En effet, les Français n’apprécient pas que l’on pénètre l’intimité de leur foyer. Ainsi, lors d’une visioconférence à la maison, plus de 77 % cachent le fond pour éviter de dévoiler leur domicile. En outre, 39 % sont gênés par le fait de voir celui de leurs interlocuteur et 56 % des Français ne le considèrent pas comme une expérience agréable à vivre.

Enfin, quant à la question : ‘De manière générale, quel type de réunions préférez-vous ?’, les Français semblent avoir fait leur choix. Ainsi, plus de 66 % déclarent qu’ils apprécient davantage les réunions à distance par visioconférence que les réunions physiques. Parmi toutes les actions organisées au sein des entreprises depuis la rentrée de septembre, trois arrivent en tête du classement : plus de 84 % ont eu des réunions à distance, 76 % ont eu un discours des fondateurs de leur entreprise et 35 % ont lancé de nouveaux projets.

https://echodumardi.com/tag/sondage/page/2/   1/1