27 juillet 2024 |

Ecrit par le 27 juillet 2024

Récolte solidaire : Avignon s’engage pour les plus démunis

Dans le cadre de l’opération ‘Légumes solidaires’, la ville d’Avignon organise un ramassage de pommes de terre le vendredi 5 août à 9h sur le site de l’association Semailles. Ces pommes de terre seront offertes aux associations caritatives avignonnaises, présentes sur place pour le ramassage, afin de les redistribuer aux plus démunis.

Lancée l’an dernier, l’opération ‘Légumes solidaires’, se déploie sur trois sites (lycée François Pétrarque, Pépinière municipale et Semaille) et mobilise lycéens, enseignants, bénévoles de la réserve citoyenne et associations. Une action qui s’inscrit dans le cadre des engagements solidaires portés par la ville d’Avignon et qui porte ses fruits. Ainsi, en 2021, ont été récoltés : 500 kg de courgettes à la Pépinière, 800kg de courgettes au lycée Pétrarque et 900 kg de pommes de terre ainsi que 70 courges à Semailles.

Vendredi 5 août, la ville d’Avignon renouvelle l’expérience et organise le ramassage de pommes de terre sur le site de l’association Semailles. Ces pommes de terre seront offertes aux associations caritatives avignonnaises, présentes sur place pour le ramassage, afin de les redistribuer aux plus démunis.

Dans le même esprit que les ‘Légumes solidaires’, la ville d’Avignon confie chaque année à une classe de primaire le soin de planter à la Pépinière municipale des courges destinées aux cantines avignonnaises. Là encore, le succès était au rendez-vous l’an dernier puisque 2 tonnes ont été collectées, soit l’équivalent de 12 000 repas.  

J.R.


Récolte solidaire : Avignon s’engage pour les plus démunis

Pour la toute première fois, les ophtalmologues de l’association ‘voir plus loin’ organisent une course de nego chin (barque provençale), le samedi 25 juin à l’Isle-sur-la-Sorgue pour promouvoir le don de cornées et sensibiliser au don d’organes et de sang.

L’événement, qui se veut festif, traditionnel et familial, est organisé avec le soutien de l’établissement Français du sang (EFS), l’association des Nego Chin, la fondation Frédéric Gaillanne, la ville de l’Isle-sur-la-Sorgue et le département de Vaucluse. La course de nego chin au lieu sur les eaux de la Sorgue.

Sur le don de cornée
La cornée est une lentille transparente située en avant de l’œil. Sa fonction est primordiale pour la transmission et la réfraction de la lumière. Une cornée qui subit une anomalie génétique, une infection, une brûlure, un accident ou une maladie plus globale entraîne une altération voire la cécité totale de la personne.
En 2021, 5 674 cornées ont été prélevées soit 10,4% de baisse par rapport à l’activité enregistrée en 2019 avant la pandémie de covid-19. A ce jour, près de 24 000 patients sont inscrits sur liste d’attente de greffes et moins de 6 000 greffes sont réalisées chaque année. Plus de 17 000 patients sont toujours dans l’attente d’une greffe.

Qui peut donner sa cornée ?
Tout le monde peut donner après son décès. La greffe de cornée est facilitée par le fait qu’elle ne subit que peu la problématique de la conservation et du délai de transfert. Il n’existe pas de restriction de compatibilité de groupe sanguin, de genre ou d’âge.

Programme :
16h-19h : stands de sensibilisation
Sur l’esplanade Robert Vasse, en présence de la Fondation Frédéric Gaillanne et de l’EFS (établissement français du sang) – Animation par Jérôme Zindi. Promenade découverte en nego chin ouverte au public.

17h30 : course de nego chin
Départ de l’esplanade Robert Vasse, en présence de Dominique Santoni, présidente du département de Vaucluse, Pierre Gonzalvez, maire de l’Isle-sur-la-Sorgue et vice-président du département d’Avignon, infirmières préleveuses des équipes de l’EFS d’Avignon, de l’Isle-sur-la-Sorgue, d’ophtalmologues des secteurs publics et privés de l’Isle-sur-la-Sorgue, Carpentras, du Vaucluse et de la région (Marseille).

18h30 : remise des prix
Durant ce moment, les barreurs de l’Isle-sur-la-Sorgue partageront leur savoir-faire et leur nego chin avec des invités. Les équipages s’écouleront sur les eaux de la Sorgue.

En savoir plus sur le don de sang : https://dondesang.efs.sante.fr/
En savoir plus sur la fondation F. Gaillanne : www.fondationfg.org

J.R.


Récolte solidaire : Avignon s’engage pour les plus démunis

La société Virbac France, spécialisée dans la santé animale, organise les lundi 13 et mardi 14 juin prochains, un cyclo challenge de 340km au profit de la Fondation Frédéric Gaillanne, seule école en Europe d’éducation de chiens guides destinés exclusivement à des enfants aveugles ou malvoyants.

La société Virbac France, filiale française du groupe international Virbac, accompagne les professionnels de la santé animale et les propriétaires d’animaux. Depuis 2021, la société s’investit au profit des chiens guides pour les enfants aveugles et malvoyants en soutenant la Fondation Frédéric Gaillanne. Virbac France nourrit aujourd’hui tous les chiens de la Fondation via des dons de croquettes. Pour soutenir davantage cette cause, la société entreprend la création d’un événement sportif : un challenge cycliste.
L’événement se tiendra les lundi 13 et mardi 14 juin et regroupera 20 vétérinaires des quatre coins de la France. L’objectif : parcourir 340km en deux jours. Ils traverseront plus de 60 communes, sillonneront les routes du Mont Ventoux et du Verdon pour rejoindre Carros, où se trouve le siège social de Virbac.

La Fondation Frédéric Gaillanne
Située à l’Isle-sur-la-Sorgue, la Fondation Frédéric Gaillanne œuvre depuis 2008 pour offrir des chiens guides aux enfants aveugles ou malvoyants, âgés de 12 à 18 ans. Pour les enfants, les bénéfices sont nombreux : lien social, épanouissement, autonomie, confiance en soi…
Le processus d’obtention d’un chien guide se fait en trois temps : un stage de découverte de deux jours, suivi d’une préclasse de cinq jours, puis d’une classe de remise de chiens guides qui se déroule sur trois semaines. La prochaine classe de remise aura lieu en octobre 2022.

Jérôme Renaud

Si vous souhaitez soutenir la Fondation Frédéric Gaillanne, voici ses coordonnées : 150 Chemin de la Tour de Sabran, 84800 L’Isle-sur-la-Sorgue, 04 90 85 11 05 – www.fondationfg.org


Récolte solidaire : Avignon s’engage pour les plus démunis

A l’Isle-sur-la-Sorgue en plein centre ville, l’association Job’Appart propose une aide alimentaire et un accompagnement pour des personnes en précarité financière. Chaque jour, le local ouvre ses portes pour une préparation de repas suivie de deux services à table. Depuis le covid, le nombre de bénéficiaires à doublé.

Au départ, l’association fondée par le psychanalyste et diacre Jean-Louis Andreani en 1995 avait pour vocation d’accompagner au logement ainsi qu’à l’emploi. Les premières aides alimentaires étaient à hauteur d’une cinquantaine de repas par jour moyennant une participation de 50 centimes, pour ceux qui le pouvaient. Tous les repas étaient préparés par des bénévoles et servis (‘la table de Job’) sur deux services à midi et 13h: une soupe, un plat de résistance, un fromage et un dessert.
“Très rapidement, on est passé de 50 repas par jour à 80 repas et maintenant on est autour de 100 à 130 repas distribués par jour, constate Fanny Frauciel, directrice de l’association.
Avec le covid, l’association à du fermer ses portes et trouver une solution. Finalement, c’est par l’attribution de repas en boîte à l’extérieur du local (Job Drive) qu’elle à pu se maintenir.
“C’est à ce moment-là qu’on s’est rendu compte que beaucoup de personnes étaient dans le besoin mais ne venaient pas manger. Elles n’osaient pas venir parce que les principales personnes qui venaient étaient des gens de la rue. Mais beaucoup de personnes avaient besoin de manger, notamment équilibré,” poursuit Fanny Frauciel. Depuis, de nouveaux profils font surface. Beaucoup plus de familles viennent chercher leur repas, notamment des familles nombreuses, des mères seules et des couples. Mais la plus grande majorité des nouveaux bénéficiaires sont retraités ou étudiants.

Une transition difficile
Pour la trentaine de bénévoles, l’idéal était d’arriver, après le Covid, à continuer la distribution alimentaire à l’extérieur mais de reprendre ‘la table de Job’ qui fournissait un véritable intérêt pour les personnes à la rue et les plus oubliés, leur permettant de manger assis, tous ensemble et de partager ce moment.
“Le problème, indique la directrice et ancienne éducatrice spécialisée, c’était qu’on arrivait plus à faire 100 repas. C’était un calcul tous les matins pour savoir ce qu’on allait faire et comment on allait le faire.”
C’est grâce au projet France Relance, pour lequel l’association à été lauréate, que celle-ci a pu continuer de servir les repas. L’année dernière, le préfet du Vaucluse est venu annoncer en personne l’attribution de 75 000€. Une somme qui a permis d’effectuer des travaux d’optimisation de la cuisine, de la réserve, de passer de 1 à 3 salariées.
Au bout du compte, c’est de façon tout juste suffisante que l’association se maintient chaque année même si elle bénéficie de subventions du conseil départemental de Vaucluse, du Conseil régional pour l’aide alimentaire, d’apports de fondation qui financent des projets chaque année (Grand Delta Habitat, Saint François d’Assises) et d’entraide de particuliers qui soutiennent le projet par des dons.
“On avance grâce à tout ça mais on à toujours la boule au ventre, on n’est jamais très à l’aise” rappelle Fanny Frauciel.

Une aide qui va bien au-delà des repas
Au-delà de la distribution des repas, l’association met en place tout un système d’accompagnement pour les bénéficiaires. Au-dessus du local, un hébergement d’urgence est ouvert avec quelques lits pour des périodes de courtes durées. Tous les matins, pendant que les bénévoles épluchent, trient, ramassent et cuisinent, Fanny s’entretient avec des bénéficiaires pour un accompagnement social spécifique (aide vers l’hébergement, médicale, administrative) en collaboration avec les partenaires sociaux du secteur.
Car à l’Isle-sur-la-Sorgue, Job’Appart n’est pas seule et bénéficie de l’aide d’autres associations comme Les restos du cœur, La Croix Rouge, le Secours Catholique, les 3 Eco, pour l’accompagnement de l’aide au logement ou encore de la Cigalette pour l’aide administrative et l’accompagnement de l’apprentissage de la langue française. Un réseau actif qui permet le bon fonctionnement des associations et facilite la coordination.
“La table de Job et Job Drive sont une entrée pour les personnes qui n’osent pas forcément demander de l’aide. Par ce biais là, les bénéficiaires prennent confiance et viennent ensuite chercher une aide, principalement administrative. Les trois quart n’ont pas de poste informatique ou ne savent pas l’utiliser.”

Une situation qui traduit ‘un mal-être’
Si le nombre de bénéficiaires a augmenté si drastiquement, ce n’est pas un hasard. En tout, on retrouve dans le Vaucluse une dizaine d’associations d’aide alimentaire. Une présence indispensable pour le 5ème département le plus pauvre de France avec 11,5% des personnes vivant sous le seuil de pauvreté en 2021, contre 9,5% en 2017.
Néanmoins, la directrice de Job’Appart y voit du positif et relativise sur le sujet. “L’Etat ne peut pas tout gérer. On voit bien que tout cela traduit un mal-être. Malgré tout, on perçoit un tissu associatif qui se renforce, que les particuliers entre eux s’entraident. Cette situation actionne tout un système de solidarité, qui ne fonctionne que parce que cela reste associatif, qu’on reverse ce que l’on reçoit et qu’il n’y a aucun but lucratif derrière. Les gens donnent à leur manière et en fonction de leur capacité. Beaucoup de bénéficiaires sont aussi bénévoles. Sur 300 foyers qu’on aide, peut-être 5 ou 6 vont abuser du système, et encore ce n’est pas sûr. Certains vont aller dans 3 associations en un jour et redistribuer à ceux qui n’y vont pas. Chacun effectue un échange à sa manière. Le principal est de ne pas faire de l’associatif inutile et d’accompagner vers l’autonomie,” insiste Fanny Frauciel.

Pour faire un don: https://www.leetchi.com/c/un-don-pour-job-appart


Récolte solidaire : Avignon s’engage pour les plus démunis

Pour sa journée de la solidarité, Mazan a préféré chiner plutôt que courir : dépenser plutôt que se dépenser. En effet, en remplacement de la Course du 1er mai, la ville de Mazan et le CCAS (centre communal d’action sociale) ont organisé un grand vide-grenier solidaire dans le centre-ville.
Objectif : rassembler des fonds pour les associations caritatives participantes, le Secours catholique et le Don du sang, qui tenaient leur propre stand au niveau du jardin de Moudon. 
Au total, ce sont plus de 80 exposants qui se sont donné rendez-vous dès 6h du matin à l’occasion de cette journée de solidarité. Le public avait aussi la possibilité de prendre un repas à emporter au restaurant Le Siècle, qui dans le cadre d’un partenariat avec le CCAS a reversé aussi une partie des recettes aux associations (2€ par repas).
Au final, la commune a ainsi pu récolter 880€.

A.D.


Récolte solidaire : Avignon s’engage pour les plus démunis

Après 2 ans de ‘distanciel’, Stéphanie Sergeant a pu animer cette assemblée en présentiel avec ses équipes de salariés et bénévoles et avec les représentants des 72 associations qui profitent des collectes de la Banque Alimentaire (BA84) de Vaucluse.

Lors de son rapport moral, elle a rappelé les fondamentaux de la BA 84 créée en 1995 : « Lutter contre le gaspillage alimentaire en récupérant le surplus du secteur agro-alimentaire et des grandes et moyennes surfaces, apporter une aide alimentaire aux plus démunis, participer à une solidarité active et responsable et aider les précaires à retrouver l’estime de soi ». Le Vaucluse affiche le plus haut taux de pauvreté de la Région Sud avec 20% de personnes vivant au-dessous du seuil minimal, 21,9% de bas revenus, 11% de chômeurs (au lieu de 9,7% en PACA) et 44,2% de familles monoparentales (42% en Provence Alpes Côte d’Azur).
Résultat : en 2021, la Banque a recensé 35 000 demandeurs d’aide alimentaire (contre 33 500 en 2020) soit un afflux de 1 500 bénéficiaires supplémentaires en Vaucluse, notamment des jeunes, étudiants et chômeurs. « Nous avons toujours besoin de bénévoles, de chauffeurs poids-lourds, d’opérateurs de tri, de préparateurs de commandes, de distributeurs de denrées, de conducteurs de transpalettes et de chariots-élévateurs » précise Stéphanie Sergeant.

Hausse du volume de nourriture distribué
Un coup dur a impacté le fonctionnement de la Banque Alimentaire l’été dernier : l’incendie de la chambre froide, pour un coût de près de 278 000€. Sans parler de la perte de tonnes de surgelés (autour de 50T). Malgré tout, la BA 84 a distribué 1 328 tonnes de nourriture, contre 1 127 en 2020 soit +17,83%. Un dynamisme qui a surnagé en période de crise sanitaire grâce à la motivation des équipes, à la générosité des donneurs, à l’aide financière plus importante de la part des collectivités (mairie, département, région, Etat, Union Européenne) et une subvention de ‘France Relance’ de 100 000€ qui doivent permettre d’acquérir sous peu 2 camions frigorifiques de 3,5T pour les ramasses quotidiennes.

Vers une collecte de printemps ?
Parmi les actions impulsées par celle qui a succédé à Anny Paly, la vérification régulière des chambres froides et des locaux, le respect de la chaîne du froid, le contrôle des dates et des étiquetages de péremption, la reconduction des protocoles de nettoyage et de désinfection des camions et des bacs avant livraison des colis auprès des associations caritatives, épiceries sociales et maraudes. Et peut-être en 2023 une ‘Collecte de printemps’ puisque la précarité alimentaire existe 4 saisons par an.
Un représentant du bureau national des Banques Alimentaires (79 en France) a précisé que la crise sanitaire a fait grimper de 6% la demande en 2020, avec 225 millions de repas pour 2,1 millions de bénéficiaires. « En Europe, 7% de la population ne mange pas à sa faim. Et ce n’est pas avec la flambée du prix des carburants et des matières premières que ça va s’arranger. Sans parler de la guerre en Ukraine qui a provoqué une vague de générosité des particuliers ou des entreprises. Elle va durer, nous devons donc nous organiser pour faire partir des convois de denrées vers la Roumanie, la Pologne et la Moldavie en étant sûr qu’il n’y aura pas de pertes sur place, qu’elles arriveront bien à destination des femmes, enfants et hommes qui en ont réellement besoin. »

Les dates de la grande collecte d’automne
La grande collecte d’automne aura lieu les 25, 26 et 27 novembre 2022. La Banque Alimentaire compte sur vous tous, jeunes et anciens, y compris les élèves des écoles maternelles et élémentaires des collèges et lycées qui avaient déjà participé l’an dernier avec leurs parents et leurs professeurs. Ils avaient rassemblé à eux seuls 876kg de produits secs, certains d’entre eux avaient même reçu un diplôme ‘d’ambassadeurs’ de la Banque Alimentaire 84. Vous pouvez vous inscrire en amont pour participer à ces journées de collecte sur ‘jeveuxaider.gouv.fr’.


Récolte solidaire : Avignon s’engage pour les plus démunis

Les chiffres définitifs des dons récoltés à l’occasion de la dernière édition du Téléthon organisée les 3 et 4 décembre derniers viennent de tomber.

L’opération caritative a ainsi permis de récolter 85,93M€ au niveau national, dont 5,36M€ dans la région Provence-Alpes-Côte d’Azur. Alors que le compteur affichait 73M€ en fin d’émission cette édition 2021 placée sous le parrainage du chanteur Soprano a ainsi permis de retrouver des niveaux de dons pratiquement au niveau de ceux d’avant la pandémie de Covid-19.

« Dans le contexte particulièrement incertain que nous vivons, il est réconfortant de constater, une fois de plus, que la solidarité et la générosité sont des valeurs sûres et largement partagées », se félicite Laurence Tiennot-Herment, présidente de l’AFM-Téléthon.

Les Vauclusiens se sont notamment distingués lors de ce Téléthon 2021 en donnant 541 138€. Un montant bien en deçà des sommes récoltés auparavant dans le département : 388 423€ en 2019, 356 656€ en 2018 et 331 495€ en 2017.

Dans le même temps les autres départements de la région ont aussi fait preuve de générosité puisque plusieurs d’entre eux affichent des montants de dons à la hausse : 1,98M€ récoltés dans les Bouches-du-Rhône, 1,33M€ dans les Alpes-Maritimes, 1,13M€ dans le Var, 195 139€ pour les Alpes-de-Haute-Provence et 159 473€ dans les Hautes-Alpes.

Pour faire mieux : rendez-vous les 2 et 3 décembre prochains sur les chaînes du groupe France télévisions pour le Téléthon 2022.


Récolte solidaire : Avignon s’engage pour les plus démunis

Le centre de stockage des dons en faveur de l’Ukraine situé au parc des expositions à Avignon a été fermé le mercredi 23 mars suite à la décision du Comité départemental de coordination et de concertation pour l’Ukraine d’arrêter les collectes à l’hôtel de ville d’Avignon et ses mairies annexes. Voici le bilan de ces collectes.

Ouvert depuis le 9 mars dernier, le centre de stockage des dons en faveur de l’Ukraine du parc des expositions a déjà pu envoyer 7 camions de 33 tonnes chacun en direction de Nice, Toulon et Rungis grâce à l’Association franco-ukrainienne Côte d’Azur (AFUCA) et à la Protection civile (ADPC).

454 palettes de dons sont encore stockées au parc des expositions. 8 autres départs devraient être coordonnés dans les prochains jours. Ces 15 camions envoyés depuis Avignon viennent donc s’ajouter aux 7 qui ont été acheminés depuis le Marché d’intérêt national de Cavaillon.

V.A.


Récolte solidaire : Avignon s’engage pour les plus démunis

Le Comité départemental de coordination et de concertation pour l’Ukraine a décidé de fermer le mercredi 23 mars le centre de stockage des dons en faveur de l’Ukraine situé au parc des expositions à Avignon. Les mairies annexes et l’Hôtel de ville ne collectent donc plus les dons, mais la ville continue d’aider les réfugiés ukrainiens.

Beaucoup de dons ont été faits par les Avignonnais en faveur de l’Ukraine. Plusieurs tonnes de fournitures ont pu être envoyées directement au pays qui est en guerre depuis le 24 février dernier. Les associations locales continuent d’accepter les dons, mais les mairies annexes et l’Hôtel de ville, eux, cessent les collectes. Cécile Helle, maire d’Avignon, insiste sur le fait que la solidarité ne s’arrête pas là.

Désormais, la ville se concentre sur les réfugiés ukrainiens, qui sont déjà au nombre de 250 dans le Vaucluse, sur leur accueil ainsi que leur insertion dans le département. « Collectivement, avec nos partenaires, nous recensons, nous organisons l’accueil des réfugiés ukrainiens, et travaillons à l’accueil dans nos crèches et écoles de leurs enfants », a expliqué Cécile Helle.

V.A.

https://echodumardi.com/tag/solidarite/page/5/   1/1