Où trouve-t-on le plus de radars sur les routes en Europe ?
La probabilité d’être flashé pour une infraction sur les routes européennes varie grandement d’un pays à l’autre. Elle dépend, entre autres, du nombre de radars rapporté à la longueur du réseau routier.
Selon les données du site Speed Camera Database (SCDB), avec plus de 10 000 radars, l’Italie est le deuxième pays d’Europe qui en compte le plus derrière la Russie (et ses plus de 18 000 unités installées). Ramené à la longueur totale du réseau routier italien, cela fait environ 22 radars pour 1 000 kilomètres de routes, dont la grande majorité dédiée uniquement au contrôle des vitesses (80 % du total). Les radars sont aussi très courants en Belgique et au Royaume-Uni, où le ratio atteint près de 20 unités pour 1 000 km.
Avec environ 3 500 radars répartis sur plus d’un million de kilomètres de voies diverses, soit 3,4 pour 1 000 km, la France métropolitaine affiche une densité de radars assez faible comparée à la plupart de ses voisins. Dans le détail, près de 2 800 radars de vitesse étaient installés sur les routes françaises en août 2022, dont 186 radars tronçons. On dénombre également un peu plus de 600 radars de feu tricolore.
Où trouve-t-on le plus de radars sur les routes en Europe ?
Dans le cadre de sa politique jeunesse, Carpentras organise une troisième édition de la journée de sensibilisation à la sécurité routière ce samedi 10 septembre sur le parking des platanes.
Ouvert à tous et obligatoire pour les jeunes boursiers du dispositif ‘La bourse au permis de conduire‘, cet événement a pour objectif de faire évoluer les comportements vers une mobilité citoyenne plus sûre. Pour rappel, le département de Vaucluse a recensé 117 accidents de la route au premier semestre de l’année 2022. Même si ce nombre est plus bas qu’en 2021, il n’en reste pas moins déconcertant et alarmant.
Au programme de cette journée, plusieurs ateliers seront organisés. Le Service départemental d’incendie et de secours (SDIS) proposera un atelier ‘Alerte secours et massage cardiaque’ dont le but sera d’apprendre aux jeunes les premiers secours. L’association Ducks 84, quant à elle, proposera un atelier ‘Désincarcération’ durant lequel seront présentés divers sujets de prévention routière comme l’utilité du port de la ceinture, l’utilité des dispositifs de sécurité passive tels que les airbags, et bien d’autres. L’alcool et ses dangers sur la route seront également évoqués par l’association Vie Libre qui réalisera des cocktails sans alcool et installera un parcours piéton avec des lunettes spécifiques qui simule la vision après une prise d’alcool. L’entreprise de prévention routière Vanberg proposera deux ateliers qui auront pour objectif de sensibiliser les jeunes au port de la ceinture avec un simulateur de choc frontal et une voiture tonneau.
Samedi 10 septembre. De 10h à 17h. Entrée libre. Parking des platanes. Carpentras.
V.A.
Où trouve-t-on le plus de radars sur les routes en Europe ?
La préfecture du Vaucluse vient de dévoiler les chiffres de la sécurité routière pour le premier semestre de l’année. Alors que 2021 avait été témoin d’une hausse du nombre d’accidents de la route dans le département, l’année 2022 semble, pour le moment, inverser la tendance.
Pour le moment, le Vaucluse observe une baisse du nombre de personnes tuées, avec 5 de moins que l’année dernière à la même période, une baisse du nombre d’accidents ainsi qu’une baisse du nombre de blessés.
Depuis le début de l’année, le département recense tout de même 117 accidents de la route, 149 blessés, 16 tués dont 6 entre 18 et 25 ans et 1/4 sont des usagers de deux-roues. Depuis le 1er janvier, il y a également eu 682 suspensions de permis de conduire, une donnée constante par rapport aux années précédentes, dont 312 pour alcoolémie au volant, 188 pour des excès de vitesse supérieur de 40 km/heure, et 172 pour stupéfiants.
V.A.
Où trouve-t-on le plus de radars sur les routes en Europe ?
La commune de Gargas vient d’installer 3 silhouettes près de ses routes pour sensibiliser les automobilistes aux risques liés à la vitesse aux abords des écoles. Inaugurées en présence de Laurence Le Roy, maire de la commune, les directrices des écoles primaire et maternelle ainsi que des parents d’écoliers, ces trois silhouettes sont fluorescentes, pour être visibles de tous.
Initiées par le ‘conseil municipal des enfants’ de Gargas, ces trois nouvelles signalisations ont été baptisées Paul, Sophie et Tom. Ce projet, dont les enfants sont au cœur, vise à inciter les automobilistes à ralentir lorsqu’ils passeront dans les rues de la commune, et notamment près des établissements scolaires.
V.A.
Où trouve-t-on le plus de radars sur les routes en Europe ?
Les agents vauclusiens viennent d’entamer la première phase de fauchage des abords des routes de l’année. Depuis 2019, le Département pratique un fauchage dit ‘raisonné’. Une technique qui permet d’assurer la sécurité des usagers, mais également la protection de l’environnement.
En 2019, le Conseil départemental de Vaucluse a décidé d’opter pour un fauchage raisonné le long de ses 2330km de réseau routier. Une pratique « non négligeable de la part du Département », selon Thierry Lagneau, vice-président du Conseil départemental vauclusien. Ainsi, au lieu de faucher régulièrement tout au long de l’année, la fréquence des passages se limite à trois fois par an, un chiffre qui peut varier selon le terrain sur lequel les agents opèrent. Ce sont donc 27 machines et entre 60 et 80 agents vauclusiens qui s’attèlent à ce travail de fauchage.
En amont de ce dernier, une collecte de déchets est nécessaire afin de ne pas créer davantage de pollution en les broyant mais aussi de ne pas endommager les machines. Ce sont plus de 400 tonnes de déchets qui sont ramassés en Vaucluse chaque année. Une fois ces polluants collectés, d’autres viennent prendre leur place seulement quelques jours après, comme le déplorent les agents du département. Le premier fauchage, appelé ‘de sécurité’, s’effectue au printemps dès lors que la végétation est arrivée à maturité, c’est-à-dire à environ 40cm de hauteur. La deuxième phase, le fauchage de maintien, est généralement effectuée dans le courant de l’été. Enfin, la troisième et dernière phase d’entretien se fait à l’automne.
La protection de la faune et de la flore
Ce fauchage raisonné consiste à couper les herbes entre 11 et 15cm, contre 7cm auparavant, ce qui permet de conserver les refuges de la faune et de la flore. Cette technique permet également de préserver tous les petits insectes dits ‘utiles’ qui mangent les nuisibles et donc contribuent à la préservation de la flore. L’objectif est aussi de lutter contre les plantes envahissantes et de laisser place aux arbustes et plantes locales.
Pour garantir une croissance moins rapide des herbes, et donc limiter le nombre de passage dans l’année, le Département choisit de retarder les campagnes de fauchage et d’attendre que l’épi soit complètement formé avant de le couper. En retardant la première fauche, les végétaux, comme le coquelicot, ont le temps de fleurir et la faune peut se reproduire en toute tranquillité. Cette pratique s’inscrit donc dans une politique durable et dans la préservation de la biodiversité, deux aspects dans lesquels le Département est engagé au quotidien.
Où trouve-t-on le plus de radars sur les routes en Europe ?
Ce mardi 25 mai avait lieu la première opération ‘Campus sécurité routière’ au collège Saint-Exupéry de Bédarrides. Le Conseil départemental de Vaucluse investit chaque année 34 000€ dans ces journées de prévention et d’éducation dans les collèges, permettant une sensibilisation aux règles de bonne conduite.
Formation et sensibilisation
Pour la fin de l’année scolaire 2021, cinq collèges du département, pour des classes allant de la 6ème à la 3ème, bénéficieront de toute une journée de formation-sensibilisation. Cette action, animée par des professionnels de la sécurité routière, aborde les notions de risques, de prévention et de vie en société au travers d’ateliers pratiques ou de thématiques. Une opération qui a pour but concret de faire évoluer les comportements vers une « mobilité citoyenne » plus sûre. Les collèges visités ont été choisis par une commission d’examen des candidatures grâce à un jury (partenaires institutionnels et associatifs, services du Conseil départemental).
Un déroulé-type de la journée
En début de matinée, les collégiens assistent à des démonstrations sur les distances de sécurité ou de freinage. Dans un second temps, à une simulation d’accident entre un véhicule et un motocycliste effectuée par un pilote professionnel du risque automobile. Les élèves participent ensuite à des ateliers thématiques de 50 minutes choisis par leur établissement scolaire. Les prochains collèges a bénéficier de cette journée seront le collège Alphonse Silve à Monteux (mardi 1er juin 2021), le collège Paul Gauthier à Cavaillon (le jeudi 3 juin 2021) et le collège Marcel Pagnol à Pertuis (le vendredi 4 juin 2021).
Le nouveau venu : la police municipale
Cette année, de nouveaux partenaires ont été intégrés. Il s’agit des polices municipales qui, fortes de leurs expériences de terrain, vont animer ponctuellement un atelier et ainsi enrichir les thématiques proposées : le partage de la route entre les différents modes de déplacements, la responsabilisation des jeunes concitoyens et le civisme autour des collèges.
Un nouvel atelier, mis au point par le pilote professionnel Drag’auto, voit également le jour : l’usage de la trottinette électrique. En effet, les utilisateurs de ce nouvel engin de déplacement personnel motorisé sont de plus en plus nombreux et attirés par ses côtés ludiques et pratiques. Néanmoins, les dangers liés à son utilisation sont bien présents et peuvent occasionner des dommages corporels importants en cas d’accident. Cet atelier aura pour but de faire le point sur les aspects réglementaire, sécuritaire et comportemental que requiert son utilisation sur la voie publique.
Lors de cette campagne, l’association Prévention routière utilisera un nouveau simulateur ‘test au choc’, financé à hauteur de 70 % par le Conseil départemental de Vaucluse. D’une capacité de quatre personnes, il pourra simuler des chocs contre un obstacle, à une vitesse de quatre ou huit km/h. Sa conception différente permettra de se rapprocher encore bien plus d’un choc réel et d’en éprouver tous les ressentis.
L.M
Où trouve-t-on le plus de radars sur les routes en Europe ?
La Sécurité routière et le ministère de l’Intérieur publient une carte nationale des installateurs agréés d’éthylotests antidémarrage. Dans le Vaucluse, il est possible d’en trouver à Avignon, au Pontet, à Sorgues et à Cavaillon.
Afin de faciliter l’installation d’éthylotests anti-démarrage (EAD), la Sécurité routière met à disposition des usagers sur son site Internet une carte nationale des installateurs agréés d’EAD, par département et par région. L’éthylotest anti-démarrage est un instrument permettant de mesurer le taux d’alcool dans l’air expiré, associé au véhicule. Il empêche le démarrage du moteur si le taux enregistré est supérieur à celui autorisé par la législation.
L’installation d’un éthylotest anti-démarrage autorise, sous conditions, certains conducteurs passibles d’une suspension de permis pour conduite en état alcoolisé, à bénéficier d’un maintien de leur droit à conduire s’ils acceptent d’équiper leur véhicule de ce dispositif. Cette mesure permet ainsi à ceux qui en bénéficient de maintenir une activité professionnelle, familiale ou sociale, lorsque celle-ci ne peut se faire autrement qu’en voiture.
Où trouve-t-on le plus de radars sur les routes en Europe ?
D’ici le mardi 17 mars prochain, plus de 3 000 collégiens auront participé à la campagne 2019/20 du ‘Campus sécurité routière’ proposé par le Conseil départemental de Vaucluse. Cette opération, débutée fin novembre dernier et animée par des professionnels de la sécurité routière, concerne des élèves de la 6e à la 3e répartis dans 7 établissements scolaires de Vaucluse.
Il s’agit des collèges Jeanne-d’Arc à Apt, Victor- Schoelcher à Sainte-Cécile-les-Vignes, Pays des Sorgues au Thor, Saint-Michel à Avignon, Vallis Aeria à Valréas, Marie-Rivier à Sorgues et Alphonse-Silve à Monteux. Durant toute une jour- née, les élèves sont sensibilisés aux risques de la route (simulation d’accident et démonstrations sur les distances de sécurité) ainsi qu’aux bonnes pra- tiques entre usagers qu’ils soient piétons, cyclistes, motocyclistes ou futurs conducteurs. Objectif : faire évoluer les comportements des jeunes en leur faisant prendre conscience des règles à observer pour assurer la sécurité de tous.
Initié depuis 1996, le ‘Campus sécurité routière’ a ainsi permis de sensibiliser 114 388 collégiens vauclusiens depuis sa création.