22 novembre 2024 |

Ecrit par le 22 novembre 2024

Parentalité en entreprise : Mininoo propose une solution clé en main

Si la parentalité peut être une source de changement et donc de stress au sein d’une entreprise, elle peut également entraîner une nouvelle dynamique des équipes et même être une source de performance quand elle est bien accompagnée. C’est ce que propose Mininoo, fondée par Cécile Georges à Sauveterre.

Après avoir passé plusieurs années dans le domaine du recrutement, Cécile Georges a pu constater les difficultés que rencontraient les futures mères à vivre sereinement leur maternité dans le monde de l’entreprise. C’est pourquoi la Gardoise a décidé, en 2020, de fonder Mininoo, une société de l’économie sociale et solidaire qui accompagne les entreprises dans la parentalité. « L’idée était de créer le lien entre la personne qui souhaite une parentalité, qu’elle soit maman ou coparent, et le manager ou l’entreprise », explique Cécile.

Chaque année en France, près de 500 000 femmes conjuguent grossesse et vie professionnelle. Leur peur d’être remplacée est forte, tout comme la peur de ne pas être attendue de retour de congé maternité. « Ce qui ressortait majoritairement lors de la création de Mininoo, et ce qui ressort encore aujourd’hui, c’est que ces femmes se sont surinvesties pour une entreprise, mais elles n’ont pas eu la reconnaissance escomptée à leur retour », ajoute la fondatrice.

Une solution clé en main

Aujourd’hui, nombreuses sont les entreprises qui ne savent pas comment gérer l’annonce d’une grossesse et le futur départ en congé parental, notamment les petites structures. Elles font face à de nombreuses interrogations telles que : comment accueillir l’annonce d’une grossesse ? Comment la gérer ? Que dit la loi ? Qu’est-ce que l’entreprise propose ? Quels changements cela va-t-il engendrer ? Comment continuer d’accompagner les salariés au mieux ?

C’est là qu’intervient Mininoo, en proposant une solution clé en main pour l’entreprise avec un accompagnement qui peut être global, mais aussi sur-mesure pour la personne qui souhaite être accompagnée. Il peut s’agir de la future mère, du futur coparent, ou bien du manager.

Trois formes d’accompagnement

Ainsi, pour accompagner au mieux chaque entreprise, Mininoo propose trois formules : Mininoo Maternité, Mininoo Coparent et Mininoo Manager. La première formule concerne la future mère et propose un accompagnement mensuel de 9 mois offert par l’entreprise dans laquelle elle travaille. Élaborée par une équipe d’experts qualifiés (coach, sage-femme, kinésithérapeute, ostéopathe, nutritionniste, psychanalyste), cette formule propose un suivi physique et digital du troisième mois de grossesse au deuxième mois postpartum, avec une box dans laquelle il y a un contenu de 24 pages avec des conseils santé, des conseils coaching, parentalité et carrière, et des produits qui sont adaptés au mois de la grossesse en cours, mais aussi avec un accès privilégié à des podcasts et des webinaires.

En France, 67% des coparents ont recours au congé parental, mais beaucoup craignent des répercussions professionnelles. La formule Mininoo Coparent leur donne accès à un coaching webinaire et trois ateliers coaching de codéveloppement sur divers sujets comme l’optimisation du temps avec l’arrivée d’un enfant, le traitement des croyances limitantes, ou encore le retour en entreprise, afin de trouver le bon équilibre entre vie privée et vie professionnelle.

La formule Mininoo Manager, quant à elle, comprend trois séances de coaching avant le congé du salarié ou de la salariée avec un premier rendez-vous entre le manager et la coach, un deuxième entre le futur parent et la coach et un troisième avec les trois. « Aujourd’hui, on a trois accompagnements, mais on voit que les entreprises nous sollicitent aussi pour élargir notre offre et pouvoir répondre à des demandes sur-mesure en particulier », explique Cécile Georges.

Déjà plusieurs entreprises accompagnées

Depuis sa création en 2020, plusieurs entreprises ont décidé d’accorder leur confiance à Mininoo. Il y a notamment Veolia Eau en Provence pour laquelle Mininoo a réalisé des webinaires ainsi que deux ateliers : un sur le sommeil de l’enfant et un sur les écrans. « On espère pouvoir aller plus loin et accompagner Veolia Eau France, voire Veolia Groupe », s’enthousiasme Cécile. Le Service de Santé au Travail AIST 84, lui aussi, fait confiance à Mininoo, et lui a demandé de travailler sur le sujet de la fausse couche pour accompagner au mieux celles qui vivent ce drame qui touche près de 200 000 femmes chaque année en France.

« On a plusieurs structures qui nous ont fait confiance et qui, aujourd’hui, réenclenche un accompagnement dès qu’une nouvelle parentalité se présente. »

Cécile Georges

Mininoo accompagne aussi le groupe BIC avec les formules Mininoo Maternité et Mininoo Manager. « On fait partie des acteurs qui ont permis à BIC de gagner le trophée QVCT (Qualité de Vie et des Conditions de Travail) de la parentalité 360 », affirme Cécile avec fierté. Parmi les clients de l’entreprise Sauveterroise, on compte aussi Motul, qui fait les huiles de moteur en région parisienne, ou encore le cabinet de Management de Transition Cahra.

La parentalité : source de performance pour l’entreprise ?

Alors que la parentalité peut souvent engendrer des questionnements et des incertitudes au sein de l’entreprise, elle peut surtout être vectrice de performance et de renouveau. « Quand on a une personne qui part en congé maternité, il va falloir qu’elle fasse une bonne passation, soit auprès des équipes, soit auprès de la personne qui va la remplacer, ajoute Cécile Georges. Et quoi qu’il arrive, il va y avoir une nécessité d’être davantage dans la communication et dans la transmission. C’est toute l’équipe qui va en sortir grandie et en cohésion. »

« La réorganisation au sein d’une entreprise est une véritable source de performance économique. »

Cécile Georges

Ainsi, certains collaborateurs pourront s’engager sur des sujets auxquels ils n’auraient pas pensé auparavant ou s’investir dans un projet auquel il n’aurait pas forcément pris parti s’il n’y avait pas eu cette parentalité qui impliquait une réorganisation. Au retour de congé parental, la personne va revenir dans l’entreprise avec un nouvel équilibre des temps de vie qui va permettre d’apporter du renouveau dans le milieu professionnel. « Il y a une forte dose hormonale sur les six premiers mois de vie de l’enfant, et il y a pas mal de cheminement qui se passe dans le corps d’une femme, donc elle a cette empathie nouvelle qui va lui permettre de visualiser les choses différemment et de proposer des solutions différentes pour l’équipe », développe Cécile. Ainsi, Mininoo permet non seulement aux entreprises de vivre sereinement la parentalité, mais aussi d’en tirer profit.

Cécile Georges, fondatrice de Mininoo. DR

Parentalité en entreprise : Mininoo propose une solution clé en main

La Région Occitanie et les communes gardoises du Grand Avignon viennent de signer le Contrat territorial Occitanie (CTO) 2022-2028. Il a pour but d’aider aux financements de 15 projets structurants en 2024 sur plusieurs domaines, dont la transition énergétique, dans les 7 communes gardoises de l’agglomération vauclusienne.

Un contrat pour ne laisser personne sur le côté. Ce mercredi 24 avril 2024, Monique Novaretti, conseillère régionale représentant Carole Delga, présidente de la Région Occitanie et Xavier Belleville, vice-président du Grand Avignon ont signé en mairie de Saze le Contrat territorial Occitanie (CTO) 2024-2028. Une signature intervenue en compagnie des élus 7 des communes gardoises concernées : Les Angles, Pujaut, Rochefort-du-Gard, Roquemaure, Villeneuve-lès-Avignon, Saze et Sauveterre.

La Région Occitanie veut être lé région de tous
Toutes ces communes ont la particularité d’être gardoises et de faire partie de la communauté d’agglomération vauclusienne du Grand Avignon. Elles n’en sont pas moins des parties intégrantes de la région Occitanie. C’est pour rappeler l’appartenance à ce territoire que ce contrat a été conçu et approuvé sur une période de 7 ans afin d’établir et de mettre en action les stratégies de la Région Occitanie, du Grand Avignon et du Département du Gard.
C’est dans un but de démarche intégratrice et partenariale de l’ensemble des politiques de la Région Occitanie que les objectifs de ce contrat ont été définis, des objectifs communs à tous « il ne doit pas avoir deux catégories d’habitants dans notre région, ceux vivants en métropole bénéficiant d’infrastructures performantes et des services qui recrutent et de l’autre coté des habitants de villages complètement délaissés, c’est notre rôle à la Région d’assurer une complémentarité et un équilibre avec tous nos citoyens, partout, même aux frontières des régions voisines » assure Monique Novaretti.

© DR

La transition écologique au cœur de l’engagement du CTO
Le Contrat territorial Occitanie met en avant trois objectifs principaux qui devront répondre aux problématiques des quatre prochaines années :

-Inscrire le territoire dans une démarche de transitions (énergie, déchets, mobilités durables, biodiversité).

-Renforcer les équilibres territoriaux dans une optique de développement harmonieux (Bourgs centre, culture, sport, santé, numérique).

-Maintenir la diversité de l’économie locale tout en l’adaptant aux nouveaux enjeux de développement économique, du tourisme durable et de la stratégie foncière dynamique et responsable.

 « Ce contrat est un engagement vers la transition, nous l’avons axé autour de 4 axes environnementaux avec plusieurs projets d’aménagements qui iront dans ce sens avec la transition énergétique comme fil rouge que ce soit dans la gestion de nos bâtiments comme dans notre mobilité » affirme Xavier Belleville, représentant du Grand Avignon.

Ces 15 projets structurants seront amorcés dès cette année 2024 dans les 7 communes gardoises de la région Occitanie. Des aménagements qui s’adaptent aux besoins et aux spécificités de chaque ville, que ce soit l’aménagement d’une piste cyclable et la création du Pôle d’échange multimodal à Villeneuve-lès-Avignon à la rénovation de bâtiments publics comme le foyer restaurant des Angles ou de la création d’une aire de sports et de loisirs intergénérationnelle à Rochefort-du-Gard.

Des aides financières de plusieurs millions d’euros
Pour mener à bien ces projets 2024 représentant un investissement total de 10,4M€, les communes et le Grand Avignon contribuent à hauteur de 5,4M€, dont une partie provient du Fonds de soutien à la transition écologique de l’agglomération (1,2M€). La Région et le Département du Gard, participent quant à eux à hauteur respectivement de 1M€ et 836 000€.
Par ailleurs, comme l’a souligné Monique Novaretti, la Région Occitanie intervient aussi à hauteur de 15M€ dans le territoire de ces 7 communes gardoises du Grand Avignon : « Nos aides ont pour but de rendre l’attractivité aux communes. 4,4M€ pour les entreprises, l’artisanat et les commerçants, 4,4M€ pour les collectivités territoriales, 2,8M€ en maitrise d’ouvrage direct, 1,9M€ pour l’enseignement et enfin 1,1M€ pour les associations ».


Parentalité en entreprise : Mininoo propose une solution clé en main

Le metteur en scène Frédéric Roels s’empare de Carmen dans une adaptation intime à quatre voix et un violoncelle.

Carmen est un opéra complexe. « On y lit un drame passionnel fort, qui a bouleversé des générations d’auditeurs et de spectateurs, avec une musique d’une puissance irrationnelle et irréductible à toute analyse modérée. Un soldat aime une jeune femme à la réputation douteuse, une bohémienne, une hors-classe, hors-la-loi, séductrice de grand chemin. Il est jalousé par un torero, un homme d’apparat, de prestige, sans commune mesure avec son statut de brigadier, d’une part ; et d’autre part, tiraillé par l’amour sincère d’une jeune fille sans histoire, sa presque sœur, qui ne se voit pas continuer sa vie avec un autre homme que lui. Quatuor ambigu, constitué de personnages dont la rencontre, a priori, est peu plausible. Et pour corser le tout, il y a des soldats, des enfants, du folklore espagnol, du peuple, de la danse, de la corrida… Une série d’éléments qui étoffent l’histoire et lui donnent son panache, peut-être au risque de l’étouffer. » Ainsi résume malicieusement le metteur en scène Frédéric Roels qui préfère privilégier un Carmen plus intime.

Carmen, une histoire de fragilités cumulées

« Je ressens le besoin de me concentrer auparavant sur cette notion de fragilité au travers des quatre personnages principaux, d’évacuer pour un moment tout le contexte hispanisant et populaire, de rechercher l’essence de l’œuvre en la réduisant au strict minimum… le tout sur une péniche et accessible à un public dès 11ans », ajoute Frédéric Roels qui signe aussi les décors, les costumes et la lumière. 

Distribution
Carmen : Axelle Saint-Cirel
Micaëla : Lyriel Benameur
Don José : Etienne de Bénazé
Escamillo : Aimery Lefèvre
Violoncelle : Florent Audibert

Samedi 3 février. 20h. 6 à 12€. Dimanche 4 février. 16h. L’autre Scène. Avenue Pierre de Coubertin. Vedène. 04 90 14 26 40.
Mardi 6 février. 20h. 6 à 12€. Salle Roger Orlando. Caumont-sur-Durance.
Mercredi 7 février. 20h30. 6 à 12€. Salle Jean Galia. Rochefort-du-Gard.
Jeudi 8 février. 20h30. 6 à 12€. Pôle Culturel Jean Ferrat. 157 rue des écoles et du stade. Sauveterre. 04 66 33 20 12.
Vendredi 9 février. 20h. 6 à 12€. La Pastourelle. Saint-Saturnin-lès-Avignon.
www.operagrandavignon.fr 


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La compagnie Deraïdenz se met à l’heure d’Halloween
La Compagnie avignonnaise Deraïdenz, bien connue désormais depuis son installation sur l’île de la Barthelasse en 2017, n’en finit pas de tisser des partenariats et des productions afin de nous faire découvrir l’univers merveilleux de ses marionnettes. Pour ce spectacle Jeune Public, elle défie les enfants courageux et leur  propose de venir à la rencontre de Byba Youv, la plus scriboudeleuze des sorcières Zélémentiques de l’Histoire ! Magie, marionnettes et chants seront au rendez-vous.
Mercredi 25 octobre. 14h30. 8€. Pôle Culturel Jean Ferrat. 157 rue des écoles et du stade. Sauveterre. Réservation indispensable  contact@polecultureljeanferrat.com  04 66 33 20 12 .

En amont du spectacle, deux ateliers de création

La compagnie Deraïdenz aura le plaisir de donner un atelier pour les 7/12 ans, en amont du spectacle pendant lequel les enfants pourront créer leur propre Marionnettesur le thème Halloween (et d’autres surprises…) ! Mercredi 25 octobre. 10h à 12h30. 10€. Réservation indispensable  contact@polecultureljeanferrat.com  04 66 33 20 12 .

L’équipe du Pôle Culturel propose aux enfants de 3/7 ans et à  leurs parents des ateliers Halloween en continu : maquillage, décorations, ateliers créatifs. Mercredi 25 octobre. 10h à 12h30. 10€. Réservation indispensable  contact@polecultureljeanferrat.com  04 66 33 20 12 .


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Le Conseil départemental de Vaucluse vient d’inaugurer la passerelle de l’Oiselay-Sauveterre. Cet ouvrage suspendu de 200 mètres de long pour 3 mètres de largueur permet de franchir le Rhône, au Nord de la Barthelasse, entre Sorgues et Avignon via le territoire de la commune de Sauveterre (voir vidéo en fin d’article).

L’une des plus grande voie cyclable d’Europe
Ce pont métallique spectaculaire avec ses mâts de 22 mètres hauteur est destiné aux cyclistes, aux piétons et à l’ensemble des modes doux. Il permet le franchissement du fleuve-roi pour assurer la continuité de la véloroute Via Rhôna qui parcourt le Vaucluse, entre Lapalud et Avignon. Long de 815km, cet itinéraire cyclable relie le lac Léman, en Suisse, à la mer Méditerranée en suivant le Rhône. Désigné véloroute depuis 2016, elle est l’une plus grande voie cyclable d’Europe. L’an dernier, elle a accueilli plus de 2,8 millions de cyclistes. Un chiffre multiplié par 2,5 entre 2017 et 2022.

Dans ce secteur, la nouvelle passerelle permet donc l’achèvement de la dernière section de 11km de la Via Rhôna entre Sorgues et Avignon (voir carte ci-dessus).
Une portion dont l’aménagement a représenté un investissement de 8,11M€ HT (dont de 4,17M€ HT pour la seule passerelle) financés par l’Union Européenne (1,1M€), l’Etat (1,31M€), la région Sud Provence-Alpes-Côte d’Azur (1, 08M€), la région Occitanie (675 000€), le département du Gard (1,11M€), le département de Vaucluse (995 448€), le Grand Avignon (545 000€), la ville de Sorgues (200 000€) et la CNR (Compagnie nationale du Rhône) à hauteur de 1,09M€.
Pour sa part, bien que la passerelle se situe en territoire gardois, entre les îles de la Motte à Sauveterre et celles de l’Oiselay à Sorgues, c’est le Département de Vaucluse qui a assuré la maîtrise d’ouvrage de ce chantier débuté en avril 2022. Le Conseil départemental du Gard va reprendre, quant à lui, la gestion et l’entretien de la passerelle.

Prochaine étape : la restauration du Pont des Arméniers à partir de 2024
Ultime étape du projet global sur la Via Rhôna en Vaucluse : la restauration du Pont des Arméniers à Sorgues. Un ouvrage inscrit au titre des Monuments Historiques, qui va prochainement débuter suite aux études préalables réalisées cette année. Le démarrage des travaux est envisagé en 2024, pour une durée prévisionnelle de 24 mois.

Le chantier de réaménagement et de restauration du pont des Arméniers devrait débuter l’année prochaine.

Enfin, pour parfaire l’aménagement, une étude est menée concernant la voie verte le long de la RD 228 sur la Barthelasse, entre le giratoire de l’Islon (Chemin des Vignes) et le Pont du Royaume situé entre Avignon et Villeneuve-lès-Avignon.
Objectif ? Offrir des conditions optimales pour les cyclistes et permettre de raccorder les parkings situés sur l’île Piot à Avignon. Le Département a porté les études sur une grande partie du linéaire, excepté en extrémité Sud (un tronçon de 400 mètres) à l’amont immédiat du Pont du Royaume, sous maîtrise d’ouvrage du Grand Avignon.

Cliquer sur l’image pour lancer la vidéo.

Parentalité en entreprise : Mininoo propose une solution clé en main

Jérémie Pichon, le pape du Zéro déchet et le papa de ‘Famille presque zéro déchet’, propose deux conférences, une ce vendredi 24 février à 19h, à la salle Polyvalente de Montfavet-Avignon et le lendemain, samedi 25 février à 18h au Pôle Culturel Jean Ferrat à Sauveterre. Les places gratuites sont à réserver ici. Les ouvrages ‘Famille zéro déchet’, ‘Les zenfants zéro déchet’, ‘Ze guide 2 La famille en transition écologique’ … pourront être dédicacés.

Transition écologique
« Je ne parle pas de décroissance mais de transition écologique, pour dire que nous devons passer à un autre système. Pourquoi ? Parce que lorsqu’on parle de déchets, on s’attaque aux symptômes de notre société industrielle dont l’objet est d’extraire, de transformer et de consommer via beaucoup d’énergie et d’eau ce qui nous amène à créer de la pollution et donc des déchets. »

Tricoter un système vertueux
«En s’exerçant au zéro déchet, on détricote le système pour en re-tricoter un beaucoup plus vertueux. Quelle incidence par rapport au changement climatique ? Notre poubelle est constituée de 3 tiers : le compost qui est la matière organique ; l’emballage agro-alimentaire souvent issu des grandes surfaces et tous les objets que l’on consomme : vêtements, jeux pour les enfants, stylos qui arrivent en fin de vie.»

Un changement radical
«Les 2 tiers de cette poubelle proviennent de l’alimentation. Lorsque vous allez en grande surface, la moitié de votre caddie est constitué d’emballages et de produits achetés très loin –c’est la globalisation- votre ketchup, par exemple, vient de Turquie, votre vinaigre de Tchéquie… En faisant sa transition alimentaire, on achète en circuit court chez ses commerçants et producteurs locaux, avec ses propres contenants. En faisant cela, on sort du système globalisé ce qui va réduire les 2 tiers notre poubelle, on sort ainsi de l’emballage alimentaire et l’on fait de considérables économies.»

Réduction des émissions de gaz à effet de serre
«En s’attaquant aux déchets, on change notre alimentation. En faisant nos courses en circuit court on divise par 4 -et par an- nos émissions de carbone, ce qui nous amène au changement climatique. Car ce qui coûte de l’énergie c’est la transformation de nos aliments, les infrastructures et beaucoup de transports pour acheminer les produits. La plus grande catastrophe écologique dans notre alimentation ? La pizza surgelée !»

DR

Le 3e tiers de notre poubelle ?
«Ce sont les objets en fin de vie. Quand on fait du zéro déchet, on entre dans la démarche des 4 R : réduire (moins consommer), ré-utiliser (marché de l’occasion), réparer et recycler. Sortir de la pollution c’est sortir de la société de production. Réduire à la source nos déchets, c’est changer le système de production, de consommation et c’est la seule solution, aujourd’hui, puisque nous sommes 8 milliards à vivre sur la Terre, si l’on veut sortir de la destruction permanente de notre habitat commun, la planète.»

Quel retour des conférences ?
«Sur le moment tout le monde est archi-emballé. Ce qui intéressant ? C’est quand les gens disent : On a compris. Je fais toujours le lien entre le global (organisé depuis la seconde guerre mondiale) et le local. Les gens sont ainsi informés et motivés pour se dire : Moi aussi je peux le faire. En devenant un colibri (Le mouvement Colibris). Ils deviennent un élément de la chaîne. Maintenant, en mesurer les conséquences à plusieurs mois après la conférence ? Je n’en n’ai aucune idée.»

Une société qui va à l’inverse de ce qu’elle devrait faire
«La société ultra-numérisée, les Apple, les Google, Gafam, Amazon, tout ce qui se passe depuis 10/12 ans nous précipite à l’inverse de ce que l’on devrait faire, dans la destruction de l’écosystème, de la société et de l’homme. Je ne suis pas optimiste, mais je continue à faire passer mon message parce que j’ai raison. J’en suis convaincu et c’est sans doute pour cela que je suis convainquant.»

Ce sont surtout les agglos et les villes qui me font venir
«Ce sont les établissements publics qui me font venir pour les 2 tiers de mes conférences. Ils ont la mission de réduction des déchets et s’inscrivent dans une logique de prévention. Au départ tout le monde disait : on va faire le tri. Pourtant faire du tri et du recyclage s’est avéré archi-limité et polluant, ça n’est donc pas la solution. Donc nous sommes maintenant dans la réduction des déchets à la source.»

Jérémie Pichon DR

Le mirage et le mensonge du recyclage
«Le tri a surtout consisté à envoyer nos déchets en Afrique et en Asie. Cependant, depuis 3 ans, la Chine et d’autres pays du Sud-Est asiatique on dit : ‘stop, on arrête de prendre vos déchets’. L’envoi de ces déchets était mis au crédit de la valorisation parce que ces pays étaient censés le faire. Mais ils ont dit stop avec tout ça sur les bras. Alors, aujourd’hui que se passe-t-il ?»

Le tri part à l’incinérateur
«Aujourd’hui ? On est dans l’extension du phénomène de tri qui est stocké dans les centres avec une promesse de recyclage qui est juste fausse puisqu’en France nous disposons de deux usines de recyclage en Bourgogne et en Ile-de-France qui traitent à peu près 50 000 tonnes de plastiques alors que la France en produit 5 millions. Et ce phénomène va augmenter avec les consignes de tri. Or, en France, on traite environ 1% de nos plastiques de recyclage.»

La plupart des plastiques n’est pas recyclable
«Parce qu’il s’agit de polystyrène ou de films plastiques qui ne sont pas recyclables. Nous ne disposons ni de process ni des filières économiques pour le faire. Et lorsque le plastique est recyclable, il ne l’est qu’une seule fois, à condition d’y ajouter du plastique vierge sinon il ne ‘tient’ pas, parce que la chaîne polymère est trop faible. En fin de vie, il finit à l’incinérateur ou en centre d’enfouissement. Le mensonge c’est de dire qu’en tant que citoyen, lorsque vous faites le tri, vous avez fait votre boulot de citoyen. Le plastique est une catastrophe pour l’environnement. Il faut en sortir et aller vers du durable, notamment pour l’agroalimentaire, en utilisant de l’inox, du verre, du bois, de la laine, des tissus… les alternatives sont nombreuses pour nous permettre de sortir du plastique.»

le plastique n’est pas recyclable et pollue la planète durablement DR

Qui organise la consigne de tri et toute cette communication mensongère ?
«C’est Citéo (ex-Eco-Emballage), éco-organisme français en charge du développement du recyclage, avec, au sein de son conseil d’administration Coca, Danone, Nestlé. On a confié aux industries industrielles productrices de déchets et plastiques le soin de les réduire ! C’est une blague ! On a fait la même chose pour l’industrie de la pharmacie avec Cyclamed. C’est comme confier le soin à Bayer-Monsanto de réduire la production et l’utilisation des OGM (Organismes génétiquement modifiés). Nous sommes sur un mensonge financé par l’Etat pour continuer dans ce système globalisé qui génère des profits. Pourquoi ? Parce que la clef du système globalisé sont l’emballage et le plastique parce que tout est produit loin du lieu de consommation.»  

Les infos pratiques
La première conférence en compagnie de l’auteur a lieu le 24 février à 19h en salle polyvalente de Montfavet à Agroparc à Avignon. La seconde se tient le lendemain à 18h, au Pôle culturel Jean Ferrat de Sauveterre. Pour vous inscrire, il vous suffit simplement de cliquer sur le lien correspondant à la conférence à laquelle vous souhaitez assister et de remplir les champs requis : Conférence Avignon du 24 février à 19h. Conférence Sauveterre du 25 février à 18h. Un QR code à présenter le soir de votre venue vous sera fourni après avoir complété le formulaire. 

La seconde main, le top de l’élégance ?

Ses ouvrages ici.


Parentalité en entreprise : Mininoo propose une solution clé en main

En 2022 la Ville de Sauveterre a organisé, avec l’accompagnement en intelligence collective de Pazapa, un défi des familles zéro déchet. Ce sont 7 familles qui ont relevé le défi de réduire de 50% la taille de leurs poubelles ! Pour le lancement du 2e défi, la ville de Sauveterre, soutenue par le Grand Avignon a convié Jérémie Pichon à venir animer une conférence samedi 25 février à 18 heures au Pôle Culturel Jean Ferrat. Il donnera une deuxième conférence vendredi 24 février, à 19 heures, à la salle polyvalente de Montfavet par le Grand Avignon, à Avignon. Les places gratuites sont à réserver ici.

Qui est Jérémie Pichon ?
Durant 18 années passées au service d’ONG (organisations non gouvernementales) socioculturelles, environnementales et humanitaires, Jérémie Pichon fait le triste constat d’un système basé sur la sur-consommation, dévastateur pour l’Homme et son milieu.

De la théorie à la pratique
En 2014, ils décident de se lancer, en famille, dans un défi Zéro déchet. En trois ans, de 390 kg de déchets, ils passent à 1 kg, soit un bocal par an, et découvrent surtout un nouveau mode de vie. Ils en tirent un livre, Famille ‘presque’ Zéro Déchet ‘Ze Guide’, illustré par sa femme Bénédicte Moret. Déjà vendu à ce jour à 300 000 exemplaires, il sort en livre de poche en ce mois de février 2023.

Une aventure qui remet tout en cause
Lors de ses interventions en conférence ou en entreprise, Jérémie Pichon raconte avec humour comment ils ont mené leur aventure. Il décrit surtout les bénéfices énormes et insoupçonnés, qu’ils ont tirés d’un tel changement, car en éliminant leur poubelle, ils s’attaquent finalement au système et dessinent un mode de vie soutenable, sobre et heureux.

Un constat ?
«Les déchets circulent au fil de l’eau relate Jérémie Pichon qui habite avec sa famille dans les Landes. Plus précisément, 200 kg de déchets, liés à notre mode de vie, arrivent, chaque seconde, dans l’océan. Des déchets qui polluent la chaîne alimentaire à tel point qu’on estime qu’en 2050, il y aura plus de plastique que de poissons dans l’océan.»

Pourquoi ?
«Parce que notre système économique est basé sur l’hyper-consommation linéaire qui pèse 390kg de déchets par personne et par an, en réalité 590kg si l’on ajoute nos allers-retours à la déchèterie. Mais en réalité nos déchets pèsent bien plus lourd si l’on prend en compte les process de fabrication qui sont l’extraction de la matière, l’énergie utilisée pour la transformation de l’objet, son conditionnement et son transport. A titre d’exemple : le BTP, l’industrie, l’agriculture, en France, produisent 14 tonnes de déchets cachés rattachés individuellement à notre mode de vie. Chaque européen consomme 50 tonnes de ressources ce qui amène à l’émission de CO2 qui induit le changement climatique. Aujourd’hui, on consomme en 7 mois ce qu’on devrait consommer en 12. De même, la moitié des masses d’eau sont en sur-exploitation et deux tiers de l’eau douce est au-delà de sa capacité d’assimilation des pollutions.»

Au début
«Au début on s’est dit peut-on manger, jouer, avoir une vie sociale sans emballages ? La 1re année on est passé à une poubelle tous les 3-4 jours, ce qui est la moyenne, à une poubelle par mois. La 2e année à une poubelle tous les 6 mois. La 3e année, on est passé à un bocal d’1 litre en 1 an, avec à côté, beaucoup de recyclable et un énorme compost car nous achetons beaucoup de produits frais.»

La solution ?
«Si vous ne voulez pas de déchets dans votre poubelle, n’en n’achetez pas ! La solution ? Posséder moins et s’interroger : Ai-je vraiment besoin de cet objet ? Puis on s’est mis dans une démarche de désencombrement et de minimalisme. On a fait des vides-greniers, tout vendu en vides-greniers pendant deux ans et demi pour ne garder que l’essentiel.»

Que faire face à l’obsolescence ?
«Quand nous avons arrêté de consommer, nous nous sommes posé la question de la durabilité. Les 3 piliers de la consommation ? La publicité, le crédit et l’obsolescence. Un produit que l’on conserve 20 ans est amorti en terme écologique. Nous avons alors choisi des produits durables, réparables et recyclables pour allonger leur durée de vie. Nous avons appliqué cela à tous les pans de notre vie quotidienne. Les solutions que l’on n’a pas trouvées ? L’ordinateur, le téléphone et la voiture dont nous sommes très dépendants.»

Ô miracle ! La sobriété volontaire
«Lorsque l’on consomme local, on passe sous la barre des 175kg équivalent carbone par personne et par an. Avec le zéro déchet, nous nous insérons dans la démarche de transition écologique, limitant notre empreinte. Nous sommes passé au bio, de saison et local et avons économisé 30% de notre budget annuel familial. Nous avons totalement détoxifié notre alimentation, nos produits d’hygiène et cosmétiques. Enfin, nous sommes sortis de l’économie mondialisée –dont nous subissons tous les conséquences- pour une relocalisation de nos achats. Nous n’avons pas perdu en confort, mais gagné en qualité de vie, en pratiquant la sobriété volontaire et ça nous rend heureux.»

Les infos pratiques
La première conférence en compagnie de l’auteur a lieu le 24 février à 19h en salle polyvalente de Montfavet à Agroparc à Avignon. La seconde se tient le lendemain à 18h, au Pôle culturel Jean Ferrat de Sauveterre. Pour vous inscrire, il vous suffit simplement de cliquer sur le lien correspondant à la conférence à laquelle vous souhaitez assister et de remplir les champs requis : Conférence Avignon du 24 février à 19h. Conférence Sauveterre du 25 février à 18h. Un QR code à présenter le soir de votre venue vous sera fourni après avoir complété le formulaire. 


Parentalité en entreprise : Mininoo propose une solution clé en main

Ce dimanche 8 janvier, l’Ensemble Arianna, un groupe de professionnels de musique baroque, présentera, en cette période d’Épiphanie, un concert de Noël au pôle culturel Jean Ferrat à Sauveterre. Accompagné d’Ars Vocalis, le pôle vocal de l’Ensemble Arianna, ce dernier proposera un programme entièrement dédié à 3 motets de Bach.

Les voix et les instruments se mêleront afin de plonger les spectateurs dans l’émotion et dans la joie de Noël, sous la direction de Marie-Paule Nounou. Le billet pour assister au concert est au prix de 12€, et 8€ au tarif réduit.

Dimanche 8 janvier. 17h. Pôle Culturel Jean Ferrat. 157 rue des Ecoles et du Stade. Sauveterre.

V.A.


Parentalité en entreprise : Mininoo propose une solution clé en main

Pendant 6 mois, de juillet à décembre, le Village de Sauveterre a accompagné 10 foyers dans le dispositif ‘Ensemble, réduisons nos poubelles de 50% à Sauveterre’. Ça a commencé par un bilan, en juillet et août, de la poubelle actuelle des 10 familles avec un relevé témoin prenant en compte le poids et la segmentation des déchets. Durant ce temps il a été demandé aux familles de ne rien changer à leur mode de vie.

4 mois après
Après un relevé des analyses 4 mois plus tard, les poubelles avaient réduit de 26%. En réalité l’effort était déjà conséquent puisque les familles totalisaient 130 kg par personnes et par an alors que les chiffres nationaux font, en moyenne, état de 220kg par personne et par an. Ce qui induit que les 10 familles étaient déjà engagées dans la réduction des déchets notamment via la pratique du compostage qui représente un tiers du poids de la poubelle.

Un autre mode d’achat
L’autre explication de la réduction des déchets réside dans la transformation du mode de consommation des familles qui ont augmenté leurs achats en vrac. Mais ça n’est pas tout. Ces temps de changement ont aussi été guidés par des accompagnants et des réunions ont ponctué ce changement de vie.

Familles ambassadrices
Désormais les 10 familles sont devenues les meilleures ambassadrices pour accompagner les Sauveterrois au changement. Leur plus grand atout ? Le partage d’expérience et tous les trucs et astuces pour se rendre la vie plus belle et moins encombrante notamment en s’adonnant au Furoshiki qui est l’emballage du cadeau en tissu ; la fabrique de Liniment qui sert de produit démaquillant et produit de nettoyage bébé ; faire sa lessive au lierre. C’est aussi vrai au chapitre de la cuisine en fabricant soi-même son pain, son fromage frais, sa pâte à tartiner, ses yaourts et mousses au chocolat, ses cookies.

Appliquer les 5R
Les cinq R ? Ce sont les 5 règles d’or. Refuser ce dont on peut se passer ; Réduire ce dont on a besoin (et que l’on ne peut pas refuser) ; Réutiliser ce que l’on consomme (et que l’on ne peut ni refuser, ni réduire) ; Recycler ce que l’on ne peut pas réutiliser ; Retourner à la terre ce qu’elle a donné (composter).

Dans le détail
Règle n°1 : Refuser
Elle est la première règle de la démarche vers le zéro déchet. Attention, il ne s’agit pas ici de refuser le confort moderne, mais d’apprendre à reconnaître le superflu du nécessaire. Dire « non », c’est laisser moins d’éléments entrer dans notre quotidien, donc autant de produits dont nous n’aurons pas à nous débarrasser. Exemple d’action : Un autocollant « stop pub » sur la boîte aux lettres pour éviter 30kg de papier par an !

Règle n°2 : Réduire
Comme le dit l’adage, « le meilleur déchet est celui qu’on ne produit pas ». Et pour lutter efficacement contre la production des déchets, la meilleure solution est encore de ne pas en créer. Pour changer durablement notre mode de vie vers cette réduction, il convient de réaliser un geste, pour s’interroger sur le positif qu’elle apporte, et ainsi l’intégrer dans ses nouvelles routines quotidiennes de consommation. Exemple d’action : Achetez 1kg d’abricots en vrac plutôt que dans une barquette en plastique, elle-même emballée dans un sachet en plastique !

Règle n°3 : Réutiliser
Cette règle nous apprend que pour chaque produit jetable il existe une alternative durable. En consommant moins mais mieux, nous allons nous rendre compte de l’importance des objets. Cela va se traduire par réparer lorsque c’est possible, de repenser sa fonction première en lui trouvant une nouvelle utilité ou fonction, rapporter si des solutions se présentent. Exemple d’action : Refuser le gobelet jetable au travail pour lui préférer une tasse personnelle.

Règle n°4 : Recycler
Cette étape explique qu’il s’agit de se débarrasser de ce qui est entré chez nous et que l’on ne pouvait éviter. Chaque consommateur constitue le premier maillon de la chaîne de recyclage, car sans tri de notre part, le recyclage ne serait pas possible. Et si vous ne voyez pas clair dans les consignes de tri de votre ville ou de votre région, n’hésitez pas à consulter les outils mis gratuitement à votre disposition. Exemple d’action : Être acteur de demain en triant à la source et en respectant les consignes de tri (à la maison ou en bacs de collecte, comme en déchèterie).

Règle n°5 : Rendre à la terre
Cette partie concerne tous les déchets organiques et biodégradables. Alors que nous sommes nombreux à déposer nos épluchures, restes de repas ou encore nos fruits et légumes abîmés dans la poubelle, plusieurs alternatives existent afin de restituer à la terre ce qu’elle nous a donné. Trier ses biodéchets, c’est alléger le poids de sa poubelle de plus de 30%, c’est permettre de réduire les tonnages de stockage ou d’incinération, c’est éliminer un risque de pollution …

Continuer l’aventure
En partant du principe que ‘Le meilleur déchet est celui que l’on ne produit pas’ très rapidement d’autres familles vont emprunter les pas des premiers ambassadeurs anti-gaspi. Ils seront accompagnés en cela par des facilitateurs.

Grâce à eux
Cette belle initiative a été mise en place par les conseillères municipales et organisatrices  du défi Karel Arnau et Sylvie Burgio Lips ; Véronique Arfi responsable mission transition écologique au Grand Avignon Le ; Marjorie Maugeais-Cousyn formatrice Pazapa. Une initiative Sauveterre et Grand Avignon.

Ca a commencé comme cela
Au départ la Mairie de Sauveterre et le Grand Avignon ont organisé, en juin, une journée festive destinée à sensibiliser les habitants à l’environnement. C’est ce jour-là qu’a été lancé le défi ‘Zéro déchet’ sous forme de challenge pour réduire les déchets durant 6 mois. Premier objectif ? Réduire les déchets de 50% pour à terme frôle et même atteindre la disparition des poubelles. Une initiative du maire de Sauveterre, Jacques Demanse également vice-président délégué à la transition énergétique au Grand Avignon.

Les familles zéro déchets

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