23 novembre 2024 |

Ecrit par le 23 novembre 2024

Où sont produits les vaccins contre le Covid-19 ?

L’entreprise de logiciels scientifiques Airfinity vient de publier de nouvelles données sur la production mondiale de vaccins contre le Covid-19. Alors que les cadences de production et de livraison commencent à s’accélérer, c’est pour le moment le groupe Pfizer qui a fabriqué le plus de doses avec un total de près de 120 millions, devant Sinovac (plus de 90 millions) et AstraZeneca (environ 83 millions).

Au total, quelques 413 millions de doses ont été produites dans le monde début mars 2021. Et c’est de Chine que provient le plus grand nombre, soit près de 142 millions (34 % du total), tandis que les États-Unis ont dépassé le cap des 100 millions de doses produites (25 % du total). L’Union européenne n’est pas en reste, puisque l’Allemagne, la Belgique et les Pays-Bas ont fabriqué ensemble plus de 81 millions de doses (près de 20 % du total), alors que le deuxième pays le plus peuplé de la planète, l’Inde a contribué pour la moment à la production de plus de 42 millions de doses.

En France, plusieurs sites participent actuellement à la production des vaccins comme le rapporte l’Usine Nouvelle, notamment en ce qui concerne le remplissage et le conditionnement, mais « les capacités de production françaises sont saturées par d’autres vaccins, dans l’immédiat », comme l’a indiqué récemment le gouvernement.

De Tristan Gaudiaut pour Statista  


Où sont produits les vaccins contre le Covid-19 ?

La Communauté professionnelle territoriale de santé (CPTS) du Pays des Sorgues et Luberon informe que la vaccination sera désormais accessible aux personnes âgées de plus de 70 ans au centre de vaccination de l’Isle-sur-la-Sorgue/Cavaillon dès demain, samedi 27 mars.
Situé place des frères Brun au centre hospitalier de l’Isle, le centre de vaccination est accessible uniquement sur rendez-vous par téléphone au 04 90 38 96 53 (du lundi au vendredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h30) selon le nombre de doses de vaccin disponibles.

Pour s’informer de l’ouverture de nouveaux créneaux de vaccination de vaccination, les habitants sont invités à consulter :


Où sont produits les vaccins contre le Covid-19 ?

Avec un taux d’incidence de 305 en semaine 11 (période du 15 au 21 mars), le Vaucluse affiche le plus haut niveau du nombre de nouveaux cas pour 100 000 habitants depuis le début de l’année. Pour retrouver un tel pic dans le département, où le variant anglais représente désormais plus de 75% des personnes nouvellement infectées, il faut remonter à mi-novembre 2020. On est donc loin des chiffres encourageant d’y il a 15 jours (taux d’incidence de 221 en semaines 7 et 9).

« Le variant anglais représente plus de 75% des personnes infectées dans le département. »

Ce bilan fait apparaître de grandes disparités en Vaucluse (voir carte en visuel), entre les territoires de la Communauté de communes Rhône-Lez-Provence (184) et ceux de Ventoux-Sud (475) et du Pays d’Apt-Luberon (474).
Toutefois, la vaccination semble porter ses fruits puisque le taux d’incidence des personnes âgées de plus de 90 ans a été divisé par 5 et par 2 pour les 80-89 ans depuis le début de l’année en Vaucluse.

Fermeture des établissements scolaires
C’est particulièrement en milieu scolaire que l’épidémie rebondit dans le Vaucluse, notamment dans le second degré que ce soit chez les enfants que les personnels adultes. Cela explique les nouvelles fermetures d’établissements scolaires décidées par la préfecture.

Ces nouvelles fermetures concernent :

  • le collège Jeanne d’Arc à Apt
  • l’école maternelle de Maubec
  • une classe à l’école élémentaire les Jardins de Vedène
  • une classe de maternelle à l’école Gérard-Philipe de Sorgues
  • une classe au lycée Charles de Gaulle à Apt
  • une classe de maternelle à l’école des Sources de Gargas
  • une classe de maternelle à l’école Marie-Pila de Carpentras
  • ainsi que prolongation de la fermeture d’une classe de maternelle de l’école les Cordeliers à Apt

Par ailleurs, certains établissements jusqu’alors fermés devraient rouvrir jeudi 25 mars prochain.

Il s’agit :

  • de l’école élémentaire Jardins à Vedène (une classe fermée)
  • du collège La Salle à Avignon (une classe fermée)
  • et de l’école primaire privée Saint-Charles à Cavaillon (une classe fermée).

 


Tests salivaires dans les écoles et les collèges
Des tests salivaires vont également avoir lieu dans les établissements scolaires. Cette campagne se déroule aujourd’hui à l’école de la Bastidonne et au collège Frédéric-Mistral à Avignon. Elle se poursuivra jeudi prochain à l’école Jacques-Prévert de Beaumes-de-Venise et au lycée Frédéric-Mistral à Avignon. Vendredi cela sera ensuite le tour de l’école Mitan à Vedène. Après, les dépistages auront lieu à l’école Simone-Veil à Avignon (29 mars), à l’école Augier à Pertuis (30 mars) ainsi que les écoles Scheppler à Avignon et de La Colline et Les Cordeliers à Apt (1er avril). Enfin, des tests antigéniques sont aussi prévus le 29 mars au lycée de l’Arc à Orange.

 

La mortalité retrouve les niveaux de 2020 et 2019
Au bilan, le nombre de personnes hospitalisées reste élevé, malgré une baisse récente : le pic du nombre de personnes hospitalisées pour Covid a eu lieu le 17 novembre, avec 526 personnes hospitalisées.
Hier, en début d’après-midi, 252 personnes étaient hospitalisées dont 15 en réanimation et soins intensifs (168 en hospitalisation conventionnelle et 69 en soins de suite et réadaptation.
Au total, on dénombre en Vaucluse 898 décès en tout depuis le début de l’épidémie (714 décès au total à l’hôpital, dont 14 durant la semaine 11) et 184 en EHPAD (Etablissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes). D’une manière plus globale, après un pic de la mortalité durant le mois de janvier, le nombre de décès dans le département est désormais comparable à ceux de 2020 et 2019.


Où sont produits les vaccins contre le Covid-19 ?

Mutualité Française, Marc Devouge, Secrétaire général de Mutualité Française Sud tire la sonnette d’alarme : l’inégalité de l’accès aux soins se creuse. Il préconise le regroupement de personnels de santé pour mailler efficacement le territoire, améliorer la prise en charge du patient et réclame le transfert de compétence de la prévention de la santé à la Région.

« La crise sanitaire engendrée par la Covid-19 a mis en évidence l’inégalité d’accès aux soins des Vauclusiens », souligne Marc Devouge, Secrétaire général de la Mutualité française Sud et président de la délégation départementale Vaucluse.  En cause ? Le nombre de médecins atteints par l’âge de la retraite face à une population vieillissante touchée par des maladies chroniques. La solution ? Le regroupement de professionnel de santé pour une approche globale de celle-ci ; la promotion de la médecine préventive et le choix des personnes âgées à rester chez elles avec un accompagnement dans leur lieu de vie où d’être prises en charge en Ehpad (Etablissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes).

Etude à l’appui
La Mutualité française partage les résultats de l’étude annuelle issue de l’Observatoire de la Santé. «La crise sanitaire exceptionnelle que nous traversons entraîne une prise de conscience accrue des problématiques de santé. Dans ce contexte, l’étude annuelle de l’Observatoire de la Mutualité Française rappelle et souligne que l’accès aux soins reste une problématique majeure,» souligne Marc Devouge.

En manque de médecins
«Au-delà de la Covid, les Vauclusiens éprouvent le besoin de consulter pour toutes les autres formes de pathologies, or, l’étude de l’Observatoire de la Santé 2020 montre que la demande de soins est en constante augmentation en raison de deux principaux facteurs : l’accroissement et le vieillissement de la population et le développement de pathologies chroniques. Une situation qui, dans les années à venir, accentuera les inégalités d’accès aux soins en raison notamment de la disparité de la densité des professionnels de santé sur le territoire.»

Anticiper les besoins
«Le Vaucluse avec 154 médecins généralistes pour 100 000 habitants est proche de la moyenne nationale de 152 pour 100 000 habitants. Si globalement en France, 7,4 millions de personnes, soit 11% de la population, résident dans une commune où l’accès à des médecins généralistes est limité, cette inégalité est moins représentative dans le Vaucluse, car 5% seulement de la population réside en zone sous-dense en médecins généralistes. Néanmoins, l’âge de ces derniers laisse augurer, à terme, une diminution des effectifs compte-tenu de leurs futurs départs à la retraite. En effet, 9% des médecins généralistes du département sont dans la tranche d’âge des plus de 55 ans. Une donnée à prendre en considération, car sur le plan national, l’étude prévoit une diminution des médecins généralistes de 13% d’ici 2025.»

Les spécialistes vauclusiens en sous-représentation  
«La présence des médecins spécialistes est déficitaire. Avec 175 spécialistes pour 100 000 habitants, le Vaucluse se positionne 9 points en dessous de la moyenne nationale (190 pour 100 000). La problématique de l’accès aux soins dans le Vaucluse concerne donc plus particulièrement l’accès à ces professionnels spécialisés (par exemple gynécologues, ophtalmologues, …) qui sont essentiellement concentrés dans les grands pôles et par conséquent répartis de manière hétérogène sur le territoire.»

Des solutions
«Pour pallier ce phénomène, la Mutualité Française soutient plusieurs projets dont le développement des centres de santé. «Centres ou maisons de santé, sont autant de réponses tendant à l’amélioration de l’accès aux soins en Vaucluse. Ainsi, l’exercice regroupé de la médecine ou des communautés professionnelles territoriales de santé (CPTS) restent encore trop méconnues du public (seuls 36% des répondants de l’enquête Mutualité Française-Harris Interactive connaissent les CPTS). Les médecins ne souhaitent plus exercer de manière isolée. Nous observons que dans les CPTS Vauclusiennes, l’exercice regroupé de la médecine est particulièrement bien accueilli par le public. Les centres de santé mutualistes pratiquent le tiers payant, ont des tarifs maîtrisés et sont équipés de plateformes techniques. Ces critères permettent une prise en charge qualitative des patients. Le développement de ce type de centre est une mesure fortement soutenue par la Mutualité Française qui plus est dans le département du Vaucluse, le plus pauvre de France, avec un taux de pauvreté de 20% (contre 14,7 % au niveau national), et un effectif CMU (Couverture maladie universelle) de 9,6% contre 7,3% en national,» précise Marc Devouge, président de la délégation départementale Vaucluse.

La e-santé
Concernant la téléconsultation en période de confinement, le Vaucluse est en dessous de la moyenne. En effet, le nombre de téléconsultations dans le département a atteint les 6 810 consultations entre septembre 2018 et mars 2020. Alors que certains départements voisins comme les Bouches-du-Rhône se sont situés trois fois au-dessus de la moyenne nationale (11 948 par département), le Vaucluse est quasiment deux fois en dessous de la moyenne (-175%). Pour la Mutualité française «Le département n’exploite pas encore assez le potentiel de développement de la e-santé. Pour autant, l’étude souligne les limites de la télémédecine en indiquant que cette démarche ne peut pas convenir pour tous les motifs de consultation. De surcroît, il faut prendre en considération l’accessibilité au numérique et la prise en main des dispositifs digitaux qui semblent plus complexes pour les seniors.»

Préconisations
Face aux inégalités sociales et territoriales que la crise sanitaire a rappelées et amplifiées, la Mutualité Française propose cinq actions : «Généraliser les espaces de santé pluri professionnels pour le premier recours aux soins. Cette mesure a pour objectif de mettre fin à l’exercice isolé de professionnels de santé à l’horizon de cinq ans. Donner aux personnes âgées en perte d’autonomie le choix de leur lieu de vie. La Mutualité propose de réinventer le modèle de l’Ehpad pour renforcer ses compétences médicales et les ouvrir sur le territoire, afin d’en faire un centre de ressources gériatriques et permettre le choix du maintien à domicile, même en cas de dépendance lourde. Et, enfin, optimiser la chaîne d’approvisionnement sanitaire.

Transférer aux régions la compétence de la prévention
La Mutualité Française propose de restaurer la souveraineté et de revoir les politiques de recherche, de stocks et de distribution. «Transférer aux régions la compétence de la prévention pour que les Français puissent vivre en bonne santé le plus longtemps possible grâce à une politique de prévention de la santé gérée au niveau régional. Recentrer les Agences Régionales de Santé (ARS) autour de deux missions régaliennes : la sécurité sanitaire et la régulation de l’offre. «Les ARS doivent piloter l’offre de santé avec neutralité et mieux prendre en compte la complémentarité des différents acteurs, publics comme privés.»


Où sont produits les vaccins contre le Covid-19 ?

Un nouveau centre de vaccination porté par le centre hospitalier de Pont-Saint-Esprit et les professionnels de santé libéraux, va ouvrir le lundi 22 mars. Avec les centres de Bellegarde et Saint Ambroix ouverts jeudi dernier, il s’agira du 12e centre gardois (cela représente 1 centre pour 62 500 habitants). Le nouveau site de Pont-Saint-Esprit pourra proposer 210 vaccinations par semaine et aura la capacité de monter en puissance dès le mois d’avril.
« La vaccination est ouverte pour les personnes de plus de 75 ans ainsi que les personnes de 50 à 74 ans avec une pathologie à très haut risque de forme grave de COVID-19. Dans ce dernier cas, se rendre au centre de vaccination avec une prescription médicale, rappelle la préfecture du Gard. Pour obtenir un rendez-vous, il convient soit de se connecter sur le site https://www.sante.fr/cf/centres-vaccination-covid.html et de choisir ensuite un centre de vaccination soit de composer le 0800 54 19 19. »

A signaler que l’ensemble des centres de vaccination du Gard (département où le taux d’incidence dépasse 290) vont offrir près de 10 000 plages de vaccinations supplémentaires sur l’ensemble des deux dernières semaines du mois de mars.

*Les 12 communes qui disposent d’un centre de vaccination : Aigues-Mortes, Alès, Bagnols-sur-Cèze, Bellegarde, Nîmes (CHU et cerntre des Costières), Pont-Saint-Esprit, Saint-Ambroix, Uzès, Vauvert, Les Angles (espace le Forum) et Le Vigan.


Où sont produits les vaccins contre le Covid-19 ?

Un an après le 1er confinement, Bertrand Gaume, le préfet de Vaucluse, était hier matin l’invité de nos confrères de France bleu Vaucluse.


« La situation est simple, nous sommes sur un plateau avec un taux d’incidence de 240 pour 100 000 habitants, or les départements voisins (Bouches du Rhône, Drôme, Gard), eux, sont en ‘vigilance renforcée’ avec des déplacements qui favorisent la progression de l’épidémie chez nous », a expliqué Bertrand Gaume, préfet de Vaucluse lors d’une interview réalisée hier matin chez nos confrères de France bleu Vaucluse.

« On réfléchit ensemble à une sortie progressive de cette crise, mais on n’a pas de date précise. »

« Nous avons une impérieuse nécessité, respecter les gestes barrières et nous faire vacciner, insiste le représentant de l’Etat dans le département. A ce jour 41 000 vauclusiens ont reçu une 1ère injection. Grâce aux professionnels de santé, aux 16 centres de vaccination qui quadrillent le territoire et à l’équipe mobile, nous espérons passer à 7 000 doses Pfizer hebdomadaires et ainsi arriver à 200 000 vauclusiens vaccinés d’ici fin-juin. »
Côté réouverture? « Nous avons chaque semaine rendez-vous avec les représentants du monde socio-économique, de la culture, on prépare l’avenir ensemble, on pose des jalons pour les festivals, les cafés, les restaurants, il y a un comité départemental de suivi sanitaire tous les lundis, on réfléchit ensemble à une sortie progressive de cette crise, mais on n’a pas de date précise. »

« Je comprends cette lassitude de la population. »

« Je comprends cette lassitude de la population, avec le confinement, les attestations de sortie, le couvre-feu, mais la mère de toutes les batailles c’est la vaccination pour tenir bon et reprendre le dessus. Il faut savoir que 99% des résidents en Ehpad vauclusiens (Etablissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes) ont été vaccinés, ce qui permettra à leurs proches d’aller les voir en respectant évidement les distances, en se lavant les mains avec du gel hydro-alcoolique. »
Bertrand Gaume tire un coup de chapeau aux « 1er de corvée », les caissières, livreurs, éboueurs, mais aussi au personnel soignant : « Ils ont fait face, ils ont droit à toute notre gratitude. En Vaucluse, il y a eu près de 900 familles qui ont perdu un proche à cause de la pandémie depuis mars 2020. Ce ne sont pas des chiffres désincarnés que l’on ânonne, que l’on commente sur les plateaux de TV, ce sont de véritables drames que l’on vit au quotidien. Avant d’être en poste dans le Vaucluse, j’étais préfet de Corrèze et j’ai appris la mort d’une collègue de 51 ans, emportée par le coronavirus. »

« Restons mobilisés. »

« Pour sortir le plus vite possible de cette crise sanitaire, chacun doit être responsable, porter le masque. 11 fermetures administratives de commerces ont été décidées, une cinquantaine de mises en demeure prononcées pour ceux qui étaient en infraction et nous continuons les contrôles. »
Le Préfet conclut : « Notre priorité c’est la relance, la reprise d’activité, le retour à la normale. 3 000 jeunes sont entrés dans le dispositif ‘Emploi Jeunes’, des entrepreneurs ont été aidés. Restons tous solidaires et mobilisés. »


Où sont produits les vaccins contre le Covid-19 ?

Après le signalement d’effets secondaires ‘possibles’, mais sans lien avéré à ce stade, plusieurs pays ont suspendu par précaution l’utilisation du vaccin AstraZeneca contre le Covid-19. Lundi 15 mars, la France, l’Allemagne et l’Italie ont rejoint la vingtaine de pays qui avaient pris cette décision, suivis aujourd’hui par la Suède, alors que d’autres États pourraient prochainement suivre le même chemin. Le Danemark a été le premier à suspendre le vaccin du laboratoire britanico-suédois le 11 mars, après des « rapports de cas graves de formation de caillots sanguins » chez des personnes vaccinées. De son côté, AstraZeneca affirme n’avoir pour le moment aucune preuve de risque aggravé vis-à-vis de l’utilisation de son vaccin.

En se basant sur les dernières annonces des gouvernements rapportés dans les médias le 16 mars (à 10h00), notre carte donne un aperçu des pays ayant suspendu ou reporté l’utilisation du vaccin AstraZeneca à titre préventif dans le monde. On recensait à cette date 24 pays dans cette situation, dont la grande majorité en Europe. Au total 72 pays utilisaient ce vaccin selon le New York Times, ce qui signifie qu’un sur trois a pour le moment tranché en faveur d’une suspension.

De Tristan Gaudiaut pour Statista  


Où sont produits les vaccins contre le Covid-19 ?

La 1re intervention a pour sujet : ‘Les clefs de la mission du référent Covid-19 en entreprise’ ce mercredi 17 mars de 9h à 11h et l’aide à l’élaboration du Document Unique d’Évaluation des Risques Professionnels (DUERP) jeudi 18 mars de 9h30 à 11h30.

Pour prévenir les risques liés à la Covid-19 et limiter le plus efficacement les chaînes de contamination, chaque entreprise a l’obligation de désigner un référent Covid-19. Mais quel est le rôle de ce référent et comment assurer au mieux cette mission ?

AIST 84
C’est à cette question, précisément, que répondra l’AIST 84 (Association interentreprises pour la santé au travail du Vaucluse) pour du webinaire ‘Référent Covid-19 : les clefs pour assurer ma mission’, qui sera animé par un médecin et un infirmier du travail.
AIST 84. Médecine du travail. 18, avenue de Fontcouverte à Avignon. 04 90 87 33 04. www.aist84.fr

Au programme
Comment maîtriser le risque Covid-19 en entreprise ? Rappel des mesures de prévention ; Gestion des cas probables ou confirmés en entreprise ; Impacts de la Covid-19 sur l’entreprise ; Proposition d’accompagnement de l’AIST 84. Le lien de connexion au webinaire sera transmis par mail quelques jours avant l’événement et après avoir rempli le formulaire.

Et ça n’est pas tout
Jeudi 18 mars de 9h30 à 11h30, ce même organisme propose un autre webinaire sur le DUERP l’aide à l’élaboration du document unique animé par deux experts en prévention des risques professionnels.

Dans le détail 
Le Document Unique d’Évaluation des Risques Professionnels (DUERP) est obligatoire et indispensable pour adapter les conditions de travail et assurer la protection de la santé de vos salariés, d’autant plus face à la Covid-19 !

Ateliers
Les ateliers sont composés de 2 parties. Une 1ère partie théorique en webinaire pour identifier les situations à risques au sein de votre entreprise et définir les mesures de prévention à mettre en œuvre ainsi que la conduite à tenir pour les personnes fragiles et les salariés potentiellement contaminés par la Covid-19. Et une 2ème partie en présentiel ou webinaire pour apporter une aide pratique et finaliser le Document unique. Là encore le lien de connexion au webinaire sera transmis par mail quelques jours avant l’événement et après avoir rempli le formulaire.


Où sont produits les vaccins contre le Covid-19 ?

 

Il y a un an, le 11 mars 2020, l’Organisation mondiale de la santé caractérisait officiellement le Covid-19 comme une pandémie. À cette époque, on recensait alors 120 000 cas diagnostiqués dans le monde, dont les deux tiers en Chine, et un peu plus de 4 000 personnes décédées des causes de la maladie. Douze mois plus tard, le nombre total de cas identifiés dans le monde s’élève désormais à plus de 117 millions et l’on comptabilise plus de 2,6 millions de décès.

Si le virus constitue toujours une menace dans de nombreux pays à travers le monde, notamment en raison de l’apparition et de la progression de variants plus infectieux, une baisse significative et encourageante du nombre de nouveaux cas confirmés dans le monde a été observée en début d’année. Mais comme le montre notre graphique, depuis fin février, on assiste à une nouvelle phase ascendante des contaminations et la vigilance reste de mise malgré les progrès de certains pays en matière de vaccination.

Selon l’Organisation mondiale de la santé, la moyenne sur sept jours du nombre de nouveaux cas quotidiens dans le monde s’élevait à environ 416 000 le 10 mars, soit un niveau similaire à ce qui était enregistré à la fin du mois d’octobre 2020, même si les dynamiques régionales sont quelque peu différentes.

De Tristan Gaudiaut pour Statista  

https://echodumardi.com/tag/sante/page/21/   1/1