23 novembre 2024 |

Ecrit par le 23 novembre 2024

Les vaccins les plus utilisés dans le monde

À ce jour, environ un milliard de doses de vaccins anti-Covid-19 ont été administrées dans le monde, soit environ 13 doses pour 100 personnes, mais l’avancement des campagnes reste très variable selon les pays. On compte désormais 11 vaccins en service dans le monde, dont un seul à dose unique, celui récemment déployé par Johnson & Johnson. Ce vaccin est actuellement utilisé aux États-Unis, Afrique du Sud, et dans certains pays européens tels que l’Italie et la Pologne. Selon Reuters, la France, l’Allemagne et les Pays-Bas devraient également l’utiliser dans les semaines à venir. Au total, Johnson & Johnson devrait livrer 55 millions doses de vaccins à l’Union européenne d’ici fin juin.

Comme le montre notre graphique, basé sur les données d’Our World in Data rapportées dans le New York Times, c’est le vaccin d’Oxford-AstraZeneca qui est actuellement le plus utilisé dans le monde. Le 26 avril, 135 pays répartis sur les cinq continents administraient ce vaccin malgré son parcours plutôt chaotique. Le vaccin avait effectivement temporairement été suspendu en France et dans plusieurs autres pays en raison d’effets secondaires suspectés. L’Agence nationale de sécurité du médicament avait confirmé l’existence d’un risque « rare » de thrombose atypique associé à ce vaccin, tout en soulignant que sa balance bénéfice/risque restait « favorable ».

Parmi les autres vaccins contre le Covid-19 les plus utilisés, on retrouve en deuxième position celui de Pfizer-BioNTech (89 pays), puis celui de Moderna (37 pays). Ailleurs, les vaccins chinois Sinopharm (Beijing/Wuhan), Sinovac et CanSino sont administrés par respectivement 35, 23 et 2 pays, principalement en Asie et en Amérique du Sud, alors que Spoutnik V (Russie) est utilisé par 28 pays, dont la Hongrie, et ce malgré l’absence pour le moment d’autorisation à l’échelle de l’UE.

Graphique actualisé avec les données du 26 avril 2021.

De Claire Jenik pour Statista


Les vaccins les plus utilisés dans le monde

L’AIST 84 (Association interprofessionnelle de santé au travail) rappelle que « le gouvernement a décidé d’élargir la vaccination à près de 400 000 professionnels de 55 ans et plus à compter du samedi 24 avril ». A ce titre, une nouvelle liste a été établie, ouvrant un accès prioritaire aux professionnels suivants afin d’être pris en charge avec les vaccins Janssen (laboratoire Johnson & Johnson) ou Astrazeneca :

  • conducteurs de bus, ferry et navette fluviale,
  • conducteurs et livreurs sur courte distance,
  • conducteurs routiers,
  • chauffeurs de taxi et de VTC,
  • contrôleurs des transports publics (exemple : SNCF, transports urbains),
  • agents d’entretiens : agents de nettoyage, éboueurs, ramassage et tri des déchets,
  • agents de gardiennage et de sécurité,
  • salariés et chefs d’entreprises des commerces alimentaires : caissiers, employés de libre-service, vendeurs de produits alimentaires dont bouchers, charcutiers, traiteurs, boulangers, pâtissiers,
  • salariés des abattoirs et des entreprises de transformation de viande,
  • professionnels des pompes funèbres.

Les médecins et infirmiers de l’AIST 84 peuvent donc vacciner ces professionnels en priorité à partir du moment où leur entreprise est adhérentes. « Tous les salariés doivent être informés, insiste l’organisme de gestion de la santé au travail. C’est pourquoi nous leur adresserons par SMS une communication dédiée très prochainement. »

Informations et prise du rendez-vous en cliquant ici


Les vaccins les plus utilisés dans le monde

Dans le cadre du Contrat de ville, le Grand Avignon vient d’approuver son Plan local de santé publique (PLSP) des quartiers de la Politique de la ville, afin de définir une stratégie et d’agir en faveur de l’amélioration de la santé des habitants des quartiers défavorisés.

Suite au recrutement d’un chargé de mission santé au sein de l’équipe Politique de la ville, le Grand Avignon a donc créé son premier Atelier santé ville (ASV), lieu d’échanges entre les partenaires associatifs et institutionnels.

Le diagnostic territorial en santé a permis de réaliser un état des lieux, en identifiant les fragilités sociales et sanitaires de la population locale. Afin d’apporter une réponse coordonnée avec les acteurs institutionnels de la santé, le Grand Avignon a défini 3 principaux axes d’intervention :

  • favoriser l’accès aux droits à la santé et à la prévention,
  • faire émerger des environnements favorables à la santé,
  • renforcer le soutien à l’inclusion sociale et l’accès aux soins des femmes et mères vulnérables.

Cinq quartiers prioritaires sont identifiés pour le territoire du Grand Avignon. A Avignon figurent les quartiers sud (Monclar, Champfleury, Rocade Sud, Barbière, Croix des Oiseaux), les quartiers nord-est, le quartier Saint-Chamand. Au Pontet figurent les quartiers Camp Rambaud-les Mérides, les quartiers Joffre et Centre-ville.

Le Plan d’actions du PLSP, dont la mise en œuvre court jusqu’à 2022, préconise un éventail d’actions incluant notamment : la sensibilisation à la santé bucco-dentaire, l’accès à une alimentation saine, la petite enfance, la mise en relation avec les structures associatives, l’activité pédestre, l’atelier santé, l’aménagement des espaces publics, le jardins partagé ou l’offre culturelle pour pallier à l’usage des écrans et favoriser l’activité physique.

Pour accéder à toutes les informations et les échéances, il vous suffit de cliquer ici afin de télécharger le dossier du Plan local de santé publique disponible sur le site du Grand Avignon.


Les vaccins les plus utilisés dans le monde

L’AIST 84 (Association interentreprises pour la santé au travail du Vaucluse) va réunir ses équipes au sein de la ‘Maison de la prévention et de la santé au travail’. Jusqu’à présent répartis dans 4 centres avignonnais : Agroparc, Courtine, Fontcouverte et rue Thiers, les professionnels seront désormais accueillis à Avignon Sud, au sein d’un bâtiment écoresponsable à l’architecture moderne. Des équipes jusqu’alors basées au siège social du Pontet les rejoindront également lors du déménagement prévu à partir de mi-juin jusqu’à fin juillet. «La construction de cette nouvelle ‘Maison de la prévention et de la santé au travail’ nous permettra de travailler plus efficacement à la mise en œuvre de solutions innovantes pour la prévention des risques professionnels,» a souligné Yves Le Cam, directeur de l’AIST84.

En détail

L’association qui regroupe des équipes médicales : médecins du travail, infirmiers, assistantes médicales ; équipes techniques : conseillers en prévention, ergonomes, psychologues du travail, toxicologues, assistantes sociales, opère auprès des entreprises situées dans le Nord Vaucluse jusqu’au Nord des Bouches-du-Rhône en passant par le Gard. En effet, les professionnels de la santé et de la prévention ont établis leurs centres à Fontcouverte, Agroparc, Avignon-centre, aux Angles, à Châteaurenard, à Sorgues, à Orange, Valréas et Bollène.

Le bâtiment

Le bâtiment basse consommation, écoresponsable et à énergie positive, implanté en ceinture verte, proposera 2 500m2 sur quatre niveaux et sera doté d’un parking avec ombrières photovoltaïques. Il se situe à moins de 25 minutes des entreprises, un atout pour le suivi médical des salariés. Un étage sera dédié au Pôle prévention. La nouvelle Maison, située au carrefour des grands axes routiers avignonnais et desservie par le tramway, sera facile d’accès. L’AIST 84 accompagne 8 600 entreprises dont 100 000 salariés dans une démarche de prévention des risques professionnels.


Les vaccins les plus utilisés dans le monde

D’après les objectifs du gouvernement en matière de vaccination contre le Covid-19, la France vise d’atteindre 30 millions de personnes vaccinées d’ici mi-juin, en comptant notamment sur l’accélération de la campagne avec la mise en place des « vaccinodromes ». Un objectif qui semble désormais réalisable dans la mesure où l’Hexagone vient de passer le cap des 10 millions de personnes vaccinées (au moins une dose), soit environ 16 % des Français. Dans le détail, 3,7 millions de personnes ont reçu une seconde dose, ce qui représente entre 5 et 6 % de la population.

En se basant sur les données d’Our World in Data, notre graphique fait le point sur la part de la population entièrement vaccinée dans le monde, c’est à dire les personnes ayant reçu l’intégralité des doses prévues dans les protocoles de vaccination (deux par exemple pour celui de Pfizer-BioNTech). Pays le plus avancé en matière de doses administrées (plus d’une par habitant), Israël a terminé la vaccination de plus de la moitié de ses citoyens (57 %) et commence peu à peu à retrouver une vie normale. Parmi les plus avancés, on retrouve ensuite le Chili et Bahreïn, où près du quart de la population est entièrement vaccinée, alors que les États-Unis ont passé le seuil des 20 % début avril.

En Europe, ce sont la Serbie et la Hongrie qui figurent en tête des statistiques, avec déjà respectivement 17,1 % et 12,6 % de leur population totalement vaccinée. Ces deux pays ont le point commun d’utiliser plusieurs vaccins : l’américain Pfizer, mais aussi le russe Spoutnik V et le chinois Sinopharm, deux vaccins n’ayant pas encore été approuvé par l’Agence européenne des médicaments. Le Royaume-Uni, où plus de 40 % de la population a reçu au moins une dose, rattrape quant à lui son retard sur les secondes injections et la part des citoyens britanniques entièrement vaccinée s’élevait à 11 % le 10 avril.

Pour un autre aperçu des progrès de la vaccination : vous pouvez consulter le graphique sur le nombre total de doses administrées ici.

Ce graphique actualisé avec les données du 10-11 avril 2021. Si le texte et l’infographie venaient à ne pas correspondre, nous conseillons de vider la mémoire cache du navigateur.

 

Tristan Gaudiaut pour Statista


Les vaccins les plus utilisés dans le monde

Selon le professeur Didier Raoult « pour la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, l’observatoire de la santé a mesuré que la Mortalité a été plus faible en 2020 chez les moins de 65 ans. Mais elle a été plus forte chez les plus de 70 ans et encore pour les plus 80 ans. Au total, la balance fait qu’il n’y pas eu d’année de vie perdue par rapport à 2019 parce que lorsque l’on meurt à 20 ans on perd théoriquement 60 ans d’espérance de vie alors que lorsque l’on décède à 85 ans ce n’est pas exactement la même chose. Cela veut dire bien sûr que les personnes âgées sont mortes mais en termes de nombre d’année de vie perdu par la population de la région il n’y a pas d’écart significatif. »

Le point sur la situation actuelle
« Le variant anglais, il n’y a que cela en ce moment, est plutôt moins sévère que le variant 4 issu des élevages de visons et qui a flambé dans toutes l’Europe à l’automne, poursuit le patron de l’Institut hospitalo-universitaire (IHU) Méditerranée-infection. Ce dernier a disparu actuellement et donc notre mortalité depuis le mois de janvier est plutôt plus basse qu’en novembre et décembre dernier (…). Le point essentiel désormais c’est de détecter les sources de variant. Et l’on sait qu’il y a une source considérable de variant dans les élevages de vison et probablement dans chez les visons sauvages. »

Surveiller de très près les élevages d’animaux sensibles
« C’était une maladie des animaux, probablement les chauves-souris, qui est devenue une maladie humaine. Cette pandémie humaine s’est ensuite étendue, à nouveau, à des animaux qui sont dans notre environnement. Et ces animaux, lorsqu’ils sont très nombreux ou font l’objet d’élevage intensif, deviennent un réservoir pour la multiplication de variant » dont certains peuvent être plus dangereux que d’autres. C’est pour cela que le professeur Raoult alerte sur la nécessité de surveiller de très près les élevages d’animaux sensibles.

17 000 personnes traitées
Dans sa nouvelle vidéo, Didier Raoult rappelle que l’IHU a traité plus de 17 000 personnes en ambulatoire : 10 429 personnes en 2020 et près de 6 700 depuis le début de l’année. Parmi les patients de l’an dernier, 8 315 ont été traité à l’hydroxychloroquine et l’azithromycine (5 décès constatés).
Pour lui, « cette association se traduit par une nette différence en terme de taux de survie » qui se constate particulièrement dans les résultats de l’IHU comparés à ceux de la moyenne nationale des patients hospitalisé : 7,9% de taux de mortalité pour l’IHU contre 19% dans l’Hexagone. Avec des écarts très significatifs chez les moins de 70 ans et chez les femmes notamment. « Ceci est l’effet de la prise en charge des patients, cela ne peut pas être autre chose. »

La revanche de l’hydroxychloroquine
« Aujourd’hui, il n’y a rien de plus efficace comme série, insiste le scientifique phocéen. Cependant les pays d’Europe de l’Ouest et les Etats-Unis ont décidé de faire un black-out sur l’hydroxychloroquine. Cela n’empêche pas le reste du monde d’avancer et de continuer à faire des publications qui n’arrêteront pas de s’accumuler avec des dizaines de milliers de personnes inclues. »
Ce dernier rappelle ainsi que les études portant sur le plus grand nombre de malades (22 784 cas en Iran et 5 500 en Arabie Saoudite) « montrent un effet extrêmement significatif de l’hydroxychloroquine sur la mortalité ».

Le retour de la médecine
« Je suis content de voir l’évolution dans ce pays, poursuit-il pour souligner désormais la situation en France. On a commencé, il y a 1 an, en disant qu’il ne fallait pas soigner les malades et qu’il fallait qu’ils restent à la maison en prenant du Doliprane en attendant de s’étouffer. Maintenant, je suis content d’entendre le ministre dire que les malades doivent voir des médecins pour éventuellement leur donner des antibiotiques, qu’il fallait les oxygéner, les anti-coaguler, mesurer leur oxygène. C’est le retour de la médecine. »

CNH INDUSTRIAL


Les vaccins les plus utilisés dans le monde

Les médecins et infirmiers de santé au travail sont mobilisés pour vacciner les salariés de 55 ans et plus et peuvent désormais le faire avec le vaccin Janssen. Tous les salariés doivent être informés de cette possibilité pour en profiter ! Relayez l’information dans vos entreprises, auprès de vos adhérents et de votre entourage ! Vous êtes salarié ? Pour prendre rendez-vous, contactez directement votre médecin du travail ou votre centre médical AIST 84 de rattachement.

Maintien des visites médicales

Le suivi de santé des salariés est maintenu et peut-être réalisé soit en présentiel soit par téléconsultation. Certaines visites, non prioritaires, peuvent être reportées en cas de besoin. Pour tout savoir sur les dispositions temporaires, téléchargez la fiche pratique « Report des visites et examens médicaux » !

Prévention des risques, webinaires et actions en milieu de travail

La Covid-19 ne doit pas occulter les autres risques professionnels (RPS risques psychosociaux, TMS troubles musculosquelettiques, bruit, risque chimique…). Les spécialistes de l’AIST continuent à accompagner les entreprises dans la prévention de ces risques, notamment, via l’organisation de webinaires sur des thématiques variées. Ils poursuivent le repérage des risques en entreprise lorsque la situation le permet et conseillent sur les mesures de prévention à mettre en œuvre pour protéger tous les acteurs de l’entreprise.

Conseils pour l’organisation du télétravail

Le télétravail reste le meilleur rempart contre la propagation du virus. Il est donc primordial que tous les salariés qui peuvent télétravailler le fasse. Mais attention, le télétravail peut avoir des impacts importants (troubles musculosquelettiques, risques psychosociaux…). Pour télétravailler dans de bonnes conditions sur le long terme, il est très important de penser ce mode de travail de manière pratique et organisationnelle. Retrouvez tous nos conseils dans notre boîte à outils spéciale télétravail !

Infos régulières sur les mesures en lien avec l’épidémie

Foire Aux Questions, page spéciale Covid-19, newsletters, mailings, supports de communication, post sur les réseaux sociaux… L’AIST 84 transmet autant que possible les informations utiles pour faire face au virus.


Les vaccins les plus utilisés dans le monde

La population mondiale se nourrit de toujours plus de sucre. Symptomatique de cette situation, la consommation de sodas sucrés, qui explose dans certains pays.
Comme le met en évidence notre graphique basé sur les données exclusives du Global Consumer Survey de Statista, les boissons rafraîchissantes sans alcool sont particulièrement populaires au Royaume-Uni, en Espagne, aux États-Unis et en Allemagne : la proportion de personnes indiquant consommer régulièrement ce type de boisson y étant particulièrement élevée. En France, elle n’atteint que 46 % alors qu’en Chine, le chiffre est encore plus bas avec seulement 27 % indiquant consommer régulièrement ce genre de boissons.

Les boissons rafraîchissantes sans alcool sont souvent critiquées en raison de leur forte teneur en sucre – une consommation excessive a des effets néfastes sur notre santé et est considérée comme source d’accroissement de maladies telles que l’obésité. À l’état de projet dans de nombreux pays, une taxe soda, est entrée en vigueur en 2012 en France et en 2016 en Belgique, sous forme d’accises.
Cette taxe, ayant pour objectif de réduire l’obésité et d’améliorer la santé, vise la plupart des produits sur le marché des BRSA (boissons rafraîchissantes sans alcool).

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Claire Jenik pour Statista


Les vaccins les plus utilisés dans le monde

Le ‘Vaccinobus’, dispositif de vaccination itinérant initié par le Conseil régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur, va sillonner le département afin de vacciner gratuitement les Vauclusiens.

Mis en place en partenariat avec la Fédération Nationale des Transports de Voyageurs (FNTV) Provence-Alpes-Côte d’Azur-Corse et le Comité départemental des secouristes français Croix-Blanche des Bouches-du-Rhône, ce centre de vaccination mobile spécialement aménagé dans un bus du réseau régional ‘Zou’ selon les directives de l’ARS (Agence régionales de santé) permet de traiter près d’une quarantaine de personnes par jour.
Il essentiellement destiné à apporter une solution de proximité aux personnes âgées domiciliées dans les communes rurales ou villages éloignés des centres de vaccination.

Assurer un retour à la vie
« Ils fonctionneront dans le respect des trois principes de la stratégie nationale, à savoir une vaccination non obligatoire, gratuite et sécurisée, rappelle Renaud Muselier, président du Conseil régional. Agréés comme centres de vaccination mobiles par les préfectures de département, ils vont ainsi aller au plus près des populations cibles pendant les 6 prochains mois. »
Dans l’immédiat (voir calendrier ci-dessous), ce sont les communes de Jonquières, Sérignan-du-Comtat, Uchaux, Cairanne, Lagarde-Paréol, Séguret, Méthamis, Roussillon, Cabrières-d’Avignon, Piolenc et Visan qui figure au programme du Vaccinobus.
« Pour mettre en place ce dispositif nous avons établi une programmation par département avec les Préfectures de département et les délégations départementales de l’ARS, en fonction des besoins des territoires et en complémentarité des centres déjà existants. Ensemble, nous faisons tout pour assurer un retour à la vie » insiste Renaud Muselier.

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https://echodumardi.com/tag/sante/page/19/   1/1