Membre du réseau d’expertise comptable Axiome associés, le cabinet nîmois Axiome D.I.S vient d’obtenir la reconnaissance de sa spécialisation médico-sociale.
Ainsi, dans ce cadre ses experts-comptables, Marc Clouvel, Aurélie Camroux, David Campos, William Meddour et Christophe Mazet, ont obtenu chacun individuellement la reconnaissance par l’Ordre des Experts-Comptables de leur spécialisation sur le secteur Médico-Social.
« En effet, leur implication, leur travail et leur expertise sur ce secteur s’effectuent depuis de très nombreuses années déjà. Toutefois, une nouvelle étape est franchie par la reconnaissance, possible depuis peu par leurs pairs, de ce statut de spécialistes », se félicite Axiome.
Axiome D.I.S. est une société d’expertise-comptable et d’audit implantée sur Nîmes Ville Active. Son domaine d’intervention : les associations et mutuelles gestionnaires d’établissements sociaux et médico-sociaux pour lesquelles une équipe de 19 intervenants, entièrement spécialisés, réalise des missions d’expertise comptable, commissariat aux comptes, conseils, d’appui technique, d’audit et de veille règlementaire.
Leader régional et 42e cabinet national, Axiome associés regroupe pour sa part 50 associés et près de 330 collaborateurs, le groupe est implanté à Aigues-Mortes, Alès, Arles, Avignon, Béziers, Castelnau-le-Lez, Frontignan, Jacou, La-Grande-Motte, Le-Grau-du-Roi, Mèze, Montpellier, Narbonne, Nîmes, Perpignan, Tarascon, Thuir et maintenant Ducos dans les Antilles. En 2019, ce spécialiste de l’expertise comptable et du commissariat aux comptes en Occitanie et Provence a réalisé un chiffre d’affaires de 24M€.
24 novembre 2024 |
Ecrit par le 24 novembre 2024
Reconnaissance médico-sociale pour Axiome D.I.S.
Reconnaissance médico-sociale pour Axiome D.I.S.
L’Université d’Avignon dispense 69 formations et accueille environ 7 500 élèves sur ces deux campus. Pour soutenir cette institution et pallier l’absence de SSU (Système de santé universitaire), la députée de la 1ère circonscription a récemment contacté le recteur de l’Académie d’Aix-Marseille.
« L’Université d’Avignon était jusqu’à récemment en étroite liaison avec l’Université d’Aix-Marseille avec un système de santé étudiant mutualisé. Or, cette dernière a maintenant son propre système de médecine préventive indépendant, sans que l’Université d’Avignon ait eu le temps de s’adapter, expose la députée. La situation médicale de nos étudiants vauclusiens est donc critique, au risque que de nombreux étudiants ne puissent bénéficier d’un accompagnement adapté pour la rentrée de septembre prochain. L’objectif de l’Université aujourd’hui est de pallier au besoin grandissant des étudiants en cette crise sanitaire, tout en répondant à des problématiques connues de toutes les universités que nous ne pouvons négliger, s’agissant notamment des élèves en situation de handicap. »
La députée a contacté le recteur de l’académie en avril dernier. Dans l’attente de la mise en place de ce SSU, ce dernier a assuré le développement de consultations médicales gratuites en ligne, avec plus de 40 spécialistes disponibles 7j/7, de 6h à minuit. « Des solutions pratiques que je salue mais qui ne règle pas le problème au niveau structurel. Car oui, l’enjeu est fondamental : il nous faut donner à l’Université les moyens d’assurer un suivi efficace et cohérent, par le recrutement de deux médecins, deux infirmiers, deux secrétaires médicales et d’un psychologue, pour qu’elle puisse s’appuyer, en temps de crise sur un service de santé hautement compétent et adapté aux besoins de toutes et tous. »
Reconnaissance médico-sociale pour Axiome D.I.S.
Alors que l’été est là et que la pandémie de Covid-19 avait reculé en Europe, les inquiétudes continuent de monter face au variant Delta, plus contagieux et déjà responsable d’une reprise épidémique dans plusieurs régions. Premier pays européen touché, le Royaume-Uni assiste à une flambée des cas de Covid-19 et le variant a rapidement remplacé son prédécesseur puisqu’il représente aujourd’hui la quasi-totalité des cas répertoriés outre-Manche (97 %). Contrairement aux vagues précédentes, les formes graves nécessitant une hospitalisation restent néanmoins peu fréquentes au Royaume-Uni, traduisant les bénéfices de la campagne de vaccination (50 % de la population est complètement vaccinée).
Comme le montre notre graphique, basé sur les données compilées par les chercheurs du GISAID, le variant Delta prédomine également en Russie et au Portugal, où il comptait pour respectivement 90 % et 73 % des cas de Covid-19 détectés ces quatre dernières semaines (en date du 3 juillet). Face à cette situation, les autorités de ces deux pays ont décidé de renforcer les restrictions dans les villes les plus touchées. Ailleurs en Europe, le variant Delta continue sa progression : il représente désormais plus de la moitié des cas en Autriche et plus d’un sur trois en Espagne et en Suède. En France, ce variant comptait pour environ 23 % des nouveaux cas positifs ces quatre dernières semaines, contre 10 % entre le 23 mai et le 20 juin.
De Tristan Gaudiaut pour Statista
Reconnaissance médico-sociale pour Axiome D.I.S.
C’est une disparité qui continue de poser question : selon les données statistiques des agences nationales de santé, reprises par le Global Health 50/50, les hommes meurent plus du Covid-19 que les femmes. Les femmes s’en sortiraient en effet mieux que les hommes, malgré le fait qu’ils aient été contaminés à part à peu près égale. Dans certains pays, cette disparité est particulièrement marquée : à Taïwan par exemple, où les hommes représentent près de 82 % des décès liés à la maladie, contre un peu plus de 18 % de femmes. On observe une tendance semblable en Afghanistan avec 70 % des décès du côté des hommes contre près de 30 % chez les femmes. En France, en Italie et en Espagne – trois nations européennes initialement durement frappées par le virus – les hommes sont également globalement plus touchés que les femmes. Toutefois, comme le montre notre graphique Statista, dans de rares pays comme au Vietnam, on observe une tendance inverse : la part des femmes décédées du COVID-19 y est largement supérieure à celle des hommes (presque 63 % contre 37,3 %).
Les explications de ce phénomène restent difficiles à déterminer. Des différences liées au sexe ont déjà été observées lors d’épidémies liées à des virus semblables comme le SARS-CoV-1 et le MERS-CoV. Une hypothèse génétique est mise en avant : chez la femme, la présence de deux chromosomes X, qui portent les gènes de l’immunité, peut entraîner une réponse immunologique différente par rapport aux hommes, qui ne portent qu’un seul chromosome X. Il existerait également un lien entre les maladies pulmonaires chroniques dues au tabagisme, qui jouent sans doute un rôle dans la morbidité et la mortalité de l’épidémie de coronavirus. Les hommes fumant plus que les femmes dans la plupart des pays, ce fait pourrait donc être une autre explication de cette disparité.
De Claire Jenik pour Statista
Reconnaissance médico-sociale pour Axiome D.I.S.
Les marins pompiers de Marseille et l’Institut hospitalo-universitaire (IHU) Méditerranée-infection viennent de finaliser un programme d’expérimentation de détection des personnes porteuses par des chiens renifleurs. Si ce procédé a déjà été étudié par ailleurs, ce partenariat a surtout permis de développer une technique permettant de former plus rapidement les chiens sans même avoir besoin des sécrétions de malades pour les entraîner.
« Au bataillon, nous avons des chiens spécialisés dans la recherche de personnes ensevelies, explique Alexandre Lacoste, ingénieur chimiste du bataillon des marins pompiers de la ville de Marseille. Un maître-chien a accepté de participer à un programme afin de savoir si ces animaux pouvaient directement détecter le Covid sur l’homme. »
Après une semaine et demie d’entraînement grâce à des compresses de patients infectés, le chien a été en mesure de détecter les personnes positives. Une capacité confirmée par une phase opérationnelle menée dans 3 Ephad (Etablissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes) et 1 IME (Instituts médico-éducatifs) de la région de Marseille qui a permis d’afficher un taux de concordance globale de l’ordre 96%.
Toutefois avec la diminution du nombre de malades, il a été de plus en plus difficile de disposer de compresses, de sueur notamment, pour apprendre aux chiens ‘à renifler’ le Covid-19.
« Nous nous sommes alors tournés vers l’Institut hospitalo-universitaire (IHU) Méditerranée-infection pour trouver une solution technique afin de pouvoir continuer à former d’autres chiens malgré l’absence de patient positif », poursuit l’ingénieur chimiste du bataillon des marins pompiers.
Collaboration de longue date avec l’IHU
« Cela fait longtemps que nous collaborons avec le bataillon des marins pompiers de Marseille qui sont venus nous épauler dès la première vague, rappelle le professeur Bernard La Scola, responsable du laboratoire NSB3 (Niveau sécurité biologique 3) IHU Méditerranée Infection. Nous avons notamment travaillé ensuite avec eux sur la détection du virus dans les égouts et les eaux usées. Puis, plus récemment, ils ont fait un travail sur la détection des patients infectés par le Covid grâce à des chiens. Pour cela nous avons dû mettre au point un leurre pour les entraîner. Une solution à base de virus, qui puisse donner d’aussi bon résultat qu’à partir de compresse de patients infectés. »
Détection des différents variants
Grâce à ce leurre développé et produit par l’IHU, les marins pompiers sont maintenant en mesure de former les chiens plus vite, en moins d’une semaine, le tout sans risques pour le formateur et le chien. Dans ce cadre, ils ont à nouveau formé 5 chiens qui ont passé une évaluation opérationnelle avec succès affichant les mêmes taux de concordance globale qu’avec des compresses infectées. Autre avantage, les chiens ‘marquent’ indifféremment les multiples variants de la maladie (anglais, brésilien, indien, sud-africain…).
« Ce nouveau leurre nous offre la possibilité à 2 de nos formateurs de prendre en charge l’apprentissage de 4 chiens par semaine », précise Alexandre Lacoste.
Une nouvelle arme pour protéger contre le Covid
Si plusieurs programmes de formation de ce type ont été menés (au CHU de Bordeaux, à l’école nationale vétérinaire de Maisons-Alfort, au SDIS de Corse du Sud, à l’université franco-libanaise de Beyrouth, aux Etats-Unis notamment), la problématique semble donc désormais porter principalement sur l’approvisionnement en ‘matière première’ pour former l’odorat des chiens.
« Ce n’est pas ce que nous faisons habituellement mais nous n’avons aucune difficultés pour faire face à la demande des marins pompiers, assure le professeur Bernard La Scola. Et s’il fallait produire davantage de cette solution, il faudrait recruter une personne supplémentaire dédié uniquement à cette tâche. Nous serions alors en mesure de répondre aux besoins nationaux, voire plus si le besoin se faisait sentir. »
En attendant, les équipes cynophiles des marins pompiers sont déjà utilisées pour des contrôles à l’aéroport Marseille-Provence et sur le port. Les chiens sont aussi intervenus dans une école, avec des animaux plus petits, afin de ne pas effrayer les enfants.
« Nous avons une nouvelle arme pour protéger les Marseillais et l’IHU nous y a aidé », insiste l’ingénieur chimiste du bataillon des marins pompiers. C’est un excellent instrument pour limiter les ‘clusters’. On est capable de vérifier 40 personnes en moins de 10 minutes. Et après, si l’on a une personne positive nous avons, grâce à une autre technique que nous a aussi fait découvrir l’IHU, la possibilité de vérifier via un résultat PCR obtenu en 20 minutes. »
Reconnaissance médico-sociale pour Axiome D.I.S.
Ce dimanche 20 juin, le centre de vaccination à vocation départementale situé dans la salle polyvalente de Montfavet à Avignon accueillera une opération de vaccination sans rendez-vous. Elle se déroulera de 12h30 à 19h30. A cette occasion, les personnes recevront une dose du vaccin Pfizer et rejoindront les 240 000 Vauclusien à avoir déjà reçu une première dose.
« Pour profiter en toute sérénité de l’été qui s’annonce », Bertrand Gaume, le préfet de Vaucluse rappelle « qu’il est plus que jamais essentiel de respecter les gestes barrières, le port du masque lorsqu’il est nécessaire, mais surtout de se faire vacciner pour se protéger des formes graves du virus et protéger les autres ».
Pour rappel le centre de vaccination se situe :
Salle polyvalente de Montfavet
246, rue Félicien-Florent – 84140 Avignon.
Reconnaissance médico-sociale pour Axiome D.I.S.
Depuis le mardi 15 juin, la vaccination des adolescents contre le Covid-19 est permise sous certaines conditions en France, avec comme principal objectif d’augmenter la couverture vaccinale pour limiter la circulation du virus au sein de la population. Cette nouvelle extension de la vaccination concerne potentiellement autour de 3,5 millions de personnes.
Comme le montre notre graphique basé sur les données des autorités sanitaires, la grande majorité des Français les plus âgés sont d’ores et déjà vaccinés. Le 12 juin, le taux de vaccination complète atteignait près de 58 % pour les 65-74 ans et plus de 70 % pour ceux âgés de 75 ans et plus. Dans ces deux catégories d’âge, plus de huit personnes sur dix ont déjà reçu au moins une dose. Concernant les autres tranches d’âge : 69 % des 50-64 ans ont reçu au moins une injection à ce jour, alors que ce taux se situait à 45 % pour les 30-49 ans et à 34 % pour les 18-29 ans.
De Tristan Gaudiaut pour Statista
Reconnaissance médico-sociale pour Axiome D.I.S.
Alors que l’évolution de l’épidémie est plutôt favorable en affichant une baisse de l’incidence dans le département, la préfecture de Vaucluse confirme la réouverture progressive et la poursuite des levées des restrictions.
A compter de ce jeudi 17 juin, le port du masque ne sera donc plus obligatoire dans le département :
• dans l’ensemble de l’espace public, sauf lorsque la distanciation physique d’au moins 2 mètres entre 2 personnes ne peut être respectée.
• dans les parcs et jardins, sur les plages et aux abords des plans d’eau.
Toutefois, en raison des risques accrus de contamination qu’ils génèrent, le port du masque restera obligatoire pour toute personne de 11 ans et plus dans les lieux de forte densité et de contacts prolongés, à savoir :
• sur les marchés de plein-air alimentaires et non-alimentaires, les brocantes et vide-greniers, foires et fêtes foraines, et les ventes au déballage ;
• pour tout rassemblement public générant un rassemblement important de population, dont les manifestations sur la voie publique mentionnées à l’article L. 211-1 du code de la sécurité intérieure, les festivals, les concerts en plein-air et les évènements sportifs de plein-air ;
• aux abords des crèches, des établissements scolaires, écoles, collèges, lycées, établissements d’enseignement supérieur, dans un rayon de 50 mètres aux alentours, aux heures de fréquentation liées à l’entrée et à la sortie des élèves et des étudiants ;
• dans les transports publics et dans les espaces d’attente des transports en commun terrestres et aériens (abris bus, aérogares, quais des gares, quais des voix de tramways) ;
• aux abords des centres commerciaux dans un rayon de 50 mètres ;
• aux abords des lieux de culte dans un rayon de 50 mètres aux heures d’entrée et de sortie des offices ;
• au sein des espaces et des files d’attente à l’extérieur des établissements recevant du public ;
• aux abords des bureaux de vote et bâtiments publics mobilisés pour les opérations électorales des scrutins des 20 et 27 juin 2021 dans un rayon de 50 mètres.
Le couvre-feu levé à partir de dimanche
En outre, le couvre-feu sera levé à compter du dimanche 20 juin au soir. Cependant, les mesures locales complémentaires suivantes sont prolongées dans le Vaucluse afin de lutter contre l’épidémie :
• Les buvettes et points de restauration debout sont fermés dans les établissements recevant du public debout et/ou itinérant, ainsi que dans l’espace public couvert ou de plein air. Seule la consommation assise est autorisée.
• Les soirées dansantes sont interdites dans l’espace public. Les soirées dansantes organisées dans le cadre de soirées de mariage ne peuvent se tenir que dans les espaces extérieurs des établissements recevant du public ou sous des chapiteaux sans parois, conformément aux protocoles applicables à l’organisation des soirées de mariage. Le port du masque et les gestes barrières doivent être respectés sur les pistes de danse.
Reconnaissance médico-sociale pour Axiome D.I.S.
Le nouveau point sur la situation sanitaire du Covid-19 en Vaucluse fait apparaître que le département affiche un taux d’incidence* de 22 en semaine 23 (du lundi 7 au dimanche 13 juin). Un chiffre qui a diminué de moitié par rapport à la semaine précédente et qui poursuit sa dégringolade par rapport au pic observé durant l’automne 2020 ou bien encore fin mars/début avril.
Tous les territoires sont à la baisse et c’est dans les secteurs du Grand Avignon et du Pays d’Apt-Luberon que l’on constate taux d’incidence les plus importants (30). A l’inverse, la zone Ventoux-Sud ne totalise plus aucun cas détecté.
1 seul décès lié au Covid la semaine dernière
Côté hospitalisation, aujourd’hui 121 personnes sont hospitalisées (135 la semaine précédente) dont 13 en réanimation et soins intensifs (10), 49 en hospitalisation conventionnelle (53) et 59 en soins de suite et réadaptation (72). Par ailleurs, un seul 1 décès a été constaté durant la semaine dernière. Cela porte le bilan du nombre de Vauclusiens décédés à 1 075 depuis le début de l’épidémie (890 décès à l’hôpital et 185 en Ehpad – Etablissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes).
Bilan de la campagne vaccinale
Enfin, en une semaine 17 758 personnes supplémentaires ont été vaccinées dans le département. Cela porte 233 692 le nombre de personnes à avoir reçu au moins une dose de vaccin en Vaucluse, soit près de 41,7% de la population, et 52,9% de la population adulte. Dans le même temps, 133 931 personnes ont reçu deux doses de vaccin, soit 23,9% de la population. Par ailleurs, 232 937 adultes ont reçu au moins une dose de vaccin, soit près de 52,8% de la population départementale.
L.G.
*Nombre de cas de Covid-19 détectés pour 100 000 habitants.