23 novembre 2024 |

Ecrit par le 23 novembre 2024

Au four et au moulin, Henri de Pazzis désormais sur ses terres à Saint-Rémy-de-Provence

Avec son look d’aristocrate, de gentleman-farmer en velours, Henri de Pazzis avait installé Pro Natura en 1987, entreprise de fruits et légumes en gros, à deux pas de l’autoroute A7 et du MIN de Cavaillon. N° 2 européen et leader français du marché bio, il s’agrandit, crée des dizaines d’emplois, exporte de façon exponentielle. Jusqu’à faire entrer un fonds d’investissement US pour se développer encore plus. Mais le loup est dans la bergerie et rêve de bio industriel. Ce sera le coup de grâce, il sera remercié par les Américains en 2014, alors que le chiffre d’affaires de Pro Natura s’élevait à 90M€. 

Henri de Pazzis n’est pas homme à rester un genou à terre et à déprimer. Avec son chèque en main, il franchit le pont de la Durance, quitte le Vaucluse et s’installe dans les Alpilles, à Saint-Rémy-de-Provence, où vivaient ses oncles et tantes et là, il s’invente une nouvelle vie.

Ce néo-paysan plante sur 45 hectares des variétés anciennes de blés (‘Touselle de Nîmes’, ‘Rouge de Bordeaux’, ‘Saissette d’Arles’, ‘Barbu du Roussillon’, ‘Meunier d’Apt’). « Des semences rustiques, qui donnent des plants bons à la fois pour la terre et pour l’organisme humain, dit-il. Ils font partie de notre patrimoine gustatif. » Il pratique également une rotation des cultures, luzerne, pois chiches, lentilles à tour de rôle pour fertiliser le sol et surtout, ne pas l’épuiser.

Pour parfaire sa connaissance de la farine et du pain, il passe quelques semaines en formation près de Sisteron, à l’École Internationale de la Boulangerie à Noyers-sur-Jabron. « Pour les pains, fougasses, brioches, nous avons un petit miracle : la panification au levain nature, la fermentation lente, avec des arômes différents, pas ces fournées industrielles avec des levures chimiques », explique Henri de Pazzis. Il a passion de la nature, de l’authentique, de l’harmonie, de la terre nourricière. « Mieux manger, c’est mieux vivre », commente-t-il.

Boulanger et meunier, Henri de Pazzis se retrouve à la fois au four et au moulin. Avec femme et enfants, il vit aujourd’hui à Saint-Rémy où il a implanté Terre & Blé, au n°24 Avenue Albin Gilles, un fournil avec 18 salariés. Miches cuites au four à bois, pains dorés, navettes, tourtes et pompes à huile y côtoient des focaccias.

Pile en face, au n° 23, Alpilles Bio, un magasin avec 17 salariés, dédié aux produits issus de l’agriculture bio et locale. « Nous avons des cochons de Fontvieille, des agneaux et du bœuf de Lozère, des génisses de l’Aubrac », détaille Henri de Pazzis. Dans cette grande épicerie fine, une gamme complète de bio, viandes, fruits et légumes, un rayon traiteur, une crèmerie avec fromages à la découpe, une pâtisserie, une cave à vins, en tout, 8 500 références, c’est dire. Sans oublier un espace bien-être avec naturopathe, sophrologue et kinésiologue.

Néo-paysan-meunier-boulanger, Henri de Pazzis a aussi publié Murmure du monde avec une préface ciselée par Sylvain Tesson et La part de la terre sous-titrée : l’agriculture comme art. Pour lui, « l’agriculture est un art qui révèle la chair du monde. »


Au four et au moulin, Henri de Pazzis désormais sur ses terres à Saint-Rémy-de-Provence

Ce jeudi 14 décembre, à l’occasion du 80ᵉ anniversaire du Petit Prince d’Antoine de Saint-Exupéry, Jean-Paul Lucet et Hugo Cicion Issartial proposeront une lecture théâtrale du conte au Ciné-Palace de Saint-Rémy-de-Provence

Publié pour la première fois à New York en 1943, le conte a été traduit à ce jour en 535 langues et dialectes, ce qui en fait le livre le plus traduit au monde après la Bible. 80 ans après sa parution, Jean-Paul Lucet, homme de théâtre, et Hugo Cicion Issartial, jeune comédien de 13 ans, décident de rendre hommage à l’œuvre qui continue de vivre aujourd’hui.

Jeudi 14 décembre. 18h30. 13€ (10€ pour les adhérents). 4 avenue Fauconnet. Saint-Rémy-de-Provence.

V.A.


Au four et au moulin, Henri de Pazzis désormais sur ses terres à Saint-Rémy-de-Provence

Le lundi 4 décembre, la société Omag, spécialisée dans l’agrofourniture sur le secteur des Bouches-du-Rhône et du Vaucluse, organise un colloque sur le dérèglement climatique et ses conséquences sur l’agriculture en Provence à Saint-Rémy-de-Provence.

Pour l’occasion, l’agro-climatologue Serge Zaka interviendra pour évoquer les conséquences des températures excessives, du manque de précipitations, et des évènements climatiques hors normes, et les solutions à mettre en œuvre pour pallier ces problématiques. Il sera accompagné de Kévin Margaron d’Omag, qui évoquera les nouvelles technologies, Nicolas Laugier du groupe Perret, qui abordera les bénéfices, limites et conditions de réussite des couverts végétaux, ainsi que Romain Careghi du groupe Perret, qui parlera de l’intérêt des biostimulants pour accompagner la plante dans les stress climatiques.

Inscription par mail à l’adresse jcoutellier.omag@groupeperret.fr ou au 06 24 93 03 01.
Lundi 4 décembre. De 17h à 20h. Mas de Jonquerolles. 35 Chemin Chalamon. Saint-Rémy de Provence.

V.A.


Au four et au moulin, Henri de Pazzis désormais sur ses terres à Saint-Rémy-de-Provence

Après son succès au Festival d’Avignon 2023 aux côtés de la danseuse La Loli dans ‘Ténor in flamenco’, le Ténor Di Bettino organise une tournée ‘Noelissimo’ dans les églises, chapelles et cathédrales de France. Il sera de passage à Avignon ce samedi 25 novembre, à Saint-Rémy-de-Provence le samedi 2 décembre, et à Mazan le dimanche 10 décembre.

‘Douce Nuit’, ‘Mon beau sapin’, ‘Petit Papa Noël’, ‘Ave Maria’, ‘Panis Angelicus’, ‘Caro mio ben’, ou encore ‘White Christmas’. Accompagné de son pianiste Charles Pinatel, le Ténor Di Bettino interprétera tous les chants incontournables de Noël. La tournée de l’artiste sera accompagnée de la sortie d’un CD de Noël.

Le billet est au tarif de 15€ et est gratuit pour les moins de 12 ans. Pour réserver votre place, cliquez ici.
Samedi 25 novembre. 17h. Église du Sacré Cœur. 2 Rue du Sacré Cœur. Avignon.
Samedi 2 décembre. 17h. Chapelle Saint Roch. Saint-Rémy-de-Provence.
Dimanche 10 décembre. 17h. Église Saint-Nazaire et Saint-Celse. 39 Rue Saint-Celse. Mazan.

V.A.


Au four et au moulin, Henri de Pazzis désormais sur ses terres à Saint-Rémy-de-Provence

La cour administrative d’appel de Marseille vient de définitivement valider le projet de création de 152 logements au quartier des Cèdres à Saint-Rémy-de-Provence. Cette décision fait suite au jugement du tribunal administratif de Marseille du 22 septembre 2022 qui validait déjà ce projet dont la conformité du permis avait été accordée en novembre 2020.

Ainsi, malgré les recours déposés par 5 particuliers et 3 associations ce programme prévoyant la réalisation de 8 T1, 49 T2, 52 T3, 43 T4, comprend 114 logements privés (dont 35 à prix maîtrisés pour les primo-accédants locaux afin de leur proposer des prix inférieurs à ceux du marché et leur permettre d’accéder à la propriété dans leur commune d’origine) et 38 en locatif social (toujours à destination des Saint-Rémois principalement). Par ailleurs, 40 seront réservés aux seniors (sur le parc locatif social et sur le parc en accession libre).

L’ensemble intègre également 283 places de stationnement réservées aux riverains (principalement en sous-sol), 152 places pour les deux-roues. Le tout dans un cadre disposant de 6 940 m2 d’espaces verts.


Au four et au moulin, Henri de Pazzis désormais sur ses terres à Saint-Rémy-de-Provence

La commune de Saint-Rémy-de-Provence s’est dotée depuis juin dernier d’un éco-digesteur destiné au traitement des déchets organiques de ses cantines municipales. Cet appareil permet de traiter et de collecter les déchets alimentaires et organiques afin de les recycler rapidement en engrais biologique dans un délai de 24h environ. Cette solution de fermentation accélérée permet ainsi de transformer 100kg de déchets en 10kg de compost.

Une démarche de chasse au gaspi déjà entamée
Afin de déjà réduire le volume de ses déchets, la municipalité avait déjà mis en place un meilleur dosage des quantités servies. De quoi fortement diminué le gaspillage ces dernières années puisque la quantité de nourriture non consommée est aujourd’hui de 33g par enfant en moyenne, contre 110 au niveau national. Restait toutefois encore environ 2,2 tonnes de déchets organiques à traiter par an. Désormais, ils ne sont donc plus jetés dans la filière habituelle mais valorisés dans l’éco-digesteur, dans une logique de réutilisation en circuit court. En effet, ce compost va servir d’engrais biologique sur les plantations du Lycée professionnel agricole, qui en retour fournit les restaurants municipaux en huile d’olive.

Avec l’aide de l’Europe et du Pays d’Arles
Actuellement, peu de communes disposent d’un équipement de ce type dont le coût s’élève à près de 50 000€. Cependant, la ville de Saint-Rémy a pu obtenir des aides à hauteur de 70% du coût d’acquisition via le programme européen Feader (Fonds européen agricole pour le développement rural) pour un montant de 20 901,31€ et le PETR (Pôle d’équilibre territorial et rural) du Pays d’Arles (13 934,21€).


Au four et au moulin, Henri de Pazzis désormais sur ses terres à Saint-Rémy-de-Provence

Inauguration de la centrale photovoltaïque lundi 16 octobre

Les Saint-Rémois sont chaleureusement invités à l’inauguration de la centrale solaire photovoltaïque de Saint-Rémy-de-Provence au chemin des Méjades (sur le site de l’ancienne décharge municipale), le lundi 16 octobre 2023 à 17h, suivie du verre de l’amitié à 18h salle de la Gare (place du Général-de-Gaulle).

Ce nouvel équipement, achevé à l’été 2022, construit et exploité par Provence Éco Énergie et Corfu Solaire, filiale du groupe Terre et Lac. Avec 12 500 panneaux photovoltaïques, la centrale produit en un an environ 6 500 MWh par an, soit la consommation d’environ 1 380 foyers, et permet d’éviter l’émission de 4 841 tonnes de CO2. Les habitants de Saint-Rémy avaient eu la possibilité d’investir dans ce projet de développement durable par le biais d’un financement participatif.

Budget participatif, déposez votre projet

La ville de Saint-Rémy-de-Provence lance la 3e édition de son budget participatif. Du 13 octobre au 3 décembre 2023, les Saint-Rémois pourront déposer de nouveaux projets sur la plateforme numérique collaborative.

10 projets lauréats ont été retenus lors de la 2e édition du budget participatif et seront réalisés dans les 2 prochaines années. Pour cette 3e édition, le budget participatif va permettre de développer de nouveaux projets imaginés et portés par des citoyens saint-rémois. Cette année encore, 300 000€ du budget d’investissement annuel de la ville ont été réservés à leur réalisation. Et vous, que feriez-vous pour votre ville avec cette somme ? Faites part de votre idée d’investissement en déposant un projet ! Chaque idée est ensuite étudiée, puis soumise au vote de tous les Saint-Rémois.

Et faites partie de la commission
Une commission de 16 personnes est chargée de vérifier la recevabilité des projets déposés (sur la base du règlement) et de valider les résultats des votes.

La notion de citoyenneté et de co-construction doit être valable tout au long des étapes de ce budget participatif. Il a donc été imaginé qu’un panel représentatif de la population, constitué en commission, contribue à l’arbitrage relatif à la recevabilité et l’éligibilité des projets.

Cette instance est composée de 6 personnes issues d’un tirage au sort parmi une liste de volontaires. Les personnes ayant un mandat local ne peuvent pas candidater. Dans la mesure du possible, la parité en termes de sexe et tranche d’âge sera respectée lors de ce tirage au sort. La liste des candidats à cette commission doit être finalisée avant le début de la phase d’analyse.
La chargée de mission Participation citoyenne et démocratie participative en tant que pilote du dispositif et modératrice. Les responsables des services (ou leur représentant) : direction générale, marché, finances, technique et urbanisme, légitiment à se prononcer sur les critères de recevabilité juridique, technique, et financière. 4 élus du Conseil Municipal volontaires pour participer, au prorata de leur représentativité en Conseil Municipal. Pour des questions de neutralité, ces derniers n’ont qu’une voie consultative au sein de la commission. Ils s’assurent également que le cadre est respecté. Soit un total de 16 personnes.

Cependant, la commission n’a pas vocation à se prononcer sur la pertinence du projet mais seulement sur sa recevabilité sur la base de critères objectifs définis dans le règlement.

À l’issu de la phase de vote, la commission se réunit pour approuver les résultats avant présentation de ces derniers en Conseil Municipal.
Si vous souhaitez candidater pour faire partie de la commission c’est ici.

Obligations légales de débroussailler
Débroussailler est une obligation légale. C’est surtout la manière la plus efficace de prévenir les feux de forêts, de limiter la propagation des incendies, de protéger les biens, les personnes… et les Alpilles.

Dans ce but, depuis début octobre et jusqu’à mi-novembre, la ville s’acquitte de ses obligations légales de débroussaillement (OLD) le long du Chemin des Guillots, de la Voie Aurélia, du Chemin du Mas du Rouge et du Chemin de la Pistole/Bagatelle. Le public circulant à proximité est prié de faire preuve de vigilance.

En parallèle, l’écogarde municipal va entamer dès cet automne un nouveau cycle de contrôle des OLD chez les propriétaires privés. La précédente campagne, entre 2017 et 2023, a permis de contrôler 759 propriétés situées dans le territoire concerné par le risque incendie ; 88% des propriétés étaient conformes, ce qui est un excellent chiffre. Merci aux propriétaires d’avoir joué le jeu !
Mireille Hurlin


Au four et au moulin, Henri de Pazzis désormais sur ses terres à Saint-Rémy-de-Provence

La présentation de la saison est déjà une réussite. Le 8 septembre 2023, Gabriel Colombet, adjoint au Maire de la Ville de Saint Rémy de Provence – Délégué à la culture, au patrimoine et à la politique des seniors –ne pouvait que se réjouir de voir une salle comble pour la présentation de saison malgré le match d’ouverture de la Coupe du monde de rugby, sur toutes les télévisions et en retransmission publique aux arènes Barnier .

Une relation durable et de confiance ancrée dans un territoire
En témoigne la saison 2022-2023, celle des 10 ans de l’Alpilium, qui a attiré 6 000 spectateurs (30% de plus que l’année précédente), un nombre d’abonnés en hausse et un taux de remplissage moyen par spectacle de 80%.

Une programmation éclectique, fruit de choix effectués et assumés par un adjoint et un chef de cabinet  passionnés
Dire que la programmation est éclectique serait réducteur même si elle rassemble effectivement tous les arts du spectacles vivants : théâtre, cirque, arts de la rue, musique, spectacles jeune public et témoigne de leur vivacité. Des critères plus fins et même audacieux ont orienté le choix de  la vingtaine de spectacles de cette nouvelle saison. «Les spectacles à venir nous parleront d’histoire géopolitique, d’amour, de jalousie, de réchauffement climatique, de voyage, de harcèlement, de tendresse, de prouesse, de jeux, bref, de tout ce qui fait le piment de la vie,» a résumé Gabriel Colombet, lors de son allocution.

Une programmation repérée sur le réseau national et international 
Ainsi le premier spectacle de la saison  ‘Guten tag Mme Merkel’ a été remarqué au festival Off 2022 d’Avignon. Un théâtre intelligent et  accessible malgré le thème : on suit la vie de la chancelière allemande Angela Merkel  de la chute du Mur de Berlin jusqu’à la fin de sa carrière politique. Il y aura  aussi des têtes d’ affiches confirmées comme Thomas VDB dans un seul en scène brûlant d’actualité, Jacques Weber que l’on verra hors les murs au théâtre d’Arles dans un sublime chant d’amour, Anne Consigny qui reprend le rôle de Romane Bohringer dans L’Occupation , texte d’Annie Ernaux, bouleversant monologue sur la jalousie, Thibault Cauvin, très grand guitariste avec plus de 1000 concerts dans 120 pays et douze albums à son actif.

Programmation de compagnies locales  pour mettre en valeur la qualité de leur travail
Du théâtre musical  avec «Les deux oiseaux» ou Babil, théâtre Jeune Public qui revisite le mythe de Babel.

Des partenariats avec des associations ou des institutions culturelles du territoire .
Une nouveauté cette année , un partenariat avec le Centre de Développement Chorégraphique  National d’Avignon avec la programmation de «Sidéral», ballet aérien et musical dans le cadre du Festival les Hivernales. De la musique de chambre, «Passion Rachmaninov» et un concert de haut niveau piano/clarinette avec Vincent Mussat et Joë Christophe seront possible grâce à la  collaboration des Musicades des Alpilles et du Conservatoire de musique du Pays d’Arles,

Mais aussi du cirque,de la danse , du théâtre d’objets
La compagnie franco-espagnole Si seulement nous présentera «Ven» un duo circassien plein de grâce. La danse sera encore à l’honneur  avec « L’Ambition d’être tendre » une chorégraphie enivrante aux couleurs de la Méditerranée et de la Provence. Les prouesses techniques ne seront pas oubliées avec La compagnie de cirque australienne dans  « A Simple Space »

Des soirées particulièrement attendues
« Les Agités du soir » – le 9 février – est un nouveau concept de soirée avec la présentation de sept spectacles courts ou extraits de spectacles, sélectionnés par l’Alpilium et le public, avec un prix à la clef. Deux scènes ouvertes de sélection auront eu lieu auparavant en janvier.

Madame ose Bashung : On l’aura compris, ce spectacle programmé en décembre risque de dépoter comme n’hésite pas à le dire l’éditorial du programme. Le public est convié dans ce cabaret déjanté pour une heure de cavalcade dans l’univers de Bashung. 

« Autour de la saison » afin de rendre les spectateurs acteurs de la saison culturelle
Pratiquement autour de chaque spectacle est proposée une « médiation » : débat philo, conférence, débat d’idées, atelier d’écriture, master class et même pratique circassienne ou artistique. La découverte restant l’axe fort du projet culturel de la ville, il était nécessaire d’éveiller la curiosité et de rendre accessible les spectacles. Les propositions en tous genres sont impressionnantes et témoignent d’un fort partenariat avec les associations locales : conservatoire, écoles, bibliothèque et même le cinéma Palace qui proposera la projection de « Thibault Cauvin, fils de rocker » lors du passage de l’artiste en janvier 2024.

Un accès de la culture au plus grand nombre, avec une tarification adaptée. Une tarification  qui n’a pas augmenté en 11 saisons ! Tarif famille, réduit ou abonnement  les tarifs varieront entre 6 et 22€. Salle de l’Alpilium. Avenue du Maréchal de Lattre de Tassigny. Saint-Rémy-de-Provence. 04 90 92 70 37 ou 06 23 89 76 45.  Réservations : 06 29 19 69 78  mairie-saintremydeprovence.com


Au four et au moulin, Henri de Pazzis désormais sur ses terres à Saint-Rémy-de-Provence

Frédéric d’Agay présentera « Le voyage en Provence : de Pétrarque à Giono », ce jeudi 5 octobre à 18h30 à Saint-Rémy-de-Provence.

Né dans une famille provençale, qui comptait parmi les siens l’écrivain Antoine de Saint-Exupéry, d’un côté et Alphonse Karr de l’autre, Frédéric d’Agay est un historien et éditeur, spécialiste du XVIIIe siècle. Il est titulaire d’un doctorat en Histoire (Paris IV, Sorbonne). Après un passage au cabinet du président de la Compagnie générale maritime, il sera collaborateur et directeur de collection (coéditions régionales) aux éditions Berger-Levrault, puis gérant de la société civile pour l’œuvre et la mémoire d’Antoine de Saint-Exupéry.

Frédéric d’Agay connaît l’histoire provençale. Dans « Le voyage en Provence : de Pétrarque à Giono, l’auteur révèle toute l’originalité, du Moyen-Âge au XXème siècle, à travers un périple littéraire personnel. Il présentera son ouvrage ce jeudi 5 octobre à 18h30 au Ciné Palace à Saint-Rémy-de-Provence.

Jeudi 5 octobre à 18h30 au Ciné Palace, 4 avenue Fauconnet, Saint-Rémy-de-Provence. Participation : 5€ et 3€ (pour les adhérents).

https://echodumardi.com/tag/saint-remy-de-provence-2/page/2/   1/1