23 novembre 2024 |

Ecrit par le 23 novembre 2024

Restauration de la collégiale Saint-Martin, 3 décennies de réparations et 2M€ pour affronter les prochains siècles

Après 3 décennies de réparation des désordres extérieurs de la collégiale Saint-Martin, particulièrement sur la toiture et les façades, et plusieurs diagnostics poussés – réalisés en 2008, 2015 et 2018-, la restauration intérieure de l’édifice a débuté en juin dernier. Jusqu’en mars 2026, trois tranches de travaux rendront leur éclat à la nef centrale et à la nef nord, sous le contrôle technique et scientifique de la Drac-Paca (Direction régionale des affaires culturelles de Provence-Alpes Côte d’Azur). Le montant des travaux s’élève à 2M€ hors taxes dont 38% relèvent du financement de l’Etat.

Nettoyage des décors Copyright Journal de Saint-Rémy-de-Provence

Désormais un immense échafaudage emplie la nef centrale jusqu’au plafond ainsi que la coupole afin que les restaurateurs interviennent sur l’ensemble des décors et parements afin d’en ôter les poussières et les suies accumulées depuis plus de 200 ans.

Un travail possible également, après que les infiltrations des eaux pluviales infiltrées par le toit et les façades ainsi que les remontées capillaires à partir du sol eussent été traitées en 2018.

C’est l’entreprise avignonnaise Girard qui est en charge du nettoyage des parements, tandis que la société SMBR procède à un masticage de finition et s’occupe de la restauration des décors peints, s’exerçant à retrouver les couleurs et les contrastes d’origine.

Les échafaudages monumentaux de la Collégiale, Copyright Journal de Saint-Rémy-de-Provence

« De nombreux décors en motif sont en cours de restitution, notamment par une technique de pochoirs sur l’arc triomphal de la nef centrale », explique Gabriel Colombet, adjoint au maire chargé de la culture et du patrimoine. Après reproduction du pochoir, le travail consiste à reporter le motif dans les zones manquantes. La déontologie des restaurateurs est de garder le plus possible le décor originel.« 

Tranche après tranche, les travaux consistent également à réparer les vitraux cassés, à reprendre les sols via la réparation ou le remplacement de dalles en pierre, à refaire les saignées non conformes dans les murs, et à renouveler les réseaux électriques et les appareillages, notamment pour le chauffage et l’éclairage. Les vitrages du puits de lumière de la coupole seront également remplacés.

Cet article est paru dans le Journal de Saint-Rémy-de-Provence n°82.
MMH


Restauration de la collégiale Saint-Martin, 3 décennies de réparations et 2M€ pour affronter les prochains siècles

Le groupe Bconnex, basé à Saint-Rémy-de-Provence et spécialisé dans les services et solutions IT (Information Technology), fait évoluer son équipe de direction et annonce la nomination d’Adeline Fruneau en tant que responsable RSE (Responsabilité sociétale des entreprises).

La nomination d’une nouvelle responsable RSE s’inscrit dans le cadre de la transformation du groupe Bconnex et du lancement de son nouveau plan stratégique de croissance. Adeline Fruneau avait intégré Connexing en 2018, racheté depuis par BetooBe devenu Bconnex, où elle a occupé différents postes, dont celui de Chargée de projet marketing.

En tant que responsable RSE, Adeline Fruneau devra définir la gouvernance et la stratégie RSE du groupe en auditant les différentes entités du groupe afin de dresser un bilan carbone exhaustif.  Elle pourra ensuite proposer des pistes d’amélioration visant à tendre vers une approche zéro carbone. En parallèle, elle engagera des démarches de re-certification et certification auprès d’organismes de référence. Dans ce contexte, un processus de re-certification B-Corp est lancé pour l’entité Connexing et une démarche de certification du groupe va être initiée auprès d’Ecovadis, qui donne les moyens aux entreprises d’accélérer leur parcours RSE.

La nouvelle responsable RSE jouera un rôle central pour accompagner le groupe dans sa démarche numérique responsable. « Avoir un impact positif est au cœur de notre stratégie, déclarent Julien Fournier et Sébastien Reverdy, co-fondateurs de Bconnex. Nous souhaitons constituer une équipe dédiée RSE qui devra définir et mettre en œuvre des projets à impacts aussi bien pour notre organisation que chez nos clients en leur permettant de gérer tout le cycle de vie de leurs flottes mobiles : sourcing, recyclage et seconde vie. Adeline a toute notre confiance pour répondre à ce projet et à ce challenge pour notre groupe. »


Restauration de la collégiale Saint-Martin, 3 décennies de réparations et 2M€ pour affronter les prochains siècles

La Société d’histoire et d’archéologie de Saint-Rémy-de-Provence (SHASRP) propose aujourd’hui une conférence sur le thème ‘Van Gogh en Provence’. Elle sera animée par Carole Gallas, licenciée en histoire de l’art, guide-conférencière, médiatrice du patrimoine et vice-présidente de la SHASRP.

Cette dernière, titulaire d’une licence en archéologie et histoire de l’art, mettra plus particulièrement l’accent sur les années 1888 à 1890, durant lesquelles Van Gogh vécut à Arles et à Saint-Rémy-de-Provence. Une période durant laquelle l’artiste mondialement connu à qui l’on doit plus de 2000 toiles et dessins a été particulièrement marquée par une production très intensive de l’homme à ‘l’oreille coupée’.

Un génie créatif hors du commun
« Originaire de la Provence, je suis fascinée depuis très longtemps par cet artiste reconnu dans le monde, explique Carole Gallas. Je veux mettre en lumière les deux années où Vincent Van Gogh découvre Arles et Saint-Rémy-de-Provence. Il y peint sans relâche son Japon provençal dans une période très féconde. Grâce à ses nombreuses lettres et ses tableaux, nous possédons une œuvre complète d’un génie créatif hors du commun. Mais qui connaît vraiment Vincent Van Gogh ? Venez découvrir ‘mon’ Vincent Van Gogh. »

 
Carole Gallas lors d’une de ses visites commentées à l’hôpital Saint-Paul-de-Mausole de Saint-Rémy-de-Provence où Vincent Van Gogh a séjourné pendant un peu plus d’un an, juste avant sa mort. Crédit : DR

Promouvoir l’histoire de Saint-Rémy
Créé fondée en 1996, la SHASRP aujourd’hui présidée par Bernard Cerveau s’attache à promouvoir l’histoire de Saint-Rémy-de-Provence, de sa culture et de ses traditions. Dans ce cadre organise des conférences, des visites, des voyages… Elle élabore également des publications sur l’histoire locale et s’est aussi engagée dans la restauration du patrimoine.

Jeudi 26 sept. 2024 à 18h30. Ciné-Palace. 4, avenue Fauconnet. Saint-Rémy-de-Provence
Participation aux frais : 5€ (3€ pour les adhérents). www.histoirearcheologie-saintremy.fr. shasaintremy@gmail.com


Restauration de la collégiale Saint-Martin, 3 décennies de réparations et 2M€ pour affronter les prochains siècles

Le forum de la BD est de retour dans la commune de Saint-Rémy pour une 8ème édition, organisé par le festival Arelate, le Centre des monuments nationaux et la Ville. Cette année, l’évènement aura lieu sur le plateau des Antiques et à Glanum les dimanche 11 et lundi 12 août, en ouverture « hors les murs » du festival Arelate, journées romaines d’Arles. 

Le choix du lieu apparait comme logique au vu de la portée des bandes dessinées qui sont exposées durant ce forum qui mettent en avant des récits qui se déroulent dans l’Antiquité (au sens large). Cette année encore, séances de dédicaces avec la présence des auteurs, des animations et des ateliers (démonstrations, jeux de sociétés) seront au programme de ces deux jours riches en intensité. La bibliothèque municipale Joseph-Roumanille mettra à disposition un large choix de lectures et des activités gratuites pour tous. 

I

nfos pratiques : 8ème édition du forum de la BD. Dimanche 11 de 10h à 17h sur le plateau des Antiques et lundi 12 août de 10h à 17h30 sur le site archéologique de Glanum, avenue Vincent Van Gogh. Programme complet disponible en cliquant ici


Restauration de la collégiale Saint-Martin, 3 décennies de réparations et 2M€ pour affronter les prochains siècles

Depuis samedi 13 juillet jusqu’au samedi10 août 2024, sept militaires et 2 véhicules légers de l’opération Sentinelle patrouillentsur les communes de Saint-Rémy-de-Provence, d’Arles et des Baux-de-Provence, dans le cadre du plan Vigipirate déployé par l’État dans toute la France pendant la période des Jeux olympiques.

Ces militaires auront pour mission principale de renforcer la sécurité des habitants et des visiteurs, au moyen de patrouilles aléatoires couvrant les zones-clés plusieurs heures par jour, afin de dissuader toute activité suspecte et de réagir rapidement en cas de besoin. Leur présence sera visible mais ne perturbera pas les activités commerciales.

La ville de Saint-Rémy-de-Provence remercie les habitants pour leur compréhension et les invite à signaler tout comportement suspect à la brigade de gendarmerie.
MMH


Restauration de la collégiale Saint-Martin, 3 décennies de réparations et 2M€ pour affronter les prochains siècles

Dans un cadre de rénovation du patrimoine culturel, la ville de Saint-Rémy-de-Provence a décidé de mener de multiples travaux qui débuteront en juin 2024 à la collégiale Saint Martin et au musée des Alpilles situé au cœur de l’hôtel historique Mistral de Montdragon.

Localisée dans les Bouches-du-Rhône, la ville de Saint-Rémy porte en son sein un patrimoine culturel et historique important dont elle prend soin et qu’elle entretient
régulièrement. Les préparations du chantier afin de pouvoir commencer les travaux débuteront début juin pour ces deux édifices saint-rémois classés monuments historiques depuis 1862 pour le musée et 1984 pour la collégiale.

Crédit Photo : Fabrice Lepeltier

Pour accomplir ces travaux financés par le concours de l’Etat (DRAC), des déplacements et des fermetures seront à prendre en compte pendant la période de rénovation. Le chantier débutera par un transfert et un stockage des objets culturels à la chapelle Saint-Roch, située à 3km de la collégiale Saint-Martin, les événements tels que les mariages, les baptêmes et obsèques auront lieu dans la chapelle.

Pendant la durée des travaux, certaines salles d’expositions intérieures au musée pourront être temporairement fermées tout comme la rue du Parage, au droit du musée où la circulation et le stationnement seront interdits sur une certaine durée pour les véhicules.Les travaux devraient se terminer au musée des Alpilles vers avril 2025 et début 2026 pour
l’intégralité des rénovations


Restauration de la collégiale Saint-Martin, 3 décennies de réparations et 2M€ pour affronter les prochains siècles

Un Picasso très intime à découvrir jusqu’au 23 juin à l’Hôtel de Lagoy de Saint-Rémy-de-Provence.

Lors de cette exposition originale, on pourra survoler les étapes essentielles de la vie de Picasso : de sa naissance à Malaga jusqu’aux portes du cubisme.

100 lettres imaginaires sonnant incroyablement vrai, écrites par David Lawrence, dont 12 lues par le conteur Jean-Paul Lucet, au timbre de voix unique, dans la cour de l’Hôtel de Lagoy.
180 photographies et reproductions d’œuvres de Pablo Picasso et d’autres grands peintres du XVIIᵉ à nos jours.
Reconstitution de la Chapelle des Arènes de Malaga et d’une table du Lapin agile.
Projection de deux documentaires : L’Affaire Picasso et Jeune Picasso.

Pour découvrir tous les détails sur l’exposition, cliquez ici.

Jusqu’au 23 juin 2024. 10 à 15€. Ouvert du vendredi au dimanche de 10h30 à 18h30. Hôtel de Lagoy. 11 Bd Marceau. Saint-Rémy-de-Provence.


Restauration de la collégiale Saint-Martin, 3 décennies de réparations et 2M€ pour affronter les prochains siècles

La troupe Et si on chantait présentera pour la sixième et dernière fois sa dernière création Sous mon arbre, j’ai entendu… ce samedi 9 mars à Saint-Rémy-de-Provence.

Un spectacle très proche du type comédie musicale, avec 18 chansons de variété française harmonisées à quatre voix sur des musiques signées Calogero, Clara Luciani ou encore Balavoine. Des tubes de la chanson française seront de la partie… mais le public aura droit à quelques surprises avec des chansons moins connues. La direction musicale est tenue par Angélique Boudjemil.

Un spectacle complet

Une mise en scène épurée imaginée par Mathieu Cruz, avec des chorégraphies dynamiques et solaires, des solistes, dans un décor bucolique et coloré. La troupe est accompagné par un pianiste, Jean-Baptiste Maby qui enchaîne les différents tableaux par de célèbres interludes musicaux.

Samedi 9 mars 2024. 20h30. 10 à 16€. Salle de l’Alpilium. Avenue du Maréchal de Lattre de Tassigny. Saint-Rémy-de-Provence. Réservation au 06 43 88 58 89. 


Restauration de la collégiale Saint-Martin, 3 décennies de réparations et 2M€ pour affronter les prochains siècles

Du mercredi 14 février au samedi 2 mars, le festival Les Hivernales permettra de découvrir avec plus de 20 compagnies invitées, de nouvelles esthétiques, de nouvelles écritures, des chorégraphes régionaux, nationaux, des artistes phares, mais aussi de jeunes auteurs.

Le fort partenariat noué avec plusieurs structures culturelles du territoire permet une multiplicité de propositions : séances scolaires à l’auditorium du Thor, installations et performances au Grenier à Sel, à la Maison Jean Vilar, projections à la Collection Lambert ou au Cinéma Utopia, stages au Conservatoire et à l’Université. Les spectacles du soir se déploieront à la salle Benoît XII, l’Opéra Grand Avignon, le Théâtre des Halles, le Totem, le Tinel du Palais des Papes et le Centre de Développement Chorégraphique National (CDCN) des Hivernales pour Avignon et il ne faudra pas hésiter également à « pousser » jusqu’à La Garance de Cavaillon, la salle Alpilium de Saint-Rémy-de-Provence ou L’Autre Scène à Vedène. 

Faire corps tous ensemble

Voilà une formule joliment trouvée par la directrice Isabelle Martin-Bridot pour conclure l’éditorial de la brochure des Hivernales mais aussi répétée lors de la présentation du programme devant la salle comble du CDCN. Le contexte du spectacle vivant est difficile et passée l’euphorie de la reprise après les « années covid », il est effectivement essentiel de faire corps. « Sensibles aux bruits du monde, les artistes nous invitent à nous interroger sur cette humanité en difficulté mais ils nous invitent aussi à ’empuissanter’ nos espérances et à garder le sourire », souligne Isabelle Martin-Bridot avec le sourire également !

Car ce « faire corps » qu’elle revendique et que l’équipe des Hivernales prouve par la forte implication des acteurs culturels du territoire cités auparavant se révèle aussi dans un véritable travail d’équipe tout au long de l’année. En témoignent les remerciements où personne n’est oublié (de la technique à la billetterie en passant par la production et les relations publiques, sans oublier les bénévoles) et la présentation collégiale sur le plateau du CDCN du programme de ces deux semaines consacrées à la création chorégraphique, jeune génération ou chorégraphes confirmés.

Les Hivermômes ouvrent la programmation de la 46ᵉ édition des Hivernales dès cette semaine

Un travail de proximité avec élèves, centres sociaux et associations — toute l’année — pour vivre la danse à travers la pratique ou en tant que spectateurs est une des missions du CDCN et permet ainsi de proposer une programmation Jeune Public cohérente en ouverture des Hivernales. Cela va concerner cette année plus de 2200 enfants ou adolescents, pour des séances en famille ou scolaires.

L’artiste associé du CDCN, Massimo Fusco, propose avec Corps sonores juniors une expérience immersive au Grenier à Sel. L’écorce des rêves s’adresse au plus de 3 ans autour de l’imaginaire du sommeil. Pour les plus grands, Le chemin du wombat au nez poilu de la chorégraphe Joanne Leighton les emmènera vers l’Australie tandis que Main dans la main de Shlomi Tuizer et Edmond Russo abordera le thème de l’altérité et des relations humaines. 

Dimanche 18 février. Séances Tout public Hivermômes.
Corps Sonores Juniors. Dimanche 18 février. 10h et 15h. 7 et 10€. Le Grenier à sel. 2 Rue des Remparts Saint Lazare. Avignon.
L’écorce des rêves. Dimanche 18 février. 10h30. 7 et 10€. Le Totem. Avenue Monclar. Avignon.

La danse se déploiera ensuite joyeusement et fièrement dans Avignon et au-delà

Le coup d’envoi de cette édition est donné au Grenier à Sel, avec le vernissage de l’installation Donnez-moi une minute — à la frontière entre arts visuels et danse — de Doria Bellanger qui nous propose de découvrir des portraits de danseurs rencontrés à travers le monde. Nous avions déjà découvert son travail l’année dernière avec Joule. Il sera beaucoup question de croisements entre danse et arts du cirque lors de cette édition.

Johan Bichot sera en quête de verticalité dans Glissement présenté en ouverture au CDCN. Avec Foreshadow, Alexander Vantournhout nous entraînera dans un univers rock où il soumettra, sur le plateau de la Garance, huit danseurs à des contraintes d’équilibre nécessitant de nouvelles solidarités. Il sera aussi question de verticalité avec Antoine Le Menestrel et le Pan d’Avignon pour escalader des rêves avec Bâtisseurs de rêves ATHOMiques !, et Sidéral nous invite aussi à un voyage en orbite dans la belle salle de l’Alpilium à Saint-Rémy-de-Provence. Youness Aboulakoul signera Ayta, la verticalité retrouvée comme un appel à la résistance, avec six corps de femmes en lutte contre toutes les soumissions. 

Des esthétiques diverses, des solos sensibles et des curiosités à découvrir

Régine Chopinot sera au Top avec des interprètes incroyables et une musique énergique en clôture d’édition, clin d’œil aux Jeux Olympiques avec Olympiade sur le terrain de jeu de l’Opéra Grand Avignon qui devient une piste d’athlétisme pour le collectif espagnol Kor’sia, éloge de l’imperfection pour Silvia Gribaudi dans Graces.

Bintou Dembelé revient à Avignon et propose le solo de Michel Meech pour un Rite de passage I solo II entre danses africaines et hip hop. Joachim Maudet s’exerce à un one-woman show intime avec Gigi. Véronique Aubert nous invite à la poésie de Ses pas dans la neige, entre mémoire et oubli. On découvre la polka chinata dans Save the last dance for me, uniquement interprétée par des couples d’hommes. La chorégraphe Rafaële Giovanola, peu connue, a des chances de nous étonner en nous révélant une œuvre ciselée, Vis Motrix aux figures de break et de krump.

Une édition qui fait donc la part belle à la curiosité et à la transdisciplinarité à découvrir ces prochaines semaines au fil de nos articles. 

Du 14 février au 2 mars. 46ᵉ édition des Hivernales. CDCN. 18 rue Guillaume Puy. Avignon. 04 90 11 46 45. Billetterie. 3-5 rue Portail Matheron. Avignon.

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