22 novembre 2024 |

Ecrit par le 22 novembre 2024

La Cmar Paca et la Carsat Sud-Est renouvellent leur partenariat

Vendredi 30 juin, la Chambre de Métiers et de l’Artisanat Provence-Alpes-Côte d’Azur et la Caisse d’Assurance Retraite et de la Santé au travail sud-est ont renouvelé leur partenariat avec l’objectif de faciliter les démarches des artisans en matière de prévention des risques et de préparation de leur retraite.

« Nous connaissons la difficulté rencontrée par les entreprises dans leurs recherches d’informations, de conseils. Comme toutes nos actions, ce partenariat avec la Carsat sud-est a été pensé pour faciliter le quotidien déjà surchargé de nos artisans, sur des enjeux essentiels : la retraite, la santé au travail, la prévention des risques », a déclaré Yannick Mazette, président de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat Provence-Alpes-Côte d’Azur.

Cet accès facilité à l’information et au conseil permettra notamment aux entreprises artisanales de bénéficier d’accompagnements dédiés à : la démarche de préparation d’un futur départ à la retraite ; la prévention des risques professionnels.

« L’une des missions de la Carsat sud-est est de déployer son message de prévention et de diffuser de la meilleure des manières celui sur les bonnes pratiques, a indiqué Vincent Verlhac, directeur général de la Carsat sud-est. En ce sens, il nous apparaît absolument nécessaire de renouveler notre partenariat avec la Cmar PACA qui nous permet de toucher et informer un secteur difficilement accessible : les TPE ».

L’objectif du partenariat est de faciliter les démarches des artisans en matière de prévention des risques et de préparation de leur retraite © DR

J.R.


La Cmar Paca et la Carsat Sud-Est renouvellent leur partenariat

Selon les dernières statistiques publiées par Eurostat, les nouveaux entrants sur le marché du travail dans l’Union européenne (UE) devraient passer en moyenne 36 ans de leur vie à travailler, soit environ 3 ans et demi de plus qu’en 2000. Ces estimations s’appliquent plus spécifiquement à une personne âgée de 15 ans en 2021.

Comme le montre notre carte, la durée de la vie active varie toutefois considérablement entre les États européens. Elle se situe par exemple autour de 32 ans en Roumanie, en Italie et en Grèce, mais dépasse 40 ans dans les pays scandinaves, aux Pays-Bas et en Suisse. Quant aux Français, ils se situent dans la moyenne de l’UE avec une durée estimée de la vie active qui s’établit à un peu plus de 36 ans en 2021.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


La Cmar Paca et la Carsat Sud-Est renouvellent leur partenariat

France, terre de contrastes. Alors que les entreprises du CAC 40 n’ont jamais distribué autant de dividendes à leurs actionnaires une majorité de français voit leur pouvoir d’achat reculer fortement et certaines catégories sociales se paupériser. La théorie du ruissellement fait plutôt place aujourd’hui à celle du reflux. Une telle situation est-elle tenable longtemps ?

TotalEnergies vient d’annoncer, pour son exercice 2022, un résultat net de 36,2 milliards d’euros (en intégrant une provision de 15 milliards), un record historique pour l’entreprise française. Dans le même temps les français ont vu leurs pouvoirs d’achat reculer en grande partie à cause de l’augmentation des prix des carburants. De son côté, BNP Paribas affiche un résultat net de 10 milliards, en hausse de 7 % par rapport à 2021. Et la banque française annonce, dans la même semaine, 921 suppressions d’emplois. Quant aux sociétés d’autoroute, elles ont enregistrés en 2022, un bénéfice record de 3,4 milliards d’euros et elles ont procédés à une augmentation de leurs tarifs au 1er février dernier de 4,75 % (avec l’aval du gouvernement). Il y a vraiment quelque chose qui ne tourne pas rond…

“Où est le bien commun, l’intérêt général ?“

Le chacun pour soi devient une règle
Que des grandes compagnies comme TotalEnergies fassent des bénéfices, rien à redire c’est leurs finalités, mais qu’elles les réalisent en faisant les poches des consommateurs qui ne peuvent se passer de carburant, c’est de l’abus de position dominante. Et qu’ensuite, elles reversent la quasi-totalité de leurs profits à leurs actionnaires alors qu’elles ont le devoir d’investir dans la transition énergétique et préparer la fin des énergies fossiles, c’est condamnable. Et le pire du pire n’étant jamais certain en ces périodes, ces grands groupes utilisent une partie de leurs profits pour racheter leurs propres actions, ce qui a pour effet de faire monter les cours et donc leurs profits. Là, ça devient totalement amoral. Plus de bien ou de mal. Seul le profit compte. Où est le bien commun, l’intérêt général ? Le chacun pour soi devient une règle. Surtout que ces entreprises développent leurs activités sur des secteurs indispensables à la vie et aux bien-être de tous, et qu’elles jouent un rôle central dans l’économie nationale. Même les économistes les plus fervents défenseurs du libéralisme reconnaissent qu’il s’agit là d’une anomalie majeure qui va rapidement nuire au système lui-même. Mais que fait la police ?

“L’état le plus libéral au Monde montre l’exemple“

Des règles sont nécessaires
Notre système a besoin d’être encadré. Des règles sont nécessaires. C’est l’intérêt de tous.
Le Président américain Joe Biden, dans son dernier discours sur l’état de l’Union, entend quadrupler les impôts sur les rachats d’action et cela pour encourager l’investissement. Il appelle également à mettre en place une taxe minimale sur les milliardaires. L’état le plus libéral au Monde montre l’exemple. Pendant ce temps-là, en France, le ministre de l’économie et des finances nous dit ne pas savoir définir les superprofits… Et toutes les attentions sont portées sur la réforme des retraites, comme un arbre qui cache la forêt !


La Cmar Paca et la Carsat Sud-Est renouvellent leur partenariat

Alors que s’annonce ce mardi 31 janvier la seconde grande journée de mobilisation contre la réforme des retraites, Statista propose un tour d’horizon de l’âge moyen de départ en retraite dans les pays européens.

Dans la plupart des pays, l’âge effectif moyen de sortie du marché du travail est inférieur à l’âge officiel d’accès à une retraite à taux plein. Dans l’Union européenne, par exemple, la majorité des États membres ont fixé l’âge légal de départ à la retraite aux alentours de 65 ans (62 à 67 ans), mais les Européens quittent en moyenne plus tôt le monde professionnel, comme l’indiquent les statistiques de l’OCDE.

En Europe, c’est en Suède, en Islande, en Suisse, en Lettonie, en Estonie et en Roumanie que l’on sort du marché du travail le plus tard, soit en moyenne à 65 ans (hommes et femmes confondus). À l’opposé, l’âge moyen de sortie du marché du travail se situe autour de 60 ans au Luxembourg, en Slovaquie, en Croatie et en Grèce. Parmi les pays où l’on part le plus tôt à la retraite sur le continent, on trouve également la France, la Belgique, l’Espagne et l’Autriche (61 ans), alors que la moyenne de l’UE des Vingt-Sept s’établit à 62 ans (données de 2020).

Sur le même sujet, nos infographies sur : l’espérance de vie en bonne santé et la situation financière des retraités en Europe.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


La Cmar Paca et la Carsat Sud-Est renouvellent leur partenariat

Avec les français, il y a deux choses avec lesquelles il ne faut pas plaisanter : la bagnole et les retraites. Pour ces dernières, et depuis 30 ans, nombres de gouvernements en ont fait les frais. 1995, 2003, 2010 et 2019 auront été marqués par d’importants mouvements sociaux refusant  des réformes de notre système retraite.   La forte mobilisation du 19 janvier dernier s’inscrit dans le même mouvement. Alors, pourquoi un tel entêtement de l’exécutif ?  N’y-a-t-il pas d’autres dossiers plus urgents à traiter, qui de surcroit répondent d’avantage aux vraies attentes des français ? La liste est malheureusement longue…   

Cela n’étonnera personne si on affirme qu’une part importante (pour ne pas dire majoritaire) des français ont un travail qui ne les intéresse pas ou peu. Ils « s’y collent » d’abord pour avoir les moyens de vivre et pour pouvoir ensuite profiter d’une future deuxième vie.  

Le travail n’a plus, aujourd’hui, la même valeur qu’auparavant. En 1990,  60% des français considéraient le travail comme très important, ce taux est tombé, en 2022, à 24% (source Fondation Jean Jaurès). De la même manière, une majorité de nos citoyens souhaite avoir plus de temps pour eux plutôt que de gagner plus d’argent. Les crises successives, que nous traversons maintenant depuis 3 ans,  ne peuvent que conforter l’idée « qu’il faut profiter aujourd’hui de la vie, car on ne sait pas  ce que demain nous réserve ».  

Alors, comment voulez-vous que les seniors acceptent de travailler plus longtemps  alors qu’une part importante des actifs souhaitent  travailler moins ? On nage totalement à contre-courant. 

 La colère des français va bien au-delà d’un désaccord sur le report de l’âge de la retraite.

Il faut être sourd ou atteint de cécité pour ne pas comprendre que la colère des français va bien au-delà d’un « simple » désaccord sur le report de l’âge de la retraite. Les difficultés, les incertitudes, les mécontentements, ont été jusqu’alors contenus, hier par la crise sanitaire, aujourd’hui par les incidences économiques de la guerre entre la Russie et l’Ukraine. Pas certain que la lassitude et la résignation soient éternelles.   Cette colère  silencieuse est également nourrie par un sentiment  d’injustice sociale ressenti par un nombre croissant de nos concitoyens. « La crise, ce n’est pas pour tout le monde ! ».  

Peut-on réellement imposer une réforme refusée par 70 % des français ? 

Face à cela, la volonté présidentielle est sourde et inflexible, sûre de son fait et de ses arguments (purement comptables). Elle est aujourd’hui prisonnière de son propre orgueil. Reculer reviendrait à démissionner  et mettrai en péril son autorité. Le risque politique est trop important. Mais peut-on réellement imposer une réforme refusée par 70 % des français ?  Peut-on gouverner longtemps dans un pays où la colère est  la seule chose qui puisse unir ses concitoyens ? 

En 1930, le très influent économiste anglais Keynes,  imaginait le monde en  2030. Et il voyait un temps d’abondance, de richesse, et de travail automatisé. Un temps où l’on ne travaillerait que 15 heures par semaine. Mais il ajoutait : « Il n’est point de pays ni de nation qui puisse, je pense, voir venir l’âge de l’abondance et de l’oisiveté sans craindre. Car nous avons été entraînés pendant trop longtemps à faire effort et non à jouir. »  

Ce bon vieux Keynes – qui en matière économique était loin de toujours faire l’unanimité- oubliait qu’après l’effort doit nécessairement venir le réconfort. Trois siècles plus tôt Montaigne disait déjà 

du repos (on ne parlait pas à l’époque de retraite) :   « c’est assez vécu pour autrui, vivons pour nous au moins ce bout de vie ». 


La Cmar Paca et la Carsat Sud-Est renouvellent leur partenariat

La France s’apprête à réformer son système de retraite, en repoussant notamment l’âge légal de départ de 62 à 64 ans. Le texte proposé par le gouvernement sera examiné en Conseil des ministres le 23 janvier. Les syndicats, qui se réunissent ce mardi, envisagent un appel à la mobilisation sociale avant cette date. Qu’en est-il de l’âge minimum légal de sortie du marché du travail dans les autres pays ?

Comme les Français, les Suédois (ainsi que les Slovaques) peuvent également prétendre à une retraite pleine à partir de 62 ans, à condition d’avoir suffisamment cotisé. Aux États-Unis, l’âge minimum légal est aussi de 62 ans, mais l’âge pour le taux plein dépend de l’année de naissance.

À l’opposé de l’échelle, plusieurs pays européens, comme les Pays-Bas, l’Espagne ou l’Allemagne, sont en train d’augmenter progressivement l’âge légal de départ, pour l’établir à terme à 67 ans.

D’autres pays fixent un âge de départ à la retraite différent en fonction du sexe, comme la Suisse, où il est de 64 ans pour les femmes et 65 ans pour les hommes.

Sur le même sujet : l’espérance de vie en bonne santé à la retraite.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


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Le directeur général de la chambre de commerce et d’industrie de Vaucluse, Michel Maridet, prendra sa retraite à la fin du mois de décembre. Une nouvelle direction générale sera mise en place début janvier.

Après 10 années à la direction de la CCI, celui qui a consacré 20 ans de sa carrière à l’institution a le sentiment du devoir accompli : « toutes mes actions ont été portées par la conviction que le rôle de la direction générale est de favoriser l’émergence et la concrétisation de projets, dans un espace de créativité, de confiance, de support mutuel… Président, élus et collaborateurs, j’ai travaillé avec des gens remarquables et j’ai mis toutes mes énergies dans la réalisation de notre mission commune ».

Secrétaire général en 2002, puis directeur général depuis 2010 de la CCI de Vaucluse, Michel Maridet a collaboré avec cinq présidents et piloté à leurs côtés l’ensemble des actions qui contribuent au soutien des entreprises du département.

Convaincu de l’excellence du pôle formation de la CCI, il participera en 2012 à sa promotion au-delà des frontières de l’hexagone, notamment en République Dominicaine avec la création d’un centre de formation qui bénéficiera de l’expertise de l’école hôtelière d’Avignon.

Il participera en 2018 à la création de la société aéroport Avignon Provence (SAAP), structure de droit privé, accélérant ainsi le changement de modèle économique de l’infrastructure gérée par la CCI.

Plus récemment, il jouera un rôle majeur lors de la crise liée au covid-19. Véritable interface entre les services de l’Etat et les entreprises en faisant remonter leurs problématiques lors de comités de crise organisés par la préfecture à l’échelle départementale et en coordonnant les actions ciblées des services de la CCI afin de soutenir les dirigeants. Des actions qui lui ont valu une nomination au grade de chevalier dans l’ordre national du mérite.

Particulièrement actif dans les réseaux économiques et le milieu associatif, sportif accompli, Michel Maridet a de nombreux projets pour l’avenir.

Une nouvelle direction générale sera mise en place début janvier.


La Cmar Paca et la Carsat Sud-Est renouvellent leur partenariat

Avec le pouvoir d’achat, les retraites sont l’un des thèmes les plus débattus au sein de l’arène politique en France. L’espérance de vie de la population est un indicateur qui revient souvent dans les débats sur l’âge légal à fixer pour le départ à la retraite. En partant du principe que l’espérance de vie sans souffrir d’incapacité est plus importante, nous avons cherché à calculer le nombre d’années que les Européens peuvent espérer profiter de leur retraite en bonne santé.

En moyenne, dans les 26 pays européens présentés sur notre carte, l’espérance de vie en bonne santé à la retraite se situe autour de 12 ans, pour un âge effectif moyen de sortie du marché du travail qui s’établit à 63 ans. Ce sont les Norvégiens et les Espagnols qui peuvent espérer profiter de leur retraite en bonne santé le plus longtemps (près de 17 ans en moyenne), suivis par les Suédois (16 ans). Les Français, les Belges et les Irlandais (15 ans) se situent également au-dessus de la moyenne européenne. Dans le détail, les deux nations scandinaves et l’Irlande détiennent la plus longue espérance de vie sans incapacité après 65 ans de la région étudiée. Pour les autres pays cités, les indicateurs de santé sont également supérieurs à la moyenne, mais le résultat tient surtout au fait que l’âge moyen de sortie du marché du travail y est parmi les moins élevés en Europe.

Les moins bien lotis sont les retraités des pays baltes, pour lesquels l’espérance de vie en bonne santé est inférieure à 10 ans. Elle descend même à 4 ans en Lettonie. Cette statistique est la conséquence d’une combinaison entre un âge moyen de départ à la retraite tardif (plus de 65 ans) et des indicateurs de santé médiocres.

Il est important de souligner qu’il s’agit de moyennes nationales et que les durées varient selon les catégories socioprofessionnelles et le niveau de vie. En France par exemple, si l’on regarde l’espérance de vie générale, les chiffres de l’Insee montrent que les ouvriers vivent en moyenne 6 ans de moins que les cadres, et que les 5 % les plus pauvres meurent en moyenne 13 ans plus tôt que les 5 % les plus fortunés.

Enrichi d’études plus fines sur l’espérance de vie en bonne santé selon les métiers, cet indicateur pourrait éventuellement permettre de construire des systèmes de retraite plus équitables et transparents.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


La Cmar Paca et la Carsat Sud-Est renouvellent leur partenariat

Le chômage partiel aura-t-il des conséquences sur la retraite ? L’Agirc-Arrco et l’Assurance retraite organisent une nouvelle édition commune des ‘Rendez-vous de la retraite’ du 28 juin au 3 juillet. Durant cette semaine, les actifs de tous les âges sont invités à faire le point sur leur situation personnelle par téléphone ou dans l’un des 16 points d’accueil situés en Provence-Alpes-Côte d’Azur.

Deux points d’accueil seront mis en place à Avignon : espace Europe, 3 Rue Martin Luther King et 3 bis rue de la Balance. Plus d’une centaine de conseillers retraite seront mobilisés pour proposer gratuitement plus de 2 600 entretiens pour répondre à toutes leurs questions. Inscriptions depuis le site www.rdv-retraite.fr.

Une édition régionale

Deux formats de rendez-vous sont disponibles : par téléphone ou dans l’un des 16 points d’information retraite de la région. Les actifs seront accueillis du lundi au vendredi de 8h30 à 19h, ainsi que le samedi de 9h à 18h. Le format mixte de cette nouvelle édition offre davantage de souplesse dans la prise de rendez-vous et permet de rendre l’événement accessible au plus grand nombre dans le respect des règles sanitaires en vigueur.

Des réponses aux questions

Quel est l’impact d’un congé parental sur mes cotisations ? Une expérience professionnelle à l’étranger est-elle comptabilisée dans le calcul des droits à la retraite ? La retraite est le reflet des parcours personnels et professionnels. Que l’on soit proche ou non de la retraite, les ‘Rendez-vous de la retraite’ sont l’occasion d’échanger avec un conseiller sur sa situation personnelle, pour ajuster ses choix de carrière ou préparer sereinement son départ. Des informations en ligne sur le site www.rdv-retraite.fr complèteront l’évènement pour s’informer sur ses droits et se familiariser avec les services d’aide aux démarches. Vérifier son relevé de carrière en ligne, simuler l’impact d’un choix de vie ou de carrière sur le montant futur de sa retraite au moyen du simulateur retraite.

François-Xavier Selleret, Directeur général de l’Agirc-Arrco : « A travers ces deux éditions, nous serons en mesure de proposer 80 000 entretiens en France et dans nos départements d’Outre-mer, soit deux fois plus que l’année précédente ».

Renaud Villard, Directeur de l’Assurance retraite :« Accueillir, écouter, conseiller, renseigner, rassurer : c’est le cœur de métier des équipes de l’Assurance retraite, au plus près de tous les territoires. Voici venu, je crois, le temps de réenchanter la proximité, pour plus et mieux de service public. Et c’est une ambition pleinement partagée avec nos collègues de l’Agirc-Arrco, en bonne intelligence ».

L.M.

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