19 décembre 2024 |

Ecrit par le 19 décembre 2024

Quels sont les garages vauclusiens parmi les meilleurs de France 2024 ?

Seize garages vauclusiens apparaissent dans la sélection 2024 des meilleurs garages de France.

On connait les distinctions décernées aux meilleurs restaurants ou hôtels de l’Hexagone. Il existe également une sélection des Meilleurs Garages de France. Ainsi, pour la 11e année consécutive, le site internet allogarage.fr vient de dévoiler sa liste de 622 garages plébiscités par leurs clients pour la qualité de leurs services.

Lancé en 2007, allogarage.fr est aujourd’hui utilisé par plus de 400 000 automobilistes par mois. Par ailleurs, depuis 2009, le site est le premier guide comparatif sur internet à vérifier de façon systématique les avis déposés en demandant une copie des factures aux clients, et le premier site automobile à suivre la norme Afnor NF 20488. En tout, Allogarage recense plus de 25 000 garages en France.

« Cette sélection repose sur des critères objectifs et transparents. »

« Cette sélection repose sur des critères objectifs et transparents, basés sur les avis vérifiés des clients. Chaque auteur est identifié grâce à une vérification systématique de sa facture de réparation. Tous les avis respectent la norme AFNOR NF Z74-501, officialisée en septembre 2018, garantissant ainsi leur fiabilité.», insiste allogarage.fr. Pour apparaître dans ce classement, il faut un minimum 40 avis publiés et contrôlés, une note moyenne supérieure à 4 sur 5 ainsi que moins de 5% d’avis négatifs.

« Allogarage est le seul site spécialisé où tous les garages sont représentés et où chaque client peut s’exprimer librement », poursuit le guide comparatif édité par la société marseillaise GNI Media SARL.

La liste des meilleurs garages de France 2024 comprend 622 établissements, dont 16 dans le Vaucluse, 3 dans le Gard rhodanien,1 à Arles, 1 à Salon-de-Provence et 1 à Nyons. Crédit : DR/allogarage.fr

16 garages vauclusiens dans les meilleurs garages de France 2024
Sur les 622 garages retenus dans la liste d’Allogarage.fr, 16 se trouvent en Vaucluse. En voici la liste :

  • Garage des Fontaines. Pernes-les-Fontaines. 4,9/5. 452 avis.
  • Garage Flavmotor. Bédarrides. 4,9/5. 393. Avis.
  • BF Services. Monteux. 5/5. 250 avis.
  • Garage des Arcades. Avignon. 4,9/5. 286 avis.
  • Garage Guyot autos. Bédarrides. 4,9/5. 239 avis.
  • Repar and go. Orange. 4,9/5. 209 avis.
  • Garage Servic. Morières-lès-Avignon. 4,9/5. 181 avis.
  • Garage Oliviers Expert et services. Cadenet. 4,9/5. 127 avis.
  • Carrosserie Bressy axial. Orange. 4,8/5. 257 avis.
  • Carrosserie Damery. Piolenc. 4,8/5. 196 avis.
  • Carrosserie Foucot. Le Pontet. 4,9/5. 147 avis.
  • Carrosserie Bollénoise. Bollène. 4,9/5. 136 avis.
  • Provence Garage. Cavaillon. 5/5. 65 avis.
  • N7 Automobiles. Piolenc. 5/5. 61 avis.
  • Garage du Soleil. Cairanne. 4,8/5. 103 avis.
  • Garage du Brusquet. Vaison-la-Romaine. 4,8/5. 43 avis.
Crédit : DR/allogarage.fr

« Nous accordons une grande importance à la clarté dans les informations que nous communiquons sur les pannes et les réparations de vos véhicules. »

Garage Oliviers Expert et services à Cadenet

« Notre priorité absolue est de garantir la satisfaction totale de nos précieux clients, explique le garage Oliviers Expert et services à Cadenet. Nous nous efforçons constamment d’atteindre cet objectif en mettant en place plusieurs engagements : Transparence explicative. Nous accordons une grande importance à la clarté dans les informations que nous communiquons sur les pannes et les réparations de vos véhicules. Nous nous engageons à vous fournir des explications compréhensibles et détaillées pour que vous puissiez prendre des décisions éclairées. Excellence en matière de propreté : Lorsque nous prenons en charge votre véhicule, nous essayons au maximum de vous le restituer dans un super état de propreté. Nous faisons tout pour que votre véhicule soit aussi propre que possible. Disponibilité totale : Notre équipe est toujours à votre disposition pour répondre à vos besoins et vos préoccupations. Que ce soit pour planifier une réparation, obtenir des conseils ou poser des questions, nous sommes là pour vous accompagner à chaque étape. Un an et demi d’excellence : Depuis notre ouverture il y a un an et demi, nous sommes ravis de constater que nos clients nous ont attribué des évaluations très positives. Cette marque de confiance témoigne de notre engagement continu à fournir des services de qualité supérieure. Nous tenons à vous remercier chaleureusement pour votre soutien et votre confiance envers notre entreprise. Votre satisfaction reste notre motivation première, et nous sommes impatients de continuer à vous servir de la meilleure manière possible. »

A la liste des garages vauclusiens s’ajoute plusieurs autres établissements situés dans le bassin de vie d’Avignon ou en proximité du département de Vaucluse dans le Gard, la Drôme ainsi que les Bouches-du-Rhône :

  • Mecabul. Les Angles. 4,9/5. 322 avis.
  • Garage Davanier SARL DSCC. Saint-Laurent-des-Arbres. 4,9/5. 259 avis.
  • Provocar – Auto style design. Les Angles. 4,8/5. 188 avis.
  • Garage des Clos. Nyons. 4,9/5. 235 avis.
  • Pyrame Plus. Salon-de-Provence. 4,9/5. 674 avis.
  • Salomon Automobiles. Graveson. 4,8/5. 455 avis.
  • SC Automobiles. Arles. 4,9/5. 58 avis.

« La satisfaction de notre clientèle est un objectif premier, répond le garage des Fontaines à Pernes-les-Fontaines à la question comment faites-vous au quotidien pour satisfaire vos clients’. Nous offrons le meilleur accueil possible, sourire convivialité dans un esprit familial Réactivité, écoute et conseil pour éviter toutes dépenses inutiles Nous prenons en charge le véhicule de A à Z : Entretien, réparation préparation au contrôle technique et passage au contrôle, géométrie, carrosserie …. Un prêt de véhicule est proposé, pour ne pas pénaliser notre client le temps des réparations. Immobilisation du véhicule le moins de temps possible. Les devis et factures sont accompagnés d’explication et les travaux sont effectués avec l’accord du client au préalable Des facilités de paiements sont possibles Nous proposons également la vente de véhicules neufs et d’occasions. »


Quels sont les garages vauclusiens parmi les meilleurs de France 2024 ?

Dans le Vaucluse, plus de 40 % de la surface du département est constituée de massifs forestiers. Une richesse et un patrimoine qui nécessitent la plus grande attention et en particulier en matière de lutte contre les incendies. Une mission qui mobilise bien plus que les sapeurs-pompiers. Ils sont des milliers (professionnels et bénévoles), au sein de différentes structures à être engagées dans ce combat. Une armée de l’ombre dont on ne soupçonne peu l’ampleur et l’organisation…

Protéger des risques d’incendie les 150 000 hectares des 11 massifs du Vaucluse n’est pas une mince affaire. C’est une mission qui mobilise de nombreux intervenants : Préfecture, Région, Département, Communes, Comité Communal des Feux de Forêt (CCFF), Direction Départementale des Territoires (DDT), Office National des Forêts (ONF) et bien sûr le SDIS (Service Départemental d’Incendies et de Secours) avec ses 500 pompiers professionnels. S’ajoute à cela 2 500 bénévoles, que ce soit du côté des sapeurs-pompiers ou des patrouilles et vigiles des CCFF. Bref, il y a du monde sur le pont. Le fonctionnement de cette machine bien huilée est placé sous l’autorité du préfet et la responsabilité opérationnelle revient au SDIS 84 dont la chaîne de commandement est pilotée par le Lieutenant-colonel Philippe Chaussinand, chef du groupement de la préparation opérationnelle. Pour en comprendre le fonctionnement de cette organisation tout à fait unique il faut en suivre le calendrier des opérations.

Le CODIS (Centre Opérationnel Départemental d’Incendie et de secours) est l’organe de coordination de l’activité opérationnelle des services d’incendie et de secours du département de Vaucluse ©SDIS84

Des documents de référence
Le point de départ c’est le plan départemental de la protection contre les incendies. Véritable bible, ce document se veut exhaustif. Il détaille toutes les caractéristiques des massifs et définit le cadre à toutes les actions à mettre en œuvre sur une décennie.
Chaque année, au printemps, les 48 casernes du département vérifient l’état des 600 km de pistes DFCI (Défense des Forêts Contre les Incendies) et des 225 citernes réparties un peu partout dans les massifs. Ce travail fait l’objet de rapports détaillés qui servent ensuite à l’établissement d’ordres opérationnels définissant l’organisation des moyens et des actions. Le qui fait quoi en quelque sorte.
Cette période du printemps correspond également à celle où tous les sapeurs-pompiers (professionnels et volontaires) entrent en formation. Tous les acteurs intervenant dans la lutte contre les incendies sont mobilisés pour des mises en situation sur le terrain. A la mi-juin tous les divisions sont prêtes. Et c’est le CODIS (Centre Opérationnel Départemental d’Incendies et de Secours) qui pilote le tout. Pour le département de Vaucluse il est implanté à Avignon. Les médecins du SAMU répondant aux appels du 15 y sont également installés permettant une meilleure coordination de l’ensemble des moyens de secours.

Débrousaillement de Yann ROBINAULT Chef d’équipe APFM (Auxiliaires de la Protection de la Forêt) – ONF ©SDIS84

Un syndicat mixte qui gère l’entretien des massifs
Les équipements de prévention et de lutte contre les incendies des 150 000 hectares de forêt du département sont gérés par un syndicat mixte (SMDVF) qui réunit le département et 142 communes du Vaucluse. Ce syndicat mixte a pour mission l’entretien de l’ensemble des voies DFCI et des citernes réparties sur les différents massifs. Ses travaux sont conduits sous l’expertise des ingénieurs et techniciens de la Direction Départementale des Territoires de Vaucluse. Ces fonctionnaires territoriaux sont également Intégrés à la chaîne de commandement de la lutte contre les incendies. Leurs connaissances du terrain et leurs expertises techniques sont précieuses. Ce sont eux d’ailleurs qui établissent le plan départemental de protection des massifs. Ce service est piloté par Jean-Noël Barbe, diplômé de l’école forestière des Barres.

Sur les zones classées à haut risque, des GIFF (Groupe d’Intervention Feux de Forêt) sont postés prêt à intervenir. Il s’agit d’unités composées de 18 sapeurs-pompiers équipées de 4 camions d’intervention et d’un véhicule de commandement. ©SDIS84

« On gagne en efficacité et en rapidité d’intervention »
Chaque jour pendant l’été, le COZ Sud-Est (Centre Opérationnel de Zone) établit un bulletin météo détaillé qui prend également en compte des données comme l’état des sols ou de la végétation. Ces relevés déterminent 6 niveaux de risques et permettent de calibrer les moyens de prévention à mettre en œuvre sur chacune des 8 zones du département. Ces 8 zones correspondent à un découpage territorial spécifique bénéficiant d’une dénomination et d’une géolocalisation propres aux services de secours. « On gagne en efficacité et en rapidité d’intervention » précise le Lieutenant-colonel Philippe Chaussinand.
Sur les zones classées à haut risque, des GIFF (Groupe d’Intervention Feux de Forêt) sont postés prêt à intervenir. Il s’agit d’unités composées de 18 sapeurs-pompiers équipées de 4 camions d’intervention et d’un véhicule de commandement. Le SDIS 84 est doté de 88 de ces camions citernes de 4 000 litres. On en croise souvent aux abords des massifs. Dans les zones à risque moins élevé ce sont les Comités Communaux des Feux de Forêt (CCFF) qui sont sollicités avec des vigiles placés sur des points hauts, des patrouilles en VTT, à cheval ou en 4X4. Les véhicules 4X4 sont équipés de citernes de 600 litres capables d’arrêter les feux naissants. Les patrouilles de l’ONF, appelées APFM (Agents de Protection de la Forêt Méditerranée), viennent complétées le dispositif. Elles sont au nombre de 6 pour le département.

©SDIS84

« Prendre le feu dans l’œuf »
Tous ces unités de terrain ont pour mission de surveiller, de prévenir et d’intervenir. Grâce à leurs connaissances fines des massifs ces patrouilles servent également de guide aux moyens d’intervention plus lourds. La mission première de toutes ces équipes est de « prendre le feu dans l’œuf ». « C’est la priorité absolue » précise Philippe Chaussinand Lieutenant-colonel. Quitte parfois à enlever des moyens sur un feu important pour en circonscrire un naissant.
Outre les moyens des patrouilles de l’ONF et des CCFF, et des moyens d’intervention au sol du SDIS, le département dispose pendant l’été du soutien d’un hélicoptère capable de larguer 1000 litres d’eau. Il est basé au Thor. L’hélicoptère permet d’intervenir en quelques minutes et d’accéder à des zones où les camions et les hommes ne peuvent aller. Ainsi, début septembre 2024, il est intervenu à deux reprises, à Cheval-Blanc sur le massif du Petit Lubéron et à Mondragon éteignant très rapidement des feux naissant. Sur Mondragon c’est 80 hectares de forêt qui ont ainsi été préservés.

« Jusqu’alors nous n’avions que le son, aujourd’hui nous avons aussi l’image »
Dans la lutte contre les incendies la collecte et le traitement des informations sont essentielles. Surtout s’il s’agit d’appels provenant du public. Localisation, origine et importance du feu sont des données indispensables et précieuses. « Les pompiers sont continuellement entre zone de connaissance et zone de doute » confie le capitaine Serge Perrot. Ce dernier a supervisé l’installation en 2024 de 4 caméras qui permettent de « lever des doutes ». En effet, ces caméras haute résolution et à fort pouvoir grossissant ne sont pas des moyens de détection. Ils servent à confirmer ou infirmer les informations reçues au CODIS. « Jusqu’alors nous n’avions que le son, aujourd’hui nous avons aussi l’image » aime à dire Serge Perrot. « Mais rien ne remplacera l’œil humain » s’empresse-t-il d’ajouter.

Intervention d’une patrouille ©SDIS84

Au terme de cet été 2024, le bilan dressé par Pierre Augier, commandant adjoint chef de groupement opérations, est plutôt positif. Avec 13 départs les feux de forêt ont été moins nombreux qu’en 2023 et n’ont détruit que 4 hectares. Par contre avec 460 départs les feux de broussailles sont en augmentation de 30 % et ont détruits 20 hectares. (Bilan arrêté au 05.09.24).
88% des feux sont d’origine humaine et dans la plus part des cas ils sont accidentels rappelle le Lieutenant-colonel Philippe Chaussinand, chef du groupement de la préparation opérationnelle. « Les gens font aujourd’hui d’avantage attention » conclut-il.


Quels sont les garages vauclusiens parmi les meilleurs de France 2024 ?

Dans le Vaucluse, il y a 670 entreprises de réparations et d’entretien pour les véhicules légers. Majoritairement composé de petites structures plus ou moins indépendantes, nombre de ces entreprises rencontrent aujourd’hui des difficultés. Mais certaines d’entre elles tirent leur épingles du jeu en misant sur la proximité, le service ou en diversifiant leurs activités.

La proximité et le prix sont sans doute les deux premières raisons pour laquelle on va chez le garagiste du coin. La confiance est aussi un facteur important. Son « petit » garagiste c’est celui qui cherche à réparer plutôt qu’à changer, ou à ne remplacer que ce qui est nécessaire. Ces petites entreprises, qui sont les plus nombreuses, sont aussi les plus fragiles : forte pression concurrentielle, surcoûts énergétiques, problèmes de main d’œuvre, nécessité d’investir en permanence… Mais certains se battent pour continuer à exister, comme à Lourmarin où un jeune couple a repris un garage en se spécialisant dans les voitures anciennes ou de sport.

un atelier de restauration ©Didier Bailleux

Garagistes par filiation et par passion
Ancien mécanicien dans des écuries ayant participés à des épreuves comme les 24 heures du Mans ou le Dakar, Frédéric Pellegrin, est un authentique aficionado. Il a travaillé chez Oréca, l’écurie d’Hugues de Chaunac qui remporta dans sa catégorie les 24 heures du Mans en 2000 avec une Dodge Viper GTS-R. Jolie carte de visite. Il a ensuite collaboré chez solution F, un autre préparateur auto de renom. Ca été pour lui l’occasion de pouvoir vivre de l’intérieur quelques grands rallyes historiques comme le Tour de Corse ou encore des épreuves sur des circuits à Spa ou à Dubaï. Il a également tâté du rallye mais cette fois en tant que pilote sur une Clio Williams.

« Je suis tombé dedans quand j’étais petite »
Sa compagne, Jade Vila est aussi une vraie passionnée. Son père, son grand-père et même son arrière-grand-père, tous étaient garagistes. Sa tante a également évolué en sport auto dans le championnat de France. Une famille de vrais fans d’automobiles. « Je suis tombé dedans quand j’étais petite » confit Jade. Comme Frédéric, son compagnon, elle ne pouvait envisager d’autre avenir professionnel. Ils voulaient leur garage mais ne souhaitaient pas s’installer en ville. Habitant la région, ils ont eu l’opportunité de reprendre celui de Lourmarin, il y a maintenant trois ans. Ils ont dû investir pour le moderniser et le mettre aux normes actuelles.

Frédéric Pellegrin et Jade Vila ©Didier Bailleux

Qui sait aujourd’hui régler une rampe de carburateurs Weber ou roder des soupapes ?
Dans leur garage il n’est pas rare de côtoyer aux côtés d’autos de tous les jours, une vieille anglaise ou encore une allemande de prestige des années 90 avec beaucoup de cylindres et de travail… Des autos dans lesquelles peu de garagistes savent ou osent mettre les mains. Qui sait aujourd’hui régler une rampe de carburateurs Weber ou roder des soupapes ? C’est là aussi où les petits garagistes font la différence. Mais ce savoir-faire est de plus en plus menacé.

Perpétuer les savoir-faire dans les métiers des véhicules anciens
C’est justement pour ne pas que ces savoir-faire ne disparaissent que le Conservatoire National des Véhicules Anciens (CNVA) a été créé en 2015. Cette idée on la doit à Luc Morel, un passionné de vieilles mécaniques, qui ne pouvait se résoudre à ce qu’il n’y ait plus de formations spécialisées pour l’entretien ou la restauration des voitures anciennes. Les besoins sont importants et les métiers bien spécifiques : mécaniciens, carrossiers, selliers… Les formations proposées par la CNAV sont ouvertes à tous, y compris aux particuliers qui veulent se reconvertir ou simplement mettre les mains dans le cambouis de leurs autos.

Luc Morel du Conservatoire National des Véhicules Anciens (CNVA) ©Didier Bailleux

Une antenne a même été ouverte en septembre dernier à Cavaillon. Les formations ont été confié à Tony Lemaitre, un ancien élève du CNVA et ex manager de ligne à la RATP. Installé à Cavaillon depuis plusieurs années comme mécanicien restaurateur de motos anciennes dans les ateliers de Renaissance Motorcycle, Tony Lemaire fait aujourd’hui aussi dans l’automobile. Que ce soit 2 ou 4 roues c’est toujours la passion qui conduit !

Le secteur de la réparation automobile en France

70 000 entreprises et 120 000 salariés

Un CA de 21 milliards d’euros avec une croissance annuelle de l’ordre de 5 à 6 %

3 grands types de structures : les concessionnaires et agents de marques, les grandes enseignes d’entretiens (Norauto, Midas, Feu vert…) et les indépendants. Ces derniers peuvent être regroupés sous des marques qui leur apportent un certain nombre de services (AD, Euro Repar Service, TOP Garage…)

En France, on dénombre pas moins de 230 000 collectionneurs et environ 800 000 véhicules anciens et tournants. Le secteur de l’automobile ancienne, c’est 4 milliards d’euros de CA et 20 000 emplois directs (source Fédération Internationale des Véhicules Anciens)

Pour en savoir plus sur :
le Conservatoire National des Véhicules Anciens (CNVA)
Lourmarin Classic


Quels sont les garages vauclusiens parmi les meilleurs de France 2024 ?

Après Apt en il y a presqu’un an maintenant, l’enseigne Point S ouvre un nouveau centre d’entretien dans le Vaucluse. Il est situé à Sorgues au 457 Chemin du Fournalet, dans la zone d’activité de La Velle 1. Ce nouveau centre est porté par la société Les Sens Automobiles qui complète ainsi ses activités de carrosserie, de vente, d’entretien et de réparation automobile.
Fondé par un professionnel du secteur automobile qui exerce depuis une vingtaine d’année, la société Les Sens Automobile propose des prestations et services d’entretien et de réparation automobile pour la marque Renault depuis 2021.

Ouverture aux véhicules multimarques
« La communication de Point S fait que la notoriété de l’enseigne est particulièrement forte dans le sud de la France. Cette collaboration nous permet de diversifier notre activité en réalisant l’ensemble des services et prestations d’entretien et de réparation pour tous types de véhicules quelle que soit leur marque. » explique ‘Les Sens Automobiles’ dont l’objectif est de s’ouvrir aux véhicules multimarques.
Sur son site, la société Les Sens Automobile dispose de 1400m2 d’ateliers équipés pour assurer les prestations d’entretien et de réparation rapide. Une baie Glass dédiée au vitrage vient compléter ses prestations. L’équipe se constitue de huit professionnels et de deux apprentis.

12e centre Point S en Vaucluse
Avec ces ouvertures à Sorgues et à Apt durant l’automne 2022, Point S compte 12 centres en Vaucluse. En effet, l’enseigne est aussi implantée à Avignon (2 centres), au Pontet, à Cavaillon, à Carpentras, à Pernes-les-Fontaines, à Orange, à Vaison-la-Romaine, à Saint-Saturnin-lès-Apt et à Pertuis. A proximité, elle est aussi présente aux Angle, à Châteaurenard, à Saint-Rémy-de-Provence, à Bagnols-sur-Cèze ou bien encore à Pierrelatte

L.G.

https://echodumardi.com/tag/reparation-automobile/   1/1