22 novembre 2024 |

Ecrit par le 22 novembre 2024

3 entreprises vauclusiennes dans la 6e promotion de SUD Accélérateur de risingSUD

La Région Sud et risingSUD, l’agence d’attractivité et de développement économique de la Région, ont présenté les 20 entreprises qui forment la 6ᵉ promotion de SUD Accélérateur, le programme d’accompagnement sur mesure au service des ETI (entreprises de taille intermédiaire) de demain. Parmi ces 20 entreprises, trois sont vauclusiennes.

Le groupe Fert Recyclage, basé à Visan et spécialisé dans la collecte, le recyclage et la valorisation de véhicules hors d’usage, l’entreprise AMD Énergies, implantée à Entraigues-sur-la-Sorgue (spécialisée dans les études, l’installation de systèmes de chauffage, climatisation, plomberie, etc) ainsi que Helen traiteur (organisation de réceptions gastronomiques) installée à Morières-lès-Avignon, se joignent à 17 autres entreprises de la Région Sud au sein de la 6ᵉ promotion du programme d’accompagnement SUD Accélérateur de risingSUD.

Durant 24 mois, les 20 entreprises qui composent la promotion bénéficieront d’un accompagnement personnalisé par risingSUD e Bpifrance afin d’obtenir les bases d’une performance durable et d’être guidées vers un changement d’échelle, de PME (petite ou moyenne entreprise) à ETI (entreprise de taille intermédiaire). Les entreprises auront un diagnostic complet et une mission d’ingénierie conseil proposés par les experts de Bpifrance et risingSUD, des moments collectifs autour de huit séminaires organisés en partenariat avec Kedge Business School, et des mises en réseau et visibilité grâce aux réseaux Les Accélérés et La Communauté by risingSUD.

risingSUD s’engage pour la transition écologique et sociétale des entreprises

En plus d’accompagner les entreprises dans leur croissance, risingSUD a annoncé vouloir être un exemple en matière de RSE (responsabilité sociétale des entreprises) et soutenir l’émergence des nouveaux modèles. Grâce au dispositif Décarbon’Action de Bpifrance, l’agence a réalisé son premier bilan carbone. En 2022, elle a généré 572 tonnes de CO2, soit l’équivalent de 6 000 fois le tour de la Terre en TGV. L’objectif est donc d’atteindre 144 tonnes de CO2 en 2032. risingSUD s’est donc fixée l’objectif de réduire ses émissions de CO2 à travers un plan d’actions en interne, mais aussi en externe, dans ses missions d’accompagnement des entreprises.

Dès cette année, l’agence va également soutenir des actions de bénévolat, individuelles ou collectives. Elle accueille déjà depuis le début de l’année, pour 10 mois, un chien guide pour aveugle en formation. De plus, risingSUD a mis en place un outil de scoring de l’impact des projets et des entreprises de la région, afin de prioriser l’accompagnement des plus vertueux, autour de quatre dimensions : économique, sociale, environnementale et territoriale.

risingSUD au service du Grand Avignon

La communauté d’agglomération du Grand Avignon a récemment fait appel aux services de risingSUD, dans sa nouvelle stratégie Naturalité, pour identifier les entreprises à implanter.

Grâce à son offre d’ingénierie immofoncière, l’agence de la Région Sud a permis au Grand Avignon d’affirmer le positionnement d’Agroparc en tant que cluster de l’intelligence de la Naturalité, d’identifier les typologies d’activités à implanter au vu des besoins des entreprises locales et des enjeux de la filière, de promouvoir le site sur l’ensemble des plateformes régionales et nationales de valorisation du foncier économique, mais aussi d’élaborer un plan de prospection en mobilisant de manière efficiente les expertises de risingSUD et de Vaucluse Provence Attractivité.

risingSUD, au travers de son Plateau d’ingénierie immofoncière, accompagne les propriétaires publics et privés de fonciers économiques afin de travailler sur le positionnement économique de leur site, formaliser les éléments de marketing territorial pour attirer les entreprises cibles, et définir un plan de prospection.


3 entreprises vauclusiennes dans la 6e promotion de SUD Accélérateur de risingSUD

Selon le baromètre du groupe Manpower des perspectives d’emploi, près d’un tiers des entreprises françaises (32%) anticipent une hausse de leurs effectifs sur la période de janvier à mars 2024. Au trimestre dernier (T4-2023), ce taux était de 42%, et de 41% l’an dernier, sur la même période (T1-2023). Dans le même temps, 13% des entreprises interrogées anticipent une diminution de leurs effectifs au premier trimestre 2024. Une dynamique stable, puisque ce taux était de 14% au dernier trimestre, et identique à la même période l’an passé. Par ailleurs, il s’avère que les régions PACA et Auvergne-Rhône-Alpes sont les deux seules régions qui connaissent une progression de leurs perspectives d’embauche (+2 points chacune) depuis le dernier trimestre.

La prévision nette d’emploi en France est de +19% pour la période de janvier à mars 2024, en régression de -9 points par rapport au trimestre précédent, et en recul de -8 points par rapport au même trimestre l’année dernière (prévision nette d’emploi = prévision d’augmentation des effectifs – prévision de réduction des effectifs).Cette baisse risque de s’accompagner les prochains mois d’une tension renforcée sur le marché de l’emploi, avec des candidats qui devront davantage valoriser leurs compétences spécifiques, et des recruteurs qui embauchent moins, et seront donc plus exigeants sur les profils rencontrés.« Tout comme pour la conjoncture économique, c’est un début d’année 2024 en demie-teinte qui s’annonce. Le marché de l’emploi demeure dynamique, avec des entreprises de tous secteurs qui poursuivent leurs recrutements, cependant nous constatons que l’ensemble des chiffres sont à la baisse par rapport à l’année passée. Bien que nous soyons toujours dans un contexte de pénurie des talents, les entreprises font face à leur réalité économique et ralentissent et priorisent les embauches. La demande persistante de recrutements vise à combler des besoins en nouvelles compétences pour répondre à leurs différents enjeux : digitalisation, innovation et transition écologique… », analyse Alain Roumilhac, président de Manpower group Europe du Sud.

Une année qui s’annonce en dent de scie
Bien que les chiffres des intentions d’embauches pour le début d’année 2024 se révèlent globalement à la baisse, l’année s’annonce en dents de scie, avec la stabilisation voire la baisse de l’inflation, ainsi que l’organisation des Jeux Olympiques en France. Ces deux facteurs vont engendrer des pics de besoins et d’embauches, et bousculeront les priorités et les prévisions des entreprises. Ces dernières devront faire preuve d’une grande flexibilité, et miser sur des formats tels que l’intérim pour s’adapter.
Les secteurs d’activités qui ont les prévisions nettes d’emploi les plus fortes pour le trimestre prochain sont les Technologies de l’Information (+30%), la Communication et les Services (+30%), l’Énergie (+24%) et les Transports, la Logistique et l’Automobile (+23%).
En termes de répartition de ces prévisions nettes d’emploi, les régions les plus dynamiques sont la région Auvergne-Rhône-Alpes (28%), la région Provence-Alpes-Côte-d’Azur (28%) et la région Nouvelle-Aquitaine (26%).

Des secteurs d’activités néanmoins dynamiques dans un contexte économique qui s’annonce plus stable en 2024
Parmi les 9 secteurs analysés dans le baromètre*, 4 secteurs affichent des prévisions nettes d’emploi très encourageantes, révélant leurs besoins spécifiques pour ce début d’année. Le secteur des Technologies de l’Information est en tête de ce classement, avec une prévision nette d’emploi de +30%. Déjà en tête au trimestre précédent, le secteur enregistre néanmoins une baisse de 8 points (+38% pour T4 2023), ainsi qu’une baisse de 5 points par rapport au même trimestre de l’année dernière (+35%).
Une baisse des prévisions nettes d’emploi qui se poursuit depuis le début de l’année 2023, mais qui reste en croissance sur ce secteur régulièrement bouleversé par les nouvelles technologies.
Puis, le secteur de la Communication et des Services avec une prévision nette d’emploi de +30%, qui connaît une faible décroissance avec -2 points par rapport au trimestre précédent (+32%), mais une forte progression par rapport au premier trimestre 2023 avec +22 points (+8%).
Cette forte hausse peut s’expliquer par l’approche des Jeux Olympiques 2024 en France, un événement d’envergure qui déclenche une belle dynamique pour ce secteur d’activité. Le secteur de l’Énergie arrive ensuite avec une prévision nette d’emploi de +24%, mais connaît lui aussi un ralentissement, avec -13 points par rapport au dernier trimestre 2023 (+37%), et -2 points par rapport à l’année dernière à la même période (+26%).
Dans ce secteur en pleine transformation et dans lequel les green jobs apparaissent particulièrement, les nouvelles compétences se créent au fur et à mesure. Les entreprises semblent capitaliser sur leurs ressources existantes, en passant notamment par la formation de leurs salariés pour répondre à leurs besoins grandissants.
Enfin la même dynamique est observée pour le secteur des Transports, de la Logistique et de l’Automobile avec une prévision nette d’emploi de +23%, en constante baisse depuis le début d’année dernière avec -14 points par rapport au dernier trimestre (+37%) et -18 points par rapport à l’année dernière à la même période (+41%).
Malgré un fort besoin des entreprises du secteur en termes de nouvelles compétences pour absorber les évolutions technologiques, la croissance des prévisions nettes d’emploi enregistre une forte baisse depuis un an.

Les grandes et moyennes entreprises deux fois plus optimistes que les autres catégories
Ce sont les très grandes entreprises (plus de 1 000 salariés) qui prévoient de recruter le plus au 1er trimestre 2024 avec une prévision nette d’emploi de +41% (+13 points par rapport au trimestre dernier). Un résultat en hausse comparé au même trimestre de l’année passée (+8 points).
Alors qu’elles étaient en tête au trimestre dernier, les grandes entreprises (250 à 999 salariés) arrivent ce trimestre à la seconde position avec une perspective nette d’emploi de +32%, en baisse par rapport au trimestre précédent (39%) et la même période l’année dernière (42%).
Les entreprises moyennes (50 à 249 salariés) arrivent à la troisième place avec des recruteurs qui ont des perspectives nettes d’emploi de +15%, enregistrant -17 points par rapport au 4ème trimestre et -8 points comparé au même trimestre de l’année passée.
Pour les petites entreprises (10 à 49 salariés), la baisse se poursuit avec une prévision nette d’emploi de +12% ce trimestre (-4 points par rapport au 4ème trimestre). A noter que l’on constate également une baisse très importante des intentions d’embauche par rapport à la même période l’an dernier (-19 points dans la prévision nette d’emploi).
Les très petites entreprises (moins de 10 salariés) ont une prévision nette d’emploi de +10%, et sont donc en croissance par rapport au même trimestre l’année passée (+3 points), mais enregistrent une baisse notable par rapport au trimestre précédent (-8 points).

Un dynamisme régional inégal pour débuter l’année 2024
Alors que certaines régions affichent des perspectives de recrutement optimistes pour le 1er trimestre 2024, la région Auvergne-Rhône-Alpes (28%), la région Provence-Alpes-Côte-d’Azur (28%) et la région Nouvelle-Aquitaine (26%), la situation est plus contrastée pour d’autres.
En Bretagne par exemple, les prévisions nettes d’emploi affichent le 0%, avec 24% des entreprises qui prévoient de recruter, et un pourcentage identique qui annonce devoir baisser leur masse salariale. La Normandie prévoit quant à elle une légère hausse (+2%), comme la région Centre-Val de Loire (+11%), la Bourgogne-Franche-Comté (+15%) et l’Occitanie (+16%).
Au final, il s’avère que les régions PACA et Auvergne-Rhône-Alpes sont les deux seules régions qui connaissent une progression de leurs perspectives d’embauche (+2 points chacune) depuis le dernier trimestre. Dans ces deux régions, les entreprises sont 36% à vouloir augmenter leurs effectifs au 1er trimestre 2024, quand la moyenne nationale, toutes régions confondues, est de 32%. Seules 8% d’entre elles prévoient de réduire leur masse salariale (vs 13% au national).

*Transport, Logistique & Automobile, Services de communication, Biens de consommation et services, Énergie, Finances et immobilier, Santé & sciences de la vie, Industrie & matériaux, Technologies de l’information, Autres non mentionnés ci-avant.


3 entreprises vauclusiennes dans la 6e promotion de SUD Accélérateur de risingSUD

Ce lundi 4 décembre, le centre hospitalier du Pays d’Apt a inauguré son nouveau centre ophtalmologique en télémédecine aux côtés des élus du Département de Vaucluse et de la Région Sud, et les représentants de la structure Atlas vision. Il sera opérationnel dès ce jeudi 7 décembre.

Le territoire du Pays d’Apt a une population qui vieillit, 20% ont plus de 60 ans. De plus, sur les 25 communes du territoires, 16 sont considérés comme des villages de montagne et sont particulièrement touchés par la désertification médicale.

La question de l’accès aux soins étant devenue un enjeu majeur des territoires, notamment en Vaucluse, les besoins de santé sont plus que nécessaires, notamment en ce qui concerne la vue puisque le Pays d’Apt ne compte qu’un seul spécialiste dans ce domaine. C’est dans ce cadre que s’inscrit le nouveau centre ophtalmologique en télémédecine.

Le Vaucluse, territoire pilote de la télémédecine

La réalisation de ce centre résulte d’un partenariat inédit entre le public et le privé, qui constitue le premier acte du plan Santé du Département de Vaucluse. Ce dernier a sollicité la Région Sud afin que le Vaucluse deviennent le précurseur régional de la télémédecine. « Département le plus avancé en termes de connexion Très haut débit avec 79% du territoire couvert, je souhaite faire du Vaucluse la capitale régionale de la télémédecine, avait expliqué Renaud Muselier, président de la Région Sud.

LIRE ÉGALEMENT : ‘LE VAUCLUSE CAPITALE RÉGIONALE DE LA TÉLÉMÉDECINE’

C’est donc le premier projet Santé soutenu conjointement entre le Département et la Région. « Le Département a décidé d’aller au-delà de ses compétences notamment au niveau de la santé », a affirmé Dominique Santoni, présidente du Département de Vaucluse. En plus de la télémédecine, un bus médical devrait bientôt voir le jour, et le Département essaye d’attirer de nouveaux médecins en Vaucluse. Il y a 9 médecins salariés du Département à ce jour, avec la récente arrivée du Dr Didier Chassery à Apt, qui ont déjà permis à 5000 Vauclusiens de retrouver un médecin traitant.

Un partenariat entre le public et le privé

Le Département de Vaucluse et la Région Sud se sont alliés à Atlas Vision, le centre d’ophtalmologie à l’Isle sur la Sorgue et à Carpentras, pour déployer ce centre ophtalmologique en télémédecine. L’achat du matériel ophtalmologique a été financé à hauteur de 60 000€ par le Département et de 140 000€ par la Région.

« L’union de nos forces a donné naissance à un projet hybride, public et privé. Nous sommes fiers de cette chaîne de solidarité. »

Dr Echraf Grira Khediri, ophtalmologue Atlas Vision

Désormais, les patients peuvent bénéficier rapidement, et proche de chez eux, d’une consultation réalisée par un orthoptiste au sein du CH d’Apt. Les clichés sont ensuite envoyés à Atlas Vision pour être étudiés dans un de ses centres, qui regroupent huit médecins spécialistes de la pathologie et chirurgie de l’œil et une équipe paramédicale.

Les différents acteurs qui ont contribué à la création de ce centre ophtalmologique en télémédecine. ©Département de Vaucluse

Une technologie moderne

« L’engagement des technologies est très important pour nous », a déclaré Danielle Fregosi, directrice du CH du Pays d’Apt. L’établissement s’est engagé dans la télémédecine dès 2017 et a déjà mis en place la télésurveillance à domicile depuis plusieurs années. Ces nouvelles machines dédiées au centre ophtalmologique en télémédecine sont donc la continuité logique de l’évolution du CH et de la télémédecine en Vaucluse.

« Les consulations seront quasiment à l’identique de ce qu’on peut faire sur place à l’Isle-sur-la-Sorgue ou Carpentras »

Dr Stéphan Pommier, ophtalmologue Atlas Vision

Les technologies utilisées offrent un réel avantage puisqu’elles disposent d’une réactivité importante pour une qualité de soin quasiment optimale. Avec, il sera possible de déceler plus rapidement les technologies lourdes afin de pouvoir intervenir sans attendre. Il sera possible de détecter certaines pathologies avant même que le patient ressente des symptômes. « Ce n’est pas seulement une visite unique, on va pouvoir assurer un vrai suivi avec ce centre en télémédecine », a rassuré Dr Stéphan Pommier, qui a précisé que 40% des patients d’Atlas Vision venaient du Pays d’Apt.

Une technologie innovante

Les machines de ce nouveau centre sont à la pointe de la modernité. Elles permettent le diagnostic d’un ensemble de pathologies. Les patients souhaitant une consultation pourront prendre rendez-vous dès ce jeudi 7 décembre via la plateforme Doctolib en cherchant ‘Cabinet d’orthoptie et télé ophtalmologie – Hôpital d’Apt’.

Les machines OCT (Tomographie à Cohérence Optique) sont l’équivalent d’un scanner, qui permettent de voir en coupe les différentes structures de l’œil, de la cornée au nerf optique, en passant par la rétine, et d’obtenir des mesures anatomiques. « À l’état actuel de la télémédecine, ce genre d’examen n’existait pas jusqu’à aujourd’hui », a affirmé Dr Stéphan Pommier.

Une installation qui contribue à l’attractivité du territoire

Une des problématiques qui est au cœur des préoccupations du Département de Vaucluse, mais aussi du Pays d’Apt : l’attractivité du territoire, notamment en matière de santé. « La ville d’Apt présente une difficulté d’accessibilité, mais est aussi peu attractive pour les médecins car elle est loin des réseaux autoroutiers, a expliqué Véronique Arnaud-Deloy, maire de la ville. Nous sommes excentrés, mais aujourd’hui, nous subissons tous 30 années de manque de formations de médecin et de manque de médecins. »

Ainsi, cette innovation en matière de technologie et de télémédecine représente un véritable atout pour le Pays d’Apt qui compte bien s’en servir pour attirer de nouveaux spécialistes de santé. Le territoire dispose déjà de plusieurs appartements destinés aux internes en médecine, afin de soulager les médecins de ville et ceux d’hôpital, mais aussi pour attirer les jeunes en ruralité. La communauté de communes Pays d’Apt Luberon loue un appartement au CH à l’année pour les médecins qui viennent s’installer, pour leur laisser le temps de se trouver un logement, mais aussi pour les médecins remplaçants.

Le centre hospitalier du Pays d’Apt est donc devenu le leader de la télémédecine en Vaucluse. « Nous sommes capables de viser l’excellence et de l’obtenir en matière de santé », a conclu Jean Aillaud, vice-président de la Région Sud, vice-président du Pays d’Apt Luberon, et 1ᵉʳ adjoint au maire d’Apt.


3 entreprises vauclusiennes dans la 6e promotion de SUD Accélérateur de risingSUD

Ce samedi 2 décembre, le célèbre marché aux truffes de Richerenches a fêté son centenaire. Les élus vauclusiens étaient présents en nombre lors de cet anniversaire spécial, tout comme ceux de la Région Sud, notamment son président Renaud Muselier, qui a tenu à rappeler l’engagement de la Région Sud pour la filière trufficole et la profession agricole.

La région Provence-Alpes-Côte d’Azur est le premier territoire français producteur de truffe. Le diamant noir est une véritable institution dans la région, comme en atteste le très prisé marché de Richerenches qui vient de fêter son 100ᵉ anniversaire. « Ce marché est devenu une véritable institution, vous êtes célèbre dans le monde entier, a félicité Renaud Muselier. C’est naturellement que la Région Sud est partenaire de cette 100ᵉ édition. » Pour l’occasion, il a été intronisé dans la Confrérie du Diamant noir et a renouvelé l’engagement de la Région envers la filière trufficole.

Sur la période 2020-2023, ce sont près de 520 000€ qui ont été versés pour le développement de la filière régionale trufficole. Une aide de 25 000€ a été accordée par la Région Sud pour répondre à la démarche de création d’un signe officiel de qualité. La Région a également lancé le label ‘100% Valeurs du Sud’, qui s’appuie sur la qualité, la transparence, la transition environnementale et l’équité.

La Région a décidé de renouveler son engagement en lançant un nouveau plan régional filière truffe pour la période 2024-2026 avec un budget annuel de 130 000€. Ce nouveau cadre d’intervention sera voté lors de la prochaine assemblée plénière, le vendredi 15 décembre prochain, à travers 5 axes :
• « Consolidation et animation collective de la filière » sera doté d’une enveloppe annuelle de 10 000€
• « Soutien à la plantation » sera doté d’une enveloppe annuelle de 90 000€
• « Conseils aux trufficulteurs » sera doté d’une enveloppe annuelle de 10 000€
• « Soutien à l’expérimentation » sera doté d’une enveloppe annuelle de 15 000€
• « Soutien aux foires locales garantissant origine et qualité de la production » sera doté d’une enveloppe de 5 000€

V.A.


3 entreprises vauclusiennes dans la 6e promotion de SUD Accélérateur de risingSUD

La conjoncture économique et la perte de pouvoir d’achat incitent les habitants de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur à faire des arbitrages dans leurs dépenses. À quelques semaines de Noël, Ankorstore, la plateforme professionnelle qui connecte plus de 300 000 commerçants à 30 000 marques en Europe, a réalisé une étude en partenariat avec l’institut Yougov sur le comportement d’achat des Français et leur budget pour Noël.

Noël, une période de stress financier pour les habitants de la région
Selon l’étude* d’Ankorstore, Noël est une source de stress pour 54% des habitants de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, une proportion légèrement supérieure à la moyenne nationale (51%).
À quel moment débuter ses achats de Noël ? Les habitants de la région sont partagés. Si 38% se montrent prudents en déclarant commencer leurs achats plus de deux mois avant le jour J, ils sont aussi 41% à s’y prendre dans les dernières semaines.

Le budget le plus faible de l’Hexagone
Côté budget, les habitants de Paca débourseront 472€ en moyenne pour leurs achats de Noël (cadeaux, décoration, repas, etc.), soit 57€ de moins que la moyenne française (529€). Il s’agit tout simplement du budget moyen le plus faible sur l’ensemble des régions hexagonales.
Une situation budgétaire anticipée par les commerces de proximité qui se montrent prudents. En effet, ils sont 71% à penser que les consommateurs n’augmenteront pas leur budget pour les fêtes. Dans le détail, 41% des commerçants envisagent même une dépense inférieure à l’an dernier et 30% misent sur un panier similaire.
Prévoyants, 55% des commerçants déclarent également être attentifs à leur stock pour ne pas s’exposer financièrement, et 33% indiquent même le limiter et favoriser le réassort de dernière minute.

Les habitants de Paca prennent des mesures pour préserver leur budget
Si 51% des sondés déclarent que leur budget sera équivalent à celui de l’an dernier, l’inflation devrait limiter leur pouvoir d’achat et le nombre de produits accessibles avec ce même montant. Dans ce contexte, ils redoubleront d’efforts pour préserver leur budget de Noël.
Pour cela, ils seront majoritairement attentifs aux prix puisque 60 % des Provençaux (vs 58% au national) déclarent privilégier les achats à petits prix ou avec des promotions.

Au-delà, trois autres pistes sont plébiscitées cette année par les habitants de Paca afin de garder la maîtrise de leur budget :
● 67% des répondants déclarent ainsi que la première solution pour gérer leur budget pendant les fêtes de fin d’année est d’étaler leurs dépenses. Un chiffre légèrement supérieur à la moyenne nationale (63%).
● 61% des habitants de Paca envisagent également de réduire leur budget cadeaux (60% au national). En revanche, ils préfèrent ne pas toucher au budget alimentaire pour les fêtes (45%). Celles-ci sont généralement l’occasion de grands repas en famille et entre amis, et les Provençaux ne sont pas prêts à rogner sur ce poste de dépense.
● Pour 54% des habitants de la région, la 3e option privilégiée consiste à n’offrir des cadeaux qu’aux enfants, qui restent donc préservés des arbitrages autour des postes de dépenses. Une autre singularité de la région, 50% des Français ayant choisi de réduire le budget alimentaire en troisième choix.

Les commerces indépendants, symbole du consommer mieux pour les habitants de la Région Sud ?
Bien que les centres commerciaux, les grandes enseignes et les sites de vente en ligne restent plébiscités pour les achats de Noël, cette année près d’1 habitant de la région sur 2 (48%) envisage de faire une partie de ses achats dans un commerce de proximité. Une nouvelle encourageante pour ces derniers qui sont 21% à considérer que la concurrence des géants de la distribution et du e-commerce sera la principale difficulté en cette fin d’année, légèrement derrière la diminution du pouvoir d’achat (27%).

« Noël reste un moment important pour les Français. »

Lily Cadell, general manager France d’Ankorstore

Pourquoi choisir les commerces de proximité ?
1. Pour des questions de praticité (plus proche du domicile, moins de monde, etc.) pour 58% (vs 51% au national).
2. Pour favoriser les produits locaux (Made In France, production régionale, etc.) pour 52% (idem au national).
3. Pour favoriser le commerce de proximité pour 50% (vs 49% au national).
Au global, un quart des habitants de Paca (25%) envisage de privilégier les achats locaux et régionaux pour les fêtes de Noël.

« Notre étude révèle que Noël reste un moment important pour les Français, observe Lily Cadell, general manager France d’Ankorstore. Dans un contexte économique difficile, ceux-ci sont prêts à faire de nombreux efforts et à prendre des mesures spécifiques afin de maintenir un budget dédié aux fêtes de fin d’année. S’ils font particulièrement attention aux prix et aux promotions, on constate qu’ils restent malgré tout attachés aux commerces de proximité. Dans ce contexte, les commerçants restent tout de même confiants et ajustent leur stock et leur offre au plus près des attentes des consommateurs. »

*Méthodologie : Sondage auprès des Français : Étude Yougov pour Ankorstore réalisée par questionnaire auto-administré en ligne du 16 au 17 octobre 2023, auprès d’un échantillon national représentatif de 2018 personnes âgées de 18 ans et plus.


3 entreprises vauclusiennes dans la 6e promotion de SUD Accélérateur de risingSUD

La ville de Sorgues met en place un dispositif de financement des études de futurs médecins généralistes qui, en contrepartie, s’engagent à exercer sur la commune une fois leur diplôme obtenu. La délibération en faveur de ce dispositif a été adoptée à l’unanimité lors de la séance du conseil municipal qui s’est tenue le jeudi 26 octobre 2023.   

Sorgues fait partie des 66 % des villes de Vaucluse à être classées en Zone d’Action Complémentaire concernant l’offre de soins de médecine générale. Il s’agit de zones sous-dotées en nombre de praticiens, toutefois moins fragilisées que les Zones d’Intervention Prioritaire.

Aussi, pour renforcer l’offre médicale
et anticiper les départs à la retraite de praticiens implantés sur la commune, la municipalité a décidé d’agir avec la mise en place d’une bourse dédiée aux étudiants en médecine générale.  

Le Ville de Sorgues espère que cette solution concrète,
à moyen terme, permettra de maintenir l’offre de soins via un dispositif inédit dans le département de Vaucluse. Sorgues est, en effet, la première ville du département à financer le cursus d’étudiants en médecine et l’une des premières villes de la Région Sud.

Les modalités
Deux bourses seront attribuées sur dossier de candidature et après signature d’une convention ; Les deux étudiants sélectionnés seront éligibles à compter de la troisième année de médecine ; Le montant de la bourse s’élèvera à 700€ par mois et par étudiant ; En contrepartie, les étudiants s’engageront à s’installer pour une durée de 5 ans sur le territoire communal afin d’y exercer la médecine générale. Des modalités de remboursement sont prévues dans la convention.

Renseignements
Les renseignements sont disponibles auprès de la Direction générale des services au 04 90 39 72 35  

Mireille Hurlin    


3 entreprises vauclusiennes dans la 6e promotion de SUD Accélérateur de risingSUD

Amoéba, société lyonnaise spécialisée dans les solutions biologiques dans le traitement du risque microbiologique, vient d’entamer la construction de son usine de biocontrôle ‘Usibiam’ (Usine Biocontrôle Amoéba) dans la zone d’activités des Hauts Banquets à Cavaillon. Le projet devrait s’achever d’ici 11 mois.

C’est à Cavaillon, dans la zone d’activité des Hauts Banquets que les élus, les collaborateurs d’Amoéba, mais aussi de GSE, et les partenaires, se sont retrouvés ce mardi 10 octobre pour poser la première pierre de l’usine de biocontrôle Usibiam d’Amoéba, ou plutôt pour mettre le premier coup de pelle.

Un premier coup de pelle symbolique. Tout aussi symbolique que le jujubier qui a été planté devant la future usine de biocontrôle et qui représente la résistance. « Nous espérons qu’Usibiam résistera aussi longtemps que ce jujubier », déclare en riant Fabrice Plasson, PDG d’Amoéba.

Cette usine sera destinée à produire un agent de biocontrôle pour le traitement des plantes en agriculture et un biocide biologique pour le traitement de l’eau industrielle.

11 mois de travaux dans la zone des Hauts Banquets

Construire cette usine dans la zone des Hauts Banquets a un objectif, celui de réindustrialiser la France avec des techniques innovantes. « Une réindustrialisation est capitale pour redynamiser l’essor français à l’international », affirme Fabrice Plasson. Le lieu de construction lui, n’a pas été choisi au hasard. « On a choisi la zone des Hauts Banquets car elle est tournée vers la naturalité », ajoute Hervé Testeil, directeur industriel d’Amoéba. Ainsi, Usibiam se veut une référence de naturalité au service de la transition agricole et alimentaire.

La confection du projet a été confiée à l’entreprise avignonnaise GSE, qui se donne 11 mois pour finir le bâtiment de 3240 m², dont 2640 m² seront dédiés à la production, et 600 m² aux bureaux, le tout sur 15 000 m² de terrain. La société Amoéba s’est, quant à elle, engagée à ce qu’au moins 60% des toitures et ombrières aient des panneaux photovoltaïques. « Aujourd’hui, nature et bâti cohabitent de manière intelligente », souligne Roland Paul, président de GSE.

Un projet réalisé avec des acteurs vauclusiens et régionaux

Si GSE fait partie intégrante de ce projet d’usine de biocontrôle, il n’est pas le seul acteur vauclusien qui entoure Amoéba dans cette construction. L’agence du développement, du tourisme et des territoires Vaucluse Provence Attractivité (VPA), elle est aussi est de la partie. « Cette journée marque un projet d’avenir majeur pour le territoire, qui va participer à la construction nationale d’une filière du biocontrôle, déclare Cathy Fermanian, directrice générale de VPA. C’est ici que grandira le Vaucluse de demain. »

La future usine Usibiam fait également la fierté des élus locaux. « Cela fait 15 ans qu’on travaille sur le dossier des Hauts Banquets, explique Gérard Daudet, maire de Cavaillon et président de la communauté d’agglomération Luberon Monts de Vaucluse. C’est merveilleux de voir les premières entreprises sortir de terre. » La Région Sud, elle aussi, est ravie de cette implantation. « C’est un grand jour pour permettre à l’agriculture de devenir viable, rentable et compétitive, ajoute Bénédicte Martin, vice-présidente de la Région en charge de l’agriculture. Le monde agricole est en première ligne pour assurer une mission d’alimentation, et en première ligne de tous les grands changements, notamment climatiques. »

Un projet soutenu par France 2030

Pour son usine Usibiam, Amoéba est lauréate de l’appel à projet ‘Résilience et Capacité Agroalimentaire’ de France 2030. L’entreprise lyonnaise bénéficie donc pour son projet du soutien de Bpifrance à hauteur de 5,9M€.

« 16 projets en Vaucluse (culture, décarbonation, nucléaire, etc) ont été selectionnés à ce jour par France 2030, ce qui représente 39M€ d’aides, rappelle Christian Guyard, ancien secrétaire général de la préfecture de Vaucluse et sous-préfet d’Avignon qui vient d’être nommé sous-préfet de Compiègne. Grâce à ce projet d’usine de biocontrôle, la France tient un pari sur l’avenir pour apporter des solutions au monde de demain. »


3 entreprises vauclusiennes dans la 6e promotion de SUD Accélérateur de risingSUD

La Région Sud répond à l’appel du Président de la République concernant la fragilité du patrimoine religieux et vient de débloquer 2,7 millions d’euros pour l’année 2024 qui iront directement en faveur de la rénovation de ce patrimoine, ainsi que du petit patrimoine rural. « Nos églises, notre patrimoine religieux, c’est l’histoire, les racines et la vie de nos territoires », a déclaré Renaud Muselier, président de la Région

Dès le 26 octobre prochain, plusieurs édifices de la région se verront attribués une aide pour effectuer des travaux. Dans le Vaucluse, l’église haute Saint-Gervais et Saint-Protais, classée Monument historique, à Bonnieux, va recevoir 215 940 € afin de restaurer son intérieur.

V.A.


3 entreprises vauclusiennes dans la 6e promotion de SUD Accélérateur de risingSUD

D’habitude, pour la pose de la 1ère pierre d’un bâtiment, on se sert d’un parpaing en pur béton. Là, c’est une brique en terre crue que les élus ont maçonnée à la truelle pour lancer officiellement le chantier de ‘Food’in’, un réseau formé par l’ARIA Sud (Association Régionale des Industriels Alimentaires), le CRITT (Contre Régional d’Innovation et de Transfert de Technologie) et l’IDRIA (Institut de Formation Régional de l’Industrie Alimentaire). Réseau qui regroupe 215 entreprises, 9 500 salariés et qui pèse 4 milliards de chiffre d’affaires.

Un bâtiment certifié BDM (Bâtiment durable méditerranéen)
« Ce bâtiment de 3 étages (1000m2 en tout) sera un outil performant, unique au service des entreprises de l’agroalimentaire pour faire rayonner notre savoir-faire, notre compétence reconnue depuis plus de 30 ans dans le grand Sud-Est méditerranéen » a lancé Cyril Bertrand, directeur du CRITT. « Ce totem sera certifié ‘BDM’ (Bâtiment durable méditerranéen), il sera donc exemplaire du point de vue environnemental. » Il s’agira en fait d’une plateforme dédiée à tous les métiers de l’agro-alimentaire avec 6 ateliers au rez-de-chaussée, un pour appréhender les règles de sécurité, un pour la création et l’innovation en alimentation, un pour la recherche et le développement, un 4ème pour tester la sécurité des aliments, un autre pour améliorer la gestion des flux logistiques et un dernier pour se former à la mise en rayon.

Cyril Bertrand directeur du Critt et responsable du projet.

Clément Rabourdin, l’architecte de Montpellier qui a conçu cet immeuble avec son équipe a précisé que la conception des plans avait été précédée « D’une longue réflexion sur la meilleure façon de l’habiter, d’y travailler, sans dégrader l’environnement, en prenant en compte l’orientation, le mistral avec une façade nord en maçonnerie et une au sud en bois avec des casquettes de protection comme ombrières face au soleil. Autour, sans doute des arbres fruitiers pour voir le rythme des saisons s’inscrire dans le paysage. Plutôt que la climatisation, une solution géothermique a été trouvée ».

Accroître la performance globale des entreprises alimentaires
Serge Hincker, président de l’ARIA a insisté : « Food’in a pour vocation d’accroître la performance globale des entreprises alimentaires en synergie. Cette bannière, c’est une sorte de guichet unique pour défendre les adhérents, les accompagner dans la commercialisation de leurs produits. Tous les entrepreneurs du secteur se sentiront chez eux dans cette maison de l’agro-alimentaire ». La présidente du CRITT Alimentation ajoute : « 1/4 des émissions de gaz à effet de serre provient de nos assiettes, nous devons donc inventer l’alimentation de demain et changer nos habitudes en profondeur ».

Au nom du Grand Avignon, Guy Moureau a précisé que « L’agglomération a versé 558 000€ pour financer cet outil qui permettra de former et d’installer des paysans qui pourront vivre dignement de leur travail ». Et pour la Région Sud, Bénédicte Martin conclura : « Ici, à Avignon, la filière agro-alimentaire est un atout majeur, stratégique de ce territoire. Nous avons tout : les lycées agricoles, l’INRAE (Institut National de la Recherche Agronomique et de l’Environnement) et ses centaines de chercheurs, l’ISEMA (Ecole Supérieure de Commerce des Entrepreneurs de la Naturalité), l’ISARA (Ecole d’ingénieurs), l’Université et ses agrosciences, Terralia, le pôle de compétitivité fruits & légumes. Nous avons le pain et le couteau pour performer. D’ailleurs, notre subvention s’élève à 660 000€ pour que ce bâtiment sorte de terre et pour montrer notre engagement auprès de la filière ».

Marc Pouzet, actuel président du Ceser, anciennement, patron de l’usine de conservés Marius Bernard et surtout créateur de l’ARIA SUD en 1988. Yves Bayon de Noyer, maire du Thor et alors patron d’Agis, lui avait ensuite succédé.

Parmi les invités de cette cérémonie de pose de la 1ère brique de Food’in, Marc Pouzet, actuel président du CESER ( Conseil économique, social et environnemental de la Région Sud). Dans une autre vie, il a dirigé l’usine de conserves Marius Bernard à Saint-Chamas, et en 1988, il a créé l’ARIA SUD « Quand il n’existait pas encore d’organisation entre la branche agro-alimentaire, les paysans et leurs syndicats. Ensuite, c’est Yves Bayon de Noyer, futur fondateur d’Agis en Courtine, aujourd’hui maire du Thor qui a encore plus développé l’agro-alimentaire dans le Vaucluse avec le Pôle de Compétitivité Fruits & Légumes et le concours Trophélia ». Ce nouveau site ‘4.0’ sera opérationnel en 2024.

https://echodumardi.com/tag/region-sud/page/4/   1/1