2 avril 2025 |

Ecrit par le 2 avril 2025

Deux communes vauclusiennes bénéficient du Fonds vert pour la biodiversité, le tri et les biodéchets

Le Fonds Vert est le fonds d’accélération de la transition écologique des territoires mis en place par le gouvernement. En Paca, 1,7M€ a été attribué pour soutenir des projets relatifs à la biodiversité, le tri à la source et la valorisation des biodéchets. Les communes de Villars et d’Oppède vont pouvoir bénéficier d’une partie de cette somme.

Au début du mois d’avril a eu lieu le premier comité de programmation des mesures régionales du Fonds vert. 200 000€ sont prévus pour soutenir certaines collectivités de la région, dont la communauté d’agglomération Luberon Monts de Vaucluse, et pour conduire les études de mise en œuvre et d’évaluation du tri à la source des biodéchets sur leurs territoires. 1,5M€ seront investis dans plusieurs autres projets de la région Sud en ce qui concerne la stratégie nationale pour la biodiversité.

C’est donc 1,7M€ qui a été attribué en tout. Une partie du montant va profiter à la commune de Villars pour la rénovation énergétique globale de son école, mais aussi à la commune d’Oppède pour le remplacement des chaudières à fioul par des pompes à chaleur air/eau dans les bâtiments communaux. La commune de Villars recevra 133 131€ et celle d’Oppède 149 600€ pour leur projet respectif.

Le Fond Vert rencontre un véritable succès en Paca. Au 18 avril 2023, 619 dossiers ont été déposés pour une demande globale de 300M€ de financement. La majorité de ces dossiers concerne la rénovation des bâtiment et l’éclairage public.

Le prochain comité de programmation des mesures régionales aura lieu le 3 mai prochain, pour examiner de nouvelles demandes de financement relatives à la stratégie nationale biodiversité et au tri à la source et la valorisation des biodéchets, ainsi que les demandes de financement déposées au titre du recyclage foncier.

V.A.


Deux communes vauclusiennes bénéficient du Fonds vert pour la biodiversité, le tri et les biodéchets

La Région Provence-Alpes-Côte d’Azur se dote du Groupement d’employeurs du Sud pour un tourisme engagé (GESTE) afin de favoriser un emploi responsable et durable au sein du secteur du tourisme.

Le Comité régional de tourisme Provence-Alpes-Côte d’Azur (CRT Paca) vient de donner naissance au Groupement d’employeurs du Sud pour un tourisme engagé. Cette organisation a été créée en partenariat avec le Lab RSE innovation, la Région Sud et le préfet de la région Paca, mais aussi le Crédit Agricole Alpes ProvenceSprint RHPôle emploi, et la Direction régionale de l’économie, de l’emploi, du travail et des solidarités (Dreets) Paca.

L’objectif de ce groupement est de transformer des métiers saisonniers ou des contrats courts en emplois durables, en jouant sur la double saisonnalité été/hiver sur l’ensemble de la région et le partage de salariés dans un même bassin d’emploi. GESTE repose sur la volonté de motiver la dynamique RSE des recrutements. Il se veut la solution pour accéder à des emplois plus respectueux des temps de vie, du besoin de sécurisation et de meilleures conditions de travail en accord avec les enjeux sociaux et sociétaux du tourisme.

Une plateforme pour les employeurs et pour les candidats

Les employeurs peuvent adhérer au groupement via son site internet. GESTE prend en charge le recrutement et décharge les entreprises de toutes les tâches administratives liées à la phase d’embauche et à la gestion de la personne recrutée durant son contrat. Le groupement promet confiance mais aussi économie puisque l’employeur ne prend en charge que les coûts salariaux relatifs à l’utilisation de la personne intégrée dans son équipe et aux frais de gestion de GESTE, qui sont inférieurs au coût de l’intérim.

Pour ce qui est des candidats, l’organisation garantit simplicité, sécurité et progression professionnelle. Le candidat a juste à remplir sa candidature sur le site de GESTE. « Nous transformons vos CDD en CDI », affirme le groupement qui promet un seul contrat et un seul statut salarial à la place de plusieurs contrats à temps partiel, ainsi qu’un parcours sécurisé et accompagné pour plus de stabilité.

V.A.


Deux communes vauclusiennes bénéficient du Fonds vert pour la biodiversité, le tri et les biodéchets

Malgré son attractivité, le Vaucluse est le département de la Région Sud qui a la plus faible densité de généralistes. Et 85 médecins libéraux pour 100 000 habitants. Phénomène aggravant, la moitié d’entre eux ont ont plus de 55 ans et l’an dernier, 45 sont partis, soit à la retraite, soit ailleurs.

« Il y avait donc urgence à lancer un plan santé, en se basant sur ce qui marche ailleurs, en Saône et Loire, Charente-Maritime, dans le Gers par exemple, pour recruter nous-mêmes, puisque c’est une compétrence que nous accorde la Loi 3DS » explique la Présidente de l’exécutif départemental, Dominique Santoni, en liaison avec la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur, l’ARS (Agence régionale de santé), la CPAM (Caisse primaire d’assurance maladie), le Conseil de l’Ordre des Médecins et des associations d’élus.

Lire également : “Dominique Santoni : « Ce que je veux, c’est changer la vie des Vauclusiens »“

L’an dernier, une campagne de communication a été lancée dans la presse nationale, à la radio et à la TV pour les attirer en leur promettant un salaire en fonction de leur ancienneté et de la grille indiciaire, plus de souplesse et moins de contraintes administratives dans la pratique de leur métier (paperasse, gestion, prise de rendez-vous par Doctolib). D’autant plus que le médecin de papa qui travaillait jour et nuit, week-end compris, c’est fini. Maintenant les médecins, hommes et femmes, souhaitent avoir une vie plus équilibrée entre le cabinet, la famille et les loisirs.

La campagne de communication réalisée par le Département de Vaucluse

Claudio Tatullo, ce 1er médecin salarié a donc a 40 ans, il est né dans la région des Pouilles, en Italie et a travaillé 5 ans dans une clinique de St-Rémy de Provence, un centre de rééducation fonctionnelle, avant de poser ses valises à Avignon. Il consulte depuis lundi dans le nouveau cabinet installé au n° 19 Place de l’Horloge. « Je voulais changer de vie, ici je ne gère pas les démarches administratives, les appels téléphoniques, je suis accompagné par une assistante. En Italie j’ai travaillé dans le secteur libéral pour l’équivalent de la ‘Guardia médicale’ (équivalent de SOS Médecins) avec des urgences H 24, week-end compris, c’est enrichissant mais usant. »

Il poursuit :  » Ici, je vais pouvoir me concentrer sur le patient, le suivre dans la durée, avec une prise en charge globale comme médecin traitant. Je travaille du lundi au vendredi de 9h à 18h, après je vais gérer ma vie privée comme je l’entends, profiter des paysages, des randonnées, des loisirs, de la vie culturelle, du climat du Vaucluse ».

Inauguration du centre du Réseau Départemental de Santé, nouvellement ouvert place de l’Horloge à Avignon.

Le local de 120m2 inauguré jeudi matin est composé d’une salle d’attente, de 2 cabinets de consultations, d’un salle de soins pour les urgences et le dépistage gynécologique de cancers du col de l’uterus, d’un bureau administratif. C’est Romain Natale, un psycho-motricien de formation, qui coordonne l’ensemble de la structure, le local pour qu’il qu’il soit opérationnel : mobilier, équipement médical, ordinateurs.

La présidente du département insiste : « Nous ne faisons pas de concurrence aux médecins libéraux, nous sommes complémentaires pour répondre aux préoccupations des Vauclusiens, pour lutter contre la désertification médicale. En tout, nous avons déjà recruté 9 médecins qui vont s’installer à Cadenet, Apt, Valréas, la machine est lancée. C’est du cousu main, nous allons là où l’offre de soins est insuffisante et le médecin salarié se consacre entièrement à son patient, c’est cela qui les a séduits! Pas besoin de se préoccuper de la paperasse, des prises de rendez-vous, de tout l’aspect administratif qui est particulièrement chronophage ».

Lire également : “Le Vaucluse capitale régionale de la télémédecine“

Dominique Santoni poursuit : « Notre département est attractif, offre une qualité de vie et ce ‘Plan Santé’ est une fusée à 3 étages. Le 1er, c’est l’installation de ces médecins qui vont mailler le territoire. 2ème acte : un bus itinérant qui va quadriller les zones isolées, notamment sur le Plateau de Sault. Le 3ème, la télé-médecine, puisque grâce à Renaud Muselier, le président de la Région Sud, nous sommes département-pilote. Par exemple, les spécialistes en ophtalmologie de l’Hôpital d’Apt poseront le diagnostic d’un patient de l’Isle sur la Sorgue, il n’aura pas à se déplacer, il ira juste chez son médecin ». Une dernière étape pourrait être franchie avec le déplacement de médecins au domicile de malades très isolés.

Ce dispositif innovant coûtera entre 800 000€ et 1 M€ par an au Conseil Départemental. Selon les besoins, 18 médecins pourront être recrutés l’an prochain, encore plus l’année d’après. « L’important, nous l’avons vécu lors de la crise sanitaire, c’est de renforcer notre de soins. C’est notre choix politique au service de tous les Vauclusiens » a conclu la présidente Santoni.


Deux communes vauclusiennes bénéficient du Fonds vert pour la biodiversité, le tri et les biodéchets

En 2019, la Région Sud a lancé son dispositif ‘Zéro émission sur la route’ afin d’aider ses habitants au déploiement des véhicules électriques. Aujourd’hui, elle a de soutenir l’installation de nouvelles bornes de recharge électriques au sein des copropriétés.

La transition énergétique et l’atteinte d’une neutralité carbone font partie des priorités de la Région Sud. « Nous devons penser à une nouvelle mobilité, avec des transports durables et respectueux de l’environnement », explique Renaud Muselier, président de la Région. Le dispositif ‘Zéro émission sur la route’ a déjà permis plus de 65 opérations représentant 800 bornes de charge électriques, 80 véhicules électriques, et 3,5 millions d’euros de subventions.

Depuis le début de l’année, les prix des carburants ne cessent d’augmenter et la qualité de l’air continue de se dégrader. Ainsi, la Région Sud a décidé d’élargir les aides relatives au dispositif ‘Zéro émission sur la route’ et de soutenir l’installation de nouvelles bornes de charge électriques dans les copropriétés afin que leurs habitants puissent recharger leur véhicule directement chez eux.

V.A.


Deux communes vauclusiennes bénéficient du Fonds vert pour la biodiversité, le tri et les biodéchets

La hausse du prix de l’énergie touche forcément les transports. En 2023, les tarifs de ces derniers devraient par conséquent augmenter. Pour éviter une hausse trop importante, la Région Sud va prendre en charge une partie des surcoûts de ses transports.

Malgré la hausse du prix de l’énergie, la Région Sud a décidé de maintenir l’intégralité de son offre de transports, c’est-à-dire près de 550 TER et plus de 1 700 cars par jour. Les surcoûts liés à la hausse du prix de l’énergie devraient représenter 30 millions d’euros pour les transports régionaux en 2023.

Ainsi, la Région Sud a annoncé prendre en charge 80% de ces surcoûts, ce qui équivaut à environ 24 millions d’euros. Les 6 millions d’euros restants nécessiteront une hausse limitée des tarifs sur les transports régionaux. Ainsi, le prix des billets unitaires, principalement achetés par les vacanciers, va augmenter de 5,68%, et les tarifs des abonnements Zou! de 3%. Cette potentielle hausse des prix va faire l’objet d’un vote en assemblée plénière le vendredi 16 décembre prochain.

V.A.


Deux communes vauclusiennes bénéficient du Fonds vert pour la biodiversité, le tri et les biodéchets

Plus d’une personne sur deux possède au minimum un animal de compagnie en Provence-Alpes-Côte d’Azur. Si ces compagnons représentent une source de bien-être pour leur propriétaire, les associations luttent quotidiennement contre leurs abandons qui ne diminuent pas. Selon l’association Peta France (People for the Ethical Treatment of Animals), plus de 100 000 animaux sont abandonnés chaque année en France, dont 60 000 d’entre eux durant la période estivale. Dans ce cadre, la Région Sud lance le label ‘Ville amie des animaux’.

« Nous avons d’ores et déjà mis en place un Plan d’accompagnement pour les associations de Provence-Alpes-Côte d’Azur qui recueillent, soignent et replacent des animaux de compagnie et des équidés, a expliqué le président de la Région Sud Renaud Muselier. Avec la création de ce label, nous rappelons que la Région est engagée pour le bien-être animal ! »

Ainsi, ce nouveau label s’articulera autour de deux points : l’animal heureux dans la ville et le citoyen heureux avec son animal. Le premier s’appuiera sur l’amélioration de l’espace communal pour des structures plus adaptées aux animaux, telles que des parcs à chiens, des abris pour chats errants, ou des actions de sensibilisation. Le second, quant à lui, reposera sur le soutien et la valorisation du rôle des chiens d’assistance pour les personnes en situation de handicap, le soutien des initiatives permettant la prise en charge et l’accueil temporaire des animaux de compagnie des personnes hospitalisées ou en détention, et la mise en place d’une garde à cheval pour policiers municipaux. Pour obtenir ce label, les communes devront candidater en remplissant un questionnaire qui permettra d’évaluer les actions menées en faveur des animaux de compagnie et des équidés sur leur territoire.

V.A.


Deux communes vauclusiennes bénéficient du Fonds vert pour la biodiversité, le tri et les biodéchets

Pour pallier les difficultés d’embauche du côté des entreprises, et de recherche d’emploi du côté des jeunes, la Région Sud met en place le dispositif ‘Adoptez un jeune’.

Ce dispositif, qui permet d’accompagner les entreprises et auto-entrepreneurs de moins de 10 salariés, les associations caritatives sous contrat avec la Région ou encore les ligues et comités régionaux adhérents à des fédérations sportives, se compose de trois aides différentes :

  • les entreprises ou associations qui recrutent des étudiants boursiers peuvent bénéficier d’une aide allant de 600€ pour les contrats inférieurs à 2 mois jusqu’à 1 300€.
  • une aide de 200 € par mois de stage directement attribuée à l’entreprise.
  • 2 000 € d’aide par contrat de 6 mois minimum destinés à des jeune de moins de 30 ans.

« Trouver un stage, avoir un job étudiant pour financer ses études, décrocher son premier emploi, sont des étapes essentielles pour que nos jeunes entrent dans la vie active, explique Renaud Muselier, président de la Région. La Région Sud fait de la bataille pour l’emploi une priorité absolue. » Ainsi, le dispositif ‘Adoptez un jeune’ profite aux jeunes qui peinent à s’inscrire dans le monde professionnel, et incite les entreprises à leur faire confiance pour une insertion professionnelle pérenne.

V.A.


Deux communes vauclusiennes bénéficient du Fonds vert pour la biodiversité, le tri et les biodéchets

L’agence de notation financière américaine Fitch ratings vient de confirmer la notation financière de la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur. Cette dernière a attribué la note de ‘AA-‘ avec une perspective ‘stable’

« Depuis maintenant 2 ans, le cabinet Fitch Ratings maintient la notation AA- attribuée à la Région Sud, se félicite Renaud Muselier, président du Conseil régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur. Cette notation vient conforter la stratégie de gestion financière que nous appliquons depuis 2016 et récompense notre engagement à assainir les finances d’une collectivité qui était, à notre arrivée, l’une des plus endettées de France. »
« La région Provence-Alpes-Côte d’Azur bénéficie de sources de recettes stables avec de solides perspectives de croissance à long terme, constate notamment Fitch Ratings. Les recettes de gestion sont principalement constituées de recettes fiscales prévisibles et dynamiques (80% de ses recettes de gestion en 2020) et de transferts de l’Etat (AA/Négative) avec un faible risque de contrepartie (18%). »

Contrôle strict des dépenses et relance du territoire
« Cette bonne gestion nous permet d’engager toutes nos forces dans la relance de notre territoire, poursuit pour sa part Renaud Muselier. En investissant dans des projets d’avenir, en renforçant nos engagements en matière de transition énergétique, en accompagnant les acteurs économiques et les secteurs qui créeront l’emploi de demain, cette solidité financière nous permet aujourd’hui, d’agir concrètement pour le bien-être des habitants de Provence-Alpes-Côte d’Azur. »
« La région Provence-Alpes-Côte d’Azur exerce un contrôle strict sur ses dépenses, confirme l’agence de notation anglo-saxonne. Sur la période 2015-2020 les dépenses de gestion ont augmenté de 1,4% par an en moyenne malgré les effets de la pandémie en 2020, contre 1,7% pour les recettes de gestion. Les dépenses de la région sont principalement non-cycliques et peu susceptibles de croître en cas de ralentissement économique (investissements prévus de longue date, transports, lycées). En 2020, dans le contexte exceptionnel de la pandémie, la région a choisi d’accroître ses dépenses pour soutenir l’emploi local, le secteur privé et les opérateurs de transport. Cela a toutefois été partiellement compensé par la baisse d’autres dépenses. »

L.G.


Deux communes vauclusiennes bénéficient du Fonds vert pour la biodiversité, le tri et les biodéchets

Sous réserve d’une approbation du texte de loi par le Conseil constitutionnel, la présentation d’un passe sanitaire à jour est sur le point de devenir la norme pour pouvoir accéder à la vie en société qui nous a tant manqué depuis 18 mois.

En conséquence, la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur (Paca) va s’engager aux côtés de tous les professionnels des secteurs touchés par ces restrictions pour leur permettre de se préparer à ces bouleversements, à commencer par nos restaurants, cafés, lieux de culture, espaces de loisirs…
« Parmi les grands enjeux, la question de la vérification du passe sanitaire à l’entrée de ces espaces est extrêmement importante, explique la Région. Pour beaucoup, la mise à disposition de personnels spécifiquement dédiés à cette tâche est impossible, dans un contexte déjà très tendu en termes de main-d’oeuvre. »
Pour palier cette difficulté et éviter les fermetures, la Région offrira dès la rentrée un cofinancement pour toute acquisition d’appareils de vérification du passe sanitaire à l’entrée des établissements.
« Il en va du maintien de notre vie sociale, complète Renaud Muselier, président de la Région et président délégué des régions de France. La quatrième vague est là, le passe sanitaire est là : soit on choisit de tout refermer et de renoncer à la vie, soit on s’adapte et on oublie le stop and go ! Après avoir longuement échangé avec les professionnels de la restauration, de l’hôtellerie et du tourisme, représentés par l’UMIH (Union des métiers et des industries de l’hôtellerie), nous avons considéré que le maintien de l’activité devait être la priorité. Ces appareils de vérification vont y contribuer, et les semaines à venir seront décisives. »
« Beaucoup de restaurateurs veulent déjà acquérir ces machines avant le 9 août, et l’aide de la Région est la bienvenue, se félicite pour sa part Bernard Marty, président de l’UMIH de Provence-Alpes-Côte d’Azur. Nous voulons avant tout pouvoir garder nos établissements ouverts, et toute initiative qui pourra nous y aider est bonne à prendre. Certains de ces appareils sont également capables d’organiser la désinfection des mains, des objets, et la purification de l’air – on va s’organiser et tout faire pour rester ouverts ! »

https://echodumardi.com/tag/region-sud-provence-alpes-cote-dazur/page/2/   1/1