22 juillet 2024 |

Ecrit par le 22 juillet 2024

Les mois de mai et juin accueillent les Journées nationales de l’accès au droit en Vaucluse

La 7e édition des Journées nationales de l’accès au droit en Vaucluse aura lieu sur plusieurs dates comprises entre le mercredi 15 mai et le vendredi 21 juin. Ces journées seront rythmées par des expositions, des pièces de théâtre, des projections, de journées portes ouvertes, ou encore des débats dans divers lieux du département.

Les journées de l’accès au droit en Vaucluse, organisées par le Conseil Départemental d’Accès au Droit du Vaucluse (CDAD 84) seront cette année placée sous le signe de l’ambition. Cet événement se veut un rendez-vous incontournable pour donner vie au dynamisme des point-justice du département.

L’objectif est de faire connaître aux citoyens l’accès au droit et ses acteurs majeurs, tels que les conseils départementaux de l’accès au droit, ainsi que de mettre en lumière le travail quotidien de tous ces intervenants qu’ils soient des associations, des professionnels du droit ou administrations.

Le programme

– Mercredi 15 mai : vernissage de l’exposition ‘Les symboles de la justice revisités par les enfants d’Art et Vie au tribunal judiciaire de Carpentras (25 Place Charles de Gaulle) à 15h.
– Mardi 21 et Jeudi 23 mai : journées portes ouvertes pour huit classes de collégiens du Point-Justice du Pontet (1 Avenue Pasteur) de 9h10 à 11h50 et de 14h10 à 16h45.
– Mercredi 22 mai : journée portes ouvertes de la Maison de Justice et du Droit d’Avignon (1 Avenue Richelieu) avec des permanences d’un avocat généraliste, d’un avocat spécialisé en droit du travail et d’un notaire de 14h à 17h.
– Jeudi 23 mai : 2e édition du Festival du film judiciaire au cinéma Le Luberon à Pertuis (31 Rue Giraud) sur les dangers des réseaux sociaux avec diffusion de 6 court-métrages (Bras droit, Harcèlement scolaire, Stigmates, Harcèlement Intra Extra, Spot Harcèlement Prévention et Pris dans la toile) et une séance publique d’Un Monde de Maura Wandel à 19h (entrée gratuite sur réservation au 04 90 79 50 40).
– Vendredi 24 mai : journée portes ouvertes du Point-Justice de Carpentras (35 Rue du Collège). Un procès fictif sera jouée par une classe de 4e du collège Malraux de Mazan au tribunal judiciaire de Carpentras (25 Place Charles de Gaulle).
– Vendredi 24 mai : journée portes ouvertes du Point-Justice de Cavaillon (445 Avenue Raoul Follereau) de 9h à 12h et de 14h à 16h.
-Vendredi 24 mai : la Maison de Justice et du Droit d’Avignon interviendra auprès d’une classe de 4e du Collège Viala.
– Lundi 27 mai : rencontres des élus et visites des Points-Justice de Sault (186 rue des Péquélets, Quartier Mougne), Bédoin (301 Avenue Barral des Baux) et Malaucène (Mairie, Cours des Isnards)
– Jeudi 6 juin : signature de la convention Point-Justice entre le Conseil départemental d’accès au droit et la commune de Vaison-la-Romaine.
– Mardi 11 juin : conférence-débat sur le thème ‘Déconstruire les violences conjugales pour la conjointe, l’enfant et l’auteur’ de 13h30 à 16h, suivie de la pièce de théâtre Les maux bleus à Vedène.
– Jeudi 13 juin : intervention auprès du jeune public suivie de la projection d’un film à la médiathèque de Malaucène.
– Vendredi 21 juin : pièce de théâtre L’enfant Sauvage à Sorgues.


Les mois de mai et juin accueillent les Journées nationales de l’accès au droit en Vaucluse

La Ville de Sorgues accueille la Fête de la science du mardi 3 au samedi 14 octobre. De nombreuses expositions seront proposées au jeune public, mais aussi des conférences et des projections, le tout sur le thème ‘Biodiversité, mon amour !’.

Ce vendredi 6 octobre, le documentaire Tresses de vie, voyage au cœur des rivières alpines réalisé par Mattia Trabucchi sera projeté à 18h30 à la médiathèque et suivi d’un débat. Ce film dévoile la biodiversité méconnue de ces rivières, mais aussi les dégradations et menaces qu’elle subit au fil du temps, notamment à cause de l’activité humaine. Une projection proposée par France Nature Environnement.

Ce samedi 7 octobre, Les Jeunes Pousses proposeront une conférence sur le thème ‘Agriculture urbaine et stratégies d’adaptation’ à 14h à la médiathèque durant laquelle les jeunes à partir de 12 ans pourront découvrir des projets tels que les fermes urbaines, les pépinières, les champignonnières, la création de jardins, ou encore l’éducation à l’environnement.

Le vendredi 13 octobre, l’association avignonnaise Semailles animera l’atelier ‘Graines de jardinier’ à 18h30 à la médiathèque et dévoilera les secrets des graines issues d’espèces reproductibles.

Le samedi 14 octobre, l’auteur, réalisateur et conseiller scientifique Jean-Baptiste de Panafieu animera la conférence ‘La biodiversité à quoi ça sert ?’ pour les enfants dès 8 ans à 10h au Pôle culturel Camille Claudel pour expliquer à quoi servent les insectes, les vers, les poissons, ou encore les oiseaux.

Les places sont limitées. Inscriptions au 04 90 39 71 33. Pour découvrir tout le programme de la Fête de la science, cliquez ici.

V.A.


Les mois de mai et juin accueillent les Journées nationales de l’accès au droit en Vaucluse

Sur la plateforme de location d’hébergement touristique chez les particuliers Airbnb, le Vaucluse est parmi les départements français les plus sollicités. A l’approche du célèbre Festival d’Avignon, la Cité des papes va attirer de nombreux touristes. Le collectif citoyen Wocon s’est penché sur le sujet et émet une interrogation : comment ces locations affectent-elles les habitants et les quartiers d’Avignon ?

L’une des premières destinations oeunotouristiques sur Airbnb, en 4e position du top 10 des départements affichant les plus hauts revenus pour les hôtes du patrimoine Airbnb… Le Vaucluse dispose d’une belle place sur la plateforme de location d’hébergement touristique chez les particuliers. Et c’est Avignon qui a reçu le plus important montant de taxe de séjour reversé par Airbnb dans le département l’an dernier. Un phénomène grandissant auquel le collectif citoyen vauclusien Wocon s’est intéressé.

Dans sa dernière vidéo intitulée « A Avignon, Airbnb tue les quartiers ! », le collectif dénonce l’envahissement de ce type de locations et interroge sur ses effets sur les Avignonnais. Wocon signale notamment la pénurie de logements au sein de la Cité des papes, surtout l’été en centre-ville. « Doit-on se féliciter qu’Avignon soit la première destination Airbnb de Vaucluse, la sixième au classement régional, et dans le top 20 national ? », questionnent les membres du collectif.

Ce n’est pas la première fois que le collectif s’intéresse à un sujet qui touche de près les Avignonnais. Il avait notamment évoqué la Liaison Est-Ouest (LEO) dans la vidéo ‘La LEO, chronique d’une catastrophe annoncée‘, ou encore l’utilisation du vélo au sein de la Cité des papes dans la vidéo ‘Le vélo à Avignon : place au REV !‘. en ce qui concerne la dernière vidéo du collectif portant sur les locations Airbnb, elle fera l’objet d’une projection-débat ce mercredi 28 juin.

Mercredi 28 juin. 20h. Fenouil à vapeur. 145 Rue Carreterie. Avignon.

V.A.


Les mois de mai et juin accueillent les Journées nationales de l’accès au droit en Vaucluse

Dans le cadre du Printemps des poètes, le cinéma Utopia diffusera lors d’une séance unique le documentaire « Choubaï, parler à nouveau », ce vendredi 17 mars à 17h45. La projection sera suivie d’une session questions-réponses avec le réalisateur du film, Mykhaïlo Kroupievskyï et l’artiste et traductrice, Kseniya Kravtsova.

La poésie a rarement un destin heureux dans les régimes totalitaires… Celle de Choubaï fut interdite avant même qu’elle ne rencontre son public. Réalisé par Mykhaïlo Kroupievskyï, le film documentaire « Choubaï, parler à nouveau » plonge le spectateur dans cette période dramatique. Acteurs, écrivains, peintres, musiciens et poètes, pour ce film le réalisateur réuni celles et ceux qui ont côtoyé Choubaï pour qu’ils le racontent. Entre documentaire, fiction et pièce de théâtre, le film est composé de traces qui ont appartenu à l’artiste (icônes, livres, photos, peintures). L’acteur Serghiï Ghadan incarne à l’écran le poète avec un incontestable magnétisme. Pas-à-pas, le spectateur fait connaissance avec « Grytsko » Choubaï, ses réflexions sur la nature des choses et des êtres qui dépassent largement les frontières de sa culture et de son époque.

Le cinéma Utopia propose de découvrir ce film documentaire projeté pour la première fois en France, vendredi 17 mars à 17h45. En plus de son inscription dans le cadre du Printemps des poètes, cette diffusion s’inscrit dans le long travail effectué par Kseniya Kravtsova pour faire découvrir la poésie de Choubaï aux Français, mais également aux Ukrainiens. En effet, si les enfants de Choubaï, Solomiya et Tars, sont connus du peuple ukrainien, le poète, décédé à l’âge de 33 ans, ne l’est que très peu.

Résumé : « Figure phare de la ‘génération condamnée’ en Ukraine, Ghryghoriï Choubaï est une étoile fugace qui a éclairé l’horizon sombre de son époque. Agé d’à peine 20 ans, Choubaï arrive à Lviv à la fin des années 60. Sa poésie inspire la jeunesse et inquiète les bourgeois de la région. Il est fréquemment invité à lire ses œuvres dans les soirées, puis le couple de poètes-dissidents, Ighor et Iryna Kalynets le prennent sous leur aile. Avec ses amis, il lance alors la première autoédition du magazine littéraire et artistique ‘Skryniya’ (‘coffre’) dans lequel paraît son poème ‘Vértép’. En janvier 1972, le KGB commence une opération spéciale à l’encontre du journal. Choubaï, le couple Kalynets ainsi que d’autres représentants de l’intelligentsia ukrainienne sont arrêtés et condamnés à neuf ans d’emprisonnement. Il sera finalement relâché, mais sa vie se transforme en cauchemar. »

« Choubaï, parler à nouveau » de Mykhaïlo Kroupievskyï, séance unique le vendredi 17 mars à 17h45, à l’Utopia, 4 rue des esc. Sainte-Anne, Avignon. Durée 1h43 – VostFR.


Les mois de mai et juin accueillent les Journées nationales de l’accès au droit en Vaucluse

Pour célébrer le Printemps des poètes, qui aura lieu du 11 au 27 mars, la Factory ouvre ses portes en solidarité aux artistes ukrainiens lors d’une soirée hommage au poète Grégory Chubaï, ce jeudi 16 mars à partir de 19h.

Initialement prévue le 6 janvier, puis reportée par manque de moyens financiers, cette soirée de soutien a pour objectif de faire connaître la culture du pays aux Français et permettre aux Ukrainiens de retrouver un peu de chez eux. Initiée par Kseniya Kravtsova, artiste plasticienne ukrainienne installée en France depuis 20 ans, et Laurent Rochut, directeur de la Factory, cette soirée est également l’occasion de faire en sorte que l’Ukraine ne soit pas réduite à son malheur actuel.

Intitulée « Dire, se taire et dire à nouveau », cette soirée rendra notamment hommage au poète Ukrainien Grégory Chubaï disparu à l’âge de 33 ans. Devenu chef de file de la poésie underground ukrainienne dans les années 70, ses textes seront interdits par les agents du KGB avant même qu’il ne soit connu des milieux littéraires. Pour faire découvrir son œuvre au plus grand nombre, Kseniya Kravtsova assura la lecture des poèmes en français et en ukrainien.

La soirée se poursuivra par un échange avec Svitlana Smirnova et Matthieu David, respectivement réalisatrice et chef-opérateur du documentaire « We are soldiers ». Le film, projeté à la suite de la session d’échange, suit le parcours de trois combattants ukrainiens volontaires, blessés au front lors de la guerre contre la Russie et les séparatistes du Donbass. Représentant trois générations, trois milieux sociaux et trois régions différentes, Dmytro, Anatolii et Oleksii se rétablissent à l’hôpital militaire de Kiev et essaient de penser à l’avenir.  

Le concert reporté au mois de juillet

Cette soirée devait également accueillir Solomiya et Tars Chubaï, les enfants du poète, pour un concert de chants traditionnels ukrainien, mais malgré l’appel aux dons, notamment relayé dans nos pages, la somme nécessaire à leur venus n’a pas pu être récoltée à temps. Cependant, grâce à un important soutien d’Arsud, présidé par Michel Bissière, le concert est reporté au mois de juillet, durant le Festival d’Avignon. Cette nouvelle date permettra une meilleure visibilité des artistes. Contacté par notre rédaction, Kseniya Kravtsova explique que d’autres initiatives devraient se greffer à celle-ci.

Jeudi 16 mars à partir de 19h au Théâtre de l’Oulle, 19 place Crillon, Avignon.
Billetterie solidaire en cliquant ici.


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Ce vendredi 27 janvier, le Parc naturel régional du Luberon et le collectif ‘Transition en Pays d’Apt‘ organisent une projection-débat du film ‘La Fabrique des pandémies‘ au cinéma Le César à Apt. Réalisé par Marie-Monique Robin, ce documentaire questionne les liens entre la santé humaine, la santé animale et la santé des écosystèmes.

Le film, qui sera projeté à 18h30, sera suivi d’un débat à 20h30 avec le docteur Pierre Souvet, président de l’association ‘Santé environnement France‘, Denis Lairon, chercheur spécialisé en alimentation méditérranéenne, ainsi que Samantha Chauvin, éleveuse de volailles et administratrice du collectif ‘Sauve qui poule‘. La discussion se poursuivra ensuite à la Micro-Folie d’Apt.

Vendredi 27 janvier. 18h30. 6€. Cinéma Le César. Rue Scudéry. Apt

V.A.


Les mois de mai et juin accueillent les Journées nationales de l’accès au droit en Vaucluse

Lifesize Plans, c’est un showroom qui projette au sol les plans de vos projets en taille réelle pour vous permettre de vous projeter et d’apporter des modifications avant construction. Arrivée tout droit de l’Australie, l’entreprise ouvre sa première franchise dans le monde à Avignon. Un projet porté par Florian Di Vito, accompagné de sa famille.

Pas de mur, de plafond ni de sol. Pourtant, c’est bien dans une maison que l’on a l’impression d’entrer grâce au plan projeté au sol. Un plan en taille 1, c’est-à-dire en taille réelle. C’est la prestation que propose Lifesize Plans, implanté à Avignon depuis quelques jours seulement.

Le principe est de projeter des médias, cela peut être une image, une vidéo, de la musique ou autre, sur trois écrans géants. Celui situé au sol fait 450m² et est géré par 12 vidéoprojecteurs, il permet la projection d’un plan d’architecte en taille réelle. Sur un pan de mur, un écran de 6x4m, et sur un autre, un écran incurvé de 13x5m, qui permettent de projeter le rendu du plan en 3D.

©Vanessa Arnal

De Sydney à Avignon

Née à Sydney en Australie en 2018, la startup Lifesize Plans a décidé de s’exporter dans le monde et d’ouvrir plusieurs franchises. La première se situe à Avignon. D’autres devraient voir le jour au cours de l’année 2023. Le projet avignonnais, c’est Florian Di Vito qui en est à l’origine. Cet Avignonnais de naissance, qui a été restaurateur pendant plusieurs années, a décidé de tout quitter pour lancer Lifesize Plans Avignon.

« L’idée est née pendant le confinement. »

Florian Di Vito

Un soir, durant le premier confinement en 2020, Florian se poste devant l’équivalent australien de l’émission ‘Qui veut être mon associé ?’. Nommée ‘Shark Tank’, cette émission télévisée suit des entrepreneurs qui tentent d’obtenir des fonds pour leurs produits ou leurs sociétés auprès d’investisseurs. C’est en visionnant cette émission que Florian Di Vito découvre Lifesize Plans. De là naît l’idée de créer une franchise en France, et plus particulièrement à Avignon.

Un projet familial

Pendant deux ans, le Vauclusien organise des réunions hebdomadaires avec les directeurs australiens qui, au départ, sont frileux quant à la localisation que propose Florian. « Avignon est un carrefour, il y a énormément de passages, explique-t-il. Il y a un gros potentiel qui est difficile à percevoir pour les étrangers qui préfèrent généralement s’exporter dans de plus grandes villes comme Paris ou Marseille. » Après plusieurs mois de persuasion, les Australiens sont convaincus, Florian se lance, accompagné de sa famille.

« Avignon est une ville qui rayonne bien au-delà de ses frontières et qui présente énormément de potentiel. »

Florian Di Vito

« J’ai vendu mon restaurant, j’ai tout plaqué pour ouvrir Lifesize Plans Avignon avec mes parents et ma compagne », ajoute l’Avignonnais. Au moment où le projet germe dans la tête de Florian, ses parents sont à la retraite. Son père ayant travaillé dans le bâtiment pour le passé, il était évident pour lui de l’incrure dans ce projet. « On s’est dit qu’on allait essayer de l’implanter en France et nous voilà deux ans plus tard », conclut-il.

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Se projeter grâce à une projection, et plus

« On accueille les professionnels qui utilisent des plans d’architecte et on vend des créneaux horaires d’utilisation du showroom », explique Florian Di Vito. Ainsi, une fois la prise de rendez-vous faite, les clients se rendent au showroom à Avignon accompagnés de leur architecte ou de leur constructeur. Ainsi, ils peuvent se projeter dans leur futur bien, que ce soit une maison, un appartement, ou un commerce, et ils peuvent modifier les plans en direct. « Il est très difficile de se projeter dans l’espace et les volumes quand on voit son plan au format A3 », développe le directeur de la franchise avignonnaise.

« Lifesize Plans n’est pas là pour remplacer les professionnels qui proposent des plans, mais pour les compléter. »

Florian Di Vito

Il est possible de projeter tout ce qui relève de la construction et de l’aménagement : du studio à la villa, en passant par le salon professionnel, l’agencement de bureaux ou d’un commerce, tout ce qui est du domaine public tel que les hôpitaux, les crèches, les aéroports. Les possibilités sont bien nombreuses. Pour pousser encore plus loin l’idée de se projeter, LifeSize Plans Avignon met à disposition du mobilier sur roulette (lit, commode, table, etc) pour pouvoir faire l’agencement à l’intérieur et permettre de voir tous les défauts et les corriger en amont de la construction. C’est notamment très pratique pour les petits espaces où une porte qui s’ouvre vers l’extérieur au lieu de l’intérieur peut s’avérer gênante, pour savoir où placer le mobilier pour ranger ses vêtements, et bien d’autres inconvénients qu’on ne perçoit pas forcément sur un simple plan.

En plus du mobilier réel, l’entreprise propose deux options plus poussées : Lifezise Reality et Lifesize Design. La première permet de visualiser le plan de son futur bien avec du mobilier en hologramme grâce à la réalité virtuelle. La seconde, elle, va encore plus loin, et permet de voir le futur bien avec ses cloisons en 3D en noir et blanc. Il est possible également d’effectuer une consultation avec un /architecte d’intérieur qui va faire tout ce que le client souhaite sur le rendu 3D comme les couleurs, les textures, et bien plus, et ainsi, se projet à 100%.

« La construction d’une maison ou d’un commerce, c’est la chose dans laquelle chacun va investir le plus d’argent au cours de sa vie. »

Florian Di Vito

Investir en amont pour éviter les pertes d’argent inutiles en aval

LifeSize Plans Avignon travaille uniquement sur rendez-vous. Florian Di Vito établie un devis en fonction des plans qu’il reçoit en amont. Le prix, quant à lui, est facturé selon la taille du plan mais aussi le temps passé dans le showroom. Le prix de départ est de 700€/h.

Si cela semble être un gros coût, les prestations de Lifesize Plans sont en réalité un investissement qui, in fine, évite la perte d’argent inutile. « Ca va éviter qu’après construction, on doive casser un mur qui nous gêne, sans parler de la plomberie et de l’électricité qui peuvent passer dans ce mur, qui vont devoir être relocalisées et qui, par conséquence, vont engendrer davantage de frais », développe Florian Di Vito.

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Une franchise, trois régions, une infinité de projets

« Lorsqu’on achète une franchise, on achète un territoire », explique l’Avignonnais. Ainsi, Lifesize Plans Avignon couvre trois régions : Provence-Alpes-Côte d’Azur, Occitanie et Auvergne-Rhône-Alpes. Cela signifie qu’il ne peut pas y avoir de franchises Lifesize Plans concurrentielles sur ce territoire.

Ainsi, Lifesize Plans Avignon compte bien se développer un maximum pour attirer tous les professionnels du Sud-Est, et plus encore. Florian Di Vito envisage d’ajouter une partie événementielle au projet plus tard, avec des lancements de produits, des anniversaires, des défilés de mode, et bien d’autres choses. « Il faut penser à cet endroit comme un tableau blanc », conclut-il.

Voir la présentation complète ci-dessous (© Sophie Duffaut)




Les mois de mai et juin accueillent les Journées nationales de l’accès au droit en Vaucluse

A l’occasion de la 16e édition du festival « Alimenterre », le film documentaire « une terre sans abeille » sera diffusé vendredi 21 octobre, à 20h, à la salle du Vieil hôpital à Velleron. La projection sera suivie d’un débat en présence d’apiculteurs.

La 16e édition du festival « Alimenterre » a commencé le samedi 15 octobre, veille de la journée mondiale de l’alimentation, et prendra fin le mercredi 30 novembre. A cette occasion, des milliers d’évènements sont proposés partout en France et en Europe. L’objectif : sensibiliser l’opinion publique et les responsables politiques aux causes de la faim et aux moyens de la combattre.

Dans ce cadre, les magasins Biocoop du Vaucluse, partenaire du festival depuis 2013, organisent plusieurs projections-débats autour d’une sélection de films documentaires, dont « une terre sans abeille ». D’une durée de 55 minutes, ce film, sorti en 2021, retrace les solutions envisagées à travers l’Europe, l’Amérique et l’Asie pour répondre à la problématique de disparition des abeilles.

Cette projection gratuite, qui aura lieu vendredi 21 octobre à 20h à la salle du Vieil hôpital à Velleron, est organisée par le magasin Biocoop Le Thor et l’association D3P84, défense et promotion du patrimoine paysan. En novembre, ce sera le film documentaire « Tapis Vert, l’homme qui arrêta le désert » qui sera diffusé, lors de la fête de la biodiversité.

Programme
« Une terre sans abeille », d’Elsa Putelat et Nicolas Dupuis, sortie en 2021 – durée : 55 minutes.
Vendredi 21 octobre à 20h à la salle du Vieil hôpital à Velleron (gratuit). La projection sera suivie d’un débat avec des apiculteurs.

« Tapis Vert, l’homme qui arrêta le désert », de Claver Yameogo, sortie en 2021 – durée 9 minutes.
Samedi 19 et dimanche 20 novembre à la salle des fêtes du Thor (gratuit). Des séances de sensibilisation pour les enfants seront organisées.

Festival « Alimenterre »
Alors que de plus en plus de citoyens prennent conscience des dérives du système alimentaire mondialisé, le festival « Alimenterre » part à la rencontre de celles et ceux qui s’engagent pour une alimentation durable et solidaire, ici et dans le monde : citoyens, élus, agriculteurs, entrepreneurs, militants associatifs, enseignants, etc.

La 16e édition du festival « Alimenterre » a commencé le samedi 15 octobre et prendra fin le mercredi 30 novembre. © DR

J.R.


Les mois de mai et juin accueillent les Journées nationales de l’accès au droit en Vaucluse

Après l’élection présidentielle et la réélection d’Emmanuel Macron, les Français sont de nouveau appelés aux urnes les 12 et 19 juin prochains pour élire les 577 députés qui siégeront à l’Assemblée nationale et voteront les lois du pays.

Le baromètre OpinionWay-Kéa Partners pour « Les Echos » et Radio classique donne une première projection de ce que pourrait être le futur visage du Palais Bourbon. D’après ce sondage réalisé du 5 au 9 mai auprès de plus de 3 000 électeurs, la majorité présidentielle pourrait être aussi imposante que lors de la précédente législature, avec entre 310 et 350 sièges. Lors de son premier mandat en 2017, le parti du président (à l’époque La République en marche) avait remporté la majorité parlementaire avec 306 sièges obtenus.

Le principal changement s’observe à gauche de l’échiquier politique. Regroupés au sein de la Nouvelle Union Populaire Écologique et Sociale (NUPES), les socialistes, écologistes, communistes et Insoumis pourraient obtenir entre 135 et 165 sièges, contre seulement une soixantaine aujourd’hui. Ce bloc deviendrait alors le premier groupe d’opposition devant Les Républicains, l’UDI et Les Centristes, qui pourraient perdre quant à eux près de la moitié de leurs sièges (entre 50 et 70 sièges, contre un peu plus de cent actuellement). Enfin, le Rassemblement National pourrait obtenir entre 20 et 40 sièges et ainsi constituer un groupe parlementaire.

Un état des lieux de la composition de l’Assemblée nationale en 2020 permet de voir comment les forces politiques ont évolué depuis le précédent mandat.

De Tristan Gaudiaut pour Statista

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