22 juillet 2024 |

Ecrit par le 22 juillet 2024

25 ans, le bel âge pour ‘Musique Baroque en Avignon’ en 2025

C’est l’Avignonnais Jean-Claude Malgoire (1940-2018), hautboïste et créateur dans les années 60 de ‘La Grande Écurie et La Chambre du Roy’, un ensemble de musiciens spécialisé dans le répertoire baroque, qui a eu l’idée de ce festival né en 2000. Lui qui enregistré nombre de partitions de Charpentier, Lully, Campra, Glück, Haendel, Rameau, Vivaldi et Monteverdi.  Et c’est Raymond Duffaut, l’inoxydable organisateur de concerts (ancien directeur artistique de l’Opéra d’Avignon, de l’Auditorium Jean-Moulin au Thor, mais aussi ex-directeur général des Chorégies d’Orange) qui a conçu la programmation de la saison 2024-2025.

Pour ces 25 ans de ‘Musique Baroque en Avignon‘, sous la présidence de Robert Dewulf, sept concerts sont prévus entre le 20 octobre 2024 et le 20 juin 2025. À commencer par ‘La Giuditta’, un oratorio d’Alessandro Scarlatti écrit en 1690 et basé sur un personnage biblique. Dirigé par un jeune chef, Giulio Prandi, il sera donné à l’Opéra Grand Avignon le 20 octobre à 16h, dans le cadre de la Semaine italienne.

2ᵉ rendez-vous le 24 novembre à 17h, Salle des Préludes, toujours à l’Opéra, un face-à-face Farinelli-Haendel avec le contre-ténor Leopold Gillots-Laforge et le pianiste Paul Montag. Le 15 décembre, le Théâtre du Chêne Noir accueillera à 17h la talentueuse Salomé Gasselin. Professeure au Conservatoire Pierre-Barbizet de Marseille, « Révélation soliste instrumentale de l’année » aux Victoires de la Musique 2024. Après Jordi Savall, elle est la nouvelle star de la viole de gambe et interprètera des œuvres de Marin Marais, Forqueray et Bäch.

Début 2025, le 26 janvier à 16h à l’Opéra, place à l’ensemble ‘Les Accents’ dirigé par Thibault Noally avec un duo sopraniste-contre-ténor, Bruno de Sa et Paul Figuier, qui interpréteront deux ‘Stabat Mater’, celui de Vivaldi et celui de Pergolese. Le 16 mars, le claveciniste Skip Sempé jouera des danses, variations et fantaisies de Gibbons, Byrd et Tomkins à 17h au Théâtre du Chien qui Fume.

Place aux grands airs de Mozart, le 26 avril au Conservatoire du Grand Avignon à 17h avec la soprano de 22 ans, Lauranne Oliva, avec le pianiste américain Levi Gerke, pour tous les grands airs des Noces de Figaro, ‘La flûte enchantée’ ou ‘La Clémence de Titus’. Enfin, pour clore cette saison, l’Orchestre National Avignon-Provence, dirigé par Debora Waldman, accompagnera la trompettiste Lucienne Renaudin-Vary, la « Fée trompette », dans la lignée du gardois Maurice André. Élue « Révélation » aux Victoires de la Musique 2016, elle interprètera notamment le ‘Concerto en ré majeur, BWV 972’ de Bäch et celui en mi-bémol majeur de Neruda à L’Autre Scène de Vedène à 20h.


25 ans, le bel âge pour ‘Musique Baroque en Avignon’ en 2025

L’écomusée Ôkhra, ancienne usine d’ocre, situé à Roussillon, fête cette année ses 30 ans. Un anniversaire qui sera célébré du vendredi 21 au dimanche 23 juin, à l’occasion des Journées du Patrimoine de Pays et des Moulins (JPPM). Au programme : des expositions, des randonnées à vélo, et de nombreux ateliers.

L’usine d’ocre Camille Mathieu, située à Roussillon, a été laissée à l’abandon dans les années 1950. Le Pays d’Apt ayant une forte histoire avec l’industrie de l’ocre, il n’était pas question de détruire ce bijou historique et culturelle. Ainsi, après de nombreuses années de réflexions sur l’avenir de ce bâtiment, en 1994 est née l’association Ôkhra, qui est par la suite devenue une société coopérative d’intérêt collectif (SCIC) et qui avait pour objectif la rédaction du projet, sa vocation et son lien entre économie et culture.

L’usine Camille Mathieu est donc devenue le Conservatoire des ocres et de la couleur. « Quand on est arrivé à 30 ans, il n’y avait pas vraiment de structuration autour l’ocre naturelle », explique Mathieu Barrois, directeur général d’Ôkhra. Ce n’est qu’en 2020 que le lieu est devenu l’écomusée de l’ocre qu’on connait aujourd’hui, un lieu d’histoire et de découvertes, qui est aujourd’hui complémentaire des Mines de Bruoux à Gargas, du sentier des ocres à Roussillon, et du Colorado provençal à Rustrel.

©Ôkhra

Un écomusée qui traite des sujets contemporains

Aujourd’hui, si l’écomusée reste centré sur l’ocre et son histoire, il aborde également des sujets plus contemporains tels que le réchauffement climatique, ses conséquences sur la faune, la flore, et les écosystèmes, et bien d’autres. « Ce qui nous anime, c’est de voir comment à partir d’un petit sujet qu’est l’ocre, on peut ouvrir largement à d’autres thématiques qui sont davantage contemporaines », ajoute Mathieu.

Ainsi, pour ses 30 ans, Ôkhra a décidé de s’intéresser plutôt à l’eau. La SCIC célèbrera cet anniversaire sur trois jours lors des Journées du Patrimoine de Pays et des Moulins qui auront lieu du 21 au 23 juin et qui seront sur le thème ‘L’eau, utile à tous’. « Quand on pense moulins, on pense soit aux moulins à vent, soit aux moulins à eau, mais nous, on a des moulins à couleur, on a quatre moulins à ocre, ce pourquoi il était intéressant d’organiser l’anniversaire pendant les JPPM », développe Mathieu Barrois.

Le programme pour les 30 ans

Durant les trois jours, de 10h à 13h et de 14h à 18h, le public pourra profiter de deux expositions du Parc naturel régional du Luberon sur le thème de l’eau : l’enquête photographique ‘Regards et Paroles sur le Calavon-Coulon’ et le stand interactif ‘Économisons l’eau, chaque goutte compte’. Une troisième exposition photographique, ‘Couleur-lumière-chaleur’, sera présentée par le Club Photo de Saignon.

Le samedi 22 juin, une randonnée à vélo VTC ‘De l’eau en vélo de Roussillon à Gargas’ sera organisée de 9h30 à 12h. Pour 5€, les participants pourront partir, avec la guide Corinne Mangeot, à la recherche des norias, qui permettaient d’alimenter en eau les lavages d’ocres.

Les samedi 22 et dimanche 23 juin, de nombreux ateliers seront proposés au public pour 5€ chacun. Une visite guidée ‘L’eau à l’usine Mathieu’ aura lieu à 11h, 14h30 et 16h, pour apprendre les usages de l’eau dans l’ancienne usine. De 10h30 à 12h30, le public pourra laver les sables ocreux et fabriquer de l’ocre, puis broyer dans le moulin à couleur afin d’en fabriquer un échantillon. De 14h30 à 16h, Ôkhra proposera l’atelier ‘De l’eau à la peinture et pourquoi la peinture à l’eau, ça n’existe pas ?’ avec fabrication d’aquarelle, broyage de pigments à l’eau et réalisation de peinture avec la plasticienne Muriel Harlaut. De 16h15 à 17h45, l’atelier ‘De l’eau à l’encre’ permettra la fabrication d’encre végétale à partir de noix de galle, bois de campêche, gaude, etc.

Le dimanche 23 juin, un grand pique-nique ‘De l’eau à la bouche’ sera organisé à partir de 13h. L’occasion idéale de déguster des produits du terroir, d’échanger de recettes et des souvenirs culinaires.

Informations et réservation au 04 90 05 66 69 ou par mail à l’adresse info@okhra.com
Du vendredi 21 au dimanche 23 juin. Écomusée de l’ocre. 570 Route d’Apt. Roussillon.


25 ans, le bel âge pour ‘Musique Baroque en Avignon’ en 2025

Les lettres en blanc de l’affiche des ‘Nuits de Juin‘ brillent comme une lumière libératrice en cette fin de printemps maussade. Du mardi 4 au dimanche 9 juin, la Chartreuse de Villeneuve-lès-Avignon nous convie à une semaine festivalière champêtre, un moment de partage et de créations.

Les Nuits de juin, un festival décadré et festif

« Les Nuits de juin, c’est une manière de profiter de la Chartreuse en nocturne. Celle-ci n’est jamais assez connue ou visitée. Ce festival prend ses habitudes depuis 2 ans et permet toujours de la redécouvrir, de jour comme de nuit. Pour cela, une programmation de qualité qui s’adresse au plus grand nombre, des partenariats et une mise en valeur des pratiques amateurs. » La directrice de la Chartreuse de Villeneuve-lès-Avignon, Marianne Clevy, a annoncé d’emblée la couleur de cette fin de printemps avec la même passion qui la caractérise. Il y aura des incontournables comme le pique-nique littéraire, le Labo des autrices ou la visite de la Chartreuse aux lampions, des nouveautés avec un spectacle en partenariat avec le Printemps de Comédiens en ouverture ou une soirée-lecture Pyjama avec l’autrice Nathalie Papin au Pôle Culturel de Sauveterre. 

Déplier les possibles et faire ensemble

Cette semaine festivalière s’enrichit de nouvelles collaborations, de nouvelles conversations artistiques avec le Printemps des Comédiens de Montpellier, le Pôle culturel Jean-Ferrat de Sauveterre et l’École supérieure d’Art d’Avignon. Marianne Clevy aime à le rappeler : « La Chartreuse n’est pas seulement un lieu de diffusion, c’est un lieu où les partenariats et les spectacles se cuisinent. » Régularité en général, gratuité souvent, la Chartreuse, centre culturel de rencontres, c’est toute l’année au fil des saisons. « Il faudrait pouvoir dire ce qui se passe à la Chartreuse même si on n’y a jamais mis les pieds ! »

Le Printemps des Comédiens ouvre la première soirée des Nuits de Juin

Le directeur Jean Varela, du Printemps de Comédiens de Montpellier, était présent pour nous présenter le fruit de ce premier partenariat entre Le Printemps et la Chartreuse. Né en 1987 dans la mouvance de la décentralisation déployant l’autonomie des collectivités, le Printemps des Comédiens s’est progressivement érigé en festival incontournable de la création théâtrale internationale en France. Après Fuck me et Love me, le Printemps des Comédiens a choisi de présenter la dernière création de cette trilogie de Marina Otéro au Tinel de la Chartreuse en première mondiale. Fidèle de cette grande artiste argentine, Jean Varela a souligné la générosité et authenticité de Marina Otéro dans une mise à nu radicale. Au plateau, celle-ci convoque dans un spectacle très chorégraphique quatre performeuses(Ana Cotoré, Josefina Gorostiza, Natalia López Godoy et Myriam Henne-Adda)…et Nijinsky !

Un choc artistique avec l’artiste Marina Otéro pour Kill Me en création mondiale

Vous travaillez précisément ici autour de la folie amoureuse et du trouble mental, d’où vous est venue cette idée ? En effet, les thèmes sont la santé mentale et la relation à l’amour. Si j’ai choisi de travailler cette question, c’est parce que je n’avais pas d’alternative, étant donné que j’ai traversé une crise personnelle qui m’a conduite à un diagnostic psychiatrique. Après cela, j’ai commencé à voir que de nombreuses personnes vivaient des situations similaires et étaient contraintes par certains tabous. Il m’a semblé que je n’avais pas d’autre choix que de m’exposer pour pouvoir en parler sans crainte… Ma principale source d’inspiration est la vie et les gens que je rencontre. Ce travail particulier est également fortement inspiré par la pratique et l’environnement de la boxe, après m’être entraînée dans un club de mon quartier. Ensuite, il y a ce que je lis, ce que je vois, du point de vue de la « consommation » au niveau culturel. Il y a une citation (je pense assez évidente) des films de Jean-Luc Godard en ce qui concerne les femmes et les armes. Il y a aussi une coïncidence avec la dernière pièce d’Angelica Liddell, Voodoo.
Propos recueillis par Mélanie Drouère pour le Printemps des Comédiens et La Chartreuse, centre national des écritures du spectacle, mai 2024. 

L’Europe à la table

Élections européennes obligent, l’Europe s’invite à la table de ce banquet littéraire qui connaît toujours un franc succès et qui est un des temps forts de ces Nuits de Juin. Ce moment culinaire et théâtral aura lieu dès 20h dans le grand Cloître avec l’intervention du groupe d’acteurs-lecteurs de la Chartreuse. Venez avec vos meilleurs plats et boissons et surtout ne pas oublier de réserver. Des auteurs européens pour goûter des textes (traduits) suédois, espagnols, belge etc. Il nous en vient déjà les mots à la bouche !

Est-ce pour moi ? Oui ! Un programme très varié pour petits et grands

Mardi 4 juin
19h. Inauguration exposition autoportrait de Vera Martynov. En partenariat avec l’Ecole Supérieure d’Art d’Avignon. 
20h30. Kill me. À partir de 16ans. 9 à 30€. 04 67 63 66 67. printempsdescomediens.com

Mercredi 5 juin
20h30.  Kill me. À partir de 16ans. 9 à 30€. 04 67 63 66 67. printempsdescomediens.com

Jeudi 6 juin
18h30. Stage photo / écriture (jusqu’à dimanche)
18h30. Ballade haïkus avec l’École de Musique de Villeneuve et les comédiens de l’Atelier Les Rocailles.
19h. Labo des autrices autour de Valentine Sergo et Gaëlle Axelbrun.
19h. Atelier nyctalope écrire en résonance
20h. Ballade haïkus
21h30. Visite aux lampions

Vendredi 7 juin
15h. Performance déambulatoire, l’amour, le point de vue par les élèves théâtre du lycée Jean Vilar.
19h. Lecture-pyjama Le Gardien des Ombres. Entrée Libre. Sauveterre. Pôle Culturel Jean Ferrat. 04 66 33 20 12.
20h. Work in progress portraits crachés. Avec le rappeur Marc Nammour.10€. Sauveterre. Pôle Culturel Jean Ferrat. 04 66 33 20 12.

Samedi 8 juin
10h. Stage rapper les classiques
11h. Atelier à voix haute
15h. Animation à lire dans l’herbe
17h. Lecture et rencontre dis-moi dix mots sur le podium autour de « Olympique » avec Maud Gallet Lalande
17h30. Ballade haïkus
18h. Lectures jeune public la belle histoire de l’Ecole des loisirs
20h. Pique-nique littéraire
22h. Visite aux lampions

Dimanche 9 juin
10h. Visite dessinée sous le pinceau de l’aquarelliste Mathilde Guillot.
10h et 11h30. Atelier vannerie

Du 4 au 9 juin. Monument en entrée libre le week-end du 8 et 9 juin. La Chartreuse. 58 rue de la République. Villeneuve-les-Avignon. 04 90 15 24 24.


25 ans, le bel âge pour ‘Musique Baroque en Avignon’ en 2025

« Vivez l’œnotourisme autrement ! » avec l’AOC Ventoux. L’appellation s’est enrichie de 2 communes supplémentaires qui s’ajoutent aux 51 précédentes : Velleron et l’Isle-sur-la-Sorgue. Et c’est justement là où est né René Char qu’a été présenté le programme de l’été 2024.

De la randonnée en trottinette électrique à la soirée brasero, en passant par l’expérience bivouac, le pique-nique vigneron, l’apéro étoilé, la soirée vino-salsa, la table des cheffes, l’assiette truffée d’été, la guinguette d’août et le ban des vendanges, vous avez le choix avec l’AOC Ventoux, notamment du fameux Grand rendez-vous du 29 juin à l’Hôtel-Dieu Carpentras.

Samuel Montgermont, à la tête du Syndicat Professionnel des Négociants de la Vallée du Rhône précise : « La raison d’être de l’AOC Ventoux, c’est de développer un juste équilibre entre l’Homme et la nature, protéger le vivant, réduire l’impact sur l’environnement, s’adapter au changement climatique et cultiver la vie locale. Nous avons reçu le label ‘Vignobles et Découverte’  pour trois ans, ce qui est un signe de reconnaissance pour notre patrimoine naturel, notre gastronomie et nos paysages et nous devons additionner tous ces atouts pour être encore plus attractifs au niveau bien-être, santé, culture, cuisine, sport et œnotourisme. » Environ 95 professionnels adhèrent à ce label, 39 caves, 20 restaurateurs, 18 hébergements de qualité ainsi que des clubs sportifs.

L’œnotourisme, un élément clé de l’attractivité du Vaucluse

Eric Bruxelle, président d’Isle sur la Sorgue Tourisme, l’office du tourisme inter-communal du Pays des Sorgues-Monts de Vaucluse, ajoute : « 10 millions de touristes viennent en France chaque année, attirés par la découverte des vins et des vignobles, ce qui représente 5,2 milliards d’euros de retombées économiques, selon Atouts France. L’œnotourisme, c’est un potentiel de 50 millions de visiteurs et l’an dernier, la moitié environ (48%) ont découvert les régions vitivinicoles en couples, ce qui en dit long sur l’attrait romantique de ces escapades dans les vignes. Les voyages entre amis (25%) et en famille (24%) sont, eux aussi, importants. Quant aux aventuriers en solo, ils sont plus rares, mais témoignent de la diversité des expériences possibles. »

L’élu de la mairie de l’Isle-sur-la-Sorgue ajoute : « En Vaucluse, nous comptons 2732 exploitations viticoles qui génèrent 5 700 emplois à plein temps, c’est dire si l’offre est riche. Et nous devons avoir une stratégie de meilleure répartition sur l’année. Heureusement, depuis 2021, nous sommes passés à 47% de nuitées l’été et 53% pour les trois autres saisons, c’est dire le fort potentiel de l’œnotourisme dans notre secteur. D’ailleurs, depuis le 1ᵉʳ janvier, la fréquentation touristique a grimpé de +25% à l’Isle-sur-la-Sorgue. »

Frédéric Chaudière, le président de l’AOC Ventoux, carte à la main précise : « Notre appellation s’étire sur le piémont du Ventoux, souvent en altitude, jusqu’à Loriol-du-Comtat à l’Ouest, Viens à l’Est, Entrechaux au Nord et Goult au Sud. C’est un terroir à forte identité de gastronomie, de terroir et de festivités. »

Carte de l’AOC Ventoux.

Une centaine de rendez-vous entre mai et octobre

Effectivement, pas moins d’une centaine de rendez-vous sont au programme jusqu’en octobre sur ce territoire, pour les touristes comme pour les Vauclusiens. La période de mai à octobre est particulièrement propice à ces évènements festifs, en synergie avec les restaurateurs et hôteliers, qu’il s’agisse d’ateliers d’assemblages de cépages, de soirées gastronomiques, de concerts à la nuit tombée, de balades dans les vignes à cheval, vélo ou trottinette.

« La raison d’être du Ventoux, c’est d’être un pionnier du développement durable, de s’impliquer dans la vie locale et de contribuer à l’attractivité de ces paysages façonnés par l’homme. »

Parmi les temps forts, Grand rendez-vous des AOC du Ventoux le 29 juin à Carpentras (Hôtel-Dieu) en partenariat avec le Kolorz Festival et en présence de la star du disco des années 80, le batteur Marc Cerrone. Et pour clore cette saison 2024, le ‘Fascinant week-end’ est prévu du 17 au 20 octobre avec le fameux ‘Banquet des Géants’ où s’attableront plus de 200 convives.

Contact : promotion@aoc-ventoux.com / 04 90 63 36 50


25 ans, le bel âge pour ‘Musique Baroque en Avignon’ en 2025

Les Musicales du Luberon, c’est toute l’année !

Concert de Noël, musicales du samedi (musique et conférence), festival d’été dans des lieux prestigieux, festival d’automne, concertini (salons de musique dédiés à des artistes régionaux ou jeunes lauréats de concours) : depuis 35 ans que l’association Les Musicales du Luberon a été créée à Oppède, l’objectif ne varie pas, faire connaître et défendre la musique classique et lyrique par des concerts et activités en favorisant son ouverture au plus grand nombre. 

Pourquoi on continue ? Qu’est-ce qui nous motive ? Se demande le président fondateur des Musicales du Luberon, Patrick Canac, lui qui y était dès le début de leur création

Pour y répondre, Patrick Canac ne se prive pas de faire référence à Beethoven, largement présent dans la programmation de cet été : « La passion bien sûr, mais la musique touche aussi quelque chose dans notre cerveau, nos émotions, d’où le titre de notre festival d’été : Les Sources de l’émotion. On peut faire référence à Beethoven, lui qui avait une vision prométhéenne de la musique. Quand il a été atteint de surdité, il n’entendait plus la musique, mais la musique pénétrait son cerveau d’où une relation spirituelle avec les sons qui lui a fait comprendre que la musique avait la particularité de toucher quelque chose dans le cerveau humain, qu’elle avait un impact, une influence sur les individus. Alors comme nous l’ordonne Beethoven, nous allons chercher dans le cerveau ce qui va permettre d’avoir une vision optimiste du monde. Dans le programme que nous avons concocté, nous allons chercher les Sources de l’Émotion. »

À la recherche des Sources de l’Émotion d’Apt à Lacoste en passant par Gargas, Bonnieux, Ménerbes et Les Taillades

Le 19 mai, les sonates pour violon et piano de Beethoven prolongent la saison 2024 dans l’intimité de l’église de Bonnieux pour un corps à corps piano-violon. Un concept prometteur qui confrontera la jeune violoniste Fanny Clamagirand au pianiste franco-russe Roustem Saïtkoulov. « Carmen intime » — qui ouvre le festival d’été le 5 juillet — est un partenariat avec l’Opéra Grand Avignon qui se déplacera pour un soir au Château de Mille à Apt dans une petite forme lyrique (4 chanteurs et un violoncelle). Une audace voulue par son metteur en scène Frédéric Roels pour retrouver la quintessence de l’œuvre et une proximité avec le public. Un « Beethoven flamboyant » est proposé le 12 juillet avec l’ensemble suisse Microcosme dirigé par le pianiste François-Frédéric Guy (que l’on retrouvera cet été au Festival de la Roque d’Anthéron) dans la Maison Basse de Lacoste spécialement aménagée en auditorium de plein air. « Mozart 1791 » sera assurément le moment fort de ce festival d’été, pour preuve sa retransmission par France Télévision le 23 juillet. Le clarinettiste Pierre Génisson a eu l’idée de rassembler en miroir des œuvres de Mozart, notamment le fameux concerto pour clarinette K.622 avec le Così Fan Tutte ou l’ouverture Don Giovanni. La mezzo-soprano Karine Deshayes interprétera entre autres La Clémence de Titus et la cheffe Debora Waldman dirigera l’Orchestre National Avignon Provence. 

Avec une échappée à Bédoin dans le Ventoux

En effet, le concert « Schubert dans le vent » sera présenté au Domaine de la Citadelle à Ménerbes le 17 juillet et la veille, donné à l’église Saint-Pierre de Bédoin. Deux soirées festives en perspective avec l’ensemble Sarbacanes qui nous fera découvrir les sonorités joyeuses et raffinées d’un Schubert amusant, inédit et chaleureux. L’occasion de découvrir l’ambiance des « Winstubs » viennois. 

Le 9 mai, récital du guitariste Thibault Cauvin 

Nominé aux Victoires de la Musique 2024, le guitariste Thibault Cauvin est une véritable star planétaire de la guitare classique au jeu fascinant. Lors de ce récital, « le petit prince » de la musique classique va nous entraîner dans un voyage musical où classique et contemporain se côtoient au-delà de l’espace temps. 

Au programme 

Piazzolla. Milonga des Angel
Jobim. Felicidade
Grapelli. Les valseuses 5
Cauvin ii. Jeux interdits 5
Bach / Cauvin. Trois préludes autrement 4
Duplessy (ulan). Oulan bator 1
Vachez (raga du soir). Calcutta 3
Domeniconi (Koyunbaba). Istanbul 2

Les élèves guitaristes de l’orchestre à l’école du Sambuc (Arles) feront une démonstration de leurs aptitudes à 17h30, avant le concert de Thibault Cauvin, sur le parvis de l’église Saint Luc. 
Jeudi 9 mai. 18h. 15 à 35€. Eglise Saint Luc. Ménerbes. 06 85 68 65 34. 04 90 72 68 53.

Du 19 mai au 5 octobre 2024. Les Musicales du Luberon. 54 Rue Kléber Guendon. Ménerbes. 06 85 68 65 34. 04 90 72 68 53.


25 ans, le bel âge pour ‘Musique Baroque en Avignon’ en 2025

La Chambre de commerce et d’industrie (CCI) de Vaucluse s’allie au Festival d’Avignon. Gilbert Marcelli, président de la CCI de Vaucluse, et Tiago Rodrigues, directeur du Festival, invitent les acteurs économiques du département à découvrir le programme de la 78ᵉ édition du festival.

Ce lundi 8 avril, les acteurs de l’économie vauclusienne pourront découvrir la programmation du Festival à la renommée internationale, qui aura lieu cette année du samedi 29 juin au dimanche 21 juillet.

Lundi 8 avril. 9h. CCI de Vaucluse. 46 cours Jean Jaurès. Avignon.


25 ans, le bel âge pour ‘Musique Baroque en Avignon’ en 2025

Le Rouge Gorge ? Un lieu pour danser, écouter, chanter….bref s’amuser dans un cadre chaleureux et raffiné avec, en cadeau de nouvel an, des nouveautés pour les concerts avec Millenium, La Soirée, consacrée aux musiques des années 2000 à nos jours, et Funky Groovy, La Soirée, dédiée aux musiques soul et funk d’hier et d’aujourd’hui. Il y aura aussi des brunchs culturels deux fois par mois le dimanche.

Le traditionnel rendez-vous Rouge Latino du jeudi soir , une soirée Salsa et Bachata en partenariat avec le Sonograf’
Fini la morosité du jeudi soir. On vous apporte une dose de bonne humeur en mettant la salsa à l’honneur. Cubaine, portoricaine, mérengué, bachata ou reaggaetton n’auront plus de secrets pour vous grâce au talent de DJ Pedro qui enflammera le dancefloor du Rouge Gorge toute la soirée… La salsa, vous connaissez bien sûr. Mais la bachata c’est quoi ? C’est un rythme originaire de République dominicaine, très dansant et plutôt facile à apprendre. De toutes les danses Latinos c’est probablement le plus simple. C’est une danse sensuelle, élégante et technique qui sait instaurer une connexion entre vous et votre partenaire de danse, mais aussi entre vous et la musique, qui vous transporte littéralement.
Jeudi 11 janvier. 19h30. Tarif unique : 10€ dont une consommation incluse.

The Midnight Ramblers en concert : Tribute to the Rolling Stones 
Le groupe Midnight ramblers nous font voyager dans le temps avec un passage par les 60’s, période magique marquée par le génial Brian Jones, mais aussi par les 70’s, avec des extraits d’albums mythiques tels que « Exile on Main Street » ou « Sticky Fingers ». Leur répertoire est composé de titres aux riffs légendaires tels que « Satisfaction », « Jumping Jack Flash » ou « Honky Tonk Women », de blues, de chansons « Country » et de ballades qui ont marqué la carrière de Mick Jagger et de ses comparses…
Vendredi 12 janvier. 20h30. 15€.

Millenium, la Soirée, consacrée aux musiques des années 2000 à nos jours
Nouvelle soirée, nouvelle thématique des années 2000 à nos jours : De Rihanna à Madonna en passant par Lady Gaga, Jennifer Lopez, Beyonce en passant par Stromae, les Black Eyed Pies, Usher, Britney Spears, Kylie Minogue ou encore Indochine et Louise Attaque, tant en France qu’à l’international, les tubes dansants n’ont pas manqué.Venez retrouver le flow des années 2000 et enflammer le dancefloor du Rouge Gorge de vos danses endiablées !
Samedi 13 janvier. 20h. Tarif unique : 10€ dont une consommation incluse.

Le Rouge-Gorge. Place de la Mirande. 11 rue de la Peyrolerie. Avignon. 06 81 25 19 73 . www.lerougegorge.fr


25 ans, le bel âge pour ‘Musique Baroque en Avignon’ en 2025

« Nous flirtons, au fil des saisons, avec cette atmosphère étrange de l’époque où chacun va, par les rues sentir, toucher ces variations du temps. L’esprit vagabonde, l’imagination reprend ses droits et, sur les plateaux, se tracent coûte que coûte, les aventures à venir ». C’est l’édito de Gérard Vantaggioli, en prélude à sa programmation de la saison 2023- 2024.

Avec sa complice dans la vie comme à la scène, Danielle et « Chipie », une petite caniche au collier rouge, il égrène ce qui attend les fidèles du théâtre de la Rue des Teinturiers. A commencer, le 21 octobre, par « Les ritals », un roman autobiographique de François Cavanna publié en 1978. Il avait déjà été adapté pour la TV par Marcel Bluwal et interprété par Benoît Magimel (1991). Là, à Avignon, c’est Bruno Putzulu qui joue, accompagné à l’accordéon par Grégory Daltin, dans une mise en scène de son frère, Mario.

Le 18 novembre, Myriam Boyer sera de retour dans la Cité des Papes pour « Juste un souvenir » qu’elle avait proposé pendant le festival « Off » au Petit chien. Elle reprend les paroles de chansons anciennes qui ont empreint sa vie de nostalgie, celles de Mouloudji, de Damia, des textes de Jean Cocteau, Boris Vian, Raymond Queneau, mais sans la musique.

 Une semaine plus tard, les 24 et 25, « Humour champêtre et poésie de jardin » avec Catherine Salviat (sociétaire honoraire de la Comédie française) et Aladin Reibel (comédien sommelier) échangent sur le vin et la vigne à travers des écrits de Rimbaud, Saint-Exupéry, Apollinaire et Irène Frain. Cette soirée épicurienne sera arrosée par des vins de Châteauneuf-du-Pape le vendredi et de Laudun le samedi avec ceux du vigneron Pierre Pappalardo.

Dans le cadre de « Fest’hiver », le 18 janvier, « Pendant ce temps-là à Montréal » de et avec Hugo Valat, qui a fait ses classes au Conservatoire d’Avignon et qui a été invité en résidence à la Chartreuse de Villeneuve-lez-Avignon. Le 4 février, un trio familial, Francis Perrin, sa femme Gersende et leur fils, Louis, longtemps autiste. Pour une histoire vraie et humaine : « Louis, pas à pas ».

Toujours dans le genre filiation, « D’un père à sa fille » mais cette fois c’est chez les Bontempelli que ça se passe. Guy, l’auteur-compositeur-interprète (qui a composé des chansons pour Henri Salvador, Françoise Hardy ou Juliette Gréco) et sa fille Elsa à qui il avait écrit une longue lettre. Et c’est sa femme, Isabelle, qui vit toujours dans la maison familiale de Buis-les-Baronnies, qui propose une exploration de ses textes à travers des musiques de Mozart ou de Glück. A l’affiche le 16 février à 19h 30 et le 18 en matinée, à 16h 30 avec un trio flûte, piano, violoncelle.

Autre style, le 15 mars, avec le Festival Andalou et « De sal y de espuma » (De sel et d’écume), une évocation Pieds-noirs / Gitans / Andalousie  d’une rive à l’autre de la Méditerranée avec la quintessence du flamenco interprétée par un chanteur et six musiciens sur scène, dans un tourbillon de musiques, d’émotions et d’échappées belles. Retour du « Festival Escales Voyageuses » du 22 au 24 mars avec des aventuriers passionnés.

Suivra, les 5 & 6 avril « La chienne de ma vie » de Claude Duneton, écrivain et linguiste. Une pièce en forme de déclaration d’amour à une petite chienne avec l’accordéon de Michel Glasko. Le 28 avril « Cache-cache »  de et avec Vanessa Aiffe-Ceccaldi, sur la résilience. Et pour clore la saison, les 22, 24 et 25 mai, place à la relève, les comédiens de demain, les élèves du Conservatoire d’Avignon sur « Médée » de Sénèque, « La nuit des rois » de Shkespeare et « Pelléas et Mélisande » de Maeterlinck. Sans oublier les résidences d’artistes en création qu’accueille le couple Vantaggioli, les ateliers pour écoliers et les interventions dans les lycées.

Des moments de partage avec le plus grand nombre, donc des prix adaptés en ces temps de crise et d’inflation… 5€ le pass-culture, le tarif « abonné » pour les étudiants, intermittents et demandeurs d’emploi à 12€ et 20€ pour les seniors à partir de 60 ans.

Contact : www.chienquifume.com 04 84 51 07 48

          


25 ans, le bel âge pour ‘Musique Baroque en Avignon’ en 2025

C’est en 1982 que Gérard Vantagiolli a ouvert ce théâtre dans la rue iconique des Teinturiers, ses roues à aubes, ses platanes et ses calades. Avec sa femme Danielle qui le dirige, ils ont tissé depuis 41 ans des liens avec les plus grands, Annie Girardot, Judith Magre, Jean-Louis Trintignant, Michaël Lonsdale.

Jusqu’au 29 juillet, ils proposent une quinzaine de pièces, en alternance au Chien qui fume et dans la salle plus intime du Petit chien, à quelques mètres de là, Rue Guillaume-Puy.

Au « Chien qui fume », la journée s’ouvre à 10h30 par « Une opérette à Ravensbrück » pour défier le mal par le rire, écrite par la résistante Germaine Tillion, elle-même déportée, qui précisait : « Même dans les situations les plus tragiques, le rire est un élément revivifiant. On peut rire jusqu’à la dernière minute ». Légèreté et gravité, horreur et grotesque se côtoient dans une mise en scène de Claudine Van Beneden.

12h35 : « Le voyage de Molière », 8 comédiens déchaînés sur scène, la vie d’une troupe, d’un groupe fou de théâtre avec le Grenier de Babouchka. Un peu plus tard, à 15h, Corinne Touzet, a quitté son uniforme de gendarme dans « Une femme d’honneur » pour interpréter « Europeana, une brève histoire du 20ème siècle », deux guerres, la contraception, mai 68, voyage sur la lune, dans une mise en scène de Virginie Lemoine.

Virginie Lemoine (à gauche) met en scène Corinne Touzet (à droite) © Andrée Brunetti

A 17h, « Dernière histoire d’amour » qui se déroule en 1943 à Paris sous l’occupation, une reprise de l’an dernier signée Gérard Vantaggioli. Suivra à 19h15 Clémentine Célarié, habituée du lieu, qui se met en scène dans « Je suis la maman du bourreau » ou comment, une mère qui chérit son fils découvre qu’elle a enfanté un monstre. Sous l’armure d’une femme sévère éclate le cœur en miettes d’une maman. Le roman éponyme de David Lelait-Helo avait obtenu le Prix Claude Chabrol en 2022. Enfin à 21h15 : « Colorature » de Stephen Temperley, l’histoire d’une soprano américaine qui chantait faux et massacrait les plus grands airs de Puccini, Verdi ou Donizetti. Une castafiore interprétée par Agnès Bove accompagnée au piano par Grégori Baquet.

Voilà pour « Le chien qui fume ». Côté « Petit chien », le déroulé de la programmation débute à 10h30 par « Gregor Samsa », sorte de « Métamorphose » de Kafka, douce et ironique, avec un humour grinçant mâtiné de tendresse, dans une adaptation de Sarkis Tcheumlekdjian. Les jours impairs, le même metteur en scène propose « La dernière allumette », quand la petite marchande d’Andersen survit grâce à un petit Gavroche.

Olivier Lejeune jouera Sacha Guitry © Andrée Brunetti

A 12h15 : « Le temps retrouvé » de Marcel Proust avec Xavier Marchand seul en scène. A 13h45 : « 60 jours de prison » de Sacha Guitry. En août 44, le dramaturge, soupçonné de crime de collaboration avec les nazis, se retrouve derrière les barreaux. Jour après jour, il raconte cette expérience carcérale, l’absurdité de la situation, la cohabitation avec ses codétenus, les geôliers. C’est Olivier Lejeune, qu’on a vu dans le film  « Les aventures de Rabbi Jacob » ou au théâtre dans « Mémoires d’un tricheur » qui campe le rôle de cet auteur prolifique pendant 1h20.

Toujours au « Petit chien » à 15h45 : « Pannonica, baronne du jazz », jouée par Natacha Régnier qui interprète cette femme née Rothschild qui quitte Paris et son mari pour New-York, vit une passion  avec le pianiste Thelonious Monk, devient mécène de jazzmen noirs. Itinéraire méconnu d’une femme d’exception. 17h40 : « Dissident, il va sans dire » de Michel Vinaver. Une mère et son fils, dans les années 70, aux prises avec les transformations de l’époque.

De retour sur la scène du « Petit Chien » à 19h30, Myriam Boyer qui ne chante pas, mais dit les paroles de chansons de Carco, Cocteau, Queneau, Mouloudji. Tout en nostalgie. « J’avais tous ces textes en moi, les voix de Fréhel ou de Damia, j’ai juste voulu me faire plaisir » a-t-elle confié. Enfin à 21h15 : « Les vilaines », une reprise de l’été dernier avec des meneuses de revues. Mais au-delà des paillettes, des plumes et du satin, des coups de griffes en coulisses. Une mise en scène d’Elsa Bontempelli à partir d’œuvres de son papa, l’inoubliable auteur-compositeur-interprète de « Quand je vois passer un bateau », Guy Bontempelli.

Contacts : www.chienquifume.com 

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