Remoulins : un nouvel espace entreprises et coworking
Une soixantaine de professionnels ont participé au petit déjeuner inaugural du nouvel espace entreprises et de son coworking, organisé par la Communauté de Communes du Pont du Gard il y a quelques jours.
Pierre Prat, Président de la communauté de communes et Elizabeth Viola, vice-présidente déléguée à l’économie et au tourisme, étaient présents pour accueillir commerçants, artisans et chefs d’entreprises dans cet espace qui leur est dédié. Une convention de partenariat avec l’association Les entrepreneurs de l’Uzège – Pont du Gard a été signée. Se dérouleront au sein de ce nouvel espace : des réunions d’informations, en présentiel ou en distanciel, spécialement conçues pour les créateurs et créatrices d’entreprises, des réunions d’informations et de sensibilisation sur des sujets en lien direct avec les problématiques de développement de réseaux d’affaires structurés et des ateliers thématiques.
Au service des porteurs de projet
La CCI Gard va ainsi mettre en place une permanence pour les entreprises et les porteurs et porteuses de projet du territoire. La chambre consulaire proposera aussi des animations au sein du coworking : organisation de réunions à thématiques diverses (création d’entreprises, innovation, financement, ressources humaines, développement durable, transmission-reprise,…) mais aussi des ateliers d’accompagnement numérique et écologique des entreprises.
La CMA proposera une permanence d’informations sous forme de réunions collectives ou de rendez- vous individuels auprès des porteurs et porteuses de projets et chefs d’entreprise du territoire ou de public en recherche d’informations liées à la création d’entreprise ou reconversion. Des formations décentralisées seront aussi proposées par la chambre des métiers. Des réunions d’informations, sur le financement de projets (création, développement, transmission) en présentiel ou en distanciel, spécialement conçues pour les entreprises, seront organisées par Initiative Gard et par l’Adie. La CleanTech Vallée proposera un accompagnement des entreprises sur la transition écologique et également des permanences et l’agence Adhoc de la Région Occitanie accompagnera les professionnels sur des projets d’investissements.
L.M.
Remoulins : un nouvel espace entreprises et coworking
Après un triste féminicide à Vauvert en juillet durant lequel une mère de famille a été poignardée devant ses enfants, les 1ères assises des violences faites aux femmes revêtaient une symbolique particulière au Pont du Gard.
« Depuis le début de l’année dans le Gard, nous comptons un féminicide et une tentative avec une hache entrainant de graves blessures », annonce d’emblée Eric Maurel, procureur de la République de Nîmes. L’événement organisé ce mardi 14 septembre par la Communauté de communes du Pont du Gard, le CIDFF (Centre d’information sur les droits des femmes et des familles) du Gard, avec le soutien de la Préfecture, a réussi le pari de réunir autour de la table tous les acteurs confrontés à la détresse d’une femme battue.
Le ton est grave : « Nous avons une responsabilité collective dans le respect du triptyque républicain : liberté, égalité, fraternité. Nous devons prendre soin de nos frères et sœurs en humanité et respecter ce pacte social. » L’implication d’Anthony Cellier, député du Gard, est du même acabit : « Ce sujet est resté trop longtemps tabou, la peur doit changer de camp. Nous devons tous échanger autour de cette honte nationale. »
Dans l’auditoire ? Des professionnels de santé, des policiers, des gendarmes, des avocats, des travailleurs sociaux… Tous sont animés par la même volonté, coconstruire des solutions pour une prise en charge efficace sur tout le parcours de la victime. Six ateliers allant du dépôt de plainte à la prise en charge juridique et psychologique de la femme est des enfants ont rythmé cette journée incontournable.
100% d’augmentation des violences conjugales
« Avec la Covid-19, la période a été inquiétante, confie Eric Maurel. Au tribunal de Nîmes, nous avons observé une augmentation de 100% des cas de violence. 1 780 violences intrafamiliales et 780 violences conjugales ont été recensées. Nous avons assisté à la massification des dossiers avec quasi systématiquement des déferrements. » De manière empirique, certains facteurs ont détérioré les relations, dont la promiscuité et le caractère anxiogène de la pandémie. La création de l’observatoire des violences du Gard a d’ailleurs fait suite au confinement, une période durant laquelle a été constatée « une explosion des violences conjugales et intra-familiales », d’après Véronique Compan, procureur-adjoint de la République de Nîmes.
Occitanie, 2e région la plus touchée
Selon Iulia Suc, directrice du cabinet de la préfète du Gard, les violences conjugales sont « un phénomène culturel, banalisé par la pub et les médias. » En 2020, 125 personnes sont décédées au niveau national, cela représente un décès tous les 3 jours. Parmi elles, 100 femmes. Depuis début 2021, 76 femmes ont été tuées. Au niveau local, le Gard est le 2e département le plus touché d’Occitanie avec 2 034 interventions des forces de l’ordre et 1 650 femmes victimes de violences conjugales en 2020. La région Occitanie affichait de tristes chiffres en 2019, comme l’illustre la carte ci-après.
Observatoire de la violence dans le Gard
« Il y a quelques années, j’avais créé l’émoi dans les rangs lorsque j’avais proposé la création d’un observatoire pour la lutte contre les violences conjugales », déclare Eric Maurel en préambule. L’observatoire des violences faites aux femmes du Gard fait suite à la création du réseau départemental « Ensemble pour une égalité réelle entre les femmes et les hommes ».
En 2020, les élus du Conseil départemental ont voté à l’unanimité la création de cet observatoire pour permettre de fédérer un réseau partenarial, en lien avec le Centre d’information sur les droits des femmes (CIDFF) du Gard. Une action freinée par la crise du coronavirus, mais qui depuis ne cesse de s’amplifier. Un site internet, aidesauxfemmes.gard.fr a été créé pour permettre aux victimes de trouver les structures d’aides à proximité de leur domicile, en toute sécurité puisqu’elles peuvent le quitter en un clic mais aussi effacer leur visite de leur historique de navigation interne.
Dans le Gard, les mesures se sont multipliées, formation des policiers et gendarmes, sensibilisation à l’égalité homme/femme dans la sphère éducative, carte recensant tous les établissements de prise en charge (64 hébergements dans le Gard)… La sensibilisation a également franchi les portes des commerçants et pharmaciens pour une meilleure prise en charge de 1ère ligne. Les travailleurs sociaux ont vu leur temps de travail à la hausse. Ajoutés à cela, deux mesures supplémentaires : la création d’un fichier unique de suivi des auteurs et le renforcement du contrôle des armes. Du côté des structures de santé, une convention a été mise en place avec le CHU de Nîmes et l’hôpital d’Alès pour la prise en charge des plaintes.
Améliorer la circulation de l’information
C’est une première nationale, une convention a été mise en place au tribunal de Nîmes, dont les autres tribunaux de France commencent déjà à s’inspirer. « Ce protocole oblige chaque acteur judiciaire, le JAF (Juge aux affaires familiales), le juge des enfants, et bien d’autres, à porter à la connaissance de tous, les éléments du dossier pour une prise en charge totale et globale », explique Eric Maurel.
Selon le commissaire Emmanuel Dumas, un changement total de paradigme a eu lieu. Il déclare : « ne plus être livré à soi-même, mieux évaluer le danger, faciliter la parole, en dix ans la prise de conscience est considérable. Il faut également mettre à l’aise les fonctionnaires de police se retrouvant face à la détresse d’une femme ». Des référents experts ont été introduits dans le cadre de la formation des militaires. 450 actions de formation ont eu lieu au sein des gendarmeries et des groupements militaires. 250 militaires ont ainsi eu un point de contact avec ces référents experts en 2020.
Grenelle de l’environnement et ses mesures
Le Grenelle des violences conjugales est un ensemble de tables rondes organisées par le gouvernement français entre le 3 septembre et le 25 novembre 2019. Objectif ? Réunir des personnes concernées par les problématiques liées aux violences conjugales, afin de déterminer des mesures à prendre pour les combattre. 47 mesures ont vu le jour, renforcés par 6 mesures supplémentaires en juin dernier. Les modifications juridiques ont fait en janvier 2020 l’objet d’une proposition de loi qui a été adoptée.
Élisabeth Moreno, ministre déléguée auprès du Premier ministre chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes a dressé un bilan du Grenelle des violences conjugales. Depuis, 2 000 nouvelles places d’hébergement ont été créés, soit une augmentation de 60%, 30 centres de prise en charge des auteurs de violence ont vu le jour, 1000 bracelets anti-rapprochement ont été distribués, 3000 téléphones ‘grave danger’, 90 gendarmes supplémentaires ont été mobilisés et l’extension de la ligne d’urgence 3919 a été mise en place, disponible 7j/7, 24h/24.
Le budget alloué a doublé depuis 2017. « J’ai pu constater durant mes immersions avec la gendarmerie une parfaite implication et une volonté de trouver des solutions face à l’intolérable. Nous examinerons dans le cadre du projet de loi de la responsabilité pénale tout le schéma, depuis le dépôt de plainte jusqu’à l’accompagnement judiciaire », déclare le député Anthony Cellier.
7 162 personnes informées par le CIDFF du Gard
Le CIDFF du Gard, Centre d’information sur les droits des femmes et des familles est un lieu d’accueil, d’écoute, d’information et d’accompagnement sur les droits pour tout public et en particulier les femmes. La structure exerce une mission de service public confiée par l’État. Son objectif est de favoriser l’autonomie sociale, professionnelle et personnelle des femmes et l’Égalité entre les femmes et les hommes. Le CIDFF Gard privilégie une prise en compte globale des situations vécues. L’information est confidentielle et gratuite. En 2020, le CIDFF du Gard a informé 7 162 personnes, 2 443 entretiens ont étés réalisés dans le domaine juridique, 467 entretiens par un psychologue, 224 sessions d’information collective ont été réalisées avec 2 599 participants.
Manque de moyens humains, financiers et matériels
Béatrice Bertrand, directrice du CIDFF Gard et engagée depuis 27 ans pour la défense des femmes battues, salue les efforts déployés tout en soulignant le manque de moyens. Certaines associations regrettent que les actions entreprises ne soient pas à la hauteur du problème, et, notamment, que ce Grenelle n’apporte pas de réponse satisfaisante au manque de moyens financiers dédiés à la lutte contre les violences conjugales en France. Le budget annoncé de 360 millions d’euros est dénoncé par plusieurs sénateurs et militants comme relevant d’un affichage trompeur, avec une augmentation très faible par rapport aux années précédentes.
« Il faut vraiment commencer par une chose : écouter et croire, c’est le principe de crédibilité, explique la directrice dont le dévouement a été salué par la remise de la légion d’honneur. Le parcours est semé d’embuches, nous avons vraiment besoin que toutes les plaintes soient prises, certaines restent encore sans suite. Pour cela, il faut un traitement judiciaire prioritaire et sans délai. Les JAF devraient délivrer des ordonnances de protection de 6 jours. » 80% des victimes sont des mamans, les dégâts physiques mais aussi psychologiques sont considérables. Les entretiens avec un psychologue ? « Trop long dans le public, trop cher dans le privé. » Béatrice souhaite également que la sécurité sociale prenne en charge à 100% la consultation psychologique.
« Il faut plus de moyens humains, financiers et matériels, appelle la directrice. Je cherche des financements en permanence. J’ai appris que le poste de référent violence n’est pas financé, donc j’ai malheureusement du le stopper. » Elle préconise d’aller voir ce qui se fait ailleurs comme en Espagne où des tribunaux spécialisés ont vu le jour ainsi que des systèmes informatiques sophistiqués permettant de diminuer la récidive de 63%. Le chemin est encore long, les efforts à consentir encore nombreux, mais tout porte à croire que l’action française s’ancre chaque jour un peu plus dans une dynamique positive.
Remoulins : un nouvel espace entreprises et coworking
L’équipe Kayak Vert Pont du Gardse lance dans un nouveau challenge ! Une activité dédiée cette fois à la location de vélos à assistance électrique voit le jour. Situés à l’entrée de Collias, Vélo nature Collias fera découvrir le territoire de l’Uzège-Pont du Gard à travers des chemins de traverse.
C’est lors du confinement de 2020 que l’idée de cette location de VAE (Vélo à assistance électrique) a émergée. L’activité de canoë à l’arrêt, l’équipe se rapproche de ses partenaires : le Musée Haribo, le parc accrobranche ‘Air de nature’ à Saint Quentin-la-Poterie, et plusieurs hébergeurs pour identifier les futures demandes clients. Tous sont du même avis, les touristes souhaitent désormais vivre des vacances respectueuses de l’environnement, découvrir le petit patrimoine et des savoir-faire : artisans, petits producteurs, vignerons, oléiculteurs…
5 boucles cyclo-touristiques
Une partie de l’équipe s’est donc attelée à emprunter ces ‘chemins de traverse’ à vélo pour mieux connaître les paysages et découvrir des personnes qui méritent le détour. Idéalement situés entre Uzès et le Pont du Gard, les parcours peuvent être effectués en étoile depuis Collias via la Voie Verte du Pont du Gard, en direction de Beaucaire ou d’Uzès. Il est aussi possible de rejoindre l’une des 5 boucles cyclo-touristiques : la boucle de l’aqueduc au départ de Collias, la boucle des capitelles au départ de Serviers-et-Labaume, la boucle de l’Uzège au départ de Collias, la boucle de la vigne à vélo au départ d’Aramon et enfin la boucle de la garrigue, au départ de Saint-Quentin-la-Poterie.
Rencontres, découvertes et échanges
Plus qu’une location pure, l’équipe s’est investie pour recenser les personnes à rencontrer, tracer des parcours GPS et cibler les points d’intérêts des futures clientèles. De ce travail de recherche et recensement sont nés des articles de blog. Des articles ‘facilitateurs de parcours’ qui visent à mettre en lien visiteurs et professionnels locaux, pour sortir des sentiers battus et faire découvrir des pépites, des petits villages cachés, s’éloigner des grands sites touristiques. Grâce à cette approche de partage de connaissance, ‘Vélo nature Collias’ entend créer une offre qualitative pour les visiteurs et nouer de nouveaux partenariats locaux.
Informations techniques: modèle VTT Moscow, batterie fixée au cadre, autonomie jusqu’à 150 Km. Ecran LCD multifonctions avec affichage des niveaux d’assistances, kilomètre batterie, vitesse… De 35€ la demi-journée à 245€ la semaine. Mail: contact@velo-collias.com, 04 66 22 84 84, site internet: www.velo-collias.com
Remoulins : un nouvel espace entreprises et coworking
L’Echo du mardi s’associe à Kayak vert afin d’offrir à 10 lecteurs un moment hors du temps en canoë kayak, le long des gorges du gardon avec le Pont du Gard majestueux en fond ! (un bon de gratuité par canoé, bateau allant jusqu’à 3 places).
Les gorges du Gardon en canoë ou en kayak sont l’occasion de passer une agréable journée en famille ou entre amis. Au programme: canoë, baignade, pique-nique au bord de l’eau, découverte du Pont du Gard et des gorges sauvages du gardon. Kayak vert Pont du Gard est la plus ancienne base de canoë kayak de la région, implantés à Collias depuis 1978. « C’est avec le plus grand plaisir et professionnalisme que nous vous ferons partager notre expérience ainsi que notre connaissance tant sur notre activité que sur notre région. » Le parking se trouve à l’entrée du village de Collias en venant d’Uzès/Remoulins.
Conditions pour effectuer les descentes en canoë
Les parcours sont accessibles à tout public à condition :
de savoir nager 25 mètres et s’immerger
d’avoir 6 ans révolu
d’être en bonne condition physique
de ne pas être enceinte
Durée des parcours et pause repas
Partez en toute liberté et sans contraintes sur les parcours, Collias-Pont du Gard et Collias-La Baume, en prenant votre pique-nique et profitez de votre journée en canoë-kayak. Tous les autres parcours se pratiquent sur une journée en prenant avec soi collations et boissons. Pour ces descentes sont également proposées des formules sur 2 jours avec bivouac afin de profiter au maximum de votre aventure.
Modalités de participation:
Abonnez vous à la page Facebook L’Echo du mardi en cliquant ici
Abonnez vous à la page Facebook Kayak vert en cliquant ici
Identifiez une personne en commentaire du jeu sur Facebook, cliquez ici
Le ou la gagnant(e) sera informé(e) via message sur Facebook. Fin des participations : mardi 10 août 2021. Le retrait des bons de gratuité se fait au sein de la rédaction à Avignon.
Remoulins : un nouvel espace entreprises et coworking
Le conseil d’administration de l’EPCC (Etablissement public de coopération culturelle) du Pont du Gard vient de décider la gratuité d’accès pour tous les étudiants. Pour cela, ces derniers n’auront qu’à présenter une carte étudiante valide pour éviter de payer le prix d’entrée plein tarif qui, jusqu’alors, s’élevait pour eux à 9,50€ ou 8€ en prévente. Cette mesure vise notamment à soutenir les publics « en souffrance ». Cependant, pour bénéficier de cet accès les étudiants devront attendre la réouverture du site antique fermé depuis le 30 octobre dernier.
Crise sanitaire oblige, le Pont du Gard a enregistré une forte baisse de sa fréquentation en 2020 engendrant une diminution de 3,5M€ de son chiffre d’affaires, soit une chute de 54%, par rapport à 2019.
Remoulins : un nouvel espace entreprises et coworking
La communauté de communes du Pont du Gard vient de faire installer le prototype Airwash One dans les locaux de l’école de la commune d’Estézargues (Gard). Il s’agit d’un photo-bio-réacteur agissant comme piège à CO2 et purificateur d’air.
C’est au cœur de la Cleantech Vallée, entre Rhône et Pont du Gard, qu’est né ce procédé novateur. Ce dernier prend la forme d’une station de traitement d’air intérieur d’une capacité de 90m3/heure constitué d’un photo-bio-réacteur couplé à un rayonnement UV pour désinfecter l’air tout en fixant le CO2, pollens et allergènes présents dans l’air. Un photo-bio-réacteur est un appareil qui utilise la lumière (naturelle et/ou artificielle) l’eau et l’air, pour assurer la prolification de micro-organismes en suspension dans l’eau.
Une catégorie bien spécifique de microalgues a été utilisée sur le prototype Airwash One, rendant ce dispositif innovant. En effet, la société Novatec, fabriquant du prototype, a réussi à identifier une microalgue capable de résister à des températures extrêmes (-10°C à +50°C) et qui prolifère de façon exponentielle toutes les 24 heures. Lors de la prolifération, sous l’effet de la photosynthèse, elle fixe le CO2 et produit de l’oxygène. L’air de la pièce est injecté sous pression au circuit hydraulique afin de nourrir les microalgues qui, en absorbant le CO2, dégagent un oxygène neuf qui est libéré dans la pièce.
Une fois par an, la biomasse sera récoltée et pourra être valorisée grâce au projet A.S.T, site industriel de traitement installé sur la commune de Bagnols-sur-Cèze, à quelques kilomètres de l’installation, où elle sera convertie en Bioéthanol ou Méthane puis électricité. La communauté de communes du Pont du Gard devient ainsi le premier ‘client-testeur’ du dispositif qui s’inscrit dans l’esprit du Contrat de Transition Ecologique que la collectivité a signé en décembre 2018.
Remoulins : un nouvel espace entreprises et coworking
Crise sanitaire oblige, la communauté de communes du Pont du Gard et Pôle emploi proposent une version en ligne du traditionnel forum de l’emploi saisonnier le lundi 8 février. Accessible gratuitement, le forum favorisera la mise en relation entre les employeurs ayant des besoins de main d’œuvre sur la saison estivale et les personnes en recherche d’emploi.
Dès le lundi 8 février, les offres d’emplois seront diffusées via le site www.cc-pontdugard.fr jusqu’au vendredi 5 mars. Les personnes intéressées pourront candidater tout au long de cette période. Enfin, la phase de rencontres avec les employeurs se déroulera du 8 au 12 mars 2021, sur rendez-vous avec des professionnels (en visioconférence ou présentiel selon les souhaits des employeurs). L’année dernière, le forum a accueilli 350 personnes et 31 entreprises qui proposaient 423 postes à pourvoir.