22 juillet 2024 |

Ecrit par le 22 juillet 2024

Derniers jours pour découvrir une exposition originale sur Pablo Picasso à Saint-Rémy-de-Provence

Un Picasso très intime à découvrir jusqu’au 23 juin à l’Hôtel de Lagoy de Saint-Rémy-de-Provence.

Lors de cette exposition originale, on pourra survoler les étapes essentielles de la vie de Picasso : de sa naissance à Malaga jusqu’aux portes du cubisme.

100 lettres imaginaires sonnant incroyablement vrai, écrites par David Lawrence, dont 12 lues par le conteur Jean-Paul Lucet, au timbre de voix unique, dans la cour de l’Hôtel de Lagoy.
180 photographies et reproductions d’œuvres de Pablo Picasso et d’autres grands peintres du XVIIᵉ à nos jours.
Reconstitution de la Chapelle des Arènes de Malaga et d’une table du Lapin agile.
Projection de deux documentaires : L’Affaire Picasso et Jeune Picasso.

Pour découvrir tous les détails sur l’exposition, cliquez ici.

Jusqu’au 23 juin 2024. 10 à 15€. Ouvert du vendredi au dimanche de 10h30 à 18h30. Hôtel de Lagoy. 11 Bd Marceau. Saint-Rémy-de-Provence.


Derniers jours pour découvrir une exposition originale sur Pablo Picasso à Saint-Rémy-de-Provence

Ce mardi 7 novembre, le cinéma Capitole MyCinewest propose une séance unique d’exposition sur grand écran ‘Klimt et le baiser’. Le Baiser du peintre Gustav Klimt est l’un des tableaux les plus connus et les plus reproduits au monde.

Dans un documentaire d’1h30, découvrez ce qui se cache derrière le charme de cette œuvre et qui était l’artiste qui l’a créée. L’occasion d’explorer l’or, les arts décoratifs, le symbolisme et l’érotisme latent de ce tableau avec une étude minutieuse qui emmènera le public dans le Vienne du tournant du XXe siècle, lorsque l’ancien monde luttait contre l’émergence d’une nouvelle ère.

Des cadeaux seront à gagner en avant-programme de cette séance unique.

Pour réserver votre séance, cliquez ici.
Mardi 7 novembre. 19h30. Cinéma Capitole MyCinewest. 161 Avenue de Saint-Tronquet. Le Pontet.

V.A.


Derniers jours pour découvrir une exposition originale sur Pablo Picasso à Saint-Rémy-de-Provence

De juillet à décembre 2022, les Carrières des Lumières aux Baux-de-Provence, proposent une nouvelle saison de soirées rétrospectives avec 14 nocturnes exceptionnelles pour voir ou revoir les expositions numériques immersives qui ont animé les saisons précédentes.

Alors que cette saison est consacrée à Venise, la Sérénissime et à Yves Klein, les Carrières des Lumières aux Baux-de-Provence vous embarquent pour un nouveau voyage onirique si particulier, davantage submersif qu’immersif . Une séance de rattrapage, dans la fraîcheur (entre 14°C et 16°C) de cette ancienne carrière offrant désormais des spectacles de projections à 360°, avec la reprise en nocturne des précédentes expositions de 2017, 2020 et 2021.

Lire aussi : ‘Pourquoi l’expérience des Carrières de lumières nous marque’

Ainsi durant 14 soirées, s’étalant du 20 juillet au 28 décembre prochain, Culturespaces, qui gère le lieu depuis 2012 (ndlr : auparavant le site s’appelait la cathédrale d’image depuis 1977), propose une rétrospective sur l’architecte Gaudi ainsi que sur les peintres Cézanne, Bosch, Brueghel et Arcimboldo.

Le programme des expositions numériques immersives présentées
‘Bosch, Brueghel, Arcimboldo, fantastique et merveilleux’, déjà au programme en 2017, invite à explorer le monde foisonnant peint par 3 artistes du XVIe siècle à l’imagination débridée : des triptyques de Bosch les plus emblématiques aux étonnantes compositions végétales d’Arcimboldo sans oublier les fêtes villageoises de la dynastie Brueghel.‘Gaudí, architecte de l’imaginaire’, exposition de 2020, offre un voyage entre rêve et réalité à travers les réalisations de Gaudí aujourd’hui classées au Patrimoine Mondial de l’Unesco, du Parc Güell à la Casa Batlló en passant par la Casa Milà et la Sagrada Família.

‘Cézanne, le maître de la Provence’, présenté l’année dernière, retrace les chefs-d’œuvre les plus significatifs de l’artiste aixois, tels que ses natures mortes aux pommes, ‘Les joueurs de cartes’ (1890-95) et ‘Les grandes baigneuses’ (vers 1906), suivant le fil rouge de la nature vers la Provence et la Sainte-Victoire.

Informations pratiques
Carrières des Lumières : Route de Maillane – 13520 Les Baux-de-Provence
Dates et horaires : 20 et 27 juillet à 20h30 / 3, 10, 17 et 24 août à 20h30 / 10, 17 et 24 septembre à 20h30 / 26 et 27 octobre à 20h30 / 2 et 3 novembre à 19h / 28 décembre à 19h
Durée : 2h avec entracte
Tarif : 25€ / Intégrales + Dîner : 44€
Dîner (sur réservation) Menu : Lingot fondant de légumes d’été au basilic et légère crème de chèvre, verdurette au balsamique, effeuillé de jambon sec / Vitello tonatto, riz rouge de camargue aux herbes / Fromage / Pêches pochées à la verveine, sablé aux amandes.
Dîner à déguster dans le Café des Carrières, accessible 1h avant le début de la projection.


Derniers jours pour découvrir une exposition originale sur Pablo Picasso à Saint-Rémy-de-Provence

A l’occasion du changement de président des Etats-Unis, Joe Biden vient de profiter pour revoir la décoration du bureau ovale à la Maison blanche à Washington. Ainsi, après avoir fait disparaître le bouton à soda de son prédécesseur mais aussi le buste de Winston Churchill le nouveau chef du ‘monde libre’ a replacé le portrait de Benjamin Franklin. Une œuvre réalisée en 1778 par le peintre carpentrassien Joseph Duplessis. Il s’agit d’ailleurs de la représentation préférée de l’un des rédacteurs de la constitution américaine. Ce dernier, qui devînt après le 1er ambassadeur des Etats-Unis en France, refusera d’ailleurs par la suite de poser pour tout autre portrait.

« Le maire de Carpentras invite officiellement le président des Etats-Unis. »

Depuis 1928, ce même portrait orne également les billets de 100 dollars. Une estampe de cette œuvre appartient toujours à l’Inguimbertine, ainsi qu’une collection de plus d’une dizaine d’œuvres du même artiste qui figureront en bonne place lorsque le musée ouvrira ses portes.

Particulièrement fier de ce retour Comtadin au cœur du pouvoir Outre-Atlantique, le maire de Carpentras vient d’ailleurs d’inviter officiellement le nouveau président des Etats-Unis d’Amérique à venir admirer les autres œuvres du même artiste présentes dans les collections de l’Inguimbertine.

« Un regard extérieur pourrait penser ce sujet de décoration un peu superficiel, mais pour le 46e président il s’agit là de montrer sa volonté de ‘respecter la science’, précise la mairie de Carpentras. En effet Franklin, en plus d’être l’un des pères fondateurs des Etats-Unis, fut aussi un scientifique renommé. On lui attribue notamment l’invention du paratonnerre et des lunettes bi-focales. »


Derniers jours pour découvrir une exposition originale sur Pablo Picasso à Saint-Rémy-de-Provence

L’artiste avignonnais Pablito Zago vient de réaliser les fresques de la gare routière d’Orléans. Commandé par le Conseil régional Centre-Val de Loire, cette œuvre s’inscrit dans le cadre de la rénovation complète de ce lieu fréquentée par plus de 5 000 voyageurs par jour.

Le travail de Pablito Zago, retenu parmi les 20 candidatures reçues suite à un appel à projet, s’inspire de différents éléments historiques, architecturaux, géographiques de la région : les méandres de la Loire, les constructions en colombages, Jeanne d’Arc, la Cathédrale Sainte-Croix d’Orléans…

Le plasticien vauclusien est un habitué de ce type d’œuvres puisqu’il est déjà notamment intervenu sur la devanture de ‘l’Autre Scène’ à Vedène, sur le bâtiment du Crous d’Aix-en-Provence, la façade de l’immeuble du siège hexagonal de Microsoft à Issy-les-Moulineaux mais aussi sur plusieurs murs à travers le monde en Norvège, en Allemagne, au Mexique, au Maroc, au Myanmar on bien encore aux Etats-Unis à l’occasion des 300 ans de la Nouvelle-Orléans.

L’artiste, qui ouvre régulièrement aux visiteurs son atelier de la cité des papes, a également collaboré avec l’entreprise avignonnaise Win’ovatio et la société bretonne Quali-Cité à la conception et au design d’une nouvelle gamme d’aire de jeux pour enfant dont un premier site a été installé l’été dernier à Morières-lès-Avignon.

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Derniers jours pour découvrir une exposition originale sur Pablo Picasso à Saint-Rémy-de-Provence

Brigitte Mika, artiste-peintre installée à Villeneuve-lès-Avignon, capte l’énergie des lieux qu’elle traverse pour les restituer puissamment sur ses toiles, le plus souvent, en grand format. Ce qui interpelle ? Les ambiances qui s’en dégagent comme si l’on ouvrait une fenêtre sur un ‘ailleurs’ bien réel et vibrant d’énergie.

«Il y a quelque chose qui dit : ‘C’est le moment’. Alors je m’engouffre dans mon atelier, m’y enferme et m’isole du monde. Devant moi une toile vierge, mes couteaux, pinceaux et mes peintures acryliques. Le temps est compté pour créer : mon corps tout entier est en tension et devient l’outil de cet impératif. En une journée l’essentiel est apparu et doit être fidèle à ce que j’en ai vu et perçu au tout début, avant même que le pinceau n’ait touché la toile. Puis j’y reviendrai jour après jour, par touches jusqu’à ce que le résultat final soit fidèle à ce que j’avais vu, au tout début. C’est la raison pour laquelle j’ai du mal à prendre des rendez-vous. Parce qu’ignorer ces moments inspirants c’est renoncer à une toile et parce que je crains, lorsque je ne réponds pas à cet ‘appel’ de déshonorer une parole donnée.»

Sublimer la douleur

«Endeuillée par la mort d’une amie très chère, elle a continué à porter leur dialogue avec mille faisceaux de couleurs bientôt inscrits sur toiles… Puis sa peinture s’est ouverte à son cheminement personnel, des impressions de voyage autour du globe avec cet ‘aspect’ éthéré qui lui confère une réelle signature.

«Lors de ma vie professionnelle j’ai fréquenté de nombreux salons professionnels, de décoration et de luminaires. J’étais interpellée par le design et les œuvres qui ponctuaient ces lieux dédiés à l’avant-garde de la création et à l’intuition des futures tendances. Mon inspiration s’est tout d’abord portée sur des fleurs puis des papillons pour passer à la densité de l’urbain et, maintenant, aux paysages. Je peins ce que j’ai vu, ressenti. De mes toiles surgissent des moments particuliers, des lieux que j’ai fréquentés, des atmosphères que j’ai traversées. Des instants restés très précisément en mémoire.»

Un signal, comme un appel

«Je ne sais jamais ce qui va se passer, ni quand, ni comment. Puis quelque chose survient donnant le signal. C’est très physique. Tout mon corps se penche sur la toile installée à la verticale et un enseignement discret, comme celui de la transparence se fait réalité. Mon art évolue au creux de moi à chaque appel. Si je ne réponds pas à cette injonction ? Il n’y aura pas l’œuvre que je devais mettre au jour. Je ne pourrai pas ‘retrouver’ ce qui aurait pu être. J’organise de nombreuses expositions, notamment chez les restaurateurs.»

La vente

«Ce qui m’interpelle ? Je vends souvent après mes expositions. Les gens regardent, déambulent pour, ensuite, me contacter, revoir le tableau puis l’acquérir. Je peins beaucoup, sur 40 dernières toiles exécutées 12 sont déjà parties et d’autres sont en commande pour ‘coller’ au lieu du futur propriétaire. Comment je travaille ? En écoutant de la musique. Elle se révèle le plus souvent, très rythmée, cubaine, particulièrement lorsque je m’attaque à un tableau ’urbain’, elle se lie à l’ambiance ‘classique’ lorsque je fais du ‘paysage’, mais le plus souvent elle se fait jazz, surfant sur la voix de Norah Jones… »

Brigitte Mika 06 12 47 16 65

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