1 avril 2025 |

Ecrit par le 1 avril 2025

Encore quelques jours pour postuler pour la Garde régionale forestière du Luberon

Le Parc naturel régional du Luberon recherche des jeunes entre 18 et 26 ans pour intégrer sa Garde régionale forestière de juin à septembre. Les candidatures sont ouvertes jusqu’au vendredi 4 avril.

Début mars, la Région Sud lançait un appel à candidature pour sa Garde régionale forestière. 250 postes étaient à pourvoir, dont certains en Luberon. Il reste seulement quelques jours pour postuler afin de pouvoir patrouiller tout l’été dans ce massif, informer les promeneurs et participer aux actions de prévention.

Le Parc naturel régional du Luberon recherche des jeunes entre 18 et 26 ans issus du territoire du Luberon et soucieux de la préservation des espaces naturels. Après une semaine de formation organisée par la Région Sud, les gardes régionaux forestiers iront au contact du public, sur les sites naturels les plus fréquentés comme les crêtes du Grand Luberon, la colline Saint-Jacques à Cavaillon, les gorges de Régalon à Cheval-Blanc, la forêt des cèdres du Petit Luberon, les gorges de Véroncle à Gordes, le Colorado provençal à Rustrel, le sentier des ocres et Ôkhra à Roussillon, le vallon de l’Aiguebrun à Buoux, les gorges d’Oppedette, et bien d’autres lieux emblématiques du Luberon qui offrent un cadre de travail idyllique.

En plus de sensibiliser le public sur les risques incendie et sur la réglementation en vigueur définie par arrêté préfectoral, les gardes devront veiller aux bons comportements des randonneurs vis-à-vis des cigarettes, des barbecues, des détritus, de la protection contre la chaleur, etc, mais aussi relayer l’information sur les éventuels départs de feux vers les services compétents (patrouilles ONF et CCFF, pompiers).

Pour postuler, cliquez ici.


Encore quelques jours pour postuler pour la Garde régionale forestière du Luberon

La Région Sud relance son dispositif de Garde Régionale Forestière pour l’été 2025. 250 postes sont à pourvoir.

Comme chaque année, la Région Sud lance une campagne de recrutement pour sa Garde Régionale Forestière. Les postes à pourvoir sont destinés aux jeunes entre 18 et 25 ans qui devront patrouiller tout l’été dans les massifs, notamment ceux du Luberon et du Mont Ventoux, mais aussi informer les promeneurs et participer aux actions de prévention.

« Protéger notre patrimoine naturel est un devoir et une priorité absolue pour la Région Sud. »

Renaud Muselier, président de la Région Sud

Créée en 2018, la Garde Régionale Forestière s’inscrit dans le plan climat régional et dans le dispositif ‘Guerre du feu’, afin de préserver les milieux naturels et de prévenir les risques d’incendies. Tous les étés, les gardes régionaux forestiers jouent un rôle clé aux côtés côtés des pompiers, de l’Office national des forêts (ONF) et des acteurs locaux.

« Ce dispositif, que nous avons renforcé au fil des années, est une fierté régionale et un engagement concret pour l’environnement et la sécurité de nos massifs. »

Renaud Muselier, président de la Région Sud

Pour candidater et rejoindre la Garde Régionale Forestière, il suffit de se munir d’un CV, d’une lettre de motivation, et de prendre contact avec le Parc naturel régional ou la structure de son choix. Pour en savoir plus, cliquez ici.


Encore quelques jours pour postuler pour la Garde régionale forestière du Luberon

Ce samedi 26 octobre, le Parc naturel régional du Luberon organise une sortie et un atelier autour des oiseaux à Puget, animés par la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO) PACA, dans le cadre des Atlas de la biodiversité et de la géodiversité communales (ABC) de la commune.

Ce samedi dès 9h, il sera possible de découvrir les oiseaux de la commune de Puget. L’objectif de cette sortie sera d’apprendre à reconnaitre les différentes espèces d’oiseaux, les sédentaires et les migratrices, leur écologie, les menaces qui pèsent sur elles et comment les protéger.

La journée se poursuivra avec un atelier ‘Oiseaux des jardins’ à 14h dont l’objectif sera d’observer et identifier les espèces communes des jardins selon la méthode de l’enquête nationale ‘Oiseaux des jardins’ menée par la LPO qui invite le grand public à compter les oiseaux des jardins pour améliorer les connaissances sur leur répartition et sur l’évolution des populations.

Les deux activités peuvent se faire indépendamment.
Inscription au 04 90 04 42 00 / accueil@parcduluberon.fr
Samedi 26 octobre. 9h et 14h. Puget.


Encore quelques jours pour postuler pour la Garde régionale forestière du Luberon

À l’occasion de la Journée internationale de la géodiversité ce dimanche 6 octobre, le Parc naturel régional du Luberon organise une balade ‘entre géologie et patrimoine’ à Saint-Saturnin-lès-Apt, sur les hauteurs du village.

Alexandre Pottier et Delphine Hubert, deux médiateurs scientifiques de la Terre en tête, animeront ce rendez-vous et apprendront aux participants à détecter des indices dans le patrimoine bâti et dans le paysage pour comprendre l’histoire géologique du territoire.

Cette balade peut se faire à partir de 8 ans. Elle est gratuite sur inscription par mail à l’adresse accueil@parcduluberon.fr ou au 04 90 04 42 00. Le départ se fera à 14h à la médiathèque de Saint-Saturnin-lès-Apt. Il faut prévoir des chaussures de marche, des vêtements adaptés ainsi que de l’eau.

Dimanche 6 octobre. 14h. Gratuit. Médiathèque. Chemin Rippert de Monclar. Saint-Saturnin-lès-Apt.


Encore quelques jours pour postuler pour la Garde régionale forestière du Luberon

Jean Grégoire, ancien directeur du Parc naturel régional du Luberon, est décédé le 31 août dernier. Il avait intégré l’équipe du Parc en 1980 et en était devenu le directeur en 1992, jusqu’à son départ à la retraite en 2012.

« Madame Dominique Santoni, Présidente, les élus du comité syndical et les membres de l’équipe du Parc naturel régional du Luberon présentent leurs condoléances émues à sa famille et à ses proches, et souhaitent rendre hommage à Jean Grégoire », a communiqué le Parc.

Recruté par Gilbert Plat, le président fondateur du Parc, Jean Grégoire a défendu les valeurs du Parc avec passion depuis son arrivée en 1980. Son expérience et sa vision étaient appréciées et respectées dans le réseau des espaces protégés de France. Il a été chargé des questions agricoles, puis chargé de mission agriculture, études foncières et urbanisme, trois missions clés pour le territoire du Luberon. En 1991, il est devenu responsable du service aménagement et développement et adjoint au directeur, puis est devenu le directeur du Parc l’année suivante, sous la présidence de Jean-Louis Joseph.

Au cours de sa carrière, il a notamment été à l’initiative de nombreux projets tels que : la création des marchés paysans, la conduite des Plans d’occupation des sols (POS) dans les communes, la désignation du territoire par l’Unesco en tant que Réserve de biosphère en 1997, la reconnaissance du territoire en tant que Géoparc en 2004, la création du réseau des Parcs naturels régionaux de Provence-Alpes-Côte d’Azur, la coopération internationale avec le Maroc grâce à laquelle le concept de ‘Parc naturel’ a fait son apparition dans la loi marocaine, et bien d’autres.

Il a également participé à des projets au sein même du Parc, qui font de ce dernier ce qu’il est aujourd’hui : développement de l’éducation à l’environnement, animation des sites Natura 2000, création du service SEDEL (Services d’économies durables en Luberon) pour accompagner les communes vers la sobriété énergétique, défense du foncier agricole, structuration de la Maison du Parc, développement du tourisme à vélo, etc. Il a conduit deux révisions de la Charte en 1997 et 2009, et il a aussi favorisé l’extension du périmètre du Parc et son assise dans les Alpes-de-Haute-Provence.

« Pour tout cela, nous te disons “Merci Jean“. Nous garderons toujours dans nos cœurs le souvenir de ton humanisme, ton humour qui faisait notre bonheur et ton ‘esprit Parc’ », a conclu l’équipe du Parc naturel régional du Luberon.


Encore quelques jours pour postuler pour la Garde régionale forestière du Luberon

Le Parc naturel régional du Luberon a lancé deux études au sein de deux sites Natura 2000, ‘Vachères’ (Alpes-de-Haute-Provence) et ‘Rochers et Combes des Monts de Vaucluse’, afin d’identifier les zones forestières abritant des gîtes à chiroptères, plus communément appelées les chauves-souris, pour protéger les arbres-gîtes utilisés par ces espèces menacées.

À l’initiative du PNR du Luberon, Asellia Écologie a réalisé l’étude dans les Monts de Vaucluse, en collaboration avec l’ONF, du 15 au 20 juillet derniers. Le CEN PACA (Conservatoire d’espaces naturels de Provence-Alpes-Côte d’Azur) a quant à lui réalisé l’étude sur le site de Vachères, en partenariat avec GEOECO et ChirOïko.

Les organismes ont réalisé des prospections acoustiques, le suivi télémétrique des individus équipés d’émetteurs VHF (Very High Frequency), ainsi que la recherche d’arbres-gîtes par caméras thermiques, endoscopes et lampes.

Dans les Monts de Vaucluse, Asellia Écologie a commencé par capturer au filet des espèces forestières emblématiques, telles que la Barbastelle d’Europe et le Murin de Bechstein. Seule une jeune femelle Barbastelle a été attrapée et équipée d’un émetteur afin de localiser son arbre-gîte. Après plusieurs jours de recherche aux alentours de la combe de Font Jouvale, elle a été retrouvée dans le site Natura 2000 des Ocres, ce qui a permis la découverte d’un îlot d’arbres-gîtes qui les abritaient, elle, et sa colonie. Le Parc du Luberon va pouvoir procéder, avec l’accord du propriétaire, à la mise en protection de ce petit bois.

D’autres arbres et îlots d’arbres présentant des cavités et des points d’eau accessibles aux chauves-souris ont également été recensés lors de ces études. Le Parc va se charger d’informer les propriétaires de leur valeur pour la biodiversité et les sensibiliser à leur conservation. En plus de protéger les espèces de chauves-souris, cette mission va aussi permettre d’assurer le maintien de ces réseaux de vieux bois et les corridors les connectant, voire de les restaurer.


Encore quelques jours pour postuler pour la Garde régionale forestière du Luberon

Pour la 4ᵉ année consécutive, la compagnie de gendarmerie de Pertuis met en place des patrouilles équestres sur la période estivale. Ainsi, jusqu’au 15 septembre, les gendarmes cavaliers parcourront plusieurs communes du Parc naturel régional du Luberon en binôme.

Ces patrouilles à cheval ont pour objectif de la prévention, le contact avec la population, la lutte contre les incendies et la protection des massifs forestiers. Financés par le Parc Naturel Régional du Luberon, les chevaux sont loués cette année aux Écuries de Meille à Bonnieux.

Les chevaux et les gendarmes patrouilleront autour du plan d’eau d’Apt les samedi 27 juillet et vendredi 9 août, au sein du massif des cèdres à Bonnieux le dimanche 4 août, à Gordes le jeudi 15 août et à Roussillon le mercredi 21 août.

Deux cavaliers des brigades de Cadenet et Apt ont patrouillé sur la commune de Lourmarin lors du marché le vendredi 19 juillet.

Encore quelques jours pour postuler pour la Garde régionale forestière du Luberon

Ce mercredi 10 juillet, la Région Sud et le Parc naturel régional du Luberon ont lancé la campagne 2024 de la Garde régionale forestière Luberon à l’écomusée de l’ocre Ôkhra à Roussillon. Une opération qui est renouvelée chaque année depuis 21 ans.

27 jeunes ont été formés par la Région Sud pour être mobilisés sur le territoire du Luberon du 24 juin au 31 août. Cette garde régionale forestière représente un budget prévisionnel de 198 206€, financé par le Conseil régional à 80%, et le reste par le Parc naturel régional du Luberon et la Communauté de communes Pays d’Apt Luberon.

L’objectif des gardes est de sensibiliser le public à la réglementation qui concerne l’accès aux massifs forestiers du Luberon durant la période estivale. Ils peuvent également relayer l’alerte sur un éventuel départ de feu. En 2023, 110 000 personnes avaient été directement sensibilisées aux risques d’incendie.

Des gardes sur tout le territoire

Identifiables par leur uniforme doté des logos de la Garde régionale forestière et du Parc naturel régional du Luberon, les gardes sont déployés à l’entrée des sites naturels les plus fréquentés du territoire :

  • Forêt des cèdres du Petit Luberon
  • Colorado provençal à Rustrel
  • Sentier des ocres et Ôkhra-Écomusée de l’ocre à Roussillon
  • Accrobranches de La Tour-d’Aigues, Lagnes, Rustrel
  • Vallon de l’Aiguebrun
  • Gorges de Régalon
  • Colline Saint-Jacques à Cavaillon
  • Gorges de Véroncle
  • Mines de Bruoux et ENS La Bruyère
  • Gorges d’Oppedette
  • Sud Luberon

Les gardes sont également présents sur certains marchés locaux, notamment ceux d’Apt, Bonnieux, Forcalquier, Goult, Lourmarin, Manosque, Maubec-Coustellet, ou encore Roussillon, afin de faire de la sensibilisation.

Un dispositif renforcé

En réponse à la hausse de près de 50% de visiteurs dans les massifs du Luberon en 2020 et 2021, la Garde régionale forestière a augmenté ses effectifs pour s’adapter au besoin grandissant de sensibilisation du public. De nouveaux postes ont notamment été créés dans le cadre de l’Opération ‘Grand Site des Ocres’. Le Parc naturel régional du Luberon a même fait l’acquisition de deux VTT à assistance électrique en 2021 afin d’assurer une patrouille de gardes sur les crêtes du Luberon, grâce au soutien financier de la Fondation Crédit Agricole Alpes Provence.

Deuis 2023, les arrêtés préfectoraux liés aux risques d’incendie couvrent la période du 15 juin au 15 septembre. Pour connaître le niveau de risque incendie et les conditions d’accès aux massifs forestiers chaque jour, cliquez ici. Pour rappel, le Luberon a subi 11 incendie qui ont ravagé plus de 100 hectares ces cinquante dernières années, dont deux qui ont brûlé plus de 1 000 hectares en 1991 et en 2017 dans le Sud Vaucluse.


Encore quelques jours pour postuler pour la Garde régionale forestière du Luberon

Sous l’impulsion de la Région Sud, les neufs Parcs naturels régionaux de Provence-Alpes-Côte d’Azur (Alpilles, Baronnies provençales, Camargue, Luberon, Mont-Ventoux, Préalpes d’Azur, Queyras, Sainte Baume et Verdon) travaillent conjointement depuis 10 ans pour être des destinations de tourisme durable et présenter une offre touristique responsable.

Le projet ‘Interparc tourisme’, né en 2014, permet de financer deux agents et un programme annuel d’actions visant la qualification, l’accompagnement, l’animation et la valorisation des professionnels de l’écotourisme. Pour célébrer ces dix années d’actions communes, la Commission Tourisme du Réseau des Parcs naturels régionaux de PACA s’est réunie au mois de juin à l’hôtel Le Mas des Grès à Lagnes.

Cet événement a été l’occasion de faire un bilan de la dernière décennie et d’aborder les perspectives pour celle à venir. Cette rencontre a rassemblé les présidents des Parcs, les élus en charge du tourisme, les directeurs et les chargés de mission tourisme. Aujourd’hui, la marque ‘Valeurs Parc naturel régional’, qui est un des principaux outils mis en place par le projet ‘Interparc tourisme’, compte 324 entreprises touristiques bénéficiaires en région. Cette marque certifie les valeurs des Parcs telles que l’attachement au territoire, la forte dimension humaine et sociale, et la préservation et valorisation des patrimoines. Elle porte la vision d’un autre modèle de société conciliant de façon plus harmonieuse les aspects écologiques, économiques et sociaux, pour assurer de façon durable le bien-être de tous au sein d’un territoire.

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