22 juillet 2024 |

Ecrit par le 22 juillet 2024

Café des entrepreneurs, la CPME 84 propose un petit-déjeuner ce mercredi 28 juillet à 9h

La CPME 84 (Confédération des petites et moyennes entreprises) propose un petit-déjeuner réseau ce mercredi 28 juillet à partir de 9h jusqu’à 10h30, à l’Hôtel Mercure d’Orange 258, route de Caderousse. La rencontre est limitée au premières 50 personnes. Pour une session réussie venez avec vos cartes de visite. Inscription obligatoire auprès de contact@cpme84.org et www.cpme84.com
M.H.


Café des entrepreneurs, la CPME 84 propose un petit-déjeuner ce mercredi 28 juillet à 9h

Selon l’Insee Provence-Alpes-Côte d’Azur, 3 120 emplois dépendraient de la présence de la Base aérienne 115 (BA 115) d’Orange-Caritat. Ces chiffres confirment l’impact du premier site militaire du département sur l’économie et l’emploi du Haut-Vaucluse.

« La Base aérienne 115 d’Orange emploie 2 030 personnes sur son site, explique l’Insee Provence-Alpes-Côte d’Azur dans une étude qu’elle vient de publier en partenariat avec le ministère des Armées. La quasi-totalité d’entre elles, soit 1 750 personnes, sont des militaires d’active. 80 civils travaillent également à temps complet sur le site de la base aérienne. S’y ajoutent 200 réservistes présents à temps partiel sur la base. »
Chaque année, 4 500 à 5 000 militaires sont aussi de passage à la BA 115, pour une formation de durée variable, de 1 semaine à 6 mois. En effet, la base aérienne forme des pilotes de chasse et d’hélicoptère ainsi que les commandos parachutistes de l’air et tous les militaires du rang de l’Armée de l’air et de l’espace. Ces stagiaires, logés sur la commune d’Orange durant leur formation, représentent l’équivalent de 500 personnes présentes sur site tout au long de l’année. Au total, entre les militaires, civils, réservistes et stagiaires confondus, 2 530 emplois sont liés directement à la présence de la BA 115, ce qui situe la base dans la moyenne des effectifs des bases aériennes françaises.
La BA 115 est le plus gros employeur de cette zone, loin devant le centre hospitalier d’Orange (800 emplois) et la mairie d’Orange (500 emplois).

10% des emplois de la zone
Si les unités opérationnelles de la BA 115, aussi dénommée capitaine Maurice de Seynes depuis 1989, sont réparties entre la plateforme aéronautique Caritat, qui s’étend sur les communes d’Orange, Jonquières et Camaret-sur-Aigues, et le ‘quartier Geille’ dans le centre-ville de la cité des princes, la zone d’influence s’étend sur près d’une quarantaine de communes situées en Vaucluse (25 communes) mais aussi dans la Drôme (4 communes) et le Gard rhodanien (6 communes).
Dans cette zone, 10% des emplois dépendent de la base aérienne car au-delà des emplois directs sur son site, celle-ci génère sur ce territoire, l’équivalent de 590 autres emplois. Pour l’essentiel, ces emplois sont induits par la consommation quotidienne des familles des salariés de la base aérienne et de ses fournisseurs locaux. La moitié des emplois sont générés dans le secteur marchand, dont le commerce (16%) et la construction (11%). La santé et l’administration publique en concentrent à eux deux près de 42%. Des emplois induits qu’y se concentrent principalement à Orange, Jonquières, Camaret-sur-Aigues et Sérignan-du-Comtat où se trouvent les trois quarts de l’ensemble des emplois indirects et induits générés par l’activité de la base aérienne, soit 450 emplois.
Au final, ce sont au total 3 120 emplois qui dépendent de la base aérienne.

Un important poids démographique aussi
« Si l’on considère les familles des salariés, la population concernée par l’activité de la base aérienne représente l’équivalent de 5 180 personnes dans la zone d’influence, poursuit cette étude menée pour l’Insee par Lucile Jamet et Carole Zampini. Près de la moitié de cette population réside à Orange, soit 2 500 personnes. Environ 380 personnes habitent à Camaret-sur-Aigues, 360 à Jonquières, 290 à Piolenc et 200 à Sérignan-du-Comtat. Comme pour l’emploi, l’influence de la base en termes de population est maximale à Orange où 8,6% de la population communale est concernée par la présence de la base, à Camaret‑sur-Aigues (8,4%), à Sérignan-du-Comtat (7,4%) et à Jonquières (6,6%). A Piolenc et Mornas, la base ‘pèse’ entre 4 et 6% de la population totale. »
Cette présence a également un impact sur les effectifs des établissements scolaires des environs. En effet, 880 enfants âgés de 3 à 17 ans ont au moins un parent employé sur la base aérienne. Ils représentent 3,5% des enfants en âge d’être scolarisés du territoire d’influence. À cela s’ajoutent 160 enfants âgés de moins de 3 ans, susceptibles d’être gardés en crèche. Caractéristique d’une population jeune, 60% des enfants des salariés de la base sont en âge d’être inscrits en école maternelle ou primaire, contre 50% de ceux de la zone d’influence.
L’influence de la base aérienne ne se limite cependant pas à la zone retenue dans cette étude. Des salariés de la BA 115, de même que des salariés travaillant dans les établissements fournisseurs, résident en dehors de cette zone. Ces derniers représentent tout de même 32% des effectifs.

La base aérienne va moderniser ses infrastructures pour accueillir deux escadrons Rafale à partir de l’été 2024 en remplacement de celui de Mirage 2000.

Nombreux liens avec le tissu local
Premier site militaire de Vaucluse, la base entretient donc des liens étroits avec le tissu local. Elle s’investit ainsi auprès des établissements scolaires à travers des initiatives diverses comme les Brevets d’initiation aéronautique, les Classes de défense et de sécurité globales et, plus ponctuellement, des journées portes ouvertes thématiques.
Tout récemment, Orange-Caritat a reçu jeudi 1er juillet les élèves du collège Marie-Pila, du lycée Henri-Fabre et Victor-Hugo de Carpentras, du collège Jean-Giono d’Orange, du collège Saint-Gabriel de Valréas, du lycée Montesquieu de Sorgues et du lycée Vincent de Paul d’Avignon afin d’assister à un vol de nuit au cours duquel des brevets d’initiation aéronautique ont été remis. Le 6 juillet, une convention entre le collège de Sainte-Cécile les Vignes et la base aérienne 115 d’Orange a été signée, avec l’Escadron d’hélicoptères 5/67 Alpilles comme unité marraine.
Mi-juin, la base a aussi organisé son 1er rallye citoyen 2021 au profit d’une centaine d’élèves de différents collèges du Vaucluse.
Par ailleurs, dans le cadre des Journées défense et citoyenneté, cette base inaugurée en 1939 par Edouard Daladier, alors président du conseil et député d’Orange, accueille plus de 8 000 jeunes par an. La base aérienne dispose également d’un musée ouvert au public qui attire environ 5 200 visiteurs par an.

Encore des investissements à venir
Dans le cadre de la loi de programmation militaire 2019-2025, la base aérienne modernise ses infrastructures pour accueillir deux escadrons Rafale à partir de l’été 2024 en remplacement de celui de Mirage 2000 équipant actuellement la BA 115 depuis 1998. La venue du jet de combat omnirôle de Dassault devrait nécessiter des travaux d’aménagement sur les 371 hectares du site et les 2 400 mètres de piste. Ainsi, l’Armée de l’Air et de l’Espace vient de lancer, fin 2020, le chantier de son nouveau mess (8,5M€ d’investissement) qui devrait être opérationnel d’ici la fin du printemps 2022.
Sur cette période, d’importants investissements (plus de 150M€) vont donc conforter la base aérienne dans son environnement local et accroître légèrement son effectif (50 personnes supplémentaires à l’horizon 2024).
Par ailleurs, chaque année, la base commande 6,7M€ (ndlr : chiffre 2017) de matériels, fournitures et prestations de services auprès d’environ 300 établissements dont un tiers d’entreprises locales. Ces besoins nécessaires à son fonctionnement général et l’entretien de ses infrastructures représentent l’équivalent de 35 emplois.
L’Armée de l’Air prépare également l’avenir en tenant compte des contraintes environnementales. En effet, le Service du commissariat des armées (SCA) a acquis quatre Citroën AMI électriques pour une expérimentation menée par le Groupement de soutien de la base de défense Istres-Orange-Salon de Provence. De quoi permettre de répondre aux enjeux de transition énergétique avec un basculement de la moitié de la flotte administrative des armées à une propulsion à faibles émissions de gaz à effet de serre d’ici 2030.

D’ici mars 2022, la BA 115 sera dotée d’un nouveau mess d’une superficie de 3 400m2.

Café des entrepreneurs, la CPME 84 propose un petit-déjeuner ce mercredi 28 juillet à 9h

Les plus chanceux verront le tenor ce samedi dans le rôle de Samson aux Chorégies d’Orange. Pour les autres, il faudra se contenter de la diffusion par France Télévisions de la générale programmée le vendredi 16 juillet à 22h10 sur France 5.

On ne l’avait plus revu au Théâtre Antique depuis août 2015, à l’issue du ‘Trouvère’. Lui, le tenor le plus populaire du lyrique venu si souvent à Orange, dans ‘Traviata’ en 1993, ‘Rigoletto’ en 95, ‘Le Requiem’ de Verdi en 2001, ‘Roméo & Juilette’ de Gounod (2002), ‘La Bohème’ (2005), ‘Aïda’ (2006), à nouveau ‘Le Trouvère’ (2007), ‘Faust’ (2008), ‘Cavalleria rusticana’ & ‘Pagliacci’ (2009), ‘Tosca’ (2010), ‘Turandot’ (2012), ‘Otello’ (2014).

Placido Domingo en 1978
Avec ce ‘Samson et Dalila’ il est la star de l’opéra de Camille Saint-Saëns (mort il y a tout juste un siècle, en 1921) joué pour la dernière fois aux Chorégies en 1978 avec Placido Domingo. Dans une mise en scène de Jean-Louis Grinda, avec une centaine de choristes, les 83 musiciens du Philharmonique de Radio France dirigés par Yves Abel et la vingtaine de danseurs des Ballets de l’Opéra Grand Avignon et de l’Opéra-Théâtre de Metz Métropole. En haut de l’affiche avec Roberto Alagna, la contralto Marie-Nicole Lemieux qui interprètera Dalila. La cantatrice qui adore le fameux ‘Mur d’Orange’ : « C’est un lieu unique, magique qui me remplit d’émotions indescriptibles. J’ai chanté ici la ‘IXème Symphonie’ de Beethoven en 2005 sous la direction de Kurt Masur. Il ne faut pas une grande voix pour Orange mais une voix lumineuse comme un rayon laser. »

Enthousiasme général
‘Samson & Dalila’ dont la générale a eu lieu mercredi soir a littéralement soulevé l’enthousiasme des 4 000 spectateurs massés dans les gradins, soit la moitié de la contenance habituelle, jauge sanitaire oblige.
De retour aux Chorégies pour la 16efois, Roberto Alagna qui a déjà chanté ‘Samson’ pendant 3 ans au Metropolitan de New-York et à l’Opéra de Paris le reconnaît : « Il n’y a jamais de rôle facile pour un ténor. Ce personnage est intense et demande beaucoup d’émotion, la tessiture est ample et chanter en plein air avec parfois du mistral exige le meilleur » et Robert a fait preuve d’une immense générosité dans sa prestation. Il a reçu une véritable ovation mercredi à l’issue de la générale avec de longs applaudissements qui lui ont fait au chaud au coeur. Au point qu’avant de rentrer dans sa loge, il a fait nombre de ‘cheks’ aux spectateurs ébahis d’une telle proximité.

Pour ceux qui ne pourront pas assister à l’unique représentation de ‘Samson & Dalila’ ce samedi à 20h45 France Télévisions a capté la générale et la diffusera le 16 juillet sur France 5. Sinon, Roberto Alagna participera le 24 juillet, toujours aux Chorégies à une ‘Nuit verdienne’ avec le baryton Ludovic Tézier et la basse russe Ildar Abdrazakov.

© Philippe Gromelle Orange

Café des entrepreneurs, la CPME 84 propose un petit-déjeuner ce mercredi 28 juillet à 9h

Les chiffres donnent le tournis. 7 000 heures de diffusion, 190 pays dans le monde et 12 millions de téléspectateurs. Le temps d’une journée, les terres vauclusiennes ont profité d’un rayonnement mondial sans précédent.

Une prouesse technologique permise par Orange Events, partenaire technique du Tour de France depuis plus de vingt ans. Immersion dans les coulisses de la logistique de la Grande Boucle avec Monsieur Terreaux, éternel passionné. « Le Tour est diffèrent d’autres sports comme le football par exemple, un peu aseptisé. Il y a de l’amour et de la proximité. Disons que cela correspond à 21 matchs joués serrés », ironise Henri Terreaux dans son antre, un car régie faisant office de tour de contrôle.

Mercredi 7 juillet, 11e étape Sorgue-Malaucène, une météo plutôt favorable, aucun incident notable. Comme l’année dernière sur le Mont Aigoual, nous retrouvons un directeur des équipes techniques Orange Events animé d’une passion profonde, conjuguée à une expertise remarquable des technologies. Il virevolte, gesticule dans tous les sens, vous montre son ‘Dashboard’, navigue avec les écrans de surveillance. En plein cœur de ce point névralgique, il vous conte ses anecdotes passées, ses histoires insolites qui font la typicité du Tour de France.

Chaque fil électrique a son importance capitale… ©Linda Mansouri

40 techniciens Orange se relaient jour et nuit pour installer 12 tonnes de matériel d’une ville étape à l’autre, et tout ceci en assurant les communications internes, télé et radio au départ, durant la course et à l’arrivée. « Nous arrivons la veille, les 120 camions, les cars régies vont se positionner vers minuit, détaille-t-il. Vers six heures du matin, on attaque les barriérages, le fibrage de chaque camion. Les liaisons sont ensuite opérationnelles. On fait des tests avec le village départ et avec la course ». Chaque jour sur la ligne d’arrivée, les camions viennent s’imbriquer, dans un ordre différent de la veille… Un casse-tête supplémentaire.

Attention aux fils ! ©Linda Mansouri

Vient ensuite la diffusion de la course à assurer. Les images et sons des médias sont acheminés par un faisceau hertzien (FH). Les caméramans en moto envoient les images et le son vers un hélicoptère qui lui-même renvoie le signal vers des avions à plus haute altitude, signal récupéré ensuite par un récepteur placé en haut d’une grue jaune sur la ligne d’arrivée. Les équipes sont aussi chargées de retransmettre l’arrivée de l’étape, les visioconférences et les interviews des coureurs. 

Cars régie, motos, hélicoptères, grue…

Les techniciens Orange sont mobilisés jour et nuit pour assurer le transport, le montage, la mise en route et la maintenance des infrastructures. Chaque jour, ce sont 25km de fibre à installer le matin et à remballer le soir. Nous nous retrouvons rapidement dans un intriguant camion. Atmosphère sombre, écrans lumineux : la concentration est à son comble. Bienvenus chez Globecast, filiale d’Orange, qui s’occupe du rapatriement en direct des images.

Ces dernières sont récupérées, traitées qualitativement et transmises au car de production de France Télévision. Ce dernier renvoie ensuite la réalisation à Globecast qui se charge de transmettre le produit fini par satellite, ce sont les images que vous voyez dans votre salon. Sur les multiples écrans, nous apercevons les captations des hélicos, les caméras privatives d’ASO et France Télévision, NBC, Europost et leurs commentateurs. La voix du réalisateur résonne depuis l’enceinte : « fais-moi un plan sur la moto 1, top ! Hélicoptère numéro 2 preview, prépare-toi ! »

Les faisceaux lumineux jaillissent de toutes parts chez Globecast. ©Linda Mansouri
Globecast, filiale d’Orange. ©Linda Mansouri

En sortant du car, nous voilà nez à nez avec une étrange girafe jaune perdue dans le ciel bleu. Une grue qui porte des paraboles à 60 mètres de haut. Elles servent de relais entre le car de la SFP, qui récupère les flux vidéo des motos et des hélicoptères, et le car régie de France Télévisions dans lequel le réalisateur sélectionne les images qui passent à l’antenne.

La légendaire grue jaune. ©Linda Mansouri

« Parmi nos missions, nous assurons tout ce qui est vidéo-surveillance de bout en bout. Nous formons des personnels de la Garde républicaine et de la mission police à utiliser la console de supervision. Nous posons aussi des caméras de vidéosurveillance aux points stratégiques que sont les différentes entrées, le podium protocolaire, et sur le village départ. » Tout cela est centralisé dans un car, qui fait office de PC sécurité dans lequel il y a un préfet, des représentants de la Garde et de la mission police, qui œuvrent.

Le Dashboard ? Toutes les données y sont compilées dans une logique de contrôle et de supervision. Médias internationaux, nombre de sessions des journalistes, supervision des antennes wifi, contrôle des caméras de surveillance en zone de départ, d’arrivée et salle presse. Au fil des Tours, les équipes Orange se sont adaptées aux évolutions technologiques mais également à celles des médias. Les journalistes qui sont plus nombreux, les photographes qui envoient à leurs agences davantage de photos, en temps réel, ou encore les journalistes de presse écrite qui produisent aussi des contenus vidéos…

Dashboard, véritable écran de contrôle et d’aide à la décision. ©Linda Mansouri

40 techniciens mobilisés en Vaucluse

Laurent Caudal et Eric Francon, deux magiciens de la technique en Vaucluse. Pas moins de 40 techniciens sont mobilisés sur l’étape vauclusienne. « Notre équipe a commencé à préparer cette étape il y a 90 jours, expliquent-ils. Nous avons déployé des moyens techniques sur les trois zones: départ, arrivé et village presse, afin d’alimenter les camions Orange Events avec des fibres de notre réseau pour le haut débit. » Leur travail ne se résume pas seulement au Tour. Tout au long de l’année, ces techniciens interviennent sur le réseau au profit des clients Orange, notamment sur la partie fibre et cuivre. Ingénieurs réseaux, techniciens, chef de projet se mobilisent, dans des conditions parfois extrêmes, pour un dispositif inédit, le tout dans le respect des consignes sanitaires.

Les techniciens d’Orange sont à pied d’œuvre. ©Linda Mansouri

Accélérateur numérique

Les déploiements des réseaux réalisés à l’occasion du passage du Tour ont, depuis 22 ans, permis à des communes et des lieux d’exception de voir leur connectivité s’enrichir de façon pérenne. Ainsi, 9 relais mobiles 4G et 5 relais 5G seront définitivement installés. Et sur le tracé de cette édition 2021 : 662 communes sont déjà couvertes en 4G, 7 villes étapes bénéficient dès aujourd’hui de la 5G, et 225 communes sont connectées à la Fibre avec Orange.

En Vaucluse, 17 communes sont concernées. Des études sont réalisées 1 an avant le début du Tour de France pour analyser les zones traversées concernant la couverture 4G. L’upgrade technique sur les antennes locales (de 3G en 4G) restent pérennes et profitent aux territoires traversés. « Nous disposons également de relais mobiles permettant de palier à une surcharge de la bande passante », précisent les magiciens de la technique. Quand on vous dit que les moyens sont monumentaux… Rendez-vous est pris l’année prochaine pour une nouvelle édition sportive, aussi bien pour les coureurs que pour les équipes Orange…


Café des entrepreneurs, la CPME 84 propose un petit-déjeuner ce mercredi 28 juillet à 9h

Maurice Chabert, Président du Conseil Départemental du Vaucluse et Philippe Daumas, Délégué Régional Orange en Rhône Durance, ont signé une convention de participation financière visant à concrétiser l’engagement de l’opérateur de télécommunications dans le Fonds de solidarité pour le logement (FSL).

Ce dispositif va concrètement permettre à des familles vauclusiennes de bénéficier d’un abandon de créances : ligne fixe, services Internet, services mobile, auprès de leur opérateur de télécommunications Orange. La convention établie que le Département, qui a en charge l’application du FSL auprès des publics, instruit les dossiers de demande tandis que l’opérateur de télécommunications Orange prendra en charge l’effacement partiel ou total de la dette de ses clients en difficulté, selon la décision du Département. Cette initiative est destinée aux ménages modestes, dans le cadre d’une action préventive pour leur éviter une situation encore plus pénalisante.

Dans le détail

Pour rappel, le Fonds de Solidarité pour le Logement accorde des aides financières pour le paiement des dettes locatives en direction des personnes en précarité, sous conditions de ressources. Ainsi, les difficultés de logement prises en charge par le FSL peuvent relever de l’accès au logement (caution), du maintien de celui-ci (impayés de loyer) ou de certains postes connexes (impayés d’énergie, d’eau, ou de télécommunications). Depuis 2014, à l’échelle nationale, la société Orange a signé 165 conventions de ce type avec des collectivités territoriales et des métropoles. 74 Départements se sont ainsi engagés avec Orange.
M.H.


Café des entrepreneurs, la CPME 84 propose un petit-déjeuner ce mercredi 28 juillet à 9h

Des profondeurs de la Nouvelle-Orléans à la cité des princes, le jazz a su au fil des années traverser les frontières pour conquérir le public autour de ses valeurs fondatrices : liberté, dignité humaine et tolérance. Un genre musical teinté de swing, de groove, de saxo, de trompette, auquel la ville d’Orange rend hommage dans le cadre de la 25e édition du Festival de jazz. Découvrez les têtes d’affiche qui plongeront la place de la mairie dès ce soir dans une capsule temporelle.

Mardi 22 juin : Awek

25 ans sur les routes, 25 ans de passion pour ce blues enivrant et envoûtant. 12 albums, plus de 2 000 concerts à travers la France, l’Inde, le Maroc, le Québec, les USA. Bon anniversaire, les toulousains !

Mercredi 23 juin : Hugh Coltman

Rythme chaloupé, cuivres joyeux, guitares bluesy, orgue soul, et voix tendre qui sait se faire rocailleuse, presque grondeuse. Ça balance entre blues, RnB, folk et soul. Bonheur à l’état pur.

Jeudi 24 juin : Myles Sanko

Des instrumentations riches, des arrangements finement ciselés, Myles réunit le passé, le présent et l’avenir. On jurerait reconnaître la voix de Grégory Porter et pourtant, ce vocaliste britannique impose son style. Dandy à la voix d’or !

Vendredi 25 juin : Malted Milk

Le groupe nantais qui rafraîchit la soul avec passion depuis plus de 20 ans. Soul, funk, blues et rock sont merveilleusement arrangés et mixés. C’est énergétique, communicatif, voir même explosif.

Samedi 26 juin : Jean-Jacques Milteau

Le plus célèbre des harmonistes français nous offre un grand cru avec un blues authentique et vivant. Une merveille auditive.


Café des entrepreneurs, la CPME 84 propose un petit-déjeuner ce mercredi 28 juillet à 9h

C’est la belle annonce du jour. La ville d’Orange vient de communiquer la venue du roi de la musique électronique au Théâtre Antique d’Orange : l’immense David Guetta, le 14 aout 2021. Vous êtes déjà nombreux à poser des questions concernant le pass sanitaire et les conditions d’accès. La municipalité précise que tout sera communiqué en temps voulu et invite les intéressés à s’inscrire à l’événement. Ouverture de la billetterie le lundi 14 juin à 10h. Tarif : 40€ (pour les 400 premiers billets vendus), 60€ ensuite.

Affiche officielle

Café des entrepreneurs, la CPME 84 propose un petit-déjeuner ce mercredi 28 juillet à 9h

La Fédération du bâtiment et des Travaux publics de Vaucluse a organisé un webinaire avec Jacques Bompard, président de la Communauté de communes du pays réuni d’Orange. Objectif ? Faire un tour d’horizon des opérations BTP en cours et à venir et sensibiliser les élus sur l’urgence de démarrer les projets de chantiers.

Christian Pons, président de la Fédé BTP 84, entouré de ses vice-présidents dont Daniel Léonard en charge de la branche des Travaux publics, continue son Tour de Vaucluse auprès des élus, invitant Jacques Bompard, en sa qualité de Président de la Communauté de communes du pays réuni d’Orange, à dresser les chantiers à venir.

Aujourd’hui

Le président de la fédération a tout d’abord expliqué être en butte a beaucoup de dysfonctionnements : «En ce moment les entreprises sont très préoccupées par les marchés et connaissent de nombreux dysfonctionnements, notamment avec l’administration, pour la mise en route des chantiers, il était donc important que nous fassions un tour d’horizon des présidents de communautés de communes pour toucher tous les élus.» Ce webinaire marquait, pour autant, la fin du tour du département débuté en septembre 2020. «Nous avons fait des propositions aux élus leur démontrant l’urgence de rétablir l’économie de notre pays à un niveau suffisant,» a témoigné Christian Pons.

Où en est-on ?

La fédération du bâtiment et des travaux publics rassemble 400 entreprises adhérentes sur les 2 000 existant dans le département, soient plus de 6 000 salariés sur les 13 000 que compte le Vaucluse. La commande publique, dans le BTP connaît une part importante représentant près de 50% du volume d’activité. «L’année dernière était année d’élection, -Ndlr : maintenant les futurs chantiers en stand by- a souligné Christian Pons, puis la Covid 19 a occasionné une baisse majeure des chantiers inscrits dans les carnets de commande. Depuis la fin de l’année dernière et jusqu’à aujourd’hui l’inquiétude est grandissante car tous les indicateurs pointent de nouvelles baisses d’appels d’offres, ainsi, d’une situation stagnante voire dégradée depuis juin 2020, nous assistons à un fléchissement des procédures de démarrage des chantiers, ce que d’ailleurs révèlent nos enquêtes internes.»

Plus précisément

L’interprofessionnelle a donc envoyé en septembre, octobre, décembre 2020 puis en janvier et mars des questionnaires à ses adhérents pour un ‘retour de terrain’. Les enquêtes adressées aux adhérents, sur les appels d’offres, sont perçus par eux comme insuffisants à 73% avec, cependant, un maintien des consultations soutenu par les maîtres d’ouvrages issus du privé à 41%, du Conseil départemental à 35% et des bailleurs sociaux à 24%, les maîtres d’ouvrages du secteur public étant les plus absents des consultations. Enfin, les adhérents jugent les niveaux de prix des marchés attribués bas à 94%.

Le bâtiment peine à ‘sortir’ ses chantiers, en cause ? le retard de traitement administratif des dossiers

Conjoncture

Au chapitre de la conjoncture, si 28% des adhérents la ressentent comme dégradée, 72% y lisent une évolution encourageante tout comme pour l’emploi à 74%, même chose du côté de la trésorerie ou 83% consentent y voir une légère amélioration cependant gravement minorée par une involution des prix pratiqués perçue par 62% comme dégradée et moyenne à 38%. De fait 87% des adhérents ont repris leur effectif en CDD et CDI (Contrat à durée déterminée et indéterminée), cependant 54% n’ont pas eu recours aux intérimaires. Les problèmes résiduels dus à la Covid restent rémanents pour 62% des professionnels, impactant de plein fouet un carnet de commande qui ne se remplit pas. «La situation reste fragile, entame Christian Pons. Les entreprises ont besoin de retrouver de l’activité et du chiffre d’affaires pour rembourser les prêts garantis par l’Etat, les charges, alors même que les trésoreries ont été asséchées… ça va être compliqué.»  

Du côté de chez Jacques Bompard

«Nous avons constaté, les deux premiers mois, un ralentissement de l’activité des entreprises, se souvient Jacques Bompard, puis elles ont fait leur travail. Nous avons voté, comme tous les ans, le budget en avril a assuré le président de la CCPRO, énumérant les opérations sans toutefois les chiffrer. A ses côtés Béatrice Benod, directrice de la commande publique, a assuré que «de nombreux chantiers seraient lancés très prochainement ainsi qu’en septembre».

Les prochains chantiers

Il a été évoqué de nombreux travaux de voirie, la construction d’un groupe scolaire, des travaux pour le groupe scolaire maternelle et élémentaire Castel, la réhabilitation de commerces de centre-ville d’Orange, la réhabilitation du gymnase Argensol, la réhabilitation et la création des Archives municipales à l’Hôtel Dieu, des travaux d’étanchéité pour la médiathèque, la construction d’un boulodrome, la réhabilitation de la ferme du Grenouillet et la création d’un parking, la réhabilitation du Palais des sports ainsi que de la salle de spectacle, la rénovation et l’extension d’un bâtiment à Taillefert, la construction d’un bâtiment technique pour le cimetière, des travaux d’aménagement du parvis pour le centre funéraire et la réorganisation intérieure du crématorium. En tout 13 chantiers sont prévus en 2021 et déjà 5 en 2022. »

Quid du plan de relance du gouvernement ?

Christian Pons a ensuite requis l’expérience de Jacques Bompard sur l’utilisation du Plan de relance du Gouvernement à propos de projets locaux prêts à démarrer, ainsi que sur l’utilisation de la dotation de soutien à l’investissement local ainsi que la Dotation d’équipements des territoires ruraux (DETR).
« Nous avons fait toutes les demandes possibles et imaginables mais n’avons, à ce jour, pas reçu de réponse. Je crains que l’argent n’aille plus aux banques qu’aux élus locaux que nous sommes. Lorsque j’ai été élu, la déviation d’Orange avait été inaugurée 3 à 4 ans auparavant alors qu’elle n’est toujours pas là. Aujourd’hui on me promet la réalisation du tiers de la déviation sans s’engager sur plus. Pourtant il s’agit d’anciens dossiers. Ce qui sortira et dont on est sûrs ? La réhabilitation de la Cité de l’Aygues, » (Ndlr : constituée de 18 barres de logements sociaux, de 262 logements dont 100 sont actuellement murés d’une cité construite en 1973).

Le démarrage des chantiers NPNRU des grandes villes de Vaucluse est très attendu

Les difficultés rencontrées

«Nous faisons face depuis des mois à la situation et nous comptons sur nos élus pour nous soutenir, martèle Christian Pons. Les fonctionnaires qui les entourent font de leur mieux, notamment les personnels des services techniques. Notre préoccupation ? Faire la jonction entre aujourd’hui et une activité normale, car nous ne sommes pas encore sortis de la crise sanitaire. Également nous ne nous attendions pas à la hausse du coût des matériaux de construction, voire aux pénuries que nous commençons à connaître notamment avec les métaux : l’étain, le cuivre, l’aluminium, le minerai de fer pour la fabrique d’acier pour la construction, sans parler du bois, des isolants…»

En résumé

«Les déclarations de Jacques Bompard évoquent plus une reprise pour les Travaux publics et un peu moins pour le bâtiment tandis que les Communautés de communes se penchent sur les équipements publics et la voirie », a synthétisé Christian Pons. « Il y a plus d’études de prix mais pas beaucoup de suites données, » a relevé Diego Boluda, vice-président de la branche second œuvre. Pour tous, la vraie dynamique viendra d’Avignon avec le démarrage du NPNRU (Nouveau programme national de renouvellement urbain). «Nous manquons de main d’œuvre, a relevé Daniel Léonard, vice-président TP, nous recherchons des intérimaires qualifiés qu’hélas nous ne trouvons pas.»

Identifier les freins pour les éradiquer

Le Bâtiment et les travaux publics comptent particulièrement sur les NPNRU intervenant sur les grands bassins de vie du Vaucluse. Cependant le dispositif semble connaître des difficultés à démarrer. La mission du président de la fédé du BTP ? Dégripper les rouages de délivrance d’autorisation d’urbanisme, renouer le dialogue avec les ABF (Architectes des bâtiments de France) qui grimacent, notamment, à l’idée d’ITE (isolation thermique extérieure) des bâtiments sociaux en pierre du XXe siècle situés sur la Rocade Charles de Gaulle à Avignon… Le propos ? Tenir jusqu’à ce que l’activité redevienne normale.»


Café des entrepreneurs, la CPME 84 propose un petit-déjeuner ce mercredi 28 juillet à 9h

Ce sont au total 30 tenues toutes neuves (maillots, shorts, chaussettes), que les jeunes du club de football FC Carpentras pourront fièrement arborer sur la pelouse. A travers cette donation, Orange exprime une fois de plus son soutien au football amateur. Philippe Daumas, délégué régional, a remis en mains propres les tenues colorées, fruit d’un partenariat qui renforce le soutien d’Orange au tissu associatif régional.

« Conscient de sa responsabilité sociétale, notamment en cette période de crise sanitaire, Orange souhaite accentuer son soutien au football amateur à travers le territoire via des dotations de matériels mais aussi l’accès à une éducation numérique responsable. Orange est engagé dans le sport amateur depuis 20 ans et, en tant qu’acteur de la révolution digitale, cherche à s’assurer que les jeunes disposent de toutes les connaissances pour que le numérique soit un levier de progrès et d’épanouissement », précise le groupe.

Cette aide d’Orange au sport amateur est aussi appuyée sur le territoire par le prolongement du programme Orange football amateur via la plateforme ‘Nike – FFF – Orange’. Les clubs affiliés FFF (catégories U11 – U13 – U15) qui le souhaitant peuvent y commander leurs maillots avec une remise de 50%. A ce jour, 250 clubs affiliés FFF ont déjà passé commande pour un volume total de 15 000 maillots floqués Orange.

Pour en savoir plus sur les engagements en matière de responsabilité numérique, cliquez ici: bienvivreledigital.orange.fr.

Les jeunes du FC Carpentras se pavaneront bientôt avec la panoplie du bon footballeur

L.M

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