Orange : la sortie sur le boulevard Daladier par la rue Caristie interdite
La cité des Princes effectue de gros travaux sur son boulevard Daladier depuis plusieurs mois. Jusqu’au 23 décembre, la sortie sur le boulevard Daladier par la rue Caristie sera interdite. Le tronçon entre la rue du Tillet et la rue Caristie, quant à lui, verra son sens de circulation inversé pour la même période.
Cet été, des trottoirs et une bande cyclable du côté de l’école Notre-Dame et la moitié de la route a été refaite. Désormais, la ville d’Orange va entamer des travaux sur les réseaux d’eaux entre l’avenue de l’Arc de Triomphe et la rue Caristie, ainsi que les abords du carrefour de la rue de la République.
V.A.
Orange : la sortie sur le boulevard Daladier par la rue Caristie interdite
À l’approche de la saison où les températures chutent, Damart arrive à point nommé ! L’enseigne de prêt-à-porter, connu notamment pour ses vêtements chauds, vient de s’installer dans le centre commercial Orange les Vignes.
Le magasin propose, sur une surface de 214m², une large gamme de prêt-à-porter ainsi que des chaussures, de la lingerie et des sous-vêtements pour femmes, hommes et enfants. « Nous sommes ravis de rejoindre le centre d’Orange Les Vignes pour se rapprocher de nos clients habitant le nord Vaucluse et enfin leur offrir l’opportunité de venir découvrir et essayer sur place nos produits avec une spécificité pour ce magasin, un espace détente à proximité des cabines », explique Clémence Fossier, porte-parole de l’enseigne.
Le magasin Damart se situe à côté de l’aire de jeux. Il est ouvert du lundi au samedi de 9h30 à 19h non-stop. Il est composé d’une équipe de 4 personnes, 100% vauclusienne.
V.A.
Orange : la sortie sur le boulevard Daladier par la rue Caristie interdite
L’Assemblée générale des maires de Vaucluse, c’est aussi le salon des élus locaux et des décideurs avec 35 stands d’exposants pour les aider à aménager durablement leurs communes
Cette année c’est AP Media, société basée dans l’Hérault qui organise foires, salons et congrès, qui a mis sur pied pour la première fois cet évènement, une société qui fête ses 20 ans cette année. Elle a invité notamment la Fédération du bâtiment et des travaux publics, Véolia et sa gestion de l’eau, du recyclage et de la valorisation des déchets, Enedis, le gestionnaire du réseau de distribution de l’électricité, l’ADMR (aide- ménagère à domicile) du département pour le portage de repas chez les personnes âgées, le CAUE (Conseil en architecture, urbanisme et environnement), les Voyages Arnaud, spécialistes des transports en bus et autocars, la Chambre des Métiers et de l’Artisanat Régionale, les banques comme le Crédit Agricole ou le Crédit Mutuel, La Poste et son directeur départemental, Pierre-Hubert Martin, ils étaient tous là, au cœur de la salle des fêtes du Château d’Eau de Monteux pour informer les élus sur les services qu’il peuvent rendre à la population.
Partenariat avec Orange et GRDF La matinée a commencé sur le stand de l’opérateur Orange pour la signature d’un partenariat avec l’Association des maires de Vaucluse pour mobiliser les citoyens de Vaucluse au recyclage des mobiles. Il faut savoir que chaque année, le parc de portables est renouvelé à hauteur de 30% soit 20 millions de téléphones. En 10 ans, plus de 15 millions de mobiles ont été ainsi collectés et recyclés, ce qui crée de l’emploi. Chaque mairie de Vaucluse bénéficiera d’un lien de connexion qui permettra de commander des bornes de collecte. Pour faire le tri des mobiles ramassés une entreprise d’insertion (‘Les ateliers du Bocage’ dans les Deux-Sèvres) a traité 200 000 portables en 2019, les a remis en état, reconditionnés et revendus. L’intégralité des bénéfices a été reversée à Emmaüs International.
De son côté, la commune de Monteux avec son maire Christian Gros, a renouvelé sa confiance à GRDF en signant un contrat de concession de distribution publique de gaz pour une nouvelle période de 30 ans à partir de janvier 2023. « Le réseau de gaz est un allié indispensable pour les projets de transition énergétique de la commune avec sa capacité de recevoir et de distribuer des gaz renouvelables que ce soit le biométhane aujourd’hui ou l’hydrogène demain » a déclaré Philippe Réchiniac, directeur territorial de GRDF. Christian Gros a acquiescé : « Nous croyons aux gaz renouvelables notamment l’hydrogène vert qui d’ici 2024 sera même produit sur le territoire des Sorgues du Comtat ». A noter qu’il y a 52,1 km de réseau gaz à Monteux pour 1825 clients raccordés.
Un moment d’échange avec les entreprises GHM-Eclatec aussi avait son stand, cette société basée au départ près de Colombey-les-Deux-Eglises conçoit des solutions d’éclairage public et de mobilier urbain depuis un siècle. Elle propose des luminaires dits ‘intelligents’, connectés, fiables, certifiés (Iso 9001, 14 001, 50 0001) fabriqués en France, qui détectent les pannes et consomment peu. Son délégué régional, Yves Lestavel insiste sur la fiabilité de ce matériel, de fonte et d’acier. « Nous avons 620 collaborateurs, 16 agences en Métropole et dans les DOM-TOM, en Guadeloupe, Martinique, Guyane, à Mayotte et à la Réunion.
Présente aussi au cœur du Salon des Maires, Agilis, une entreprise de travaux publics 100% vauclusienne née au Thor, il y a tout juste 20 ans. « Elle équipe, sécurise et entretient les routes et autoroutes » explique Marion Pelletier. Elle compte désormais 460 agents et travaille aux côtés des grands comme Eiffage ou Vinci, gère la signalisation, monte des murs acoustiques, installe des glissières de sécurité, mais aussi revêtements pour pistes cyclables ou d’athlétisme, des équipements aéroportuaires. Elle offre toute une série de finitions – béton, innovantes, esthétiques, décoratives, durables. Du béton imprimé, poncé, drainant, sablé, incrusté, végétalisé ou scintillant. On en trouve par exemple sur le parvis de l’Hôtel de ville à Sorgues, à Bourg-de-Péage dans la Drôme, Espace Mistral, quartier l’Estaque à Marseille. Inauguré par la préfète de Vaucluse Violaine Démaret, le président de la Région Sud, Renaud Muselier, la présidente du Conseil Départemental de Vaucluse Dominique Santoni, les deux présidents de l’Association des Maires, Jean-François Lovisolo et Pierre Gonzalvez en fin de matinée, ce salon a vu des centaines de maires, directeurs des services, ingénieurs des collectivités territoriales du département échanger et s’informer tout au long de la journée sur des solutions qui améliorent le quotidien et le vivre ensemble des vauclusiens.
Orange : la sortie sur le boulevard Daladier par la rue Caristie interdite
Le nouveau réseau féminin les A’sensionnelles prend de l’ampleur à Orange avec un deuxième groupe en train de se finaliser et peut être un troisième qui sera nécessaire pour répondre aux demandes -d’environ 15 personnes- !
De nombreuses femmes se rejoignent et rassemblent leur force autour d’Anaïs Aubert, spécialisée dans le coaching féminin à Ozéaxion.
Une véritable opportunité pour la vie économique et professionnelle de chacune ainsi que du bassin orangeois.
Orange : la sortie sur le boulevard Daladier par la rue Caristie interdite
Le festival international cubano (FIC), organisé chaque automne à Orange, a fêté ses 10 ans le week-end dernier. Au programme de ce week-end prolongé, cours de danse, concert et Dj set.
Un succès toujours grandissant pour le festival international cubano (FIC). Durant 3 jours, du vendredi 28 au dimanche 30 octobre, 5 000 personnes provenant de 28 pays ont participé à l’évènement qui a accueilli 65 artistes internationaux, 48 workshops et 3 concerts cubain. Cette année les concerts ont été assurés par Tumbakin y Guest (Mandy Cantero et Dayan), Lazarito Valdés y Bamboleo et El Noro y Primera clase. L’évènement a été immortalisé et fait actuellement l’objet d’une exposition photographie visible à l’hôtel de ville d’Orange ou en ligne.
Exposition à l’hôtel de ville, place Clémenceau, Orangeou en ligne.
Orange : la sortie sur le boulevard Daladier par la rue Caristie interdite
La pose de la première pierre de la nouvelle station d’épuration de Jonquières a eu lieu lundi 24 octobre, en présence de Yann Bompard, maire d’Orange.
Après près de 30 ans de service, l’heure de la retraite a sonné pour l’ancienne station d’épuration de Jonquières. Lundi 24 octobre, la première pierre de la nouvelle station a été posée en présence du maire d’Orange, Yann Bompard. « Avec cette nouvelle station d’épuration, le pays d’Orange contribue à la préservation du patrimoine naturel de notre territoire et à la prévention des risques inhérents à ce dernier », a-t-il déclaré.
L’intercommunalité du Pays d’Orange a engagé plus d’un million et demi d’euros dans la réalisation des travaux, pour un investissement total de 2 350 000 euros. Sortie de terre en l’espace d’un an, cette nouvelle station possède une capacité portée à 7 700 équivalents habitants. Yann Bompard a tenu à remercier les agents techniques du Pays d’Orange, qui ont assuré la maîtrise d’ouvrage de l’opération, ainsi que le cabinet Merlin et le groupement Sogea, Mereu, Provence Route et Spie, qui a réalisé le chantier.
« Puisse cette nouvelle station garantir la qualité de vie des habitants pour les décennies à venir et participer au développement de notre territoire, à son attractivité et à sa bonne gestion », a conclu le maire.
J.R.
Orange : la sortie sur le boulevard Daladier par la rue Caristie interdite
Chaque année la Fédération du Bâtiment et des Travaux Publics de Vaucluse propose à de jeunes collégiens et lycéens ainsi qu’à des personnes en recherche d’emploi de visiter deux chantiers à l’occasion de la manifestation nationale des Coulisses du bâtiment initiée en 2003. Objectif ? Susciter des vocations et valoriser les formations du BTP.
Le problème ? Tous les métiers sont en pénurie de main d’œuvre. En cause ? L’image du BTP et le peu d’appétence de l’Education nationale et de divers organismes à orienter leurs jeunes vers la filière. La solution ? Dire à quel point l’activité a progressé tant en ingénierie qu’en technologie proposant des métiers totalement transformés, comme révolutionnés. Prochaine étape ? En informer le grand public via les Coulisses du bâtiment. Daniel Léonard, tout nouvellement élu président de la Fédé BTP 84, était aux manettes pour cette édition 2022, proposant la visite de deux chantiers à Bollène et Orange à plus de 400 élèves et adultes venus se renseigner sur les métiers du BTP.
Ce qui s’est dit en substance ? Il y a pénurie de main d’œuvre dans tous les métiers du gros œuvre au second œuvre et il semblerait que très peu de collégiens et lycéens n’aient abordé l’activité du bâtiment sur des propositions d’orientation de l’Education nationale. Un manque compensé désormais par des travailleurs étrangers. Un exemple ? L’un des plombiers chauffagistes de Frédéric Saintagne, patron de ‘Groupement d’artisans’ situé à Piolenc, qui recherchait un apprenti dans sa spécialité, a réalisé qu’il y a 15 ans, les classes de cette spécialité accueillaient entre 20 et 25 élèves, alors qu’ aujourd’hui une seule classe qui n’en comportait que 7 a failli fermer et se doit d’exister parce qu’un 8e élève s’y est présenté in extrémis. En clair ? Trouver des apprentis est devenu une rareté !
A l’écoute des métiers du bâtiment C’est ainsi qu’au chapitre des métiers du bâtiment, les visiteurs étaient accueillis sur le chantier du ‘Clos d’Antonin’ où un petit lotissement de 6 maisons, route de Châteauneuf à Orange, est en cours de construction par l’entreprise ‘Groupement d’artisans’. C’est sur le terrain alloti d’un particulier qui jouxte la zone militaire surveillée, que les six nouvelles familles ont décidé de bâtir leur avenir. La visite était commentée par Frédéric Saintagne à la tête de l’entreprise ‘Groupement d’artisans’ et également président départemental du pôle Habitat de la Fédération française du bâtiment, accompagné de deux de ses conducteurs de travaux.
Au chapitre des Travaux publics Au chapitre des travaux publics c’est sur le chantier de l’aménagement de la Zac (zone d’activité concertée) Pan Euro parc, route de Lapalud à Bollène que ces mêmes visiteurs se sont rendus. Les visites étaient commentées par l’entreprise Braja Vesigne en présence également de l’Ecir, Ecole de la construction, des infrastructures et réseaux –établissement d’enseignement professionnel et de formation continue- située à Mallemort-en-Provence.
Découverte L’objet de ces Coulisses du bâtiment ? Vous l’aurez compris, faire découvrir aux jeunes et au grand public ce qui se cache derrière les palissades des chantiers pour y révéler les techniques de pointe de la construction, les nouveaux métiers, les formations initiales et tout au long de la vie pour susciter des vocations et attirer des professionnels en reconversion. Chaque site proposait un circuit d’environ 45 minutes de visite présentant les différents métiers à l’œuvre, des informations sur l’ouvrage en construction, les perspectives de carrières et les adresses utiles pour intégrer les divers métiers.
Qui y était ? Le Pôle emploi de Bollène, les collèges Robert Schuman et Joseph Roumanille d’Avignon ; Le collège Jean-Giono d’Orange et Diderot de Sorgues ainsi que le pôle emploi d’Orange. Les chiffres, le BTP en Vaucluse Le département de Vaucluse compte 9 300 établissements du BTP dont 2 300 emploient un salarié et plus. Le secteur de la construction représente 12% du tissu économique du département. Au 1er trimestre 2022, 12 800 salariés y sont employés ce qui représente 10% des salariés du Vaucluse et 1 120 équivalent temps plein en intérim. Quant à la formation ? 1 200 jeunes sont formés aux métiers de production du BTP dont 70% en apprentissage. La Fédération du bâtiment et des Travaux publics compte 370 adhérents.
Activité et impact en Vaucluse 3 500 logements sont construits en moyenne en Vaucluse, par an, ces 5 dernières années. Les travaux BTP commandés par les collectivités locales s’élèvent à 339M€. Quant au poids de la commande publique pour les travaux publics elle est de 66% et de 47% pour les collectivités locales. Pour le Bâtiment, le poids de la commande publique est de 25%, logements sociaux compris.
Quel poids au niveau national ? Au niveau national, le BTP pèse plus de 125 milliards HT de travaux ; 1,5 million d’actifs dont plus de 1,155 million de salariés ; plus de 386 000 artisans et plus de 410 000 entreprises. Ces chiffres équivalent à la moitié de l’industrie ou à deux fois les activités banque et assurance. L’an dernier 100 000 élèves ont participé aux Coulisses du BTP sur l’hexagone.
Au niveau énergétique Le secteur du BTP représente 46% de la consommation énergétique et 25% des émissions de gaz à effet de serre.
Ils ont dit
Daniel Léonard président de la Fédé BTP 84 «Nous sommes tous là pour faire découvrir nos métiers qui sont tout à fait méconnus du grand public, des organismes de formation et de l’Education nationale, a déploré Daniel Léonard. Ici, à Orange, pour le bâtiment, à l’occasion de la construction de maisons individuelles du gros œuvre au second œuvre en allant jusqu’à la finition des maisons. Pour le chantier de Bollène, il sera question de la partie Travaux publics avec le terrassement, les infrastructures et les réseaux. Si nous avons réussi à intéresser 10% des visiteurs, nous aurons réalisé notre objectif. Maintenant il nous faut travailler notre image, Les appellations de type ‘CFA, Centre de Formation des apprentis’ sont moins prestigieuses que la dénomination d’Ecole d’ingénieurs, d’architectes… C’est la raison pour laquelle le CFA de Mallemort est devenu l’Ecir : l’Ecole de la construction, des infrastructures et réseaux. Nous voulons faire découvrir nos métiers à l’Education nationale, aux centres d’information et d’orientation, ainsi qu’aux parents. Nous recevons des élèves de 4e et de 3e ce qui est parfait car ils se trouvent au carrefour d’une première orientation de leur parcours scolaire et à l’orée d’une formation plus technique s’ils le désirent. Nous souffrons de pénurie de main d’œuvre dans tous les métiers, dans le bâtiment à toutes les échelles et dans les Travaux publics plus particulièrement dans l’encadrement de chef de chantier à l’ingénieur en passant par conducteur de travaux. Nous avons beaucoup de conducteurs d’engins mais pas assez de canalisateurs, de constructeurs de route, de poseurs de bordure. C’est dommage parce que l’on gagne bien sa vie dans le BTP, qui est de plus une activité où l’ascenseur social existe? favorisant la promotion professionnelle et l’épanouissement de soi.»
Frédéric de Saintagne, patron de ‘Groupement d’artisans’ «Nous sommes là pour sensibiliser les visiteurs à l’acte de construire avec tous les corps d’état du terrassement, aux fondations, en passant par la maçonnerie avec le gros œuvre, la charpente et la couverture puis le second œuvre, expose Frédéric Saintagne. Le plus important ? Echanger avec les élèves potentiellement intéressés et expliquer quels types de métiers il y a derrière ces productions. Très souvent on ne pense qu’au produit fini : la maison livrée. Pourtant, derrière, il y a de l’ingénierie, de la technicité, des métiers de l’artisanat, une multitude de professions qui permettent d’aboutir à la réalisation de ces maisons. Peut-être qu’à travers cette sensibilisation, deux, trois jeunes souhaiteront rejoindre nos rangs parce qu’on leur aura parlé de l’évolution de nos métiers, de la recherche et du développement, des techniques et des formations qui sont à l’œuvre. Des personnes de tous les niveaux peuvent bien y gagner leur vie et s’y épanouir. La promotion n’y est pas que professionnelle et valorisée en numéraire mais aussi en termes de partage de valeurs humaines. Si le système éducatif change son approche par rapport à nos métiers, alors plus de portes s’ouvriront aux enfants en demande d’un enseignement plus pratique, plus technique. Désormais les jeunes peuvent bénéficier d’un enseignement évolutif du CAP au diplôme d’ingénieur hors ou dans le cadre d’un cursus en alternance et cela fait toute la différence.»
Daniel Léonard, Président de la Fédé BTP 84 Chaque site des Coulisses du bâtiment aura accueilli entre 400 et 500 élèves aujourd’hui s’est félicité Daniel Léonard, président de la Fédération du bâtiment et des Travaux publics de Vaucluse. Le président nouvellement élu a présenté sa feuille de route. Ses premières missions seront, comme le prévoit l’Interprofession, d’intervenir auprès des pouvoirs publics dans la prise de décision ayant une incidence sur les marchés des entreprises et les conditions d’exercice de la profession ; d’apporter son expertise et d’accompagner les adhérents dans la défense et l’assistance aux entreprises et d’assurer la promotion de l’image de la profession, de ses métiers et de ses entreprises. L’autre grand dossier sera de développer le nombre d’adhérents, à ce propos, Daniel Léonard a déjà sa petite idée «Il est difficile aux heures de pointe d’accéder à l’intramuros et encore plus de pouvoir s’y garer, ainsi, en étant sur Agroparc, nos bureaux et l’organisation de réunions seront facilités par cette nouvelle localisation ce qui ‘mécaniquement’ devrait permettre à de nouveaux adhérents de rallier l’interprofessionnelle.»
Midi-Travaux Daniel Léonard est le président de Midi-Travaux, située aux Vignères à Cavaillon et spécialisée dans les travaux publics, en terrassement (construction d’écoles et de plateformes), de voiries réseaux divers (réfection de rues et construction de logements collectifs), de travaux agricoles (Débroussaillage, faucardage et fauchage), et également de travaux d’énergies ( Eclairage Public – Réseaux Secs). L’entreprise a été créée en 1946 sous l’appellation SNC Léonard Père et fils et prend le nom de Midi-Travaux en 1986. En 2021, elle réalisait un chiffre d’affaires de 13M€, accomplissant plus de 370 chantiers dans l’année et accueille 87 collaborateurs. En parallèle, l’entreprise a créé en 1994 Gravisud, une société d’exploitation de carrières. Son activité s’étend en Vaucluse, dans les Bouches-du-Rhône, dans le Var, dans les Alpes-de-Haute-Provence et dans les Hautes-Alpes.
La Fédé déménage et quitte l’intramuros d’Avignon La Fédération du BTP 84 va quitter son siège historique 3, rue petite Fusterie à Avignon qui vient d’être vendu à un particulier et s’installera, en début d’année, à Agroparc, chemin de Fontanille, en attendant d’intégrer le très beau bâtiment qu’elle compte bien construire, toujours à Agroparc, pour illustrer le talent de tous les métiers que l’interprofessionnelle accueille, promeut et défend.
Orange : la sortie sur le boulevard Daladier par la rue Caristie interdite
Ce jeudi 13 octobre, 50 élèves de 5ème du collège Joseph Roumanille d’Avignon bénéficieront d’une initiation au codage et décodage informatique à travers des sessions d’ateliers ludiques mises en place par Orange et Face Vaucluse.
Depuis 10 ans, Orange sensibilise les collégiens avec des ateliers « supercodeurs » animés par des salariés volontaires. Jeudi 22 septembre, cinq collaborateurs d’Orange et de Face Vaucluse, qui accompagne depuis 12 ans les entreprises dans la mise en œuvre de leur politique sociétale, se sont associés pour apprendre à des jeunes du collège Paul Gauthier de Cavaillon à coder, comprendre le monde numérique et faire découvrir ces nouveaux métiers.
Ce jeudi 13 octobre, Orange et Face Vaucluse réitèrent l’expérience auprès de 50 élèves de 5ème du collège Joseph Roumanille d’Avignon. Cinq coachs d’Orange (techniciens, formateur…) animeront un atelier avec des robots Thymio (robot éducatif) et aborderont les bases du codage.
De l’apprentissage du code à la notion de décodage
L’ambition du programme « supercodeurs » est d’aider les jeunes à comprendre le monde en mutation rapide qui les entoure et à décrypter ce qui se cache derrière leur vie numérique de tous les jours (applis, vidéos ou jeux). Les animateurs amènent progressivement les enfants à s’interroger sur l’envers du décor, en abordant des notions qui constituent les ressorts d’un jeu vidéo tels que la frustration, la dépendance et la question de l’âge recommandé pour un jeu.
Encadrés par des coachs volontaires d’Orange, les ateliers de codage et de décodage initient à la programmation de façon ludique, apprennent à aiguiser l’esprit critique et à s’approprier les codes d’un usage responsable.
Sensibiliser aux métiers du numérique et de demain
Apprendre à coder, c’est aussi se mettre dans la peau de ceux qui conçoivent les jeux : développeur, analyste programmeur, Game design. Avec les ateliers « supercodeurs », certains animateurs qui travaillent en tant que développeurs trouvent une occasion de faire découvrir une partie de leur métier. Avec Thymio, le robot intelligent, ils initient les collégiens au codage et à la robotique et abordent des exemples d’application comme la voiture connectée et autonome. Ces ateliers sont ainsi l’occasion de faire découvrir les métiers du numérique et qui sait susciter des vocations.
Orange : la sortie sur le boulevard Daladier par la rue Caristie interdite
Vendredi 14 octobre, la librairie Elan Sud, à Orange, reçoit l’autrice Denise Déjean à l’occasion de la sortie de son dixième roman intitulé ‘Un forgeur, deux continents’.
Vendredi 14 octobre à 19h, la Librairie Elan Sud accueillera Denise Déjean pour une rencontre à propos de son nouveau roman, ‘Un forgeur, deux continents’, paru le 10 juillet dernier. La rencontre sera suivie, pour ceux qui le souhaitent, de la dégustation de plats et boissons que vous aurez apportés. Le caviste Cédric Bourelle sera également présent pour vous faire découvrir quelques cuvées.
Résumé : ‘Né à Banat, près de Tarascon-sur-Ariège, au début du XIXe siècle, Antoine Ville, que tout prédestine à suivre la modeste lignée de paysans de ses parents, entre dans le monde du fer et de la forge par hasard. Il devient un excellent ouvrier et reste au pays, jusqu’au jour où le monde s’ouvre à lui. Son aventure aux mille rebondissements le mène jusqu’au Mexique où il fonde une nouvelle famille, toujours dans la forge. L’amour de ses parents, des traditions et de son pays restera gravé dans son cœur’.
Ce roman biographique entre Ariège et le Mexique est issu d’un travail de recherches généalogiques. Après avoir écouté ses descendants, essaimés entre la France, les Etats-Unis et le Mexique, Denise Déjean a reconstitué le puzzle de la vie d’Antoine Ville en respectant les faits et les lieux. La touche romanesque de l’autrice en renforce la valeur épique.
Denise Déjean
Impliquée dans le monde culturel, Denise Déjean a co-signé plusieurs ouvrages ethnographiques sur les Pyrénées ariégeoises avant de se lancer dans l’écriture de nouvelles, puis de contes pour enfants et de romans. Deux d’entre eux, ‘Le Crime du Gamat’ et ‘Lardoulens’, ont été récompensés par l’Académie des Jeux floraux. ‘Femmes en leurs jardins’ a quant à lui reçu le Prix du Livre pyrénéen littérature.
Rencontre le vendredi 14 octobre à 19h, à la librairie Elan Sud, 233 rue de Rome, à Orange – entrée gratuite – réservations au 04 90 70 78 78 ou sur elansud@orange.fr – pour lire les premières pages, c’est ici.