21 novembre 2024 |

Ecrit par le 21 novembre 2024

Palais des Papes : plus de 300 000 recherches mensuelles sur le net

SpaDreams, tour-opérateur spécialiste des séjours bien-être depuis 40 ans, vient de dévoiler le top 500 des attractions et sites touristiques les plus populaires d’Europe en matière de recherche sur internet*. Ce classement repose sur l’analyse des volumes de recherche mondiaux, en tenant compte non seulement de Google, mais aussi de Bing et des principales plateformes sociales telles que Tik tok, Instagram, Pinterest et You tube.

La France trust le podium
En tout, la France place 50 sites parmi les 500 premiers d’Europe sur un total de de 2 300 attractions et sites analysés. L’Hexagone réalise même le triplé avec les 3 premières places. A savoir  Disneyland Paris (13 690 340 recherches mensuelles), la Tour Eiffel (9 185 730) et le Mont-Blanc (8 748 850).

Près de 13,7 millions de recherches mensuelles sur le net pour Disneyland Paris, plus de 9 millions pour la tour Eiffel et 8,74 millions pour le Mont Blanc. La France prend les 3 premières places européennes. Source : SpaDreams.fr Crédit : D-stock/Adobe stock/DR

Quelle ‘e-attractivité’ pour les sites régionaux ?
Près de nous, c’est le Pont du Gard qui affiche la meilleure ‘e-attractivité’ en se classant 169e avec 821 840 recherches mensuelles (21e français). Dans la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, c’est ensuite la cité phocéenne qui est à l’honneur avec Notre-Dame de la Garde (365e et 369 900 recherches – 38e français) et le château-d’If (419e avec 306 920 recherches – 45e français).

En 428e position, le palais des papes à Avignon se positionne en 3e position régionale avec 302 750 recherches mensuelles (46e français). Le plus grand palais gothique du monde devance ainsi la promenade des Anglais à Nice (435e pour 302 460 recherches – 47e français) et le lac de Sainte-Croix, situé entre les départements du Var et des Alpes-de-Haute-Provence au cœur du Parc naturel régional du Verdon (500e et 247 910 recherches – 50e français).

Dans la région, le pont du Gard affiche plus de 820 000 recherches mensuelles sur le net. Crédit : Adobe Stock-M. Studio

*Pour établir un classement complet et actuel des attractions touristiques en Europe, SpaDreams a comparé les volumes de recherche des principales attractions européennes. Celles-ci incluent des parcs de loisirs (parcs d’attractions, parcs animaliers, parcs naturels, etc.), des bâtiments (châteaux, palais, hôtels, bâtiments gouvernementaux, etc.), des espaces publics (parcs, rues, marchés, places, quartiers, etc.), des sites religieux (églises, monastères, temples, synagogues, mosquées, etc.), des sites historiques (ruines, mémoriaux, etc.), des statues/sculptures, des attractions naturelles (parcs nationaux, lacs, rivières, montagnes, plages, îles, etc.), des musées (musées, galeries, expositions, etc.) et des structures (tours, ponts, murs, etc.).
Les volumes de recherche mensuels mondiaux sur Instagram, Pinterest, TikTok, YouTube, Google et Bing ont été analysés, puis additionnés pour déterminer un volume de recherche total. Le classement européen comprend plus de 2 300 attractions dans 43 pays. Seuls les pays dont le territoire est principalement situé en Europe ont été pris en compte. L’Ukraine a été exclue du classement en raison de la guerre actuelle. Les petits pays comptent en moyenne 20 à 50 attractions évaluées, tandis que les grands pays en comptent entre 50 et 100.


Palais des Papes : plus de 300 000 recherches mensuelles sur le net

Le Grenier à Sel, lieu incontournable de la création contemporaine

En 2018, EDIS — organisme d’intérêt général créé par le philanthrope Régis Roquette — s’installe au Grenier à Sel d’Avignon pour développer un lieu culturel dédié aux nouvelles formes d’expressions artistiques et plus particulièrement aux Arts Numériques. 

Au fil des ans, des expositions, spectacles ou performances, on a pu ainsi vivre des expériences incroyables : déambuler au cœur de la Symphonie Fantastique d’Hector Berlioz ou explorer l’écoute avec le projet Ludwig, découvrir la notion de dessin au trait réactivé par les nouvelles pratiques, appréhender le théâtre interactif, percevoir notre corps, interagir avec des mondes immatériels, se faufiler dans les coulisses du cinéma d’animation, explorer les états de conscience et d’inconscience, etc.

Une démarche éprouvée

La programmation est créée en interne, et résonne par rapport à un axe de travail déterminé : porter un regard sur le monde numérique qui se développe, s’invente, dans lequel on vit tous. Comme le précise Véronique Baton, directrice de la programmation : « Pour nous, le fondamental, c’est la production artistique quelle qu’elle soit, des expositions, mais aussi des petites formes de spectacles vivants, des résidences artistes en couveuse pour des projets en devenir. Notre axe d’interrogation permet d’inventer des thématiques que nous proposons ensuite à des artistes. Pour les trois années à venir, nous avons décidé d’interroger sur trois expositions la relation de l’homme au monde : le monde végétal, le monde de la machine et le monde animal qui clôturera cette trilogie. »

‘Le futur est déjà là’, second volet du cycle d’expositions intitulé « Symptômes du vivant » (2023-2025)

Après ‘Que nous disent les plantes’ où 13 artistes étaient conviés à livrer leur regard sur le végétal à l’heure des bouleversements climatiques, le Grenier à sel propose un second volet, ‘Le futur est déjà là’, qui interroge la relation entretenue par l’homme avec la machine. 

Le futur est déjà là, mais il n’est pas équitablement réparti

Le titre de l’exposition tire son nom d’une partie de la citation de l’auteur de science-fiction William Gibson, « Le futur est déjà là, mais il n’est pas équitablement réparti » : pour pointer du doigt à travers cette formule les inégalités sociales que peuvent engendrer les technologies numériques, vision dystopique, assez pessimiste. Dès les années 80, William Gibson parle déjà d’hypercapitalisme technologique, d’homme augmenté, des données (DATA), cyberespace, etc.

Douze artistes questionnent le monde d’aujourd’hui et de demain

« L’interaction de l’homme avec la machine tient une place incroyable dans notre imaginaire, lui-même nourri par l’imaginaire des artistes contemporains ». À partir de ce constat, l’exposition réunit les productions artistiques relevant de pratiques variées (installations interactives, animation 3D, robotique…) de 12 artistes de générations et d’horizons différents. :  Donatien Aubert, France Cadet, Thierry Cohen, Heather Dewey-Hagborg, Bastien Faudon, Mathieu Gafsou, Esmeralda Kosmatopoulos, Maxime Matthys, Julien Prévieux, Stelarc, Varvara & Mar, Filipe Vilas-Boas.

Le futur est déjà là ou c’est déjà demain 

Plus que de changements, c’est surtout d’accélération dont il s’agit. L’accélération du changement qui nous fait vivre dans un monde mouvant, instable : mécanique, électronique, algorithme, intelligence artificielle participent à une grande porosité des frontières entre l’homme et le robot. 

Trois salles, trois parties

Dans cette exposition articulée en trois parties et trois salles, les artistes mettent plus en avant leurs doutes que leurs espoirs. ‘Le fantasme qui prend corps’ dès le XIXᵉ siècle avec les premiers automates introduit la visite, dans la deuxième salle ‘Ce qui nous échappe’ telle l’Intelligence artificielle (IA) est modélisée ou mis en scène et la dernière salle ‘La vie mode d’emploi’ achève de nous convaincre que les outils numériques sont devenus incontournables.

Ce Grenier recèle les énigmes du futur

C’est une visite chronologique, très pédagogique et en même temps qui nous perd dans les méandres de nos doutes. On chemine entre fascination et effroi : la réplique du Pierrot écrivain du XIXᵉ siècle d’André Soriano, automate au mécanisme apparent, réveille notre âme d’enfant, mais nous sommes immédiatement interloqués par le photographe plasticien Matthieu Gafsou qui traite du transhumanisme. Un bras robotique équipé d’un compteur numérique nous introduit dans la deuxième salle qui entend maîtriser notre corps et nos intelligences. Non sans humour, nous échappons à « La peau de banane intelligente » — aspirateur robot s’il en sera — pour découvrir les œuvres de l’artiste australien Stelarc, faites de chair et d’électronique, celles de France Cadet qui retracent les tentatives de l’homme de se mesurer à la machine. L’artiste Heather Dewey-Hagborg modélise l’ADN, dans des portraits-sculptures glaçants. Si nous doutions de l’impact des outils numériques pour les jeunes générations, la magnifique série de portraits de Thierry Cohen « Binary Kids » se passe de toute explication face aux regards figés de ces enfants. 

Nouvelles technologies, nouveaux gestes

Si nous pensions tout maîtriser et être maître de nos choix, la dernière salle de l’exposition nous prouve le contraire. Quand on clique, like, partage, on crée des gestes qui loin de nous libérer vont induire de nouveaux comportements. La grecque Esmeralda Kosmatopoulos nous livre une installation « fifteen pairs of mouths » qui explore le nouveau rôle de la main, Julien Prévieux dans sa vidéo « What shall we do next », a invité des danseurs de l’Opéra de Paris à reproduire des gestes issus de la bibliothèque immatérielle de gestes déposés auprès du bureau américain des brevets.

Mais dans quel monde vivons-nous ?

L’artiste-chercheur Donatien Aubert nous livre la réponse qui ne nous surprend guère, mais permet de nous remobiliser peut-être pour être plus conscient — à défaut d’être critique — sur les conséquences de la cybernétique et de l’hyperconnexion. Dans son court-métrage de 25 minutes «  Veille infinie » qui clôture la visite, il nous montre comment les technologies numériques ont transformé notre rapport au travail, aux loisirs et à la sexualité. 

« Veille infinie », état d’alerte ou somnolence ? La polysémie du titre ouvre le débat en cette fin d’exposition.

Visite commentée

Jusqu’au 31 décembre, possibilité d’avoir une visite commentée avec une médiatrice. Le mercredi et samedi à 16h30 (sous réserve d’un nombre minimum de participants). 3€ par personne. Sans réservation.

Jusqu’au 31 décembre. Du mardi au samedi. Libre et gratuit. De 14h à 18h (dernière entrée à 17h30). Le Grenier à sel. 2 rue du rempart Saint-Lazare. Avignon. 04 32 74 05 31 / accueil@legrenierasel-avignon.fr


Palais des Papes : plus de 300 000 recherches mensuelles sur le net

À l’occasion de son 79e Congrès annuel qui enregistre un record d’affluence avec plus de 7 500 experts-comptables présents, l’Ordre des experts-comptables dévoile deux innovations majeurs qui marquent une étape clé dans la transformation numérique de la profession : le data lake ‘La Source’ et le chatbot ExpertCHAT. Ces nouveaux outils visent à renforcer l’engagement de l’Ordre dans le soutien à la digitalisation des cabinets pour leur offrir des solutions concrètes et répondre aux défis actuels et futurs.

« Le data lake ‘La Source’ est un projet d’envergure nationale destiné à centraliser et exploiter les données comptables et extra-financières collectées par notre profession, tout en garantissant sécurité et confidentialité, explique l’Ordre des experts-comptables qui vient de tenir son congrès annuel à Marseille. Cette plateforme mutualisée permet aux professionnels de la comptabilité de tirer parti des données en temps réel pour offrir des services à haute valeur ajoutée à leurs clients, tout en garantissant la sécurité et la confidentialité des informations conformément au RGPD. »

Ce nouvel outil offre des fonctionnalités avancées, telles que Diagnostic FEC, permettant des analyses précises des données comptables pour sécuriser l’exercice des professionnels. Le data lake est ainsi une réponse aux besoins croissants des entreprises en matière de prévision économique et de durabilité : ce dispositif intègre également Jedataviz, permettant une comparaison rapide et efficace des performances financières des clients par rapport à des entreprises similaires du même secteur. L’initiative Impact Durabilité, une plateforme de reporting ESG (environnemental, social et de gouvernance) pour accompagner les entreprises vers plus de durabilité, vient également compléter le data lake.

« Cette innovation est la clé pour garantir notre pérennité dans un environnement de plus en plus digitalisé. »

Cécile de Saint Michel, présidente de l’Ordre des experts-comptables

Ce data lake sera enrichi de données sociales grâce à une convention signée pendant le congrès avec AGIRC-ARCCO qui permettra d’apporter des éléments factuels aux clients sur les questions de rémunération.

« Le data lake ‘La Source’ est bien plus qu’un outil : il incarne l’avenir de notre profession. En capitalisant sur notre patrimoine data, nous nous donnons les moyens de créer de la valeur pour nos clients, d’assurer notre indépendance et de nous positionner en tant que conseillers stratégiques incontournables. Cette innovation est la clé pour garantir notre pérennité dans un environnement de plus en plus digitalisé. L’avenir de notre métier passe par l’exploitation de ces données, et c’est ensemble que nous allons relever ce défi. » affirme Cécile de Saint Michel, présidente de l’Ordre des experts-comptables.

ExpertCHAT : un assistant numérique pour une gestion simplifiée des cabinets

En complément de ‘La Source’, l’Ordre lance également ExpertCHAT, un chatbot conçu spécifiquement pour répondre aux questions techniques et réglementaires des experts-comptables. Accessible 24h/24 et 7j/7, ExpertCHAT permet une gestion simplifiée des missions quotidiennes, avec des réponses instantanées sur des sujets variés tels que la fiscalité, la comptabilité et les obligations juridiques. Il a été construit en intégrant une version privée de la technologie chatGPT développée par OpenAI.

« Nous plaçons l’Ordre à la pointe des évolutions technologiques en matière de données et d’Intelligence Artificielle. »

Boris Sauvage, vice-président de l’Ordre des experts-comptables en charge du secteur numérique.

Ces deux outils illustrent la volonté de l’Ordre des experts-comptables d’accompagner la profession dans sa transformation numérique. En capitalisant sur les nouvelles technologies, l’Ordre place les experts-comptables au cœur de l’économie de la donnée, leur permettant de rester des conseillers stratégiques indispensables pour les entreprises françaises. Le lancement de ‘La Source’ et d’ExpertCHAT s’inscrit dans une démarche plus large de digitalisation et de renforcement des compétences de la profession, dans un contexte où l’intelligence artificielle et les enjeux de durabilité sont devenus centraux.

« Par notre action, nous plaçons l’Ordre à la pointe des évolutions technologiques en matière de données et d’Intelligence Artificielle. C’est aussi une première étape vers de nouvelles innovations comme la comptabilité prédictive et la collecte de données nous permettant d’entraîner nos propres moteurs d’IA » affirme Boris Sauvage, vice-président de l’Ordre des experts-comptables en charge du secteur numérique.


Palais des Papes : plus de 300 000 recherches mensuelles sur le net

Le groupe Veolia et l’AMV (Association des maires de Vaucluse) ont organisé une table-ronde sur le thème : ‘Cybersécurité et eau : collectivités, services publics, entreprises… Tous concernés’. Cette matinale, qui s’est tenue à l’Isle-sur-la-Sorgue, a été notamment l’occasion de rappeler les enjeux majeurs liés à la cybersécurité et de donner les clés pour pouvoir faire face à cette menace qui ciblent de plus en plus des collectivités de plus en plus en première ligne.

« Toutes les organisations, quelles que soient leurs tailles et leurs domaines d’activité sont potentiellement concernées par les menaces de cyberattaques, expliquait Olivier Campos, directeur Veolia eau Provence-Alpes en préambule de cette 4e matinale climat organisé dans la Région Sud. Il est désormais essentiel pour les entreprises et les collectivités, dans le domaine de l’eau notamment, de prendre la pleine mesure cyber et se protéger. Ces rendez-vous, à destination des acteurs de premières lignes ont pour objectifs de favoriser les échanges, les interrogations, les retours d’expériences entre les différents experts qui interviennent sur le sujet mais également avec les élus et les représentants des collectivités présents. »

« Les cyberattaquants s’en prennent à ceux qui sont le moins bien protégés. »

Célia Nowak, déléguée régionale Paca de l’ANSSI

Données compromises pour 1 français sur 2
Après un mot d’accueil de Pierre Gonzalvez, maire de l’Isle-sur-la-Sorgue et président de l’AMV, sur la nécessité pour les collectivités de se prémunir contre les cyberattaques et leurs conséquences, les six intervenants ont dressé un état des lieux complet de la menace.

A une période où selon la CNIL (Commission nationale de l’informatique et des libertés) 1 français sur 2 a vu ses données personnelles compromises à la suite d’attaque et où plus de 2 500 actions de suspension de sites illicites utilisés pour de vastes campagnes d’hameçonnage ont été réalisées contre le cybersquattage de noms de domaines des collectivités, Célia Nowak, déléguée régionale Paca à la sécurité numérique pour l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI) a rappelé la réglementation actuelle ainsi que les techniques des cyberpirates. Des méthodes que l’on pourrait assimiler à « une logique de la pêche au chalut » afin de ratisser le plus large possible pour s’attaquer aux plus ‘faibles’, c’est-à-dire ceux qui sont le moins bien protégés. Avec un souci de rentabilité, en jouant sur la masse des attaques, qui a pour conséquence qu’il n’est nul besoin d’être une cible directe pour en être la victime.

« On n’est jamais assez préparé »,

Jérôme Poggi, Responsable de la sécurité des systèmes d’information à la ville de Marseille

Epée de Damoclès 2.0 ?
Un risque permanent, sorte de d’épée de Damoclès 2.0, que confirme le commandant Nidhal Ben Aloui, conseiller cyber du commandant de région de gendarmerie Paca, chef de la section cyber et anticipation cyber de la division régionale des réserves : « Au niveau financier le ransomware est le plus rentable. La France a versé 888 M€ de rançon en 2022. »
Dans tous les cas, le commandant de gendarmerie assure qu’il est impératif de prévenir les autorités, que ce soit pour mieux se défendre ou tenter d’identifier les attaquants pour les mettre hors d’état de nuire ou limiter les effets. « Il est très important de réagir vite », explique le militaire.

« Il faut pouvoir continuer à fonctionner en mode dégradé. »

Franck Galland, directeur général d’Environmental Emergency & Security Services

Une rapidité de réaction que confirme Jérôme Poggi, RSSI (responsable de la sécurité des systèmes d’information) à la ville de Marseille dont les services ont été victime d’une cyberattaque le 14 mars 2020 à 7h31.
Après avoir témoigné de la difficulté de se remettre de telles attaques, plusieurs mois, il a insisté sur les conséquences parfois inattendues qu’elles pouvaient avoir sur la bonne marche de la collectivité (gestion des cimetières, Etat-civil, impact humain, sentiment de remise en cause…). « On n’est jamais assez préparé », prévient-il.
« Il faut effectivement prendre en compte le temps long d’une telle crise et donc anticiper pour pouvoir continuer à fonctionner en mode dégradé », estime pour sa part Franck Galland, directeur général d’Environmental Emergency & Security Services et président-fondateur d’Aqua Sûreté, expert en sécurité des infrastructures hydrauliques.
C’est avec cette volonté d’anticipation, qu’en vue des JO de Paris, cet expert de la sûreté dans le domaine de l’eau a participé à un exercice de crise d’une attaque cyber dans une station d’épuration Veolia en Île-de-France.

« Nous proposons des mesures techniques de protection en faisant très attention aux accès à distance demandés par les clients. »

Meriem Riadi, directrice des systèmes d’information Veolia Eau France

Sécuriser l’approvisionnement en eau
Chez Veolia, cette prévention de la menace passe notamment par un accompagnement des collectivités partenaires.
« Tout d’abord, nous mettons en place une forte sensibilisation aux aspects humains, insiste Meriem Riadi, directrice des systèmes d’information Veolia Eau France. Ensuite nous proposons des mesures techniques de protection en faisant très attention aux accès à distance demandés par les clients, car ouvrir des portes et créer des interconnexions a des conséquences. On protège aussi les systèmes informatiques dans l’usine via des antivirus. Il faut aussi détecter les incidents qui peuvent arriver et enfin, se préparer opérationnellement en ayant des sauvegardes, être capable de les restaurer, mener des exercices de crise… »

« Cette connectivité expose ces systèmes à des cyberattaques potentielles. »

Olivier Campos, directeur Veolia eau Provence-Alpes

« Les services d’eau et d’assainissement étant vitaux pour notre société, ils sont également vulnérables aux menaces cybernétiques, ce qui rend la cybersécurité d’une importance capitale pour Veolia, rappelle Olivier Campos, le directeur Provence-Alpes. Les systèmes de contrôle industriel utilisés pour gérer les infrastructures d’eau et d’assainissement sont de plus en plus connectés à internet pour des raisons d’efficacité et de commodité. Cependant, cette connectivité expose ces systèmes à des cyberattaques potentielles. Une attaque réussie pourrait perturber l’approvisionnement en eau ou l’assainissement, avec des conséquences potentiellement désastreuses pour la santé publique et l’environnement. Le sujet est également sensible car Veolia gère une grande quantité de données sensibles sur ses clients. »

« Il ne viendrait jamais à l’idée pour un élu d’ouvrir un établissement qui n’est pas aux normes sans contrôle préalable. »

Léo Gonzales, PDG de Devensys cybersécurité

Quelles sont les solutions et que faire en cas d’attaque ?
« Il faut responsabiliser et sensibiliser les dirigeants ou les élus aux risques cyber pour qu’ils prennent leurs responsabilités, mettent les moyens humains, techniques et financiers en face du risque, précise Léo Gonzales, PDG de Devensys cybersécurité à Montpellier. C’est exactement ce qu’il se passe pour le risque juridique, ou encore avec le risque sûreté (normes ERP pour les bâtiments, sécurité incendie, etc.) Il ne viendrait jamais à l’idée pour un dirigeant ou élu d’ouvrir un établissement qui n’est pas aux normes sans contrôle préalable (consuel, pompiers, etc.). Idem avec le contrôle technique et l’entretien des voitures, ou les équipements de sécurité préventive (airbag, radar avec freinage auto, etc.). Pourtant, c’est comme la cyber… on investit pour ‘rien’ au départ. Mais ne pas prévoir à la conception les buses d’extinction incendie dans un hôtel, ou les portes coupe-feu, cela couterait extrêmement cher de le rajouter après. »
Des diagnostics gratuits existent rappellent Célia Nowak pour l’ANSSI ainsi que le commandant Nidhal Ben Aloui pour la gendarmerie.

Les intervenants (de gauche à droite) : Meriem Riadi, directrice des systèmes d’information Veolia Eau France, Jérôme Poggi, responsable de la sécurité des systèmes d’information à la ville de Marseille, Léo Gonzales, PDG de Devensys cybersécurité, Franck Galland, directeur général d’Environmental Emergency & Security Services et président-fondateur d’Aqua Sûreté, commandant Nidhal Ben Aloui, conseiller cyber du commandant de région de gendarmerie Paca, Célia Nowak, déléguée régionale Paca de l’ANSSI, Pierre Gonzalvez, maire de l’Isle-sur-la-Sorgue et président de l’AMV, ainsi que Olivier Campos, directeur Veolia eau Provence-Alpes.

« Nous disposons de guides et d’outils mis à disposition des collectivités dans les domaines de la prévention, de la détection et de la réaction », complète la déléguée régionale de l’ANSSI qui peut s’appuyer sur le CSIRT (Computer security incident response team) de Paca qui traitent les demandes d’assistance des acteurs de taille intermédiaire (PME, ETI, collectivités territoriales et associations).
Même offre complémentaire pour les gendarmes : « nous proposons des supports d’informations lors des situations de crise ainsi que les listes de contacts en cas d’urgence. Nous avons aussi formé des référents dans les brigades de la Région Sud afin d’apporter des réponses adaptées en fonction des profils des personnes qui nous sollicitent. »

« La question n’est pas de savoir si vous subirez une cyberattaque, mais quand ? »

S’adapter en permanence aux nouveaux défis
S’il est nécessaire de dresser un diagnostic de sa vulnérabilité face aux cyberattaques ainsi que de savoir comment réagir « une poignée d’actions ‘défensives’ constituent déjà la clef pour limiter drastiquement les risques (sauvegardes, cloisonnement, antivirus), résume Léo Gonzales de Devensys cybersécurité. Les attaquants innovent en permanence et il faut s’adapter en face. Il y a forcément une certaine latence dans la réponse, et un coût financier et humain. L’objectif étant de rendre l’attaque plus complexe, plus longue, plus chère. »
De faire en quelques sorte, que le cyberpirate passe son chemin pour, qu’à l’image d’un cambrioleur qui évite une maison avec un chien ou une alarme, il s’oriente vers un ‘voisin’ moins protégé.
« On doit aussi penser à des systèmes de détection, pour le cas où cela devient trop tard, afin que les ‘voleurs’ sachent que la ‘police’ arrive très rapidement, et qu’ils n’aient pas le temps de faire trop de dégâts », poursuit Leo Gonzales.

« Il ne faut pas rester seul. »

Commandant Nidhal Ben Aloui, conseiller cyber du commandant de région de gendarmerie Paca,

Au final, l’ensemble des intervenants s’accordent sur un point : « La question n’est pas de savoir si vous subirez une cyberattaque, mais quand ? »
C’est pour cela qu’à l’image de la Ville de Marseille et de son responsable de la sécurité des systèmes d’information, la collectivité phocéenne est sur le qui-vive.  : « Nous pratiquons des exercices en permanence, confie Jérôme Poggi. On teste les sauvegardes, on teste les procédures, on teste la réactivité des équipes, on teste encore et encore pour faire face à toutes les éventualités. »
Cependant, si les solutions peuvent apparaître uniquement techniques, il ne faut pas négliger l’impact humain. « Il ne faut pas rester seul. Il faut savoir s’entourer, insiste le commandant Nidhal Ben Aloui. Surtout si parfois à tort, on pense être bien préparé à une attaque. »
Et le gendarme, comme plusieurs intervenants, d’évoquer les conséquences humaines (dépression, burnout et même suicide) de certaines de ces attaques pour les dirigeants, élus ou chefs de service qui s’en sentent responsables.


Palais des Papes : plus de 300 000 recherches mensuelles sur le net

Seize garages vauclusiens apparaissent dans la sélection 2024 des meilleurs garages de France.

On connait les distinctions décernées aux meilleurs restaurants ou hôtels de l’Hexagone. Il existe également une sélection des Meilleurs Garages de France. Ainsi, pour la 11e année consécutive, le site internet allogarage.fr vient de dévoiler sa liste de 622 garages plébiscités par leurs clients pour la qualité de leurs services.

Lancé en 2007, allogarage.fr est aujourd’hui utilisé par plus de 400 000 automobilistes par mois. Par ailleurs, depuis 2009, le site est le premier guide comparatif sur internet à vérifier de façon systématique les avis déposés en demandant une copie des factures aux clients, et le premier site automobile à suivre la norme Afnor NF 20488. En tout, Allogarage recense plus de 25 000 garages en France.

« Cette sélection repose sur des critères objectifs et transparents. »

« Cette sélection repose sur des critères objectifs et transparents, basés sur les avis vérifiés des clients. Chaque auteur est identifié grâce à une vérification systématique de sa facture de réparation. Tous les avis respectent la norme AFNOR NF Z74-501, officialisée en septembre 2018, garantissant ainsi leur fiabilité.», insiste allogarage.fr. Pour apparaître dans ce classement, il faut un minimum 40 avis publiés et contrôlés, une note moyenne supérieure à 4 sur 5 ainsi que moins de 5% d’avis négatifs.

« Allogarage est le seul site spécialisé où tous les garages sont représentés et où chaque client peut s’exprimer librement », poursuit le guide comparatif édité par la société marseillaise GNI Media SARL.

La liste des meilleurs garages de France 2024 comprend 622 établissements, dont 16 dans le Vaucluse, 3 dans le Gard rhodanien,1 à Arles, 1 à Salon-de-Provence et 1 à Nyons. Crédit : DR/allogarage.fr

16 garages vauclusiens dans les meilleurs garages de France 2024
Sur les 622 garages retenus dans la liste d’Allogarage.fr, 16 se trouvent en Vaucluse. En voici la liste :

  • Garage des Fontaines. Pernes-les-Fontaines. 4,9/5. 452 avis.
  • Garage Flavmotor. Bédarrides. 4,9/5. 393. Avis.
  • BF Services. Monteux. 5/5. 250 avis.
  • Garage des Arcades. Avignon. 4,9/5. 286 avis.
  • Garage Guyot autos. Bédarrides. 4,9/5. 239 avis.
  • Repar and go. Orange. 4,9/5. 209 avis.
  • Garage Servic. Morières-lès-Avignon. 4,9/5. 181 avis.
  • Garage Oliviers Expert et services. Cadenet. 4,9/5. 127 avis.
  • Carrosserie Bressy axial. Orange. 4,8/5. 257 avis.
  • Carrosserie Damery. Piolenc. 4,8/5. 196 avis.
  • Carrosserie Foucot. Le Pontet. 4,9/5. 147 avis.
  • Carrosserie Bollénoise. Bollène. 4,9/5. 136 avis.
  • Provence Garage. Cavaillon. 5/5. 65 avis.
  • N7 Automobiles. Piolenc. 5/5. 61 avis.
  • Garage du Soleil. Cairanne. 4,8/5. 103 avis.
  • Garage du Brusquet. Vaison-la-Romaine. 4,8/5. 43 avis.
Crédit : DR/allogarage.fr

« Nous accordons une grande importance à la clarté dans les informations que nous communiquons sur les pannes et les réparations de vos véhicules. »

Garage Oliviers Expert et services à Cadenet

« Notre priorité absolue est de garantir la satisfaction totale de nos précieux clients, explique le garage Oliviers Expert et services à Cadenet. Nous nous efforçons constamment d’atteindre cet objectif en mettant en place plusieurs engagements : Transparence explicative. Nous accordons une grande importance à la clarté dans les informations que nous communiquons sur les pannes et les réparations de vos véhicules. Nous nous engageons à vous fournir des explications compréhensibles et détaillées pour que vous puissiez prendre des décisions éclairées. Excellence en matière de propreté : Lorsque nous prenons en charge votre véhicule, nous essayons au maximum de vous le restituer dans un super état de propreté. Nous faisons tout pour que votre véhicule soit aussi propre que possible. Disponibilité totale : Notre équipe est toujours à votre disposition pour répondre à vos besoins et vos préoccupations. Que ce soit pour planifier une réparation, obtenir des conseils ou poser des questions, nous sommes là pour vous accompagner à chaque étape. Un an et demi d’excellence : Depuis notre ouverture il y a un an et demi, nous sommes ravis de constater que nos clients nous ont attribué des évaluations très positives. Cette marque de confiance témoigne de notre engagement continu à fournir des services de qualité supérieure. Nous tenons à vous remercier chaleureusement pour votre soutien et votre confiance envers notre entreprise. Votre satisfaction reste notre motivation première, et nous sommes impatients de continuer à vous servir de la meilleure manière possible. »

A la liste des garages vauclusiens s’ajoute plusieurs autres établissements situés dans le bassin de vie d’Avignon ou en proximité du département de Vaucluse dans le Gard, la Drôme ainsi que les Bouches-du-Rhône :

  • Mecabul. Les Angles. 4,9/5. 322 avis.
  • Garage Davanier SARL DSCC. Saint-Laurent-des-Arbres. 4,9/5. 259 avis.
  • Provocar – Auto style design. Les Angles. 4,8/5. 188 avis.
  • Garage des Clos. Nyons. 4,9/5. 235 avis.
  • Pyrame Plus. Salon-de-Provence. 4,9/5. 674 avis.
  • Salomon Automobiles. Graveson. 4,8/5. 455 avis.
  • SC Automobiles. Arles. 4,9/5. 58 avis.

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Palais des Papes : plus de 300 000 recherches mensuelles sur le net

Quarante ans après l’arrivée du Minitel rose qui avait marqué l’entrée dans l’ère de la sexualité numérique, l’Hexagone n’échappe pas au phénomène de transformation digitale de la sexualité observé ces dernières années dans nombre de pays occidentaux. L’institut Discurv a mené une enquête, pour Xlovecam, qui met en lumière une société en quête de nouveaux repères sexuels, oscillant entre désir d’expérimentation, persistance des clivages de genre et craintes d’un impact négatif du numérique sur l’intimité. Réalisée auprès d’un échantillon national représentatif, cette étude met ainsi en lumière une sexualité française en transition, où cohabitent des pratiques traditionnelles et une intégration des nouvelles technologies, qui redéfinit les contours de la vie intime à l’ère d’Internet et des réseaux sociaux.

La place qu’occupe aujourd’hui le sexe dans la vie des femmes est beaucoup moins grande qu’il y a une trentaine d’années si l’on en juge par leur désintérêt croissant pour l’activité sexuelle : 51% des Françaises accordent aujourd’hui de l’importance à la sexualité dans leur vie, contre 82% en 1996 (étude Ifop-ELLE, 1996). À l’inverse, le sexe reste un enjeu plus important pour les hommes : les deux tiers (69%) des hommes la considèrent comme importante dans leur vie.

Ce gender gap de 18 points souligne la persistance de modèles culturels différenciés, où la sexualité reste plus centrale dans la construction de l’identité masculine.

Ce besoin de sexe très genré s’observe aussi dans la perception de la libido dans le couple : plus des trois quarts des hommes admettent qu’ils ont plus souvent envie de faire l’amour (77%) que leur partenaire (23%), soit des réponses très cohérentes avec celles des femmes qui sont tout aussi nombreuses (80%) à reconnaitre que leur conjoint a la plus grande libido…

Et très logiquement, ce surplus masculin de « pulsions sexuelles » se retrouve dans leur pratique de la masturbation : 36% des hommes se masturbent au moins une fois par semaine, contre seulement 19% des femmes. Et l’écart est encore plus frappant dans la pratique quotidienne : 13% des hommes contre 3% des femmes…

À l’heure où on s’affranchit de la contrainte du devoir conjugal, l’ampleur de ce gender gap pose la question de l’adéquation des attentes au sein des couples hétérosexuels, invitant à repenser les discours sur la sexualité à l’aune de la diversité des aspirations.

Le fossé orgasmique entre les deux sexes reste encore important

Le moindre plaisir que les femmes tirent de l’acte sexuel n’est sans doute pas étranger à ce différentiel de libido…

Il est vrai que l’absence d’orgasme durant les relations sexuelles touche beaucoup plus la gent féminine que masculine : seule une femme sur quatre (27%) déclare jouir systématiquement avec un partenaire, soit deux fois moins que les hommes (48%). Aujourd’hui, environ une femme en couple sur dix n’a que rarement ou jamais d’orgasme, soit une proportion qui n’a pas vraiment évolué en 10 ans (14% en 2014 – étude Ifop-CAM4).

Et de manière plus générale, le degré d’insatisfaction sexuelle des femmes est d’ailleurs un peu plus élevé (27%) que celui des hommes (23%) même si globalement, leur épanouissement sur ce plan reste majoritairement positif.

Un désir d’expérimentation reste encore porté par la gent masculine

Ce rapport très genré à l’activité sexuelle se traduit par un désir d’expérimentation sexuelle encore très porté par la gent masculine, l’enquête mettant en lumière une certaine ouverture des Français aux nouvelles pratiques sexuelles :

En effet, 45% d’entre eux expriment le désir d’essayer de nouvelles pratiques, un chiffre qui monte à 65% chez les 18-34 ans. L’écart significatif entre les hommes (55%) et les femmes (37%) sur ce point révèle quant à lui la persistance de représentations culturelles où le genre masculin reste plus associé à une sexualité exploratoire.

Cette curiosité masculine se manifeste aussi dans le rapport aux jouets sexuels : 37% des Français estiment que les sextoys améliorent la qualité de leurs relations sexuelles et Les hommes sont plus nombreux à estimer que la technologie joue un rôle clé dans l’exploration de leur sexualité.

Probablement influencée par l’accès croissant à des sources d’information numériques, cette volonté d’exploration sexuelle témoigne d’une évolution des mentalités vers une sexualité plus ludique et décomplexée, mais aussi d’une forme de « technologisation » de l’intime…

Des Français partagés sur les bienfaits du numérique sur la sexualité

La consommation de pornographie s’est démocratisée, avec 52% des Français déclarant avoir déjà regardé des contenus pornographiques gratuits. L’écart considérable entre les hommes (73%) et les femmes (34%) révèle cependant la persistance d’un rapport genré à ces contenus masturbatoires, qui s’explique en partie par la nature d’une production pornographique encore majoritairement pensée par et pour un public masculin.

Par ailleurs, 33% des répondants ont déjà utilisé des sextoys non connectés, tandis que seulement 9% ont expérimenté des sextoys connectés.

Ces chiffres montrent une adoption progressive mais encore limitée des technologies dans la sphère intime.

Sexualité numérique et objets connectés : une révolution sexuelle en devenir ?

L’enquête révèle une émergence de nouvelles pratiques sexuelles numériques : 33% des Français ont déjà échangé des « sextos », 26% ont reçu des « nudes », et 15% ont expérimenté des rapports sexuels à distance via webcam. La relative parité entre hommes et femmes dans ces pratiques – à l’exception de la réception de « nudes » – suggère une évolution vers une sexualité numérique plus égalitaire, bien que les risques restent différenciés selon le genre.

De même, si 40% des Français estiment que les objets technologiques comme les sextoys ont un impact positif sur les relations sexuelles avec un partenaire, cette proportion monte à 51% chez les jeunes (18-34 ans), suggérant une possible évolution future des pratiques sexuelles intégrant davantage la technologie.

Touchant surtout les jeunes générations, ces pratiques numériques redéfinissent les frontières de l’intime et de la pudeur. Mais si ces nouvelles formes d’expression de la sexualité peuvent être vécues comme libératrices, elles créent aussi de nouvelles injonctions et exposent à de nouveaux risques (revenge porn, chantage, etc.).

Une perception encore mitigée de l’impact des réseaux sociaux sur la sexualité

Les Français expriment un regard critique sur l’impact du numérique sur leur vie sexuelle : 76 % des personnes interrogées estiment que les outils numériques favorisent la diffusion de mauvaises informations sur la sexualité, 75% estiment qu’il freine les interactions sociales « réelles » et 68% qu’il distrait les personnes de leur partenaire. Les jeunes ont, eux, une vision plus positive de ces outils, notamment dans leur rôle dans les rencontres et l’éducation sexuelle.

Cette perception reflète les tensions inhérentes à la révolution numérique : d’un côté, elle ouvre de nouvelles possibilités d’expression et de rencontre ; de l’autre, elle semble menacer l’authenticité des relations et l’intimité des couples. Ces données soulignent la nécessité d’une réflexion sur l’usage des technologies dans la sphère intime, pour en exploiter les potentialités tout en préservant la qualité des relations.

Les fantasmes : entre persistance des stéréotypes et évolution des désirs

L’exploration des fantasmes révèle à la fois une diversification des désirs et la persistance de schémas traditionnels. 

Si certains fantasmes comme faire l’amour dans un lieu public (21%) ou avoir des relations à plusieurs (18%) sont relativement partagés entre les deux sexes, d’autres révèlent des clivages de genre importants. Ainsi, les fantasmes de domination (16% des hommes contre 6% des femmes) ou d’échangisme (15% des hommes contre 5% des femmes) restent majoritairement masculins.

La persistance de représentations genrées de la sexualité, où l’homme est plus souvent associé à une sexualité active, dominante et multi-partenariale, ne freine pas pour autant l’émergence de nouveaux fantasmes liés aux technologies (sexe virtuel, utilisation de sextoys connectés) qui témoigne d’une évolution numérique des imaginaires érotiques moins genrée.

L’importance croissante de la communication dans le couple

La communication autour de la sexualité semble prendre une place de plus en plus importante dans les couples français. 56% des répondants considèrent que les discussions ouvertes sur les fantasmes sexuels avec leur partenaire sont importantes, et ce chiffre monte à 66% chez les 18-34 ans. Cette tendance est aussi marquée chez les moins de 50 ans (65%) et les célibataires (64%), suggérant une évolution générationnelle vers plus de transparence et de dialogue autour des désirs sexuels.

L’enquête révèle aussi une amélioration globale de la communication autour de la sexualité, avec 71% des répondants qui trouvent facile d’aborder le sujet au sein du couple.

Cette tendance, relativement partagée entre hommes et femmes, marque une rupture avec des modèles plus traditionnels de la sexualité où la communication était moins centrale. Cette valorisation du dialogue sur l’intime s’inscrit dans un contexte plus large de remise en question des rapports de pouvoir dans la sphère sexuelle, notamment suite au mouvement #MeToo.

La communication sur la sexualité : un tabou qui s’estompe ?

L’enquête révèle néanmoins des difficultés à aborder la communication autour de la sexualité, des différences persistant selon les contextes : si 57% se sentent à l’aise pour en parler avec des amis, seuls 30% le sont en famille.

Ces chiffres témoignent de la persistance de certains tabous, notamment dans le cadre familial. La légère avance des hommes dans l’aisance à communiquer sur la sexualité (75% contre 68% des femmes dans le couple) invite à s’interroger sur les facteurs culturels qui continuent de freiner la parole des femmes sur leur intimité.

Une étude dirigée par Audrey Mandefield, chargée de comptes sénior, et Pauline Poché, cheffe d’équipe Insight, de Discurv


Palais des Papes : plus de 300 000 recherches mensuelles sur le net

Alors que selon les pouvoirs publics, les sabotages nocturnes de la nuit de dimanche à lundi n’auraient impacté que 6 départements, les particuliers et les entreprises vauclusiennes sont aussi touchés par ces perturbations sur le réseau de la fibre optique. De possibles désordres sont encore à prévoir demain.

Bouches-du-Rhône, Drôme, Hérault, Aude, Oise et Meuse seraient les six ‘victimes’ des sabotages nocturnes perpétrés dans la nuit du dimanche 28 au 29 juillet dernier. C’est donc dans ces territoires que les perturbations ont été les plus importantes sur le réseau de la fibre optique, tout particulièrement chez les clients SFR, Free et dans une moindre mesure Bouygues telecom.

Coupures d’internet dans le Vaucluse et le Gard rhodanien
Cependant Free aurait aussi repéré des dégradations en Vaucluse. Dans tous les cas, ces actes de malveillance ont entraîné des coupures ainsi que des ralentissements de connexion dans tout le département ainsi que dans le Gard rhodanien ce lundi matin ainsi que ce mardi 30 juillet au matin. De nombreux particuliers vauclusiens mais aussi des entreprises locales et des cabinets médicaux ont été ainsi impactés.
De possibles perturbations seraient aussi à prévoir demain, le temps que la situation revienne à la normale. Toutefois, si de nouveaux actes de sabotage étaient perpétués le fonctionnement du réseau pourrait être à nouveau grandement altéré.

Ouverture d’une enquête
A noter que suite à ces actions de vandalisme, la Juridiction nationale de lutte contre la criminalité organisée (Junalco) s’est saisie de l’enquête. Dans le même temps, le parquet de Paris a ouvert une enquête pour « détérioration de biens de nature à porter atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation », « atteintes à un système de traitement automatisé de données en bande organisée » et « association de malfaiteurs ».


Palais des Papes : plus de 300 000 recherches mensuelles sur le net

Le vendredi 31 mai, l’école des nouvelles images a présenté les travaux de fins d’études réalisés par les élèves de dernière année au cinéma Capitole « MyCinewest » durant la 7ème cérémonie de remise de diplômes. Au programme, 5 courts métrages d’animations diffusés qui ont entièrement été faits par les étudiants et la remise de plusieurs prix et de leurs diplômes.

L’aboutissement de 5 ans de travail et de formation. Le vendredi 31 mai, les élèves de cinquième année du cursus « cinéma d’animation 3D » de l’école des nouvelles images qui se trouve à Avignon, ont présenté leurs travaux de fins d’études qui se sont matérialisés par la conception par groupe de 7 d’un court métrage d’animation entièrement réalisé part leurs soins durant leur dernière année scolaire. Des créations qui ont ensuite été jugées et validées par un jury composé de professionnels de l’image avant la grande fête qui s’est déroulé ce vendredi 28 mai au cinéma vauclusien Capitole « MyCinewest ».

Une soirée spéciale durant laquelle tous les élèves ont pu présenter leurs travaux dans une salle de cinéma comble composée de leurs familles et de leurs enseignants avant de recevoir leur diplôme des mains de Julien Deparis, maitre de cérémonie mais surtout directeur générale de l’école des nouvelles images « nous sommes tellement fiers du travail accompli par tous les élèves, des sacrifices qu’il y a derrière chaque image que vous allez voir et c’est cet engagement de la part de nos équipes pédagogiques et de nos étudiants qui fait le mérite et la renommée de notre école » a déclaré celui qui est aussi producteur.

Julien Deparis (à gauche) aux cotés des élèves de la promotion 2023/2024 de l’école des nouvelles images

5 courts métrages et des styles très différents

Au total, ce sont 5 courts métrages d’animation qui ont été projetés pendant plus d’une heure de cérémonie. 5 travaux d’une durée de 4-5 minutes chacun dans lequel les 7 étudiants ont raconté une histoire qui devait suivre un fil conducteur. Parmi ces créations, certains ont fait le choix de l’humour burlesque comme pour la 1ère production intitulé « yacht » ou la dernière qui se nommait « amen » dans lequel 6 porcs parviennent à s’échapper et mettre le bazar au milieu d’un monastère « je tiens à féliciter particulièrement ceux qui ont choisi l’humour comme trame narrative car il n’y a rien de plus dur que de faire rire à travers l’animation » a souligné Julien Deparis.

Pour « Forever » et « Sortie de route », 2 des autres productions diffusées, le choix de l’esthétique et l’enchainement de péripéties ont été privilégiés pour mettre en valeur la morale de fin et le message que souhaitait faire passer les étudiants à travers leurs œuvres. Mention spéciale pour le dernier court métrage « jour de vent » qui a remporté le prix spécial du jury en s’appuyant sur une bande son originale composée spécialement par une musicienne professionnelle et une histoire teintée d’émotions qui a provoqué de vives réactions dans la salle « avoir la chance de pouvoir diffuser autant de films de qualité de la part des étudiants d cette école me remplit de fierté et c’est ce qui donne la force de continuer notre travail pour aider les jeunes de ce territoire à réaliser leurs rêves » a ajouté Julien Deparis, directeur de l’école des nouvelles images.

« Sortie de Route » un des court métrage réalisé par les élèves

L’ENSI, véritable propulseur culturel du territoire vauclusien

Pour cette cérémonie de remise de diplôme de ses étudiants, l’école des nouvelles images a pu compter sur la présence de nombreux élus, de l’Université d’Avignon mais surtout du Grand Avignon et celle du Département du Vaucluse, 2 partenaires institutionnels historiques qui accompagnent la structure d’animation depuis son implantation à Avignon en 2017 « l’école des nouvelles images a réussi à placer le vaucluse au centre de la France en terme d’animation et de rayonnement culturel et ce à travers votre travail et les nombreuses récompenses remportées sur le plan national mais aussi à l’international » a tenu à déclarer Dominique Santoni, présidente du Département.

Sous l’impulsion et l’implication sans relâche de Julien Deparis, la structure qui avait pour objectif de faire rayonner le bassin avignonnais en formant les jeunes de son territoire aux métiers de l’animation a pleinement réussi son pari et continue de « casser » toutes les portes qui mènent aux rêves les plus fous.  Classée en 2021 dans le top 10 des écoles d’animations en France par Animation Career Review, l’école des nouvelles images a franchi un nouveau cap en 2023 en envoyant 5 étudiants à Hollywood qui ont reçu la récompense ultime, un Oscar pour le court métrage « Boom ».


Palais des Papes : plus de 300 000 recherches mensuelles sur le net

Au sein d’un univers technologique en changement perpétuel, il n’est pas si aisé que cela de choisir la meilleure option et les outils adéquats pour être bien référencé sur Google en tant qu’entreprise. Pourtant avec 6,9 milliards de recherches effectuées chaque jour sur ce moteur de recherche, la stratégie de référencement est devenue indispensable pour n’importe quelle entreprise ou structure qui souhaite mettre en place la meilleure stratégie marketing possible. Rémi Vicente, créateur et dirigeant de l’entreprise de communication vauclusienne Arôme nous livre son analyse de l’évolution du mode de référencement et sur ce qui est le plus efficace en 2024.

Publicité, newsletter, site internet, sponsoring sur les réseaux sociaux … Les moyens et les outils pour mettre en place une politique de marketing et de visibilité efficace sur le web sont très nombreux. Utilisés à bon escient ils permettent à n’importe quelle entreprise, PME ou grandes multi nationales d’avoir une bien meilleure maitrise de leur communication, de leur image ainsi qu’une stratégie de développement commercial percutante sur le long terme.

De tous ces leviers, le référencement naturel dit SEO (Search engine optimization ou optimisation pour les moteurs de recherche) est devenu un des outils les plus efficace et indispensable pour être aujourd’hui visible sur internet. Si en tant qu’entreprise vous possédez un site web, le SEO doit grandement aider à attirer beaucoup plus de flux sur celui-ci. Il est depuis plusieurs années, la principale source de trafic sur les différents moteurs de recherche, que ce soit Bing, Yahoo mais surtout Google.

En suggérant l’introduction de mots clés dans vos contenus et de ‘backlinks’, le SEO permet de vous rendre plus visible à travers le fonctionnement des algorithmes. Depuis plusieurs années, le référencement naturel augmente la crédibilité de marque et de marketing d’une entreprise, améliore l’expérience utilisateur, permet un impact positif sur le cycle d’achat et offre une possibilité de ciblage sur le plan de la vente.

Le référencement : une évolution constante
Rémi Vicente dirige depuis plus de 18 ans l’agence de communication Arôme qui s’est imposée notamment comme l’un des précurseurs de la région en matière de SEO et de communication digitale, mais également dans le domaine publicitaire. En plus de vingt ans de carrière, ce chef d’entreprise a vu passer des clients de tous les secteurs qu’il a accompagné dans leurs choix de communication et de stratégies digitales.

Rémi Vicente, dirigeant de l’agence de communication avignonnaise Arôme.

« Nous avons fait très tôt le choix de la communication digitale dans notre agence et nous avons été les premiers à le proposer à nos clients. Avant l’avènement des smartphones et des écrans, le volet digital consistait à avoir un site internet efficace et de qualité. On a été les premiers à équiper nos clients de sites web, à établir des campagnes Google Ads dès 2006 puis on faisait tout notre possible pour que ce site soit aussi bien référencé naturellement dans les moteurs de recherche dont Google en priorité. C’est primordial pour chaque entreprise mais encore plus pour une structure locale qui n’a pas les moyens d’avoir des campagnes publicitaires de grande ampleur explique Rémi Vicente.

Cette stratégie de référencement naturel (SEO) et payant (Google Ads) a toujours fait ses preuves mais a dû s’adapter face aux changements numériques et digitaux qui sont constants. Face aux nombreuses nouveautés emmenées par les évolutions technologiques, l’agence Arôme a toujours su s’adapter, mais surtout anticiper, pour offrir à ses clients les conseils les plus efficaces « les fonctionnalités des nouveaux téléphones ont emmené l’avènement des applications pour les réseaux sociaux qui rapidement sont devenus des interfaces publicitaires efficaces pour les entreprises, il a fallu rapidement l’intégrer dans les campagnes marketing et communicationnelles de nos clients ».

Quels effets sur le référencement ?
Si la stratégie du référencement SEO avec l’intégration de mots clés…s’est montré très efficace pendant de nombreuses années avec une rentabilité visible pour les entreprises qui voyait leur taux d’audience grimpait en flèche et leurs sites en tête de liste sur les pages Google, ce mode de fonctionnement semble se heurter à une nouvelle réalité « le référencement naturel que vous avez aujourd’hui sur un site, il est très limité à la fiche Google Local. C’est-à-dire que si je suis d’Avignon, j’ai très peu de chance d’apparaitre sur les recherches des personnes domiciliés sur Cavaillon ou Orange alors qu’avant, avec les articles ou pages que nous faisions par exemple avec les mots clés j’arrivais par ce biais à remonter en vertical dans les bons résultats, aujourd’hui c’est très compliqué » constate Rémi Vicente.

« Aujourd’hui, si vous êtes un prestataire ou une entreprise locale, le référencement naturel uniquement sur votre site n’est plus du tout suffisant. »

L’effet de masse sur cette pratique a bouleversé le mode de fonctionnement et ce constat s’applique surtout pour les entreprises territoriales qui ne possèdent pas une image de marque forte « Aujourd’hui, si vous êtes un prestataire ou une entreprise locale, le référencement naturel uniquement sur votre site n’est plus du tout suffisant, c’est beaucoup d’efforts pour très peu de résultats et vous aurez beaucoup de mal à étendre votre offre au-delà de votre localité car Google a réduit la portée naturelle des résultats sur son moteur. En 3 ans, nous avons vu des clients qui ont vu leur trafic naturel divisait par 3 ou 4 », analyse le créateur d’Arome.

Le transporteur vauclusien Voyages Arnaud a confié l’agence Arôme la mise en avant sur Google de sa ligne 57 pour compte du réseau ‘Zou!’ de la Région Sud.

Conscient des modifications apportées par Google, Rémi Vicente a su faire, une nouvelle fois, preuve d’anticipation : « on a accéléré depuis cinq ans le travail de développement au sein de nos offres sur les fiches Google Local. Une tâche importante, car mieux on est référencé, mieux on sera trouvé. Et puis, parce que Google a pris des décisions qui poussent les gens à passer sur sa régie publicitaire Google Ads pour avoir un référencement efficace ».

Google AdWords une solution quasi inévitable ?
Créée en octobre 2000, Google AdWords, qui s’est transformé depuis plus de 6 ans en Google Ads, est un outil puissant de publicité en ligne mis en place par la plateforme de recherche. Cette interface agit comme une régie, qui moyennant contribution, vous permet de placer des mots clés stratégiques via un système d’annonces et ainsi réaliser des campagnes de publicités percutantes.

Il offre à ses utilisateurs la possibilité de gérer ses campagnes en temps réel qui plus est avec un ciblage établi et précis, il est aujourd’hui le programme de lancement le plus utilisé au monde par les annonceurs. Il permet également une nette amélioration sur la présence transmédia et une optimisation du nombre de contacts qualifiés.

« Le référencement naturel c’est fini. »

Face à cette alternative, quasi obligatoire, apporté par Google, Rémi Vicente a réussi à optimiser ce dispositif, mais cela n’est pas sans conséquences. « Aujourd’hui les demandes de prospects que les sites avaient naturellement commencent à être drastiquement réduites comme un goulet d’étranglement. En tant qu’agence de communication, nous devons apporter une efficacité à nos clients. Je suis alors obligé de monter le budget mensuel quotidien sur Google Ads sur les mots clés que je visais avant. Les grands opérateurs publicitaires digitaux que sont Google, Facebook et Instagram ont fait une réhausse des prix depuis 3 ans qui est tellement importante, qu’ils sont au prix des médias classiques. Il est donc quasiment systématique pour nous de doper les lignes Googles Ads pour augmenter le trafic et je pense que c’est sur ça qu’il faut appuyer pour la suite » détaille t-il.   

Une nouvelle tendance qui signe, selon l’entrepreneur vauclusien, la mort quasi définitive du référencement SEO « le référencement naturel c’est fini. Le SEO il faut désormais en faire une base de construction mais cela nécessite trop de productions de contenus pour des résultats trop faibles. Si on ne passe pas aujourd’hui par Google Ads et les réseaux sociaux en faisant du ‘community management’ on ne peut pas mettre en place de campagnes efficaces. Sans cela, vous perdez des clients et des prospects et ce n’est pas négligeable ».

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