Gautier Semences, entreprise française indépendante spécialisée dans les semences potagères et fondée il y a plus de 70 ans, vient d’annoncer la nomination de Jeanne Gautier au poste de directrice générale. Elle a pris ses nouvelles fonctions le 1er avril, après avoir occupé plusieurs fonctions opérationnelles au sein de l’entreprise depuis 2020.
Elle succède donc à son père Jacques Gautier au sein de l’entreprise familiale dont elle représente la 4e génération et dirige désormais 180 salariés. Ce changement assure la continuité de la gouvernance tout en insufflant un nouvel élan stratégique à Gautier Semances, qui rayonne en France comme à l’international. « La création variétale, l’innovation, et la satisfaction de nos clients restent nos priorités », affirme la nouvelle directrice générale. Aujourd’hui, Jeanne Gautier a un objectif : faire de l’entreprise le semencier de référence pour les professionnels et les consommateurs exigeants, à la recherche du meilleur du végétal, que ce soit en matière de santé, de plaisir et de responsabilité.
« Ma priorité est de construire une stratégie robuste et cohérente avec notre vision à long terme, en consolidant notre compétitivité sur les marchés clés, conclut-elle. Nous devons continuer à investir dans la recherche, l’innovation variétale et de nouvelles capacités de production, tout en anticipant les grandes transitions du secteur agricole. »
Jeanne Gautier prend la tête de l’entreprise familiale Gautier Semences
Après la récente nomination de Caroline Notre Dame en tant que directrice générale de Fondasol, Christopher Caplane gèrera l’équipe en tant que directeur technique dès le 1er avril. Il succède ainsi à Catherine Jacquard, désormais retraitée.
Présent dans l’entreprise depuis 2005, Christopher Caplane a consacré la plus grande part de sa carrière à Fondasol. Depuis son entrée dans l’agence de Biarritz en 2005 jusqu’à sa nomination au nouveau poste de directeur technique en avril prochain. Il est par ailleurs expert judiciaire des sols depuis 2019, apportant un regard unique sur ses missions de direction.
Valoriser les talents internes Rattaché au président du groupe Fondasol, Christopher Caplane intégrera également le comité de direction. « Sa nomination répond à notre volonté de valoriser les talents internes et de renforcer toujours plus une vision technique où l’innovation se conjugue avec une connaissance intime des besoins opérationnels », explique Olivier Sorin, le président de la société vauclusienne basée à Montfavet.
Pour le groupe expert en études et ingénierie conseil de la construction depuis 1958, ce renforcement de la gouvernance doit permettre à l’entreprise de développer notamment ses ambitions et ses actions à l’international. Organisation, processus, collaboration inter-équipes, qualité, formation… : le rôle de Christopher Caplane sera ainsi « de poursuivre l’identification et l’animation des actions pour l’ensemble des domaines de compétences du groupe (sols, structures, matériaux) et de ses géographies (Europe, Amérique du Nord, Afrique) », complète la direction de Fondasol.
100M€ de CA en 2025 ? Avec un chiffre d’affaires prévisionnel de 100 millions d’euros en 2025, le groupe Fondasol compte sur ses 850 collaborateurs implantés en Europe, Nord Afrique et Nord Amérique. Ces derniers représentent 75% des actionnaires du groupe. Des défis plus grands se profilent face au nouveau directeur technique, qui célèbrera dans quelques mois ses 20 années dans le Groupe.
Amy Rouméjon Cros
Christopher Caplane : une expertise développée depuis 25 ans 1999 : Maîtrise de Génie Civil à l’Université de Bordeaux 2000 : DESS Géosciences appliquées à l’Université de Bordeaux (major de promotion) 2001-2002 : navigateur chez Stolt Offshore 2002-2003 : ingénieur d’études à l’agence bordelaise de Fondasol 2003-2004 : ingénieur en recherche et développement à Asr Ltd 2004-2005 : ingénieur géotechnique à Fugro GeoServices 2005-2019 : chef d’agence de Fondasol à Biarritz 2019-2025 : référent technique région Ouest à Fondasol A partir du 1er avril 2025 : directeur technique à Fondasol
Jeanne Gautier prend la tête de l’entreprise familiale Gautier Semences
Le groupe avignonnais Fondasol, expert en études et ingénierie conseil de la construction, vient de nommer Caroline Notre Dame en tant que directrice générale.
Le groupe vauclusien Fondasol a récemment créé sa direction générale et a décidé de nommer Caroline Notre Dame à sa tête. En distinguant la présidence de la direction générale, le Groupe souhaite renforcer sa gouvernance afin d’accélérer la construction d’un groupe d’ingénierie international, opérant en Europe, en Afrique et en Amérique du Nord.
« Notre Groupe ne cesse d’évoluer, de grandir. Dans un tel contexte de transformation et d’accélération continue, une gouvernance renforcée est essentielle pour maintenir l’équilibre entre ambition stratégique et efficacité opérationnelle, et transformer les possibles en actions concrètes. »
Si les directions technique et scientifique et la Recherche & Développement restent sous la responsabilité directe du président, Caroline Notre Dame a quant à elle pour mission de piloter la stratégie définie par Olivier Sorin, et de renforcer l’excellence du Groupe qui se caractérise par la cohésion des équipes et l’évolution des talents, l’innovation et la digitalisation d’une offre de service multi-experte et la performance économique du Groupe.
Pour ce faire, la nouvelle directrice générale va s’appuyer sur ses diverses expériences professionnelles et sur son parcours au sein-même du groupe Fondasol. Diplômée de l’école de commerce EDHEC Business School et titulaire d’un master de Sciences Po, Caroline Notre Dame s’est d’abord orienté vers l’audit, puis vers le contrôle de gestion. En 2014, elle rejoint le groupe Fondasol où elle exerce la fonction de directrice Administrative et Financière et est membre du comité de direction. Ainsi, elle a longtemps contribué aux orientations stratégiques du Groupe. Des atouts qu’elle va encore mobiliser à l’avenir en tant que directrice générale.
Jeanne Gautier prend la tête de l’entreprise familiale Gautier Semences
Le Groupe La Poste vient de nommer Isabelle Lherbier Déléguée régionale en région Provence-Alpes-Côte d’Azur. Elle succède à Christine Bord Le Tallec qui occupait le poste depuis 2016 et qui devient déléguée régionale en Occitanie.
En devenant la première entreprise publique à obtenir la qualité de « société à mission », la Poste s’est engagée à contribuer au développement et à la cohésion des territoires, favoriser l’inclusion sociale, promouvoir un numérique éthique, inclusif et frugal, œuvrer à l’accélération de la transition écologique pour tous. Des missions auxquelles va prendre part Isabelle Lherbier qui vient d’être nommée Déléguée régionale du Groupe en région PACA.
« Consciente des défis et opportunités propres à notre territoire, je suis attachée à renforcer la coopération entre La Poste et ses partenaires institutionnels et économiques pour favoriser un développement durable et inclusif. »
Isabelle Lherbier
La nouvelle déléguée régionale représente le Groupe dans la région auprès des autorités de l’État, des collectivités territoriales, des publics institutionnels et des représentants des milieux socio-économiques. La délégation régionale coordonne l’action de La Poste et de ses branches sur le territoire pour accompagner les projets autour des transitions écologiques, numériques, démographiques et sociales.
Isabelle Lherbier évolue au sein du Groupe La Poste depuis 1995. En 2011, elle a participé à la création de La Poste Mobile en tant que Directrice Commerciale Nationale, poste qu’elle a occupé pendant 7 ans. De 2018 à 2020, elle a été Directrice Nationale des Services Clients de La Banque Postale avant de gérer les relations stratégiques et les partenariats de la branche Grand Public et Numérique de La Poste en tant que Directrice des Relations Opérateurs Publics et Privés jusqu’en 2024.
Jeanne Gautier prend la tête de l’entreprise familiale Gautier Semences
La startup avignonnaise Tut Tut, spécialisée dans la livraison collaborative du dernier kilomètre, accueille Pierre-Etienne Montenot, ex-directeur Europe d’Amazon, au sein de son équipe en tant que directeur général.
Diplômé de deux masters à l’École Polytechnique Supérieure de l’Université de Saragosse et à l’Institut National des Sciences Appliquées Centre Val de Loire, Pierre-Etienne Montenot a évolué dans le groupe Airbus en tant que Production Manager avant d’intégrer le groupe PSA Peugeot Citroën en tant que Responsable de Groupe Logistique. Avant d’intégrer Tut Tut, le nouveau directeur général de la startup avignonnaise a évolué au sein de l’entreprise Amazon, de responsable de site à Montélimar à directeur Europe. « Après 11 ans chez Amazon, je comprends les challenges environnementaux, économiques de la livraison du dernier kilomètre ainsi que les enjeux sociétaux du e-commerce, déclare-t-il. Je crois que Tut Tut France grâce à son positionnement et au talent de ses équipes est idéalement positionnée pour relever tous ces défis. »
De son côté, le fondateur de la startup, Vincent Chabbert, voit cette arrivée comme un tournant pour Tut Tut. « Attirer un leader de cette envergure est une véritable fierté, affirme-t-il. Son expertise et son énergie vont nous permettre d’aller encore plus loin. » En moins de quatre ans d’existence, Tut Tut s’est imposée comme une référence incontournable. L’entreprise, qui a enregistré un chiffre d’affaires de 600 000€ en 2022 et 2,5M€ en 2023, a atteint près de 10M€ l’année dernière. Une croissance fulgurante que son dirigeant ainsi que le nouveau directeur général comptent bien poursuivre.
Jeanne Gautier prend la tête de l’entreprise familiale Gautier Semences
Thibault de Cacqueray est le nouveau directeur de cabinet de Thierry Suquet, le préfet de Vaucluse. Auparavant en poste à la Cour des comptes à Paris en tant qu’auditeur à la 4e chambre en charge des domaines de la sécurité, de la défense, des affaires étrangères et de la justice, il succède à Vincent Naturel nommé à la préfecture de police de Paris. Rencontre avec celui qui devient aussi sous-préfet du département.
A 31 ans, Thibault de Cacqueray vient de prendre ses fonctions de directeur de cabinet et de sous-préfet du département de Vaucluse. Si ce dernier a fait ses armes dans ‘la préfectorale’ du côté des Alpes-Maritimes dans le cadre de ses stages de l’ENA (promotion Molière 2018-2019), il reconnaît qu’il ne connaît pas particulièrement le Vaucluse même s’il est « très heureux de rejoindre le département ».
Un habitué des relations avec les collectivités locales Originaire d’Agen et ayant grandi à Paris dans le XVIIIe arrondissement, il a travaillé avec Jean Castex lorsque que ce dernier était ‘Monsieur déconfinement’ puis ensuite lorsque ce dernier a été désigné Premier ministre. Thibault de Cacqueray était alors Conseiller territoires en relation tout particulièrement avec les collectivités. « Lorsqu’il a été nommé Premier ministre, confirme le nouveau directeur de cabinet, il m’a effectivement emmené avec lui comme conseiller pour les relations avec les collectivités territoriales, la décentralisation, la ruralité, la politique de la ville, les sujets de territoires… On suivait des dossiers très locaux, des sujets qui lui étaient remontés lors de déplacements, pour lesquels il pouvait prendre des engagements, des sujets d’infrastructure. » « A l’échelle de ma courte carrière à Matignon, mais j’ai énormément travaillé avec les élus. J’ai donc l’expérience des projets locaux qu’on doit mener à bien de manière partenariale entre l’État et les collectivités. » C’est durant cette période, qu’il tissera tout particulièrement des liens avec Jean Castex qui a occupé le poste de secrétaire général de la préfecture de Vaucluse de 1999 à 2001. « Il a été particulièrement touché par le décès d’Eric Masson. Il est resté très attaché au Vaucluse et m’a dit que j’arrivais dans un formidable département. »
« J’avais très envie de repartir dans des fonctions opérationnelles sur le terrain. »
Thibault de Cacqueray, directeur de cabinet du préfet de Vaucluse
Ensuite, Thibault de Cacqueray rejoint la Cour des comptes il a « travaillé essentiellement sur des sujets de sécurité ». A ce titre, cet amateur de sport (il a fait partie des 300 spectateurs à avoir assisté à l’un des derniers matchs d’Arles-Avignon en ligue 2 au parc des sports en 2015 contre Créteil-Lusitanos avant la liquidation du club pro provençal !) a contribué à la rédaction d’un rapport sur les forces de police à Marseille et ‘planchera’ également sur les forces mobiles, les lycées militaires ainsi que plusieurs sujets régaliens. « J’avais très envie de repartir dans des fonctions opérationnelles sur le terrain et donc de rejoindre une préfecture », précise-t-il pour expliquer son arrivée dans le Vaucluse. J’ai demandé un département qui aurait à la fois des enjeux importants pour un poste de directeur de cabinet et qui offrirait également un cadre agréable. Donc là, j’ai été vraiment servi, puisque quand j’ai appris que je partais dans le Vaucluse, cela a été une très bonne nouvelle. C’est un département très contrasté entre la vallée du Rhône et les zones montagneuses. »
Lutte contre que les narcotrafics et les violences intrafamiliales Dans la lignée du préfet actuellement en place, le nouveau directeur de cabinet sait à quoi s’attendre en Vaucluse : « En travaillant sur la police à Marseille, on sait que les enjeux liés au narcotrafic et à la délinquance sont importants », reconnait-il. « Depuis que je suis arrivé, j’ai pu voir l’importance de ce phénomène ainsi que du nombre de points de deal qui demeurent, poursuit-il. J’ai aussi pu constater la mobilisation totale de la police, des services de l’État, mais aussi de la gendarmerie, puisque sur une cinquantaine de points de deal, il y en a près d’un tiers qui sont en zone gendarmerie. »
Dans ce cadre, les actions de police administrative, avec les fermetures d’épiceries qui servent au blanchiment, devraient s’intensifier, tout particulièrement dans le secteur de la rue Thiers à Avignon. « Des épiceries de nuit qui ‘pourrissent’ également la vie des riverains par des troubles à l’ordre public et par des fermetures tardives. »
« J’ai appris en arrivant ici que les violences intrafamiliales étaient aussi extrêmement importantes, confie ce jeune marié sans enfant. Le directeur de cabinet précédent m’a dit que chaque nuit, lorsqu’on lui donnait la synthèse, au petit matin, il y avait 4 à 5 faits de violences intrafamiliales qui lui étaient rapportés. Donc, là aussi, ce sera un axe d’effort. »
« Il suffit de regarder la carte pour voir que c’est un département assez original. »
Concernant les particularités de ce département, avec une enclave dans la Drôme et un chef-lieu unique agglomération française à s’étendre dans 3 départements, 2 régions et 2 zones scolaires, Thibault de Cacqueray reconnaît qu’il suffit de regarder la carte pour voir que c’est un département assez original. Avec toute la population qui est un concentrée sur la partie ouest et la vallée du Rhône. C’est aussi quelque chose que l’on m’a tout de suite décrit avec un bassin de vie qui est à cheval sur 3 départements. C’est quelque chose que je prends en compte et que je vais vite découvrir à mon avis. Et les complexités des grands projets comme ceux de la LEO, j’en avais aussi eu vent à Matignon. »
« Les complexités des grands projets comme ceux de la LEO, j’en avais aussi eu vent à Matignon. »
Etre à l’écoute des revendications agricoles Avec ses origines Lot-et-Garonnaise, le directeur de cabinet du préfet de Vaucluse avoue être particulièrement à l’écoute des revendications du monde agricole. « Nous sommes dans un département très agricole et viticole, donc évidemment, nous serons à la fois à l’écoute des revendications tout en faisant en sorte que ces mouvements se passent le plus paisiblement possible. Nous serons là pour faire remonter les revendications et maintenir un dialogue permanent. Le préfet le fait lui-même mais je serai en appui pour aller en première ligne s’il me le demande. » A peine arrivé, le nouveau directeur de cabinet a aussi dû faire face à la mise en place du plan grand froid en Vaucluse avec l’ouverture d’un centre d’hébergement exceptionnel à Avignon notamment. Autre dossier brulant : la sécurité routière avec un mauvais bilan en 2024. Il y a ainsi eu 41 morts sur les routes de Vaucluse contre 28 en 2023 (dont 37% de 2 roues motorisés). Là encore, il annonce une mobilisation des services de l’Etat pour lutter contre ce fléau.
Laurent Garcia
Les missions de Thibault de Cacqueray Collaborateur direct du préfet, le directeur de cabinet assiste ce dernier dans sa responsabilité du maintien de l’ordre public et de la sécurité sur l’ensemble du département. Il a pour missions essentielles : la lutte contre la délinquance, la protection des populations, le suivi des affaires réservées, notamment les relations avec les cabinets ministériels, et le pilotage de la stratégie de communication de l’État dans le département. Il est l’interlocuteur direct de la police nationale, de la gendarmerie nationale, du SDIS, du SAMU, de l’autorité militaire, de l’autorité judiciaire et des services du ministère de la Justice. Il s’attache à promouvoir les politiques de l’État dans le département en entretenant d’étroites relations avec les élus, les entreprises, les syndicats et le monde associatif.
Pour exercer ses missions, le directeur de cabinet a sous son autorité : – La direction des sécurités qui suit les questions relatives à l’ordre public, aux polices administratives, à la prévention de la délinquance, à la prévention de la radicalisation, à la sécurité routière, ainsi qu’à la défense du territoire et à la protection des populations. – Le Bureau de la représentation de l’État et de la communication interministérielle (BRECI) qui suit les affaires réservées, les décorations, la vie politique et élabore la stratégie de communication de l’État dans le département. – La déléguée aux droits des femmes.
Jeanne Gautier prend la tête de l’entreprise familiale Gautier Semences
Le groupe Pellenc, concepteur, constructeur et distributeur de machines, d’équipements et d’outils pour la viticulture, la viniculture, l’arboriculture fruitière et l’entretien des espaces verts et urbains, basé à Pertuis, vient de nommer Thierry Carbonnel au poste de directeur Produits et de Pascal Moulinier au poste de directeur Recherche & Développement.
Le groupe pertuisien Pellenc commence l’année sur les chapeaux de roues et consolide son comité exécutif. Le jeudi 2 janvier, Thierry Carbonnel et Pascal Moulinier ont rejoint l’équipe et pris leurs fonctions en tant que directeur Produits et directeur Recherche & Développement.
Thierry Carbonnel est ingénieur INSA Lyon en énergie et environnement et diplômé d’HEC Paris d’un Master Innovation et Entrepreneuriat. Il a effectué une grande partie de sa carrière chez Renault Trucks où il a dirigé le développement de la gamme poids-lourds en Europe, Moyen-Orient et Afrique, et où il a lancé la première gamme commerciale de poids lourds électriques pour le marché européen. Il a aussi évolué au sein d’Air Liquide en tant que directeur Marketing et Business Support.
Pascal Moulinier, quant à lui, a exercé près de 35 ans dans le groupe Renault à différents postes sur les périmètres Ingénierie et Opérations, en France et à l’international. Il y a occupé des postes de Chef de Services, de Départements et de Direction qui l’ont amené à développer toutes les compétences autour des composantes de la Recherche & Développement.
« Les équipes sont ravies de pouvoir s’enrichir de leurs expériences respectives et de leurs expertises métiers complémentaires afin de renforcer la proximité client et la dynamique d’innovation, valeurs inscrites depuis toujours dans l’ADN de Pellenc », a déclaré le groupe vauclusien.
Jeanne Gautier prend la tête de l’entreprise familiale Gautier Semences
Laurence Lelouvier, qui a rejoint l’équipe dirigeante de l’entreprise bucco-rhôdanienne de bâtiment et de travaux publics NGE en tant que directrice des Ressources Humaines en 2024, prendra également la présidence de ‘Plate Forme’, l’école de formation du groupe, dès le 1ᵉʳ janvier 2024.
Premier centre de formation d’apprentis (CFA) d’entreprise depuis septembre 2019, ‘Plate Forme’ est présente en France et au Maroc à travers 8 plateaux permanents. Chaque année, l’école de formation de NGE accueille plus de 7 000 collaborateurs en formation dans les métiers du bâtiment et des travaux publics.
Et ce centre de formation sera, dès le 1ᵉʳ janvier prochain, sous la présidence de Laurence Lelouvier, DRH du groupe NGE depuis quelques mois. Diplômée en management et développement des RH (IGS) et en finances et commerce (ESCP), Laurence Lelouvier a évolué ces 25 dernières années dans les secteurs du service tant à des postes de DRH qu’à des positions de cadre dirigeant opérationnel.
Elle a pris les commandes des ressources humaines de NGE, 4ᵉ groupe français de BTP basé à Saint-Étienne-du-Grès, à un moment où l’entreprise était en plein développement avec l’annonce d’un nouveau business plan 2024-2028 qui devrait porter le groupe en 2028 à plus de 6 milliards d’euros de chiffre d’affaires et 30 000 collaborateurs dans une vingtaine de pays.
Jeanne Gautier prend la tête de l’entreprise familiale Gautier Semences
Lors de la conférence de presse présentant Martin Harriague et sa nouvelle création America, le directeur de l’Opéra Grand Avignon Frédéric Roels n’a pas caché sa joie d’annoncer la nomination d’un chorégraphe dont il avait pu apprécier le travail en le programmant en 2021 avec Pitch, spectacle inspiré de la personnalité de Tchaïkovsky. « Le travail de son prédécesseur Emilio Calcagno a permis d’inscrire le Ballet comme une vraie compagnie sur la scène contemporaine, une compagnie qui compte dans le paysage de la danse nationale et internationale avec des créations, des tournées, pour preuve près de 30 dates en 2024 », a-t-il précisé. Et de rajouter : « Je me réjouis du choix de Martin Harriague retenu parmi plus de 40 candidats par les membres du jury, mais aussi par les danseurs et danseuses qui ont eu un temps de travail avec lui. Sa vision résolument engagée de la danse, en lien avec les personnes, les pratiques et le territoire, correspond à la vision que je défends moi-même d’un projet qui se frotte au monde actuel et interroge notre époque. »
Le nouveau directeur de la danse du Grand Avignon ? Un passionné qui n’a pas froid aux yeux et qui assume sa fascination pour les États-Unis en présentant America pour sa première soirée de création. Mais attention, America est loin d’être un hommage à Donald Trump !
Pour cette première – qui s’inscrit cependant dans une continuité créative sur l’Amérique – il n’hésite pas à créer une chorégraphie autour du personnage de Donald Trump ! Mais attention la pièce a été créée bien avant l’élection de Donald Trump et participe à une démarche originale et singulière : il nous restitue toutes les questions inquiétantes que l’on peut se poser face à l’émergence d’une politique spectacle, face à un personnage certes haut en couleur, mais glaçant.
Quelles que soient nos opinions sur Donald Trump ou plus largement sur les États-Unis, cette pièce ne laissera personne indifférent et le débat pourra se poursuivre, les questions soulevées pendant 1heure de spectacle auront peut-être une réponse, sur la piste de danse aménagée dans le Grand Foyer de l’Opéra.
Rencontre avecMartin Harriague, nouveau directeur du Ballet de l’Opéra Grand Avignon
« J’aimerais amener le Ballet vers d’autres écritures plus sophistiquées, engagées, vers « une danse qui danse », virtuose, physique qui n’a pas peur d’être musicale et pourquoi pas narrative parfois. Je pense qu’on peut avoir une pièce contemporaine qui raconte une histoire, amener un public à rêver, mais aussi à s’interroger. J’ai choisi une Nation comme figure féminine pour m’inscrire dans la programmation ‘Femmes !’ de l’Opéra. Et le directeur Frédéric Roels m’a donné carte blanche, m’a fait confiance pour ainsi proposer America et en mai 2025 United Dances of America où je présente trois chorégraphes américains.
Donald Trump, ce n’est pas de l’admiration, c’est une sorte d’obsession
« Je suis basque, mais depuis toujours, je suis fasciné par les États-Unis. On peut dire que c’est Michael Jackson qui m’a donné envie d’être sur scène. America s’inscrit dans un cycle et devient non pas un best of, mais plutôt le contraire, un « worst of » de mon travail sur Donald Trump. J’ai en effet créé une douzaine de pièces sur Donald Trump. Ce n’est pas de l’admiration, c’est une sorte d’obsession. J’ai démarré en 2016 un travail autour de sa voix, j’ai étudié sa manière de s’exprimer, sa rhétorique simpliste, les mots utilisés, la manipulation du langage. Tout cela devient la bande son du spectacle.
America, une pièce explosive résolument engagée
« Je ne donne pas mon opinion, je veux poser des interrogations en dansant sur des fragments sonores de discours présidentiels. C’est triste à dire, mais la voix de Donald Trump est riche, la musicalité de son langage enrobe la grossièreté de ses mots. Le personnage est glaçant, ses discours délirants, mais il y a aussi une autre Amérique à montrer.
Et en projet ? Peut-être une tournée aux États-Unis avec le Ballet de l’Opéra ?
Et la fête continuera en dansant
À l’occasion de la Première du spectacle America, la soirée se poursuivra au Grand Foyer de l’Opéra transformé pour l’occasion en dancefloor aux couleurs des USA. Le DJ Arthur Richard sera aux platines pour nous faire danser sur des musiques disco et funk américaines ! Arthur Richard est un DJ avignonnais qui a fait ses débuts avec Cédric Benoit, il y a 4 ans. Passionné de musique, il alterne musique électronique et house des années 90. Depuis 2 ans maintenant, il est l’unique DJ à se produire place Crillon à Avignon devant 2500 personnes, à l’occasion de la fête de la musique. L’accès à cet after America est gratuit et réservé aux détenteurs du billet du spectacle du samedi 30 novembre 2024. Le Bar de l’Opéra Grand Avignon sera ouvert jusqu’à minuit.
Samedi 30 novembre. 20h. Dimanche 1er décembre. 16h. 5 à 30€. Opéra Grand Avignon. 4 Rue Racine. Avignon. 04 90 14 26 40.