Le concept store engagé WOP ouvre ses portes à Aushopping Avignon Nord
La marque de vêtements colorée, écoresponsable et unisexe pour toute la famille World of Pop (W.O.P) a ouvert son pop-up store le mercredi 23 octobre au sein du centre commercial Aushopping Avignon Nord.
La marque W.O.P naît en 2022 à l’initiative de quatre entrepreneurs qui ont décidé de s’associer autour de ce projet : Anne Vessière et Guillaume La Barbera pour la direction artistique, et Éloïse Pulby et Laetitia Orlandi pour la partie business et marketing. Après avoir travaillé dans la même entreprise de vente de vêtements haut de gamme pendant une décennie, les quatre associés ont voulu faire la mode autrement, dans le respect de la planète.
Ainsi, W.O.P repose sur plusieurs valeurs : l’écoresponsabilité et l’accessibilité, la mode et la création, la modernité et l’unisexe, la praticité et la durée dans le temps, ainsi que l’inclusivité et l’intergénération. Aujourd’hui, la marque est vendue dans plus de 80 points de vente dans le monde et possède deux concept stores à Lyon et désormais à Avignon.
Rendre l’écoresponsabilité accessible
À travers leur marque, Anne, Guillaume, Éloïse et Laetitia souhaitent créer un projet qui fédère tout le monde. « On voulait créer quelque chose de commun à tous, explique Guillaume La Barbera. ‘Pop’ dans ‘World of Pop’, c’est aussi pour ‘populaire’ puisqu’on voulait faire une marque accessible. L’écoresponsabilité a parfois une image assez élitiste. »
Ainsi, W.O.P propose des vêtements qualitatifs à un prix juste, permettant une rémunération équitable des différents acteurs du processus de création et des vêtements qui peuvent être utilisés longtemps. Toute la famille peut en profiter, avec des tailles allant de 3 mois au XXL et des collections qui font sens et qui représentent les différentes histoires et espèces qui animent notre planète.
Un pop-up store à Avignon
En 2023, W.O.P a remporté le concours MAPIC qui célèbre l’excellence, l’innovation et la créativité dans le retail et l’immobilier. À la clef, il y avait un pop-up store à gagner dans un des lieux au choix. Ainsi, la marque écoresponsable a décidé de s’installer à Avignon et a ouvert ses portes le 23 octobre dernier.
Ce concept store de 38 m² est en réalité un pop-up store, c’est-à-dire une boutique éphémère, dont l’installation est prévue pour trois mois, mais qui peut s’étendre jusqu’à un an, voire plus. Ainsi, les Avignonnais et Vauclusiens ont encore le temps de venir découvrir cette nouvelle boutique haute en couleurs qui propose des vêtements, mais aussi d’autres articles lifestyle comme des tasses, des livres, des puzzles, de la papeterie, et bien d’autres surprises.
Le concept store engagé WOP ouvre ses portes à Aushopping Avignon Nord
Shein, l’un des leaders mondiaux de la fast fashion, s’installe près du Vieux-Port à Marseille jusqu’au dimanche 3 novembre. Les férus de vêtements de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur pourront y découvrir diverses pièces révélant les tendances du moment.
« Osez la différence ! » C’est le message que veut porter le détaillant chinois de mode en ligne avec cette boutique éphémère qui a ouvert ses portes ce mardi 29 octobre et qui sera ouvert tous les jours jusqu’au dimanche 3 novembre de 10h à 20h. C’est la troisième fois que Shein investit la cité phocéenne.
Installé au 2 rue Henri Barbusse à Marseille, le pop-up store propose des vêtements mettant en lumière huit tendances mode visant la Gen Z (ndlr : personnes nées entre la fin des années 1990 et le début des années 2010) : Gothique, Balletcore, Clean Girl, Dazzling Diva, Sport Chic, Academia, Gorpcore ainsi qu’Office Siren. Afin de rendre l’expérience encore plus agréable, la boutique proposera aux clients de s’essayer à différentes esthétiques grâce à des jeux interactifs d’habillage virtuel pour tenter d’autre styles, voire oser un look complètement nouveau. Il sera également possible de personnaliser certains articles.
Afin que la visite du pop-up store soit le plus plaisant possible et d’éviter une attente trop importante pour y accéder, il est demandé aux visiteurs de s’enregistrer en ligne au préalable.
Jusqu’au dimanche 3 novembre. Ouverture de 10h à 20h. 2 rue Henri Barbusse. Marseille.
Le concept store engagé WOP ouvre ses portes à Aushopping Avignon Nord
Un point d’histoire, pour commencer. En 1894, ce sont deux cousins alsaciens, Théophile Bader et Alphonse Bader qui investissent dans une échoppe de 70m2 pour en faire une mercerie, à Paris, à l’angle de la rue La Fayette et de la rue de la Chaussée d’Antin. Puis ils acquièrent un immeuble, un deuxième, jusqu’à posséder une assise incontournable boulevard Haussmann, près de l’Opéra Garnier. A Avignon, l’aventure débute bien plus tard, quand l’enseigne reprend en 1989 les Nouvelles Galeries, implantées depuis 1973 dans le centre commercial Cap Sud, ainsi que les Dames de France situées rue de la République (le magasin abrite aujourd’hui H&M depuis 2001). L’objectif est de démocratiser la mode, le prêt-à-porter, mais aussi les arts de la table, le design en proposant des ‘corners’ dédiés aux grandes marques.
« Nous sommes là pour satisfaire le client, lui proposer ce qui est chic. »
Philippe Sempéré, président des Galeries Lafayette d’Avignon
Philippe Sempéré, président des Galeries Lafayette d’Avignon
Jeudi 19 septembre, une quinzaine de mannequins femmes et hommes ont défilé dans le vent et dans cadre prestigieux du pont d’Avignon privatisé pour cet anniversaire exceptionnel avec les tendances automne-hiver 2024-2025, velours côtelé, cashmere, loden, parkas, marinières rayées bleu et blanc.
A cette occasion, le président des Galeries Lafayette d’Avignon, Philippe Sempéré a remercié la Ville, la Chambre de Commerce et les collaborateurs qui pendant deux mois l’ont aidé à organiser cette soirée de prestige dans un lieu mythique. « Notre stratégie est d’innover, d’allier tradition et modernité, d’être tendance, de capter l’air du temps, de rendre le beau accessible à tous. »
400 000€ d’investissements pour le magasin de Cap Sud « Nous avons rénové le magasin de Cap-Sud, 400 000€ ont été investis, notamment en rehaussant le plafond à 8,5 mètres. Nous accueillons 25 marques nouvelles et premium comme Mango ou Orpheo, en plus de Zadig & Voltaire, Ines de la Fressange ou Fursac » précise-t-il. « Chaque jour, nous sommes là pour satisfaire le client, lui proposer ce qui est chic. Nous lui offrons 10 000m2 de mode et de rêve à portée de main. »
Le plus jeune directeur de France accueille plus d’un million de visiteur par an à Avignon A 33 ans, Olivier Bernardi est le plus jeune directeur des 57 Galeries Lafayette de France. « Nous sommes proches de nos clients, de leurs attentes. Le 4 décembre cela fera 4 ans que je suis là, et chaque matin, j’arrive avec la même passion, la même ferveur. Nous proposons 350 marques. En tout nous sommes 140 salariés, notre chiffre d’affaires grimpe de +5% chaque année et nous accueillons près d’un million de visiteurs par an, nous allons donc continuer sur la lancée, avec fierté et enthousiasme » conclut-il.
« Notre chiffre d’affaires grimpe de +5% chaque année. »
Olivier Bernardi, le directeur des Galeries Lafayette d’Avignon. Crédit : Galeries Lafayette Avignon/DR
D’ailleurs, pour montrer cette volonté d’accompagner les clients individuellement, un service ‘personal shopper’ a été présenté jeudi. Il suffit de prendre rendez-vous en boutique grâce à un QR Code pour bénéficier de conseils d’experts et trouver des pièces uniques, classiques ou excentriques, en fonction de votre style et de votre personnalité.
Le magasin d’Avignon situé dans le centre commercial Cap Sud. Crédit : Galeries Lafayette Avignon/DR
Le concept store engagé WOP ouvre ses portes à Aushopping Avignon Nord
Oui, il y a un petit bout de Madagascar en Provence à Saint-Didier où je viens juste d’arriver. La porte s’ouvre sur l’odeur un brin épicée du raphia. Je retrouve le centre d’arrivage, de stockage et d’expédition de marchandises d’Ibeliv. Chapeaux, sacs et accessoires souvent doublés d’étoffe, passepoilés de cuir, sont toujours aussi soigneusement étiquetés et empilés par références et couleurs.
Liva Ramanadraibe, le fondateur et dirigeant d’Ibeliv ici avec la marraine de l’entreprise l’animatrice Véronika Loubry. Copyright Ibeliv
Je me remémore notre première rencontre. Liva Ramanadraibe aurait pu rester l’expert-comptable auquel la vie l’avait destiné mais le désenchantement l’avait déjà étreint moins d’un an de vie dans l’entreprise. Les quatre murs blancs d’un bureau anonyme, les 5 semaines réglementaires de vacances annuelles et sans doute l’ombre de ses collègues l’avaient définitivement convaincu que sa vie lui appartenait plus qu’aux autres.
Alors même qu’il n’avait plus rien. Il décida de forger sa propre vie, même s’il lui fallait, pour cela, en taire tous les aléas et… sourire. La réussite réclame des sacrifices auxquels il consentit sans ciller : «Quand on n’a rien, on ne prend pas de risque, avait lâché Liva Ramanadraibe, et à Madagascar beaucoup de gens vivent avec très peu.»
En haut de l’escalier, le chef d’entreprise descend à ma rencontre. C’est à l’étage que tout se décide. Deux importantes tables, dont l’une ponctuée de grands écrans Mac, proposent des espaces de travail. Évidemment le show-room dispense au regard de chacun les prototypes classés ‘secret-défense’. Tout le monde baigne dans l’atmosphère des créations du patron, d’une île lointaine et luxuriante dont les terres et confins marins n’ont pas été explorés. C’est peut-être mieux ainsi.
Une machine à coudre très ancienne, magnifiquement ouvragée trône en bonne place sur la mezzanine. Elle s’apprête à partir à Mada, en container. «Une personne -que je remercie infiniment- m’a cédé à prix symbolique cette magnifique machine à coudre des années 1900 en parfait état de marche conçue pour coudre tous les tissus et formidablement bien le cuir. Regardez : l’arbre de la machine, articulé –d’un simple mouvement de rotation- permet au pied de coudre dans toutes les directions, empruntant même la marche arrière. Cette ingénieuse machine a été élaborée pour faciliter le travail et œuvrer sur la durée. A l’époque on pensait déjà à cela,» souligne Liva Ramanadraibe. Le lieu de travail est inspirant, empli de la réalisation de ses croquis, des détails qu’il a imaginés. Il a conservé son habitude de chiner. «J’aime ce qui est beau et tous ces objets qu’ils soient miens où venus d’autres horizons m’inspirent.»
Copyright Ibeliv
Au moment où le monde s’agite, où le temps file, où la surconsommation d’objets plastique à bas prix inonde le monde, Liva Ramanadraibe n’en prend même pas le contrepied. Il reste lui-même : Ambassadeur de l’ile de son cœur, des femmes et des familles dont il veut assurer un avenir plus serein et fécond. Et, surtout, de donner l’opportunité à chacun de trouver sa place. L’élément le plus important de sa vie ? La famille, la première cellule vivante de la société complètement liée à l’esprit de solidarité. Je lui demande alors pourquoi les malgaches connaissent la solidarité quand nous connaissons l’isolement. Il me répond que c’est le confort qui a induit l’isolement.
Et pour faire société, il rencontre le monde On dit des insulaires qu’ils sont de grands voyageurs. Une envie de toucher l’horizon pour découvrir le monde. Liva Ramanadraibe en fait partie qui a tissé des liens avec de nombreux partenaires sur toute la planète. Leur soumettant ses idées, ses dessins. «La plupart du temps ils me disent que mes projets sont impossibles à réaliser. Alors nous nous parlons, nous nous écoutons beaucoup, nous nous revoyons, nous nous reparlons, et puis un jour, l’un d’eux me montre des prototypes parfaitement exécutés et me dit qu’il n’aurait jamais pensé y arriver. L’objet est la preuve que chacun est allé jusqu’au bout de son idée, se confrontant à adapter et à inventer de nouvelles techniques pour y arriver. C’est là que résident toute la difficulté, la confiance que l’on y met et c’est aussi là que l’on réussit à transformer une idée en quelque chose de plausible.»
Avec Liva Ramanadraibe les silences sont plus importants que les paroles. Sa présence profonde à l’instant est palpable. Sa conscience immédiate à ce qui se joue. Il est beaucoup dans le mouvement, marchant, montrant, expliquant, me faisant éprouver le confort du dernier fauteuil design sur lequel il travaille. La gageure ? Un fauteuil qui se discerne à peine dans la pièce, un peu comme en lévitation. L’idée ? S’asseoir sur un nuage, une assise presque immatérielle. J’essaie. Oui, je suis sidérée, ce fauteuil tient parfaitement sa promesse. Mais déjà il détaille, sur les cintres, le travail des femmes sur ces étoffes où coupes et broderies se mêlent là encore en un ballet aérien. La robe que je tiens en main a réclamé un mois de travail.
Il crayonne ses idées, afin de les partager avec ses partenaires un peu partout sur la planète. Sa source d’inspiration ? Son île et juste après le monde entier, pour respirer le passé, le présent et l’avenir, humer le destin des hommes qui se transforme, capter un peu de cette conscience collective qui indique le bon chemin. Chaque personne dispense avec elle sa magie et celle de Liva Ramanadraibe lui a été transmise par sa maman, Tiana qui lui a confié de ‘Toujours écouter son cœur’. Mais il y a autre chose. Je crois que j’ai en face de moi un tigre entré dans la peau d’un sage.
Le Raphia -le terme désigne autant l’arbre que la fibre- de Madagascar. Copyright Ibeliv
Pour les 10 ans d’Ibeliv «Pour les petits nous sommes grands et pour les grands nous sommes des petits», c’est sur cette phrase -commercialement énigmatique- que nous nous étions quittés. Aujourd’hui ? Ibeliv fête ses 10 ans, et pour cela lève un tout petit bout de voile sur son histoire, en images, avec les photos de son ami photographe, John Landers et ses propres mots, de percutantes légendes. «10 ans, cela veut aussi dire que nos bases sont solides et que l’offre commerciale peut commencer à se diversifier autour de l’art de vivre ‘lifestyle’ : chapeaux, sacs, mode, mobilier, tapis en raphia et cuir, parfum de maison… Ibeliv, c’est tout un univers.»
Le cœur de la réussite d’Ibeliv est donc la recherche et développement ? «C’est vital, affirme Liva Ramanadraibe. C’est d’ailleurs sans doute ce qui a manqué aux grandes et redoutables enseignes qui ont pignon sur rue mais qui sont en réalité très fragiles –avec ces grandes vagues de fermeture- parce qu’elles n’ont pas su s’adapter à l’air du temps. Elles n’ont pas su répondre à la demande. Le vrai problème ? Le manque de cohérence qui surgit lorsque le choix n’est plus entre les mêmes mains. Le propre de l’entrepreneur est de savoir se mesurer aux ratios et à la concurrence. Mais ça n’est pas d’avancer à l’instant T qui compte, mais comment on avance et quel est notre potentiel. C’est là que l’on revient à l’essentiel : Conserver sa liberté, rester indépendant et continuer à grandir en autofinancement. La clé de la réussite d’Ibeliv est sûrement là.»
Etes-vous impacté par la conjoncture internationale et nationale, l’attente des élections américaines, du nouveau gouvernement français ? » La situation est très complexe, pour tout le monde. Cependant Ibeliv, marque de luxe, travaille au plan mondial. Nos créations sont à la fois inventives et classiques, non marquées par le temps. Je crois aussi que les gens revoient leur mode de consommation. Le plus important pour s’inscrire dans le temps est de respecter les consommateurs. Et Ibeliv offre des produits qui ont du sens, utilisables toute l’année –le raphia est une fibre très solide et qui se patine joliment avec le temps. Des ouvrages bien réalisés qui perdureront dans le temps.»
Copyright Ibeliv
Pour marquer ce cheminement, qui mène de l’idée à sa réalisation, et surtout à son impact sur la vie de 2 000 familles à Madagascar, un sobre ouvrage de 80 pages. Des photos réalisées in situ et juste l’essentiel des mots : La passion du beau ; L’envie d’esprit collectif ; Un travail de création et d’exécution finement réalisé ; La préservation d’une ile à la nature sacrée ; Le travail du raphia et la transmission d’un héritage ancestral enrichi de modernes savoirs. Et avant tout cela, une intention : «Faire du beau en faisant du bien.»
Il ne s’approprie pas l’aventure Liva Ramanadraibe dit juste qu’il l’a initiée et que cet ouvrage pose un souhait, une idée, une réalité tangible dont il veut «qu’elle chemine et perdure longtemps, après lui, portée par les futures générations.» Le début de l’aventure est donc marqué par la publication du premier ouvrage d’Ibeliv, au titre éponyme.
Sur la couverture deux mains encerclées forment un cœur au-dessus d’un ouvrage dont le tressage en raphia a commencé. Les photos de John Landers retracent l’invitation au voyage faite par Liva Ramanadraibe, durant l’hiver dernier, alors que la présentation de l’île à son ami s’est d’un seul coup transformée en shooting improvisé.
Copyright Ibeliv
Ibeliv c’est quoi ? Ibeliv est une marque luxe d’accessoires de mode –chapeaux, sacs, accessoires, objets lifestyle- conçus par Liva Ramanadraibe. C’est une philosophie, aventure humaine et le goût du collectif. C’est montrer et diffuser dans le monde des accessoires de mode élégants, raffinés, transmissibles de génération en génération dans un état parfait parce qu’ils ont été conçus et réalisés avec une rigueur haute couture.
Derrière ? C’est bien plus Ce sont des bâtiments pour une école et l’accès à l’éducation et à l’enseignement ; des partenariats avec un dispensaire de santé en collaboration avec le système de soins des Nations Unies –Manampy qui veut dire aider en malgache- et là tout de suite ? L’emploi de 2 000 femmes artisanes employées à Madagascar ; 700 distributeurs dans le monde ; Une croissance annuelle à deux chiffres depuis 2014 ; Plus de 600 000 accessoires Ibeliv portés dans le monde et, enfin, un site internet en français et anglais ibeliv.fr.
La matière première L’exploitation du raphia –mot qui désigne autant l’arbre que la fibre- c’est aussi la préservation du palmier qui s’épanouit en zones de forêts humides difficilement accessibles. La matière première y est prélevée de façon traditionnelle -seulement 30% des jeunes pousses- tout en préservant l’arbre avant que la fibre ne soit longuement travaillée, séparée, ébouillantée, teintée, séchée puis mise en ballot. Les fruits du Raphia possèdent également de nombreuses vertus médicinales, connues et utilisées localement. Précédent article sur ce même sujet ici
Le concept store engagé WOP ouvre ses portes à Aushopping Avignon Nord
Patrick Armengau, commissaire-priseur de l’Hôtel des ventes d’Avignon propose deux ventes : des automobiles et motos de collection ce lundi 29 avril à 14h 30 et de la joaillerie, des montres de collection, des arts de la table et de la mode samedi 4 mai à 10h et 14h15.
Magnifique vente d’automobiles anciennes et de motos à l’Hôtel des ventes d’Avignon-Courtine ce lundi avec, attention les yeux, une Mazerati Grandsport à partir d’entre 25 et 30 000€, suivie par une Renault 4CV de juin 1955 à partir d’entre 10 et 12 000€, pour passer ensuite sur une 2CV Citroën de mars 1977 à partir d’entre 7 et 10 000€. Arrive ma chouchoute : une Alpha Roméo Spider 2 000 de mars 1978 à partir d’entre 7 000 et 8 000€.
Alfa Roméo
Dans le détail Évidemment l’Opel GT6 de novembre 1969 jaune canari est à tomber à partir d’entre 7 et 8 000€ … Au chapitre des motos la Suzuki Marauder de juin 2003 à partir d’entre 800 et 1 000€ séduit sans détour ainsi que la très belle Yamaha SR 125 de mars 1993 sans oublier la très élégante Zongshen ZS125-50 de janvier 2012 au kilométrage incroyablement bas et mise à la vente à partir d’entre 700 et 1 000€. Pour vous régaler ? Toutes les voitures et motos en détail ici. La plaquette illustrée ici et tout le catalogue de la vente ici.
Vente du samedi 4 mais,Houlala ! Alors la vente du samedi 4 mai, c’est un peu la Samaritaine en plus chic. On y trouve tous les Montblanc dont on rêvait : des stylos plumes, à bille, la bakélite ornée de doré, d’argenté, des écrins. Et quand ça n’est pas Montblanc c’est Cartier, excusez du peu ! Du très beau comme ce stylo plume argenté à décor strié dans son coffret, un stylo à bille Pierre Cardin et son coffret repose plume en bois et étui cuir… Tout le raffinement de la belle correspondance. Puis c’est au tour des briquets, des Dupont…
Pour votre jolie demeure Moi j’ai un vrai coup de cœur pour les 12 porte-couteaux en métal argenté figurant des animaux. Ils sont de toute beauté et sur une nappe blanche dans le jardin, le top du top avec les chandeliers et les beaux couverts en argent et même en vermeil, poinçon Minerve… Bon évidemment tombée raide-dingue du compotier en argent de Charles Louis Dupré, avec ses douze cuillères en argent qui dodelinent, comme ça, autour et qui… me ravissent.
Evidemment De magnifiques services de tables, sans oublier des raretés Cocteau –d’un modernisme incroyable- ou Dali –avec sa montre molle- et aussi du Limoges, Hermès, Longwy, Gien, Sarguemines –j’avoue adorer leurs décors végétaux-, du Villeroy et Boch, pour juste après passer à la cristallerie Lalique, Baccarat… Que dire de cette paire de girandoles en cristal moulé à papilles, là on frise le bonheur extrême.
Porte couteau oiseau en métal argenté
Non, mais là c’est exagéré ! Alors là, les mots me manquent parce qu’on passe aux choses sérieuses avec des Carrés Hermès comme l’Hiver ou Giverny, des sacs Louis Vuiton, Chanel comme le Classica Piccola, puis c’est au tour des bijoux, et comme d’habitude, juste avant la fête des mères, c’est un vrai message à nos compagnons… En plus il y en a pour tous les prix et les goûts. Tous ces fabuleux objets sont à retrouver ici, pour ce qui est de la plaquette et du catalogue ici.
Les infos pratiques Pour la vente automobiles et motos de collection. Hôtel des ventes d’Avignon. Exposition samedi 27 avril de 10h à 12h. Le jour de la vente de 10h à 12h et sur rendez-vous. Pour la vente de joaillerie, montres de collection, art de la table et mode. Samedi 4 mai à 10h et 14h15. A 10h, Orfèvrerie, arts de la table à partir du N°1. A 14h15, Bijoux accessoires de mode à partir du n°200. Exposition vendredi 3 mai de 10h à 12h et de 14h à 18h. Certains bijoux sur rendez-vous uniquement. 2, rue mère Teresa à Avignon. 04 90 86 35 35. contact@avignon-encheres.com
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Le Greta-CFA Vaucluse ajoute une corde à son arc avec une nouvelle formation dans le secteur de la mode et de la couture sur mesure. Il s’agit du Titre Professionnel Couturier Retoucheur se déroulant au Lycée polyvalent René Char à Avignon.
Cette nouvelle formation est accessible aux passionnés de mode et de couture jusqu’au 22 mai 2024. Le Titre Professionnel Couturier Retoucheur propose une formation complète et innovante composée de trois modules distincts : contractualiser une prestation de création de vêtements ou de retouches sur mesure, concevoir des vêtements féminins sur mesure, et réaliser la fabrication de vêtements féminins sur mesure et de retouches.
La formation, qui s’adresse à tout public, peut durer jusqu’à 296 heures, sa durée est adaptée en fonction de chaque profil. Elle se fait entièrement en présentiel au Lycée polyvalent René Char qui est tout équipé. Le prix de la formation peut s’élever jusqu’à 3 552€, elle peut être entièrement financée selon le candidat.
Le Titre Professionnel Couturier Retoucheur permet l’accès à de nombreux emplois et secteurs d’activité : vendeur de prêt-à-porter, de tissus et d’articles de mercerie, couturier, retoucheur, costumier, encadrant technique d’insertion, l’artisanat de la retouche et de la couture, le commerce de l’habillement, les entreprises de location et d’entretien de vêtements, les entreprises de retouches de vêtements, ou encore les entreprises du spectacle ou de l’évènementiel ou de loisirs.
Pour en savoir plus sur cette formation ou obtenir des entretiens avec les formateurs et les apprenants, il faut contacter le Greta-CFA par mail à l’adresse sophie.beziz@greta-cfa-84.fr ou par téléphone au 07 48 72 11 72.
DR
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Du jeudi 23 au lundi 27 novembre, le salon Provence Prestige revient pour une 30ᵉ édition au Palais des congrès d’Arles. Les univers de la gastronomie, la mode, la maison & décoration, ainsi que la culture & les loisirs seront à l’honneur pendant cinq jours.
Le salon Provence Prestige a accueilli 15 000 visiteurs en 2022. Initié par la Chambre de commerce et d’industrie du Pays d’Arles en 1994, cet événement met en lumière les fabricants, artisans et commerçants du territoire afin de faire rayonner les savoir-faire et les traditions du pays camarguais et plus largement de la Provence.
Ce salon, devenu un incontournable, réunit chaque année près de 150 exposants, choisis scrupuleusement par un comité de sélection, dans un décor féerique et une ambiance chaleureuse. Au programme : des dégustations culinaires, des ateliers créatifs, des séances de dédicaces, des concerts et bien d’autres animations.
De nombreux espaces de restauration seront installés sur place. Des navettes Hippomobiles gratuites seront mises en place le samedi après-midi et le dimanche toute la journée pour relier le centre-ville (place de la république) au Palais des congrès.
Du 23 au 27 novembre. De 10h à 20h les jeudi, samedi et dimanche, de 10h à 23h le vendredi, et de 10h à 17h le lundi. 7€ (gratuit pour les moins de 12 ans,5€ pour les 12-18 ans, 3€ pour les groupes de minimum 20 personnes). Palais des congrès. 22 Avenue 1ʳᵉ division France Libre. Arles.
V.A.
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SCAD Fash Lacoste s’agrandit en s’installant dans la Rue Basse de Lacoste. Au vu du succès des dernières expositions de mode, SCAD Lacoste a décidé d’inaugurer son nouveau musée avec les créations d’un autre grand couturier français : Christian Lacroix.
À partir du samedi 1ᵉʳ juillet, SCAD Fash Lacoste va proposer une nouvelle exposition de mode : ‘Christian Lacroix habille Peer Gynt pour la Comédie Française’. Les costumes créés par le couturier seront installés dans le nouvel espace de SCAD Fash, dans l’un des nouveaux bâtiments, Rue Basse, acquis récemment par l’université et qui appartenait jusqu’ici au créateur Pierre Cardin. Cette exposition sera donc proposée simultanément avec celle du couturier Julien Fournié, en place jusqu’au 15 août au sein de l’espace Rue du Four.
Ce nouvel espace permettra de doubler la superficie d’exposition et d’accueillir à Lacoste des expositions de mode encore plus ambitieuses. L’exposition inaugurale présentera 40 créations de Christian Lacroix qui sont des interprétations stylisées des personnages sortis de l’imaginaire de Peer Gynt, allant du villageois aux princesses ou autres trolls. Les visiteurs pourront découvrir l’univers du lundi au vendredi de 10h à 18h et le samedi et dimanche de 14h à 18h.
Du 1ᵉʳ juillet au 1ᵉʳ novembre.5€ (gratuit pour les -18ans).SCAD Fash. Rue Basse. Lacoste.
V.A.
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Ce vendredi 14 avril, une partie de l’équipe de Charlott’, entreprise de vente à domicile de lingerie et prêt à porter, sera présente à Courthézon pour présenter la société et recruter des conseillères indépendantes.
Le rendez-vous aura lieu au Domaine de Cristia à Courthézon ce vendredi toute la journée. Au programme : découverte de l’entreprise au chiffre d’affaires s’élevant à 14 millions d’euros, séance relooking avec conseils et essayages de la nouvelle collection de l’été 2023, et présentation détaillée du métier de conseillère et du secteur de la vente à domicile
Les conseillères ont le statut de vendeur à domicile indépendant (VDI). Un statut accessible à tous, quel que soit l’âge, le diplôme ou la formation, et qui permet de concilier sa vie familiale avec un revenu substantiel. C’est aussi une activité professionnelle, mais aussi une démarche entrepreneuriale à temps choisi. Il est possible de la cumuler avec un autre emploi ou avec le chômage.
Vendredi 14 avril. De 10h à 20h. Domaine de Cristia. 1725 Chemin des Sourcières. Courthézon.