22 novembre 2024 |

Ecrit par le 22 novembre 2024

Fréquentation : Objectif atteint pour la 4e édition de Med’Agri

La 4e édition du salon Med’Agri qui vient de se tenir au parc des expositions à Avignon a quasiment atteint ses objectifs de fréquentation. Porté par la Chambre régionale d’Agriculture Provence-Alpes-Côte d’Azur, le rendez-vous des professionnels de l’agriculture tablait sur 15 000 visiteurs environ. Au final, ils auront été 14 900, dont 900 collégiens et lycéens, à venir à la rencontre des 380 exposants et sociétés présents sur 14 000 m2. Un chiffre en progression de 30% par rapport à la précédente édition (11 500 visiteurs en 2022*).

Maraîchers, arboriculteurs, viticulteurs, éleveurs, céréaliers, oléiculteurs, producteurs de plantes aromatiques et à parfum, en conventionnel et en agriculture biologique se sont donc retrouvés lors de ce salon professionnel de l’agriculture méditerranéenne pour découvrir l’actualité de l’agritech, le rendez-vous Tech & Bio Cultures Méditerranéennes, des innovations, de nouvelles pratiques et les perspectives les plus prometteuses pour assurer la performance durable des exploitations agricoles. En tout, le salon a accueilli 55 ateliers et conférences, 12 masterclass et permis 128 rendez-vous BtoB avec 30 sociétés exposantes via sa délégation Export.

Crédit : Laurent Garcia

Une ministre à la rencontre de l’agriculture méditerranéenne
Pour preuve de l’importance de l’événement, Annie Genevard, nouvelle ministre de l’Agriculture, de la Souveraineté alimentaire et de la Forêt, est venue visiter le salon en compagnie d’André Bernard, le président de la Chambre régionale d’Agriculture Paca.

« Confrontés aux contraintes climatiques et économiques que l’on connaît, les agriculteurs ont pu identifier des solutions auprès des exposants du salon, des organismes de recherche et d’expérimentation, des experts ou des start-ups de l’Agora Innovation, expliquent les organisateurs. Tout comme la délégation d’acheteurs internationaux conduite par Business France, lors d’entretiens BtoB avec les exposants. Rendez-vous d’affaires, le salon MED’Agri est aussi un lieu de partage de connaissances et de retour d’expériences avec un programme très suivi de conférences, de Masterclass autour du vin, de l’huile d’olive et de l’amande, de tables-rondes et d’ateliers pratiques. »

Par ailleurs, face aux problématiques de recrutement et de renouvellement des générations, un pôle ‘Formation, Emploi, Métiers’ particulièrement dynamique a mobilisé de nombreux acteurs autour de l’enseignement agricole et accueilli des rencontres et autres jobs dating entre futurs collaborateurs et employeurs.

Suite à ce succès, la Chambre régionale d’Agriculture Provence-Alpes-Côte d’Azur, organisatrice de Med’Agri, et ses partenaires annoncent déjà la tenue la 5e édition du salon de Med’Agri prévue en octobre 2026.

L.G.

*Le salon a lieu tous les 2 ans depuis 2018.


Fréquentation : Objectif atteint pour la 4e édition de Med’Agri

En pleine mutation, l’Agriculture Méditerranéenne attend de pied ferme la venue de la ministre demain au Salon Med’Agri qui se tient au parc des expositions d’Avignon jusqu’à demain.

Dès l’entrée dans le Hall L, on tombe directement sur le stand de la Coordination Rurale aux couleurs des gilets jaunes avec ses slogan-choc :  » Sans paysans, demain c’est la faim », « Cultivons l’indépendance, récoltons la liberté », « Stop aux importations massives qui ne respectent pas nos normes ».

« Nous sommes les nouveaux pauvres. »

Caroline Lecanuet, présidente de la Coordination 13 à Eguilles

Caroline Lecanuet est la présidente de la Coordination 13 à Eguilles : « Demain, lors de la visite de la Ministre de l’Agriculture, nous avons une minute et demi pour poser une question. La mienne ce sera : « Quel est votre modèle de ferme de demain : pérenne, agronomique, indépendante ou mondialisée ? On a de plus en plus d’aléas climatiques, de normes qui se superposent, de revenus qui baissent. Nous sommes les nouveaux pauvres, le maillon faible de la société. On a l’agriculture la plus vertueuse de la terre et pourtant, on trinque ».

Caroline Lecanuet, présidente de la Corrdination 13 à Eguilles.

Christian Convers est lui aussi membre de la Coordination Rurale mais en Savoie : « On nous traite de gens violents, c’est faux, nous sommes déterminés. On en a assez des traités de soi-disant libre-échange comme le Mercosur (Marché commun qui réunit l’Argentine, le Brésil, le Paraguay, le Venezuela et l’Uruguay) qui abaisse les droits de douanes et provoquerait un afflux de marchandises bon marché en provenance de ces pays où la main-d’oeuvre et la qualité des produits n’ont pas les mêmes barêmes que les nôtres. ». Il précise : « La nouvelle ministre qui était à la radio ce matin, compatit à notre faible niveau de vie, à la maltraitance animale, à l’agri-bashing que nous subissons. Mais elle n’a pas de baguette magique ».

ketch-up ‘Made in Tarascon
Un peu plus loin, se dresse le Carré des MIN (Marchés d’Intérêt National d’Avignon, Cavaillon, Châteaurenard et Marseille) qui reçoit la visite de Cécile Helle, maire d’Avignon. Elle tient dans la main un flacon de ketch-up ‘Made in Tarascon’, « Bien moins riche en sucre et en sel, on pourrait l’utiliser dans les cantines scolaires de la ville ou dans la restauration des hôpitaux et de EHPAD. »
Laetitia Vinuesa directrice d’ECOMIN, à l’angle de la Rocade et de la rue Pierre-Semard précise : « Nous avons beaucoup de visites depuis hier, étudiants, fournisseurs, producteurs d’agro-alimentaire, de semences, . Nous avons sur le site du MIN une brasserie artisanale, un glacier, un boulanger, un pâtissier. Nous sommes le symbole des circuits courts, de l’agriculture locale et de la qualité des fruits et légumes de Vaucluse ». D’ailleurs, deux chefs réputés, Christian Peyres et Michel Meissonnier cuisinent dès 10h du matin des verrines de champignons de Paris et des caillettes dont le fumet attire un monde fou dont la Maire d’Avignon.

Cécile Helle (à droite), maire d’Avignon, avec Laetitia Vinuesa, directrice de l’EcoMin de la cité des papes, en compagnie des chefs Christian Peyres et Michel Meissonnier.

Parmi les exposants aussi, des concepteurs de tracteurs, d’engins immenses comme Pellenc, Mac Cormick ou Lamborghini. L’écurie transalpine ne fabrique pas que des bolides filant à 350km/h avec son V 12 atmosphérique.
Une conférence dans l’Espace de Masterclass animée par François Bérud et Nathalie Portet de la Chambre d’Agriculture sur le thème : les variétés résistantes aux maladies de la vigne, « Il serait préférable de dire plutôt ‘tolérantes aux maladies fongiques’ précise-t-il. Ces cépages qui s’appellent Floréal, Vidoc, Prior, Carbon, ils demandent du temps long pour castrer la grappe, pour polliniser les pépins avec un pinceau, pour comparer, croiser, tester, sélectionner, ce que nous faisons dans le Vignoble Expérimental de Piolenc. Cela peut prendre 10 à 15 ans ».

Un peu plus loin, place à « Gautier Semences » basée à Eyragues, une entreprise familiale née en 1952 et aujourd’hui installée dans un bâtiment flambant-neuf et fonctionnel en forme de serre, avec plus de 1500 m2 de laboratoires de recherche et bureaux. Gautier Semences qui va recevoir l’un des Prix de l’Innovation 2024 de Med’Agri 2024 pour une « Gamme de courgettes parthénocarpiques ». Ce qui, en mots simples, signifie que ces légumes se forment sans pollinisation des fleurs femelles. En plus, le rendement est élevé et le légume résiste bien à l’oïdium.

A la fin de la visite, entre les travées des différents halls de Châteaublanc qui vont recevoir plus de 15 000 visiteurs pour cette 4ème édition, on tombe sur le président de la Chambre Régionale d’Agriculture affairé. André Bernard en grande discussion avec les services de la Préfecture de Vaucluse, pour caler la visite de la ministre de l’agriculture, Annie Genevard, jeudi matin à Châteaublanc. Le circuit qu’elle fera dans le Salon, les représentants des filières et des syndicats agricoles qu’elle rencontrera pour prendre le pouls d’un monde en crise depuis des mois, sans qu’une réponse précise n’ait été apportée par l’Etat à toutes ses préoccupations, dans un secteur où, tous les deux jours, un paysans se donne la mort.

André Bernard, président de la Chambre d’agriculture de Paca prépare la visite de ministre avec les services de la préfecture de Vaucluse.

Fréquentation : Objectif atteint pour la 4e édition de Med’Agri

L’entreprise Aroma-Zone, marque française pionnière en aromathérapie et experte naturelle en soins et beauté, qui possède deux sites en Vaucluse, à Cabrières d’Avignon et à Châteauneuf-de-Gadagne, crée des produits à partir de matières premières végétales issues de coproduits. Une valorisation que l’entreprise partagera lors du salon professionnel de l’agriculture méditerranéenne Med’Agri, qui aura lieu du mardi 15 au jeudi 17 octobre au Parc des expositions à Avignon.

Née en 1999 de la passion de deux sœurs pour les huiles essentielles, l’entreprise Aroma-Zone comptabilise plus de 2 300 références réparties dans trois univers différents : le bien-être, la beauté, et la maison. La société, qui possède deux sites en Vaucluse, travaille des produits naturels et bio, avec des valeurs fortes en faveur de la RSE (Responsabilité sociale des entreprises), à savoir pour l’humain, le climat et la biodiversité.

« Dans l’idée de travailler en circuit court et de travailler sur tout ce qui est économie circulaire, il y a une voie assez royale, c’est celle des coproduits », explique Maud Reboul, responsable des Achats Durables d’Aroma-Zone. Aujourd’hui, l’entreprise travaille avec environ 500 matières premières végétales, dont 70% sont certifiées biologiques.

Revalorisation de matières premières pour la cosmétique

Parmi les matières premières revalorisées par Aroma-Zone et par conséquent par les agriculteurs qui les fournissent, il y a notamment les graines de tomates de Provence bio, qui proviennent des alentours d’Aix-en-Provence. Si ces tomates sont normalement utilisées pour en faire des purées, des jus, ou des sauces, l’entreprise Aroma-Zone, elle, utilise ses pépins. Pour l’industrie de la cosmétique, ces derniers peuvent être valorisés pour faire une huile de soin aux propriétés antioxydantes.

« Dans la cosmétique, les coproduits présentent une vraie valeur ajoutée, et ont un côté très noble, finalement. »

Maud Reboul

Aroma-Zone vend également une huile de soin de prune de Gascogne bio. Si le fruit est utilisé principalement pour l’industrie agroalimentaire, son noyau, lui, est souvent délaissé. Pourtant, il contient un amandon, dont l’huile peut être utilisée pour la cosmétique, et qui a des propriétés très nourissantes et émollientes.

L’huile réalisée avec des pépins de tomate d’Aroma-Zone. ©Aroma-Zone

Le coproduit, une valorisation qui profite à tous

Du circuit court, de l’économie circulaire, du bio et du made in France, ce sont des valeurs chères à l’entreprise qui se traduisent par la création de ces coproduits. Une revalorisation dont tout le monde est gagnant : le producteur, le consommateur, et Aroma-Zone.

L’entreprise revalorise un produit qui n’aurait peut-être pas été exploité jusqu’au bout, ce qui lui donne une vraie valeur ajoutée puisqu’Aroma-Zone propose des produits originaux et rares. C’est donc aussi bénéfique pour le consommateur. Le producteur, quant à lui, en utilisant ses produits jusqu’au bout, évite le coût de traitement de déchets, mais va aussi pouvoir développer ses revenus.

Le salon Med’Agri

L’entreprise Aroma-Zone sera présente au salon Med’Agri, qui aura lieu du mardi 15 au jeudi 17 octobre. La journée du mardi 15 octobre accueillera notamment différentes rencontres autour des coproduits (pour voir le programme complet du salon, cliquez ici).

« Ce salon sera une très belle opportunité pour rencontrer pas mal de parties prenantes », explique Maud Reboul. Agriculteurs, metteurs en marché, ou encore extracteurs sont présents à l’événement. Ce sera l’occasion pour l’entreprise de trouver de nouveaux contacts pour développer la filière des coproduits, mais aussi de découvrir des innovations. « Cette thématique des coproduits, on ne la voit peut-être pas assez sur les salons donc on fait bien de la mettre en avant, et qui sait, nous allons peut-être trouver la nouvelle innovation de demain ! », conclut la responsable des Achats Durables d’Aroma-Zone.


Fréquentation : Objectif atteint pour la 4e édition de Med’Agri

Toutes les filières : maraîchage, arboriculture, élevage, oléiculture, apiculture, plantes aromatiques et à parfums, trufficulture et viticulture seront représentées au Parc des Expositions d’Avignon entre le 15 et le 17 octobre.

« L’un des objectifs de ce 4ᵉ salon est d’apporter aux paysans des solutions innovantes et durables face au changement climatique, à la raréfaction de la ressource eau, aux attentes des consommateurs, à l’augmentation du prix de l’énergie, à la souveraineté alimentaire », explique André Bernard, le Président de la Chambre Régionale d’Agriculture.

Au carrefour des régions Sud, Auvergne-Rhône-Alpes et Occitanie, Med’Agri 2024 une vision à 360° de l’agriculture de demain avec 14 000 m² de superficie et 380 exposants (semences, plants, serres, tunnels, matériel viticole, fertilisation, calibrage, emballage, traçabilité, pilotage à distance). C’est aussi un rendez-vous pour partager les toutes dernières connaissances scientifiques, avec une quarantaine de conférences, rencontres, débats et ateliers Tech&Bio : biodynamie, agroforesterie, couverts végétaux, énergies renouvelables, irrigation, sècheresse, résilience des grandes cultures, agropastoralisme, recyclage des déchets. En partenariat avec Vaucluse Provence Attractivité, les visiteurs sauront comment tirer parti des co-produits en cosmétique ou en nutraceutique.

La Région Sud et l’agriculture

En alternance une année sur deux avec le SITEVI de Montpellier, Med’Agri Avignon met l’accent sur la viticulture, de la vigne à la cuve, avec le Syndicat Général des Vignerons, Inter-Rhône, l’Université du Vin et l’IGP Sud-Est. Un tiers des 85 661 hectares de vignes de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur est d’ailleurs cultivé en agriculture biologique.

La Région Sud qui est leader en France pour la production de laitue, chicorée, blette, huile d’olive, courgette, aubergine, poire, potiron, riz, figue, raisin de table, amande, lavande et vin AOP rosé. Sur la 2ᵉ marche du podium en tomate, cerise, pêche, nectarine, melon, fraise, pomme, truffe, vin IGP blanc et rouge. Et dans le Top 3 en ail, poivron, concombre, abricot, pois chiche, artichaut. Sans oublier l’agroalimentaire, ses 1 629 établissements de transformation de fruits et légumes, aromates, condiments. Une filière entièrement tournée vers la naturalité.

Parmi les labels de qualité figurent le Muscat et la Cerise du Ventoux, les Côtes-du-Rhône de Châteauneuf-du-Pape, les crus de Beaumes-de-Venise, Cairanne, Gigondas, Vacqueyras, le Muscat de Rasteau, le foin de Montfavet et le petit-épeautre.

L’avenir de l’agriculture

Comme l’avenir des filières agricoles, ce sont les jeunes, 700 collégiens et lycéens seront invités dans le Hall F (comme formation, enseignement, métiers) pour découvrir la richesse de cette filière. « On a absolument besoin de renouveler les générations puisque la moitié des paysans partiront à la retraite d’ici 10 ans, rappelle André Bernard. Avec les technologies nouvelles, les normes et règlementations en ligne, les tracteurs high-tech, les drones et l’intelligence artificielle, ce sont surtout des cerveaux que nous recherchons, pas seulement des bras. L’agriculture se modernise, elle est à la pointe du progrès avec nombre de sites expérimentaux, elle creuse son sillon en évoluant comme l’ensemble de la société. Nous ne sommes pas des ploucs. »

À 4 mois de Med’Agri, 90% des stands sont déjà complets. Les organisateurs espèrent, en octobre prochain, franchir le cap de 15 000 visiteurs pour ce salon réservé aux professionnels.


Fréquentation : Objectif atteint pour la 4e édition de Med’Agri

« Ce sera un salon des solutions, des innovations, face au changement climatique, aux attentes de la société en matière d’environnement, de réduction de la consommation d’eau et d’intrants et de souveraineté alimentaire » explique André Bernard, le président de la Chambre Régionale d’Agriculture Provence-Alpes-Côte d’Azur, qui a initié cette manifestation.

Prévu du 15 au 17 octobre 2024 sur 14 000 m², Med’Agri Bio & Tech fera la part belle à toutes les filières de productions du Sud de la France : maraîchage, arboriculture, oléiculture, élevage, plantes aromatiques et à parfum, et surtout viticulture en partenariat avec le Syndicat des vignerons des Côtes du Rhône. Un espace sera animé par des œnologues et des oléiculteurs pour des dégustations de vins et d’huiles d’olive.

« Il y aura aussi Innov’Alliance, le pôle de compétitivité leader de la transition énergétique pour la transformation du végétal, ajoute André Bernard. Par exemple, les noyaux d’amandes et d’abricots, qui, par éco-extraction, peuvent être utilisés en cosmétique. Il y aura aussi Vaucluse Provence Attractivité, qui a pour ambition d’accroître la notoriété et le rayonnement des territoires et terroirs de Vaucluse en France et à l’international, pour attirer des pépites, des talents et des investisseurs. »

« Ce sera un moment d’information et de partage des connaissances pour les professionnels qui viendront avec une cinquantaine de temps forts, des rencontres, des conférences, des ateliers, des démonstrations, des restitutions d’études scientifiques, sur l’intelligence artificielle au service de l’agriculture de demain, sur les défis énergétiques ou les co-produits et leur valorisation », poursuit Rémy Laurent, chargé de l’organisation de Med’Agri.

Cinq halls de Châteaublanc abriteront les fabricants de serres, les producteurs de semences, de plants, d’accessoires, de fertilisateurs, les pôles innovation, nouvelles technologies et énergies renouvelables, des salles de conférences. Et à l’extérieur, une zone d’exposition, de démonstration de drones et de machines agricoles. 

Nombre de stands seront dédiés à la formation (enseignement, diplômes, apprentissage pour les jeunes collégiens et lycéens invités au salon) et à la reconversion. Comme son nom l’indique « Tech & Bio » accompagnera et conseillera les professionnels de l’agriculture bio, qui traversent des difficultés face à la baisse de consommation, l’inflation, dans ce qui est pourtant la 1ʳᵉ région bio de France (35,8% de la surface agricole).

Bref, 380 exposants sont attendus, plus de 15 500 professionnels pour ce salon qui est le plus important du Sud de la France, en alternance une année sur deux avec le SITEVI qui s’est tenu la semaine dernière à Montpellier.

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