La Fondation du Sport français fait étape à Avignon pour soutenir les clubs vauclusiens
Dans le cadre de l’opération ‘Tour de France – Soutiens ton club engagé’, la Fondation du Sport français s’est arrêtée en Vaucluse pour une soirée dédiée à la promotion et au soutien des clubs sportifs amateurs, coorganisée par le Département de Vaucluse et accueillie par la Chambre de commerce et d’industrie (CCI) de Vaucluseà l’Académie Vaucluse Provence à Avignon. L’occasion pour ces derniers d’en apprendre plus sur comment diversifier leurs sources de financement et pour les entreprises et particuliers de s’engager localement à travers des projets sportifs.
Le dispositif ‘Soutiens ton club’, initié par la Fondation du Sport français, est dédié aux clubs sportifs souhaitant financer leurs projets par le mécénat. Dans le cadre de son Tour de France, coorganisé avec France Travail et Les entreprises s’engagent, la Fondation a fait une halte à Avignon le jeudi 24 octobre pour faire découvrir ce dispositif aux représentants des clubs vauclusiens, ainsi qu’aux chefs d’entreprises.
Pour l’occasion, une cinquantaine de clubs sportifs de Vaucluse étaient présents et ont pu prendre connaissance du dispositif, proposé par la Fondation, dont l’objectif est de démocratiser la pratique sportive amateur et d’encourager les clubs à s’impliquer dans des démarches de Responsabilité sociétale des entreprises (RSE).
Promouvoir le mécénat
L’objectif de ce Tour de France est de promouvoir le mécénat comme levier de la RSE dans le sport. Pour ce faire, la Fondation du Sport français se base sur trois points :
Tiers de confiance, à l’intersection du monde économique et associatif
Une méthodologie solide pour recenser les projets sportifs à fort impact social
Une banque de projets, avec un impact sociétal à différentes échelles, pour accompagner les mécènes dans leur démarche RSE
Deux entreprises impliquées en Vaucluse et mécènes de la Fondation du Sport français ont dévoilé leur témoignage. Il s’agit de Nhood, représentée par Jacques Lèze et Anaïs Bourguin, directeur et responsable communication et animations de la zone commerciale Aushopping Avignon Nord, mais aussi NGE, qui possède sa filiale Agilis au Thor, représentée par Pierre Thomasse et Emma Ragasse, chargés de communication.
Un dispositif engageant
En plus de rendre accessible le mécénat aux clubs amateurs dans un cadre sécurisé, et de simplifier et automatiser le don, le dispositif ‘Soutiens ton club’ met en valeur des projets impactants à échelle locale et les actions menées par les clubs sportifs qui répondent aux thématiques RSE phares telles que la mixité et la féminisation des pratiques, le sport santé, le développement durable et la transition énergétique, l’inclusion handicap, l’insertion socio-professionnelle et l’éducation par le sport.
« Cet événement a montré la complémentarité des dispositifs de la Fondation du Sport français, a expliqué Pauline Paganon, déléguée territorial Sud-Est de la Fondation. Les pilotes Romain Mahieu et Camille Maire bénéficient du Pacte de Performance, et leur club, le BMX Sarrians, utilise ‘Soutiens Ton Club’ pour sa stratégie de mécénat. » Le président du club sarriannais, Stéphane Garcia, a témoigné de la réussite du club grâce au dispositif.
10 clubs vauclusiens récompensés pour leur engagement
Durant la soirée, huit clubs vauclusiens, un gardois et un bucco-rhôdanien, ont été félicités pour leur engagement RSE et ont pu remporter 500€ chacun :
Le club de rugby Étoile Sportive à Saint-Saturnin-lès-Avignon Le club de football US Une Autre Provence à Puyméras L’AS Bédarrides Tennis La société nautique à Caderousse L’entente Gymnique à Avignon Le Motoball Club à Robion L’US Pontet Natation Le No age boxing club à Courthézon Le BMX Club d’Avignon – Les Angles Le Tennis club de Graveson
La Fondation du Sport français fait étape à Avignon pour soutenir les clubs vauclusiens
« L’association Avignon Festival et Compagnies, qui gère et coordonne le Festival Off depuis 2006, a l’idée de constituer un modèle de financement où l’argent public et l’apport des mécènes constitueront un fond d’amorçage pour la filière à l’année. » Voici l’idée force de la réunion à laquelle étaient conviés mi mars , dans les locaux de l’Hôtel Mercure à Avignon, les différents partenaires du OFF et le club de mécènes initié en 2018.
Si Avignon est une ville d’exception , le festival OFF est une exception avignonnaise Le Off ? Le In ? Mais finalement connaissons vous vraiment l’histoire de ces festivals qui se côtoient depuis plus de soixante ans et quelquefois suscitent des incompréhensions ? Grande fête du théâtre pour les uns, joyeux bazar pour les autres, blocage de la ville pendant 1 mois, retombées économiques époustouflantes ? La direction collégiale du OFF – le coprésident Harold David et le vice-président Laurent Rochut – a tenu a faire un point sur la réalité du Off et ses perspectives pour que cette grande fête du spectacle vivant puisse être pérenne dans son modèle économique et surtout toute l’année. Pour cette occasion étaient conviés les partenaires historiques et mécènes du OFF afin de dynamiser et d’élargir le club du Mécénat.
Le Off d’hier à aujourd’hui Depuis les années 60, le festival créé par Jean Vilar après la seconde guerre mondiale s’est doublé d’un petit frère, contestataire, libertaire, remuant : Le Festival Off. Un festival construit sur l’indépendance et la contestation des institutions. Depuis 1970, en plus de 50 ans, le Off s’est développé et a changé de nature.
Le festival underground est devenu le premier rendez-vous mondial du théâtre Francophone : – 1 600 spectacles en moyenne par édition – Plus de 140 lieux de programmation – 1 270 compagnies – près de 2 millions de billets vendus – plus de 300 000 festivaliers sur le mois – 40,2 millions d’impact économique – 558 emploi équivalent temps plein générés sur le seul territoire du grand Avignon
Le festival Off est un acteur économique incontournable pour le territoire qui souffre de sa réussite , de son autonomie Le Off souffre de sa réussite : « Malgré une contribution minime de l’argent public à notre budget, le festival Off entraîne des retombées économiques fortes. Pour 1 € d’argent public reçu par le Off, c’est 2 468 € de retombées sur le territoire d’après l’étude faite en 2019. Pour tous les autres Festival, Le In y compris, le rapport est de 1 pour 3,5 €. C’est dire la démesure des performances du Off. » souligne Laurent Rochut. Il souffre aussi de son autonomie car le caractère libéral de son organisation, fondée sur un réseau de théâtres indépendants pour leur grande majorité a entraîné une certaine défiance des institutions publiques.
“1 € d’argent public reçu par le Off, c’est 2 468 € de retombées sur le territoire.“
Laurent Rochut
L’impact du Festival Off sur le territoire mériterait pourtant une attention soutenue des institutions Le Off est une place majeure de rencontres et d’échanges entre les professionnels de l’Art Vivant. 25% des ventes de spectacles en France se jouent à l’occasion du Festival Off d’Avignon. C’est aussi un moment unique pour prendre dates avec les institutions, les organismes collecteurs de droits et autres sociétés civiles parce qu’Avignon, en juillet, est à la fois un Festival et un salon professionnel.
Fort de ce constat, l’équipe d’AF&C envisage l’avenir au delà du Festival Off et vise l’émergence d’une cité de l’Art Vivant permanente à Avignon Depuis plus d’un an, l’équipe AF&C, engage des actions en dehors du strict cadre de l’organisation du Festival Off en été. En effet, AF&C s’est doté d’un fond de soutien à la professionnalisation dont le but était et est toujours d’inciter les compagnies à avoir un comportement socialement responsable en payant leurs équipes pour l’ensemble des représentations données pendant le Off. Cela s’est accompagné d’une démarche de recherche de mécénat. Sous l’égide de FACE, (Fondation Agir Contre l’Exclusion) et avec des membres historiques tel Jacques Leze ( directeur de l’ensemble commercial Aushopping Avignon Nord et employé par Nhood société de service de l’Association Familiale Mulliez gestionnaire de son patrimoine) ont été initiées des actions de responsabilité sociale et environnementale. Sociale en finançant pendant l’été des achats de billets pour des publics éloignés de la fréquentation des salles de spectacle. Environnementale en œuvrant à la réduction de l’empreinte carbone du Festival (Baisse de la quantité de déchets produits, notamment par un encadrement drastique de l’affichage, mutualisation du fret…).
Mais oeuvrer pour la diffusion, cela ne suffit pas ! Dans le seul intramuros, 90 Lieux sommeillent toute l’année et constituent un gisement sous-exploité du bassin d’Avignon constate Laurent Rochut. Nous ambitionnons que ces lieux deviennent la plateforme d’une création en continue et le moteur d’un écosystème.
Assurer la pérennité du off et de la filière du spectacle vivant toute l’année « Nous pensons qu’une des réponses, en plus d’un travail spécifique sur la diffusion, est de faire de la ville un incubateur qui reçoive en résidence des projets de toute la France et même au-delà en développant des partenariats internationaux. L’idée est que la filière de l’Art Vivant, avec l’essaim de prestataires et partenaires qui se développera en parallèle, soit un secteur dynamique du développement d’Avignon. l faut assumer que le Off soit aussi un levier économique. Cela concerne les institutions (argent public, misitère, ville, département, région) mais aussi le réseau d’entrepreneurs du territoire, attachés à son identité et à ce qui fonde la marque Avignon.»
“Nous souhaitons mobiliser le tissu d’entreprises du territoire pour valoriser la marque Festival Off d’Avignon.“
Jacques Leze
Rassembler un club de mécènes pour accompagner la stratégie de désaisonnalisation du Off AF&C entreprend une démarche ambitieuse de rassembler un club de mécènes pour accompagner son développement et notamment cette stratégie de désaisonnalisation du Off dont l’essor de la filière est un axe majeur. L’idée est de constituer un modèle de financement où l’argent public et l’apport des mécènes constitueront un fond d’amorçage pour la filière à l’année. Celle-ci, en effet, mettra en œuvre peu à peu, une capacité à s’autofinancer par les compagnies et les lieux qui en auront profité. En 5 ans, le dispositif doit être capable de générer des ressources propres. Les mécènes présents, dont Jacques Leze, responsable régional de Nhood ont immédiatement marqué leur engagement à ce projet ambitieux et salutaire : mobiliser le tissu d’entreprises du territoire pour valoriser la marque Festival Off d’Avignon avec des valeurs de responsabilité sociale environnementale, de soutien à la culture et aux publics en fragilité.
Un appel aux futurs mécènes, des gages, des perspectives « Notre association Avignon Festival et Compagnies se professionnalise. Elle a atteint non sans douleurs l’âge adulte. Nous avons d’autres sujets, notre organisation interne, le développement des rencontres professionnelles avec des rendez-vous dans l’année peut-être, un village des familles qui est sur le point de voir le jour, la naissance d’un label pour inciter les lieux à monter en gamme… bref, autant de gages que l’association qui coordonne une marque forte du territoire, le Festival Off d’Avignon, affronte les perspectives de son avenir avec responsabilité. Autant de propositions à nous rejoindre pour conjuguer collectivement cet avenir.conclut l’équipe d’AF&C.
La Fondation du Sport français fait étape à Avignon pour soutenir les clubs vauclusiens
Le musée Angladon, situé au 5 rue Laboureur à Avignon, a signé une convention de mécénat avec la Banque Populaire Méditerranée. Une collaboration qui a pour but de contribuer à l’attractivité du territoire et à partager les collections du musée avec un public plus large.
C’est dans les salons du musée Angladon-Collection Jacques Doucet que le partenariat de mécénat entre la galerie et la Banque Populaire Méditerranée a été signé. Le Musée, porté par une fondation reconnue d’utilité publique, expose au sein d’un hôtel particulier avignonnais la collection du célèbre couturier-collectionneur de la Belle Epoque, Jacques Doucet.
Des tableaux, des objets d’art précieux que le musée souhaite rendre accessible à tous. La structure culturelle, qui possède un fort ancrage culturel sur le plan local, contribue depuis plusieurs années à l’attractivité territoriale du département et n’hésite pas à s’appuyer sur les mécénats pour poursuivre sa mission de démocratisation de l’art graphique et culturelle sur la ville d’Avignon.
Une mission à laquelle la Banque Populaire Méditerranée a souhaité s’associer à travers ce partenariat de mécénat. Ancrée dans le tissu économique local et défendant des valeurs de proximité territorial, la structure a trouvé avec le musée Angladon la même volonté d’offrir une politique et des services accessibles à tous.
« Notre banque est proche de ses clients, elle a envie d’accompagner les acteurs du territoire qui contribuent à son développement et lui apportent une valeur ajoutée », souligne Karine Brasleret, directrice de Groupe Avignon-Luberon pour la Banque Populaire Méditerranée.
La Fondation du Sport français fait étape à Avignon pour soutenir les clubs vauclusiens
Ce samedi 2 mars, Mélinda Guery et son équipe ont pu présenter une adaptation théâtrale de son conte ‘La magie de l’eau’ au centre social des oiseaux d’avignon. Une représentation afin de sensibiliser contre les noyades infantiles qui a pu être offerte aux locataires du bailleur social Grand Delta Habitat de manière totalement gratuite. Un don rendu possible grâce à l’aide de nombreux mécènes privés locaux.
Voilà une aventure qui n’est pas prête de prendre l’eau. Engagée depuis plusieurs années contre la noyade infantile et pour la sensibilisation des enfants et de leur famille pour une pratique plus sure de la nage, Mélinda Guery vient d’adapter le tome 1 de son conte ‘La magie de l’eau’ en pièce de théâtre.
1re cause de mortalité chez les moins de 25 ans Un pas supplémentaire dans la quête de la maitre nageuse de Carpentras afin de démocratiser ses conseils et son expérience au plus grand nombre pour un apprentissage ludique de la nage en toute sécurité « l’objectif c’est de stopper la première cause de mortalité chez les moins de 25 ans, à savoir la noyade, c’est plus possible de continuer à voir autant de drames chaque année » martèle Mélinda Guery.
Une pièce de théâtre éducative et social Alain Bernard, la princesse Charlène de Monaco. Des noms prestigieux qui ont apporté leur soutien public au projet de ‘La magie de l’eau’ et qui ont décidé d’accompagner la vauclusienne dans son projet pédagogique et social « j’aime fédérer, travailler avec les associations, les acteurs privés et les institutions publics, c’est tous ensemble que nous devons lutter pour faire aimer l’eau aux enfants, qu’ils s’y sentent bien. Mon aventure c’est avant tout une aventure humaine » déclare-t-elle.
Inciter les enfants à adopter les bons gestes Son livre publiée en décembre 2022 avait été totalement financé grâce à une campagne de financement participative sur Ulule. À la suite du succès rencontré par cet ouvrage auprès des enfants, des familles et des établissements scolaires, la carpentrassienne a pris l’initiative d’adapter son récit pédagogique sous forme théâtrale afin d’inciter de plus en plus d’enfants, d’élèves à adapter les bons gestes dès le plus jeune âge « dans la pièce je reprends l’histoire du conte que j’ai écrit et je fais intervenir des marionnettes pour la raconter, l’idée c’est de leur apprendre à ne plus avoir peur de l’eau en utilisant cla manière la plus ludique possible » ajoute-t-elle.
Portée par la fibre éducative, culturel et social, Mélinda Guery a souhaité que cette œuvre théâtrale soit ouverte au plus grand nombre « la mortalité infantile touche toutes les classes sociales, toutes les villes. Ce que je veux c’est mon projet soit accessible à tout le monde, dans les quartiers sociaux, dans les centres villes, partout, c’est pour ça que je suis allé voir Grand Delta Habitat et qu’on joue à la croix des oiseaux » appuie la vauclusienne.
Un projet soutenu par plusieurs mécènes privés Pour ce passage des pages au planches, Mélinda Guery a pu compter sur le soutien de nombreuses institutions privés et publics pour l’aider à financer et monter ce projet ambitieux et permettre sa gratuité « c’était primordial pour moi que cette représentation au centre social croix des oiseaux soit gratuite et accessible. On joue ce samedi pour les locataires du bailleur social Grand Delta Habitat, notre démarche est sociale et solidaire, on le fait pour les enfants et leur famille et heureusement que j’ai été accompagné par ces généreux mécènes sans qui tout cela n’aurait pas été possible ».
Le cabinet Conseil DB associés, la Fondation Pichet, la Fondation de l’aménageur bordelais, l’association sportive philantrophique du Panathlon de Vaucluse. Tous ces acteurs à travers leur participation financière ont permis que les deux prochaines représentations de la pièce puisse avoir lieu, notamment celle du 2 mars à la Croix des oiseaux.
« Être accompagné par tous ces acteurs privés qui s’engagent à nos côtés c’est un signe très fort et c’est très encourageant pour la suite. L’association du Panathon par exemple qui lutte pour associer sport et culture et démocratiser la pratique du sport dans les quartiers populaires, je trouve ça fantastique, ça s’inscrit parfaitement dans notre démarche » se réjouit Mélinda Guery.
Grand Delta Habitat, comme une évidence L’idée de collaborer avec l’aménageur et le bailleur social qu’est Grand Delta Habitat vient de la propre expérience personnelle de l’autrice de la pièce « j’ai été locataire chez Grand Delta Habitat pendant plusieurs années et je connais leur politique social forte. J’ai donc trouvé ça pertinent de de leur proposer un programme culturel et sportif de proximité qui plus est en cette année de jeux olympique » glisse Mélinda Guery.
Il faut dire que l’institution vauclusienne s’engage depuis plusieurs années sur un modèle qui place les préoccupations sociales au cœur de sa politique d’action. Ainsi, Grand Delta Habitat a mis en place une fondation visant à favoriser les parcours d’insertion de ses locataires. Cette dernière consacre chaque année plus de 150 000€ pour soutenir des associations qui œuvrent pour promouvoir plusieurs actions d’insertion par le logement, l’emploi et surtout les activités sociales culturelles et sportives.
Un modèle de mécénat pour l’avenir ? 55 000 piscines privés et une trentaine de piscines publics. C’est le nombre de bassins présents dans le département du Vaucluse. Ce qui en fait le département français le mieux équipés par rapport au nombre de logements. Près d’une demi-douzaine de ces piscines publiques se trouvent à Avignon qui est donc la ville la mieux lotie en la matière et donc par ricochet plus exposée par les noyades et les accidents de baignades.
Il était donc essentiel que les institutions publics et politiques s’engagent également dans le projet de Mélinda Guery. La Ville d’Avignon soutient donc la pièce montée par la maitre nageuse de Carpentras « à Avignon, il y a la réhabilitation de 5 piscines publics, lorsque j’ai discuté avec la mairie, les élus m’ont immédiatement soutenu, ils sont pleinement impliqués dans le savoir nager » précise l’autrice de la « magie de l’eau ». Ce partenariat avec la Ville d’Avignon est également soutenu par la Chambre de Commerce d’Avignon, ce qui est une première pour cette institution et une fierté pour Mélinda Guery qui y voit une opportunité d’attirer de nouveaux collaborateurs « on a le soutien de la chambre de commerce, c’est inédit et ça peut vraiment inciter d’autres mécènes du tissu local à nous rejoindre ».
Ce premier mécénat est l’expérimentation d’un modèle qui pourrait être appelé à être dupliquer. Dans un contexte de crise des finances publiques, et de mise ne place des mesures de Responsabilité Sociale des Entreprises (RSE) depuis la loi Pacte de 2019, association et entreprises ont décidé de soutenir le projet de ‘Lla Magie de l’eau’.
Une pièce préventive contre les noyades mais pas que … Si ce spectacle est principalement axé sur la meilleure façon d’appréhender l’apprentissage de la nage et sur la prévention des risques de noyades, il était aussi essentiel pour son autrice d’y ajouter une dimension écologique et sociale.
Dans cette pièce adaptée par Laure Vallès et mise en scène par Arny Berry, plusieurs thématiques sont mêlées pour éveiller les esprits des plus petits et les sensibiliser aux problématiques de notre avenir « dans cette représentation théâtrale, on parle de biodiversité, d’inclusion du handicap et du réchauffement climatique, je voulais une dimension globale qui éveille les consciences » ajoute Mélinda Guery.
Quelle suite pour ce projet ? Et pour la suite ? la maitre nageuse qui s’improvise actrice pour sa pièce, commercial pour son projet et communicante ne compte pas s’arrêter en si bon chemin et se prend à rêver « pourquoi pas jouer un jour au théâtre antique d’Orange avec les enfants de toutes les communes et démocratiser partout en France notre projet d’arrêter les noyades ». Pour cela, la maman de 42 ans aura besoin de nouveaux partenaires et mécènes, prêts à l’accompagner dans son combat de tous les jours. S’associer pour lutter contre ce fléau mortel, obtenir l’implication de toutes les acteurs privés et publics c’est là tout l’essence du projet de Mélinda Guery « comme le dit l’adage, tout seul on va plus vite, à plusieurs on va plus loin » conclut-elle.
La Fondation du Sport français fait étape à Avignon pour soutenir les clubs vauclusiens
A l’aube des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, Gilles Bonnassieux, président du comité départemental d’aviron en Vaucluse, souhaite mettre en avant ce sport qui n’est, selon lui, pas médiatisé en dehors des JO.
« L’aviron est un sport qui a une forte notoriété, mais qui est très peu visible. On en parle une fois tous les quatre ans pendant les Jeux Olympiques », explique Gilles Bonnassieux, président du comité départemental d’aviron en Vaucluse (CD84). Ce comité, qui s’articule autour des clubs d’Avignon et de Caderousse, a pour vocation la promotion de ce sport nautique et de le faire découvrir à de nouveaux pratiquants : adultes, jeunes, étudiants, parcours santé…
Le comité souhaite mieux prendre en compte le contexte territorial, économique et social dans lequel il s’inscrit : un besoin de solidarité et de bien-être individuel accentué par la crise sanitaire et une préoccupation environnementale de plus en plus prégnante. « Post-pandémie, il y a une attente des gens de retourner dehors et de pratiquer une activité physique. Si on prend tous les avantages de l’aviron, cela coche toutes les cases. » déclare le président du comité aux 254 adhérents (2021-2022).
Au vu de ces éléments, le comité départemental souhaite mettre en place une stratégie pour promouvoir la pratique de l’aviron au sein du département de Vaucluse : faire connaître, communiquer et démontrer, tel est le plan de Gilles Bonnassieux. La première étape de cette stratégie de promotion est de s’adresser en priorité à un public adulte, touché par la pandémie et qui souhaite reprendre l’activité physique. Pour le président du comité, viser ce public « est le choix de la facilité. Il faut juste leur donner le dernier un coup de pouce pour qu’ils franchissent le pas ».
Un sport complet et ouvert à tous
« L’Aviron est un sport complet », explique Gilles Bonnassieux. « Ce n’est pas traumatisant pour les articulations, c’est bon pour le cœur et c’est surtout un sport convivial » poursuit-il. Tout le monde peut s’y mettre et pour les personnes en perte d’autonomie, sédentaires ou éloignées d’une pratique physique, atteintes de maladies métaboliques, cardiovasculaires ou de cancers et/ou en rémission, un programme spécial a été pensé : Aviron Santé.
En plein air, été comme hiver, sur rivière, lac ou en mer, en solo, à deux, quatre ou huit, mixte ou non, l’aviron est un sport exigeant, mais complet, tant pour une pratique de loisir que pour de la compétition, même si pour Gilles Bonnassieux, l’entrée dans ce sport, principalement des jeunes, doit passer par le plaisir : « la médaille Olympique est le Graal, mais ce n’est pas comme ça qu’on rentre dans ce sport, ce n’est pas comme ça que vous allez attirer les jeunes ».
Pour permettre la découverte de ce sport, au coût matériel important, un prototype de bateau une place a été développé par l’entreprise ATG Technologies (Agroparc) et mit en pratique durant plusieurs évènements comme lors de la journée autour du handicap organisée à la plaine des sports d’Avignon. Cela permet aux curieux d’établir un premier contact avec ce sport, même si Gilles Bonnassieux confie que ces premiers contacts se transforment rarement en inscription.
« Aujourd’hui, on ne vit que sur les subventions »
« L’objectif numéro deux, après avoir communiqué auprès des adultes, est de trouver les bons moyens au niveau du département pour aller chercher les jeunes pour qu’ils se mettent au sport et, dans mon cas, à l’aviron » confie le président du comité. « Aujourd’hui, on ne vit que sur les subventions. On a un budget qui est de l’ordre de 12 000 € et qui mon outil pour la promotion, pour la démonstration de l’aviron. » Mais cela ne suffit pas, confie Gilles Bonnassieux qui souhaite trouver des entreprises vauclusiennes partageant sa même conviction de remettre les adultes et jeunes au sport.
Pour l’heure, le président du comité compte poursuivre son partenariat avec ATG Technologies (Agroparc) et BigBird Communication (Morières), entreprise de communication à l’origine de la vidéo ci-dessus, tout en poursuivant sa recherche de mécènes.
La Fondation du Sport français fait étape à Avignon pour soutenir les clubs vauclusiens
Samedi 3 décembre, l’ensemble des 560m2 de toitures et l’imposante charpente du palais abbatial de l’abbaye Saint-André ont été inaugurés en présence d’une grande partie des donateurs. Le chantier aérien aura duré plus de huit mois et s’est achevé l’été dernier.
Les salons à voûtes plates et le hall d’entrée de l’abbaye sont désormais hors de danger et le palais abbatial, qui date de la fin du XVIIe, a retrouvé une étanchéité sans faille. Le projet de restauration, d’un montant de près de 500 000 €, a pu être mené grâce à un fort engagement des institutionnels : de la Drac Occitanie et de la région Occitanie ainsi que de la mairie de Villeneuve-lez-Avignon, mais aussi d’une large communauté d’une centaine de mécènes en grande partie de la région, à commencer par l’entreprise mécène Emile Garcin Propriétés en tant que « Grand Bâtisseur ». Une campagne de mécénat conduite en partenariat avec la Fondation du Patrimoine, auprès des amis de l’abbaye et des entreprises du territoire qui ont répondu présent. Selon un vaste programme de restaurations, l’abbaye souhaite poursuivre les chantiers afin de continuer d’accueillir ses visiteurs amateurs d’art, de jardin et de patrimoine.
Un budget de 499 000 euros 61% partenaires institutionnels (304,2 K€)
49% Drac Occitanie 248 K€
10% Région Occitanie 48 K€
2% Mairie de Villeneuve-lez-Avignon 8,2 K€
14% mécénat (71 K€)
6,5% campagne de mécénat particuliers/TPE Fondation du Patrimoine 34 K€
4,5% Emile Garcin Propriétés 22 K€
3% Fondation du Patrimoine 15 K€ (don direct de l’organisme)
25% abbaye Saint André (123,8 K€)
111 donateurs particuliers et TPE
1 « Grand Bienfaiteur »
12 « Bienfaiteurs »
6 « Grands mécènes »
22 « Mécènes »
39 « Compagnons »
21 « Membres »
10 Dons inférieurs à 50 €
Montant collecté : 34 235 €
Don moyen : 308 €
Une majorité de donateurs gardois
Mécénat Emile Garcin Propriétés, un partenariat privilégié depuis 2018 Première entreprise mécène mobilisée, Emile Garcin Propriétés conclut cette campagne, en tant que « Grand-Bâtisseur ». L’entreprise familiale renouvelle sa participation à une campagne dédiée à l’abbaye Saint-André et affirme son engagement en signant un partenariat de 22 000 euros. « Un partenariat dans la durée qui fait de cette entreprise un précieux ambassadeur pour l’abbaye Saint-André et tisse des liens de confiance avec une famille très engagée dans le patrimoine régional » explique Marie Viennet, gestionnaire de l’abbaye.
Abbaye Saint-André – rue Montée du Fort – Villeneuve-lez-Avignon.
J.R.
La Fondation du Sport français fait étape à Avignon pour soutenir les clubs vauclusiens
La Caisse d’épargne Cepac vient de signer une convention de mécénat avec la Collection Lambert à Avignon. Pour le musée d’art contemporain de la cité des papes il s’agit désormais de son plus important partenaire issu du monde de l’entreprise et de l’économie.
La SLE (Société locale d’épargne) de la Caisse Vaucluse de la Caisse d’épargne Cepac avait déjà initié le mouvement en 2019. La banque régionale coopérative avait ainsi déjà apporté son soutien (5 000€) à la Collection Lambert afin de financer le projet de micro-école ‘Inspire’ du musée. Un dispositif créée en collaboration avec l’Education nationale destiné aux enfants de CM1-CM2 en décrochage scolaire et ayant pour objectif de leur permettre de retrouver le goût d’apprendre via l’éveil artistique. Pour cela, la Collection Lambert a transformé un de ses deux ateliers en salle de classe pour accueillir les élèves de manière permanente. Après ce galop d’essai, la Cepac, qui entreprend depuis toujours des actions de mécénat sur tous ses territoires et s’engage à favoriser l’accès à la culture au plus grand nombre, a donc décidé de passer à la vitesse supérieure.
20 000€ pour commencer « Nous sommes honorés de renouer les liens avec la Collection Lambert que nous avions soutenue auparavant, pour l’une de ses actions pédagogiques, rappelle Joël Chassard, président du directoire de la Cepac. Les musées, festivals et lieux culturels sont autant de leviers qui contribuent au développement et à l’attractivité de nos territoires. C’est pourquoi, nous sommes fiers de nous associer à ce lieu emblématique de l’art contemporain en Avignon. Ce mécénat s’inscrit dans notre démarche philanthropique axée, notamment, autour de la culture. » En effet, la culture semble être dans l’ADN de la Cepac puisqu’elle soutient de nombreux événements et lieux culturels, aussi bien en métropole qu’en Outre-Mer, comme le Cepac Silo et le Mucem à Marseille ou les Téat à la Réunion. Elle participe également au déploiement de grands festivals, notamment à travers ses partenariats avec Les Suds à Arles, le festival de la BD à Bastia, le ‘All day in’ aux Antilles, ou encore le festival ‘Marseille Jazz des cinq continents’, qu’elle soutient depuis sa création il y a plus de 20 ans. « Nous avons la volonté de soutenir les lieux et les événements emblématiques du territoire », poursuit Aline Moreau, directrice communication et RSE (Responsabilité sociétale des entreprises) de la Cepac, 2e caisse de France, et intervenant dans les départements des Bouches-du-Rhône, Vaucluse, Alpes-de-Haute-Provence, Hautes-Alpes, la Corse mais aussi la Réunion, Mayotte, la Guadeloupe, Saint-Barthélemy, Saint-Martin, la Martinique, la Guyane et Saint-Pierre-et- Miquelon. Le montant de cette opération de mécénat s’élève à 20 000€ pour une durée de 1 an renouvelable. Il s’ajoute à la dizaine de projets soutenus, chaque année dans le département, par la SLE de la caisse de Vaucluse avec des montants compris entre 3 000 et 15 000€.
Rapprochement avec le monde des entreprises « Ce partenariat marque une étape importante depuis la création de la Collection il y a 22 ans, précise Alain Lombard, directeur de la Collection Lambert. Il marque notre volonté de se rapprocher du monde économique. Nous sommes donc heureux de renforcer nos liens avec le monde de l’entreprise, particulièrement avec la Caisse d’épargne Cepac avec qui nous partageons de nombreuses valeurs comme la RSE, l’accès à la culture, le soutien au territoire… » Si les 20 000€ apportés par la Caisse d’épargne constituent 1% du budget de la Collection, ils représentent désormais 20% du montant total provenant du mécénat avec des entreprises. « Ce n’est pas neutre pour nous », insiste Alain Lombard puisqu’il s’agit désormais du principal contributeur en terme de mécénat d’entreprise. Mais surtout, « que la Cepac, aussi incontournable qu’elle l’est dans l’économie de notre territoire, ait choisi de soutenir la Collection Lambert au titre de sa démarche philanthropique, atteste selon moi de la place centrale qu’occupe notre musée au cœur de l’environnement artistique et culturel de notre région » conclut le directeur de cette Collection exceptionnelle. Collection de près de 560 œuvres majeures de la seconde moitié du XXe siècle et du début du XXIe siècle constituée par Yvon Lambert, que le célèbre marchand d’art et collectionneur a donné dans le cadre de la plus importante donation faite à l’Etat français depuis 1906. Aujourd’hui, grâce aux nombreux dépôts qui s’ajoutent, la Collection Lambert dispose d’environ 2 000 œuvres à présenter sur les 4 000 m2 de l’hôtel de Caumont.
La Fondation du Sport français fait étape à Avignon pour soutenir les clubs vauclusiens
La Chambre des notaires de Vaucluse vient d’élire sa nouvelle présidente pour deux ans, de mai 2021 à mai 2023. Il s’agit de Doris Nunez, notaire à l’Isle-sur-Sorgue. La Compagnie de Vaucluse compte 170 notaires, 78 offices dans les villages de plus de 300 habitants et plus de 500 collaborateurs.
Composition de la Chambre des notaires
La Chambre des notaires est composée de Doris Nunez, président, notaire à L’Isle-sur-la-Sorgue ; Vice-Président et 1er syndic : Caroline Lacaze-Mars, notaire à Pernes-Les-Fontaines ; 2ème syndic Clio Peyronnet, notaire à Avignon ; 3ème syndic : Nicola Sismondini, notaire à Vedène ; 4ème syndic : Florence Dalmas-Nallet, notaire à Sainte-Cécile-Les-Vignes ; Rapporteur Vincent Bruey, notaire à Orange ; Secrétaire-taxateur Romain Fabre, notaire à Mondragon ; Trésorier : Fabrice Mottin, notaire à Bedarrides. Les membres : Benjamin Rousset notaire à Cavaillon ; Valérie Basin notaire à Ménerbes ; Delphine Hiély notaire à Carpentras ; Thomas Moreau, notaire à Saint-Saturnin-les-Apt ; Karine Tassy-Kelcher, notaire à Lagnes ; Nathalie Négrin-Morteau à notaire à Orange. www.chambre-vaucluse.notaires.fr
Les scènes ouvertes
Avignon, capitale mondiale du théâtre accueille en juillet, en plus du festival d’Avignon, lors du festival off, plus de 1 000 spectacles dans plus de 150 lieux. C’est ainsi que, depuis 2005, sous l’impulsion du président Jean-Pierre Clavel, notaire à Orange et de Pierre Gautier, notaire à Sorgues, la Cour des notaires -le jardin de la Chambre des notaires- propose à un public assis –environ 90 personnes- d’assister à des extraits de spectacle différents lors de six soirées, les Scènes ouvertes étaient nées. Objectif ? Promouvoir les spectacles du off pour ‘booster’ le bouche à oreille et remplir plus rapidement les salles de spectacles. Les compagnies pouvaient alors disposer d’une scène, d’une mini-régie avec régisseur de projecteurs, d’une présentation leur permettant d’offrir un ‘teaser’ à un public attentif dans de bonnes conditions.
‘Eclats de scène’, Rendez-vous en 2022 !
Cependant, pour la deuxième année, ces bandes annonces du off n’auront pas pu avoir lieu pour cause de crise sanitaire. «Nos ‘Eclats de scène’ invitent à découvrir des extraits de spectacles des compagnies du Festival Off dans la Cour des notaires favorisant, ainsi, le bouche à oreille et la découverte de spectacles. Cette année, ne pouvant les organiser, nous avons choisi la Fondation AF&C pour continuer à soutenir les artistes. Je suis moi-même une fidèle du Festival Off, formidable ouverture sur le monde du théâtre et de la culture. Je vois quatre à six spectacles chaque week-end, témoignait Doris Nunez, président de la Chambre des notaires de Vaucluse. En 2022, nous serons ravis de vous accueillir pour de nouveaux Eclats de scène !»
La Chambre des notaires et Avignon Festival & Compagnies
Et parce que les Eclats de scène n’ont pu avoir lieu, Doris Nunez et la Chambre des notaires ont décidé d’intégrer le Club des mécènes du Festival off. «Nous sommes heureux d’accueillir la Chambre des notaires de Vaucluse au sein de notre club de mécènes, depuis longtemps acteur dynamique du Festival Off avec les ‘Eclats de scène’. En effet, la participation des acteurs économiques locaux à cet événement culturel majeur contribue au développement de notre territoire tout en bénéficiant à tous,» a relevé Sébastien Benedetto, président du Festival Off et de la Fondation AF&C.
La légende photo
La chambre des notaires de Vaucluse est composée, de gauche à droite de Caroline Lacaze-Mars, 1re vice-présidente et notaire à Pernes-Les-Fontaines ; Nicola Sismondini notaire à Vedène ; Nathalie Négrin-Morteau notaire à Orange ; Romain Fabre notaire à Mondragon ; Clio Peyronnet notaire à Avignon ; Benjamin Rousset notaire à Cavaillon ; Doris Nunez notaire à L’Isle-sur-la-Sorgue ; Vincent Bruey notaire à Orange ; Florence Dalmas-Nallet notaire à Sainte-Cécile-Les-Vignes ; Fabrice Mottin notaire à Bedarrides ; Delphine Hiély notaire à Carpentras ; Thomas Moreau notaire à Saint-Saturnin-les-Apt et Valérie Basin notaire à Ménerbes.
La Fondation du Sport français fait étape à Avignon pour soutenir les clubs vauclusiens
Toute l’équipe d’Axiome Associés est ravie d’annoncer l’arrivée dans le groupement d’un flamant rose ! Cette année, Axiome Associés suivra ainsi l’évolution d’un flamant rose, soutenant le concept ‘Adopte un flamant’, de la Tour du Valat, Institut de recherche pour la conservation des zones humides méditerranéennes. Un parrainage qui participe à l’étude et à la protection des flamants roses.
La Tour du Valat En 1977, la Tour du Valat met en place un programme de recherche et de baguage des flamants roses. Depuis, chaque année, environ 800 poussins de flamants sont équipés de bagues colorées. Ces bagues présentent un code alpha-numérique qui permet d’identifier et de suivre chaque individu. Ces observations constituent aujourd’hui une base de données unique au monde, avec le recueil et l’analyse de 300 000 données, qui permettent de mieux comprendre la biologie de cette espèce et de mieux la préserver. Il est ainsi possible de suivre le comportement et les itinéraires de milliers de flamants.
Mécénat Depuis plus de vingt ans, Axiome Associés mène une action de mécénat en faveur de l’art, de la culture et de l’insertion professionnelle et également de l’environnement en soutenant la Tour du Valat, depuis cinq ans. Prénommée ‘Axiome’, la nouvelle mascotte rejoint désormais symboliquement le groupement et son évolution suivie avec intérêt. Aujourd’hui, le Groupe est devenu leader régional, 42ème cabinet national et membre du groupement national Différence. Axiome associés compte 7 500 clients, 330 collaborateurs, 33 ans d’expérience et se développe sur 17 sites.