24 novembre 2024 |

Ecrit par le 24 novembre 2024

Mazan : l’aventure continue après le premier festival de street-art

Le week-end dernier s’est tenu le 1er festival street-art mazanais, co-organisé par l’Ecole des arts urbains d’Avignon et le centre communal d’action sociale (CCAS). Dès la rentrée scolaire, le CCAS souhaite poursuivre cette collaboration et proposer des ateliers de graff pour les enfants.

Le 1er festival street-art mazanais s’est déroulé samedi 23 et dimanche 24 juillet, en plein cœur du centre ancien de la commune. Petits et grands ont pu s’essayer au graff et profiter des démonstrations de danse hip-hop et de double dutch par les étudiants et professeurs de l’Ecole des arts urbains d’Avignon, co-organisateur de l’évènement avec le centre communal d’action sociale (CCAS).

Un parcours découverte sur smartphone était également mis à disposition du public pour lui permettre d’aller à la rencontre des lieux les plus pittoresques du village.

L’inauguration du festival, qui tend à se pérenniser, a eu lieu en présence de Louis Bonnet, maire de Mazan, Marie-Hélène Morel, vice-présidente du CCAS et de Max Raspail, conseil départemental.

Le CCAS souhaite poursuivre sa collaboration avec l’Ecole des arts urbains d’Avignon en proposant dès la rentrée scolaire des ateliers graff pour les enfants à partir de 8 ans. Les deux structures tiendront un stand sur la place de la mairie le 3 septembre de 9h à 12h30 à l’occasion de la journée des associations, pour échanger sur les différentes activités prévues.

Le CCAS souhaite poursuivre sa collaboration avec l’Ecole des arts urbains d’Avignon en proposant dès la rentrée scolaire des ateliers graff pour les enfants à partir de 8 ans © Hubert Tabutiaux

Pour plus d’informations, contactez le CCAS au 04 90 69 52 55.

J.R.


Mazan : l’aventure continue après le premier festival de street-art

Pour sa journée de la solidarité, Mazan a préféré chiner plutôt que courir : dépenser plutôt que se dépenser. En effet, en remplacement de la Course du 1er mai, la ville de Mazan et le CCAS (centre communal d’action sociale) ont organisé un grand vide-grenier solidaire dans le centre-ville.
Objectif : rassembler des fonds pour les associations caritatives participantes, le Secours catholique et le Don du sang, qui tenaient leur propre stand au niveau du jardin de Moudon. 
Au total, ce sont plus de 80 exposants qui se sont donné rendez-vous dès 6h du matin à l’occasion de cette journée de solidarité. Le public avait aussi la possibilité de prendre un repas à emporter au restaurant Le Siècle, qui dans le cadre d’un partenariat avec le CCAS a reversé aussi une partie des recettes aux associations (2€ par repas).
Au final, la commune a ainsi pu récolter 880€.

A.D.


Mazan : l’aventure continue après le premier festival de street-art

Jusqu’à la fin des vacances de Pâques le vendredi 6 mai prochain, la ferme du Lucky horse à Mazan accueille les petits comme les grands pour des stages et des ateliers en équihomologie.

Balades en nature, jeux, voltige ou encore déco-poney, l’association Isofaculté propose tout un programme basé autour de l’équihomologie, une discipline qui allie le sport et la santé, et agit en réponse aux stress, défis et pathologies de la vie quotidienne. Les enfants mais aussi les adultes peuvent participer aux activités.

Le programme et les tarifs des activités proposées.

En quoi consiste l’équihomologie ?

L’équihomologie, ce sont des mises en situations et des thèmes spécifiques, élaborés pour la discipline autour de la rencontre avec l’équidé. L’activité peut également être qualifiée comme étant une ‘pédagogie loisir’ qui vise à développer nos capacités physiques, psychologiques et sociales. Son objectif est pour celui qui la pratique de développer confiance et bien-être, ainsi qu’une relation harmonieuse avec le vivant, le sensoriel et la nature.

L’équihomologie se fait avec des équidés certifiés ‘Cheval santé’, qui sont éduqués de façon à assurer la sécurité mais également avoir des qualités relationnelles avec les enfants comme les adultes. La pratique se base sur plusieurs apprentissages comme la compréhension du cheval, l’écoute de notre corps et de nos sensations, et bien d’autres.

V.A.


Mazan : l’aventure continue après le premier festival de street-art

Dans la nouvelle zone d’activités du Piol 2, où une vingtaine d’entreprises sont en cours d’installation a été inauguré le 9 avril l’allée Alain Rimbert. Une centaine de personnes étaient présents pour rendre hommage à cet acteur important de la commune de Mazan décédé le 8 avril 2016.

C’est à lui que les Mazanais doivent notamment l’organisation du Carri en 2000, grande reconstitution historique régionale en costumes d’époque dont la dernière édition remonte à 2010. Durant près de 20 ans, il s’est impliqué dans la vie politique locale en tant qu’adjoint à la sécurité, sous les mandatures de Georges Blum et Aimé Navello. Il a également participé à la première phase de travaux de la zone du Piol et la construction de la caserne des pompiers.

« Nous avons tous envers lui un devoir de reconnaissance. En donnant son nom à cette allée, on peut sans prétention dire que lorsque toutes les entreprises seront installées, le nom d’Alain Rimbert sera immortalisé, » a expliqué Louis Bonnet, maire de Mazan, lors du dévoilement de la plaque de rue en présence du député de Vaucluse Adrien Morenas, de la présidente de la Cove Jacqueline Bouyac et la conseillère régionale Catherine Rimbert notamment.

A.D.


Mazan : l’aventure continue après le premier festival de street-art

L’huile d’olive et la tapenade de Trazic, les fruits et légumes de Carlos de Ratatouille, les fraises de Bruno Bagnol, la petite fromagère, les asperges et crèmes du Mas des Guêpiers et Jean-Luc Meysen, les œufs et poulets de la ferme du Rouret, les fleurs et le miel des Fleurs d’Avette, le pain bio du Fournil du Boislevain… Une douzaine de producteurs vous attendent samedi, place du 11 novembre, entre 8h et 12h avec le meilleur du terroir de la région.

Comme chaque premier samedi du mois à partir d’avril, les clients pourront gagner par tirage au sort un panier gourmand.  
MH


Mazan : l’aventure continue après le premier festival de street-art

Le pôle culturel Francine Foussa, situé à Mazan, était jusqu’alors composé d’une bibliothèque municipale et d’un centre associatif. Aujourd’hui, l’établissement pousse ses murs pour accueillir un espace numérique et un musée entièrement digital.

La commune de Mazan, qui possédait déjà une bibliothèque de près de 450m2 et un coin pour la vie associative au sein de l’espace Francine Foussa, héberge désormais le digital. Un nouvel espace numérique et un musée Micro-Folie, qui viennent d’être inaugurés, s’y installent dans le but de dynamiser la commune, mais aussi de permettre l’accessibilité numérique à un plus grand nombre de personnes.

Situé au carrefour du collège André Malraux et de l’hôtel de ville et de l’Ecole Saint-Dominique, l’espace est gratuit et ouvert à tous. Six ordinateurs sont mis à disposition ainsi qu’une imprimante. Un conseiller est également présent pour aider les personnes moins familières avec le digital. Il peut aider entre autres à apprendre à utiliser des outils de communication ou encore à chercher un emploi ou une formation.

Un musée numérique pour faciliter l’accès à la culture

Le musée Micro-Folie est un dispositif mis en place par le Ministère de la culture et de la communication et coordonné par l’Etablissement public du Parc de la Grande Halle de La Villette pour rendre la culture accessible à tous. Plusieurs ont été implantés à travers la France, et c’est à Mazan qu’est venu s’installé le premier Micro-Folie du Vaucluse. Il présente plus de 2000 œuvres d’art appartenant à 80 grandes institutions nationales.

En plus de l’écran géant qui diffuse les différentes œuvres, vingt tablettes sont mises à disposition du public qui peut découvrir l’histoire des œuvres ou encore jouer à des jeux. Les visites peuvent être soit libres, soit encadrées par un guide avec des ateliers et des rencontres.

Ces deux aménagements numériques, dont le coût s’est élevé à plus 100 000€, ont été financés par la commune de Mazan, par l’Agence nationale de la cohésion des territoires (ANCT) et par le Ministère de la cohésion des territoires.

Horaires d’ouverture de l’Espace numérique : le lundi de 14h à 18h et le mardi, mercredi et vendredi de 9h à 12h et de 14h à 18h.

Horaires d’ouverture du musée Micro-Folie pour les visites libres : le lundi, mardi, mercredi et vendredi de 14h à 18h.

Plus d’informations et réservation au 06 08 47 28 96.

V.A.


Mazan : l’aventure continue après le premier festival de street-art

Une multitude d’acteurs locaux se sont réunis autour de la table, sur invitation du député Adrien Morenas. Objectif ? Trouver une solution face à la circulation dense de camions sur la D1 traversant notamment Mazan.

20 ans que les Mazannais assistent à un ballet ininterrompu de 250 camions traversant quotidiennement le centre du village. A l’origine, une route départementale avait vu le jour afin de faciliter le transport et assurer le déplacement des militaires de la base du plateau d’Albion. Un tracé en trois étapes, dont le dernier tronçon n’a jamais été réalisé : celui de Carpentras à Mazan. Entre temps, le Vaucluse a assisté à un développement massif de l’activité des plâtriers, impliquant un nombre important de camions en transit. Les communes de Pernes-les-Fontaines, Saint-Didier, Venasque et Malemort-du-Comtat sont également traversées par cette route départementale et font état de diverses nuisances.

Ont assisté à cette réunion d’importance : Didier François, sous-préfet, Louis Bonnet (maire de Mazan), Ghislain Roux (maire de Malemort-du-Comtat), Gilles Veve, (maire de Saint-Didier), Max Raspail et Myriam Silem (conseillers départementaux), Dominique Plancher (maire de Venasque), Didier Carle (maire de Pernes-les-Fontaines), ainsi que deux représentants de la Gendarmerie nationale. « La ville de Mazan bloque la circulation le mercredi. Malemort-du-Comtat va être en travaux pendant trois mois, la question est assez urgente », souligne le député de la 3e circonscription du Vaucluse. Ce dernier, qui rappelle l’importance que revêt l’industrie plâtrière locale en matière d’emploi, appelle à la réflexion et au consensus.

Sécurité et santé publique

Deux problématiques majeures ont animé les échanges. La sécurité publique est une des préoccupations, eu égard à la voirie non adaptée à un tel trafic et à l’itinéraire impliquant le passage devant des écoles ou des collèges. La circulation dense entraîne également une problématique de santé publique. « Le trafic conduit à l’engorgement de la ville de Mazan et de Pernes-les-Fontaines car les camions peinent à se croiser, bloquent la circulation et entraînent ainsi des émanations dangereuses pour les habitants », précise Adrien Morenas. Ajoutés à cela les nuisances sonores et autres détériorations de la chaussée.

Réunion du vendredi 5 novembre autour de la déviation de Mazan

Un aménagement à visée globale

C’est donc avec cette volonté de « porter la réflexion » au côté des acteurs de l’instance départementale, que le député LREM prône une conception globale en matière d’aménagement. « Aujourd’hui, on ne crée plus une route comme on la créait avant. Ce projet à tout intérêt à revêtir une dimension globale pour intégrer des infrastructures de sécurisation pour piétons et vélos par exemple. » Une conception holistique qui permettra ainsi d’élargir le spectre des solutions de financement. « Agissons pour sécuriser le canton. Il en va de la santé et de la sécurité des habitants du canton de Pernes-les-Fontaines », ponctuera Myriam Silem, conseillère départementale.

Après avoir échangé sur toutes les possibilités de réaménagement pour cette départementale, plusieurs tracés de déviation ont été envisagés. Des études suivront pour déterminer quel itinéraire est le plus adapté.


Mazan : l’aventure continue après le premier festival de street-art

Bruno Procopio, claveciniste et chef d’orchestre, créateur et directeur musical du jeune orchestre Rameau, qui comporte 50 musiciens de 18 nationalités, dirigera le concert ‘Guerre et paix’ de ce dimanche 31 octobre à 17h, à la salle de la Boiserie à Mazan.

«La musique de Rameau reste encore à découvrir, plusieurs de ses opéras sont toujours inédits, précise Bruno Procopio. Notre initiative est de mettre au jour ces œuvres grâce au Jeune Orchestre Rameau (Jor). Celui-ci a aussi pour mission de devenir un orchestre d’insertion professionnelle, en organisant des concerts et tournées en plus de la semaine de l’Académie, également de promouvoir la création d’œuvres inédites, la formation professionnelle, de proposer une plateforme internationale de networking et de réaliser des enregistrements via le label discographique Paraty, distribué par Pias Harmonia Mundi.

En savoir plus

Bruno Procopio est un des chefs français les plus demandés pour sa connaissance fine de la musique baroque. Sa prédilection pour les œuvres orchestrale et vocales de Jean-Philippe Rameau l’a amené à créer une formation dévolue à ses œuvres. Ambition ? En plus de promouvoir les œuvres les moins connues du compositeur, faire se rencontrer artistes de renom et jeunes musiciens.

180 candidatures

Ceux-ci ont été sélectionnés lors d’auditions réalisées au sein des conservatoires partenaires qui reçurent plus de 180 candidatures. Le Jeune Orchestre Rameau travaille en partenariat avec le Conservatoire Supérieur de Musique et Danse de Paris (CNSMDP), le Conservatoire Royal de Bruxelles, le Conservatoire à Rayonnement Régional de Paris (CRR de Paris), le Conservatoire à Rayonnement Régional du Grand Avignon, le Conservatoire à Rayonnement Régional d’Aix en Provence ainsi que le Sistema des orchestres au Venezuela.

Un orchestre d’insertion professionnelle

Le concert sera donné ce dimanche 31 octobre à 17h à la Boiserie de Mazan. Il clôture la résidence de l’orchestre accueilli du 25 au 31 octobre dont les jeunes musiciens sont issus des grands conservatoires supérieurs du monde entier, en voie de professionnalisation, et désireux de se former à la musique française sur des instruments d’époque. Enfin, le concert sera enregistré.

Guerre et paix

Le Jeune orchestre Rameau donnera ‘Guerre et paix’, suite orchestrale conçue par Sylvie Bouissou et Bruno Procopio issue de Naïs, Dardanus, Castor et Pollux, Hippolyte et Aricie, Les Boréades, Platée et intègrent de nombreuse pièces inédites. Les musiciens encadrants invités sont Patrick Bismuth au violon ; Hervé Douchy au violoncelle ; Benoît Laurent au hautbois et Giorgio Mandolesi au basson.

Comme à l’Académie royale de musique

Le Jeune Orchestre Rameau récré les effectifs originaux de l’Académie Royale de Musique à l’époque de Rameau, soit 50 instrumentistes pour une reconstitution sonore la plus proche possible.  

Les infos pratiques

Les nuits musicales de Mazan. Concert le 31 octobre à 17h. Salle la Boiserie 150 chemin de Modène à Mazan. Jeune orchestre Rameau. 79, rue de l’Auzon à Mazan.  De 8 à 18€. Achat des billets ici.
MH


Mazan : l’aventure continue après le premier festival de street-art

À mi-parcours de la concertation citoyenne ‘Parlons de la terre, parlons de nous’ organisée par la Safer en région Provence-Alpes-Côte d’Azur (Société d’aménagement foncier et d’établissement rural), les premières réunions publiques ont livré réflexions et des pistes d’orientations sur comment favoriser l’accès au foncier au plus grand nombre pour répondre aux attentes sociétales de relocalisation de l’agriculture. Prochain rendez-vous ce 23 septembre à Mazan.

Objectif ? Identifier et partager les attentes des habitants pour l’utilisation des sols agricoles et forestiers, afin d’enrichir les réflexions de la Safer sur ses orientations stratégiques. C’est ainsi que 6 réunions publiques intervenues entre juin et juillet 2021, ont permis à 50 000 personnes représentants d’organismes professionnels et d’associations, élus, agriculteurs, citoyens d’évoquer les  problématiques spécifiques des territoires, et d’intervenir à hauteur de 172 contributions déjà enregistrées.

À quoi ressemblera demain le Grand Avignon ?

La réunion publique du 7 juillet à Saint-Saturnin-Lès-Avignon a fait émerger des attentes fortes en matière d’autonomie alimentaire, de diversification des cultures à l’échelle du territoire et de préservation de la ressource en eau.
Parmi les principales propositions d’actions, la volonté des habitants d’encourager la création de nouvelles activités agricoles diversifiées et durables, de développer l’agriculture biologique et l’agroécologie, de lutter contre le mitage foncier et l’artificialisation des sols, d’améliorer l’irrigation et d’engager une démarche active d’identification et de reconquête des friches agricoles.

Les enjeux spécifiques de l’aménagement du territoire autour d’Avignon

Principal pôle économique du Vaucluse, le bassin de vie d’Avignon se caractérise par un fort mitage résidentiel et par un étalement urbain important. Ce territoire périurbain connaît des problématiques liées à la pression foncière, où projets agricoles et projets résidentiels entrent souvent en concurrence. L’agriculture qui reste essentielle pour l’économie locale subit néanmoins une forte pression urbaine et une spéculation foncière croissante.

Une concertation, et après ?

La restitution de l’ensemble des réunions publiques au mois d’octobre 2021 ira nourrir le bilan régional de la concertation citoyenne ‘Parlons de la terre, parlons de nous’. L’élaboration du futur Programme Pluriannuel d’Activité (PPAS) de la SAFER Provence-Alpes-Côte d’Azur pour les six années à venir s’appuiera, après validation du Conseil d’administration, sur ces contributions, définissant une stratégie d’observation et de régulation du marché foncier des espaces ruraux et péri-urbains.

Et aussi en ligne 

La concertation reste ouverte en ligne et chacun peut contribuer au débat sur les paysages, les agricultures et la qualité de vie souhaitée pour demain, via la plateforme internet dédiée :
www.safer-paca.com/concertation

Les infos pratiques

La 2e réunion publique dans le Vaucluse se déroulera le 23 septembre à 18h à Mazan– Salle La Boiserie, 150 Chemin de Modène.

En savoir plus sur la Safer

La Safer Paca (Société d’Aménagement Foncier et d’Établissement Rural) est issue des Lois d’orientation agricole de 1960 et 1962, dont l’objectif était la modernisation de l’agriculture française. Société anonyme (sans but lucratif), avec des missions d’intérêt général, sous tutelle des Ministères de l’Agriculture et des Finances, la Safer Paca remplit 4 missions de service public :

· Assurer la transparence du marché foncier rural
· Contribuer à la protection des espaces agricoles, naturels et forestiers
· Contribuer au développement d’une agriculture dynamique et durable
· Préserver les ressources naturelles et les paysages

Elle exerce son activité sous le contrôle de son Conseil d’Administration et de l’État. Elle favorise le dialogue et la concertation mais aussi l’arbitrage dans l’attribution des terres à travers ses différentes instances (le Conseil d’Administration et les comités techniques départementaux), au sein desquelles siègent des représentants du monde agricole, des collectivités territoriales, de l’Environnement et de l’État. Elle compte environ 90 salariés qui couvrent les 6 départements de la région Sud Provence-Alpes-Côte d’Azur et totalise 60 ans d’expérience dans le marché foncier de Paca. Elle est un partenaire des collectivités publiques, dans l’élaboration de leurs politiques d’aménagement du territoire et notamment les Programmes Alimentaires territoriaux.
MH

https://echodumardi.com/tag/mazan/page/4/   1/1