22 juillet 2024 |

Ecrit par le 22 juillet 2024

Les Femmes chefs d’entreprise mises à l’honneur à Marseille

Jeudi 8 décembre avait lieu la soirée Cote magazine mettant à l’honneur les FCE Région Sud avec la soirée ‘Femmes dirigeantes’. Direction le quartier de la Valentine à Marseille. Il pleut à verse et la nuit noire engloutit toutes les voitures passé l’étang de Berre. Arrivée au château de la Buzine, ancienne demeure d’Augustine, la maman de Marcel Pagno,l devenu un haut lieu de la culture. Au fil des pièces, des ouvrages, des films, et deux costumes de l’académicien veillent toujours sur ces vieilles pierres qui résonnent encore du pas de son enfance.

Nadia Esposito, la présidente des FCE Vaucluse nous propose un co-voiturage avec Charlotte Trossat, – fondatrice de Local en Bocal – qui part chercher son trophée dans la catégorie Environnement. Nous rejoindrons Isabelle Rimbaud –des imprimeries éponymes- ainsi que Catherine Conseil et Céline Charnay d’autres FCE venues également ovationner leur past présidente, Alexandra Farnos récipiendaire du Prix international. Les deux vauclusiennes se taillent –d’une pierre deux coups – un joli portrait dans ‘Cote magazine’ qui fête les femmes chefs d’entreprise du Sud-est et également les 35 ans des éditions Cote.

Valoriser le territoire et surtout ses acteurs
«‘Cote magazine’ a été fondé en 1987, relate Claude Henri Menu fondateur des Editions Cote et président du directoire pour mettre en valeur les territoires de la Provence et de la Côte d’Azur et les acteurs qui les constituent, «des hommes et des femmes essentiels à la réussite et au développement de ceux-ci. Nous récompensons les femmes cheffes d’entreprise, les architectes avec le trophée ‘ArchiCote’, ‘Cote Innov’ conçu en partenariat avec l’Union patronale des Alpes Maritimes et qui met en scène l’innovation. Nous avons créé, depuis maintenant 4 ans, avec le corps médical, ‘Les palmes de médecine’ pour mettre en exergue la richesse et la diversité de notre système de santé, trophée qui sera développé, bientôt, en Provence. Notre leitmotiv ? Réussir, se développer, investir et faire que notre territoire soit le plus beau des territoires. » La soirée était présentée par Benjamin Perles, le volubile directeur de Cote magazine.  

Claude Menu et benjamin Perles respectivement fondateur, dirigeant et directeur de Cote Magazine

Les FCE de la région Sud
La soirée a été organisée à l’initiative d’Anne Jegat, -directrice générale du groupe Someform, centre de formation- la nouvelle présidente des Femmes FCE de la région Sud. «Cette soirée est consacrée aux femmes chefs d’entreprise qui font bouger le territoire ainsi qu’à leurs amies et sympathisantes. Etre une FCE c’est être une femme formidable, engagée pour défendre son territoire aux côtés des hommes. C’est exigeant, ça demande beaucoup d’investissement. C’est la raison pour laquelle nous voulons les remercier et les mettre en valeur, ainsi que leurs activités. Merci à Cote Magazine de nous permettre de faire cette démarche.»

Helen traiteur
Charlotte Trossat, fondatrice de Local en bocal a reçu le trophée environnement des mains d’Eric-Helen Louis dirigeant d’Helen traiteur et de son fils Arnaud, entreprise située à Morières-lès-Avignon. «Ce qui nous tenait à cœur ? Le don alimentaire parce qu’il faut savoir dans notre métier, auparavant, nous n’avions pas le droit de donner les retours de réception, même s’ils n’étaient pas sortis du froid. Nous l’avons fait quand même parce que donner à manger à des gens qui ont faim est important. Guillaume Garreau, alors député des Yvelines en a fait son combat, notamment envers les supermarchés. Nous l’avons rencontré ce qui nous a donné l’occasion de signer un pacte contre le gaspillage alimentaire au niveau national pour l’ensemble des traiteurs. Dorénavant, nous avons le droit de donner aux associations partenaires avec l’accord préalable du client et sans qu’il y ait eu de rupture de chaîne du froid. Nous avons ainsi donné, cette année, plus de 1 200 repas.»

Eric Helen Louis et son fils Arnaud

Local en bocal
«Nous sommes ravis d’offrir ce trophée à Charlotte Trossat pour Local en bocal parce que nous sommes complémentaires, expliquait Eric-Helen Louis. Nous utilisons de mini légumes très esthétiques lorsque Charlotte fait le contraire et fait des miracles avec des légumes qui ne sont pas esthétiques.
«Merci à Cote Magazine et aux FCE, entame Charlotte Trossat également présidente du Critt agroalimentaire Provence-Alpes-Côte d’Azur-. Le gaspillage alimentaire existe depuis longtemps même s’il est désormais sur le devant de la scène. Malheureusement c’est toujours d’actualité avec des tonnes et des tonnes de légumes jetés, chaque année, en France et dans le monde. Ce gaspillage se fait souvent au niveau des exploitations agricoles. Pas par plaisir, mais parce que la société est trop habituée aux beaux légumes, jolis, propres et non tâchés. J’ai créé la conserverie artisanale Local en Bocal à Avignon –Agroparc-  il y a 7 ans, où nous ne travaillons qu’en bio. Nous achetons ‘les légumes moches’ aux agriculteurs pour en faire des soupes, des compotes, des tartinables… Des produits principalement commercialisés sous la marque ‘A côté’. Nous sommes par ailleurs impliqués dans l’inclusion puisque nous sommes entreprise d’insertion : les légumes moches créent des emplois !»  

Charlotte Trossat fondatrice de Local en bocal

Le prix international
« Nous avons été présidente FCE ensemble, réélues à la Chambre de commerce Région ensemble, c’est une belle histoire », relate Sylvie Plunian, présidente de la délégation FCE Marseille.
«C’est à la fois émouvant et inspirant d’être là, apprécie Alexandra Farnos, dirigeante de son entreprise depuis 2004. Quand je vois tous ces portraits de femmes, ces entreprises… J’ai trois mots pour définir ce trophée : une vocation, un métier et une reconnaissance. Petite déjà je voulais voyager et travailler à l’international. Ce que je voulais petite est aujourd’hui réalisé. J’ai toujours vécu et travaillé à l’étranger et y ait appris 5 langues. J’aime l’échange, la culture, au propre comme au figuré puisque je travaille dans les fruits et légumes où j’accompagne les producteurs bio, un peu partout dans le monde à se développer. J’arbore avec fierté mon insigne FCE dont je suis membre depuis 2017. J’ai été past présidente du Vaucluse et suis désormais ambassadrice et aussi Conseiller du commerce extérieur de la France, nommée par le 1er ministre Jean Castex grâce à Fabienne Joanny présidente FCE de Cannes qui m’a permis de postuler. Merci aux FCE et à Cote magazine. »
Plus de 150 personnes ont assisté et échangé ce jeudi 8 décembre à 19h, au Château de la Buzine, quartier de la Valentine à Marseille, lors de cette très élégante et conviviale soirée.

Sylvie Plunian remettant le prix international à Alexandra Farnos

Les Femmes chefs d’entreprise mises à l’honneur à Marseille

C’est en septembre, dans le 10e arrondissement de Marseille au sein d’un parc de verdure de plus de 6 000 m2 que Well Place ouvrira sur plus de 1 300m2 la première maison de coworking médical en France.

Dédiée aux professionnels de santé : médecins généralistes, spécialistes, praticiens paramédicaux, thérapeutes, ouverte 6 jours sur 7 sur rendez-vous, de 7h à 21h, Well place offrira une quarantaine de salles de consultation, fournies d’équipements dernière génération mis à disposition des praticiens de manière évolutive, 6 salons d’attente, et surtout, tout un panel de services dans un environnement communautaire des soignants : de quoi accueillir une centaine de praticiens et 600 à 800 patients par jour.

Ouvertes à la location de manière évolutive
Pour une durée variable : à la demi-journée, journée, semaine, mois ou à l’année, selon les besoins de chacun, les 39 salles de consultation seront entièrement meublées, dotées de tables de consultation et de tous les équipements, dispositifs médicaux et consommables adaptés en fonction des spécialités. Elles offriront un cadre agréable pour les patients et seront adaptées aux praticiens qu’ils soient généralistes, spécialistes, paramédicaux ou thérapeutes : ostéopathes, diététiciens, psychologues, psychothérapeutes, orthophonistes.

Une expérience de travail inédite pour les professionnels de Santé
L’originalité de la formule ? Améliorer la qualité de vie au travail des professionnels de santé. Pour cela Well Place ambitionne d’installer ses maisons dans des espaces privilégiés -La première Maison Well Place se situe 166, rue François Mauriac dans le 10e arrondissement de Marseille et prévoit également des espaces partagés pour les praticiens  restauration avec cuisine équipée, terrasse végétalisée, salles de réunion, espaces de coworking, jardin paysagé, salles de repos ainsi qu’un panel de services : vestiaires, salles de douche, conciergerie personnelle et médicale, cours de sport, parkings privatifs, ainsi que des évènements : conférences, rencontres networking, ateliers et formations.

Des outils numériques 
Immeuble connecté, gestion des plannings via Doctolib, messagerie privée pour échanger entre praticiens, réservation des salles via une application dédiée, imprimantes connectées, soutien administratif : télé-secrétariat, services de comptabilité, portabilité, envoi et réception de courriers et services de ménage, pressing, réparation de voiture, livraison de repas pourront également être mis à disposition par une équipe de 10 personnes qui accompagneront au quotidien les praticiens qui le souhaitent.
«Soulager la charge mentale des praticiens est une des clés du concept précise Michaël Solal, co-fondateur et Directeur Marketing, Ventes et Santé de Well Place. Nous créons des outils et processus qui les aident à ne penser qu’à leurs consultations.»

Révolutionner le cabinet médical
«À l’heure où les professionnels de santé sont au bord du burn out et souffrent de plus en plus d’isolement, nous souhaitons révolutionner le cabinet médical, avec une offre 100% évolutive et surtout, un écosystème de santé unique, une communauté médicale ouverte à tous, permettant aux praticiens d’échanger entre pairs et retrouver l’esprit communautaire de leurs études. Car nous pensons que l’amélioration du parcours de soin passe par des conditions de travail optimales pour les praticiens et d’un accès direct à une communauté pluridisciplinaire avec laquelle échanger et évoluer. Notre offre facilite leur pratique afin qu’ils puissent se concentrer sur leur cœur de métier, le soin, en toute sérénité et convivialité. » explique Laurent Dahan co-fondateur et Président de Well Place.    

Témoignage
«Ce système va pouvoir permettre de dégager du temps pour les patients et de gagner en sérénité, précise Olivier Peyronel, médecin généraliste et urgentiste. A l’hôpital nous sommes dans un cocon. Tout est géré pour nous. Dès que l’on est en libéral, nous sommes livrés à nous-mêmes et rien n’a été préparé : les relations avec la sécurité sociale, les logiciels de médecine générale, la gestion des consommables, tout cela prend du temps. Je vais pouvoir tisser des relations privilégiées avec des spécialités avec lesquelles je n’avais pas forcément accès antérieurement. Cela va aussi me libérer des tâches du quotidien qui polluent ma pratique médicale ; permettre d’améliorer l’expérience praticien et patient.»

À propos de Well Place
Fondée en 2022 par Laurent Dahan, Président, Michaël Solal, Directeur Marketing, Ventes et Santé et Vincent Eriani, Directeur Technologies et Bâtiments, Well Place souhaite révolutionner le secteur du cabinet médical avec une offre unique en France dédiée aux médecins généralistes, spécialistes, paramédicaux et thérapeutes alliant location 100% flexible de cabinets équipés, espaces partagés, coworking, services bien-être et écosystème communautaire, visant à améliorer la qualité de vie au travail des praticiens de santé. Un concept unique en France : le premier établissement ouvrira ses portes en septembre 2022 à Marseille. D’autres ouvertures sont prévues en France courant 2023. 
166, rue François Mauriac à Marseille. 04 12 04 04 60 https://www.wellplace.fr/


Les Femmes chefs d’entreprise mises à l’honneur à Marseille

Vous rêvez d’écrire sans savoir par où commencer ? Votre projet est en cours et vous avez besoin d’aide ? Le bruit du monde, maison d’édition installée à Marseille propose un stage d’écriture avec Agnès Desarthe, essayiste, romancière et traductrice d’anglais qui a reçu de nombreux prix littéraires de vendredi 20 au lundi 23 mai inclus.

Les infos pratiques
Le stage d’écriture se tiendra, en mai, vendredi 20 de 18h30-21h30, samedi 21 de 10h à 13h, le dimanche 22 de 10h à 13h et lundi 23 de 18h30 à 21h30. Nombre de participants de 5 minimum à 10 maximum. 68, rue de Rome à Marseille, dans les locaux de la Maison d’édition. 600€ renseignement : contact@lebruitdumonde.com

Le programme
«En tant que lectrice, j’aime être dupe, avoir l’impression que des silhouettes se dressent hors des pages, depuis l’intérieur du récit, pour me rendre visite et occuper tout l’espace, révèle Agnès Desarthe

Commencer un texte
«Quand c’est moi qui écrit, quand je commence un texte, c’est bien souvent parce qu’un personnage s’est présenté à mon guichet. Parfois c’est énigmatique, je ne discerne qu’une partie du corps, à peine un visage. D’autres fois, à l’allure générale viennent s’ajouter une foule de détails biographiques. Le personnage débarque dans mon laboratoire avec son arbre généalogique sous le bras.»

Mener l’enquête
«J’aimerais explorer avec vous cette fabrique d’un genre particulier, dans laquelle l’auteur est à la fois le patron, le contremaître, l’ouvrier et le client. Nous nous appuierons, pour mener l’enquête, sur des textes variés allant de Simenon à Selma Lagerlöf en passant par Virginia Woolf, Flannery O’Connor, Guy de Maupassant ou Isaac Bashevis Singer.»

Faire face aux obstacles récurrents
«Nous affronterons ensemble les obstacles récurrents que sont les clichés et le poids de la sociologie, la tentation e la séduction et le risque de l’autoportrait. Nous verrons comment les dialogues peuvent s’avérer plus efficaces que certaines descriptions et nos écrirons ainsi, passant notre bras dans celui d’une créature de papier qui nous guidera mieux que nous ne saurions la guider.»
MH

Un premier lien avec Agnès Desarthe lors des correspondances de Manosque en 2018, évoquant son ouvrage ‘La chance de leur vie’.


Les Femmes chefs d’entreprise mises à l’honneur à Marseille

Quentin Bernard, pâtissier pour la boulangerie Lyse, à Cabrières d’Avignon, va tenter de décrocher le titre de champion de France de dessert ce mercredi 6 avril.

La finale nationale de la 48e édition du championnat de France de dessert aura lieu ce mercredi 6 avril au lycée Bonneveine à Marseille. Cette année, le concours est placé sous le thème de ‘L’expression de soi’. Pour cette finale, le vauclusien Quentin Bernard devra réaliser deux desserts à l’assiette pour un total de 10 personnes, et ce, dans un temps imparti de 4h50.

Le dessert panier fera l’objet de la première épreuve, dont le thème et les techniques seront imposés par le président du jury Angelo Musa, champion du monde de la pâtisserie. Lors de la seconde épreuve, les finalistes présenteront le dessert de sélection, celui qui leur a permis d’accéder à la dernière étape du concours.

Un concours Cultures sucre

Cultures sucre est une association interprofessionnelle, créée en 1932, du secteur betterave-sucre. L’organisme, qui informe sur le sucre, son origine et ses différentes utilisations organise le championnat de France de dessert depuis près de 50 ans. Ce concours est aujourd’hui reconnue comme une compétition de référence dans le monde qui entoure les métiers de bouche.

V.A.


Les Femmes chefs d’entreprise mises à l’honneur à Marseille

La compagnie aérienne espagnole Volotea ouvrait le 16 décembre 2021, depuis l’aéroport de Marseille-Provence, une nouvelle ligne aérienne à destination d’Oran en Algérie. Succès franc si l’on en croit le taux de remplissage de 93,8%.

La nouvelle ligne Marseille – Oran, lancée par Volotea avec deux vols par semaine, a connu un fort engouement entre le 16 décembre et le 14 février. La compagnie prévoit sur cette ligne environ 70 000 sièges par an. Une nouvelle ligne qui conforte sa position de 2ème compagnie aérienne au départ de l’aéroport de Marseille-Provence en termes de destinations desservies avec 21 lignes proposées, vers la France, l’Espagne, l’Italie, la Grèce, la Croatie, et l’Algérie.

Les billets sont ouverts à la vente en France sur le site de Volotea et sur l’ensemble des canaux de distribution. En Algérie, les clients pourront réserver leurs vols dans les agences de voyage. Céline Lacroix, responsable du Développement international de Volotea se réjouit : « Nous sommes très heureux du succès de cette nouvelle ligne vers Oran depuis notre base marseillaise, et nous sommes fiers d’avoir permis aux familles et amis de se retrouver à la réouverture des frontières aériennes après une longue période compliquée ».

Fondée en 2011 par Carlos Muñoz et Lázaro Ros, fondateurs de Vueling, Volotea est actuellement basée dans 18 capitales régionales européennes. La compagnie aérienne exploite une flotte de 41 à 45 appareils en 2022, contre 36 à l’été 2019. En 2022, Volotea prévoit un développement historique en Europe et la France représente près de 50% de l’activité de la compagnie.


Les Femmes chefs d’entreprise mises à l’honneur à Marseille

«Dis, j’ai eu une dame au téléphone, Bernadette Camhi-Rayer, avec un groupe d’auteurs elle a créé une maison d’édition 100% avignonnaise, ‘Editions Réflections’. Elle m’a envoyé les livres, tu veux les lire et l’interviewer ? »

Le premier des deux ouvrages parvenus à la rédaction me tombe dans les mains. La couverture prévient : ‘Roman autobiographique’, le titre ? ‘Le père, le fils, et puis… Eva !’ Je suis dubitative car aujourd’hui, et surtout depuis le confinement, tout le monde écrit ‘son livre’ avec plus ou moins de bonheur pendant qu’Amazon se charge même de l’éditer, au nombre d’exemplaires voulu et à un prix défiant toute concurrence, plongeant dans l’abîme l’imprimerie et les librairies… Enfin c’est ce qu’on aurait pu croire. Car ce qui fait le succès d’un livre ? C’est sa promotion et sa diffusion. Et pour cela Amazon n’est sans doute pas le plus fort.

Les ventes de livres ont augmenté de 11% en 2020
Alors un bon livre et une maison d’édition en 2021 c’est plutôt téméraire ! Jusqu’à ce que je me rappelle qu’un livre est avant tout un univers, un auteur, souvent caché sous un pseudo, pour dire ce qu’il ne dirait à personne. Des histoires tragiques, comiques, mystérieuses, savantes, curieuses, bref un monde plus magique, plus grand, plus intelligent, plus imaginatif que celui des images, même si celui-là, aussi, on l’aime.

Un livre envoyé à la rédaction
J’entame donc ‘Le père, le fils, et puis… Eva ! Je commence presque par la fin, au moment où le couple de Marseillais prend son vélo pour faire le tour de tous les endroits où l’on accouche à Hô Chi Minh ville (ancien Saïgon) au Vietnam pour trouver et adopter leur enfant. Puis je remonte encore les pages, et lis l’épisode où le couple après avoir vécu 14 fausses couches, attend son premier enfant qui décèdera peu après sa naissance. Je remonte encore le fil de l’histoire et je tombe sur le décès du papa un dimanche matin et un fils à terre, qui se glisse dans sa posture de super-héros face aux suspectes combines des pompes funèbres.

Humanité
En un peu plus de 200 pages et une petite demi-heure je suis séduite par l’écriture et le propos. Je resitue le récit, lorsqu’il a vécu et vraisemblablement écrit ce livre l’auteur avait à peine 30 ans. Ce qui m’interpelle ? Dans les moments les plus difficiles de sa vie, alors qu’il fait l’expérience des plus sombres diagnostics pour ses proches, il maintient à distance ses émotions pour faire face aux situations les plus critiques, conservant sang-froid et humanité.

Le ton et l’écriture
Le ton est incroyablement léger et même profondément humain et optimiste. L’auteur détaille son parcours, son cheminement de pensée et son incroyable faculté à analyser et agir vite. A la fois très ancré dans le présent, il anticipe et reste rivé à son objectif : fonder, avec la femme de sa vie, une famille.

On a aimé
On a aimé ce livre-témoignage d’un homme qui parle de la mort de son père, des bonheurs partagés de la grossesse, les doutes aussi, puis de la mort du nourrisson et surtout de l’adoption d’un bébé aux portes de la mort –thème très présent dans le livre- au Vietnâm. L’ouvrage, sans doute écrit, réécrit et remisé dans un tiroir durant plus de 21 ans, date à laquelle l’auteur a demandé à sa fille le droit de le publier, offre d’accéder, en partie, à ce que sans doute les hommes ne disent jamais. Un ouvrage où chaque mot a été pesé, où l’aventure est retracée avec retenue, talent et élégance sans cependant en taire les écueils. On se doute que l’homme, devenu sexagénaire, n’aura pas délaissé sa plume, nous offrant, peut-être, la joie de le retrouver au fil d’autres aventures. En tout cas on l’espère.

Les infos pratiques
Le père, le fils, et puis Eva… de Raymond Ercé. ray.erce@orange.fr. Roman autobiographique. 202 pages. 20€TTC. Commander ici. Paru aux éditions Réflections. 4, rue Grivolas à Avignon. 06 18 63 51 70 www.editions-reflections.fr En savoir plus sur le livre ici.


Les Femmes chefs d’entreprise mises à l’honneur à Marseille

Grand Delta Habitat et EDF ont signé une 2e convention ‘de la maîtrise de la demande d’énergie’ courant jusqu’à fin décembre 2025. Ambition ?  Réduire les consommations énergétiques des résidences. La coopérative s’est, dans un même temps, associée à 14 autres bailleurs de l’arc méditerranéen. Objectif ? Utiliser le levier des économies d’énergie via EDF pour développer les rénovations et réhabilitations dans le logement social.

La 1re convention avait été signée avec EDF en 2018 appuyée par Promotelec –association pour la promotion des usages de l’électricité dans le bâtiment résidentiel et le tertiaire- en charge du contrôle des dossiers de GDH.

Conseil d’administration
En mars 2021, Le Conseil d’administration de Grand Delta Habitat a décidé que d’ici 5 ans, 50% du patrimoine serait classé en A, B, C et 50% en D. En juin 2021, l’enveloppe pour les réhabilitations a été portée de 15 à 18M€.

5 000 logements revus
GDH est principalement intervenu sur 5 000 logements revoyant l’isolation des murs et des combles, l’isolation thermique par l’extérieur et des façades (ITE), le remplacement de chaudières par des dispositifs plus performants et l’isolation des toitures et terrasses, annihilant 60 000 tonnes de CO2 sur la période 2018-2021. Dans un même temps, l’étude des dossiers de travaux et le contrôle des travaux a permis à GDH d’obtenir presque 3M€ de la part d’EDF pour la période 2018-2020 via les Certificats d’économie d’énergie et de bénéficier de presque 1,4M€ pour l’année 2020.

Accompagnement avec EDF
«EDF accompagne le bailleur social dans cette démarche au moyen de la vente par GDH à EDF de Certificats économies d’énergies (CEE, anciennes primes d’économie d’énergie initié par le Gouvernement en 2005 via la Loi de programmation des orientations de la politique énergétique) », explique Yann des Longchamps, directeur EDF Commerce Méditerranée.

En clair ?
La coopérative GDH montre patte blanche pour les travaux envisagés puis réalisés obtenant la validation d’EDF puis son soutien sous la forme de primes délivrées après instruction et vérification des travaux relevant de l’économie d’énergie qui intervient sur les menuiseries, l’isolation, le chauffage et la régulation et les énergies renouvelables.

Dans le détail, pour passer de D à C et bien mieux encore
Grand Delta Habitat est intervenu sur 78 logements à la résidence Saint-Chamand, à Avignon, dont la construction date de 1972. Le bâtiment est ainsi passé de D à C après  plus d’1,7M€ de travaux dont 135 747€ de prise en charge EDF. Même mode opératoire pour la résidence de l’Oseraie construite en 1968, toujours à Avignon, pour 233 logements et l’investissement de presque 3M€ de la part de GDH et une aide EDF de 633 780€ pour un passage de D à C. Ça aussi été le cas de la résidence Portail Lançon à Orange pour 96 logements construits en 1963 un coût d’investissement des travaux de 1 316 707€ amoindris de 269 891€ d’aides et un passage de D à C. La résidence des Acacias construite en 1960 et accueillant 39 logements a été revue à hauteur de 702 000€ en bénéficiant d’un certificat d’économie d’énergie de 94 500€ et un  passage de D à C. Une belle réussite pour la résidence Le Ramadou, toujours à Orange, datant de 1982 composée de 35 logements dont les travaux à plus de 2,3M€ et 55 000€ d’aide ont permis le passage du bâtiment de E à B. Il faut dire que la résidence n’était plus habitée depuis plusieurs années ce qui a sans doute facilité grandement les travaux. La résidence Domaine Julian à Lapalud construite en 1963 et proposant 48 logements a bénéficié de 700 496€ dont presque 82 000€ d’aide, permettant le passage en DPE de E à C. Mention spéciale pour la résidence Mas Mathieu à Nîmes construite en 1955 pour un coût des travaux de plus de 1,4M€, dont 182 151€ d’aide et un passage de la lettre D à B. Enfin, la résidence La Source à Marseille construite en 1959 et proposant 193 logements a été revue à hauteur de plus de 7M€ ! Pour une aide de 250 485€ et un passage de D à C.

Diagnostic du patrimoine
Pour se faire une petite idée ? Au 30 septembre 2021, le patrimoine de GDH comprend 36,10% de son patrimoine en D ; 29,05% en C, 15,64% en A ; 10,55% en E ; 5,58% en B ;; 0,71% sont en F ; 0,01% sont en G tandis que 2,35% des bâtiments ne possèdent pas encore d’étiquettes.

En savoir plus

Changement de classification du DPE
La réforme du diagnostic de performance énergétique (DPE), passée en juillet 2021 a considérablement changé la donne d’une part sur le prix de vente mais également sur la location du bien puisque le dispositif évalue dorénavant la consommation énergétique du lieu et le taux d’émission de CO2 du logement.

Consommation primaire d’énergie et empreinte carbone
Le mode de calcul prend en compte le type d’énergie alimentant le logement –gaz, électricité, bois, fioul- (Ndlr : un logement chauffé au gaz ou au fioul est actuellement classé en F) ainsi que désormais l’isolation et le mode de chauffage. Cela induit un changement de classification qui, selon la Fnaim (Fédération nationale de l’immobilier) devrait bousculer le classement de 40% des biens, dans le privé. A l’étude ? La consommation primaire d’énergie qui dépend principalement de l’isolation et son empreinte carbone déterminée par les émissions de gaz à effet de serre calculées par rapport aux types d’énergie utilisée. Pour ces deux critères c’est la moins bonne note qui déterminera l’étiquette finale.

A compter de janvier 2022
A compter du 1er janvier 2022, l’affichage des deux étiquettes et de l’estimation du montant moyen des factures énergétiques du logement (une nouveauté du DPE) sera rendu obligatoire sur toutes les annonces immobilières. Également, alors qu’auparavant le DPE examinait 3 postes de dépenses : le chauffage, le refroidissement et la production d’eau chaude sanitaire, le nouveau DPE prend également en compte l’éclairage et la ventilation du bien.

Valeur verte
Pour les logements les moins performants F et G, un pictogramme ‘passoires énergétique’ apparaîtra en rouge rappelant que ces logements deviendront interdits à la location d’ici 2023, mesure introduite par le projet de loi Climat et résilience.

Changement de classification ?
Pour les particuliers, le Gouvernement les invite à se rapprocher du Comité français d’accréditation (Cofrac) permettant un diagnostic délivrant un DPE valable 10 ans et la recommandation de travaux énergétiques.


Les Femmes chefs d’entreprise mises à l’honneur à Marseille

En transit à l’aéroport de Londres, entre Antigua, une île des Caraïbes et Paris, Paul Belmondo nous accorde une interview. Il évoque Boeing Boeing, la pièce de théâtre française la plus jouée au monde, un vaudeville hilarant où il interprète Bernard, un architecte atteint de Donjuanisme, aux prises avec ses trois maîtresses hôtesses de l’air, fortuitement réunies. Un grand moment de bonne humeur.

Vous interprétez Bernard, un séducteur invétéré très attiré par des hôtesses de l’air, que vous inspire votre personnage ?
«Il est toujours intéressant d’interpréter des personnages qui sont à l’opposé de vous dans la vie. C’est explorer d’autres vies avec jubilation, en l’occurrence un séducteur fréquentant plusieurs femmes et dont la vie semble rigolote. C’est très agréable à interpréter ! (rires).»

Comment avez-vous abordé votre rôle pour incarner cet archétype masculin ? Comment vous-êtes-vous préparé ? «Je me suis remémoré ses personnages de vaudeville qui se font prendre la main dans le sac et essaient, par le mensonge, de s’en sortir. Je me suis inspiré de ce que j’ai vu au théâtre et au cinéma. Quant à la préparation ? Il y a cette partie où l’on apprend le texte, seul chez soi, ‘à plat’ tout en s’imaginant comment pourrait-être le personnage, sans trop s’y immerger afin de laisser toute la place au talent du metteur-en-scène. Tout se met en place après la première lecture avec Philippe Hersen, le metteur-en-scène, et tous les comédiens. Une fois le profil des  personnages développé, expliqué puis campé, chaque comédien apporte son imaginaire, son monde, son expérience de la vie. Moi ? J’ai essayé de deviner ce qu’un homme pourrait ressentir et vivre lorsqu’un jour, ses trois maîtresses se retrouvent toutes, au même moment, réunies chez lui… La situation, les émotions qui surgissent et quelles stratégies je fomenterais pour m’en sortir ?»

Quels sont, selon vous, les forces et faiblesses de Bernard ? «Les forces ? C’est un bon vivant, il aime la vie, c’est quelqu’un de fondamentalement gentil qui aime aussi réellement ces femmes. La seule chose ? Il est polygame ! Il les aime toutes autant avec, peut-être, une petite préférence pour l’une d’elle. Ses faiblesses ? La fréquentation de plusieurs femmes ce qui lui rend la vie très compliquée, même s’il est très organisé. Heureusement il a Berthe, sa femme de ménage et complice qui l’aide jusqu’au jour où Robert, son ancien copain de lycée, va perturber toute cette belle mécanique. A l’origine de cette situation ? Bernard souffre sans doute autant d’un manque affectif que d’assurance. Il séduit pour se rassurer. On peut aussi se poser la question de la recherche de ces femmes séduits par des collectionneurs, (rires). Justement la pièce évoquera l’arroseur arrosé !»

Bernard pourrait-il exister aujourd’hui ?
«Oui, ça serait sûrement plus compliqué aujourd’hui avec tous les moyens qu’on a de tracer les gens avec les téléphones portables, les réseaux sociaux, Internet, mais encore possible… Il pourrait se trouver bloquer quelque part, en transit, comme moi en ce moment (rires), se trouver bloquer, au même endroit, avec ses maîtresses.»

Enfin, un homme a-t-il encore le droit de draguer ? «Ah, c’est compliqué (rires) ! Je suis marié. Mais je m’imagine plus de 30 ans en arrière et je me demande comment les situations pourraient être interprétées. Dans tout ce qui se passe aujourd’hui il y a beaucoup de bien, car, durant des années, des attitudes, des comportements et des propos masculins envers les femmes ont été inacceptables et blessants, cependant je crois qu’il ne faut pas basculer dans l’excès et revenir à un juste équilibre. Courtiser une femme aujourd’hui est devenu complexe. D’ailleurs le rôle de Bernard pourrait être interprété par une femme ayant plusieurs amants, ce qui fonctionnerait très bien. La pièce écrite dans les années 60, reste toujours actuelle !»

Maintenant
«On vit une période difficile. Boeing Boeing est une pièce divertissante, on rigole et ça fait du bien ! On est heureux de reprendre le dessus et de vivre ! La priorité pour beaucoup a été de voyager ou d’aller au resto –qui étaient nos premières privations- maintenant il faut reprendre les bonnes habitudes et se retrouver en salle pour partager ces moments-là.»

Paul Belmondo

Le pitch
Dans les années 60, Bernard, architecte, a 3 maitresses, toutes hôtesses de l’air. Quand l’une décolle, la 2e atterrit tandis que l’autre est déjà en l’air. Mais un jour, les conditions de vol les font se poser le même jour. Bien sûr elles ne sont pas sensées se rencontrer puisque chacune se croit la fiancée du frivole Bernard.

L’auteur
Marc Camoletti, auteur et metteur en scène français, célèbre pour ses vaudevilles dont les fameux ‘Boeing boeing’, ‘pyjama pour six’, ‘On dinera au lit’, ‘La bonne Anna’, ‘Le bluffeur’ ou encore ‘Sexe et jalousie’. Boeing boeing, c’est plus de 25 000 représentations dans 55 pays, ‘Boeing Boeing’ est d’ailleurs inscrite au Guinness Book des records comme la pièce française la plus jouée dans le monde. On se rappelle avec bonheur d’une adaptation au cinéma en 1965 avec Tony Curtis, Jerry Lewis, Dany Saval et Kirk Douglas et en 2008 des deux Tony Awards aux États- Unis dont celui de la Meilleure reprise et celui du Meilleur acteur principal pour Mark Rylance dans la mise en scène du britannique Matthew Warchus.

A l’affiche
Paul Belmondo interprète Bernard ; Valérie Bègue est Juliette l’hôtesse de l’air Française ; Marie-Hélène Lentini est Berthe, la femme de ménage ; Roland Marchisio est Robert l’ami de lycée de Bernard ; Jessica Mompiou est Jeannette l’hôtesse de l’air Américaine ; Julie Nicolet est Judith l’hôtesse de l’air Allemande et la mise-en-scène de Philippe Hersen.

Les infos pratiques
La représentation de la pièce de théâtre ‘Boeing Boeing’ aura lieu vendredi 26 novembre à 20h30 au Palais des Princes, Cours Pourtoules à Orange et Mardi 30 novembre 2021 à 20h au théâtre de l’Odéon à Marseille. Durée 1h30. 42€.

Biographie
Paul Belmondo, 58 ans, ancien coureur automobile en Formule 1, est acteur (depuis 2007 à l’issue de sa carrière de coureur automobile), toujours commentateur sportif des 24h du Mans sur la chaîne TV Eurosport et consultant sur Formula One depuis 2013. En 2015, il réalise un documentaire sur son père ‘Belmondo par Belmondo’, diffusé en 2016 sur TF1. Il a été rédacteur en chef de Car Life Magazine. Paul Belmondo est petit-fils du sculpteur Paul Belmondo et fils de l’acteur Jean-Paul Belmondo. Il a épousé Luana Tenca et a trois enfants Alessandro, Victor et Giacomo.

Décryptage

Le fantasme de l’hôtesse de l’air ?
C’est un peu le mélange d’une maman –l’uniforme représentant l’autorité- rassurante –parce que la femme est maternelle- pour d’anciens petits garçons- toujours proches, comme nous tous, du complexe d’Œdipe. D’ailleurs elle est jeune, aimable et serviable –comme une mère-. C’est en même temps une femme sans attache –dont on ne soupçonne pas la vie privée avec homme et enfants-.

Voyager en avion ?
C’est être dans un lieu clos –l’avion- en partance pour ailleurs où l’on peut être dans être transi de peur ou dans, au contraire, dans l’excitation du voyage. Un monde entre terre et ciel. Un peu au milieu de nulle part, où les conventions sociales peuvent s’effacer, où un micro-monde s’est incarné. Enfin l’avion est un habitacle hermétique à l’intérieur duquel on est privé de liberté et où seul le pilote a la maîtrise des commandes.

Le séducteur ?
Il est celui qui a besoin de séduire, de conquérir, d’être reconnu, de ranimer Narcisse, de se rassurer. Il collectionne ? Alors il ne donne son cœur à personne et reste, en cela, l’amoureux fidèle de sa mère –voilà Œdipe qui revient-. Il conquiert puis il fuit car l’autre n’est qu’un objet de valorisation, un doudou pour soulager ses angoisses. Il a besoin d’être aimé pour s’aimer un peu car il souffre du peu d’estime qu’il a pour lui-même.


Les Femmes chefs d’entreprise mises à l’honneur à Marseille

«J’entrerai dans ton silence» donne la parole aux autistes. En 2018, le directeur du théâtre du Balcon Serge Barbuscia adapte les textes de Françoise Lefèvre et d’Hugo Horiot. Il nous dévoile le monde peut-être méconnu de l’autisme et le combat de la mère face aux institutions. Un spectacle intense et émouvant.

Théâtre du Balcon

Présenté en avant-première au Théâtre du Balcon, dans une salle comble, en 2018, la pièce fut ovationnée. Nous retrouverons Fabrice Lebert  dans le rôle de l’enfant autiste et Camille Carraz dans celui de la mère aimante…..et résistante.
Mardi 12 octobre .19h. 19 et 23€. Théâtre du Balcon. Rue Guillaume Puy à Avignon. 06 09 16 28 63 / 04 90 85 00 80  contact@theatredubalcon.org

Déclinaison de ce spectacle en octobre

L’auteur, comédien et réalisateur Hugo Horiot a aussi été invité au Théâtre Toursky de Marseille le 5 octobre dernier. Fils de la romancière Françoise Lefèvre, Hugo Horiot, diagnostiqué autiste Asperger à l’âge de 18 mois se plait à conjuguer artiste et autiste.

Une journée entière au Centre Social de la Fenêtre

C’est aussi à une journée complète autour de ce spectacle, le 7 octobre dernier, qu’ont été conviés Serge Barbuscia et Hugo Horiot. Une occasion unique de côtoyer l’auteur, le comédien et le metteur en scène pour les habitants de Saint-Chamand d’Avignon.

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